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  1. via LaPresse Plans de garantie: Québec va discipliner les entrepreneurs Publié le 05 décembre 2013 à 11h04 | Mis à jour à 11h04 ISABELLE DUCAS La Presse Après plusieurs années de discussions et de délais, Québec va de l'avant pour retirer aux associations d'entrepreneurs la gestion des plans de garantie pour les maisons neuves, pour mettre fin aux conflits d'intérêts dans l'indemnisation des propriétaires aux prises avec des défauts de construction. À partir d'octobre 2014, les plans de garantie relève d'un organisme à but non lucratif indépendant, ce qui devrait assurer une meilleure qualité de la construction résidentielle, des sommes plus élevées pour indemniser les acheteurs et plus d'informations sur les entrepreneurs à problèmes. Les trois plans de garantie existants sont actuellement administrés par des associations d'entrepreneurs, l'Association de la construction du Québec (ACQ) et l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ). Les regroupements de consommateurs estimaient que le système actuel protégeait mal les acheteurs de maisons neuves en cas de problèmes, puisque les administrateurs des plans de garantie devaient sévir contre leurs propres membres. «De nombreux consommateurs avaient l'impression que les administrateurs des plans de garantie étaient à la fois juges et parties. La structure permettra d'éliminer les conflits d'intérêts», souligne la ministre du Travail, Agnès Maltais, qui dit avoir entendu «des histoires d'horreur» en pilotant les travaux qui ont mené aux changements annoncés hier. Les acheteurs de nouvelles maisons ou de condos dans des édifices de quatre étages et moins devront payer plus cher pour la couverture offerte par le plan de garantie. Pour une maison, la prime passe de 850$ à 1050$, et pour un condo, elle passe de 1250$ à 1550$. Ces sommes pourraient être plus élevées pour les entrepreneurs dont la feuille de route est entachée de nombreuses réclamations ou de manquements à leurs obligations. À cette facture, il faut ajouter une somme de 300$ comme contribution à un fonds de réserve destiné aux indemnisations en cas de sinistre majeur, mis en place l'année dernière à la suite des problèmes de pyrrhotite dans la région de Trois-Rivières, qui touchent environ 4000 propriétés. La ministre Maltais estime que cette augmentation ne devrait pas indisposer les consommateurs, qui seront assurés à l'avenir d'une meilleure protection de leur maison, «le plus important achat de leur vie», souligne-t-elle. «On a surtout augmenté le montant des cautions exigées des entrepreneurs, pour s'assurer que ce sont des entreprises aux reins solides, sérieuses et qui ne vont pas disparaître dans la nature.» Des sanctions sont aussi prévues pour les constructeurs qui ne respectent pas leurs obligations dans le cadre des plans de garanties. Satisfaction chez les consommateurs Les changements sont très bien accueillis par deux groupes qui talonnaient depuis longtemps le gouvernement à ce sujet, l'Association des consommateurs pour la qualité dans la construction (ACQC) et le Regroupement des gestionnaires et copropriétaires du Québec (RGCQ). Il faut dire que le gouvernement libéral avait d'abord déposé un projet de loi pour permettre de tels changements, en 2011. Mais les changements réglementaires n'avaient pas pu être mis en vigueur avant les élections. Le gouvernement du Parti québécois a poussé les modifications un peu plus loin que l'administration précédente. «Nous sommes ravis de voir que les plans de garantie ne seront plus entre les mains des entrepreneurs, a réagi l'avocat Yves Joli-Coeur, porte-parole du RGCQ. L'introduction d'une politique d'inspection, entre autres, montre qu'on veut s'assurer que les maisons seront mieux construites. Les entrepreneurs auront un meilleur incitatif à surveiller la qualité pour éviter les réclamations à leur endroit.» Une somme est prévue pour financer des services d'accompagnement des propriétaires aux prises avec des problèmes, souligne Jean Dion, porte-parole de l'ACQC. «Comme les consommateurs auront des sièges au conseil d'administration, on pourra mieux suivre les procédures de réclamations», note-t-il. La Coalition Proprio-Béton, qui représente les propriétaires aux prises avec des problèmes de pyrrhotite, a qualifié les changements de «grande victoire». «Des associations d'entrepreneurs avaient un monopole qui leur permettait d'engranger des millions de dollars, alors que des propriétaires ne réussissent pas à se faire indemniser quand des problèmes importants surviennent», a dénoncé Yvon Boivin, président de la coalition. À la suite des problèmes de fondations en Mauricie, le plan de Garantie des bâtiments résidentiels neufs de l'APCHQ a été mis en tutelle l'été dernier, parce que son fonds de réserve ne suffisait plus à répondre aux réclamations. L'APCHQ, la plus importante association d'entrepreneurs, qui gère aussi la garantie Abritat, n'a pas souhaité réagir aux changements annoncés hier. ------------------- QUELQUES CHIFFRES Coût des primes pour les plans de garantie : > Maison unifamiliale : Augmente de 850$ à 1050$ > Condo dans un édifice de moins de quatre étages : Augmente de 1250 à 1550$ Indexé annuellement Montant de la couverture en cas de défaut de construction: > Maison unifamiliale : Augmente de 130 000$ à 200 000$ > Édifice à condos de moins de quatre étages : Augmente de 2,6 millions à 3 millions Cautions à verser par les entrepreneurs : Augmentent de 35 000$ à 70 000$ ou 100 000$, selon la catégorie d'entrepreneurs Au conseil d'administration du nouvel organisme à but non lucratif : 13 membres, dont : > 3 représentants des consommateurs > 3 représentants des entrepreneurs > 2 professionnels du secteur du bâtiment > 1 professionnel du secteur du droit > 3 représentants du milieu gouvernemental
  2. Les Canadiens sont toujours en voie d'atteindre une année record en ce qui a trait au niveau d'endettement personnel, même s'ils ont terminé 2013 en réduisant légèrement la somme d'argent qu'ils doivent à leurs créanciers, a indiqué mercredi l'agence de surveillance du crédit TransUnion. À la fin de l'année, les Canadiens cumulaient en moyenne des dettes de 27 368 $ sur diverses lignes de crédit, cartes de crédit et prêts automobiles, a indiqué TransUnion dans une étude dévoilée mercredi. Ce montant est en baisse de 117 $, soit 0,42%, par rapport à celui de 27 485 $ du quatrième trimestre de 2012 - le plus haut niveau d'endettement jamais affiché, en excluant les dettes hypothécaires. «Nous nous sommes fait dire encore et encore et encore, de la part de tant de personnes, que nous devions réduire cette dette, mais nous n'y arrivons pas», a observé le vice-président des services d'analyse et de décision de TransUnion, Thomas Higgins. TransUnion prévoit toujours que la dette moyenne des consommateurs canadiens, en excluant les prêts hypothécaires, atteindra le sommet record de 28 853 $ d'ici la fin de 2014. «Il n'y a rien qui nous laisse croire que les niveaux d'endettements vont commencer à reculer de façon assez importante», a poursuivi M. Higgins depuis Toronto. «En ce moment, nous nous dirigeons toujours (vers une plus haute dette), certainement.» Les Canadiens ont commencé à accumuler des dettes dans les années précédant la récession de 2008, a expliqué M. Higgins. Selon lui, il faudrait que la dette personnelle des Canadiens diminue de façon soutenue d'entre 500 $ et 1000 $ sur quatre à six trimestres avant de pouvoir dire qu'une tendance à la baisse se dessine. Au cours du dernier trimestre de 2013, la dette sur les cartes de crédit et les lignes de crédit des consommateurs a légèrement reculé, a noté M. Higgins. Mais si les consommateurs ont moins dépensé pendant leurs courses des Fêtes, ce n'est que parce qu'ils ont profité de «meilleurs rabais», et non parce qu'ils ont volontairement réduit leurs dépenses, a-t-il estimé. L'étude a en outre montré que les taux de délinquance sur les prêts du trimestre terminé le 31 décembre avaient reculé, ce qui signifie que les consommateurs sont en mesure de faire les paiements minimaux sur leurs dettes. M. Higgins a cependant prévenu que si quelque pépin devait survenir et avoir un impact sur l'économie, les marchés ou les taux d'intérêt, les taux de délinquance seraient normalement les premiers à être touchés. Entre-temps, l'étude a permis de montrer que les résidents de Vancouver sont les Canadiens qui ont le plus augmenté leur endettement - il a atteint 41 077 $ à la fin de l'année, en hausse de sept pour cent par rapport à 38 357 $ en 2012. Les Montréalais, à l'inverse, ont réussi à réduire leur dette de 5,5% et celle-ci est passée de 19 651 $ à une moyenne de 18 563 $, la plus faible parmi les résidents des grandes villes canadiennes. Selon M. Higgins, les Vancouvérois jouissent généralement de salaires plus élevés qui leur permettent de contracter de plus grosses dettes, tandis que les consommateurs de Montréal économisent habituellement avant d'effectuer de gros achats, ou bien règlent leurs factures avec des cartes de débit. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201402/26/01-4742513-endettement-eleve-au-canada-mais-pas-autant-a-montreal.php
  3. Les vendeurs et les constructeurs automobiles canadiens suggèrent à Ottawa de mettre en place un incitatif de 3500$ pour les consommateurs qui changent leur veille voiture pour une neuve, comme cela se fait en Europe. Pour en lire plus...
  4. L'économie américaine montre des signes encourageants * Presse Canadienne, * 07:33 L'économie américaine commence à montrer des signes intéressants de reprise, à la lumière de nouvelles données publiées hier. La glissade du secteur de la fabrication a ralenti; les constructions domiciliaires sont en hausse et les consommateurs n'ont pas réduit autant leurs dépenses que les experts le craignaient. Malgré l'annonce de la banqueroute du géant de l'automobile General Motors, les investisseurs et les économistes se sont réjouis des nouvelles encourageantes provenant du front économique. La moyenne Dow Jones a grimpé de plus de 211 points lundi, une augmentation de 2,6 pour cent. Les autres principaux indices ont aussi progressé de plus de 2 pour cent. "Ce qui ressemblait à la lueur d'une chandelle vacillante au bout d'un tunnel se transforme à la lumière d'un phare, s'est réjoui, Richard Tamarone, un économiste d'Argus Reseach. Nous ne sommes plus dans les mâchoires de la récession. Nous pourrions n'être qu'à quelques mois de la reprise." Les économistes sont encouragés par un rapport de l'institut des gestionnaires en approvisionnement, qui démontre que l'activité manufacturière avait ralenti moins rapidement que prévu. La situation est identique en Asie et en Europe. L'indice de l'Institut a atteint 42,8, un sommet depuis septembre. Il était de 40,1 en avril. Un indice inférieur à 50 indique une activité au ralenti mais ce chiffre est supérieur aux prévisions des économistes. Par ailleurs, un indice des nouvelles commandes placées auprès des usines américaines s'est élevé à 51,1 en mai, une première augmentation depuis novembre 2007. De plus, les stocks des commerces diminuent, cela qui laisse présager qu'ils auront besoin de se réapprovisionner de nouveau, favorisant la production dans les usines et aidant l'économie en général. "Le pire est passé pour les usines américaines", a soutenu Cliff Waldman, économiste pour Manufacturers Alliance/MAPI. Toutefois, nous sommes à des mois d'une véritable reprise. La situation de l'économie mondiale demeure difficile et les conditions financières, elles, demeurent problématiques. Mais de meilleurs jours sont devant nous." Selon le département américain du Commerce, les dépenses de la construction ont augmenté de 0,8 pour cent en avril alors que les économistes prédisaient une baisse de 1,2 pour cent. Les dépenses dans ce domaine ont augmenté pour un deuxième mois d'affilée après cinq baisses consécutives. Les consommateurs ont réduit leurs dépenses d'un maigre 0,1 pour cent en avril; les experts prévoyaient une baisse de 0,2 pour cent. Il s'agit cependant de la deuxième baisse mensuelle d'affilée, ce qui démontre que les consommateurs demeurent inquiets.
  5. Vers une période soutenue de croissance au Canada Publié le 25 mai 2009 à 16h19 | Mis à jour à 16h22 La Presse Canadienne, Ottawa Les Canadiens peuvent s'attendre à une période soutenue de solide croissance au cours de la décennie à venir, mais cette période sera différente de la plus récente qui s'est soldée par un effondrement de l'économie, selon un rapport de la Banque CIBC.(T.TCM) La prochaine décennie verra l'économie mondiale changer de façon fondamentale, mais aura aussi des airs de déjà-vu pour le Canada puisque l'ouest du pays retrouvera sa place au premier plan, le dollar canadien sera fort et la valeur des actions montera en flèche, affirment les économistes de la CIBC. L'économie canadienne dépendra moins des consommateurs ou des Etats-Unis, ce qui constituera pour elle le plus important changement, ont écrit dans leur rapport les économistes Avery Shenfeld et Benjamin Tal. Dans l'ensemble, les deux spécialistes dressent un portrait rose d'une décennie qui se mettra en branle lentement l'an prochain, mais qui démarrera vraiment grâce à la croissance mondiale et la poussée de la demande des consommateurs dans les économies émergentes comme la Chine et l'Inde, de même que dans les pays riches en pétrole comme les nations membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et la Russie. «Je suis optimiste, en particulier par rapport à ceux qui disent que l'économie s'est enfoncée dans un trou si profond (...) que nous allons en payer le prix», a indiqué M. Shenfeld, économiste principal à la CIBC. «Ce n'est pas parce que la croissance de la dernière décennie reposait de façon exagérée sur un effet de levier que nous sommes condamnés à une lente décennie de croissance mondiale», a-t-il ajouté. L'économie du Canada sera stimulée par les exportations, en particulier celles des produits de base, dont les prix retrouveront une partie de leur lustre grâce à la hausse de la demande dans les marchés en pleine croissance. «Nous n'allons pas rompre nos liens avec l'économie américaine, mais la nature de ce que nous vendons dans le monde sera beaucoup plus déterminée par la demande en provenance de l'Extrême-Orient. Même (dans le cas des matières premières) que nous vendons aux Etats-Unis, les prix seront davantage déterminés par l'Extrême-Orient», a indiqué M. Shenfled. La baisse de l'importance des Etats-Unis aura un impact sur le dollar américain, qui perdra 20 pour cent de sa valeur au cours de la décennie, selon le rapport. En contrepartie, la valeur du huard sera de nouveau supérieure à celle du dollar américain. Cela aura un effet négatif sur le secteur manufacturier du Canada central et les exportations de produits forestiers, mais profitera au secteur des ressources de l'Ouest.
  6. Les consommateurs américains reprennent confiance * Anne Robert, Lesaffaires.com * 10:54 L’indice de confiance des consommateurs américains que tient le Conference Board a grimpé plus de 12 points en avril. L’indice du Conference Board est passé de 26,9 points en mars à 39,2 points en avril, soit un bond de 12,3 points. Lynn Franco, directrice du centre de recherche sur les consommateurs du Conference Board estime que ce sont surtout les perspectives de court terme qui se sont améliorées. Les consommateurs pensent que l’économie se rapproche du plancher», dit-elle, tout en avertissant que le niveau actuel de l’indice reflète malgré tout une conjoncture de récession. Quoique nombreux à dire que les affaires vont mal et que les emplois sont durs à trouver, le nombre de consommateurs pessimistes est en baisse par rapport à mars dernier.
  7. Commerce de détail - Les Québécois perdent confiance La Presse canadienne Édition du mardi 07 avril 2009 Pour traverser la crise, les détaillants réduisent leurs marges La récession a un impact clair sur la confiance et le comportement des consommateurs québécois, et le secteur du commerce de détail doit sacrifier une portion de ses marges de profit pour se maintenir. Le Conseil québécois du commerce de détail a présenté hier les résultats d'un vaste sondage qui démontre que la confiance des consommateurs québécois est à son plus bas niveau depuis 2004, soit depuis que le Conseil mesure cet indice. Celui-ci a chuté de 23 points depuis le sommet de l'automne 2007 pour se situer à 81,4, glissant en deçà de son creux précédent de 86,6, atteint au lendemain de l'ouragan Katrina à l'automne 2005, alors que les prix du pétrole étaient en forte hausse. De plus, près des deux tiers des répondants (62 %) croient que la situation économique du Québec se détériorera au cours des 12 prochains mois, comparativement à 37 % il y a un an. Quant à leur propre situation financière, 63 % des ménages affirment qu'elle n'a pas changé, une proportion identique à l'année précédente, mais seulement un sur dix (11 %) dit constater une amélioration, comparativement à un sur cinq (21 %) l'an dernier, alors que 26 % affirment que leur situation s'est détériorée, soit 10 % de plus qu'en 2008. Fait à noter, parmi les ménages dont la situation s'est détériorée, une proportion de 18 % imputent cette situation à la diminution de la valeur de leurs placements, ce qui reflète directement la crise financière. «Dans le sondage précédent, l'année dernière, seulement 3 % identifiaient cette cause comme un des éléments principaux ayant causé la détérioration de leur situation financière», a précisé en conférence de presse le président du Conseil québécois du commerce de détail, Gaston Lafleur. Conséquemment, les consommateurs québécois ajustent leurs habitudes. Alors que 18 % disent n'avoir aucunement modifié leur comportement, d'importantes majorités disent rechercher davantage les rabais (69 %), fréquenter les mêmes magasins, mais acheter moins (62 %) ou encore fréquenter davantage les magasins moins chers (59 %). Deux consommateurs sur cinq (39 %) adoptent ces trois comportements. M. Lafleur a souligné que les détaillants parviennent à tirer leur épingle du jeu en se tournant notamment vers les soldes, réduisant de ce fait leur marge bénéficiaire. «Si on regarde par exemple le secteur du vêtement, plusieurs de nos détaillants ont quand même connu des ventes intéressantes, mais c'était au détriment des marges, parce qu'on a dû solder davantage. [...] Les ventes sont toujours présentes, mais par contre la marge bénéficiaire en prend pour son rhume», a-t-il dit. Les intentions d'achat des Québécois sont d'ailleurs révélatrices: ils anticipent réduire leurs dépenses dans toutes les catégories de biens courants, les baisses les plus fortes étant prévues dans les appareils audio et vidéo (-40 %), les meubles et électroménagers (-36 %), le matériel informatique (-31 %), les restaurants (-29 %) et les articles de sport (-28 %). Curieusement, toutefois, un ménage sur quatre prévoit malgré tout réaliser un achat important au cours de l'année, qu'il s'agisse d'une maison, d'un véhicule ou d'appareils électroménagers, une proportion qui se maintient d'une année à l'autre. «Je ne pense pas que les consommateurs québécois soient en situation de panique, mais ils seront probablement plus judicieux dans leurs sélections et leurs choix», a dit M. Lafleur. Le sondage a été réalisé par la firme AltusGéocom entre le 25 février et le 12 mars auprès de 1007 répondants. Sa marge d'erreur est de plus ou moins 3,2 %, 19 fois sur 20.
  8. Le début de l'ère de la postconsommation? Publié le 31 mars 2009 à 06h42 | Mis à jour le 31 mars 2009 à 06h44 La Presse (Montréal) Avis aux détaillants qui attendent la fin de la récession pour voir les consommateurs se ruer à nouveau dans leurs magasins: ceux-ci risquent de bouder les centres commerciaux beaucoup plus longtemps que prévu. Et la crise économique n'est que la pointe de l'iceberg qui s'apprête à frapper de plein fouet le commerce de détail. C'est en tout cas ce que prédit Dan Stanek, vice-président exécutif de la firme de recherche en commerce de détail TNS Retail Forward. Cet homme, qui possède 25 ans d'expérience en marketing et qui a conseillé des clients de la trempe de Wal-Mart et Toys-R-Us, va même jusqu'à prédire que la crise économique ne fera qu'accélérer notre entrée dans «l'ère de la postconsommation». «Les consommateurs ne font pas que réagir à la crise, a expliqué hier M. Stanek devant une assemblée de commerçants qui voient les clients délaisser leurs magasins. Ils sont en train de renforcer un nouveau modèle de consommation qui s'installe depuis quelques années.» Son allocution, prononcée dans le cadre du Congrès annuel du commerce de détail québécois, visait à démontrer que l'époque où les Occidentaux étalaient leur richesse en consommant tout et n'importe quoi est en train de prendre fin. «La surconsommation n'est plus un signe de succès. Les gens rient de la surconsommation», a dit le conférencier en montrant quelques sites web qui se moquent du consumérisme. Et cette idée de «dépenser moins et vivre mieux» dépasse largement le cercle des anticapitalistes purs et durs. M. Stanek observe que même les plus fortunés sont en train de changer leurs habitudes. «L'idée n'est plus d'en mettre plein la vue avec le luxe et les marques connues», dit-il. Selon lui, la volonté de réduire sa consommation s'allie aujourd'hui aux préoccupations environnementales pour former un «alliage très fort». «On fait rimer économie et écologie. On n'est pas seulement en train de sauver la planète. On sauve aussi de l'argent en même temps.» Mouvement accéléré Nul doute que la crise économique est en train d'accélérer le mouvement. Les consommateurs qui ont vu la valeur de leur maison dégringoler au même rythme que leurs placements n'oublieront pas de sitôt leurs mésaventures, croit M. Stanek. Mais pour lui, «les facteurs économiques ne sont que la pointe de l'iceberg». Et il est faux de croire que la tendance s'inversera aussitôt la crise passée. «Ce n'est pas quelque chose qui va disparaître, dit M. Stanek. Et ce n'est pas une bonne nouvelle pour les détaillants.» En marge de son allocution, M. Stanek a affirmé à La Presse Affaires que les détaillants canadiens pourraient être particulièrement touchés par cette nouvelle mouvance. «Chez vous, près des deux tiers du commerce de détail se fait par des détaillants indépendants. Ces gens n'ont peut-être pas les ressources pour faire face à la tempête. D'un autre côté, la récession a retardé les plans de bon nombre de détaillants américains qui voulaient étendre leurs opérations au Canada. Ça donne la chance aux détaillants canadiens de se repositionner.» Et comment, justement, se repositionner? Tout conférencier qui se respecte donne ses trucs en temps de crise pour «transformer les difficultés en opportunités». Ceux de M. Stanek: d'abord comprendre ce changement de valeurs des consommateurs, puis répondre à leur désir d'économiser et de sauver la planète. Autre filon: si les consommateurs délaissent les marques, ils recherchent aujourd'hui des produits uniques, personnalisés, qui leur ressemblent. M. Stanek a donné plusieurs exemples hier, dont Keds, un fabricant de chaussures qui permet aux clients de faire eux-mêmes le design de leurs chaussures sur internet, où la chaîne de magasins Macy's, qui adapte maintenant chaque magasin aux besoins locaux des consommateurs.
  9. Un nombre grandissant de consommateurs est d'avis que la situation économique canadienne s'améliorera à moyen terme. Pour en lire plus...
  10. Option consommateurs met en garde les personnes détentrices de cartes de crédit contre les congés de paiement minimal offerts en janvier par des institutions financières. Pour en lire plus...
  11. Le Trésor américain a annoncé qu'il accordait un prêt à Chrysler Financial, filiale du constructeur, pour lui permettre d'accorder davantage de crédits automobiles aux consommateurs. Pour en lire plus...
  12. L'indice de confiance des consommateurs américains mesuré par l'Université du Michigan a progressé en janvier pour atteindre 61,9 points. Pour en lire plus...
  13. Les consommateurs n'ont pas été dissuadés par la crise économique d'acheter des biens de consommation technologiques, augmentant leurs dépenses mondiales de 13,7% en 2008. Pour en lire plus...
  14. Québec: la tendance à la hausse des faillites se poursuit 7 janvier 2009 - 08h56 ARGENT Sur une base annuelle - Québec: la tendance à la hausse des faillites se poursuit Le nombre total de faillites au Québec a accusé une hausse de 9,5% en novembre sur une base annualisée, mais il a cependant diminué de 5,7% par rapport à octobre. Selon les chiffres publiés mercredi par le Bureau du surintendant des faillites du Canada, 29 772 consommateurs et entreprises ont déclaré faillite pendant la période de 12 mois terminée en novembre dernier, comparativement à 27 187 l’année précédente. En novembre, un nombre total de 2766 consommateurs et entreprises ont déclaré faillite, ce qui constitue une baisse par rapport aux 2934 faillites en octobre. Le nombre de faillites des consommateurs a crû de 9,8% sur un an, passant de 25 159 à 27 626 faillites. Pour le mois de novembre seulement, le nombre de consommateurs ayant fait faillite a toutefois chuté de 7,4%, pour totaliser 2561, par rapport à octobre. Un total de 2146 faillites d’entreprises a été recensé sur une période de 12 mois, ce qui représente une hausse de 5,8% par rapport aux 2028 de l’année précédente. Selon l’organisme fédéral, 205 entreprises québécoise ont déposé leur bilan en novembre, en hausse de 22% sur les 168 faillites déclarées en octobre. Canada Au pays, la tendance globale est semblable à celle du Québec, avec une progression de 9% sur une base annualisée, pour un total de 94 134 faillites.
  15. Les représentants de 27 pays producteurs et consommateurs de pétrole réunis à Londres tentent de trouver des solutions pour endiguer l'effondrement des prix de l'or. Pour en lire plus...
  16. CIBC : Montréal perd son élan * Anne Robert, Lesaffaires.com * 10:08 On fait faillite plus fréquemment à Montréal. L’activité économique a considérablement ralenti à Montréal lors des six derniers mois selon une étude économique de la banque CIBC. L’emploi s’enlise, les faillites sont élevées et l’immobilier ralentit. Montréal a ainsi perdu de son élan lors des six derniers mois. Elle ne se classe qu’au 13ème rang de la liste des villes canadiennes les plus dynamiques. La grande gagnante du dynamisme est Regina, ville du Saskatchewan portée par les développements dans les matières premières et l’énergie. Malgré la crise financière, Toronto demeure deuxième. À Montréal, le nombre d’emplois a reculé entraînant les consommateurs dans un cercle vicieux de faillites. 35 consommateurs sur 10 000 sont en faillite, contre un taux de 20 pour 10 000 à Toronto et de 10 pour 10 000 à Calgary. Montréal est au premier rang des faillites d’entreprises. Elles sont 10 pour mille à avoir déposé leur bilan, alors qu’à Toronto le taux tombe à 7 pour 1000 et à 2 pour 1000 à Vancouver et Calgary. Au palmarès des faillites d’entreprises, Montréal, Québec, Saguenay et Trois-Rivières sont les premiers classés. L’immobilier a aussi connu un ralentissement important. Les ventes de logements ont baissé de 30% et les mises en chantier ont aussi reculé de 30%. Mais le prix moyen des logements continue de progresser, alors qu’il recule à Toronto et dans l’Ouest canadien.
  17. L'industrie canadienne des télécommunications résistera au ralentissement attendu pour 2009 et 2010, malgré une croissance qui pourrait connaître un creux de dix ans. Pour en lire plus...
  18. Chute des ventes résidentielles à Montréal 9 décembre 2008 - 10h06 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Montréal n’échappe plus au ralentissement immobilier observé partout au Canada et aux États-Unis. Lors du mois dernier, les ventes résidentielles ont chuté de 31% en comparaison avec celles de novembre 2007. Sur l’année, les chiffres pointent également vers le bas. Les ventes de propriétés sont en recul de 6% face aux résultats de l’année passée. C’est ce qu’indique la Chambre immobilière du Grand Montréal qui a publié ses statistiques, mardi matin. Durant la même période, le prix médian des maisons unifamiliales a grimpé de 3%. Au cours des 11 premiers mois de l’année, la hausse est de 6%. C’est donc dire que le marché immobilier montréalais demeure solide. «Le marché immobilier à Montréal s’est plutôt bien comporté cette année, surtout lorsqu’on considère que les prix sont en hausse et que les ventes sont comparées à celle de 2007, l’année qui a battu tous les records de ventes», a indiqué le chef de la direction de la Chambre, Michel Beauséjour. Selon la Chambre, le marché montréalais n’est toutefois «pas immunisée contre les incertitudes économiques auxquelles les consommateurs font face». Toutefois, comme elle le souligne, Montréalais subit moins de secousses que les autres grands marchés canadiens. Alors que les ventes de maisons unifamiliales ont diminué jusqu’à 37% dans des marchés comme Toronto, Calgary et Vancouver, la baisse n’a été que de 9% dans la Métropole québécoise. Selon la Chambre, les taux d'intérêt, la faible création d'emplois et la chute de la confiance des consommateurs font mal au marché immobilier.
  19. Selon le courtier en immeubles Remax, la diminution des prix pourrait atteindre 5%. Le ralentissement de l'économie affectera à la baisse la confiance des consommateurs. Pour en lire plus...
  20. Un groupe de consommateurs d'électricité, qui s'estiment lésés, remet en cause devant la Cour supérieure le fonctionnement d'Hydro-Québec, qu'ils dénoncent comme une fiction juridique. Pour en lire plus...
  21. À coup de promotions, d'ouvertures anticipées et de diverses attentions, les détaillants américains entendent ne pas lésiner sur leurs efforts pour faire oublier la crise à des consommateurs déprimés. Pour en lire plus...
  22. La confiance des chefs d'entreprises et des consommateurs s'est effondrée en novembre à son plus bas niveau depuis 23 ans dans l'Union européenne. Pour en lire plus...
  23. La confiance des consommateurs américains s'est redressée de manière inattendue en novembre à 44,9 points, après s'être effondrée jusqu'à son plus bas historique, à 38,8 points, en octobre. Pour en lire plus...
  24. L'indice de confiance des consommateurs du Conference Board du Canada a encore baissé ce mois-ci, soit à 71 points. Pour en lire plus...
  25. Après avoir avoir colmaté les brèches du secteur financier, le gouvernement britannique devait présenter lundi un budget de relance d'environ un point de PIB marqué par une baisse de TVA de 2,5 points. Pour en lire plus...
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