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  1. http://radio-canada.ca/arts-spectacl...osm-salle3.asp Une nouvelle salle pour l'OSM L'orchestre symphonique de Montréal aura finalement sa salle de concert, rapporte Le Devoir dans son édition de samedi. Le gouvernement Charest a conclu un partenariat public-privé pour la construction du nouvel édifice, qui, toujours selon le quotidien, occupera une partie de l'esplanade de la Place des Arts. La ministre de la Culture du Québec, Line Beauchamp, devrait en faire l'annonce officielle mardi lors d'une conférence de presse qui réunira le premier ministre Jean Charest, le président du conseil d'administration de l'OSM, Lucien Bouchard, et le chef Kent Nagano. Le coût du projet dépasserait quelque peu les 100 millions de dollars. La nouvelle salle devrait accueillir entre 1800 et 2200 personnes. OSM.pdf
  2. Conseil d'arrondissement, Assemblées du conseil, Autres conseils et comités, Bureau d'arrondissement Ordres du jour , Procès-verbaux 2010 - Calendrier des prochaines séances : Les séances ordinaires du Conseil d’arrondissement ont lieu à 19 heures, le deuxième lundi de chaque mois, excepté en juin, octobre et décembre. Depuis 2006, afin de se rapprocher des citoyennes et des citoyens de Ville-Marie, les élus ont décidé que les séances ordinaires du Conseil d’arrondissement se tiennent dans différents lieux. Cette décision se perpétue en 2010. Vous trouverez ci-dessous les dates ainsi que les adresses où les Conseils se dérouleront : Endroits où se dérouleront les conseils d'arrondissements 2010 Lundi 8 février, Maison de la culture Frontenac, 2550, rue Ontario Est District Sainte-Marie Lundi 8 mars, Salle du conseil, 888, boul. De Maisonneuve Est, 5e étage District Saint-Jacques Lundi 12 avril, Collège de Montréal, salle L’Ermitage, 3510, ch. de la Côte-des-Neiges District Peter McGill Lundi 10 mai, Maison de la culture Frontenac, 2550, rue Ontario Est District Sainte-Marie Mercredi 16 juin, Salle du conseil, 888, boul. De Maisonneuve Est, 5e étage District Saint-Jacques Lundi 12 juillet, Collège de Montréal, salle L’Ermitage, 3510, ch. de la Côte-des-Neiges District Peter McGill Lundi 13 septembre, Salle du conseil, 888, boul. De Maisonneuve Est, 5e étage District Saint-Jacques Mardi 12 octobre, Maison de la culture Frontenac, 2550, rue Ontario Est District Sainte-Marie Lundi 8 novembre, Collège de Montréal, salle L’Ermitage, 3510, ch. de la Côte-des-Neiges District Peter McGill Mercredi 15 décembre, Salle du conseil, 888, boul. De Maisonneuve Est, 5e étage District Saint-Jacques 2550, rue Ontario Est Page d'erreur
  3. Je crois que ça a passé sous le radar régional mais "Les Centres d’Achats Beauward" prévoient construire un nouveau centre de congrès à St-Hyacinthe, agrémenté d'un hôtel de 200 chambres à proximité de l'ancien Hôtel des Gouverneurs qu'ils ont acquis et qu'ils vont démolir (c'était tout pourri apparemment). En gros, ils reconstruisent un équivalent contemporain, connecté à leur centre d'achat. Pour la petite histoire locale, il y a une guéguerre avec un autre centre d'achat de la région, ça s'accuse de magouilles etc, il y a des détails dans l'article. Ah, oui, le PA de Beauward est ni plus ni moins que Marc-A. Bibeau.
  4. La mairie http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,40613589&_dad=portal&_schema=PORTAL Bureau du maire Biographie Allocutions Messages du maire Visite de l'hôtel de ville Joindre le maire http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5997,40647561&_dad=portal&_schema=PORTAL Vie politique Comité exécutif Conseil municipal Conseils d'arrondissement Conseil d'agglomération Présidence du Conseil Organisation municipale Consultations publiques Élus municipaux Conseils consultatifs Organismes indépendants http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,40663559&_dad=portal&_schema=PORTAL Calendrier politique Comité exécutif Conseil municipal Conseil d'agglomération Conseils d'arrondissement Consultations publiques http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,40667570&_dad=portal&_schema=PORTAL Démocratie participative Consultations publiques » Droit d'initiative en matière de consultation publique » Commissions permanentes » Chantier sur la démocratie » Charte montréalaise des droits et responsabilités » http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,76235669&_dad=portal&_schema=PORTAL Grands dossiers Accessibilité universelle - Plan d'action Affaires Communauté Culture Droits et réglementation Économie Environnement et développement durable Familles Habitation Urbanisme Politique et démocratie Patrimoine Sécurité http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,41103632&_dad=portal&_schema=PORTAL Administration municipale Organigramme de la Ville de Montréal Guide de conduite à l’égard des valeurs de l’organisation destiné aux employés de la Ville de Montréal Les services corporatifs http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,40679561&_dad=portal&_schema=PORTAL Salle de presse Communiqués Recherche d’information Index A-Z Grands dossiers Réseau ACCÈS MONTRÉAL Les médias sociaux à la Ville [*]Les symboles officiels de Montréal » http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,40709559&_dad=portal&_schema=PORTAL
  5. Nouveau projet de 300 logements à Montréal Mise à jour le vendredi 15 octobre 2010 à 18 h 24 L'ancien joueur vedette du Canadien Serge Savard et ses partenaires d'affaires projettent de reconvertir l'ancien Institut des sourds et muets de Montréal en immeuble résidentiel. Le groupe Thibault, Messier, Savard et associés (TMSA), en partenariat avec Développements McGill, compte y construire 300 appartements, a confirmé à Radio-Canada.ca Martin Galarneau, vice-président Affaires corporatives et développement chez TMSA. Un logement sur quatre serait destiné aux familles, avec deux ou trois chambres, alors que le reste de l'immeuble abriterait de plus petits appartements, dont des studios. Le bâtiment patrimonial, actuellement nommé le Centre 7400, est situé dans l'arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, près du parc Jarry. La Ville doit donner son feu vert L'ancien Institut des sourds et muets de Montréal est la propriété des Clercs de Saint-Viateur. La congrégation est prête à le vendre aux promoteurs. Cette entente d'achat est toutefois conditionnelle au feu vert de la Ville de Montréal. Le projet de reconversion du bâtiment patrimonial, qui exige notamment un changement au plan d'urbanisme, a reçu l'appui du conseil d'arrondissement, en septembre dernier. Le conseil exécutif juge aussi le projet souhaitable. Mercredi, il a décidé de le soumettre au conseil municipal le 25 octobre prochain. Des audiences publiques pourraient alors avoir lieu à la mi-novembre. Si tout se passe bien, les travaux pourraient commencer dans un an. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2010/10/15/015-montreal-immobilier-savard.shtml Un image de imtl.org
  6. Ce n'est pas grand chose encore, donc juste un petit os pour se mettre sous la dent. Voici ce que j'ai trouvé en fouillant les communiqués et avis publics de la Ville de Montréal - Arrondissement de CDN-NDG: Faits saillants de la séance du conseil d'arrondissement de CDN—NDG du 3 février 2010 Faits saillants de la séance du conseil d'arrondissement de CDN—NDG du 11 janvier 2010 AVIS Assemblée publique de consultation le 11 janvier, 18 h : projet particulier PP-45 visant à autoriser la construction et l'occupation de bâtiments résidentiels, ainsi que d'espaces commerciaux sur le lot 2 648 748 AVIS participation à un référendum relativement au second projet de résolution CA10 170022 approuvant le projet particulier PP-45
  7. Projet de construction d’un immeuble de trois étages abritant du logement social sur un terrain situé au 4985, rue Buchan requérant l’adoption d’un règlement en vertu de l’article 89, paragraphe 4 de la Charte de la Ville de Montréal. Avis est donné que, lors de sa séance ordinaire tenue le 3 décembre 2012, le conseil d’arrondissement a demandé au conseil d’agglomération d’adopter un règlement en vertu de l’article 89, paragraphe 4 de la Charte de la Ville de Montréal (L.R.Q., c. C-11.4) autorisant la construction et l’occupation d’un immeuble résidentiel de trois étages destiné aux personnes ayant besoin d’aide ou d’hébergement, abritant également des activités communautaires. Ce type de règlement n’est pas susceptible d’approbation référendaire. Le projet de construction comporte les caractéristiques suivantes : • la démolition du bâtiment existant et son remplacement par un bâtiment de trois étages abritant environ 44 logements sociaux; • l’aménagement des espaces à des fins communautaires au sous-sol et au rez-de-chaussée; • aucune unité de stationnement n’est fournie.
  8. <section class="intro tiny" style="outline: none; width: 1007px; background-color: rgb(14, 15, 16); padding: 25px 0px; height: auto; font-family: sans-serif; font-size: 16px; line-height: 16px;">http://www.375mtl.com/fr/a-propos/ Mandat</section> Active depuis le printemps 2013, la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal est un organisme à but non lucratif qui a pour mandat la conception et l’organisation des célébrations du 375e anniversaire de Montréal en 2017, en concertation avec différents partenaires privés et publics. Soucieuse de mettre les Montréalais au cœur de la fête, la Société œuvre à définir une vision rassembleuse des célébrations, sur laquelle s’ancreront six principales stratégies d’intervention : Collaborer à l’identification de legs porteurs et appuyer leur réalisation Élaborer une programmation de qualité Mettre en œuvre une stratégie de financement en adéquation avec les orientations Assurer la visibilité des célébrations Mobiliser la communauté montréalaise Administrer la Société de façon rigoureuse Principes d'action Dans la réalisation de son mandat, la Société s’engage à travailler de concert avec la communauté montréalaise afin que tous puissent profiter de l’opportunité extraordinaire qu’offre 2017 pour la métropole. Privilégiant la mise en valeur des atouts existants, elle agit tel un catalyseur qui favorise les initiatives privées et publiques. Consciente de l’exceptionnel levier que constitue le 375e anniversaire de Montréal, la Société désire en maximiser les expériences et les retombées, bien au-delà de 2017, afin de léguer un héritage tangible et durable aux générations futures. Par toutes ses actions, elle vise à renforcer le sentiment de fierté et d’appartenance des Montréalais ainsi qu’à accroître la visibilité et le rayonnement de la métropole. Valeurs La Société agit en toute objectivité, balisant ses actions par de hauts standards d’honnêteté, de transparence et d’impartialité. Son équipe, ses administrateurs et les membres de ses comités privilégient des valeurs d’intégrité, de loyauté, de respect et d’efficience, dans un esprit d’ouverture et de concertation. Historique Cap sur 2017 : le 375e anniversaire de Montréal se prépare depuis un certain temps! Déjà au printemps 2010, la Ville de Montréal annonce la création du Bureau du 375e, une entité administrative amenée à réfléchir à la vocation d’ensemble des célébrations en proposant un certain nombre d’orientations et d’objectifs prioritaires. Puis, en 2011, le Bureau tient une vaste consultation citoyenne. C’est dans ce cadre que s’active l’Opération CARTE BLANCHE, en collaboration avec l’Office de consultation publique de Montréal. Il s’agit d’une occasion privilégiée, pour des centaines de Montréalaises et de Montréalais, de partager leurs idées et leur vision. Sur la base de ces importantes consultations publiques, le Bureau du 375e dépose, au printemps 2012, les orientations des célébrations qui sont officiellement adoptées par les membres du comité exécutif de la Ville de Montréal en septembre suivant. Dans son rapport, le Bureau recommande également la création d’un organisme indépendant et à but non lucratif, chargé de concevoir et d’organiser les célébrations. Cette recommandation donne ainsi naissance à la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal. Le Bureau du 375e termine son mandat en décembre 2012. Fondation de la Société À la fin de l’été 2012, la Ville de Montréal annonce la création de la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal et nomme Jacques Parisien président du conseil d’administration ainsi que Gilbert Rozon commissaire aux célébrations. Puis, en février 2013, une contribution financière destinée à soutenir les activités de la Société est confirmée par le conseil municipal. C’est en juillet suivant qu’est ensuite dévoilée la composition du conseil d'administration qui regroupe 28 Montréalaises et Montréalais, nommés pour leur leadership, leur vision et leur profond désir de contribuer au développement de Montréal. Visitez la section Plan d’action pour en savoir plus sur les travaux de la Société. La Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal est membre de : Tourisme Montréal Culture Montréal Chambre de commerce du Montréal métropolitain Société des Attractions Touristiques du Québec (SATQ) Festivals et Événements Québec (FEQ)
  9. http://plus.lapresse.ca/screens/a34a7529-de16-463b-9e37-a7992b141ff7%7CAtgiPrQOnG7o.html MONTRÉAL VOTE « DU BON BORD »… FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE Montréal pouvait difficilement sortir perdant de la soirée d’hier. Il suffisait que Stephen Harper soit renversé, et voilà ! La métropole était aussitôt en meilleure posture qu’elle ne l’avait été ces neuf dernières années. Mais de là à penser qu’elle serait aussi bien placée, ce matin ? Pas grand-monde ne l’espérait, il y a quelques semaines encore. Quelques jours, peut-être même. Carrément absent du Conseil des ministres pendant les deux derniers mandats conservateurs, Montréal a vu l’un des siens, Justin Trudeau, accéder au poste le plus puissant du pays hier soir. Et avec lui, un grand nombre de députés rouges qui ont le potentiel d’être nommés au Saint des Saints, autant dans l’île que tout autour dans le Grand Montréal. Après avoir voté du « mauvais bord » au cours des trois dernières élections, la métropole se retrouve à nouveau du « bon bord » ce matin. Du bord du parti au pouvoir. N’ayons pas peur de reprendre les mots du maire Coderre : « Montréal is back ! » Et ce n’est pas de l’enflure. Ayant vu la bête de l’intérieur, l’ancien ministre libéral Jean Lapierre m’a dit il y a quelques semaines à quel point l’origine des députés qui siègent au cabinet était cruciale, mais aussi celle de leur chef. « Quand le premier ministre vient de chez vous, m’a-t-il confié, là, t’es vraiment en affaires ! » Tous les députés et ministres redoublent d’attention et de prudence quand ils abordent un dossier qui touche la ville du PM. Tous évitent de tirer le tapis sous les pieds de cette ville. Et tous opinent du bonnet quand le gouvernement dépense pour cette même ville. « T’as juste à aller faire un tour à Shawinigan pour t’en rendre compte, m’a dit Jean Lapierre. Penses-tu qu’il y aurait tout ce qu’il y a là bas sans Jean Chrétien ? Ben voilà… » Le retour fort probable de Montréal au Conseil des ministres est, lui aussi, une très bonne nouvelle. Il faut se rappeler que les conservateurs n’ont élu aucun député montréalais lors de leurs trois victoires électorales. Aucun. En 2006, l’île était rouge, avec un peu de bleu pâle à l’est. Mais le gouvernement était bleu. En 2008, sensiblement la même chose. Et en 2011, la vague orange a lessivé l’île, pendant que les bleus s’accrochaient au pouvoir à Ottawa. Résultat : aucun Montréalais n’a pu défendre les dossiers montréalais au Conseil des ministres pendant toutes ces années conservatrices. Sinon pendant un court intermède de deux ans, de 2006 à 2008, alors que le sénateur Michael Fortier avait été nommé ministre. Or « c’est toujours une plus-value d’avoir quelqu’un de la place pour s’occuper des enjeux de la place », m’a confié le maire Coderre il y a quelques semaines. Toujours mieux d’avoir un interlocuteur qui connaît la ville, qui maîtrise ses codes, qui possède un vaste réseau… que d’avoir un ministre qui ne fait que passer en chemin vers le Saguenay. Rappelons-nous la force de Montréal au sein du cabinet Mulroney dans les années 80 alors que se sont décidés les importants investissements fédéraux du 350e anni-versaire, comme le Vieux-Port. Rappelons-nous l’impact qu’a eu pour la ville de Québec un ministre influent comme Jean Marchand, cette « colombe » de Pierre Elliott Trudeau sans qui la capitale n’aurait probablement pas profité de tous ces investissements en infrastructures. Quand on sait l’influence politique qu’ont les régions, au Québec comme au Canada, on comprend l’importance pour les grandes villes d’être représentées par des députés des grandes villes. Des députés qui ont la sensibilité et les connaissances nécessaires pour expliquer la complexité et l’importance des dossiers urbains à la grande table. Habituée d’être bien représentée au cabinet avant l’élection des conservateurs, la métropole reprend enfin la place laissée vacante depuis trop longtemps. Elle en a bien besoin. sent via Tapatalk
  10. http://www.ledevoir.com/societe/science-et-technologie/452087/science-un-chercheur-denonce-les-dommages-du-gouvernement-harper «Science» dénonce Harper Les politiques conservatrices ont été dévastatrices pour le milieu scientifique, affirme la revue 9 octobre 2015 |Pauline Gravel | Science et technologie À moins de deux semaines des élections fédérales, la revue Science dénonce combien la politique du gouvernement de Stephen Harper a été dévastatrice pour la recherche scientifique menée au pays au cours des neuf dernières années. En éditorial, la revue accuse notamment le gouvernement sortant d’avoir noyauté les conseils d’administration des trois agences fédérales de financement de la recherche universitaire par des dirigeants d’entreprise. Le but ? Favoriser les recherches appliquées au détriment de recherches plus fondamentales. James L. Turk, directeur du Centre for Free Expression, à l’Université Ryerson de Toronto, qui signe cet éditorial, appelle le prochain gouvernement à rectifier la situation et à inclure la recherche scientifique dans ses priorités. La recherche en péril C’est la prestigieuse revue Science qui a invité M. Turk à s’exprimer dans son éditorial afin d’informer la communauté scientifique internationale des périls que court la recherche scientifique canadienne. M. Turk a profité de cette tribune pour reprocher au gouvernement Harper d’avoir coupé les budgets destinés à la science et à la technologie dans 13 ministères et agences fédérales de 655 millions de dollars (en dollars 2013) entre 2008 et 2013. Et aussi d’avoir aboli, durant cette même période, l’équivalent de 2141 postes à temps plein de scientifiques fédéraux. Les trois agences fédérales de financement de la recherche universitaire figurent parmi les grandes victimes du couperet conservateur, rappelle M. Turk. Le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH), qui a vu son financement chuter de plus de 10 %, est le plus éprouvé. Mais les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) n’ont pas été épargnés non plus, avec une diminution de plus de 7 % de leur financement, tandis que celui du Conseil de recherches en sciences naturelles et génie (CRSNG) a connu une baisse de 4 %. La rentabilité d’abord Et ce n’est pas tout, ajoute M. Turk. En plus de restreindre son financement, le gouvernement a convenu que cet argent serait alloué principalement aux « recherches dites rentables », qui répondent « aux priorités politiques du gouvernement ». Il en a résulté un « déclin de la recherche générale et fondamentale » au profit de « recherches plus ciblées visant l’innovation » et « effectuées en partenariat » avec l’entreprise. « Le gouvernement s’immisce dans le choix des projets de recherche qui seront subventionnés alors qu’il devrait laisser les experts de chaque discipline évaluer les propositions qui ont été soumises [pour recevoir un financement] et déterminer celles qui seront financées. Il n’est pas sérieux que des politiciens prennent des décisions à portée scientifique, car seul le court terme leur importe », souligne M. Turk dans un entretien téléphonique. Des conseils sans chercheurs Cet ancien directeur général de l’Association canadienne des professeurs d’université décrie aussi le fait que le gouvernement a inclus au sein des conseils d’administration des trois agences de financement un nombre important d’individus provenant de l’entreprise ou du monde des affaires. Le conseil d’administration du CRSH, qui finance les recherches en littérature, histoire, anthropologie et sociologie notamment, compte parmi ses membres une majorité de spécialistes de l’économie et de l’administration des affaires, indique-t-il. Pour sa part, le conseil du CRSNG ne compte aucun biologiste, chimiste, physicien ou mathématicien, mais huit ingénieurs, quatre dirigeants d’entreprise et trois gestionnaires. La science du climat asphyxiée Dans son éditorial, Jim Turk souligne également « l’hostilité du gouvernement fédéral envers la science du climat », hostilité qui s’est soldée par l’asphyxie totale et définitive de la Fondation canadienne pour les sciences du climat et de l’atmosphère (FCSCA), qui finançait pas moins de 200 chercheurs canadiens, ainsi que du programme de la Région des lacs expérimentaux, un laboratoire naturel destiné aux recherches sur l’eau douce « unique au monde ». Des données éliminées Le gouvernement Harper a également supprimé la version détaillée et obligatoire du questionnaire de recensement qui constituait « la seule source de données fiables » pour de nombreuses recherches en sciences sociales, ainsi que pour « le développement et l’évaluation des politiques publiques ». « Cette décision d’éliminer la version détaillée n’a aucun sens. Même plusieurs associations conservatrices s’y opposaient. En plus, elle n’a permis aucune économie, car la nouvelle formule coûte encore plus cher. Cette décision rend toutefois impossible l’évaluation de l’efficacité des politiques du gouvernement », ajoute M. Turk. Les scientifiques muselés L’éditorialiste dénonce aussi le musellement des scientifiques fédéraux qui ne peuvent répondre aux questions des médias au sujet de leurs travaux scientifiques sans avoir obtenu au préalable la permission du ministre. Il déplore aussi la transformation du Conseil national de recherches du Canada (CNRC) en un « service de conciergerie » — dixit Gary Goodyear, le ministre des Sciences et de la Technologie d’alors —à la disposition du monde des affaires et de l’industrie. « Le CNRC était un fleuron de la science au Canada dont nous pouvions être très fiers. On y menait des recherches fondamentales de grande qualité », indique M. Turk. Il espère que le prochain gouvernement comprendra l’importance de soutenir la recherche fondamentale, dont « on ne soupçonne souvent pas les applications qu’elle aura plusieurs dizaines d’années plus tard ». Pour ce faire, il recommande au gouvernement qui sera élu le 19 octobre prochain de créer un poste de haut fonctionnaire à la science, ainsi qu’un comité-conseil composé de scientifiques chevronnés, qui conseilleraient respectivement le premier ministre et le Parlement sur les questions scientifiques.
  11. Dans LaPresse : Publié le 25 juin 2014 à 09h54 | Mis à jour à 09h54 Le Westmount Square transformé en condos [ATTACH=CONFIG]16318[/ATTACH] La ville de Westmount est contre le projet de conversion du Westmount Square en condos. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRECHETTE, LA PRESSE ANDRÉ DUBUC La Presse La frénésie entourant la copropriété résidentielle gagne les propriétaires de tours de bureaux du centre-ville. La société Elad Canada souhaite convertir en condos le prestigieux édifice de bureaux du 1, Westmount Square, oeuvre de l'architecte Mies van der Rohe. Lors d'une assemblée publique tenue le 4 juin, Amnon Safran, représentant du promoteur, a chiffré à 20 millions le coût de conversion pour aménager 120 unités de copropriété divises dans les 20 étages de la tour de 200 000 pieds carrés. La Ville est contre La Ville de Westmount reçoit négativement le projet. Le 17 mars 2014, elle a instauré un gel de 90 jours qui empêche la conversion d'immeubles de bureaux en condominiums dans le secteur sud-est de la ville. «Tant que la Ville n'a pas terminé son exercice de vision du quartier, on ne veut pas de conversions», explique Johanne Poirier, directrice de l'aménagement urbain. Parmi les exemples récents de conversion, Mme Poirier parle de l'ex-édifice du Reader's Digest, au 215, rue Redfern, et de l'ancienne école Vanguard, au sud de la rue Sainte-Catherine, rue Metcalfe, qui est en voie de démolition. Elle sera remplacée par des condos. «Le conseil réagit à l'accumulation de ce type de projets, poursuit Mme Poirier. Le conseil veut conserver une vocation commerciale à l'intérieur des limites de Westmount. La Ville ne veut pas devenir un secteur 100% résidentiel. Elle veut avoir un mélange d'usages.» Construit en 1966, le Westmount Square est composé de trois tours et d'un quatrième immeuble de deux étages. Deux des tours ont toujours été à vocation résidentielle. Dans les années 2000, elles sont néanmoins passées d'un statut locatif à celui de copropriétés indivises. L'architecte au dossier, Michel Lauzon, du cabinet Lemay, s'est récemment inscrit au registre des lobbyistes. «Le projet de conversion s'inscrit dans un plan de revitalisation globale du complexe de Westmount Square incluant la transformation du centre commercial, le remplacement de systèmes mécaniques et la rénovation complète de l'enveloppe du bâtiment», lit-on dans sa fiche déposée en mai dernier.
  12. Alléluia! Publié le 15 avril 2015 à 09h51 | Mis à jour à 10h40 Prière: défaite de Jean Tremblay en Cour suprême HUGO DE GRANDPRÉ La Presse (Ottawa) Le maire Jean Tremblay perd sa longue bataille judiciaire: la Cour suprême du Canada a ordonné mercredi de cesser la récitation de la prière lors des conseils municipaux de la Ville de Saguenay. Selon le plus haut tribunal du pays, la récitation de cette prière contrevient au principe de neutralité de l'État en matière religieuse et porte atteinte de manière discriminatoire à la liberté de religion du plaignant, Alain Simoneau, un ancien résidant de la ville et militant du Mouvement laïque québécois. « La récitation de la prière aux séances du conseil constitue avant tout une utilisation des pouvoirs publics par le conseil dans le but de manifester et de professer une religion à l'exclusion des autres », a écrit le juge Clément Gascon au nom de ces collègues. Or, « l'État ne peut se livrer sciemment à une profession de foi ou agir de façon à adopter ou favoriser une perspective religieuse au détriment des autres », a ajouté le juge québécois dont il s'agissait du premier jugement depuis la nomination dans la foulée de la controverse entourant celle du juge Marc Nadon. Le jugement unanime qui infirme celui rendu par la Cour d'appel du Québec pourrait avoir des répercussions partout au Canada, où plusieurs dossiers semblables avaient été mis sur la glace en attendant l'issue du litige québécois, dont en Ontario. [...] http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/actualites-judiciaires/201504/15/01-4861283-priere-defaite-de-jean-tremblay-en-cour-supreme.php
  13. Conseil d’arrondissement de Saint-Laurent 18 décembre 2012 8 étages x 2 Cavendish / Henri-Bourassa Le premier projet de règlement numéro RCA08-08-0001-62 a pour objet : - de créer la zone H07-052 à même la zone H07-026 afin de permettre des habitations multifamiliales de 8 étages le long des boulevards Henri-Bourassa et Cavendish; - de créer la zone S07-053 à même la zone I08-009 afin de permettre des habitations multifamiliales de 8 étages et certains commerces et services. http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav14396.pdf
  14. http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav13455.pdf Pas beaucoup d'info pour le moment, ou quelle sorte de projet avec des dérogations mineures (voir l'avis) sera présenté au conseil du 12 juin 2012. Le projet semble être sur le terrain de la Station Esso (entre La Brasserie Brunoise et le Resto Baton Rouge à l'angle de l'ave des canadiens. Le numéro du lot est le 1 851 399
  15. Le propriétaire de l’Impact de Montréal Joey Saputo a fait l’acquisition, en compagnie d’un groupe d’investisseurs, du FC Bologne, un club de soccer italien, jeudi. «Je suis heureux de confirmer que l'offre d'achat de notre groupe d'investisseurs pour l'acquisition du FC Bologne a été acceptée par le conseil d'administration du club», a souligné Saputo, dans un communiqué. Une lettre d'intention a d’ailleurs été signée par le club à cet effet. «Je tiens à remercier tous les gens impliqués dans la transaction, notamment les fidèles partisans du FC Bologne pour leur encouragement au cours du processus. Nous allons continuer de travailler avec le conseil d'administration du club pour finaliser l'entente le 15 octobre.» Marco Di Vaio aurait pour sa part un poste qui l’attendrait avec l’équipe italienne. Il s’agit d’un revirement de situation puisque le FC Bologne avait indiqué, il y a deux semaines, sur son site web que l’équipe serait vendue à Massimo Zanetti. La formation italienne, qui a été fondée en 1909, a été reléguée en Serie B après une saison 2013-2014 difficile. http://www.tvasports.ca/2014/10/09/saputo-devient-proprietaire-du-fc-bologne
  16. http://www.lapresse.ca/la-tribune/estrie-et-regions/201308/15/01-4680201-debut-des-travaux-de-demolition-a-leglise-saint-philippe-de-windsor-video.php
  17. http://www.havremontreal.qc.ca/fr/ Accueil La Société Historique et mission Statut et organisation Membres de la SHM Conseil d'administration Liste des administrateurs Règles de gouvernance [*]Le Havre de Montréal Territoire Histoire [*]Les partenaires [*]Les projets Projet Bonaventure - phase 2 et 3 Projet Bonaventure - phase 1 [*]Salle de presse Communiqués Documents de référence Rapport de fin d’activités Second mémoire de la Société – Nouveau pont pour le Saint-Laurent Le Havre de Montréal - Communiqué Mémoire de la Société - Nouveau pont pour le Saint-Laurent Rapport d’activités 2011 Le Havre de Montréal - «L’état des lieux » Le Havre de Montréal - Vision 2025 Le Havre de Montréal - “Rapport final et recommandations” [*]Banque d'images Pour nous joindre Info-Travaux La Société La Société du Havre de Montréal (SHM) est un organisme à but non lucratif créé par la volonté partagée des gouvernements fédéral et provincial, et de la Ville de Montréal de remettre en valeur le secteur du Havre, et de ramener la ville vers son fleuve. Pour ce projet économique, social et culturel d’envergure dans une zone urbaine stratégique pour l’avenir de Montréal, la SHM a élaboré la Vision 2025 dans laquelle des acteurs publics et privés ont inscrit leurs projets d’investissement. Ainsi, outre la concertation avec les entreprises, les institutions, les sociétés publiques et les arrondissements sur ce territoire de dix kilomètres carrés, la Société du Havre de Montréal s’est vue notamment confier par la Ville la planification du Projet Bonaventure. Ce projet comprend l’abattement de l’autoroute Bonaventure essentiel à ce grand retissage urbain du faubourg des Récollets et de Griffintown. Les nouvelles de la Société du Havre de Montréal - Voir toutes les nouvelles » La formation d’un conseil des partenaires La Société du Havre de Montréal est fière d’annoncer la formation d’un conseil des partenaires du Havre. Ce conseil permettra d’assurer la participation de tous à la révision et à la réalisation… En savoir plus » Démarrage des travaux ! La première phase du réaménagement de l’autoroute Bonaventure préconisée dans la Vision 2025 de la Société du Havre de Montréal passe à l’étape de réalisation! En savoir plus » Les actualités dans le Havre - Voir toutes les actualités » Le Hangar 16: un port des arts au bord du fleuve "À Montréal, il existe une forte demande de grands espaces pour organiser des activités extérieures ou intérieures." — Claude Benoit, présidente de la Société du Vieux- Port de Montréal Outre… En savoir plus » Vision Société du Vieux-Port de Montréal Un projet de plage dans le Havre de Montréal, la Société du Vieux-Port dévoile son site récréotouristique qui sera le plus achalandé au Québec En savoir plus »
  18. http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav16698.pdf "sur l'ensemble du 9e étage d'un bâtiment projeté de 9 étages situé aux 166-174, rue Sainte-Catherine Est, l'usage résidentiel "bâtiment abritant un nombre illimité de logements", et ce, conformément à la procédure des usages conditionnels et à l'article 247 du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie (01-282) [dossier 1146347033];" (...) "La séance du conseil d'arrondissement au cours de laquelle seront étudiés ces demandes aural ieu le mercredi 7 mai 2014, à 19 h, à la salle du conseil, 800, boulevard De Maisonneuve Est, rez-de-chaussée." Donc : 9 étages, résidentiel (possiblement locatif).
  19. LA DÉLÉGATION DE L'UPR AU QUÉBEC PUBLIE UNE LETTRE OUVERTE CONTRE LA CONFÉRENCE DE SARKOZY A LA CHAMBRE DE COMMERCE DE MONTRÉAL par François Asselineau - Union Populaire Républicaine (Articles), mercredi 24 avril 2013, 02:53 La Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCM) a annoncé que l'ancien président français Nicolas Sarkozy donnera, le jeudi 25 avril à Montréal, une conférence payante de deux heures accompagnée d'un repas. Le sujet précis de la conférence sera « l’état de l’économie mondiale, les perspectives pour l’Europe, les nouveaux équilibres qui caractérisent la gouvernance mondiale ainsi que l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada. » [ cf. http://www.ccmm.qc.ca/fr/evenements-reseautage/leader_nicolas_sarkozy/ ] ---------------------------------------------------------------------------------- De 170 € à 600 € par personne pour écouter pendant 2 heures Sarkozy jouer les sages et les experts en économie ! ---------------------------------------------------------------------------------- Les prix des billets vont de 225 dollars canadiens (170 €) pour les membres de la Chambre, à 795 dollars (600 €) pour les non-membres souhaitant occuper l'une des 150 meilleures places et rapporter chez eux une photo individuelle avec M. Sarkozy. [ À titre de comparaison, nous rappelons que le droit d'entrée aux conférences de François Asselineau varie de 0 € à 5 € et que les sommes récoltées ne servent qu'à financer la location de la salle ou des actions militantes, le président de l'UPR ne prenant naturellement aucune rémunération.] Pour faire la promotion de la conférence de Sarkozy - qui devrait rapporter beaucoup d'argent à l'ancien président de la République - la Chambre de commerce de Montréal invite les personnes intéressées à « rencontrer l'homme reconnu pour l'énergie avec laquelle il a dirigé la deuxième puissance économique européenne ». L'événement se déroulera au Palais des Congrès de Montréal. Le nombre des places disponibles n'a pas été précisé par les organisateurs qui ne prévoient pas d'accréditations pour les médias. [source : http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202701409989-nicolas-sarkozy-attendu-a-montreal-pour-une-conference-payante-557917.php ] ------------------------------------------------------------------------------------------- La délégation de l'UPR au Québec a adressé une lettre ouverte à la CCM pour protester contre la tenue de cette conférence payante -------------------------------------------------------------------------------------------- Nos lecteurs trouveront ci-dessous la lettre que la délégation de l'UPR au Québec - composée de 18 expatriés - a envoyée le 23 avril 2013 aux membres du conseil d'administration de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour s'indigner de la tenue de cette conférence. Nos adhérents expatriés au Québec ont estimé à juste titre que cette conférence, au tarif d'entrée prohibitif pour le commun des mortels, est une véritable insulte : Insulte à la démocratie, puisque Nicolas Sarkozy n'aura aucun contradicteur face à lui au cours de cette conférence, et que le droit d'entrée est tellement ruineux que seuls les plus riches peuvent envisager d'y participer. Insulte à la justice, puisque Nicolas Sarkozy ose se faire payer grassement pour se pavaner en public alors qu'il est sous le coup de plusieurs mises en examen infamantes. Insulte à la morale, puisque l'on ne compte plus le nombre de victimes de la politique économique, sociale et diplomatique de celui qui a eu l'effronterie de faire ratifier le traité de Lisbonne malgré le Non de 55% des Français à la Constitution européenne. -------------------------------------------------- Nous félicitons nos adhérents expatriés au Québec pour cette lettre ouverte qu'ils vont se charger de diffuser au plus grand nombre possible de journalistes canadiens et que nous allons nous-mêmes diffuser au plus grand nombre possible de journalistes français et étrangers accrédités à Paris. Nous suggérons à tous ceux qui le peuvent d'écrire eux aussi à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour faire part également de leur indignation devant cette invitation, et pour soutenir expressément la lettre adressée par la Délégation de l'UPR au Québec. Il suffit pour cela d'écrire à http://www.ccmm.qc.ca/fr/a-propos/contact/ (Il est obligatoire d'indiquer les nom, prénom et courriel). ========================================================= DÉLÉGATION DE L'UNION POPULAIRE RÉPUBLICAINE AU QUÉBEC Objet : Conférence de Nicolas Sarkozy à la CCM Montréal, le 23 avril 2013 À l’attention de Monsieur le Président Luc Sabbatini et de l’ensemble des membres du conseil d’administration de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du conseil d’administration, Comme il est de bon ton de démarrer un propos par une citation, nous choisirons un passage du Discours à la jeunesse que Jean Jaurès fit à Albi, le 30 juillet 1903 : « Le courage,c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques. » Ce jeudi 25 avril 2013, Monsieur Nicolas Sarkozy tiendra à votre demande une conférence au Palais des congrès de Montréal sur « l’état de l’économie mondiale, des perspectives pour l’Europe, des nouveaux équilibres qui caractérisent la gouvernance mondiale ainsi que de l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada. » Aussi, apprenez qu’à Montréal, en ce moment même, un groupe d’hommes et de femmes, de tous âges, de toutes conditions, de toutes confessions, de toutes orientations politiques, composé de Françaises et de Français expatriés, mais aussi de Québécoises et de Québécois qui posent sur la France un regard amical,s’est réuni pour s’indigner de la tenue de cette conférence, et ce, pour plusieurs raisons : D’abord, nous souhaitons informer les membres du conseil d’administration que Monsieur Nicolas Sarkozy,qui s’était fait élire en France en 2007 sur la « réduction du déficit », accuse un bilan désastreux : « En cinq ans, la dette publique a augmenté de 500 milliards d'euros, la France a perdu un point de compétitivité, le nombre de chômeurs a progressé de près d'un million, le pouvoir d'achat et la croissance ont stagné et les impôts ont augmenté » (L'Expansion.com, 10 avril 2012). Voilà un curriculum quelque peu différent decelui qui vous a probablement été présenté. Est-ce donc cet « as » de la dette publique, de la hausse des impôts et du chômage qui expliquera aux Québécois les ressorts de l’économie mondiale … ? Ensuite, nous souhaitons informer les membres du conseil d’administration que le Parquet de Paris a ouvert vendredi 19 avril 2013, une information judiciaire contre X pour : « corruption active et passive », « trafic d'influence », « faux et usage de faux », « abus de biens sociaux », « blanchiment, complicité et recel de ces délits », dans le cadre du soutien financier de la Libye à la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy de 2007. Nous respectons bien évidemment le principe de la présomption d’innocence.Cependant, nous ne saurions que trop conseiller à M. Nicolas Sarkozy de se faire discret dans de telles circonstances. Mais encore, nous rappelons aux membres du conseil d’administration que M. Nicolas Sarkozy a été mis en examen le 13 juin 2012 pour « abus de faiblesse » et le 13 février 2013 pour « escroquerie » dans l’affaire Bettencourt. Encore une fois, nous respectons le principe de la présomption d’innocence, mais admettez que ça commence à faire beaucoup. Et alors qu’on s’attendrait naturellement, dans un tel contexte, à ce que ce monsieur fasse profil bas, eh bien pas du tout ! Il parcourt le monde pour donner à prix d’or des conseils de bonne gestion gouvernementale. Tout cela n’est pas sérieux. Pour ne pas nous arrêter en si bon chemin, nous rappelons aux membres du conseil d’administration que le19 novembre 2004, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Économie, des Finances et de l’Industrie et Christian Noyer, alors gouverneur de la Banque de France,ont mis au point un dispositif visant à vendre environ un cinquième des 3 000 tonnes d’or détenues par la Banque de France. Selon le rapport de la cour des comptes du 8 février 2012, la vente des 589 tonnes d’or a dégagé d’importantes plus-values de cession, mais reste une mauvaise opération compte tenu de l’évolution du cours de l’or et du phénomène d’inflation. De plus, et c’est l’essentiel selon nous, nous souhaitons rappeler aux membres du conseil d’administration que le président Sarkozy, alors que le peuple français avait rejeté le traité constitutionnel européen (TCE) le 29 mai 2005 par voie référendaire, a décidé (avec l'approbation du Parti socialiste) de nier la souveraineté populaire en faisant ratifier par voie parlementaire en 2008 le traité de Lisbonne, un texte quasiment identique au TCE. C'est une forfaiture de la plus grande ampleur. M.Nicolas Sarkozy a donc, par un procédé confinant à la dictature, sciemment violé la voix du peuple français. Pour finir, nous rappelons aux membres du conseil d’administration qu’une révision des dispositions sur la responsabilité pénale du chef de l’État, à l’article 68 de la Constitution française, intervenue en février 2007, a substitué à l’antique et belle formule de « haute trahison », l’expression affadie, banale et totalement imprécise de «manquement à ses devoirs manifestement incompatibles avec l’exercice de son mandat ». Nous invitons les membres du conseil d’administration à méditer quelques secondes sur ce dernier point. http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202701409989-nicolas-sarkozy-attendu-a-montreal-pour-une-conference-payante-557917.php En conséquence, nous vous annonçons que nous dénoncerons publiquement toute personne, tout groupe de personnes ou toute institution, qui en connaissance de cause, concèderait injustement à M. Nicolas Sarkozy un statut d'expert économique ou de démocrate suffisamment honorable pour donner des leçons de politique aux Québécois. Compte tenu de la gravité des éléments qui ont été portés à votre connaissance, nous ne pouvons considérer qu’insultante, à tous égards, la tenue de cette conférence à Montréal. Fervents défenseurs de l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada, nous espérons que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain se ravisera, et respectera ainsi la communauté importante de Français expatriés, qui a trouvé au Québec une terre d’accueil. La moindre des choses serait que M. Sarkozy soit confronté à un ou plusieurs contradicteurs à l'occasion de cette conférence, que des critiques légitimes puissent se faire entendre. Comme nous avons commencé par une citation, terminons par une autre,celle-ci du poète grec Ésope, célèbre pour ses fables : « Les menteurs ne sont jamais plus fanfarons qu'en l'absence de contradicteurs. » Espérant trouver un écho favorable à notre requête, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du conseil d’administration, l’expression de nos salutations distinguées. La délégation de l’Union Populaire Républicaine (UPR) au Québec http://www.u-p-r.fr/
  20. Français sur les électroménagers: détaillants et fabricants dénoncent Québec Les détaillants et les fabricants montent au créneau pour dénoncer l'intention de Québec de rendre obligatoires les inscriptions en français sur six types d'électroménagers. À l'heure actuelle, le Règlement sur la langue du commerce et des affaires de la Charte de la langue française prévoit une dérogation pour les inscriptions gravées, incrustées, rivetées ou soudées que l'on trouve sur les cuisinières, fours à micro-ondes, laveuses, lave-vaisselles, réfrigérateurs et sécheuses. Or, en avril, le gouvernement a publié un projet de règlement visant à mettre fin à cette dérogation. Dans une lettre envoyée en mai à la ministre de la Culture, Christine St-Pierre, le président du Conseil québécois du commerce de détail, Gaston Lafleur, soutient que le changement aura des impacts "très significatifs" pour les détaillants, pour les consommateurs et même pour l'économie québécoise. Nathalie St-Pierre, vice-présidente du Conseil canadien du commerce de détail, a également écrit à la ministre. Selon elle, "l'adaptation des chaînes de montage pour accommoder les modifications réglementaires coûterait quelque 165 millions $". Le changement proposé "n'ajoute aucune protection réelle de la langue française au Québec", soutient Nathalie St-Pierre. Les détaillants calculent qu'entre 85 et 90 pour cent des électroménagers actuellement en vente au Québec ne pourraient plus être offerts si le règlement devait entrer en vigueur. De son côté, l'Association of Home Appliance Manufacturers, dont le siège social est situé à Washington, prévient que le nouveau règlement "pourrait engendrer une diminution de l'éventail d'appareils disponibles à la clientèle et, potentiellement, des prix plus élevés au Québec". En 2009, l'Office québécois de la langue français estimait qu'à peine 25 pour cent des électroménagers vendus au Québec portaient des inscriptions en français, contre plus de 75 pour cent au moment de l'adoption de la Charte de la langue française, en 1977. Sur son site Web, l'Office précise avoir "entrepris des démarches qui touchent tous les intervenants du domaine des électroménagers". Les détaillants se plaignent toutefois de ne pas avoir été consultés avant la publication du projet de règlement. Dans sa missive, M. Lafleur a demandé une rencontre avec Christine St-Pierre. Marie-Hélène Paradis, attachée politique au cabinet de la ministre, a toutefois indiqué mardi, au cours d'un entretien téléphonique, qu'aucune réunion n'était prévue pour le moment. Rappelons qu'Electrolux et Mabe ont annoncé la fermeture de leurs usines québécoises pour 2013 et 2014, ce qui mettra fin aux activités de fabrication d'électroménagers dans la province. Dans un autre dossier, le Conseil canadien du commerce de détail conteste l'interprétation que fait le gouvernement de la Charte de la langue française en matière d'affichage. À ses yeux, la loi n'oblige pas les commerçants à ajouter un descriptif français devant leur nom. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/francais-sur-les-electromenagers-detaillants-et-fabricants-denoncent-quebec/546614
  21. La portion intéressante de cette article est à la fin... quelle est exactement la définition de forte densité? (...) Publié le 14 Juillet 2012 Nathalie Paquin VIEUX-LONGUEUIL – Afin de répondre aux réalités actuelles et permettre la venue de nouvelles classes d’usage, le conseil d’arrondissement du Vieux-Longueuil a procédé à quelques changements de zonage, lors d’une assemblée publique de consultation tenue le 10 juillet dernier, juste avant la séance ordinaire du conseil. La première de ces quatre modifications, effectuée dans un secteur du quartier Fatima, est en fait une correction technique concernant la somme des marges latérales de certaines résidences bifamiliales, qui a été corrigée de 3,50 mètres à 5,50 mètres. Aussi, les classes d’usage «finances et assurances» de même que «services administratifs et de soutien» ont été ajoutées dans la zone où est située la maison Chaboillez, sur la rue Saint-Charles Ouest. Soins de beauté et logements à forte densité De même, dans un tronçon localisé entre Desaulniers et Verchères, donnant notamment sur le boulevard Taschereau, l’usage «services de soins personnels sera permis». La conseillère en urbanisme Marie Laperrière, qui a fait la présentation des modifications, a souligné que le boulevard Taschereau représentait une épine dorsale majeure, une vitrine pour Longueuil. La venue de commerces de soins de beauté et d’esthétiques viendrait «enjoliver» un secteur où se trouvent principalement des commerces liés à l’automobile. Enfin, le secteur du motel La Barre, zoné commercial, comportera une nouvelle zone résidentielle, qui permettra la construction d’habitations multifamiliales de forte densité. Ceci en réponse au souhait d’un promoteur intéressé par ce projet. Celui-ci a aussi fait savoir son intention d’introduire le service Communauto, en plus d’espaces de stationnement pour les locataires.
  22. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201103/12/01-4378670-lhopital-st-mary-sera-agrandi.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&ut m_contenuinterne=cyberpresse_BO2_montreal_173_accu eil_POS2
  23. Atze

    La Station (2012)

    Patrimoine - Station-service moderniste en danger Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du mardi 06 janvier 2009 Mots clés : station-service, Mies van der Rohe, Conseil du Patrimoine, Montréal Le Conseil du Patrimoine veut sauver la création de Mies van der Rohe, maintenant barricadée sur l'île des Soeurs L'ancienne station-service Esso de l'île des Sœurs a été conçue par l'architecte Ludwig Mies van der Rohe en 1968. On lui doit aussi le complexe Westmount Square, son dernier grand projet, inauguré en 1966. Photo: Jacques Nadeau Un pied sur le frein, un autre sur l'accélérateur. La mauvaise nouvelle, c'est que la station-service de l'île des Soeurs conçue par l'architecte Ludwig Mies van der Rohe en 1968 est fermée et barricadée depuis la mi-décembre. La bonne nouvelle, c'est que le Conseil du Patrimoine entamera dès la semaine prochaine des démarches officielles pour citer le bâtiment moderniste, selon les informations obtenues par Le Devoir. La citation d'un immeuble vise à faciliter sa sauvegarde et sa mise en valeur, sans toutefois les garantir. «Nous avons eu plusieurs réunions depuis l'automne avec le Bureau du patrimoine de la ville au sujet de la station-service», explique Marie Lessard, professeure à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal et présidente du Conseil du patrimoine de Montréal (CPM), l'organisme consultatif de la ville en la matière. La première réunion au sujet de la citation aura lieu lundi prochain. La présidente ajoute que la ville-centre et l'arrondissement de Verdun, de même que le groupe d'étude et de défense du patrimoine moderne Docomomo Québec, ont été «très impliqués» dans la préparation du dossier d'appui à la sauvegarde de la station-service. «Tout le monde est très conscient de sa valeur», rassure Mme Lessard. «La volonté de citer ce bâtiment est une excellente nouvelle, commente Dinu Bumbaru, directeur des programmes du groupe de défense du patrimoine de la ville Héritage Montréal. Nous avons besoin de ce genre de reconnaissance pour enrichir le catalogue et étendre la notion de patrimoine. Même si on déteste l'automobile qui a façonné le XXe siècle, il faut bien reconnaître les qualités indéniables de cette station-service assez unique au monde.» Trésor patrimonial Son importance a été mise en évidence en 1992 dans un rapport de Docomomo, puis dans une étude du CPM publiée en octobre 2005. Après avoir acheté le territoire agricole à la Congrégation Notre-Dame de Montréal en 1955, la Quebec Home and Mortage Corporation Limited a associé Mies van der Rohe au développement du «plus merveilleux domaine résidentiel de l'Amérique du Nord». On lui doit aussi le complexe Westmount Square, son dernier grand projet, inauguré en 1966. Sur l'île, il a finalement participé à la conception du plan d'ensemble et a conçu cette fameuse station-service. Les pompes à essence originales ont déjà disparu. L'aire d'accueil (y compris ses meubles) a subi de nombreux réaménagements. «Il apparaît que le bâtiment devrait être maintenu dans son intégrité et restauré, concluait le CPM en 2005. Si la station-service perdait l'usage pour lequel elle fut conçue, le recyclage devrait maintenir les qualités architecturales du bâtiment.» Le Magazine, l'hebdo de l'île des Soeurs affirmait le mois dernier que l'arrondissement de Verdun, dont relève le secteur, songeait à installer un centre communautaire dans le garage moderniste. Le trésor patrimonial occupe un grand terrain du boulevard de l'Île-des-Soeurs qui appartient maintenant à un des grands promoteurs immobiliers du secteur, la Proment Corporation, dont il a été impossible d'obtenir un commentaire hier. Au total, il y a trois ans, le terrain et le bâtiment n'étaient évalués qu'à 681 000 $, soit le prix d'un grand condo dans ce coin huppé de la ville. La station Esso était exploitée en franchise depuis quatre décennies. La pétrolière détient l'exclusivité des droits de vente d'essence dans le secteur. Mike Terzian, le garagiste expulsé à la mi-décembre, cherche toujours à se relocaliser sur l'île avec sa dizaine d'employés. Le projet de déménagement dans un ancien entrepôt, sur le chemin du Golf, est tombé à l'eau sous la pression des riverains. «Nous acceptons la décision d'Esso, dit-il. Par contre, c'est un non-sens de ne pas pouvoir offrir de service aux automobilistes de l'île.»
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