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  1. Lofts Zuni Vivre sur l'Île comme en ville Les condos + lofts ZUNI (Zone Urbaine du Nord de l'Île), première phase de la communauté de la Pointe-Nord, forment le dernier ajout à la vie de l'île. Situés à quelques minutes du centre-ville de Montréal, ces condos-lofts abordables vous proposent des espaces de vies modernes, à aire ouverte, donnant sur le fleuve. ZUNI, intègre les meilleurs éléments d'architecture contemporaine et vous permettra de profiter d'installations communes de haut niveau comprenant une aire de détente, une salle de jeu, un gymnase bien équipé ainsi qu'une piscine sur le toit de l'immeuble offrant des vues panoramiques du centre-ville et du fleuve. Quartier Pointe-Nord - Une petite collectivité verte est en construction sur l'île Le Devoir Martine Letarte Édition du samedi 07 et du dimanche 08 mars 2009 Mots clés : Zuni, Quartier Pointe-Nord, Construction, Habitation, Montréal Zuni est le premier élément d'un ensemble de 1600 unités Le quartier comptera de nombreux espaces verts et, pour établir le plan directeur, les constructeurs travaillent avec le service d'urbanisme de l'arrondissement de Verdun. Depuis quelques années déjà, la Corporation Proment planche sur son projet de quartier écologique qu'elle développe sur la pointe nord-est de l'Île-des-Soeurs, un terrain d'une superficie d'un million de pieds carrés. Le projet en impose avec ses 1600 unités d'habitation d'une valeur totale d'environ 700 millions de dollars. Si tout n'est pas encore coulé dans le béton, la première phase commence à prendre forme. Zuni: voilà le nom que portera la première phase de lofts du quartier Pointe-Nord. Les 165 unités résidentielles seront construites dans un immeuble de six ou sept étages, à l'architecture contemporaine. «Au rez-de-chaussée, on retrouvera des commerces qui seront certainement appréciés des résidants, comme un café, un restaurant, une fromagerie, une boulangerie, un nettoyeur, une épicerie, une épicerie fine, etc.», indique Louis-Joseph Papineau, vice-président, développement et construction, de la Corporation Proment. Le toit de l'édifice sera transformé en terrasse commune avec piscine, vue sur le fleuve Saint-Laurent et sur la ville de Montréal. «Pour nous, c'est important de trouver un bel équilibre entre architecture poussée, design intérieur détaillé et produit somme toute abordable. Ainsi, la majorité de nos unités se vendront en dessous de 300 000 $», précise M. Papineau. Pour ceux qui craignent d'aller vers un concept de loft à aire ouverte, il sera possible de fermer une ou deux chambres. Un projet mixte et intégré La Corporation Proment a également l'intention de construire une dizaine de maisons de ville dans la première phase et de hautes tours de condominiums dans les phases suivantes. «Le projet Pointe-Nord mise vraiment sur la variété: il y aura des commerces, des bureaux, des maisons de ville, des lofts, des condominiums, des familles, des couples, des célibataires, des travailleurs, etc. C'est vraiment une collectivité mixte que nous voulons créer», affirme M. Papineau. Le récent déménagement du siège social de Bell Canada à l'Île-des-Soeurs a d'ailleurs donné un bon coup de pouce au volet commercial de la Pointe-Nord. Évidemment, il faut nourrir et occuper ces milliers de travailleurs à l'heure du lunch! La Corporation Proment a aussi l'intention de maximiser la mise en valeur de la beauté naturelle du site. «La Pointe-Nord s'avance dans le fleuve Saint-Laurent, donc trois côtés de l'espace donnent sur l'eau et la vue sur le centre-ville est époustouflante. Nous allons démocratiser le fleuve et la vue, les rendre accessibles à tous les habitants du quartier», indique le vice-président, développement et construction. Un projet vert Avec la Pointe-Nord, la Corporation Proment vise une certification écologique LEED pour le quartier. Pour ce faire, les constructeurs reprendront les grands principes de construction verte de leurs projets antérieurs sur l'île, dont le Vistal, mais ils pousseront plus loin les préoccupations de développement durable. «Nous voulons vraiment créer un concept de collectivité avec une vie de quartier riche. Nous travaillons sur les plans pour que les futurs résidants de la Pointe-Nord puissent combler tous leurs besoins à proximité, sans prendre leur voiture. D'ailleurs, tous les stationnements seront souterrains et le transport en commun est accessible et rapide pour se rendre au centre-ville de Montréal», affirme Samuel Gewurz, président de la Corporation Proment. Le quartier comptera aussi de nombreux espaces verts et, pour établir le plan directeur, les constructeurs travaillent avec le service d'urbanisme de l'arrondissement de Verdun. La Ville a d'ailleurs pris possession d'une bande de terre de 15 mètres qui longe le fleuve et fait le tour de l'île, pour y construire un réseau de pistes cyclables et pédestres. «Une grande partie de cette piste cyclable est construite, mais il nous reste un tronçon à réaliser cette année», indique Gilles Baril, directeur de l'arrondissement de Verdun. Et ajoute Louis-Joseph Papineau: «La piste cyclable de la Pointe-Nord rejoindra celle qui fait le tour de l'Île-des-Soeurs et qui est reliée à la Route verte.» Plus de parcs Les discussions se poursuivent entre la Corporation Proment et l'arrondissement de Verdun, car celui-ci souhaite construire trois autres parcs qui, dans un désir d'intégration, seraient attenants au parc linéaire riverain. La volonté de donner accès à l'eau est aussi présente. «Que ce soit à Montréal ou à l'Île-des-Soeurs, il y a très peu d'accès directs au fleuve. Il n'y a pas assez d'eau pour qu'on puisse construire une marina à la Pointe-Nord, mais on veut tout de même construire un quai pour que les gens puissent pêcher, par exemple, et mettre à l'eau un kayak ou d'autres petites embarcations», ajoute M. Papineau. Après avoir consulté quelques architectes canadiens et américains pour maximiser le potentiel du site de la Pointe-Nord, la Corporation Proment en raffine actuellement les détails avec l'aide d'architectes et d'urbanistes locaux. Le projet est encore en évolution mais, si tout va comme prévu, la prévente de la première phase devrait commencer à l'automne et la première pelletée de terre est prévue en 2010. Fiche technique Pointe-Nord - première phase - Type d'unités: lofts - Nombre d'unités: 165 - Superficie des unités: de 550 à 1000 pi2 - Nombre d'étages: 6 ou 7 - Prix: de 200 000 $ à 300 000 $ - Différents commerces au rez-de-chaussée - La première phase comprendra aussi une dizaine de maisons de ville - Tous les stationnements seront souterrains - Transport en commun à proximité - Piste cyclable reliée à la Route verte - Vue sur le fleuve Saint-Laurent et la ville de Montréal
  2. Adapter l'urbanisme à l'hiver : l'exemple d'Edmonton Le mercredi 8 février 2017 [TABLE=class: visuel] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende] Daniel Cournoyer, directeur général de la Cité francophone devant l'une des cabines chauffées par le soleil à Edmonton. Photo : Radio-Canada/Dominic Brassard [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] Montréal pourrait s'inspirer de l'architecture et de l'urbanisme de la capitale albertaine pour devenir une véritable ville d'hiver, croit Dominic Brassard. Edmonton a installé, dans les parcs de la ville, de petites cabanes en bois entièrement chauffées par le soleil pour réchauffer les citoyens. « Leur conception est géniale. Elles ne coûtent presque rien à construire et se démontent facilement au printemps », précise le journaliste. Néanmoins, la stratégie hivernale d'Edmonton va bien au-delà de ça. L'aménagement urbain prend en considération le vent, capte la lumière du jour, etc. Une autre façon d'aménager la ville est de construire des terrasses qui restent ouvertes tout l'hiver. « Ça favorise la vie de quartier! Ça vous permet de manger ou de prendre un café en même temps que vous regardez un piéton qui marche », ajoute Dominic Brassard. Adapter l'urbanisme à l'hiver : l'exemple d'Edmonton | Le 15-18 | ICI Radio-Canada Première
  3. Après toute les changements du Griffintown ,,,,,il y as t'il des plans pour construire au dessus du EQ3*
  4. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201602/23/01-4953587-square-phillips-un-stationnement-etage-plutot-quune-tour-de-bureaux.php Square Phillips: un stationnement étagé plutôt qu'une tour de bureaux Exclusif Publié le 23 février 2016 à 06h19 | Mis à jour à 06h19 Maxime Bergeron La Presse Le projet de tour de bureaux qui était prévu au square Phillips, en plein coeur du centre-ville de Montréal, pourrait faire place à un stationnement étagé. Le promoteur Canderel projette d'y construire une telle structure pour la louer ensuite à la Ville de Montréal, a appris La Presse Affaires. Canderel prévoyait ériger une tour de bureaux d’une trentaine d’étages, certifiée LEED, au 1201-1215, square Phillips. Ce n'est plus le cas. Canderel vient tout juste de s'inscrire au Registre des lobbyistes dans le but d'officialiser ses pourparlers avec la Ville. Dans son inscription, on apprend que l'entreprise cherche à négocier « une entente avec la Ville de Montréal pour la construction pour la Ville et la location à la Ville de Montréal d'un stationnement à étage pour le public ». Au bureau du maire Denis Coderre, on confirme que des négociations ont bel et bien été entamées avec Canderel « pour la location potentielle d'espaces » au 1201-1215, square Phillips. « Montréal est en train de se doter d'une véritable politique de stationnement et elle analyse actuellement différentes mesures qui pourraient la bonifier », a indiqué Catherine Maurice, l'attachée de presse du maire. Canderel ne vise pas qu'à construire un stationnement vertical sur ce terrain stratégique du centre-ville. Le groupe planche aussi sur un projet d'habitations en partenariat avec une autre entreprise, a souligné hier Daniel Peritz, vice-président principal. Selon nos informations, il s'agirait de résidences étudiantes, ce que le dirigeant a refusé de confirmer. Il n'est pas exclu que le stationnement étagé voie le jour sans le volet résidentiel, et vice-versa. Mais l'objectif ultime de Canderel reste de construire un projet qui comprendrait les deux fonctions, a indiqué M. Peritz. « On ne peut pas prévoir le futur, mais l'idée est vraiment de faire un projet combiné. » Depuis 2008 Il s'agit là d'une nouvelle incarnation pour ce vaste terrain de stationnement à ciel ouvert, acquis par Canderel en janvier 2008. Le groupe montréalais prévoyait au départ y ériger une tour de bureaux d'une trentaine d'étages, certifiée LEED, qui aurait compté plus de 600 000 pieds carrés de bureaux et commerces. Le projet n'a pas réussi à attirer les locataires, si bien que Canderel a ensuite contemplé la possibilité de construire un immeuble mixte, qui aurait inclus des bureaux et des logements. Le promoteur a par la suite tenté de revendre le terrain, en 2012, pour le retirer du marché peu après. Pendant un temps, l'Université McGill a aussi contemplé la possibilité de construire un « campus vertical » sur ces terrains. Le projet a été écarté lorsqu'un autre emplacement de taille - l'ancien hôpital Royal Victoria - est devenu disponible pour une conversion à l'automne 2015, a confirmé hier le porte-parole de McGill, Vincent Allaire. Plus de stationnements Ni Canderel ni la Ville n'ont voulu s'avancer sur un échéancier pour leurs négociations. Daniel Peritz ne cache toutefois pas qu'il a hâte de voir un projet se réaliser sur ces terrains évalués à 14,4 millions au dernier rôle d'évaluation foncière. « Notre attitude est toujours : le plus tôt, c'est le mieux », a-t-il dit. Le maire Denis Coderre, pour sa part, martèle depuis plus d'un an qu'il souhaite voir davantage de stationnements au centre-ville de Montréal. Cet enjeu sera d'autant plus crucial pendant les longs travaux de réfection prévus dans la rue Sainte-Catherine, qui ajouteront à la rareté déjà extrême des places disponibles. Denis Coderre a encore une fois réitéré son intention « d'optimiser » le stationnement au centre-ville en décembre dernier, lorsqu'il a annoncé son projet de politique sur le stationnement.
  5. Un belvédère adjacent au Pont Jacques-Cartier offrira des vues panoramiques de Montréal de 360 degrés, incluant des vues spectaculaires du pont lui-même. Les vues du centre-ville, le Mont-Royal et le fleuve seront nettement plus intéressantes que celles de la Tour du Stade, car le Stade est plus éloigné du centre-ville. Le Belvédère du Pont sera facilement accessible à cause de la proximité du Métro Papineau et les pôles touristiques du centre-ville, à distance marchable. Comme les belvédères du Mont-Royal, il nous donnera l'opportunité de s'approcher d'un autre icône importante de Montréal. Il y a suffisamment d'espace pour construire une tourelle dans les espaces sous-utilisés adjacents au pont, prés de la rue Sainte-Catherine ou même par dessus l'Épicerie Métro dans un projet d'agrandissement. Un belvédère de plus ou moins 25 m au dessus de la rue, légèrement plus haut que le tablier à cette endroit, sera à peu prés à la même hauteur que le projet d'Interloge, présentement en construction du côté est de la rue de Lorimier. Photo prise (sans l'effet zoom) à partir de la piste cyclable (le côté ouest) du tablier du pont, vis à vis la rue Sainte-Catherine. On peut voir le toit du Métro Papineau dans la bas droite de la photo. Un belvedere avec un design simple sera facile à construire, et ne devrait pas coûter énormément cher non plus. Un attrait touristique pour le quartier et un phare qui pourrait être un lègue pour 2017. Le Belvedere du Pont pourrait être financé par un ou plusieurs employeurs du secteur (Molson, Épicerie Métro, La Cordée, Macdonald Tobacco, les syndicats...). Le design de la structure (du discret à l'audacieux) restera à déterminer. Au sujet d'un nouveau belvédère (avec ascenseur) prés du pont Jacques-Cartier, quels concepts verriez-vous quant aux emplacements possibles autour de la rue Sainte-Catherine (entre l'Épicerie Métro et la rue de Lorimier)? Quelques images Pour voir des images et des exemples d’ailleurs, vous pouvez consultez ce fil: Etes-vous pour la construction d'un ascenseur pour le pont Jacques-Cartier? Par exemple, il y a quelques images dans le post #85 dans ce lien. http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/19747-Etes-vous-pour-la-construction-d-un-ascenseur-pour-le-pont-Jacques-Cartier?p=180518#post180518 Vos découvertes (images ou exemples d’ailleurs) sont les bienvenues aussi!
  6. http://immobilier.lefigaro.fr/article/une-incroyable-piscine-transparente-reliant-deux-immeubles-londoniens_2c9cbb84-4719-11e5-9650-1433f8f6953e/ Une incroyable piscine transparente reliant deux immeubles londoniens Un programme immobilier en développement dans la banlieue sud de Londres devrait s’équiper d’une piscine entièrement transparente permettant de nager d’un immeuble vers un autre. Une première mondiale. Un véritable aquarium. Cette incroyable piscine transparente devrait bientôt relier deux luxueux immeubles que doit construire le promoteur Ballymore Group au sein du programme Embassy Gardens. Un immense projet immobilier qui comportera à terme 2000 logements dans le quartier en plein développement de Nine Elms, dans la banlieue sud de Londres. Selon le PDG de Ballymore, Sean Mulryan, il s’agirait là d’une première mondiale. Cette «piscine aérienne» devrait mesurer 25 mètres de long pour 5 mètres de large et 3 mètres de profondeur. Et surtout, près de 25 centimètres d’épaisseur de verre pour que les brasses à 40 mètres de haut, entre ces bâtiments de 10 étages, soient parfaitement sûres. Progrès techniques Selon les promoteurs, les progrès techniques ont rendu possible ce genre de réalisation qui a déjà obtenu son permis de construire. «Ma vision de cette piscine provenait d’un désir de repousser les limites du possible de le domaine de la construction et de l’ingénierie, confie au site britannique Inhabitat, Sean Mulryan. Cette expérience de la natation sera vraiment unique en son genre, ce sera comme flotter dans les airs au-dessus de Londres.» Quant à ceux qui ne sont pas rassurés, ils pourront toujours passer d’un immeuble à l’autre grâce à une passerelle piétonne. Évidemment, l’accès à cette piscine réservée aux résident ne sera pas à la portée de toutes les bourses. Au sein de ce programme immobilier qui doit être achevé en 2017, les tarifs démarrent à 850.000 euros.
  7. L’urbaniste émérite de l’Université de Montréal reproche aux politiciens leur manque de vision Faire du neuf au lieu de rénover PHOTO AGENCE QMI, SÉBASTIEN ST-JEAN DENISE PROULX Lundi, 20 juillet 2015 00:30 MISE à JOUR Lundi, 20 juillet 2015 00:30 Échangeur Turcot, pont Champlain, CHUM, CUSM, Place Daudelin... Le Québec connaît une effervescence en matière d’aménagement d’infrastructures. Après des années de négligence, les autorités publiques choisissent de construire du neuf au lieu de rénover, surtout quand il s’agit de bâtiments. «Le gouvernement agit comme si la prospérité était encore au rendez-vous et le sera toujours», déplore l’urbaniste et professeur Gérard Beaudet. Il s’interroge sur la dynamique qui motive ces choix de société. Et il ne cache pas ses inquiétudes sur les conséquences qui en découleront. Si l’ancien n’a plus la cote, ce n’est pas juste une affaire de gros sous. C’est, selon l’universitaire, la preuve d’un manque de vision des politiciens qui agissent comme de simples comptables, des gestionnaires qui ont perdu la compréhension que l’aménagement du territoire est lié aux enjeux sociaux, environnementaux et économiques auxquels les générations futures seront confrontées. «Il faudrait penser à faire autrement», suggère Gérard Beaudet. Le Québec refait à neuf, veut encore construire des autoroutes. Est-ce que ces infrastructures sont bien planifiées ? «Si on prend les projets à la pièce, on pourrait dire qu’ils sont majoritairement bien planifiés. Mais globalement, il existe un déficit de planification. Dans une conjoncture où les ressources financières sont rares, et qu’il faut prendre en compte l’environnement, il est incroyable de constater qu’on continue à lancer des projets d’infrastructures sans en analyser sérieusement les bénéfices et les conséquences avec lesquelles nous devrons vivre pour les 30 à 40 prochaines années.» Qu’est-ce qui ne va pas ? «Nous devons nous arrêter et faire un profond examen de conscience. On s’entête à construire un nouvel échangeur Turcot sur des paramètres dépassés. On nous annonce en grande pompe le prolongement du métro vers l’est en changeant constamment d’idée pour en abaisser les coûts, mais on réserve 717 millions $ pour le prolongement de l’autoroute 19 vers le nord. C’est assez préoccupant. On voit que les mécanismes de conciliation et d’arbitrage ne sont pas présents. C’est en partie dû à l’incompétence de la classe politique qui voit le territoire uniquement comme une ressource à exploiter, qui veut absolument créer de la richesse.» Existe-t-il néanmoins des modèles qui devraient nous inspirer ? «Oui, il y en a. Vancouver s’est dotée d’un système de transport collectif dépolitisé et intelligent. La manière de penser est différente lorsque ce sont des experts qui prennent l’aménagement du territoire en main. On semble bien faire les choses dans la reconstruction du centre-ville de Lac-Mégantic, qui s’en tire bien dans les circonstances – devoir travailler avec des sols contaminés et peu de ressources financières. La remise en état des abords de la rivière Saint-Charles est encourageante.» Et le projet 10/40, qu’en pensez-vous ? «C’est un bel exemple de vision collective qui fait défaut. Je comprends mal qu’on laisse le maire d’une seule ville prendre des décisions sur un projet qui aura un rayonnement métropolitain. C’est à la Communauté métropolitaine de Montréal de trancher dans ce dossier, d’en analyser les bénéfices escomptés.» En somme, que proposez-vous pour l’avenir ? «Avec l’arrivée de la Caisse de dépôt et placement du Québec qui se montre intéressée à investir dans les infrastructures, nous avons une opportunité de réfléchir à ce qu’il y aurait de mieux à faire avec l’argent disponible. Qu’est-ce qu’on veut léguer aux prochaines générations? Ce n’est pas juste une dimension économique. Les élus devraient prendre le temps de s’asseoir avec des universitaires dont c’est le métier d’approfondir ces questions et qui pourraient proposer des réflexions. Ce serait déjà une révolution que la classe politique prenne le temps de réfléchir à l’aménagement du territoire.»** QUI EST-IL ? Gérard Beaudet Gérard Beaudet est urbaniste émérite et professeur titulaire à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal. Il s’intéresse en particulier à la valorisation patrimoniale, paysagère et touristique des territoires, à l’urbanisme métropolitain et au rapport entre la métropole québécoise et les régions. sent via Tapatalk
  8. http://www.konbini.com/fr/tendances-2/clubs-berlin-voisins/ Konbini Snapchat Facebook Twitter Instagram À Berlin, ce sont les voisins qui devront s’adapter, pas les clubs par Vincent Glad | 3 days ago fbshare on facebook twtwitter 13.4K SHARES Journaliste basé à Berlin, Vincent Glad nous a envoyé une nouvelle chronique. Après la grande chaîne berlinoise de l’amitié nue entre inconnus, il nous parle aujourd’hui de la difficile cohabitation entre monde de la nuit et riverains dans la capitale allemande. Sisyphos, Berlin © Vincent Glad Les clubs, d’abord. Pour les habitations, on verra ensuite. La mairie de Berlin veut mettre en place une nouvelle règle : avant de construire un immeuble, les promoteurs devront s’assurer qu’aucun club n’est situé à proximité, en consultant une carte des établissements de nuit. S’ils veulent vraiment construire, ce sera à eux de s’adapter, en insonorisant les nouveaux logements. La capitale allemande veut défendre un de ses plus grands patrimoines : sa vie nocturne. “Notre objectif est que Berlin reste palpitant et sauvage“, a déclaré le 2 juin Andreas Geisel, responsable du développement urbain à la mairie de Berlin. Les autorités veulent éviter que de nouveaux clubs soient fermés à cause de ce dangereux fléau que sont les voisins. Les établissements de nuit pourraient devenir une sorte d’espèce naturelle protégée dans la faune berlinoise. Le King Size obligé de fermer La cohabitation entre le monde de la nuit et les riverains est de plus en plus compliquée. Berlin n’est plus l’immense squat qu’il était à la chute du Mur et le nombre d’espaces vierges dans le centre-ville s’est considérablement réduit ces dix dernières années. De grands noms de la nuit berlinoise subissent régulièrement les foudres du voisinage : le SO36, le Lido, le Yaam ou encore la Kulturbrauerei. Le 23 avril, le King Size, un bar de nuit de la Friedrichstrasse, équivalent berlinois du Baron parisien, a dû fermer ses portes après cinq années de fêtes légendaires, harcelé par les plaintes des voisins. S’attaquer aux clubs, c’est aussi et avant tout s’attaquer au tourisme. Berlin est devenu la troisième ville la plus visitée d’Europe, notamment grâce aux nuées d’EasyJet qui débarquent tous les week-ends pour faire la fête. Dimitri Hegemann, fondateur du séminal Tresor en 1991, devenu un club à touristes, connaît bien le sujet: “Je pense que 60% des visiteurs viennent à Berlin pour la culture alternative — et pas pour faire du shopping dans des centres commerciaux. Des Rolex, vous pouvez aussi en acheter à Dubaï, mais des clubs comme dans notre ville vous n’en trouverez nulle part ailleurs“, déclarait-il récemment au Tagesspiegel. Une carte des clubs berlinois à travers le temps Pour préserver cette exception culturelle, Musicboard, une initiative de la mairie berlinoise en faveur de la musique, vient de présenter un très officiel “cadastre“ des établissements de nuit de la capitale allemande. Cette carte doit permettre aux autorités de n’autoriser des permis de construire que si ceux-ci n’empiètent pas sur le monde de la nuit. Le cadastre, accessible en ligne, est un formidable document pour qui s’intéresse à la scène berlinoise. Mais attention, prévient Katja Lucker, directrice générale de Musicboard, cette carte “n’est pas faite pour donner des bons plans aux touristes“. carte Carte tirée du site http://www.clubkataster.de Sous réserve de ne pas faire le touriste, donc, il est aussi possible de remonter dans le temps et de voir la géographie des clubs telle qu’elle était il y a cinq ans ou à la chute du Mur — même si de nombreux clubs illégaux des années 90 ne sont pas encore répertoriés. Le cadastre de 2015 montre une grande concentration des lieux de fête à l’Est, dans les quartiers de Kreuzberg et de Friedrichshain, le long de la Spree, des espaces encore “sauvages” où les voisins se font rares. C’est là que sont installés la majorité des clubs techno : le Berghain, par exemple, est planté au milieu d’une anonyme zone industrielle, à côté d’un magasin d’usine Metro. L’Ouest a complètement disparu de la carte D’après les chiffres fournis par le cadastre, le quartier qui a connu la plus grosse saignée est Mitte. Le quartier, aujourd’hui largement embourgeoisé, était en ruines à la chute du Mur. Ce sont dans ses espaces abandonnés que s’est développée la scène techno dans les années 90. Aujourd’hui, Mitte compte 93 clubs fermés pour seulement 32 encore ouverts. À l’inverse, on dénombre 26 établissements ouverts à Kreuzberg, contre 23 fermés. L’Ouest a complètement disparu de la carte, à l’image du quartier de Schöneberg (où vivait David Bowie) qui n’a plus de 4 clubs, pour 18 fermés. Kater Blau © Vincent Glad À Berlin, les clubs ferment mais rouvrent souvent ailleurs. Le mythique Bar 25 a fermé en 2010, avant de réapparaître sur l’autre rive de la Spree sous le nom de Kater Holzig (lui-même fermé en 2014). Aujourd’hui, le Kater Blau, héritage des deux clubs précédents, a repris l’emplacement de l’ancien Bar 25. La surprenante fermeture du Stattbad Cette initiative de la mairie — qui ne reste pour l’instant qu’une belle déclaration d’intention — intervient dans un climat morose. La scène berlinoise a la gueule de bois depuis que le Stattbad, un des meilleurs clubs techno de la ville, situé dans une ancienne piscine, a soudainement fermé mi-mai. Et cette fois-ci, ce ne sont pas les voisins qui sont à blâmer. Suite à une dénonciation anonyme, la mairie d’arrondissement a découvert que l’établissement (pourtant mondialement connu) faisait office de club, ce qui n’était pas prévu dans le permis de construire. De gros problèmes de sécurité anti-incendie ont par ailleurs été constatés. Le Stattbad a annoncé avoir besoin de plus d’un an de travaux pour s’adapter, mais l’établissement pourrait ne jamais avoir le droit de rouvrir. Une fermeture qui laisse des doutes quant aux réelles intentions des autorités berlinoises. sent via Tapatalk
  9. Hugo Joncas . les affaires.com . 30-11-2011 (modifié le 30-11-2011 à 11:02) Tags : Immobilier, Transport routier NOS DOSSIERS •Pleins feux sur l'immobilier La nouvelle marotte de Luc Poirier: construire un nouveau tunnel entre Montréal et la Rive-Sud, entre les ponts Jacques-Cartier et Victoria. En conférence de presse le 30 novembre, le «millionnaire» de l’édition 2008 de l’émission de téléréalité Occupation Double a dit vouloir construire entre la 132 et l’île Notre-Dame un nouveau lien pour désengorger les ponts et tunnels métropolitains. L’objectif est de construire le projet en deux ans, à compter de la réception des autorisations gouvernementales. Il n'a cependant annoncé qu'hier ses intentions aux autorités municipales et gouvernementales. L'homme d'affaires prévoit instaurer un système de péage électronique, qui épargnerait les véhicules de transport en commun et d’urgence. Le projet inclut des voies réservées pour les autobus, mais aucun lien ferroviaire n’est prévu dans le tunnel. «L’augmentation de l’utilisation du transport en commun est un objectif louable, mais il faut être réaliste et tenir compte du fait qu’une majorité de personnes devront continuer à utiliser une automobile pour circuler entre les deux rives», dit Luc Poirier. Les ingénieurs de la firme de génie-conseil Dessau ont réalisé une étude de préfaisabilité sur ce nouveau lien routier entre les deux rives. Quant à savoir si le gouvernement acceptera de se faire dicter l'emplacement d'un nouveau tunnel... Entrepreneur récidiviste... et controversé Le personnage coloré n'en est pas à un coup fumant près. Québec vient de lui payer 15 millions pour son terrain de 20,6 hectares à l'Île-Charron, à côté du pont-tunnel Louis-Hippolyte-Lafontaine, entre Montréal et Longueuil. Un profit de 250% pour le promoteur, qui l'avait acquis de Desjardins en 2007, pour six millions. À l'époque, Luc Poirier souhaitait construire des tours d'habitation totalisant 2 650 logements sur ces terres, équivalant à une trentaine de terrains de soccer. Mais sous la pression des écologistes, d'urbanistes et des 20 000 citoyens qui ont signé une pétition à cet effet, Québec a décidé d'y imposer une réserve foncière. Il souhaitait l'intégrer au parc national des Îles-de-Boucherville. Le promoteur a ensuite menacé le gouvernement de le poursuivre pour 40 millions. Selon lui, c'est le montant qu'il avait perdu avec la mise en réserve de son terrain. Puis, quelques semaines avant de finalement signer la vente du terrain, Luc Poirier avait refusé une offre de 13 millions de Québec et menacé de démarrer son projet sans l'accord du gouvernement dans les pages de Les Affaires. «Je vais faire mes plans pour être prêt au printemps ; je compte réaliser les premières ventes en février ou mars, disait le promoteur. Plus personne ne pourra m'arrêter.» L'homme d'affaires multiplie les grands projets de copropriété, notamment dans le quartier Griffintown, à Montréal, à Trois-Rivières, à Candiac et à Boisbriand. Il cumule les entreprises, faisant fortune aussi bien avec son restaurant William, à Longueuil, qu'avec une entreprise de climatisation. En 2010, Luc Poirier a aussi négocié pour acheter la station de ski Sutton. Il voulait construire un vaste projet résidentiel au pied de ses pentes. Mais il n'a finalement jamais fait d'offre finale aux propriétaires, la famille Boulanger.
  10. Valeur des permis de construction pour juin 2014 (en million $) Montreal 1432 Toronto 1277 Calgary 811 Edmonton 542 Vancouver 489 Otta/Gat. 244 K.C.W. 126 Quebec 124 Winnipeg 121 Hamilton 100
  11. Bonjour, J'ai une question concernant le contrat de vente d'un nouveau condo. Il y a une date de livraison inscrite sur le contrat de vente. Le projet n'a pas encore démarré. Au minimum un projet prend environ 1 an à se construire (avec stationnement sous terrain et tout le kit). Si 1 an jour pour jour le projet n'a pas encore été démarré, quel sont mes recours pour annuler mon contrat de vente si je veux me retirer? Merci!
  12. À la lumière de ce document daté de novembre 2013 et déposé à l'OCPM, la petite tour (à construire ?) sur la portion bureaux du Centre Bell serait toujours dans les plans de CF : http://ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/pdf/P72/3b.pdf 14 étages, 140 unités résidentielles
  13. AVIS PUBLIC ASSEMBLÉE PUBLIQUE DE CONSULTATION (...)Les personnes intéressées sont priées de noter que le conseil d’arrondissement, à sa séance du 4 novembre 2008, a adopté les premiers projets dont la description suit.(...) b) Résolution accordant à certaines conditions pour l'immeuble portant le numéro 2156, rue Sherbrooke Est, l’autorisation de construire un bâtiment résidentiel de 5 étages dont le rez-de-chaussée sera occupé par un usage commercial, et ce, en dérogation aux articles 9, 21, 61, 70, 91, 133.10 et 424 du règlement 01-282.(...) Montréal, le 12 novembre 2008. AVIS PUBLIC DEMANDES DE PARTICIPATION À UN RÉFÉRENDUM 1. APPROBATION RÉFÉRENDAIRE Lors de sa séance du 2 décembre 2008, le conseil d'arrondissement a adopté les seconds projets de trois résolutions et d’un règlement qui contiennent des dispositions susceptibles d’approbation référendaire par toute personne intéressée des zones visées et des zones contiguës, conformément à la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme (L.R.Q., c. A-19.1). 2. OBJET DES SECONDS PROJETS (...) CA08 240861 : Résolution accordant à certaines conditions, pour l'immeuble portant le numéro 2156, rue Sherbrooke Est, l’autorisation de construire un bâtiment résidentiel de 5 étages dont le rez-de-chaussée sera occupé par un usage commercial, tel que présenté dans les plans préparés par Geiger-Huot architectes inc. et estampillés par l'Arrondissement le 9 octobre 2008, et ce, conformément au Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (CA-24-011) et en dérogation aux articles 9, 21, 61, 70, 91, 133.10 et 424 du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement Ville-Marie (01-282).(...) Montréal, le 8 janvier 2009.
  14. A L'approche du 375e anniversaire de Montréal et du 50e anniversaire de l'expo67, auquel on pourrait ajouter le 150e anniversaire du Canada, histoire de plaire a tout le monde et de se procurer tout le financement possible, pourquoi ne pourrions nous pas: construire sur l'une des iles, puisque cela ne peut se construire sur l'ile de Montréal meme, ce que l'on voudrait la plus belle tour au monde (cela pourrait donner lieu a un concours international d'architecture) et peut-être meme, pourquoi pas, la plus haute tour de la planete, ce qui pourrait peut etre en faire un symbole architectural emblematique de MONTREAL. Deuxièmement puisque l'on ne sait pas encore quoi faire du silo #5 serait-il possible d'en faire un carrefour, offrant des salles d'expositions pour les evenements speciaux, mais aussi, une place destinee a nos grands musees montrealais,ou ils pourraient se côtoyer, mais aussi ou ils pourraient exposer le trop plein de leurs collections, en plus de representer une invitation a visiter leur adresse en ville, ca pourrait etre une tres grande attraction pour les touristes et peut-être une invitation de prolonger leur sejour. Quelqu'un pourrait-t-il me dire si quoi que ce soit a été fait sur la suggestion d'Alain Simard de créer sur le site de l'expo et avec la participation des pays et (compagnies) ayant participe a EXPO67 d'un grand symposium de sculptures monumentales et architecturales, si rien n'a été fait, pourquoi M, Simard ne prendrait-t-il pas le baton du pelerin.
  15. Le boulevard Laurier se densifie rapidement pour une ville de la taille de Québec. Devenue en quelque sorte le nouveau ''centre-ville'', voici une nouvelle tour qui pourrait se construire sur le parking du club-bar l'Ozone (un bar de douchebag à Québec ). Elles ont un beau design, une bonne hauteur pour le secteur, donc bref, c'est un plus pour Québec!
  16. La Cité du cinéma prend de l'expansion. (Montréal) Les studios Mel's pourraient bientôt accueillir davantage de blockbusters hollywoodiens. Leur propriétaire, Vision Globale, a conclu une entente avec la Ville de Montréal pour acheter un terrain de 260 000 pi2 voisin de ses studios actuels dans le Technoparc et y construire de nouveaux studios de tournage. Vision Globale, qui a payé 362 536$ pour ce terrain vacant de 258 954 pi2 près de l'autoroute Bonaventure en bordure du centre-ville de Montréal, investira au moins 10 millions pour y construire des studios de tournage. Les studios Mel's/La Cité du cinéma comptent déjà 18 studios de tournage sur quatre sites dans la région de Montréal. Il n'y a toutefois qu'un seul studio (celui de 36 500 pi2) qui peut accueillir un film américain à grand déploiement. À titre d'exemple, ce studio héberge actuellement l'équipe de X-Men: Days of Future Past, un film mettant en vedette Hugh Jackman, Jennifer Lawrence et Ellen Page. À l'été 2011, Montréal avait perdu trois blockbusters américains en raison de son manque de studios de très grande taille. La construction de nouveaux studios réglera-t-elle le problème? Difficile à dire pour l'instant puisque la Cité du cinéma n'a pas décidé si elle allait bâtir un autre studio d'environ 35 000 pi2 sur son nouveau terrain. «Ce n'est pas encore décidé. Nous travaillons sur plusieurs maquettes, à savoir si nous allons construire un grand studio ou plusieurs petits studios», dit Michel Trudel, président de la division studios et équipement de Vision Globale. L'entreprise Vision Globale, propriété de l'actionnaire majoritaire Mathieu Lefebvre, a acheté les studios Mel's et sa filiale Locations Michel Trudel en décembre dernier. Un monopole renforcé Le gouvernement du Québec s'est déjà inquiété du fait que seule la Cité du cinéma possède des studios assez grands pour intéresser les producteurs d'Hollywood. Dans un rapport remis au gouvernement en juin 2012, le président de la SODEC, François Macerola, a conclu que l'offre aux producteurs est suffisante mais qu'elle peut avoir des désavantages. «Cette offre est en situation de quasi-monopole qui a parfois des effets négatifs sur l'industrie du cinéma et de la télévision du Québec et ses artisans, et auprès des majors américains qui exigent normalement de baser leurs décisions sur un processus d'appel d'offres», a-t-il écrit. Les films Source Code, The Aviator, The Day After Tomorrow, The Curious Case of Benjamin Button et White House Down, notamment, ont été tournés à la Cité du cinéma. La vente du terrain vacant dans le Technoparc a été approuvée mercredi dernier par le comité exécutif de la Ville de Montréal. Avant d'être officialisée, la transaction doit être approuvée par le conseil municipal de la Ville de Montréal le 17 juin. Selon le sommaire décisionnel de la Ville, Vision Globale peut construire sur 80% de l'espace du terrain, le reste étant utilisable uniquement à des fins de stationnement. Vision Globale s'est engagée à décontaminer le terrain et à commencer la construction de ses nouveaux studios d'ici deux ans, sous peine d'une pénalité de 1500$ par jour de retard. «Il faut attendre qu'il y ait moins de tournages pour commencer les travaux, car nous ne pouvons pas construire en même temps qu'un tournage à cause du bruit, dit Michel Trudel. Avec tous les tournages que nous amenons de Los Angeles, il faudra attendre un peu. Sinon, nous pourrions construire la nuit.» La Ville de Montréal estime cette transaction «profitable» car les nouveaux studios permettront «d'accroître la vitrine cinématographique de Montréal» et de décontaminer le terrain ayant servi de site d'enfouissement pendant 140 ans. Le prix de vente minimal du terrain de 24 057 m2 sera de 15,07$ par mètre carré. La Cité du cinéma discutait avec la Ville depuis environ deux ans pour acheter ce terrain, qu'elle a déjà loué pour y installer de l'équipement. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201306/07/01-4658719-la-cite-du-cinema-prend-de-lexpansion.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS4
  17. Petit projet situé juste en face du métro Charlevoix. Lors de ma tournée la semaine dernière j'ai aperçu le terrain sur lequel sera construit ce petit projet et il est littéralement en face de la station de métro. Je suis estomaqué que l'on puisse construire des stationnements pour un si petit projet alors que le métro est à 30 secondes de marche. Si quelqu'un peut uploader la photo allez-y car je n'y arrive pas. http://www.gcaimmobilier.com/
  18. Assemblée publique de consultation - 25 août 2008 Ville-Marie ASSEMBLÉE PUBLIQUE DE CONSULTATION Les personnes intéressées sont priées de noter que le conseil d’arrondissement, à sa séance du 5 août 2008, a adopté les premiers projets dont la description suit. a) Résolution accordant à certaines conditions, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (CA-24-011) et en dérogation aux articles 10, 61, 68, 97 et 369 (2) du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement Ville-Marie (01-282), l’autorisation de construire un édifice de 10 étages sur le lot 2 162 266 situé du côté nord du boulevard René-Lévesque, entre les rues Labelle et Saint-Hubert. :thumbsup:
  19. J'ai de la misère à croire qu'on ait pu détruire ce joyaux. C'est inacceptable et inconcevable !!! Même pour y construire une tour de 200 étages, j,aurais été contre. What a shame... Source : http://www.imtl.org/edifices/Bureau-de-Poste-central.php
  20. http://www.radio-canada.ca/nouvelles...er-sante.shtml CHUM Vers une technopole de la santé La première pelletée de terre en vue de construire le futur Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) paraît encore loin, mais il est déjà question de créer un quartier de la santé au centre-ville de Montréal. Radio-Canada a appris qu'un organisme vient d'être créé dans le but d'attirer des établissements de recherche autour du CHUM. Le nouvel organisme sans but lucratif aura le mandat d'attirer plusieurs des quelques 600 centres de recherches en sciences de la vie de la région à élire domicile entre le CHUM et le palais des Congrès. Radio-Canada a aussi obtenu des images de la nouvelle maquette du CHUM. Les administrateurs du projet prévoient construire de nouvelles tours dans lesquelles seront logés les futurs centres de recherches. Ces investissements sont inclus dans les quelque 1,5 milliard de dollars prévus pour l'ensemble du projet. Les premiers 55 millions de dollars ont déjà été débloqués, notamment pour acheter l'immeuble de Vidéotron, qui sera transformé en centre d'enseignement. Par ailleurs, le conseil d'arrondissement de Ville-Marie doit adopter, mardi soir, des projets de règlements qui mèneront à la tenue d'une consultation publique sur le développement du nouveau CHUM, en octobre, puis à l'émission des différents permis.
  21. Nouveau projet de centre commercial à Laval 26-11-2010 (modifié le 26-11-2010 à 13:16) Ivanhoé Cambridge veut construire un énorme centre commercial à l’est de la future autoroute 25, à Laval, a appris lesaffaires.com. Selon nos sources, la filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec négocie avec les propriétaires des terrains, dont la majeure partie appartient au promoteur Monit International. À l’angle de la 440, dans l’est de la ville, Ivanhoé Cambridge veut construire une méga galerie marchande sur le modèle de ses «Mills», comme à Vaughan, en Ontario, et à Calgary. Ces centres commerciaux ont une surface locative de plus d’un million de pieds carrés, soit l’équivalent de plus de 14 terrains de soccer. C’est presque aussi grand que le Carrefour Laval, qui compte 1,3 million de pieds carrés. Les deux «Mills» ont coûté environ 400 millions de dollars chacun à construire, en incluant les coûts de financement. Ivanhoé Cambridge a refusé de confirmer qu’il avait trouvé un emplacement pour ce centre. «On ne peut pas commenter ces rumeurs. On cherche toujours, dit Douglas Harman, vice-président, Développement, Région de l’Est. Ce n’est pas facile : ça prend des centaines d’hectares.» Une source à la Ville de Laval indique cependant que des discussions sont en cours avec l’administration pour construire le centre commercial. Le porte-parole officiel n’a cependant pas fourni d’informations à ce sujet. Le propriétaire des terrains concernés, Monit International, n’a pas commenté. Commerces et attractions Douglas Harman précise qu’en comptant les servitudes et les stationnements nécessaires pour un centre commercial de cette envergure, Ivanhoé Cambridge a besoin d’«au moins cinq millions de pieds carrés» pour construire un «Mills». Ivanhoé Cambridge a ouvert le Vaughan Mills, au nord de Toronto, en 2004, et le Cross Iron Mills, à Calgary, l’an dernier. La filiale de la Caisse cherchait depuis des années l’emplacement propice à Montréal. Les magasins à grande surface, comme Sears et Zellers, sont absents de ces projets, indique Douglas Harman. «Normalement, ils comprennent une quinzaine de commerces de 20 000 à 50 000 pieds carrés », dit-il. Le concept de «Mills» d’Ivanhoé Cambridge comprend aussi des attractions de divertissement. «À Vaughan, nous avons ouvert un Nascar SpeedPark, une piste de kart», illustre le vice-président. Le centre commercial abrite aussi un salon de quilles. Avec Marie-Eve Fournier http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/nouveau-projet-de-centre-commercial-a-laval/520949
  22. Voici donc ma vision extensive du métro de Montréal! Un peu plus du double des stations actuelles. Couverture de Dorval à Georges-V, de Rivière-des-Prairies à Ville Saint-Laurent! Pas d'ajouts sur la rive-sud, simplement parce que je n'avais pas la carte, mais ça viendra un jour! Même chose pour Laval, où je n'ai que bouclé la boucle sans m'attarder à voir si la ligne y fait du sens! J'ai, en général, placé les stations là où il semblait avoir une certaine densité ou un point d'intérêt à proximité. Il est possible que certaines d'entre elles ne soient pas possible à construire pour une raison X ou Y, et j'en suis bien conscient, donc ne jugez pas trop sur l'emplacement exact! Aussi, je suis conscient que c'est un projet irréaliste, du moins d'ici 2200, mais ça reste avant tout une vision. VERSION ORIGINALE 4327 x 3580 PIXELS ICI. Et en détail:
  23. Un nom pour le projet ! Des rendus ! Et plus d'information ! Avec un IGA et 40 HLM je vois mal comment ce projet pourra être refusé par les NIMBYS ************************ L'Atelier Chaloub + Beaulieu Architectes conçoit un projet à la volumétrie complexe qui respecte le gabarit du bâtiment de 4 étages situé sur le boulevard Gouin et possède une densité urbaine plus élevée dans sa partie sud avec ses 8 étages. Le projet s'implante sur rue de façon à construire un front bâti sur le périmètre du site, ce qui permettra d'aménager un jardin en son centre. Les derniers étages en retrait ont des terrasses généreuses avec vue sur la rivière ou la ville. Client : Les Constructions Beau Design inc. 40 logements sociaux 120 unités d'habitation en copropriété Espace commercial de 30 000 pi ca (Sobeys-IGA) Stationnement intérieur étagé Bâtiment de 8 étages Structure en béton http://www.ateliercba.com/
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