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  1. brubru

    Pointe-du-Moulin

    Bonjour, Aujourd'hui j'ai fait un peu de photoshop sur le cas du silo no 5, voici le résultat Avant Après Crédit photo: http://lesbeautesdemontreal.wordpress.com Étapes de réalisation du projet: Démolition de tout les silos, sauf celui le plus récent Enlever tout les anciennes composantes qui servaient au silo Nouvelle utilisation : Observatoire Vue du toit: Crédit photo: http://www.havremontreal.qc.ca Je ne sais pas si ça serait mieux qu'il soit au béton ou peinturé d'un couleur... Je vais faire des plans du toit et du terrain. Le bas pourrait devenir la gare des trams !
  2. Nouveau projet Accès condo à Lachine - Mise en vente le 12 mars 2011 120 unités, réparties sur 6 étages 1cc à partir de 139 000 $ - 13 900 $ (crédit d'achat de 10%) = 125 100 $ taxes incluses 2cc à partir de 200 000 $ - 20 000 $ (crédit d'achat 10%) = 180 000 $ taxes incluses 3cc à partir de 227 900 $ - 22 790 $ (crédit d'achat 10%) = 205 110 $ taxes incluses
  3. Montréal, c’est quoi? Le Dimanche 7 Juin 2009 | Mise en ligne à 13h40 | Stephane Laporte Dans ma chronique dominicale, je demande ce qu’est Montréal. Los-Angeles, c’est le cinéma. Paris, c’est l’amour. New York, c’est l’argent. Milan, c’est la mode. Montréal, c’est quoi? Un lecteur me répond que Montréal, c’est le night life. C’est, selon lui, ce qui attire les touristes: le sexe bon marché. Selon vous quelle est la spécialité montréalaise? Crédit : By FRANZ' http://www.flickr.com/photos/franksk1/3603415115/
  4. Exit la zone industrielle! par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 29 octobre 2009 à 15:08 Près de deux ans après son entrée en vigueur, le généreux programme fiscal favorisant la conversion de la zone industrielle avoisinant la station de la Concorde donne ses premiers fruits. La cour à bois de Carrière Lefebvre, qui borde la rue Robert-Élie au nord du boulevard de la Concorde, est à disparaître. D’une valeur estimée au rôle à 2,3 M$, la demi-douzaine de bâtiments qui abritait des matériaux de construction croule actuellement sous le pic des démolisseurs. Jusqu’à 12 étages Construction Voyer, le nouveau propriétaire des lieux, entend mettre en chantier d’ici les prochaines semaines deux premiers bâtiments locatifs de six et de douze étages, a confirmé au Courrier Laval le porte-parole de la Ville, Marc Laforge. «Le bâtiment de six étages sera construit en façade de la rue Robert-Élie et celui de 12 étages s'élèvera en arrière-plan, près de la voie ferrée», dit-il, rappelant que le plan particulier d'urbanisme [PPU] ne prévoit aucune limite de hauteur, mais plutôt un minimum de deux étages par bâtiment. À terme, ce développement résidentiel compterait neuf bâtiments de 6, 8 et de 12 étages, qui totaliseront quelque 450 unités d’habitation, nous affirmait le président de Construction Voyer, Jean-François Voyer. Adopté en janvier 2008 par le conseil municipal, le PPU visait justement la densification du secteur. «Si on ne favorise pas la densité près de la station de métro, dites-moi où on le fera?» avait fait valoir le maire Vaillancourt aux citoyens qui questionnaient la hauteur des immeubles projetés, lors d’une séance de consultation publique tenue en février 2008. Zéro logement social Selon M. Voyer, 75% des unités du projet seront vouées au secteur locatif contre 25% pour les unités en copropriété. À la Ville, on indique que le présent développement n'offrira aucun logement social, alors que l'adoption du PPU devait pourtant «permettre d'exiger des promoteurs à consentir à du logement social à proximité des stations», avait insisté M. Vaillancourt lors de la consultation publique de 2008. Le PPU se voulait «une garantie pour les gens à faible revenu de pouvoir demeurer dans le quartier», assurait-il. Questionné à ce propos, Marc Laforge soutient que c'est «toujours la volonté de l'administration municipale qu'il y en ait [du logement social] et il y en aura», dit-il, en évoquant de futurs projets qui prendront éventuellement racine de l'autre côté du boulevard de la Concorde. Incitatifs majeurs Rappelons qu'en 2007, l’administration Vaillancourt a voulu profiter de l’arrivée du métro pour faire table rase des zones industrielles enclavées du secteur résidentiel de Laval-des-Rapides. Pour en accélérer le processus, elle a concocté un alléchant programme fiscal susceptible de convaincre les entrepreneurs de la place à relocaliser ailleurs leur exploitation industrielle. Selon certaines conditions, l’aide financière accordée sous la forme d'un crédit de taxes vise le droit de mutation et la taxe foncière générale imposée sur l'immeuble où l'entreprise se relocaliserait. Dans le cas de Carrière Lefebvre, l’entreprise a déjà fait son nid dans le parc autoroutier de la 25. Pour la taxe de Bienvenue, le crédit équivaut à 100% du montant du droit sur les mutations immobilières au moment du transfert de propriété. Quant à la taxe foncière relative à la valeur imposable de l'immeuble, le programme d'allègement fiscal se décline sur cinq ans, à raison d'un crédit de 100% la première année, 90% la seconde, 80% la troisième, 60% la quatrième et d'un crédit de 40% la dernière année. Le même forfait fiscal s'applique à la construction d'unités de logement sur les terrains vacants situés dans le périmètre visé. Mine de rien, Carrière Lefebvre libère 340 000 pieds carrés de terrain au nord du boulevard de la Concorde. Le même industriel possède un terrain équivalent au sud de la Concorde, qui n’est toujours pas vendu. Son propriétaire, André Lefebvre, est confiant toutefois de trouver preneur d’ici le début 2010. Dans cette portion du territoire, une quinzaine d’industriels détiennent près d’un million de pieds carrés, une superficie monstre appelée à être redéveloppée à la faveur de complexes d'habitation, de commerces de voisinage et d'espaces verts. http://www.courrierlaval.com/article-394905-Exit-la-zone-industrielle.html http://www.voyer.ca/fr/projets/le-logix/
  5. La Ville de Montréal, qui s'apprête à emprunter des milliards de dollars dans les prochaines années pour réparer ses infrastructures, économisera des sommes importantes en intérêts, puisque sa cote de crédit vient d'être rehaussée par une firme de notation, notamment en raison d'un «environnement politique plus stable». La cote de crédit de la métropole accordée par Standard & Poor passe ainsi de à A+ à AA-, une première hausse en plus de 30 ans pour la Ville de Montréal. La firme de notation vante les «liquidités exceptionnelles» de la Ville, son faible endettement et le redressement de la «performance budgétaire» par rapport à l'administration Tremblay. «Nous croyons que l'environnement politique s'est stabilisé dans les dernières années», peut-on lire aussi lire dans le document. Le maire Denis Coderre se réjouit de cette annonce, qui tombe la même semaine que le dévoilement du programme triennal d'immobilisations 2016-2018 de la Ville de Montréal, lequel prévoit 5,2 milliards de travaux. « C'est la preuve que les décisions que nous avons prises commencent à porter fruit. Les experts de S&P ont examiné chacune de nos actions sur le plan du contrôle des dépenses, de la gestion de notre dette, de la planification de nos investissements. Ce rehaussement de notre cote de crédit traduit un niveau élevé de confiance en la solidité financière de Montréal à long terme », a déclaré M. Coderre, dans un communiqué. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201510/22/01-4912878-standard-poors-rehausse-la-cote-de-montreal.php
  6. La firme britannique Framestore, spécialisée dans les effets spéciaux pour le cinéma et la publicité, a confirmé lundi son implantation à Montréal, ce qui devrait créer 200 emplois d'ici la fin de l'année. La première ministre Pauline Marois, en mission au Royaume-Uni, a participé à l'annonce officielle en compagnie du PDG de Framestore, William Sargent, au siège social de l'entreprise, à Londres. Le gouvernement consentira un prêt sans intérêt de 900 000 $ étalé sur cinq ans, ce qui lui coûtera environ 35 000 $ par année. En conférence de presse, Mme Marois a soutenu qu'aucun crédit d'impôt n'allait être accordé au projet, mais il en est tout autrement. Les clients de Framestore, principalement les grands studios de cinéma de Hollywood, auront droit à des avantages fiscaux pouvant représenter jusqu'à 44% de toutes les dépenses effectuées à Montréal et jusqu'à 60% en incluant le crédit d'impôt fédéral. M. Sargent a d'ailleurs expliqué que l'une des deux raisons pour lesquelles Framestore a choisi Montréal, c'est l'existence des généreux crédits d'Impôt, l'autre étant le bassin de main d'oeuvre qualifiée qu'on trouve dans la métropole québécoise. Vive concurrence Montréal était notamment en concurrence avec Toronto, Vancouver et des villes asiatiques pour obtenir le studio. À l'heure actuelle, l'industrie canadienne des effets spéciaux est concentrée à Vancouver. Québec espère que l'arrivée de Framestore à incitera d'autres entreprises du secteur à s'y établir également. Les premières productions auxquelles travailleront les artisans de Montréal, et ce dès le mois de mars, sont RoboCop (Columbia Pictures et MGM), et All You Need Is Kill (Warner Brothers), qui doivent tous deux sortir en 2014. Framestore compte trois studios à Londres, un à New York et un à Los Angeles, où travaillent environ 700 personnes. Si tout va comme prévu, le studio de Montréal sera le plus important de l'entreprise à l'extérieur de Londres d'ici la fin de l'année. Pauline Marois s'est également rendue lundi matin au Foreign & Commonwealth Office pour rencontrer le ministre délégué responsable de l'Amérique du Nord pour le Royaume-Uni, Alistair Burt. Sur l'heure du midi, elle prononcera un discours devant la Chambre de commerce Canada-Royaume-Uni auquel assistera notamment l'ancien premier ministre de Colombie-Britannique, Gordon Campbell, qui est maintenant haut-commissaire du Canada à Londres. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/cinema-framestore-creera-200-emplois-a-montreal/553618
  7. http://www.architectmagazine.com/Architecture/the-best-and-worst-architectural-events-of-2014_o.aspx Voir le lien pour les images BEYOND BUILDINGS The Best and Worst Architectural Events of 2014 Aaron Betsky presents 10 lamentable moments and 10 reasons for hope in architecture. By Aaron Betsky New National Stadium, by Zaha Hadid Architects New National Stadium Tokyo, Japan Zaha Hadid Architects Everywhere this last year, we heard the call for a return to order, normalcy, the bland, and the fearful. Herewith are ten examples, in no particular order, of such disheartening events from 2014—and ten things that give me hope. Reasons to Despair 1. The demolition of the American Folk Art Museum in New York, by Tod Williams Billie Tsien Architects. Idiosyncratic both in layout and façade—and absolutely breathtaking. The MoMA monolith keeps inflating its mediocre spaces; I despair and wonder if Diller Scofidio + Renfro (DS+R) will be able to rescue it from almost a century of bad and too-big boxes 2. The defeat of Bjarke Ingels Group’s proposals for the Kimball Art Museum in Park City, Utah. The second proposal was already less exciting than the first, an award-winning, spiraling log cabin, but even the lifted-skirt box caused too many heart palpitations for the NIMBYists 3. The protests against Zaha Hadid’s Tokyo Olympic Stadium design, which left the building lumpen and unlovely. At this point, Arata Isozki is right: they should start over 4. The Guggenheim Helsinki Design Competition, leading to the selection of banal finalists 5. President Xi’s call for an end to “weird” architecture. What is truly weird is the amount of mass-produced boxes in which China is imprisoning its inhabitants and workers 6. Prince Charles’ recitation of the kind of architecture that makes him feel good. The ideas are very sensible, actually, but a beginning, not an end [Ed. note: The linked article may appear behind a paywall. Another reporting of Prince Charles' 10 design principles may be found here.] 7. Ground Zero. Actually, almost a farce since it was a tragedy that now has turned into just a dumb and numbing reality 8. The New York Times’ abandonment of serious criticism of architecture 9. The reduction of architecture to a catalog of building parts in the Venice Biennale’s Elements exhibition 10. A proposal from Peter Zumthor, Hon. FAIA, for a new LACMA building that looks as weird as all the other buildings proposed and built there, but is just a curved version of a pompous museum isolated from its site. It is a mark of our refusal to realize that sometimes reuse—of which LACMA’s recent history is an excellent example—is better than making monuments Credit: © Atelier Peter Zumthor & Partner Reasons for Hope 1. The addition to the Stedelijk Museum of Art in Amsterdam: a strangely beautiful and effective bathtub Stedelijk Museum, Amsterdam, by Benthem Crouwel Architekten. Stedelijk Museum, Amsterdam, by Benthem Crouwel Architekten. Credit: © Jannes Linders 2. The renovation of the Rijksmuseum in Amsterdam—though not its Louvre-wannabe entrance The ribbed, tiled vaults of the Museum Passageway beneath the Gallery of Honor were restored; arched windows overlook the renovated courtyards on either side. The ribbed, tiled vaults of the Museum Passageway beneath the Gallery of Honor were restored; arched windows overlook the renovated courtyards on either side. Credit: Pedro Pegenaute 3. The Philadelphia Museum of Art’s plan to go gloriously underground 4. The Smithsonian’s plan to do the same Aerial view of the South Mall Campus with proposed renovations. Aerial view of the South Mall Campus with proposed renovations. Credit: BIG/Smithsonian 5. The Belgian Pavilion exhibition at the Venice Biennale: looking reality in the eyes and making beauty out of it 6. Cliff Richards rollerskating through Milton Keynes in the same; ah, the joys of modernism 7. Ma Yansong’s proposal for the Lucas Museum in Chicago—especially after the horrible neo-classical proposal the same institution tried to foist on San Francisco; though this oozing octopus sure looks like it could use some refinement, or maybe a rock to hide part of it South view. South view. Credit: Lucas Museum of Narrative Art 8. The spread of bicycling sharing in cities like Barcelona and around the world, if for no other reason than that this way of movement gives us a completely different perspective on our urban environment 9. The spread of drones, ditto the above, plus they finally make real those helicopter fly-through videos architects have been devising for years 10. The emergence of tactical urbanism into the mainstream, as heralded by the MoMA exhibition Uneven Growth: Tactical Urbanisms for Expanding Megacities. I hope that shows the way for the next year Aaron Betsky is a regularly featured columnist whose stories appear on this website each week. His views and conclusions are not necessarily those of ARCHITECT magazine nor of the American Institute of Architects. sent via Tapatalk
  8. Les Canadiens sont toujours en voie d'atteindre une année record en ce qui a trait au niveau d'endettement personnel, même s'ils ont terminé 2013 en réduisant légèrement la somme d'argent qu'ils doivent à leurs créanciers, a indiqué mercredi l'agence de surveillance du crédit TransUnion. À la fin de l'année, les Canadiens cumulaient en moyenne des dettes de 27 368 $ sur diverses lignes de crédit, cartes de crédit et prêts automobiles, a indiqué TransUnion dans une étude dévoilée mercredi. Ce montant est en baisse de 117 $, soit 0,42%, par rapport à celui de 27 485 $ du quatrième trimestre de 2012 - le plus haut niveau d'endettement jamais affiché, en excluant les dettes hypothécaires. «Nous nous sommes fait dire encore et encore et encore, de la part de tant de personnes, que nous devions réduire cette dette, mais nous n'y arrivons pas», a observé le vice-président des services d'analyse et de décision de TransUnion, Thomas Higgins. TransUnion prévoit toujours que la dette moyenne des consommateurs canadiens, en excluant les prêts hypothécaires, atteindra le sommet record de 28 853 $ d'ici la fin de 2014. «Il n'y a rien qui nous laisse croire que les niveaux d'endettements vont commencer à reculer de façon assez importante», a poursuivi M. Higgins depuis Toronto. «En ce moment, nous nous dirigeons toujours (vers une plus haute dette), certainement.» Les Canadiens ont commencé à accumuler des dettes dans les années précédant la récession de 2008, a expliqué M. Higgins. Selon lui, il faudrait que la dette personnelle des Canadiens diminue de façon soutenue d'entre 500 $ et 1000 $ sur quatre à six trimestres avant de pouvoir dire qu'une tendance à la baisse se dessine. Au cours du dernier trimestre de 2013, la dette sur les cartes de crédit et les lignes de crédit des consommateurs a légèrement reculé, a noté M. Higgins. Mais si les consommateurs ont moins dépensé pendant leurs courses des Fêtes, ce n'est que parce qu'ils ont profité de «meilleurs rabais», et non parce qu'ils ont volontairement réduit leurs dépenses, a-t-il estimé. L'étude a en outre montré que les taux de délinquance sur les prêts du trimestre terminé le 31 décembre avaient reculé, ce qui signifie que les consommateurs sont en mesure de faire les paiements minimaux sur leurs dettes. M. Higgins a cependant prévenu que si quelque pépin devait survenir et avoir un impact sur l'économie, les marchés ou les taux d'intérêt, les taux de délinquance seraient normalement les premiers à être touchés. Entre-temps, l'étude a permis de montrer que les résidents de Vancouver sont les Canadiens qui ont le plus augmenté leur endettement - il a atteint 41 077 $ à la fin de l'année, en hausse de sept pour cent par rapport à 38 357 $ en 2012. Les Montréalais, à l'inverse, ont réussi à réduire leur dette de 5,5% et celle-ci est passée de 19 651 $ à une moyenne de 18 563 $, la plus faible parmi les résidents des grandes villes canadiennes. Selon M. Higgins, les Vancouvérois jouissent généralement de salaires plus élevés qui leur permettent de contracter de plus grosses dettes, tandis que les consommateurs de Montréal économisent habituellement avant d'effectuer de gros achats, ou bien règlent leurs factures avec des cartes de débit. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201402/26/01-4742513-endettement-eleve-au-canada-mais-pas-autant-a-montreal.php
  9. Desjardins et le Crédit Mutuel achètent State Farm au Canada Publié le 15 janvier 2014 à 12h37 | Mis à jour à 12h50 Le Mouvement Desjardins effectuera un important bond de croissance dans le marché de l'assurance au Canada en acquérant avec l'appui de son vis-à-vis français Crédit Mutuel les activités canadiennes de State Farm, la plus grosse mutuelle d'assurances aux États-Unis. Avec cette transaction annoncée ce midi, Desjardins deviendra le deuxième plus important assureur de dommages au Canada avec un volume de primes annuelles qui doublera presque, passant de 2 milliards à près de 3,9 milliards de dollars. Selon Desjardins, cette transaction devrait également renforcer sa quatrième position dans le marché de l'assurance de personnes au Canada. Une fois la transaction conclue, d'ici un an prévoit-on, Desjardins accueillera les 1700 employés canadiens de State Farm et le réseau canadien de plus de 500 agents qui desservent quelque 1,2 million de clients de l'entreprise en Ontario, en Alberta et au Nouveau-Brunswick. Par ailleurs, pour financer cette transaction qui mobilisera quelque 1,6 milliard en capitaux, Desjardins conserve State Farm comme partenaire au capital de sa filiale d'assurance-dommages. Il y ajoutera le Credit Mutuel de France, déjà un important vis-à-vis dans le secteur des plus grandes coopératives financières du monde. Desjardins se portera acquéreur des activités canadiennes d'assurance de dommages et d'assurance vie de State Farm, ainsi que de ses entreprises de fonds communs, de prêts et d'assurance de prestations du vivant (assurance santé). Desjardins pourra exploiter les affaires canadiennes de State Farm sous la bannière de cette dernière, et ce, pendant une période convenue entre les parties. Selon la présidente et chef de la direction du Mouvement Desjardins, Monique Leroux, «cette transaction entre State Farm et Desjardins avec l'appui de son partenaire français de longue date, le Crédit Mutuel, réunit trois groupes financiers coopératifs et mutuel pour créer un chef de file dans le secteur de l'assurance au Canada.» Selon Edward B. Rust Jr., président du conseil et chef de la direction de State Farm, «l'investissement de State Farm dans la compagnie d'assurance de dommages qui résultera de cette transaction avec Desjardins et la poursuite de l'exploitation de la marque de State Farm reflètent notre confiance en l'avenir de l'entreprise. » Pour sa part, le président du Crédit Mutuel, Michel Lucas, a indiqué que «cet engagement du Crédit Mutuel s'inscrit dans le cadre de notre politique de diversification, en France comme à l'étranger. Il témoigne aussi de notre volonté de contribuer activement à la mise sur pied et à la croissance du deuxième assureur de dommages au Canada. » http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201401/15/01-4728972-desjardins-et-le-credit-mutuel-achetent-state-farm-au-canada.php
  10. Just wondering if anyone has pictures of the recladding+expansion that took place in over the years? (here's an interesting article about the most recent modifications) That building went from: to this:
  11. http://www.nytimes.com/slideshow/2012/04/15/fashion/20120415-FORAGING.html For decades, period architecture and pristine cobblestone streets have kept Old Montreal well trodden by tourists. But this gracious waterfront area, dating back centuries, is regaining cachet with locals, and high-end retail has followed. A western stretch of narrow Rue St. Paul, where souvenir shops once hawked Québécois kitsch, has become an unlikely hub for high fashion. Huge picture windows in restored stone buildings now showcase of-the-moment looks to rival the hippest that New York or Paris have to offer — all with an insouciant Montreal twist. — MICHAEL KAMINER Credit: Yannick Grandmont for The New York Times
  12. Et je déteste encore plus le Palais de justice. ************************ ************************ Source : guil3433 sur flickr
  13. Un article très positif sur Montréal dans le Frankfurter Allgemeine (un journal allemand très important) L'article au complet en version originale: http://www.faz.net/s/Rub244D2E60F0294C4D8AAC6C0C7FC9677B/Doc~EE451723D27E147EFBDF08DD0B93ABD34~ATpl~Ecommon~Scontent.html Quelques extraits: En dehors des extraits, l'impression générale du texte est que Montréal, avec laquelle on utilise des qualificatifs et des noms de lieux à 150% anglais (Mount Royal, la City, ...), et axée autour du monde anglophone. On nomme les universités francophones (avec de belles erreurs d'ailleurs) une fois et c'est tout, alors que Concordia a droit a une belle description. Bref, le texte est flatteur mais laisse un gout amer.
  14. Publié le 20 juillet 2009 à 06h44 | Mis à jour le 20 juillet 2009 à 06h45 Percées de soleil, risques d'orages Sur le front de l'économie, les nouvelles encourageantes se succèdent. Aux États-Unis, les géants financiers Goldman Sachs et JPMorgan Chase ont rapporté de spectaculaires profits pour le deuxième trimestre de l'année. En Chine, la croissance a été de 7,9% au cours des trois derniers mois, ce qui laisse penser que l'Empire du Milieu atteindra son objectif de 8% pour l'année. Selon les experts consultés par Bloomberg, les ventes de maisons chez nos voisins du Sud devraient avoir atteint en juin leur plus haut niveau depuis octobre 2008. Et pour la première fois, l'administration Obama fait publiquement preuve d'optimisme: le secrétaire au Trésor, Tim Geithner, a parlé jeudi dernier d'«importants signes de reprise». Bref, le pire semble passé. Toutefois, l'économie américaine (et donc l'économie mondiale) reste exposée à des risques considérables. Et avant que la reprise ne s'installe pour de bon, beaucoup de gens vont perdre leur emploi, ou leur maison, ou les deux. Malgré son bénéfice de 3,4 milliards de dollars américains au second trimestre, la situation de JPMorgan Chase révèle à quel point l'économie américaine reste fragile. La banque a fait son argent dans le secteur de l'investissement. Au chapitre du crédit à la consommation et des prêts hypothécaires, par contre, elle a subi des pertes importantes. Le crédit personnel a aussi plombé les résultats de la Bank of America. Ainsi, sa division de cartes de crédit a perdu 1,6 milliard au cours du deuxième trimestre. Enfin, le groupe financier CIT, important prêteur aux PME, se retrouve au bord de la faillite. On peut toutefois voir comme un signe encourageant le fait que les Bourses n'ont pas paniqué devant cette perspective et que Washington a refusé de venir en aide à CIT. De toute évidence, on estime que l'économie est désormais assez solide pour résister à la faillite d'un acteur de moyenne importance. L'envers de cette stabilisation, c'est que les mauvaises habitudes semblent revenir au galop. En vertu de son système de rémunération, Goldman Sachs pourrait verser une moyenne de 770 000$ à chacun de ses 29 000 employés en 2009. Les plus hauts dirigeants recevront des dizaines de millions. Ne s'agit-il pas du genre de pratiques qui ont poussé les banquiers à prendre des risques excessifs dans le passé? Avec la confiance qui revient, le secteur financier relève la tête et combat plus férocement les nouveaux contrôles envisagés par les gouvernements. La semaine dernière, le patron de JPMorgan a averti l'administration Obama que la réglementation plus sévère imposée aux émetteurs de cartes de crédit nuira considérablement à ce secteur déjà en difficulté. Les gouvernements doivent certes se garder d'aller trop loin. Mais après ce qui s'est passé depuis un an, le secteur financier ne peut pas espérer qu'on lui fasse aveuglément confiance. Souhaitons par ailleurs que les petits investisseurs aient appris de la crise que, peu importe la sévérité des règlements, ils sont les premiers responsables de la protection de leurs avoirs. Il leur faut s'informer, diversifier leurs placements, épargner, ne s'endetter qu'avec prudence. Et surtout, se tenir loin de ceux qui leur promettent des rendements miraculeux. apratte@lapresse.ca
  15. Mercredi 15 Juillet 2009 à 23h01 Un banquier de la LNH en déroute Sophie Cousineau, LaPresseAffaires Le groupe financier CIT est au bord de la faillite. Après avoir tergiversé pendant plusieurs jours, l’administration Obama a finalement choisi de ne pas se porter à la rescousse de cette institution financière vieille de 101 ans. Ce groupe financier établi à New York l’a révélé en tout début de soirée, après que la négociation de son titre à la Bourse de New York eut été arrêtée quelques heures plus tôt. Aux yeux du gouvernement, CIT ne tombe pas dans la catégorie des institutions financières qui sont dites trop importantes pour tomber. Son actif sous gestion, de 75 milliards de dollars américains, est le dixième de celui de la défunte banque d’affaires Lehman Brothers. Toutefois, la clientèle de ce banquier se compose essentiellement de PME américaines, notamment dans l’industrie de la guenille. Ainsi, la faillite de CIT, qui est presque jugée inéluctable par l’agence de notation de crédit Standard & Poor’s maintenant que le gouvernement américain l’abandonne à son sort, pourrait faire des ravages dans l’économie des États-Unis. D’ailleurs, et c’est ce qui intéressera les amateurs de hockey, CIT a financé nombre d’équipes de la Ligue nationale, à la suite de son acquisition en 1999 de la firme torontoise Newcourt Credit Group. En 2006, un consortium bancaire dirigé par CIT aurait consenti 240 millions US à George Gillett, le propriétaire du Canadien de Montréal, afin qu’il puisse refinancer le club, la division sports et spectacles et le Centre Bell, selon l’hebdomadaire américain SportsBusiness Journal. L’an dernier, CIT a offert une facilité de crédit de 100 millions de dollars à la Rexall Sports Corporation afin de permettre à cette entreprise propriété de Daryl Katz de mettre la main sur les Oilers d’Edmonton. (Lire le communiqué ici.) CIT Group aurait aussi financé les Sénateurs d’Ottawa, les Devils du New Jersey et les Nashville Predators, selon le Globe & Mail. «Cela va être horrible (pour la LNH), a confié à ce quotidien torontois un conseiller financier non identifié qui travaille auprès d’équipes de hockey. Je ne sais pas ce qui va arriver quand ces financements arriveront à échéance.»
  16. Un millier de milliards de dettes Mise à jour le mardi 26 mai 2009 à 12 h 23 Crise économique, chômage et précarité ne semblent pas décourager les ménages canadiens de recourir de plus en plus au crédit pour les dépenses courantes. Une étude de l'Association des comptables généraux agréés du Canada (CGA-Canada) révèle que la dette totale des ménages canadiens a atteint 1300 milliards de dollars en 2008. Les auteurs du rapport indiquent que de nombreux Canadiens continuent de cumuler les achats à leurs comptes de cartes de crédit et de gruger leur marge de crédit. Ce qui réduit leur capacité d'épargne. D'après un sondage figurant dans le rapport, 85 % des ménages avaient, en novembre dernier, une dette active de carte de crédit. Quelque 21 % des répondants admettaient ne plus être en mesure de gérer le poids de leur dette. « L'endettement des ménages canadiens a nettement augmenté ces dernières années, ce qui met en péril leur sécurité financière », a affirmé le président et chef de la direction de CGA-Canada, Anthony Ariganello. Pas moins de 49 % des familles avec au moins un enfant de moins de 18 ans ont affirmé que leur dette avait grimpé ces trois dernières années, révèle le sondage réalisé sur Internet auprès de 2014 Canadiens, dont la marge d'erreur est de 2,2 points de pourcentage, 19 fois sur 20. Les marges de crédit et les cartes de crédit représentent la plus grande partie de la dette de consommation des ménages. Le quart des personnes interrogées ne serait pas capable de faire face à une dépense imprévue de 5000 $, tandis qu'une personne sur 10 aurait de la difficulté à débourser un coût imprévu de 500 $. « Nous devons admettre que la situation financière des ménages canadiens s'est détériorée », explique Rock Lefebvre, vice-président de CGA-Canada. Selon lui, il faut rectifier la situation pour maintenir un « environnement économique sain ». L'association estime qu'il est « plus souhaitable d'adopter une approche équilibrée des dépenses, de l'épargne et du remboursement des dettes pour sortir du marasme économique actuel, que d'essayer de promouvoir les dépenses de consommation. »
  17. America’s triple A rating is at risk By David Walker Published: May 12 2009 20:06 | Last updated: May 12 2009 20:06 Long before the current financial crisis, nearly two years ago, a little-noticed cloud darkened the horizon for the US government. It was ignored. But now that shadow, in the form of a warning from a top credit rating agency that the nation risked losing its triple A rating if it did not start putting its finances in order, is coming back to haunt us. That warning from Moody’s focused on the exploding healthcare and Social Security costs that threaten to engulf the federal government in debt over coming decades. The facts show we’re in even worse shape now, and there are signs that confidence in America’s ability to control its finances is eroding. Prices have risen on credit default insurance on US government bonds, meaning it costs investors more to protect their investment in Treasury bonds against default than before the crisis hit. It even, briefly, cost more to buy protection on US government debt than on debt issued by McDonald’s. Another warning sign has come from across the Pacific, where the Chinese premier and the head of the People’s Bank of China have expressed concern about America’s longer-term credit worthiness and the value of the dollar. The US, despite the downturn, has the resources, expertise and resilience to restore its economy and meet its obligations. Moreover, many of the trillions of dollars recently funnelled into the financial system will hopefully rescue it and stimulate our economy. The US government has had a triple A credit rating since 1917, but it is unclear how long this will continue to be the case. In my view, either one of two developments could be enough to cause us to lose our top rating. First, while comprehensive healthcare reform is needed, it must not further harm our nation’s financial condition. Doing so would send a signal that fiscal prudence is being ignored in the drive to meet societal wants, further mortgaging the country’s future. Second, failure by the federal government to create a process that would enable tough spending, tax and budget control choices to be made after we turn the corner on the economy would send a signal that our political system is not up to the task of addressing the large, known and growing structural imbalances confronting us. For too long, the US has delayed making the tough but necessary choices needed to reverse its deteriorating financial condition. One could even argue that our government does not deserve a triple A credit rating based on our current financial condition, structural fiscal imbalances and political stalemate. The credit rating agencies have been wildly wrong before, not least with mortgage-backed securities. How can one justify bestowing a triple A rating on an entity with an accumulated negative net worth of more than $11,000bn (€8,000bn, £7,000bn) and additional off-balance sheet obligations of $45,000bn? An entity that is set to run a $1,800bn-plus deficit for the current year and trillion dollar-plus deficits for years to come? I have fought on the front lines of the war for fiscal responsibility for almost six years. We should have been more wary of tax cuts in 2001 without matching spending cuts that would have prevented the budget going deeply into deficit. That mistake was compounded in 2003, when President George W. Bush proposed expanding Medicare to include a prescription drug benefit. We must learn from past mistakes. Fiscal irresponsibility comes in two primary forms – acts of commission and of omission. Both are in danger of undermining our future. First, Washington is about to embark on another major healthcare reform debate, this time over the need for comprehensive healthcare reform. The debate is driven, in large part, by the recognition that healthcare costs are the single largest contributor to our nation’s fiscal imbalance. It also recognises that the US is the only large industrialised nation without some level of guaranteed health coverage. There is no question that this nation needs to pursue comprehensive healthcare reform that should address the important dimensions of coverage, cost, quality and personal responsibility. But while comprehensive reform is called for and some basic level of universal coverage is appropriate, it is critically important that we not shoot ourselves again. Comprehensive healthcare reform should significantly reduce the huge unfunded healthcare promises we already have (over $36,000bn for Medicare alone as of last September), as well as the large and growing structural deficits that threaten our future. One way out of these problems is for the president and Congress to create a “fiscal future commission” where everything is on the table, including budget controls, entitlement programme reforms and tax increases. This commission should venture beyond Washington’s Beltway to engage the American people, using digital technologies in an unparalleled manner. If it can achieve a predetermined super-majority vote on a package of recommendations, they should be guaranteed a vote in Congress. Recent research conducted for the Peterson Foundation shows that 90 per cent of Americans want the federal government to put its own financial house in order. It also shows that the public supports the creation of a fiscal commission by a two-to-one margin. Yet Washington still sleeps, and it is clear that we cannot count on politicians to make tough transformational changes on multiple fronts using the regular legislative process. We have to act before we face a much larger economic crisis. Let’s not wait until a credit rating downgrade. The time for Washington to wake up is now. David Walker is chief executive of the Peter G. Peterson Foundation and former comptroller general of the US
  18. Crédit d'impôt à la rénovation Ikea et Lowe’s entendent consolider leur présence au Canada 3 février 2009 - 14h47 Argent et Presse Canadienne Lowe’s et Ikea vont de l’avant avec leur plan pour consolider leur présence au Canada, quelques jours après le dépôt du budget fédéral qui prévoit des crédits d’impôt à la rénovation. Le géant suédois de l’ameublement et de la décoration intérieure a indiqué mardi qu’il prévoyait une expansion à Winnipeg et à Ottawa et que des magasins d’autres villes canadiennes verraient leur salle de montre revampée. Ikea n’a pas précisé combien de magasins elle entend ouvrir et rénover. «Nous croyons en la vitalité du marché canadien et nous avons toutes les indications selon lesquelles les Canadiens sont toujours intéressés à investir dans leurs foyers, notamment avec des projets comme le réaménagement de nouvelles cuisines», déclare Kerri Molinaro, présidente, IKEA Canada. Pour sa part, le détaillant américain en rénovation Lowe’s a annoncé que trois magasins seront ouverts dans la grande région de Toronto. Lowe’s est présent en sol canadien depuis un an et exploite à l’heure actuelle 11 magasins. Le Plan d’action économique du gouvernement conservateur prévoit l’octroi d’un crédit de 1350 dollars aux Canadiens qui réaliseront des projets de rénovation entre le 27 janvier 2009 et le 1er février 2010. Les projets doivent s’inscrire dans une fourche variant de 1000 à 10 000 dollars.
  19. Lesté par une dette de 3,9 milliardsde dollars, le groupe Canwest a jusqu'à vendredi pour renégocier sa marge de crédit de 300 millions. Pour en lire plus...
  20. La firme de notation de crédit Standard and Poor's prend cette décision en raison de ses rendements «nettement» inférieurs à ceux des autres grandes caisses de retraite canadiennes en 2008, ainsi qu'à une plus grande instabilité au sein de sa haute direction. Pour en lire plus...
  21. SAN FRANCISCO (MarketWatch) -- The credit crunch may only be in its early stages and a bigger contraction in lending in coming months could have "serious implications" for the U.S. economy, Standard & Poor's Rating Services said Friday. While politicians and others have complained that banks aren't lending, the data on credit outstanding credit in the U.S. only tenuously supports this idea, the rating agency said. See related story. "What's behind the apparent difference between perception and reality?" Standard & Poor's credit analyst Tanya Azarchs said. "It may be that, while growth in overall credit was positive through at least third-quarter 2008, it has risen at a slower pace than at any time since 1945 -- far below the 8%-10% rate in most years." Banks are replacing loans as they mature, but there's little net new loan growth, she noted. "That could mean that the slowdown in lending is just an opening act, and a true credit crunch may yet take the stage," Azarchs warned. Banks are making fewer and fewer commitments to lend, and new issues of bonds and securitized assets have slowed to a trickle, the analyst said. "This portends a contraction in total credit available in the coming months," she wrote. "Since this lack of lending may have serious implications for the economy, the U.S. government has been devising policies that would encourage banks to lend." Given such pressure, S&P is focusing more on whether banks are free to make loans they think are prudent and on the health of the overall economy, Azarchs said. http://www.marketwatch.com/news/story/Credit-crunch-may-only-have/story.aspx?guid={4F0DA616-A789-49A7-9EFE-A65C5A0986F9}
  22. Publié le 19 février 2009 à 05h10 | Mis à jour à 05h10 La crise frappe, les PPP vacillent André Noël La Presse Résultat de la crise financière: les projets de partenariat public-privé (PPP) vacillent un peu partout dans le monde, les banques hésitant à consentir des prêts aux entreprises impliquées, sauf à des taux d'intérêt élevés, indique un rapport récent de la firme PriceWaterhouseCoopers. De grandes sociétés étrangères qui participent aux deux consortiums présélectionnés pour construire le Centre hospitalier de l'Université de Montréal en PPP connaissent d'ailleurs des difficultés d'accès au crédit, ce qui pourrait retarder le lancement des appels de propositions, a constaté La Presse. «Les marchés du crédit sont presque à sec», explique Richard Abadie, responsable des infrastructures chez PriceWaterhouseCoopers, une firme bien connue pour son expertise en PPP, dans un rapport intitulé Financement des infrastructures - survivre au resserrement du crédit. «Les prévisions à court terme demeurent sombres. Peu de projets (en PPP) seront conclus. Plusieurs d'entre eux ont déjà été mis sur la glace, ajoute le rapport, publié en décembre. Le crédit bancaire est simplement insuffisant, et inefficace, comme source de financement à long terme (...) Il est naïf de s'attendre à ce que les marchés reviennent aux bas taux de financement obtenus pendant le premier semestre de 2007.» Dans le mode conventionnel, les gouvernements empruntent l'argent pour construire des immeubles ou des infrastructures. Ce modèle domine toujours dans la plupart des pays. Le modèle des PPP a émergé il y a quelques années: une compagnie ou un consortium contracte les emprunts, finance la construction du bâtiment, puis le loue au gouvernement. Les partisans des PPP, comme la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget, soutiennent que le gouvernement transfère les risques financiers à l'entreprise privé en agissant de la sorte. S'il y a un dépassement de coûts dans la construction, c'est l'entreprise qui écope et pas le gouvernement, affirment-ils. Mais avec la crise, les banques hésitent à prêter aux entreprises privées. En revanche, elles n'hésitent pas à prêter aux gouvernements. Les gouvernements obtiennent des taux d'intérêt beaucoup plus bas que les entreprises. Dans ce contexte, la construction revient beaucoup plus chère en PPP qu'en mode conventionnel. Des consortiums se sont engagés dans les PPP en faisant des emprunts à court terme, et en croyant pouvoir se refinancer à des taux d'intérêt relativement bas lorsqu'ils commenceraient à toucher les loyers. Mais aujourd'hui, ils éprouvent beaucoup de difficultés à renouveler leurs emprunts sans augmenter les paiements d'intérêt. «Ils pourraient faire face à des paiements de dette plus élevés que prévus, ou même être incapables de se refinancer», prévient le rapport de PriceWaterhouseCoopers. Le mois dernier, La Presse a révélé que la société australienne Babcock and Brown, membre du consortium Accès Santé CHUM, a vu sa situation se détériorer à un tel point que ses actions ont été suspendues en Bourse. Cette entreprise est aussi membre d'un consortium pour la construction en PPP de la salle de concert de l'Orchestre symphonique de Montréal. Ce n'est pas tout. La société espagnole Acciona, qui s'occupe elle aussi de l'ingénierie financière dans le même consortium pour le CHUM, a un taux d'endettement plutôt inquiétant. Cette firme a également emporté l'appel de propositions pour le prolongement de l'autoroute 30 en mode PPP. «Ce groupe est aujourd'hui aux abois, note le journal financier français Les Échos dans son numéro d'hier. Sous la pression de ses banques, qui s'inquiètent de son endettement, Acciona va sans doute être contraint de céder sa participation (dans un groupe énergétique).» Début février, Acciona s'est elle-même plainte que «le marché (est) complexe, avec un accès très limité au crédit». La société anglaise Innisfree, qui s'occupe de l'ingénierie financière dans le deuxième consortium présélectionné pour le CHUM, vient d'appeler le gouvernement britannique à l'aide pour sauver les PPP au Royaume-Uni, considéré comme le pays-modèle en cette matière par la ministre Jérôme-Forget. Dimanche dernier, Tim Pearson, directeur d'Innisfree et porte-parole du Forum sur les PPP en Grande-Bretagne, a indiqué que les sociétés privées avaient besoin de l'aide de l'État pour assurer le financement qui aurait dû être fourni par des prêts commerciaux. Selon lui, l'État britannique devrait consentir une aide de 4 milliards de livres pour sauver les projets en PPP. Le nombre de contrats en PPP signés en Grande-Bretagne l'année dernière est le plus bas depuis 11 ans. Un contrat pour une route de 11 milles a été signé en janvier 2009, mais la moitié du financement est assurée par une banque du secteur public. John Tizard, directeur du Centre pour les partenariats en services publics de l'Université de Birmingham, affirme que les banques n'ont plus d'argent pour les hôpitaux britanniques en PPP. Il suggère de revenir au mode de construction conventionnel qui, selon lui, se révèle moins coûteux et plus rapide à réaliser. Ici même, au Canada, le vérificateur général de l'Ontario vient de souligner que le premier hôpital construit en PPP dans la province a coûté 50 millions de plus que si le gouvernement l'avait réalisé en mode conventionnel, sans partenaire privé.
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