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https://maps.google.ca/maps?q=7272+clark,+montr%C3%A9al&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.534783,-73.620462&spn=0.00251,0.005681&sll=45.502602,-73.565875&sspn=0.020092,0.045447&t=h&hnear=7272+Rue+Clark,+Montr%C3%A9al,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H2R&z=18&layer=c&cbll=45.534783,-73.620462&panoid=aFTt9TaFFPmqgZCFObE6bg&cbp=12,208.94,,0,-3.82 Au cœur d’un quartier en plein essor, l'Espresso est un immeuble de type loft urbain. Ce bâtiment industriel style art-déco sera entièrement aménagé en copropriétés résidentielles. Localisé à moins de 100 mètres du métro Castelnau, tout près du marché Jean-Talon, Parc Jarry et de la petite Italie, cet immeuble offre un emplacement exceptionnel et sera composé de dix-huit unités (avec ou sans garage). Tous les niveaux seront desservis par un ascenseur. Les plafonds en béton et les colonnes structurales archées offrent un niveau d’insonorisation et un cachet intérieur appréciés d’une clientèle branchée. L'ouverture du bureau des ventes fut officiellement inaugurée avec un grand succès le 17 mars 2012. En date du d'auhourd'hui, 13 unités sur 18 ont été réservées par voie de contrat préliminaire. SVP veuillez contacter le courtier, M. Ghislain Quevillon au 514-220-9149 qui vous guidera rapidement dans le choix des unités restantes selon vos besoins. La plupart des acheteurs apprécient grandement la grande qualité de finition intérieure qui est comprise dans le prix de base ainsi qu'une localisation tout à fait unique. http://condo-ahuntsic-villeray.ca/index.html
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Il semble que depuis la fin 2014, Montréal est en train d'explorer la possibilité de recouvrir l'autoroute Décarie dans le secteur Namur/De la Savane. Il y aurait au moins 2 hypothèses à l'étude. L'étendue de ce potentiel recouvrement n'est pas mentionnée. http://www.seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=1a3f81aa-ccb1-4046-9821-9ffa7f0254e2
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Des femmes exclues d’un chantier à proximité d’une mosquée TVA Nouvelles | Publié le 12 décembre 2017 à 12:59 - Mis à jour le 12 décembre 2017 à 19:57 Le propriétaire de deux mosquées a fait des pressions sur un entrepreneur pour qu’il n’y ait aucune femme sur des chantiers de construction à proximité de ses lieux de culte, le jour de la prière du vendredi. Celui qui possède notamment la mosquée Ahl-Ill Bait, située dans l’arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, à Montréal, a d’abord demandé à l’entrepreneur de ne pas faire de travaux le vendredi pour ne pas nuire au jour de la prière. Cette requête lui a été refusée en raison des retards qui en auraient résulté. Il a ensuite réclamé que les femmes ne soient pas visibles les vendredis sur les chantiers à proximité des deux mosquées. Cette clause est d’ailleurs écrite noir sur blanc dans le contrat signé par l'entrepreneur. La mesure vise cinq femmes, quatre signaleuses et une ingénieure, qui ont dû être réaffectées ailleurs, selon une information obtenue via le compte Facebook de TVA Nouvelles. «En retrait, juste un peu plus loin» «Aujourd’hui, dans la construction, on a beaucoup de femmes, parce qu’on a réussi à les faire rentrer [dans le milieu]», a indiqué Jean-Sébastien Samson, contremaître pour l'entreprise G-Tech, à TVA Nouvelles. M. Samson a mentionné qu’une travailleuse visée par la demande a «travaillé pareil», mais que sa présence a nécessité quelques accommodements. «Elle n’a pas manqué de travail parce qu’elle ne pouvait pas être là, sauf qu’on l’a mise juste en retrait, un peu plus loin», a-t-il expliqué. Pour sa part, le PDG de Map Signalisation n'a pris connaissance de cette exigence que lundi, car il était absent depuis deux semaines. «Je trouvais ça complètement inacceptable», a déclaré Marc-Alexandre Perreault à TVA Nouvelles. Malgré tout, il s'est senti obligé de donner son aval à cette demande. «On m'a dit qu'elle serait en danger si elle travaillait le vendredi. Une fois, elle a été obligée de travailler et elle devait être accompagnée d'un travailleur», a ajouté M. Perreault qui a évoqué des menaces et de l'intimidation. Il maintient que les femmes ont leur place sur les chantiers de construction. «Peu importe, le chantier, peu importe l'endroit, les femmes ont autant le droit de travailler sur n'importe quel chantier», a-t-il insisté. «Inacceptable» La porte-parole de l'opposition officielle en matière de condition féminine, Catherine Fournier, estime qu'il s'agit d'un cas de discrimination. «Ça va à l'encontre de la Charte des droits et libertés du Québec. Moi, je trouve ça totalement inacceptable que la religion serve de prétexte pour violer l'égalité entre les hommes et les femmes», a affirmé la députée Catherine Fournier. Les responsables des mosquées se défendent d'avoir demandé aux entreprises d'empêcher les femmes de travailler sur les chantiers le vendredi et parlent d'un coup monté. «Il y a quelqu'un qui est derrière ça, qui veut du mal à la mosquée. Je ne sais pas, moi», a affirmé l'un d'eux. Le chantier est actif depuis un peu plus d’un mois dans ce secteur de la ville. Les femmes qui y oeuvraient ont été déplacées du site il y a trois semaines. Les collègues des femmes visées songent à perturber la prière de vendredi en organisant une manifestation devant ces mosquées. ********************************************************************************************************************************************************************************* The response of the protagonists when challenged by the female reporter @01:18 is epic. The fact of the matter is for sake of political correctness: women did accept being withdrawn working contracts for fear of not offending those pure believers employers did sign up for dire conditions imposed by way of threats and intimidation this is a harsh reality check depicting the kind of immigrants securing the Certificate de Sélection... though dunno how much of a "selection" was done to come up with such "Quebecois" who contemptibly reply in gibberish English in response to a question clearly formulated in French. So much for Montreal's cowardliness and hypocrisy for not taking a bold stance against obscurantism and legislating accordingly. For several reasons, it's starting to turn into a cocky city that's standing off from the rest of Quebec.
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7/07/2016 Mise à jour: 27 juillet 2016 | 7:21 Vers une refonte des services de taxi à l’aéroport Par Mathias Marchal Métro Vicky Michaud/TC Media Une dizaine de Tesla électriques de Téo Taxi sont présentes à l’aéroport. Certains craignent que la compagnie obtiennent un monopole. Aéroports de Montréal (ADM) annule le tirage au sort qui délivre les permis autorisant les chauffeurs de taxi de prendre des clients à l’aéroport. Des chauffeurs craignent qu’un monopole soit conféré à Téo Taxi, même si l’entreprise se veut rassurante. Chaque année, vers la fin de l’été, ADM coordonne son traditionnel tirage au sort pour octroyer les quelque 325 permis de taxi qui permettent d’accéder au marché de l’aéroport évalué à 90M$ par an. Ces permis sont tellement lucratifs que l’année dernière, 4200 chauffeurs de taxi, soit la quasi-totalité des chauffeurs propriétaires de la région métropolitaine, ont accepté de débourser 25$ pour participer au tirage. Et ce malgré les soupçons de truquage qui planent depuis plusieurs années. Cette année le tirage n’aura pas lieu. «On a informé nos partenaires que les permis actuels étaient prolongés de six mois et se termineront le 30 avril 2017 plutôt que le 30 octobre 2016», indique la porte-parole d’ADM, Marie-Claude Degagné, sans pouvoir en préciser la raison. À ce sujet: L’idée d’une facture officielle dans les taxis progresse Le taxi se trompe de cible dans sa guerre contre Uber Des chauffeurs de taxi en furie contre la volte-face de Jacques Daoust «D’après nos informations, ADM donnerait ensuite le contrat à Téo Taxi qui aura alors terminé son projet pilote», affirme Mouhcine El Meliani, l’instigateur de la grève des chauffeurs de taxi qui a eu lieu en janvier à l’aéroport. Signe que l’industrie peine à parler d’une seule voix, ce dernier compte d’ailleurs quitter le RTAM et ressusciter la Ligue de taxi de Montréal. Dans le cadre du projet pilote commencé en juin, une dizaine de Tesla électriques de Téo Taxi sont déjà présentes à l’aéroport, même si elles n’ont pas été tirées au sort. Cela fait d’ailleurs grincer des dents dans l’industrie. «C’est une rupture du contrat d’exclusivité», affirme même Hassan Kattoua, chauffeur propriétaire, qui craint aussi que Téo Taxi obtienne le juteux contrat de l’aéroport. Lors de la commission parlementaire sur l’avenir du taxi qui s’est tenue cet hiver, Charles Gratton, le vice-président des services commerciaux et immobiliers d’ADM, a indiqué quelle direction suivrait son organisation. «Dès 2017, dans la nouvelle demande de propositions, on veut par exemple aller vers une flotte harmonisée et potentiellement distinctive à l’aéroport», a déclaré M. Gratton en ajoutant que la flotte choisie serait équipée d’une application mobile pour les réservations, les paiements et l’évaluation systématique du service reçu pour chaque course. Pour les chauffeurs interrogés, cette description correspond en tout point à Téo Taxi et ses véhicules électriques, qui arborent tous les mêmes couleurs vert-blanc et qui sont gérés via une application à la fine pointe de la technologie. Du côté de Taxelco, qui gère les Téo Taxi, on indique ne pas être au courant d’un possible monopole. «On travaille actuellement avec ADM pour les convaincre d’optimiser le service, mais on n’est pas dans le secret des dieux. Vous savez, on est la cible de beaucoup de rumeurs, car on est en train de vouloir changer le système», explique Marc Petit, chef de la direction de Taxelco. Ce dernier souligne que le système actuel peut être amélioré, car si tous les chauffeurs de taxi peuvent amener des clients à l’aéroport, seuls ceux qui ont un permis ont la possibilité d’en prendre sur place et de ne pas retourner à vide. Autre conséquence des quotas sur les permis d’aéroport, la flotte actuelle de taxis autorisés ne permet pas de répondre à la demande à l’heure de pointe. «On pourrait s’inspirer de Paris, qui permet aux taxis qui le désirent de repartir avec des clients plutôt qu’à vide moyennant l’achat d’un permis temporaire à l’unité. Ça permettrait à toute l’industrie d’en profiter», conclut M. Petit. 4167 Une fois tiré au sort, le permis spécial de l’aéroport coûte 4167$ pour un an, mais serait parfois revendu autour de 18 000$ ou loué pour 1000$ par semaine. Sent from my SM-T330NU using Tapatalk
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http://www.lapresse.ca/maison/immobilier/conseils/201511/12/01-4920081-achat-sur-plan-au-dela-des-apparences.php Publié le 12 novembre 2015 à 11h23 | Mis à jour le 12 novembre 2015 à 11h23 Achat sur plan: au-delà des apparences Les bureaux des ventes des promoteurs font rêver, avec leurs affiches léchées... Danielle Bonneau La Presse Les bureaux des ventes des promoteurs font rêver, avec leurs affiches léchées et leurs projets plus beaux les uns que les autres. Or, ceux qui achètent un condo sur plan devraient bien se renseigner et prendre certaines précautions. Huit conseils pour éviter les mauvaises surprises. CONNAÎTRE LE PROMOTEUR Mieux vaut vérifier si le promoteur est en règle avec la Régie du bâtiment du Québec (RBQ). On peut consulter le Registre des détenteurs de licence sur le site internet de l'organisme ou téléphoner à la Direction des relations avec la clientèle (1-800-361-0761) pour vérifier si l'entrepreneur fait l'objet de plaintes. Le site de la Société québécoise d'information juridique (SOQUIJ) permet aussi de savoir s'il est un habitué des tribunaux. « Plus on achète d'un promoteur sérieux, plus on a de chances que l'ensemble du projet soit satisfaisant », estime Jan Towarnicki, président du Regroupement des gestionnaires et copropriétaires du Québec (RGCQ). PROFITER D'UN PLAN DE GARANTIE Le plan de garantie administré par l'organisme Garantie de construction résidentielle (GCR) s'applique à tous les bâtiments résidentiels neufs d'un maximum de quatre logements superposés. L'acompte est garanti jusqu'à 50 000 $. Il en est autrement pour les tours d'habitation. Les plans de garantie pour les édifices de plus de quatre logements superposés sont facultatifs. « Lorsque les projets sont accrédités, des vérifications sont faites sur la solvabilité des constructeurs, souligne Me François Forget, président de ScriptaLegal et du regroupement de notaires Jurisconseil. Cela a une certaine valeur. » ÉVALUER LA SUPERFICIE RÉELLE La superficie vendue est approximative, préviennent les promoteurs. Elle est souvent brute, incluant les colonnes et les murs de gypse, précise Me Ludovic Le Draoullec, avocat spécialisé en copropriété. « Des gens qui pensent acheter un condo de 1000 pi2 se retrouvent avec 900 pi2, dit-il. Il y a beaucoup de recours devant les tribunaux pour obtenir une baisse de prix. Selon la jurisprudence, une réduction de superficie d'environ 10 % doit être absorbée par le consommateur. Si les acheteurs tiennent à un minimum de pieds carrés, ils doivent clairement l'indiquer dans le contrat préliminaire. » LIRE ATTENTIVEMENT LA NOTE D'INFORMATION Dès qu'un immeuble en copropriété comprend au moins 10 condos, le promoteur doit fournir une note d'information à la signature du contrat préliminaire, avec les noms de l'architecte, de l'ingénieur, du constructeur et du promoteur. La note d'information renferme aussi la description des parties communes ainsi qu'une copie ou un résumé de la déclaration de copropriété, même à l'état d'ébauche. « On peut y voir si les animaux sont interdits et si la location à court terme est permise, précise Me Le Draoullec. Il faut le savoir si on a un chien et qu'on recherche un environnement stable et paisible. » AVOIR LES MOYENS D'ACHETER Le budget prévisionnel, détaillé dans la note d'information, prévoit les sommes requises pour la bonne marche de la copropriété. Le promoteur s'en sert pour évaluer les charges mensuelles de copropriété. Or, celles-ci sont souvent trop basses, constate Me Le Draoullec. « Une fois l'immeuble construit, le budget devra être indexé, dit-il. Aucune soumission, par ailleurs, n'a été effectuée. Il arrive souvent que le budget ait doublé lorsque le promoteur effectue le transfert de l'administration provisoire au nouveau conseil d'administration. Il faut être en mesure de payer plus que ce que le budget initial prévoit. » BIEN CHOISIR LE CONDO La vue n'est pas le seul critère à considérer pour choisir un condo. Il faut regarder ce qui se trouve au-dessus et en dessous, ainsi que sur le même étage, fait remarquer Jan Towarnicki, du RGCQ. « Si on achète au-dessus de la porte d'entrée, on risque d'être dérangé par les livreurs, dit-il. Si on est au-dessus de la porte de garage ou près d'équipement mécanique important, comme l'ascenseur, on risque d'entendre du bruit. En regardant la dernière version des plans d'architecture, on peut être fixé. » La proximité des espaces communs (piscine, salon, etc.) peut être un autre élément à garder à l'oeil. NE PAS SE GÊNER Quand ils s'engagent à acquérir un condo qui n'est pas encore construit, les acheteurs signent un contrat préliminaire. Ce dernier s'avère souvent un modèle, que les consommateurs n'osent pas amender, constate Ludovic Le Draoullec, avocat spécialisé en copropriété au sein du cabinet De Grandpré Joli-Coeur. Or, des modifications peuvent être apportées pour refléter la volonté des deux parties. « Si l'acheteur considère que certains éléments promis sont essentiels, comme l'acceptation des gros chiens, la présence d'un ascenseur ou d'une piscine sur le toit, ça devrait transparaître dans le contrat signé. Ça peut aller jusqu'à l'ajout d'une annexe pour préciser les incontournables, qui ont influencé la décision d'acheter. » PRÉVOIR UN RETARD Les imprévus sont fréquents. Plus l'immeuble est de grande envergure, plus le nombre minimum de ventes requis avant d'entamer la construction est important, et plus il y a de chances d'avoir un délai, indique Jason Lemire, de l'agence immobilière Majordome, qui se consacre aux acheteurs de constructions neuves. Mieux vaut ne pas s'empresser de vendre sa maison et d'entreposer ses effets, renchérit Me Le Draoullec. « Avant d'engager des frais de relocalisation, il faut toujours être en contact avec le promoteur pour voir si la date fixée est réaliste. » DE NOMBREUSES CHOSES À SAVOIR Il faut surtout éviter d'acheter un condo sur plan sous le coup de l'émotion. Afin de prendre une décision éclairée, de nombreux outils sont offerts. Comme le livre Achat et vente d'un condo, tout ce qu'il faut savoir, de Me Yves Joli-Coeur (éditions Wilson & Lafleur). Très facile à lire, il invite les lecteurs à la prudence. Le site ScriptaLegal a par ailleurs mis en ligne le mois dernier son Guide pour un achat immobilier. En répondant à des questions pertinentes, celui-ci veut aider les futurs acheteurs à se familiariser avec chacune des étapes de l'achat sur plan. Ils seront ainsi mieux préparés. 5000 Nombre estimé de condos vendus majoritairement sur plan en 2015 dans la grande région de Montréal. Ceux-ci auront été achetés à l'étape de la prévente (avant le début de la construction) ou quand les travaux viennent de débuter, indique Mathieu Collette, directeur des études de marché du condo au sein du Groupe Altus. Ce chiffre inclut aussi une certaine quantité d'appartements neufs dans des immeubles récemment construits. 50 à 65 % Proportion de condos qui doivent habituellement être vendus avant que le promoteur puisse obtenir son financement et entreprendre la construction. Les prix fluctuent. Ceux qui s'inscrivent sur une liste et réservent un appartement avant que le projet soit officiellement mis en marché bénéficient d'un rabais. Puis, les prix tendent à augmenter lorsque la construction commence. De bonnes occasions peuvent aussi se présenter à la fin, lorsque l'immeuble est terminé et que le promoteur détient des unités depuis un certain temps. Il veut passer à autre chose.
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Il en avait été questions il y a plusieurs mois et je croyais que la ville avait finalement abandonnée l'idée... mais voilà qu'on en jase à l'Hôtel de ville : Merci à IluvMTL 20.20 Contrat de services professionnels CA Bureau du directeur d'arrondissement - 1131145005 Accorder un contrat de services professionnels de 285 425,44 $ à Affleck de la Riva architectes pour l'aménagement du square Cabot et autoriser une dépense maximale de 342 510,53 $ (appel d'offres public VMP-13-026- 6 soumissionnaires) District(s) : Peter-McGill
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Finie la publicité autour des ponts jacques-cartier et champlain
un sujet a posté IluvMTL dans L'actualité
http://plus.lapresse.ca/screens/7992de4d-86f0-4616-a516-01b02755de55%7C071LNV8SZNGj.html Envoyer par Courriel ACTUALITÉS FINIE LA PUBLICITÉ AUTOUR DES PONTS JACQUES-CARTIER ET CHAMPLAIN BRUNO BISSON LA PRESSE La vue offerte aux automobilistes sur les berges du fleuve Saint-Laurent va s’embellir, au cours des prochains mois, avec la disparition des 29 immenses panneaux publicitaires bordant le pont Jacques-Cartier, l’autoroute Bonaventure et l’ensemble du corridor fédéral du pont Champlain. La société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain (PJCCI), qui gère les infrastructures fédérales de transport dans la grande région de Montréal, a décidé de ne pas renouveler son contrat d’affichage de 15 ans avec la firme CBS Affichage (aujourd’hui Outfront Media) et de faire démanteler ces « super-panneaux » qui gâchent la vue, qui enfreignent la loi québécoise sur la publicité le long des routes, et dont la présence devenait de plus en plus encombrante pour les chantiers routiers. Ces panneaux rapportaient chaque mois plus de 280 000 $ à la société fédérale, selon la directrice des communications de PJCCI, Julie Paquet. Lorsque le contrat de 15 ans a expiré, le 31 mai dernier, la société a envisagé de lancer un appel d’offres, mais a estimé que le jeu n’en valait pas la chandelle, et ce, pour diverses raisons. La majorité des revenus publicitaires de ces panneaux provenait des 17 panneaux du corridor du pont Champlain qui rapportaient environ 200 000 $ par mois, selon Mme Paquet. Or la propriété de ce corridor fédéral a été récemment transférée à Infrastructure Canada, en vue de la construction du nouveau pont Champlain. Les 12 autres panneaux situés en bordure du pont Jacques-Cartier et de l’autoroute Bonaventure rapportaient quant à eux 83 771 $ par mois, lorsque le contrat a expiré, dit Mme Paquet. PANNEAUX DÉMOLIS Toutefois, en raison des importants chantiers de réfection déjà en cours, et qui vont durer plusieurs années, la présence des imposantes structures de soutien de ces panneaux posait de plus en plus souvent des problèmes. Enfin, souligne Mme Paquet, ces panneaux ne respectaient pas la Loi québécoise sur la publicité le long des routes, qui exige qu’ils soient situés à au moins 300 mètres du pont – ce qui est loin d’être le cas des deux côtés du pont Jacques-Cartier. Le 1er juin, toutes les publicités devaient être retirées des panneaux publicitaires du pont et de l’autoroute Bonaventure. Ils devront rester blancs jusqu’à leur démantèlement et à la démolition des structures de support, prévus d’ici un maximum de trois mois. sent via Tapatalk- 13 réponses
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Remboursement et annulation d'un contrat de vente - condo
un sujet a posté DOMZE dans Discussions générales
Bonjour, J'ai une question concernant le contrat de vente d'un nouveau condo. Il y a une date de livraison inscrite sur le contrat de vente. Le projet n'a pas encore démarré. Au minimum un projet prend environ 1 an à se construire (avec stationnement sous terrain et tout le kit). Si 1 an jour pour jour le projet n'a pas encore été démarré, quel sont mes recours pour annuler mon contrat de vente si je veux me retirer? Merci!- 4 réponses
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Le Québec exprime depuis plusieurs décennies son insatisfaction dans l'accord constitutionnel, que l'on pourrait comparer par analogie à un contrat de mariage. Pire en fait, car ce fut un mariage arrangé et non d'amour mutuel. Donc les liens qui relient les deux partenaires n'ont jamais vraiment eu le côté émotionnel nécessaire pour en faire une véritable union heureuse et consommée, cela à aucun moment de son histoire. On pourrait au mieux parler de tolérance. Dans la vie de tous les jours le divorce est devenu monnaie courante. Il ne fait plus vraiment peur et représente le plus souvent la décision la plus raisonnable, pour le bien-être et la sérénité des deux protagonistes. On peut aussi développer d'autres types d'ententes qui peuvent favoriser un meilleur partage des droits et responsabilités, tout en reconnaissant le mérite de conserver des liens plus proches et mutuellement profitables. Dans aucun cas cependant il est justifié de préserver le statu quo, car l'insatisfaction si elle n'est pas répondue de manière adéquate, risque de conduire à des actions unilatérales qui pourraient être dommageables à tout le monde. Alors je pose la question puisqu'on est dans un fil de sondage: Si un des deux partenaires n'est plus satisfait de son union avec son conjoint, que doit faire ce dernier? 1 -Ignorer la partie demanderesse et faire comme si rien n'était, en espérant que ça passe. 2- Reconnaitre l'insatisfaction de l'autre mais exprimer son incapacité à y répondre convenablement. 3- Tenter de négocier des accommodements afin de préserver l'union. 4- Soumettre la partie demanderesse à sa volonté et lui imposer sa solution ou sa vision, quitte a conduire à un divorce déchirant. La situation du Québec et du Canada est exactement face ce genre de dilemme. On n'en fera jamais une histoire d'amour, car le désir pour l'autre n'est basé que sur du matériel et son partage plus ou moins équitable, selon les versions de chacun. Une chose est cependant indéniable: le désir d'autonomie et d'émancipation ne peut pas être refoulé de la part de la partie qui se sent étouffée par le poids du couple. Néanmoins cette dernière pourrait, comme dans les bons vieux couples d'habitudes, reprendre une partie de sa liberté tout en respectant un contrat moins exigeant et dans lequel chacun pourra y trouver son compte. On est ici dans une simple logique qui ne demande qu'une part de sensibilité et d'ouverture. Seuls les noms changent, mais la ressemblance avec la réalité est voulue et intentionnelle. D'autres couples sont passés par les mêmes difficultés, certaines unions ont eu un dénouement difficile, d'autres plus heureux, mais l'issue dans tous les cas a nécessité des actions courageuses et appropriées. Saurons-nous faire partie des chanceux qui auront compris à temps, que les problèmes doivent être réglés avant qu'il ne deviennent pratiquement ingérables? Qu'aucune situation n'est permanente, que tout est mouvement, change et se transforme dans une dynamique qui va du plus petit au plus grand dans l'univers. Lorsque certaines parties refusent cette loi implacable de l'évolution du monde, elles disparaissent ou sont brisées par leur propre inertie. Le Canada vit des problèmes internes parce qu'il refuse de s'adapter aux changements qui se présentent naturellement à lui. Aura-t-il la sagesse de sortir de sa sclérose, ou sera-t-il amputé d'un membre qui ne peut s'empêcher de bouger? La question est posée, j'attends vos réponses.
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http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/03/12/001-cae-contrats-formation.shtml
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Le maire Vaillancourt touchait 2,5% des contrats à Laval
un sujet a posté cjb dans Discussions générales
http://www.lapresse.ca/actualites/dossiers/commission-charbonneau/201210/15/01-4583463-zambito-le-maire-vaillancourt-touchait-25-des-contrats-a-laval.php L'administration du maire de Laval, Gilles Vaillancourt, touchait 2,5% du montant des contrats octroyés à un cercle d'entreprises en construction, selon l'ex-entrepreneur Lino Zambito qui témoigne devant la commission Charbonneau. «À Laval, c'était clair, il y avait une ''cut'' de 2,5% que les entrepreneurs donnaient au maire de Laval, M. Vaillancourt, par le biais d'un intermédiaire», a déclaré M. Zambito. L'homme a poursuivi ce matin son témoignage devant la Commission en abordant l'octroi des contrats à Laval. L'ex-entrepreneur dit avoir rapidement réalisé après avoir fondé sa compagnie, Infrabec, qu'un cercle fermé d'entrepreneurs obtenait la majorité des contrats de construction sur l'île Jésus. Le cercle d'entreprises obtenant la quasi-totalité des contrats était composé des entreprises Construction Louisbourg, Poly Excavation, Nepcon, Mergad, Timberstone, Giuliani, Sintra division Laval, Gilles Dufresne Asphalte, Jocelyn DufresneInc. Plusieurs d'entre elles ont été perquisitionnées la semaine dernière, alors que la commission Charbonneau et le témoignage de Lino Zambito prenaient une pause. Il a fréquemment reçu des appels de ces entrepreneurs pour lui demander de «se tasser». Lino Zambito dit avoir accepté, mais avoir démontré son intérêt pour lui aussi décrocher descontrats en échange de sa collaboration. En 2002 ou 2003, on invite l'ex-entrepreneur à se rendre à l'ouverture d'un nouveau magasin à Dollard-des-Ormeaux appartenant à la famille de Gilles Vaillancourt. Le maire de Laval est présent et rencontre Lino Zambito à la fin de l'inauguration. Il lui aurait alors dit : «Ta job, ton contrat s'en vient sous peu. Les gars vont te dire lequel.» Peu de temps après, il était informé qu'il obtenait le contrat pour un projet sur le boulevard Cléroux. Lino Zambito dit vite avoir déchanté, le chantier ayant présenté plusieurs imprévus. L'ex-entrepreneur affirme avoir réalisé pour 400 000$ de travaux supplémentaires au contrat. Pour obtenir paiement, il affirme avoir eu à verser un pot-de-vin de 25 000$ au maire Vaillancourt. L'argent n'a pas été versé directement au politicien, mais à l'aide d'un intermédiaire, Marc Gendron de la firme de génie Tecsult. Le témoignage de M. Zambito se poursuit à 14h. On se penche sur le ministère des Transports. -
Un complexe hôtelier de 120M$ sera construit à Montréal-Trudeau Mise en ligne 15/06/2006 10h29 Mise à jour 15/06/2006 12h01 Aéroports de Montréal a confié à un consortium formé de Groupe Axor, de Marriott International (MAR) et d'un investisseur institutionnel le projet de 120M$ visant la construction d'un hôtel de 275 chambres et la relocalisation du secteur des départs transfrontaliers à l'aéroport Montréal-Trudeau. ADM a précisé jeudi en dévoilant les détails du projet que le contrat a été accordé au terme d'un appel de propositions lancé en décembre dernier dans le cadre duquel six consortiums avaient été invités à soumettre des propositions, rapporte la Presse Canadienne. Le consortium retenu, appelé Société en commandite Adamax Immobilier, assurera le financement intégral, la conception, la réalisation, l'opération et l'entretien de l'établissement hôtelier, qui sera érigé à proximité de la jetée transfrontalière et qui aura sa propre rampe d'accès. L'hôtel, qui arborera la bannière Marriott, devrait ouvrir ses portes à l'été de 2008. En vertu du contrat, Adamax aura à construire certains ouvrages qui seront intégrés dans la structure de l'hôtel, à savoir l'enveloppe du futur hall des départs transfrontaliers, qui occupera les deux premiers niveaux de l'immeuble, de même que l'enveloppe de la future gare ferroviaire de Montréal-Trudeau, localisée sous l'hôtel. De plus, Adamax financera, construira et louera à Aéroports de Montréal un étage additionnel pour abriter ses bureaux administratifs, qui se trouvent actuellement au centre-ville. ADM a précisé qu'environ 60M$ des 120M$ du projet seront assumés par le consortium pour la réalisation de l'hôtel et du siège social d'Aéroports de Montréal et que, de son côté, elle investira l'autre portion de 60M$ pour les ouvrages reliés au secteur des départs transfrontaliers et à la gare ferroviaire.
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Compteurs d'eau: le vérificateur enquêtera Jeanne Corriveau Édition du mardi 07 avril 2009 L'administration Tremblay veut savoir si Montréal paye trop cher Incapable d'étouffer la controverse entourant les compteurs d'eau, le maire Gérald Tremblay a décidé de confier le dossier au vérificateur général de la Ville afin qu'il examine le processus ayant mené à l'octroi du contrat de 355 millions de dollars au consortium Génieau. Il dit souhaiter que la lumière soit faite sur les allégations d'irrégularités soulevées récemment. La Ville de Montréal a-t-elle payé trop cher l'installation des compteurs d'eau dans les entreprises et les institutions? Les règles d'octroi du contrat ont-elles été respectées? Ce sont des questions sur lesquelles le vérificateur général pourra se pencher. Interpellé sur la question des compteurs d'eau à l'occasion d'une conférence de presse sur les infrastructures tenue en compagnie du premier ministre Jean Charest hier après-midi, le maire Tremblay a fait savoir qu'il ferait appel au vérificateur général. Dans son édition de samedi, La Presse rapportait les propos du directeur général de la firme Master Meter Canada Inc., Jean-Claude Lauret, qui soutenait que ce contrat aurait dû coûter autour de 200 millions, soit 155 millions de moins que le prix obtenu par la Ville. Montréal paiera 355 millions pour l'installation et l'entretien de 32 000 compteurs d'eau pendant 15 ans et pour la construction d'un système de contrôle dans son réseau de distribution. De son côté, Toronto installera 72 000 compteurs pour la somme de 219 millions. Le maire Tremblay a indiqué que tous les détails du dossier seraient transmis au vérificateur général. «Lorsque je serai en possession de toute cette information, j'ai l'intention de la remettre au vérificateur général pour qu'il fasse les vérifications nécessaires. Il a le plein pouvoir pour le faire», a-t-il dit. «On a la responsabilité comme gestionnaire responsable et imputable de faire la lumière sur des allégations d'irrégularités ou encore sur des allégations selon lesquelles il y aurait eu un écart de 155 millions de dollars, a-t-il poursuivi. Nous allons le faire dans les plus brefs délais.» Le cas Zampino Ce sera au vérificateur de déterminer quels éléments il souhaite examiner, car, outre les coûts du projet et les procédures d'octroi du contrat, le dossier des compteurs d'eau soulève des questions sur la conduite de Frank Zampino, ex-président du comité exécutif, et sur une apparence de conflit d'intérêts. Rappelons qu'à deux reprises, M. Zampino a effectué un voyage sur le bateau de l'un des soumissionnaires et ami de longue date, Tony Accurso. Son premier voyage remonte à janvier 2007, soit quelques semaines après la qualification des soumissionnaires et avant que la Ville n'arrête son choix sur le consortium Génieau formé des entreprises Simard-Beaudry, propriété de Tony Accurso, et Dessau, qui a embauché Frank Zampino en 2008. Au cabinet du maire, on indique toutefois que les pouvoirs du vérificateur général se limitent à l'examen de la conformité aux lois, aux règlements, aux politiques et aux directives en vigueur. Ce sera donc au vérificateur de juger s'il est en mesure de se prononcer sur un possible conflit d'intérêts dans ce dossier. En fin d'après-midi, à l'hôtel de ville, le directeur adjoint du Service des transports, des infrastructures et de l'environnement, Gilles Robillard, a tenté de démontrer que le coût du contrat accordé à Génieau n'était pas prohibitif. Avant de lancer le processus d'octroi de contrat, le bureau de projet de la Ville s'est associé à la firme BPR pour faire une évaluation préliminaire des coûts à la lumière de données provenant de fournisseurs de compteurs d'eau et d'entrepreneurs en construction. Pour le premier volet du projet, soit l'installation de 32 000 compteurs d'eau, cette évaluation s'élevait à 106,8 millions, alors que pour la construction des chambres de vannes, l'estimation se chiffrait à 214 millions. C'est ainsi qu'une soumission témoin a pu être élaborée. Or, l'écart entre la soumission retenue et cette soumission témoin n'est que de 2 %, a précisé M. Robillard. Quant aux comparaisons établies avec Toronto, M. Robillard a soutenu que le contrat consenti par Montréal était beaucoup plus complexe. À Toronto, il s'agit essentiellement de remplacer 72 000 compteurs qui sont déjà installés, a-t-il soutenu, alors qu'à Montréal, on installe 32 000 compteurs dans des entreprises et institutions qui n'en sont pas dotées à l'heure actuelle. «Dans notre cas, il y a des mesures d'accompagnement auprès des propriétaires, la mise en place d'un système d'information, un suivi qu'il faudra faire sur une période de 25 ans en plus de l'installation des compteurs. On est relativement confiants que les données de Toronto et celles de Montréal sont similaires et que le prix obtenu correspond au marché», a-t-il expliqué. Ainsi, chaque compteur installé à Montréal coûtera 3337 $ alors qu'à Toronto, le montant s'élève à 3041 $, a-t-il précisé. Trois firmes avaient soumissionné ce contrat, le plus important jamais octroyé par la Ville, soit Génieau, Catania Groupe SM, à 395 millions, et le consortium réunissant SNC-Lavalin, Suez Environnement et Gaz Métro, qui a finalement retiré sa proposition, alléguant que les délais imposés pour déposer une soumission étaient trop serrés. La tourmente entourant l'octroi du contrat à Génieau a par ailleurs relancé le débat sur l'éthique à l'Hôtel de Ville. Comme aucun code d'éthique n'a été entériné par le conseil municipal, les élus montréalais doivent, à l'instar de leurs collègues des autres villes du Québec, se soumettre aux dispositions de la Loi sur les élections et les référendums dans les municipalités et à celles de la Loi sur les cités et villes. La semaine dernière, le chef de l'opposition, Benoit Labonté, avait réclamé que la Ville se dote d'un commissaire à l'éthique et qu'elle adopte un code de conduite contraignant pour ses élus.
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Montréal, le 16 avril 2010 - Le maire de Montréal et président du comité exécutif, M. Gérald Tremblay, présente un compte rendu des principales décisions prises par le comité exécutif (CE) lors de la séance du mercredi 14 avril 2010. Affaires contractuelles À cette occasion, les élus du comité exécutif ont approuvé des dossiers concernant les affaires contractuelles de la Ville de Montréal, dont : • un contrat de 442 990 $ à Fonderie Bibby Sainte-Croix pour la fourniture des grilles de caniveaux dans le secteur de la Place des Arts du Quartier des spectacles. Ces grilles viendront assurer la sécurité des cyclistes et des piétons et contribueront à développer une signature distinctive pour le Quartier des spectacles. Il s'agit d'un pas de plus dans le développement de ce projet phare pour Montréal. • un contrat de 591 719 $ à Ambidex pour la réalisation de services généraux de design muséographiques, de la fabrication et l'installation de l'aire d'Exposition permanente de l'Insectarium. Ce contrat aboutira sur une nouvelle exposition permanente à l'Insectarium qui est déjà une figure de proue dans le domaine muséologique. Cette nouvelle exposition utilisera le mobilier existant tout en modifiant l'éclairage et en réaménageant les espaces actuels. • un contrat de 191 799 $ à Prisme 3 inc. pour le remplacement des outils d'interprétation du Biodôme. Le remplacement des outils d'interprétation est devenu nécessaire afin de s'adapter aux nouvelles réalités technologiques. La volonté de l'Administration d'offrir des équipements de qualité amènera les Muséums Nature à se démarquer davantage parmi les autres musées de ce genre. Les outils actuels ont 17 ans d'âge et sont désuets. • un contrat de 997 200 $ aux Entreprises QMD pour le remplacement et la modification des garde-corps, le réaménagement des éco transits et l'installation de bornes interactives au Biodôme. Ce contrat s'inscrit dans les efforts de l'Administration de moderniser ses équipements scientifiques. Les nouveaux garde-corps de la forêt tropicale et les bornes interactives à écrans tactiles sont des exemples concrets de cette modernisation. • un contrat de 592 012 $ à Troc-Chaînes pour les travaux de sécurisation de la falaise au périmètre du réservoir Vincent-d'Indy. La sécurisation de la falaise préviendra toute chute de roche qui pourrait endommager le réservoir ou blesser quelqu'un. Ces travaux sont préalables à la construction d'un terrain de soccer synthétique qui viendra répondre aux besoins et aux attentes des adeptes de ce sport. • un contrat de 4 050 886 $ aux Installations électriques Pichette pour la réalisation des travaux de réfection et de modernisation de distribution électrique du secteur de la filtration à l'usine Atwater. Ces travaux viendront raccorder les nouveaux systèmes de désinfection avec du nouveau filage et de nouvelles boîtes de fusibles assurant ainsi une meilleure sécurité. Le montant total accordé pour ces travaux est de 27% inférieur aux estimations de la Ville de Montréal. • l'approbation d'un accord de développement entre la Ville de Montréal et DEVIMCO pour la réalisation de la phase 1 du nouveau projet Griffintown. Il s'agit d'une excellente nouvelle pour Montréal qui voit un projet économique, commercial et résidentiel d'envergure se réaliser. • l'abrogation d'une résolution afin d'approuver un projet d'acte avec l'OBNL Ma Maison Mon Toit à des fins de construction résidentielle dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce. La vente de ce terrain est conforme à la politique de cession de terrain à des fins de logements sociaux. Ce projet permettra la construction de plus de 29 logements sociaux dans un secteur de la Ville à proximité des transports collectifs. • divers soutiens financiers à même l'Entente avec le ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale pour la lutte à la pauvreté et à l'exclusion sociale. Ainsi, Jeunesse au Soleil, Moisson Montréal, Répit-Providence, les Magasins-Partage, Intégration Jeunesse, le Dispensaire diététique le Regroupement des cuisines collectives et Cybercap et AlterGo se partageront plus de 1 M$ pour venir en aide aux plus démunis de la société. • d'autres soutiens financiers, mais cette fois à même le budget de la Ville de Montréal afin de venir en aide aux moins nantis. Ainsi, AlterGo recevra des sommes additionnelles pour organiser toutes les activités en matière d'accompagnement en loisirs. Administration et finances Également, les membres du CE ont adopté des dossiers portant sur : • une autorisation à la direction des affaires institutionnelles à payer la somme de 12 546 euros représentant la cotisation 2010 de la Ville de Montréal à Métropolis et à CGLU. La Ville de Montréal y joue un rôle très important et y consolide ses liens avec les autres grandes villes du monde. • l'autorisation d'une dépense de 105 491$ pour la rétention de services professionnels pour procéder à une étude de l'aménagement d'un lien cyclable sur le boulevard des Galeries d'Anjou. La Ville profitera des travaux effectués par le ministère des Transports du Québec sur le pont d'étagement pour y installer une piste cyclable. Il s'agit d'un autre projet qui vient confirmer le choix de l'Administration en faveur du transport collectif et actif. Réglementation Par la suite, les membres du CE ont adopté des dossiers portant sur : • l'adoption d'un règlement autorisant un emprunt de 30 millions de dollars afin de financer les travaux d'aménagement et de réaménagement du domaine public, incluant les travaux d'infrastructures et l'acquisition d'immeubles et de mobilier urbain dans le cadre du projet Griffintown – secteur Peel-Wellington. • l'adoption d'un règlement modifiant le règlement sur la salubrité, l'entretien et la sécurité des logements. L'Administration en a également profité pour adopter les mesures de renforcement de l'application de la réglementation en matière de salubrité respectant ainsi son engagement envers les locataires aux prises avec des propriétaires récalcitrants. L'Administration est donc conséquente avec le principe de tolérance zéro face à l'insalubrité. • La nomination de la salle multifonctionnelle Iro-Valaskakis-Tembeck en hommage à cette femme de tête et de cœur qui a marqué l'histoire de la danse et des arts à Montréal. Cette salle sera située dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce.
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Par Radio-Canada, http://www.radio-canada.ca, Mis à jour le: 11 mars 2010 07:01 Hydro-Québec - Le Vermont veut renouveler son contrat La corporation américaine Green Mountain Power, du Vermont, serait sur le point d'annoncer une nouvelle entente avec la société d'État québécoise, selon plusieurs médias américains. Hydro-Québec - Le Vermont veut renouveler son contrat La corporation américaine Green Mountain Power, du Vermont, serait sur le point de conclure une nouvelle entente avec Hydro-Québec pour l'achat d'électricité, selon des médias américains. Le porte-parole de l'entreprise américaine, Robert Dostis, a précisé qu'une annonce officielle sera faite jeudi. Des représentants de Green Mountain Power et de Central Vermont Public Service Corporation sont à Québec depuis mercredi, rapportent des médias américains. Les négociations auraient commencé il y a plus d'un an. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, doit rencontrer son homologue du Vermont, le gouverneur James H. Douglas, jeudi. Une « annonce en matière d'énergie » est d'ailleurs prévue au programme de M. Charest, notamment avec le PDG d'Hydro-Québec, Thierry Vandal. « Nous renégocions un contrat [en vigueur depuis] 20 ans, ce qui est un gros accord pour les deux parties », a confirmé M. Charest dans une interview avec une chaîne de télévision américaine mercredi soir. Un fournisseur pourrait disparaître Le Vermont est déjà un client d'Hydro-Québec. Il achète environ le tiers de son électricité à la société d'État, soit environ 310 mégawatts à 6,5 ¢US le kilowattheure, selon le Rutland Herald. Outre Hydro-Québec, la Vermont Yankee Nuclear Power Station fournit un autre tiers de l'électricité à cet État américain. Mais le sénat du Vermont a récemment voté la fermeture de cette centrale, dont la licence expire en 2012. Quant au contrat avec Hydro-Québec, il se termine en 2015. Le représentant démocrate Tony Klein a déclaré que cette entente était « extrêmement importante » pour le Vermont. « C'est une grande source fiable d'énergie sans émission de carbone », a-t-il ajouté. Il s'attend à une extension du contrat de 10 ans, voire 20. M. Klein tente de faire passer une loi qui accorderait le qualificatif de renouvelable à l'hydroélectricité québécoise, à condition qu'Hydro-Québec s'engage pour 10 ans ou plus, selon la radio publique du Vermont. Radio-Canada.ca avec Associated Press
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Déjà une facture de 4 millions $ L’annulation du contrat va coûter cher aux Montréalais Agence QMI Julie Charette 23/09/2009 20h16 Avant même la présentation par le consortium GÉNIeau de la note finale pour l'annulation du contrat des compteurs d'eau, la Ville de Montréal devra d'ores et déjà débourser près de 4 millions $. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a fait rouler hier deux têtes après l'annulation du contrat de 356 millions$, une décision qui coûtera à elle seule près de 427 000$ à la Ville. Les contrats de travail du directeur général, Claude Léger, et du directeur des affaires corporatives, Robert de Linval, ont ainsi été immédiatement résilié. Ces deux cadres auront toutefois droit à des indemnités de départ correspondant à 12 mois de salaire. Claude Léger touchera donc 244 494$ tandis que Robert de Linval empochera 182 070$ pour un total de 426 564$. Pénalité de 3,5 millions $ À ce montant de 426 564$, il faut aussi ajouter une pénalité de 1% en cas d’annulation, soit 3,5 millions$, incluse dans le contrat avec GÉNIeau. La Ville devra aussi vraisemblablement payer pour certains des travaux déjà réalisés par GÉNIeau. Le consortium a d’ailleurs indiqué mardi par voie de communiqué mardi qu’il évaluera dans les prochaines semaines «les conséquences financières qui résulteront de la terminaison du contrat». Nouvelle directrice générale Dans la foulée du départ de Claude Léger, le maire Tremblay a confié à la directrice générale adjointe, Rachel Laperrière, le poste de directrice générale par intérim. Le Service du capital humain de la Ville a déjà été chargé de pourvoir aux postes de directeur général et de directeur des affaires corporatives. Le poste de directeur général doit toutefois être entériné par le conseil municipal. Première femme directrice générale de la Ville de Montréal, Rachel Laperrière était auparavant responsable des parcs, des loisirs, des espaces verts, du Biodôme et du Jardin botanique.
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Rénovations à l'hôtel de ville: la SQ ouvre une enquête
un sujet a posté ErickMontreal dans L'actualité
Publié le 15 juin 2009 à 23h40 | Mis à jour le 15 juin 2009 à 23h50 Rénovations à l'hôtel de ville: la SQ ouvre une enquête André Noël La Presse La Sûreté du Québec a ouvert une enquête sur une possible tentative d'extorsion et de corruption par un membre important du crime organisé et portant sur un contrat de 10,6 millions pour la réfection du toit de l'hôtel de ville de Montréal, a appris La Presse. L'entrepreneur qui a obtenu le contrat, Paul Sauvé, affirme qu'un membre d'une famille connue de la mafia lui a demandé 40 000 $, une somme selon lui destinée à deux élus du parti du maire Gérald Tremblay, Union Montréal. En échange de l'argent, M. Sauvé a compris qu'il obtiendrait l'assurance que son entreprise, L.M. Sauvé, pourrait continuer à travailler sur le chantier et à être payée par la Ville tous les mois, tel que convenu, et ce même si L.M. Sauvé était en situation de faillite. Il a rapporté cet incident à une réunion de chantier à l'hôtel de ville à la mi-mars. L'administration du maire Gérald Tremblay a immédiatement alerté le Service de police de Montréal. «Les allégations de M. Sauvé ont été portées à notre attention, a dit Jean Racicot, responsable des relations avec les médias à l'hôtel de ville. Nous ne ferons aucun autre commentaire. Nous avons transmis le dossier à la police de Montréal.» À son tour, le Service de police de la Ville de Montréal a transmis le dossier à la Sûreté du Québec. La SQ n'a voulu faire aucune déclaration à ce sujet. Mais, dans les faits, elle mène bel et bien une enquête, a indiqué un de ses agents, sous le couvert de l'anonymat. Des enquêteurs ont rencontré M. Sauvé. «Il y a des choses qui vont probablement aboutir, a confié l'agent. Le problème, c'est que ce gars-là (M. Sauvé) ressemble à du naphte : il se répand d'un bord et de l'autre. Mais c'est clair qu'on enquête.» Cinquième enquête Il s'agit de la cinquième enquête de la SQ sur des contrats octroyés par l'administration du maire Gérald Tremblay. La première a abouti à la condamnation de deux conseillers et du directeur général de l'arrondissement de Saint-Laurent en 2004. La deuxième porte sur un contrat pour la construction du centre intergénérationnel à Outremont; la troisième sur des contrats en informatique octroyés en échange de pots-de-vin. La quatrième a été déclenchée par une plainte du vérificateur général de la Ville et porte sur des transactions de la Société d'habitation et de développement de Montréal. La SQ enquête par ailleurs sur l'infiltration du crime organisé dans la construction. Pourquoi un membre de la mafia aurait-il demandé 40 000$ à un entrepreneur pour remettre cet argent, en tout ou en partie, à des conseillers municipaux? «On m'a fait comprendre que si je faisais ce versement, on me laisserait en paix», a répondu M. Sauvé au cours d'un long entretien avec La Presse. L'homme d'affaires soutient avoir eu maille à partir avec le crime organisé depuis plusieurs mois. Une de ses grues a brûlé et un contremaître l'a menacé de mort, dit-il. Des clients tardent à le payer, si bien qu'il doit lui-même retarder les paiements à ses fournisseurs et à ses sous-traitants, ajoute-t-il. Quand il a révélé la tentative d'extorsion à la réunion de chantier, l'administration municipale menaçait de l'expulser du chantier, en raison de ses difficultés financières, et de faire continuer les travaux sur le toit de l'hôtel de ville par une autre entreprise, a-t-il affirmé. M. Sauvé nous a donné le nom du membre du crime organisé qui, selon lui, lui a demandé 40 000$, ainsi que les noms des conseillers municipaux à qui l'argent aurait été destiné. La Presse n'a pu parler avec cet individu, et n'a aucune information montrant que les conseillers municipaux ont été mêlés à cet incident. M. Sauvé n'a pas fait le versement de 40 000$ qui lui était demandé. Aujourd'hui, le chantier de l'hôtel de ville tourne au ralenti. M. Sauvé essaie d'empêcher son entreprise de faire faillite : il doit faire une proposition à ses créanciers la semaine prochaine. La Presse a pu corroborer certaines parties de son témoignage, mais pas toutes. Un contrat controversé Le contrat de réfection du toit et des mansardes de l'hôtel de ville baigne dans la controverse depuis le début. Un couvreur a déposé une soumission beaucoup plus basse que ses concurrents, mais a été écarté parce que la Ville a jugé qu'il n'avait pas les qualifications suffisantes. Trois autres entrepreneurs se sont qualifiés, dont M. Sauvé: c'est lui qui a eu le contrat, en mars 2008, parce qu'il était considéré comme le plus qualifié. Il l'a obtenu pour 10,6 millions de dollars même si un de ses concurrents offrait de faire le travail pour un peu moins cher. Des entrepreneurs ont protesté, y compris au conseil municipal. L'un d'entre eux a pu exprimer ses doléances à un membre du comité exécutif. Un soumissionnaire a déposé une demande d'injonction. Un autre a menacé de poursuivre la Ville. «Tout le monde se liguait pour m'empêcher d'ouvrir le chantier, a dit M. Sauvé. J'ai essayé moi aussi d'avoir une rencontre au comité exécutif, mais je n'y arrivais pas. Les fonctionnaires me disaient que le contrat serait probablement annulé, et qu'il y aurait un nouvel appel d'offres.» Constatant que son entreprise avait été choisie, mais qu'elle ne réussissait pas à avoir le feu vert pour commencer le travail, M. Sauvé a cru bon de demander à un autre entrepreneur de l'aider à boucler son contrat. M. Sauvé connaissait bien cet entrepreneur. Il savait qu'il avait des relations un peu partout, dans l'industrie de la construction, dans les milieux politiques... et dans le crime organisé. Son nom, qu'il a donné à La Presse, apparaît en effet dans les documents de l'enquête Colisée sur la mafia. «Ce gars-là savait que j'avais des problèmes, a confié M. Sauvé. Il m'a dit: "Oui, j'en ai entendu parler, mais ce n'est pas avec des avocats que ça va se régler." Il m'a fixé un rendez-vous.» Quand M. Sauvé s'est présenté à cette rencontre, il affirme qu'il a eu la surprise d'y voir le couvreur dont la soumission avait été rejetée à l'hôtel de ville, ainsi qu'un troisième entrepreneur et un membre connu de la mafia. Il s'est laissé convaincre de prendre ce couvreur dans son équipe. «Comme par miracle, tout s'est mis à bien fonctionner, dit-il. J'ai pu commencer à travailler. Je me suis dis : "Bon sang, ces gars-là ont du pouvoir!" Je n'en revenais pas. Mais, quelque part, je me disais : "Ouais... il y a un prix à payer, tu sais que tu vas te faire extorquer, réveille-toi.'' Je me suis justifié en me disant que c'est comme ça que ça marche dans la construction. Je me suis convaincu que c'était correct de danser avec le diable.» «Entre collaborateurs, on s'aide» L'entrepreneur qui avait joué le rôle d'intermédiaire, et suggéré la présence du couvreur disqualifié, a confirmé à La Presse que Paul Sauvé était venu le voir. Pourquoi est-il intervenu, étant donné qu'il n'était même pas soumissionnaire? «On est un groupe dans la construction, a-t-il expliqué. On collabore sur les projets ensemble. Je les connais ces gars-là (les entrepreneurs), parce qu'on fait affaire dans différents projets. S'il y a un problème, s'il y a des malentendus des fois, on prend le téléphone, et on dit : "C'est quoi le problème?" Entre collaborateurs, on s'aide.» M. Sauvé affirme que cette intervention n'a pas été gratuite. Il a dû payer plus de 60 000 $ en «honoraires». Son nouveau couvreur lui a coûté beaucoup plus cher que celui qu'il avait choisi au départ ; en fait, c'est lui qui a fait le plus gros du travail. Le membre du crime organisé qui avait participé aux rencontres a exigé des sommes supplémentaires. Des dizaines de milliers de dollars. «J'ai refusé de continuer à payer et c'est là que mes problèmes ont commencé», raconte M. Sauvé. Un contremaître a menacé de faire exploser sa voiture et, dans la nuit du 12 décembre, une de ses grues, d'une valeur de 500 000 $, a brûlé. L'entrepreneur qui l'avait aidé a dit à La Presse qu'il n'était pas au courant de ces menaces, de ces demandes d'argent et de tous ces événements. Il a confirmé qu'il connaissait le membre du crime organisé et a admis qu'il avait assisté à une rencontre avec Paul Sauvé, mais il a dit tout ignorer de son rôle. Le couvreur qu'il avait suggéré n'a pas répondu à nos demandes d'entretien. Sous le couvert de l'anonymat, un agent de la Sûreté du Québec a dit à La Presse que M. Sauvé prenait des risques importants pour sa sécurité personnelle en faisant état, sur la place publique, de ses difficultés avec le crime organisé. «Il est un des rares entrepreneurs à sonner l'alarme, a-t-il dit. C'est risqué.» M. Sauvé, de son côté, affirme qu'il n'a plus rien à perdre. -
Pour un pont à New York Groupe Canam décroche un contrat de 25M$ 29 avril 2009 - 07h23 LA PRESSE CANADIENNE Le Groupe Canam (CAM) a annoncé mardi avoir obtenu un contrat de 25 millions $ pour la reconstruction, la rénovation et l'élargissement du pont new-yorkais Alexander Hamilton et de ses bretelles d'accès. Le projet, qui sera réalisé par Structal-ponts, une division du Groupe Canam, comprend huit ponts et viaducs. Les travaux prévoient entre autre le remplacement d'un pont caisson en béton par un pont caisson en acier sur l'une des rampes d'accès. La fabrication des composantes sera entièrement réalisée à l'usine de Claremont, au New Hampshire, et devrait s'échelonner jusqu'en 2011. Le directeur général de Structal-ponts, Robin Lapointe, a indiqué dans un communiqué que l'entreprise avait beaucoup investi dans la formation du personnel et l'acquisition d'équipements pour réaliser de tels projets. Structal-ponts, qui emploie 350 personnes, opère une usine dans la ville de Québec depuis 1956. Elle compte également des usines à Laval et au New Hampshire. Groupe Canam exploite 12 usines spécialisées dans la conception et la fabrication de produits et de solutions de construction. L'entreprise, présente au Canada, aux Etats-Unis, en Roumanie et en Inde, emploie 2600 personnes. L'analyste financier de Canaccord Adams, Yuri Lynk, a indiqué que ce contrat était «un gain significatif» pour le Groupe Canam et qu'il représentait environ huit pour cent de son carnet de commandes, qui totalisait 313 millions $ à la fin de 2008. Les actions de Canam ont perdu un cent mardi, pour clôturer à 6,34 $ à la Bourse de Toronto.
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Aéronautique Héroux-Devtek décroche un contrat de 50M$ 28 avril 2009 - 09h17 Carl Renaud Argent Héroux-Devtek (HRX) a décroché un contrat de 50M$ auprès de la société Lockheed Martin Aeronautics (LMT). Progressive, la division aérostructure de Héroux-Devtek, va fabriquer des composants structuraux en aluminium pour l’appareil militaire F-35 Lighthing II. La commande sera réalisée au cours des 5 prochaines années aux installations de Progressive à Arlington au Texas. La filiale de Héroux-Devtek va fabriquer des composants structuraux complexes pour les voilures externe et interne du F-35 ainsi que pour le fuselage avant des trois versions de l’appareil de Lockheed Martin. La production de F-35 va augmenter au cours des prochaines années et elle devrait atteindre plus de 100 avions par année à la fin de l’entente entre Héroux-Devtek et Lockheed Martin en 2014. Cette nouvelle commande de 50M$ s’ajoute au contrat de 135M$ signé par les deux entreprises en 2007. L’accord signé il y a 2 ans porte sur la production de cloisons en aluminium forgé et d’autres composants complexes.
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Publié le 14 mars 2009 à 07h38 | Mis à jour à 09h12 Un viaduc démoli sans appel d'offres Bruno Bisson La Presse Le ministère des Transports du Québec (MTQ) a fait démolir un viaduc, le mois dernier, sans passer par le processus normal d'appel d'offres. Il a invoqué l'urgence de faire disparaître cette structure usée qui surplombait l'autoroute 10, à Brossard, sur la Rive-Sud. Dans la nuit du 7 au 8 février, la firme Excavation René Saint-Pierre, de Sherbrooke, a procédé à la démolition du pont d'étagement de la montée Gobeil - boulevard des Prairies, au-dessus de l'autoroute 10. L'ouvrage était déjà fermé à la circulation depuis plus d'un mois. La firme a touché un total de 258 354$, selon le Ministère. Ces honoraires incluaient le travail de démolition comme tel, qui a pris moins de 10 heures, ainsi que la préparation du chantier, la construction d'un chemin temporaire et la gestion de la circulation. En raison de l'emplacement du viaduc, l'A-10 a été fermée toute la nuit, à partir de l'intersection de l'autoroute 30. Le viaduc surplombait l'A-10 à quelques centaines de mètres seulement du carrefour des autoroutes 10 et 30. Il était assez peu fréquenté. À peine 200 véhicules l'utilisaient chaque jour, en moyenne. Le pont se raccordait, à l'est, à la montée Gobeil qui mène vers la Grande-Allée, à la limite de l'arrondissement de Saint-Hubert. À l'ouest, le boulevard des Prairies traversait un rare secteur non loti de Brossard jusqu'à la municipalité voisine de La Prairie. Construit en 1963, ce pont de béton a fait l'objet de plusieurs inspections au cours des dernières années. Dès 2006, le MTQ a constaté la détérioration de son tablier, qui s'est confirmée un an plus tard à l'occasion d'une nouvelle inspection. En 2008, le MTQ a demandé à une firme externe d'évaluer la capacité portante du viaduc. Le 19 décembre 2008, un rapport préliminaire a recommandé sa fermeture. Le temps de préparer un chemin de déviation et d'informer la municipalité de l'état de la structure, la circulation y a été interdite dès le 23 décembre. Le pont n'a jamais été rouvert. Un mois plus tard, le 22 janvier, le rapport d'inspection des consultants du MTQ a recommandé que l'ouvrage soit démoli dans les plus brefs délais. À cette étape, le MTQ aurait normalement dû faire un appel d'offres pour accorder le contrat de démolition à la compagnie qui aurait proposé le meilleur coût, parmi les soumissions conformes reçues. Pour éviter des délais de plusieurs semaines, le MTQ peut aussi, à l'occasion, inviter trois entreprises à soumissionner dans le cadre d'un appel d'offres sur invitation, ce qui raccourcit le délai d'intervention mais exige quand même un certain temps. Selon un porte-parole du MTQ, Paul-Jean Charest, le Ministère a plutôt décidé de confier directement le contrat à Excavation René Saint-Pierre sans solliciter d'autres offres, en invoquant une exception à la Loi sur l'attribution des contrats gouvernementaux qui met en cause «la sécurité des personnes et des biens». M. Charest demeure toutefois assez vague sur la nature de cette urgence. Il souligne seulement que les appareils sur lesquels s'appuyait le tablier du viaduc étaient en très mauvais état. Quant au choix de la firme, Excavation René Saint-Pierre a été choisie tout simplement parce qu'elle était libre et que l'équipement nécessaire à la démolition du viaduc était tout près, a expliqué M. Charest. La compagnie procédait, durant cette période, à la démolition d'un autre pont d'étagement du MTQ dans la municipalité de Mont-Saint-Hilaire, à 30 km du viaduc de la montée Gobeil. «Ils ont terminé le contrat de Mont-Saint-Hilaire le 1er février, a expliqué Paul-Jean Charest. Le lendemain, leur personnel était sur la montée Gobeil pour préparer la démolition du viaduc de Brossard. La machinerie nécessaire était déjà rendue, ou presque. Une intervention aussi rapide était impossible en suivant la procédure normale. Même avec un appel d'offres sur invitation, il aurait fallu une ou deux semaines de plus pour attribuer le contrat, sans parler de la préparation du chantier.» Le porte-parole a tenu à préciser que la pratique courante dans ce type de dossier consiste à fermer la structure affaiblie, à préparer le projet de remplacement et à confier le mandat d'une nouvelle construction. La compagnie qui obtient le mandat de reconstruction doit alors démolir le vieil ouvrage ou confie cette tâche à un sous-traitant. C'est ce qui s'est produit avec plusieurs des ponts d'étagement au-dessus de l'A-10 au cours des trois dernières années. À Saint-Alphonse-de-Granby et à Magog, en Estrie, des ouvrages désaffectés, interdits à toute circulation, sont restés en place durant des mois avant leur démolition.
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Voici comment on fait des affaires et on monte des projets immobiliers. Lisez au complet si vous aimez le scandaleux:
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Des livraisons dès cette année Nova Bus obtient un contrat de 190M$ de la STM 17 février 2009 - 07h44 http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2009/02/20090217-074446.html Par Louis-Pierre Côté ARGENT Le constructeur d’autobus Nova Bus de Saint-Eustache vient d’obtenir un contrat évalué à environ 190M$ (1,3 milliard de couronnes suédoises) pour fournir 410 autobus à la Société de transport de Montréal. Les livraisons débuteront dès cette année et s’échelonneront sur trois ans. Les 410 autobus, de modèle LFS, remplaceront d’autres autobus construits par Nova Bus qui sillonnent les rues de la métropole depuis 1996. La commande, qui a été annoncée par la société-mère de Nova Bus, Volvo Bus Corporation en Suède, s’ajoute aux commandes déjà placées par la STM. Au cours des trois prochaines années, Nova Bus livrera un total de 958 autobus à la Société de transport de Montréal, soit 214 autobus en 2009, 427 en 2010 et 317 en 2011. Certains des autobus qui seront livrés seront des véhicules articulés. Les nouveaux véhicules seront équipés d’un système de caméras pour améliorer la sécurité des passagers. En plus d'une usine à Saint-Eustache, sur la couronne Nord de Montréal, Nova Bus exploite une usine à Saint-François-du-Lac, dans la région de Nicolet. Plus de détails à venir
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Publié le 06 février 2009 à 14h45 | Mis à jour à 14h54 Compteurs d'eau: le point de non retour est franchi Sara Champagne La Presse Le projet de compteurs d'eau dans les entreprises de Montréal a franchi un point de non retour. Malgré un retard de plus d'un an dans l'échéancier et des doutes soulevés quant à une apparence de conflits d'intérêts, l'administration Tremblay a signé un important contrat de 355 millions avec le consortium Génieau. Ce contrat a été signé au mois de février 2008 a appris La Presse. Le géant est formé par les firmes Simard-Beaudry et Dessau, entreprise dont le nouveau numéro deux est Frank Zampino, ancien president et grand responsable des finances au comité exécutif de la Ville de Montréal. Le contrat qui lie la Ville à Génieau pendant 25 ans est unique au Canada, voire au monde. Étant donné sa complexité, la ville de Toronto y a renoncé après l'avoir étudié. Dans sa forme, il se rapproche de la formule PPP en prévoyant une clause d'entretien de 25 ans et de réparation des compteurs d'eau pour les 15 prochaines années. Sammy Forcillo, responsable de ce dossier à l'exécutif de l'administration Tremblay, précise que la Ville demeure «maître d'oeuvre du projet, qui vise d'abord et avant tout à acquérir des mesures de la consommation d'eau à Montréal». «Ce n'est pas un contrat à sens unique, ajoute-t-il, on demeure propriétaire des compteurs d'eau.» Le 30 janvier dernier, des avis ont été envoyés à plus de 5000 entreprises de Montréal les avisant qu'un plombier passerait bientôt chez eux. Afin d'y parvenir, plus de 100 plombiers ont déjà été formés et accrédités par la Ville. Les plombiers cols bleus seront les prochains. Et signe que l'installation des compteurs a vraiment franchi un point de non retour, plus de 1000 visites de techniciens ont déjà été effectuées dans les commerces, industries et entreprises de l'agglomération. Si l'administration municipale se porte garante de l'achat des compteurs d'eau (300 millions $), et des système d'anti-refoulement (78 millions $), les entreprises devront quand même défrayer les coûts de la mise à niveau de leur tuyauterie. Selon la taille des conduites de 3 pouces et plus, les travaux vont engendrer des dépenses variant de 3000 $ à 20 000 $ aux frais des propriétaires au nombre de 30 000 à Montréal. Les entreprises pourront toutefois se qualifier pour adhérer à un programme de subvention.