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  1. http://radio-canada.ca/arts-spectacl...osm-salle3.asp Une nouvelle salle pour l'OSM L'orchestre symphonique de Montréal aura finalement sa salle de concert, rapporte Le Devoir dans son édition de samedi. Le gouvernement Charest a conclu un partenariat public-privé pour la construction du nouvel édifice, qui, toujours selon le quotidien, occupera une partie de l'esplanade de la Place des Arts. La ministre de la Culture du Québec, Line Beauchamp, devrait en faire l'annonce officielle mardi lors d'une conférence de presse qui réunira le premier ministre Jean Charest, le président du conseil d'administration de l'OSM, Lucien Bouchard, et le chef Kent Nagano. Le coût du projet dépasserait quelque peu les 100 millions de dollars. La nouvelle salle devrait accueillir entre 1800 et 2200 personnes. OSM.pdf
  2. Je crois que ça a passé sous le radar régional mais "Les Centres d’Achats Beauward" prévoient construire un nouveau centre de congrès à St-Hyacinthe, agrémenté d'un hôtel de 200 chambres à proximité de l'ancien Hôtel des Gouverneurs qu'ils ont acquis et qu'ils vont démolir (c'était tout pourri apparemment). En gros, ils reconstruisent un équivalent contemporain, connecté à leur centre d'achat. Pour la petite histoire locale, il y a une guéguerre avec un autre centre d'achat de la région, ça s'accuse de magouilles etc, il y a des détails dans l'article. Ah, oui, le PA de Beauward est ni plus ni moins que Marc-A. Bibeau.
  3. Nouveau projet de 300 logements à Montréal Mise à jour le vendredi 15 octobre 2010 à 18 h 24 L'ancien joueur vedette du Canadien Serge Savard et ses partenaires d'affaires projettent de reconvertir l'ancien Institut des sourds et muets de Montréal en immeuble résidentiel. Le groupe Thibault, Messier, Savard et associés (TMSA), en partenariat avec Développements McGill, compte y construire 300 appartements, a confirmé à Radio-Canada.ca Martin Galarneau, vice-président Affaires corporatives et développement chez TMSA. Un logement sur quatre serait destiné aux familles, avec deux ou trois chambres, alors que le reste de l'immeuble abriterait de plus petits appartements, dont des studios. Le bâtiment patrimonial, actuellement nommé le Centre 7400, est situé dans l'arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, près du parc Jarry. La Ville doit donner son feu vert L'ancien Institut des sourds et muets de Montréal est la propriété des Clercs de Saint-Viateur. La congrégation est prête à le vendre aux promoteurs. Cette entente d'achat est toutefois conditionnelle au feu vert de la Ville de Montréal. Le projet de reconversion du bâtiment patrimonial, qui exige notamment un changement au plan d'urbanisme, a reçu l'appui du conseil d'arrondissement, en septembre dernier. Le conseil exécutif juge aussi le projet souhaitable. Mercredi, il a décidé de le soumettre au conseil municipal le 25 octobre prochain. Des audiences publiques pourraient alors avoir lieu à la mi-novembre. Si tout se passe bien, les travaux pourraient commencer dans un an. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2010/10/15/015-montreal-immobilier-savard.shtml Un image de imtl.org
  4. Ce n'est pas grand chose encore, donc juste un petit os pour se mettre sous la dent. Voici ce que j'ai trouvé en fouillant les communiqués et avis publics de la Ville de Montréal - Arrondissement de CDN-NDG: Faits saillants de la séance du conseil d'arrondissement de CDN—NDG du 3 février 2010 Faits saillants de la séance du conseil d'arrondissement de CDN—NDG du 11 janvier 2010 AVIS Assemblée publique de consultation le 11 janvier, 18 h : projet particulier PP-45 visant à autoriser la construction et l'occupation de bâtiments résidentiels, ainsi que d'espaces commerciaux sur le lot 2 648 748 AVIS participation à un référendum relativement au second projet de résolution CA10 170022 approuvant le projet particulier PP-45
  5. Projet de construction d’un immeuble de trois étages abritant du logement social sur un terrain situé au 4985, rue Buchan requérant l’adoption d’un règlement en vertu de l’article 89, paragraphe 4 de la Charte de la Ville de Montréal. Avis est donné que, lors de sa séance ordinaire tenue le 3 décembre 2012, le conseil d’arrondissement a demandé au conseil d’agglomération d’adopter un règlement en vertu de l’article 89, paragraphe 4 de la Charte de la Ville de Montréal (L.R.Q., c. C-11.4) autorisant la construction et l’occupation d’un immeuble résidentiel de trois étages destiné aux personnes ayant besoin d’aide ou d’hébergement, abritant également des activités communautaires. Ce type de règlement n’est pas susceptible d’approbation référendaire. Le projet de construction comporte les caractéristiques suivantes : • la démolition du bâtiment existant et son remplacement par un bâtiment de trois étages abritant environ 44 logements sociaux; • l’aménagement des espaces à des fins communautaires au sous-sol et au rez-de-chaussée; • aucune unité de stationnement n’est fournie.
  6. <section class="intro tiny" style="outline: none; width: 1007px; background-color: rgb(14, 15, 16); padding: 25px 0px; height: auto; font-family: sans-serif; font-size: 16px; line-height: 16px;">http://www.375mtl.com/fr/a-propos/ Mandat</section> Active depuis le printemps 2013, la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal est un organisme à but non lucratif qui a pour mandat la conception et l’organisation des célébrations du 375e anniversaire de Montréal en 2017, en concertation avec différents partenaires privés et publics. Soucieuse de mettre les Montréalais au cœur de la fête, la Société œuvre à définir une vision rassembleuse des célébrations, sur laquelle s’ancreront six principales stratégies d’intervention : Collaborer à l’identification de legs porteurs et appuyer leur réalisation Élaborer une programmation de qualité Mettre en œuvre une stratégie de financement en adéquation avec les orientations Assurer la visibilité des célébrations Mobiliser la communauté montréalaise Administrer la Société de façon rigoureuse Principes d'action Dans la réalisation de son mandat, la Société s’engage à travailler de concert avec la communauté montréalaise afin que tous puissent profiter de l’opportunité extraordinaire qu’offre 2017 pour la métropole. Privilégiant la mise en valeur des atouts existants, elle agit tel un catalyseur qui favorise les initiatives privées et publiques. Consciente de l’exceptionnel levier que constitue le 375e anniversaire de Montréal, la Société désire en maximiser les expériences et les retombées, bien au-delà de 2017, afin de léguer un héritage tangible et durable aux générations futures. Par toutes ses actions, elle vise à renforcer le sentiment de fierté et d’appartenance des Montréalais ainsi qu’à accroître la visibilité et le rayonnement de la métropole. Valeurs La Société agit en toute objectivité, balisant ses actions par de hauts standards d’honnêteté, de transparence et d’impartialité. Son équipe, ses administrateurs et les membres de ses comités privilégient des valeurs d’intégrité, de loyauté, de respect et d’efficience, dans un esprit d’ouverture et de concertation. Historique Cap sur 2017 : le 375e anniversaire de Montréal se prépare depuis un certain temps! Déjà au printemps 2010, la Ville de Montréal annonce la création du Bureau du 375e, une entité administrative amenée à réfléchir à la vocation d’ensemble des célébrations en proposant un certain nombre d’orientations et d’objectifs prioritaires. Puis, en 2011, le Bureau tient une vaste consultation citoyenne. C’est dans ce cadre que s’active l’Opération CARTE BLANCHE, en collaboration avec l’Office de consultation publique de Montréal. Il s’agit d’une occasion privilégiée, pour des centaines de Montréalaises et de Montréalais, de partager leurs idées et leur vision. Sur la base de ces importantes consultations publiques, le Bureau du 375e dépose, au printemps 2012, les orientations des célébrations qui sont officiellement adoptées par les membres du comité exécutif de la Ville de Montréal en septembre suivant. Dans son rapport, le Bureau recommande également la création d’un organisme indépendant et à but non lucratif, chargé de concevoir et d’organiser les célébrations. Cette recommandation donne ainsi naissance à la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal. Le Bureau du 375e termine son mandat en décembre 2012. Fondation de la Société À la fin de l’été 2012, la Ville de Montréal annonce la création de la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal et nomme Jacques Parisien président du conseil d’administration ainsi que Gilbert Rozon commissaire aux célébrations. Puis, en février 2013, une contribution financière destinée à soutenir les activités de la Société est confirmée par le conseil municipal. C’est en juillet suivant qu’est ensuite dévoilée la composition du conseil d'administration qui regroupe 28 Montréalaises et Montréalais, nommés pour leur leadership, leur vision et leur profond désir de contribuer au développement de Montréal. Visitez la section Plan d’action pour en savoir plus sur les travaux de la Société. La Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal est membre de : Tourisme Montréal Culture Montréal Chambre de commerce du Montréal métropolitain Société des Attractions Touristiques du Québec (SATQ) Festivals et Événements Québec (FEQ)
  7. http://plus.lapresse.ca/screens/a34a7529-de16-463b-9e37-a7992b141ff7%7CAtgiPrQOnG7o.html MONTRÉAL VOTE « DU BON BORD »… FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE Montréal pouvait difficilement sortir perdant de la soirée d’hier. Il suffisait que Stephen Harper soit renversé, et voilà ! La métropole était aussitôt en meilleure posture qu’elle ne l’avait été ces neuf dernières années. Mais de là à penser qu’elle serait aussi bien placée, ce matin ? Pas grand-monde ne l’espérait, il y a quelques semaines encore. Quelques jours, peut-être même. Carrément absent du Conseil des ministres pendant les deux derniers mandats conservateurs, Montréal a vu l’un des siens, Justin Trudeau, accéder au poste le plus puissant du pays hier soir. Et avec lui, un grand nombre de députés rouges qui ont le potentiel d’être nommés au Saint des Saints, autant dans l’île que tout autour dans le Grand Montréal. Après avoir voté du « mauvais bord » au cours des trois dernières élections, la métropole se retrouve à nouveau du « bon bord » ce matin. Du bord du parti au pouvoir. N’ayons pas peur de reprendre les mots du maire Coderre : « Montréal is back ! » Et ce n’est pas de l’enflure. Ayant vu la bête de l’intérieur, l’ancien ministre libéral Jean Lapierre m’a dit il y a quelques semaines à quel point l’origine des députés qui siègent au cabinet était cruciale, mais aussi celle de leur chef. « Quand le premier ministre vient de chez vous, m’a-t-il confié, là, t’es vraiment en affaires ! » Tous les députés et ministres redoublent d’attention et de prudence quand ils abordent un dossier qui touche la ville du PM. Tous évitent de tirer le tapis sous les pieds de cette ville. Et tous opinent du bonnet quand le gouvernement dépense pour cette même ville. « T’as juste à aller faire un tour à Shawinigan pour t’en rendre compte, m’a dit Jean Lapierre. Penses-tu qu’il y aurait tout ce qu’il y a là bas sans Jean Chrétien ? Ben voilà… » Le retour fort probable de Montréal au Conseil des ministres est, lui aussi, une très bonne nouvelle. Il faut se rappeler que les conservateurs n’ont élu aucun député montréalais lors de leurs trois victoires électorales. Aucun. En 2006, l’île était rouge, avec un peu de bleu pâle à l’est. Mais le gouvernement était bleu. En 2008, sensiblement la même chose. Et en 2011, la vague orange a lessivé l’île, pendant que les bleus s’accrochaient au pouvoir à Ottawa. Résultat : aucun Montréalais n’a pu défendre les dossiers montréalais au Conseil des ministres pendant toutes ces années conservatrices. Sinon pendant un court intermède de deux ans, de 2006 à 2008, alors que le sénateur Michael Fortier avait été nommé ministre. Or « c’est toujours une plus-value d’avoir quelqu’un de la place pour s’occuper des enjeux de la place », m’a confié le maire Coderre il y a quelques semaines. Toujours mieux d’avoir un interlocuteur qui connaît la ville, qui maîtrise ses codes, qui possède un vaste réseau… que d’avoir un ministre qui ne fait que passer en chemin vers le Saguenay. Rappelons-nous la force de Montréal au sein du cabinet Mulroney dans les années 80 alors que se sont décidés les importants investissements fédéraux du 350e anni-versaire, comme le Vieux-Port. Rappelons-nous l’impact qu’a eu pour la ville de Québec un ministre influent comme Jean Marchand, cette « colombe » de Pierre Elliott Trudeau sans qui la capitale n’aurait probablement pas profité de tous ces investissements en infrastructures. Quand on sait l’influence politique qu’ont les régions, au Québec comme au Canada, on comprend l’importance pour les grandes villes d’être représentées par des députés des grandes villes. Des députés qui ont la sensibilité et les connaissances nécessaires pour expliquer la complexité et l’importance des dossiers urbains à la grande table. Habituée d’être bien représentée au cabinet avant l’élection des conservateurs, la métropole reprend enfin la place laissée vacante depuis trop longtemps. Elle en a bien besoin. sent via Tapatalk
  8. Dans LaPresse : Publié le 25 juin 2014 à 09h54 | Mis à jour à 09h54 Le Westmount Square transformé en condos [ATTACH=CONFIG]16318[/ATTACH] La ville de Westmount est contre le projet de conversion du Westmount Square en condos. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRECHETTE, LA PRESSE ANDRÉ DUBUC La Presse La frénésie entourant la copropriété résidentielle gagne les propriétaires de tours de bureaux du centre-ville. La société Elad Canada souhaite convertir en condos le prestigieux édifice de bureaux du 1, Westmount Square, oeuvre de l'architecte Mies van der Rohe. Lors d'une assemblée publique tenue le 4 juin, Amnon Safran, représentant du promoteur, a chiffré à 20 millions le coût de conversion pour aménager 120 unités de copropriété divises dans les 20 étages de la tour de 200 000 pieds carrés. La Ville est contre La Ville de Westmount reçoit négativement le projet. Le 17 mars 2014, elle a instauré un gel de 90 jours qui empêche la conversion d'immeubles de bureaux en condominiums dans le secteur sud-est de la ville. «Tant que la Ville n'a pas terminé son exercice de vision du quartier, on ne veut pas de conversions», explique Johanne Poirier, directrice de l'aménagement urbain. Parmi les exemples récents de conversion, Mme Poirier parle de l'ex-édifice du Reader's Digest, au 215, rue Redfern, et de l'ancienne école Vanguard, au sud de la rue Sainte-Catherine, rue Metcalfe, qui est en voie de démolition. Elle sera remplacée par des condos. «Le conseil réagit à l'accumulation de ce type de projets, poursuit Mme Poirier. Le conseil veut conserver une vocation commerciale à l'intérieur des limites de Westmount. La Ville ne veut pas devenir un secteur 100% résidentiel. Elle veut avoir un mélange d'usages.» Construit en 1966, le Westmount Square est composé de trois tours et d'un quatrième immeuble de deux étages. Deux des tours ont toujours été à vocation résidentielle. Dans les années 2000, elles sont néanmoins passées d'un statut locatif à celui de copropriétés indivises. L'architecte au dossier, Michel Lauzon, du cabinet Lemay, s'est récemment inscrit au registre des lobbyistes. «Le projet de conversion s'inscrit dans un plan de revitalisation globale du complexe de Westmount Square incluant la transformation du centre commercial, le remplacement de systèmes mécaniques et la rénovation complète de l'enveloppe du bâtiment», lit-on dans sa fiche déposée en mai dernier.
  9. Alléluia! Publié le 15 avril 2015 à 09h51 | Mis à jour à 10h40 Prière: défaite de Jean Tremblay en Cour suprême HUGO DE GRANDPRÉ La Presse (Ottawa) Le maire Jean Tremblay perd sa longue bataille judiciaire: la Cour suprême du Canada a ordonné mercredi de cesser la récitation de la prière lors des conseils municipaux de la Ville de Saguenay. Selon le plus haut tribunal du pays, la récitation de cette prière contrevient au principe de neutralité de l'État en matière religieuse et porte atteinte de manière discriminatoire à la liberté de religion du plaignant, Alain Simoneau, un ancien résidant de la ville et militant du Mouvement laïque québécois. « La récitation de la prière aux séances du conseil constitue avant tout une utilisation des pouvoirs publics par le conseil dans le but de manifester et de professer une religion à l'exclusion des autres », a écrit le juge Clément Gascon au nom de ces collègues. Or, « l'État ne peut se livrer sciemment à une profession de foi ou agir de façon à adopter ou favoriser une perspective religieuse au détriment des autres », a ajouté le juge québécois dont il s'agissait du premier jugement depuis la nomination dans la foulée de la controverse entourant celle du juge Marc Nadon. Le jugement unanime qui infirme celui rendu par la Cour d'appel du Québec pourrait avoir des répercussions partout au Canada, où plusieurs dossiers semblables avaient été mis sur la glace en attendant l'issue du litige québécois, dont en Ontario. [...] http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/actualites-judiciaires/201504/15/01-4861283-priere-defaite-de-jean-tremblay-en-cour-supreme.php
  10. http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav13455.pdf Pas beaucoup d'info pour le moment, ou quelle sorte de projet avec des dérogations mineures (voir l'avis) sera présenté au conseil du 12 juin 2012. Le projet semble être sur le terrain de la Station Esso (entre La Brasserie Brunoise et le Resto Baton Rouge à l'angle de l'ave des canadiens. Le numéro du lot est le 1 851 399
  11. Le propriétaire de l’Impact de Montréal Joey Saputo a fait l’acquisition, en compagnie d’un groupe d’investisseurs, du FC Bologne, un club de soccer italien, jeudi. «Je suis heureux de confirmer que l'offre d'achat de notre groupe d'investisseurs pour l'acquisition du FC Bologne a été acceptée par le conseil d'administration du club», a souligné Saputo, dans un communiqué. Une lettre d'intention a d’ailleurs été signée par le club à cet effet. «Je tiens à remercier tous les gens impliqués dans la transaction, notamment les fidèles partisans du FC Bologne pour leur encouragement au cours du processus. Nous allons continuer de travailler avec le conseil d'administration du club pour finaliser l'entente le 15 octobre.» Marco Di Vaio aurait pour sa part un poste qui l’attendrait avec l’équipe italienne. Il s’agit d’un revirement de situation puisque le FC Bologne avait indiqué, il y a deux semaines, sur son site web que l’équipe serait vendue à Massimo Zanetti. La formation italienne, qui a été fondée en 1909, a été reléguée en Serie B après une saison 2013-2014 difficile. http://www.tvasports.ca/2014/10/09/saputo-devient-proprietaire-du-fc-bologne
  12. http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav16698.pdf "sur l'ensemble du 9e étage d'un bâtiment projeté de 9 étages situé aux 166-174, rue Sainte-Catherine Est, l'usage résidentiel "bâtiment abritant un nombre illimité de logements", et ce, conformément à la procédure des usages conditionnels et à l'article 247 du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie (01-282) [dossier 1146347033];" (...) "La séance du conseil d'arrondissement au cours de laquelle seront étudiés ces demandes aural ieu le mercredi 7 mai 2014, à 19 h, à la salle du conseil, 800, boulevard De Maisonneuve Est, rez-de-chaussée." Donc : 9 étages, résidentiel (possiblement locatif).
  13. LA DÉLÉGATION DE L'UPR AU QUÉBEC PUBLIE UNE LETTRE OUVERTE CONTRE LA CONFÉRENCE DE SARKOZY A LA CHAMBRE DE COMMERCE DE MONTRÉAL par François Asselineau - Union Populaire Républicaine (Articles), mercredi 24 avril 2013, 02:53 La Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCM) a annoncé que l'ancien président français Nicolas Sarkozy donnera, le jeudi 25 avril à Montréal, une conférence payante de deux heures accompagnée d'un repas. Le sujet précis de la conférence sera « l’état de l’économie mondiale, les perspectives pour l’Europe, les nouveaux équilibres qui caractérisent la gouvernance mondiale ainsi que l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada. » [ cf. http://www.ccmm.qc.ca/fr/evenements-reseautage/leader_nicolas_sarkozy/ ] ---------------------------------------------------------------------------------- De 170 € à 600 € par personne pour écouter pendant 2 heures Sarkozy jouer les sages et les experts en économie ! ---------------------------------------------------------------------------------- Les prix des billets vont de 225 dollars canadiens (170 €) pour les membres de la Chambre, à 795 dollars (600 €) pour les non-membres souhaitant occuper l'une des 150 meilleures places et rapporter chez eux une photo individuelle avec M. Sarkozy. [ À titre de comparaison, nous rappelons que le droit d'entrée aux conférences de François Asselineau varie de 0 € à 5 € et que les sommes récoltées ne servent qu'à financer la location de la salle ou des actions militantes, le président de l'UPR ne prenant naturellement aucune rémunération.] Pour faire la promotion de la conférence de Sarkozy - qui devrait rapporter beaucoup d'argent à l'ancien président de la République - la Chambre de commerce de Montréal invite les personnes intéressées à « rencontrer l'homme reconnu pour l'énergie avec laquelle il a dirigé la deuxième puissance économique européenne ». L'événement se déroulera au Palais des Congrès de Montréal. Le nombre des places disponibles n'a pas été précisé par les organisateurs qui ne prévoient pas d'accréditations pour les médias. [source : http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202701409989-nicolas-sarkozy-attendu-a-montreal-pour-une-conference-payante-557917.php ] ------------------------------------------------------------------------------------------- La délégation de l'UPR au Québec a adressé une lettre ouverte à la CCM pour protester contre la tenue de cette conférence payante -------------------------------------------------------------------------------------------- Nos lecteurs trouveront ci-dessous la lettre que la délégation de l'UPR au Québec - composée de 18 expatriés - a envoyée le 23 avril 2013 aux membres du conseil d'administration de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour s'indigner de la tenue de cette conférence. Nos adhérents expatriés au Québec ont estimé à juste titre que cette conférence, au tarif d'entrée prohibitif pour le commun des mortels, est une véritable insulte : Insulte à la démocratie, puisque Nicolas Sarkozy n'aura aucun contradicteur face à lui au cours de cette conférence, et que le droit d'entrée est tellement ruineux que seuls les plus riches peuvent envisager d'y participer. Insulte à la justice, puisque Nicolas Sarkozy ose se faire payer grassement pour se pavaner en public alors qu'il est sous le coup de plusieurs mises en examen infamantes. Insulte à la morale, puisque l'on ne compte plus le nombre de victimes de la politique économique, sociale et diplomatique de celui qui a eu l'effronterie de faire ratifier le traité de Lisbonne malgré le Non de 55% des Français à la Constitution européenne. -------------------------------------------------- Nous félicitons nos adhérents expatriés au Québec pour cette lettre ouverte qu'ils vont se charger de diffuser au plus grand nombre possible de journalistes canadiens et que nous allons nous-mêmes diffuser au plus grand nombre possible de journalistes français et étrangers accrédités à Paris. Nous suggérons à tous ceux qui le peuvent d'écrire eux aussi à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour faire part également de leur indignation devant cette invitation, et pour soutenir expressément la lettre adressée par la Délégation de l'UPR au Québec. Il suffit pour cela d'écrire à http://www.ccmm.qc.ca/fr/a-propos/contact/ (Il est obligatoire d'indiquer les nom, prénom et courriel). ========================================================= DÉLÉGATION DE L'UNION POPULAIRE RÉPUBLICAINE AU QUÉBEC Objet : Conférence de Nicolas Sarkozy à la CCM Montréal, le 23 avril 2013 À l’attention de Monsieur le Président Luc Sabbatini et de l’ensemble des membres du conseil d’administration de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du conseil d’administration, Comme il est de bon ton de démarrer un propos par une citation, nous choisirons un passage du Discours à la jeunesse que Jean Jaurès fit à Albi, le 30 juillet 1903 : « Le courage,c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques. » Ce jeudi 25 avril 2013, Monsieur Nicolas Sarkozy tiendra à votre demande une conférence au Palais des congrès de Montréal sur « l’état de l’économie mondiale, des perspectives pour l’Europe, des nouveaux équilibres qui caractérisent la gouvernance mondiale ainsi que de l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada. » Aussi, apprenez qu’à Montréal, en ce moment même, un groupe d’hommes et de femmes, de tous âges, de toutes conditions, de toutes confessions, de toutes orientations politiques, composé de Françaises et de Français expatriés, mais aussi de Québécoises et de Québécois qui posent sur la France un regard amical,s’est réuni pour s’indigner de la tenue de cette conférence, et ce, pour plusieurs raisons : D’abord, nous souhaitons informer les membres du conseil d’administration que Monsieur Nicolas Sarkozy,qui s’était fait élire en France en 2007 sur la « réduction du déficit », accuse un bilan désastreux : « En cinq ans, la dette publique a augmenté de 500 milliards d'euros, la France a perdu un point de compétitivité, le nombre de chômeurs a progressé de près d'un million, le pouvoir d'achat et la croissance ont stagné et les impôts ont augmenté » (L'Expansion.com, 10 avril 2012). Voilà un curriculum quelque peu différent decelui qui vous a probablement été présenté. Est-ce donc cet « as » de la dette publique, de la hausse des impôts et du chômage qui expliquera aux Québécois les ressorts de l’économie mondiale … ? Ensuite, nous souhaitons informer les membres du conseil d’administration que le Parquet de Paris a ouvert vendredi 19 avril 2013, une information judiciaire contre X pour : « corruption active et passive », « trafic d'influence », « faux et usage de faux », « abus de biens sociaux », « blanchiment, complicité et recel de ces délits », dans le cadre du soutien financier de la Libye à la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy de 2007. Nous respectons bien évidemment le principe de la présomption d’innocence.Cependant, nous ne saurions que trop conseiller à M. Nicolas Sarkozy de se faire discret dans de telles circonstances. Mais encore, nous rappelons aux membres du conseil d’administration que M. Nicolas Sarkozy a été mis en examen le 13 juin 2012 pour « abus de faiblesse » et le 13 février 2013 pour « escroquerie » dans l’affaire Bettencourt. Encore une fois, nous respectons le principe de la présomption d’innocence, mais admettez que ça commence à faire beaucoup. Et alors qu’on s’attendrait naturellement, dans un tel contexte, à ce que ce monsieur fasse profil bas, eh bien pas du tout ! Il parcourt le monde pour donner à prix d’or des conseils de bonne gestion gouvernementale. Tout cela n’est pas sérieux. Pour ne pas nous arrêter en si bon chemin, nous rappelons aux membres du conseil d’administration que le19 novembre 2004, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Économie, des Finances et de l’Industrie et Christian Noyer, alors gouverneur de la Banque de France,ont mis au point un dispositif visant à vendre environ un cinquième des 3 000 tonnes d’or détenues par la Banque de France. Selon le rapport de la cour des comptes du 8 février 2012, la vente des 589 tonnes d’or a dégagé d’importantes plus-values de cession, mais reste une mauvaise opération compte tenu de l’évolution du cours de l’or et du phénomène d’inflation. De plus, et c’est l’essentiel selon nous, nous souhaitons rappeler aux membres du conseil d’administration que le président Sarkozy, alors que le peuple français avait rejeté le traité constitutionnel européen (TCE) le 29 mai 2005 par voie référendaire, a décidé (avec l'approbation du Parti socialiste) de nier la souveraineté populaire en faisant ratifier par voie parlementaire en 2008 le traité de Lisbonne, un texte quasiment identique au TCE. C'est une forfaiture de la plus grande ampleur. M.Nicolas Sarkozy a donc, par un procédé confinant à la dictature, sciemment violé la voix du peuple français. Pour finir, nous rappelons aux membres du conseil d’administration qu’une révision des dispositions sur la responsabilité pénale du chef de l’État, à l’article 68 de la Constitution française, intervenue en février 2007, a substitué à l’antique et belle formule de « haute trahison », l’expression affadie, banale et totalement imprécise de «manquement à ses devoirs manifestement incompatibles avec l’exercice de son mandat ». Nous invitons les membres du conseil d’administration à méditer quelques secondes sur ce dernier point. http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202701409989-nicolas-sarkozy-attendu-a-montreal-pour-une-conference-payante-557917.php En conséquence, nous vous annonçons que nous dénoncerons publiquement toute personne, tout groupe de personnes ou toute institution, qui en connaissance de cause, concèderait injustement à M. Nicolas Sarkozy un statut d'expert économique ou de démocrate suffisamment honorable pour donner des leçons de politique aux Québécois. Compte tenu de la gravité des éléments qui ont été portés à votre connaissance, nous ne pouvons considérer qu’insultante, à tous égards, la tenue de cette conférence à Montréal. Fervents défenseurs de l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada, nous espérons que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain se ravisera, et respectera ainsi la communauté importante de Français expatriés, qui a trouvé au Québec une terre d’accueil. La moindre des choses serait que M. Sarkozy soit confronté à un ou plusieurs contradicteurs à l'occasion de cette conférence, que des critiques légitimes puissent se faire entendre. Comme nous avons commencé par une citation, terminons par une autre,celle-ci du poète grec Ésope, célèbre pour ses fables : « Les menteurs ne sont jamais plus fanfarons qu'en l'absence de contradicteurs. » Espérant trouver un écho favorable à notre requête, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du conseil d’administration, l’expression de nos salutations distinguées. La délégation de l’Union Populaire Républicaine (UPR) au Québec http://www.u-p-r.fr/
  14. Français sur les électroménagers: détaillants et fabricants dénoncent Québec Les détaillants et les fabricants montent au créneau pour dénoncer l'intention de Québec de rendre obligatoires les inscriptions en français sur six types d'électroménagers. À l'heure actuelle, le Règlement sur la langue du commerce et des affaires de la Charte de la langue française prévoit une dérogation pour les inscriptions gravées, incrustées, rivetées ou soudées que l'on trouve sur les cuisinières, fours à micro-ondes, laveuses, lave-vaisselles, réfrigérateurs et sécheuses. Or, en avril, le gouvernement a publié un projet de règlement visant à mettre fin à cette dérogation. Dans une lettre envoyée en mai à la ministre de la Culture, Christine St-Pierre, le président du Conseil québécois du commerce de détail, Gaston Lafleur, soutient que le changement aura des impacts "très significatifs" pour les détaillants, pour les consommateurs et même pour l'économie québécoise. Nathalie St-Pierre, vice-présidente du Conseil canadien du commerce de détail, a également écrit à la ministre. Selon elle, "l'adaptation des chaînes de montage pour accommoder les modifications réglementaires coûterait quelque 165 millions $". Le changement proposé "n'ajoute aucune protection réelle de la langue française au Québec", soutient Nathalie St-Pierre. Les détaillants calculent qu'entre 85 et 90 pour cent des électroménagers actuellement en vente au Québec ne pourraient plus être offerts si le règlement devait entrer en vigueur. De son côté, l'Association of Home Appliance Manufacturers, dont le siège social est situé à Washington, prévient que le nouveau règlement "pourrait engendrer une diminution de l'éventail d'appareils disponibles à la clientèle et, potentiellement, des prix plus élevés au Québec". En 2009, l'Office québécois de la langue français estimait qu'à peine 25 pour cent des électroménagers vendus au Québec portaient des inscriptions en français, contre plus de 75 pour cent au moment de l'adoption de la Charte de la langue française, en 1977. Sur son site Web, l'Office précise avoir "entrepris des démarches qui touchent tous les intervenants du domaine des électroménagers". Les détaillants se plaignent toutefois de ne pas avoir été consultés avant la publication du projet de règlement. Dans sa missive, M. Lafleur a demandé une rencontre avec Christine St-Pierre. Marie-Hélène Paradis, attachée politique au cabinet de la ministre, a toutefois indiqué mardi, au cours d'un entretien téléphonique, qu'aucune réunion n'était prévue pour le moment. Rappelons qu'Electrolux et Mabe ont annoncé la fermeture de leurs usines québécoises pour 2013 et 2014, ce qui mettra fin aux activités de fabrication d'électroménagers dans la province. Dans un autre dossier, le Conseil canadien du commerce de détail conteste l'interprétation que fait le gouvernement de la Charte de la langue française en matière d'affichage. À ses yeux, la loi n'oblige pas les commerçants à ajouter un descriptif français devant leur nom. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/francais-sur-les-electromenagers-detaillants-et-fabricants-denoncent-quebec/546614
  15. La portion intéressante de cette article est à la fin... quelle est exactement la définition de forte densité? (...) Publié le 14 Juillet 2012 Nathalie Paquin VIEUX-LONGUEUIL – Afin de répondre aux réalités actuelles et permettre la venue de nouvelles classes d’usage, le conseil d’arrondissement du Vieux-Longueuil a procédé à quelques changements de zonage, lors d’une assemblée publique de consultation tenue le 10 juillet dernier, juste avant la séance ordinaire du conseil. La première de ces quatre modifications, effectuée dans un secteur du quartier Fatima, est en fait une correction technique concernant la somme des marges latérales de certaines résidences bifamiliales, qui a été corrigée de 3,50 mètres à 5,50 mètres. Aussi, les classes d’usage «finances et assurances» de même que «services administratifs et de soutien» ont été ajoutées dans la zone où est située la maison Chaboillez, sur la rue Saint-Charles Ouest. Soins de beauté et logements à forte densité De même, dans un tronçon localisé entre Desaulniers et Verchères, donnant notamment sur le boulevard Taschereau, l’usage «services de soins personnels sera permis». La conseillère en urbanisme Marie Laperrière, qui a fait la présentation des modifications, a souligné que le boulevard Taschereau représentait une épine dorsale majeure, une vitrine pour Longueuil. La venue de commerces de soins de beauté et d’esthétiques viendrait «enjoliver» un secteur où se trouvent principalement des commerces liés à l’automobile. Enfin, le secteur du motel La Barre, zoné commercial, comportera une nouvelle zone résidentielle, qui permettra la construction d’habitations multifamiliales de forte densité. Ceci en réponse au souhait d’un promoteur intéressé par ce projet. Celui-ci a aussi fait savoir son intention d’introduire le service Communauto, en plus d’espaces de stationnement pour les locataires.
  16. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201103/12/01-4378670-lhopital-st-mary-sera-agrandi.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&ut m_contenuinterne=cyberpresse_BO2_montreal_173_accu eil_POS2
  17. Atze

    La Station (2012)

    Patrimoine - Station-service moderniste en danger Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du mardi 06 janvier 2009 Mots clés : station-service, Mies van der Rohe, Conseil du Patrimoine, Montréal Le Conseil du Patrimoine veut sauver la création de Mies van der Rohe, maintenant barricadée sur l'île des Soeurs L'ancienne station-service Esso de l'île des Sœurs a été conçue par l'architecte Ludwig Mies van der Rohe en 1968. On lui doit aussi le complexe Westmount Square, son dernier grand projet, inauguré en 1966. Photo: Jacques Nadeau Un pied sur le frein, un autre sur l'accélérateur. La mauvaise nouvelle, c'est que la station-service de l'île des Soeurs conçue par l'architecte Ludwig Mies van der Rohe en 1968 est fermée et barricadée depuis la mi-décembre. La bonne nouvelle, c'est que le Conseil du Patrimoine entamera dès la semaine prochaine des démarches officielles pour citer le bâtiment moderniste, selon les informations obtenues par Le Devoir. La citation d'un immeuble vise à faciliter sa sauvegarde et sa mise en valeur, sans toutefois les garantir. «Nous avons eu plusieurs réunions depuis l'automne avec le Bureau du patrimoine de la ville au sujet de la station-service», explique Marie Lessard, professeure à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal et présidente du Conseil du patrimoine de Montréal (CPM), l'organisme consultatif de la ville en la matière. La première réunion au sujet de la citation aura lieu lundi prochain. La présidente ajoute que la ville-centre et l'arrondissement de Verdun, de même que le groupe d'étude et de défense du patrimoine moderne Docomomo Québec, ont été «très impliqués» dans la préparation du dossier d'appui à la sauvegarde de la station-service. «Tout le monde est très conscient de sa valeur», rassure Mme Lessard. «La volonté de citer ce bâtiment est une excellente nouvelle, commente Dinu Bumbaru, directeur des programmes du groupe de défense du patrimoine de la ville Héritage Montréal. Nous avons besoin de ce genre de reconnaissance pour enrichir le catalogue et étendre la notion de patrimoine. Même si on déteste l'automobile qui a façonné le XXe siècle, il faut bien reconnaître les qualités indéniables de cette station-service assez unique au monde.» Trésor patrimonial Son importance a été mise en évidence en 1992 dans un rapport de Docomomo, puis dans une étude du CPM publiée en octobre 2005. Après avoir acheté le territoire agricole à la Congrégation Notre-Dame de Montréal en 1955, la Quebec Home and Mortage Corporation Limited a associé Mies van der Rohe au développement du «plus merveilleux domaine résidentiel de l'Amérique du Nord». On lui doit aussi le complexe Westmount Square, son dernier grand projet, inauguré en 1966. Sur l'île, il a finalement participé à la conception du plan d'ensemble et a conçu cette fameuse station-service. Les pompes à essence originales ont déjà disparu. L'aire d'accueil (y compris ses meubles) a subi de nombreux réaménagements. «Il apparaît que le bâtiment devrait être maintenu dans son intégrité et restauré, concluait le CPM en 2005. Si la station-service perdait l'usage pour lequel elle fut conçue, le recyclage devrait maintenir les qualités architecturales du bâtiment.» Le Magazine, l'hebdo de l'île des Soeurs affirmait le mois dernier que l'arrondissement de Verdun, dont relève le secteur, songeait à installer un centre communautaire dans le garage moderniste. Le trésor patrimonial occupe un grand terrain du boulevard de l'Île-des-Soeurs qui appartient maintenant à un des grands promoteurs immobiliers du secteur, la Proment Corporation, dont il a été impossible d'obtenir un commentaire hier. Au total, il y a trois ans, le terrain et le bâtiment n'étaient évalués qu'à 681 000 $, soit le prix d'un grand condo dans ce coin huppé de la ville. La station Esso était exploitée en franchise depuis quatre décennies. La pétrolière détient l'exclusivité des droits de vente d'essence dans le secteur. Mike Terzian, le garagiste expulsé à la mi-décembre, cherche toujours à se relocaliser sur l'île avec sa dizaine d'employés. Le projet de déménagement dans un ancien entrepôt, sur le chemin du Golf, est tombé à l'eau sous la pression des riverains. «Nous acceptons la décision d'Esso, dit-il. Par contre, c'est un non-sens de ne pas pouvoir offrir de service aux automobilistes de l'île.»
  18. aits saillants de la séance régulière du conseil d'arrondissement du 14 novembre http://ville.montreal.qc.ca/portal/p...es/communiques 16 novembre 2011 Montréal, le 16 novembre 2011 - Réunis lundi soir à la maison de la culture Frontenac pour la séance régulière du mois de novembre, les membres du conseil d?arrondissement de Ville-Marie ont étudié plusieurs dossiers qui confirment l'élan de vitalité que connaît actuellement le centre-ville. Logements sociaux et communautaires En ouverture de séance, le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, a rappelé que 873 logements sociaux et communautaires ont vu le jour dans l'arrondissement depuis 2002 et que 440 autres unités sont en préparation depuis 2010. Il a également confirmé la création prochaine d'un fonds de compensation auxquels les promoteurs devraient contribuer lorsque l'inclusion de logements sociaux dans de grands projets ne s'avère pas applicable. ...
  19. Source: Messager de Lasalle Publié le 9 Novembre 2011 Pierre Boulanger Le projet de développement résidentiel du Quartier de la gare, qui prévoit la construction d'environ 1 400 unités d'habitation d'ici les 10 ou 15 prochaines années, est loin de faire l'unanimité auprès des résidents des zones concernées. Plusieurs d'entre eux ont d'ailleurs envahi la salle du conseil d'arrondissement lundi soir dernier. La mairesse Manon Barbe a tenté de calmer le jeu en annonçant que le conseil retirait son projet dans sa forme actuelle. Pour la mairesse Barbe, «nous avons une vision pour le Quartier de la gare pour y créer un T.O.D. (Transit Oriented Development). Un avis annonçant la possibilité de faire une demande de participation à un référendum a été publié le 15 septembre. Mais seulement trois des 12 demandes reçues ont été considérées valides par le service du contentieux. Ces demandes contiennent des revendications dont nous voulons tenir compte. Elles demandent la tenue de soirées d'information, d'études d'impact sur la circulation et le stationnement, le bruit, l'ensoleillement, la pollution, etc. Le processus légal ne permettant pas d'inscrire dans la démarche référendaire ces commentaires de citoyens, le conseil a décidé de retirer le projet tel qu'il a été présenté. Mais nous ne l'abandonnons pas. Nous allons attendre d'avoir des projets concrets de la part de développeurs, avant d'entreprendre des changements au règlement de zonage. Nous pourrons alors présenter des perspectives aux citoyens, qui pourront se faire une idée précise du développement en devenir.» Une opposition grandissante Les opposants s'inquiètent des impacts qu'entraîneraient autant de nouvelles habitations. Le règlement aurait permis aux promoteurs de construire des édifices pouvant aller jusqu'à 12 étages dans certaines zones. Ils dénoncent la procédure mise de l'avant, d'abord avec l'annonce d'une consultation publique en août, alors que plusieurs étaient en vacances. Puis, avec une séance de consultation de 45 minutes, le 6 septembre dernier, alors que les citoyens n'ont eu qu'une vingtaine de minutes pour soulever des questions. Une période de questions animée La mairesse Barbe a choisi de donner d'abord la parole aux gens qui ne sont pas des habitués des séances du conseil, ce qui a soulevé la colère des intervenants réguliers qui s'étaient pourtant inscrits les premiers. Furieux, quelques-uns ont crié à l'injustice. Le citoyen Michel Benoit, qui insistait pour exercer son droit de parole, a été expulsé sur ordre de la mairesse et escorté à l'extérieur de la salle par deux policiers. Mme Sonja Susnjar, qui a circulé de porte en porte pour récolter plus de 200 signatures de personnes qui s'opposent au projet, a manifesté ses inquiétudes devant la venue possible «de 2000 véhicules supplémentaires dans une zone désenclavée.» Kim St-Pierre a voulu s'assurer que le projet était «mis sur la glace». La mairesse a répondu «qu'en fait, il n'y avait pas de projet concret. On voulait redéfinir le développement du secteur parce que deux compagnies ont fermé leurs installations. Les gens sont venus nous questionner sur des projets de construction qui n'existaient pas. Quand un projet concret va arriver, on pourra enclencher le processus et quand on fera une présentation publique, on pourra dire aux gens les différents impacts. On prend une méthode plus traditionnelle, projet par projet.» Deux intervenants se sont interrogés sur l'avenir de l'usine Fleischmann. La mairesse a répondu que le «terrain de cette usine est zoné résidentiel depuis 1988, mais que tant et aussi longtemps qu'elle sera en opération à cet endroit, elle est en droits acquis.» Mme Barbe souligne que les terrains des deux compagnies qui ont fermé leurs portes n'est pas zoné résidentiel et que le zonage devra y être changé. «On va partir bas et quand on arrive vers la bretelle du pont Mercier, on ira plus en hauteur parce que ce sera loin des maisons existantes. Pour les dix prochaines années, on va s'attaquer au secteur Wanklyn, Jean-Milot, Des Oblats et Lafleur.» Roland Laforce affirme qu'avec les nouvelles taxes provenant de ces projets, «nous payons les infrastructures mais c'est la grande ville qui collecte.» La mairesse a rétorqué que l'arrondissement va recevoir, dans sa dotation, un surplus d'argent en compensation. Pour sa part, Yves Daoust a déclaré «qu'une fois le processus de changement de zonage enclenché, les citoyens n'auront plus rien à dire. Vous dites que c'est une vision sur 10 ou 15 ans, alors c'est quoi l'urgence de changer le zonage maintenant?» De son côté, Francisco Moreno a demandé aux élus de tenir compte des écoles et des parcs dans ce projet. Le projet du Quartier de la gare prévoit le déplacement de la gare LaSalle dans l'axe Wanklyn, la relocalisation du terminus d'autobus au coin Wanklyn et Lafleur. Sur le plan résidentiel, on parle d'un potentiel total de 1 400 unités de logements; pour l'îlot compris entre Jean-Milot et Wanklyn: 750 unités, et pour celui compris entre les rues Airlie/Stinson/Wanklyn: 650 unités.
  20. Le Centre sur la biodiversité s'installera dans un nouvel immeuble, au coeur même du Jardin botanique La construction du nouvel édifice qui logera le Centre sur la biodiversité est le fruit d'un partenariat entre la Ville de Montréal et l'Université de Montréal. Il tiendra lieu de plateforme internationale pour le domaine de la biodiversité. Le bâtiment sera conçu selon les normes environnementales LEED (Leadership in Energy and Environmental Design), adaptées par le Conseil du bâtiment durable du Canada. Sur quatre niveaux, il logera des laboratoires de réception des échantillons, d'enseignement et de recherche de haute technologie, des bureaux et des salles d'exposition. L'Université donnera sous peu le coup d'envoi aux soumissions publiques pour la construction du bâtiment. Inauguration prévue en 2010 Gestionnaire du projet, Direction des immeubles: M. Louis Mathieu, directeur des grands projets http://www.di.umontreal.ca/centrebiodiversite.html
  21. Publié le 7 Septembre 2011 Sandrine Béjanin Rive-Sud Express.ca Le conseil municipal de Brossard a voté un règlement permettant aux commerces situés sur le boulevard Taschereau, de part et d'autre de la rue Mario, de construire des bâtiments de plus de deux étages. Des citoyens touchés par cette mesure ont cherché à s'y opposer, mais le registre de signatures était inexistant à la mairie. En votant le règlement 203, le conseil municipal a voulu modifier le règlement de zonage 1642 applicable à la zone M01C, bordée par le boulevard Taschereau à l'ouest, le côté pair de la rue Malo à l'est, le croissant Marin au nord et la Place Mercure au sud. Avec le changement de réglementation, le zonage ne serait plus un frein pour les commerces qui souhaiteraient construire en hauteur. La réglementation existante constituait un obstacle au projet d'agrandissement du garage Montmorency Ford. Le directeur général de Montmorency Ford, M. Bélanger, a déclaré que le projet n'était pas finalisé, mais que le bâtiment serait agrandi et surélevé: deux étages avec stationnement ou trois étages. Les citoyens de la rue Malo craignent pour leur qualité de vie, déjà incommodés par le bruit du garage ouvert 24h/24. Pour eux, un bâtiment plus grand et plus haut signifie une vue directe des employés de Ford sur leur jardin ainsi qu'une perte de clarté et de soleil. Julie Deveau, Jean-Marie Beauvais et Marie-Jeanne Hernandez sont venus demander au conseil, le 4 juillet dernier, quels étaient leurs recours. Ils se sont vu répondre qu'ils pourraient faire une demande d'approbation référendaire en signant un registre. Le conseiller Antoine Assaf a été le seul à voter contre le projet de règlement «par respect pour les citoyens qui sont venus ici protester», a-t-il précisé. Sauf que le 18 juillet, quand Jean-Marie Beauvais est allé signer le registre à la mairie, quelle ne fut pas sa stupéfaction d'apprendre que le registre n'existait pas, «parce que les citoyens n'ont pas l'habitude de s'opposer», a-t-il reçu comme explication. Il a donc dû recueillir une cinquantaine de signatures des résidents de Malo, Mario et Mercure opposés au règlement 203 et demandant la tenue d'un référendum.
  22. Un monorail pourrait réapparaître sur l'île Sainte-Hélène d'ici quelques années, comme au temps de l'Expo 67. Un projet estimé à 185 millions de dollars a été présenté jeudi dernier devant la Commission des finances du Conseil municipal et la Commission d'agglomération sur les finances, à l'Hôtel de Ville de Montréal. Le monorail circulerait sur une dizaine de kilomètres entre les principaux sites d'activités du parc Jean-Drapeau, de l'île Notre-Dame et la Place Bonaventure au centre-ville de Montréal. Ce moyen de transport est donc à l'étude, et recueille déjà des avis favorables. Le directeur général Christian Ouellet en a notamment parlé avec enthousiasme. La Société du parc Jean-Drapeau propose de réaliser plusieurs autres projets en prévision du 375e anniversaire de Montréal, en 2017. On annonçait également lundi matin la venue d'un nouveau président au conseil d'administration de la Société du parc Jean-Drapeau : Normand Legault. D'après un reportage de Benoît Chapdelaine http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/10/04/006-monorail.shtml J'aimerais bien voir ça un jour! Mais disons que j'aimerais mieux voir un SLR jusqu'à longueil avant!
  23. Une centaine d'arbres abattus, deux bâtiments démolis, une chapelle en danger et des vues sur la montagne masquées. Voilà les grandes lignes du projet de transformation extrême de l'ancien collège Marianopolis, situé en plein écoterritoire du mont Royal, sur lequel les élus de la garde rapprochée du maire Tremblay devront se prononcer aujourd'hui. Dans un avis carrément «défavorable», dont La Presse a obtenu copie, et qui sera rendu public aujourd'hui, le Conseil du patrimoine de Montréal recommande que le projet de complexe résidentiel, avec clinique médicale, soit modifié de fond en comble. L'instance consultative estime que le promoteur, Développement Cato inc., devrait par ailleurs refaire ses devoirs pour préserver le site de 16 âcres tout en garantissant un accès au public malgré la nouvelle vocation privée. Depuis que l'ancienne propriété des prêtres de Saint-Sulpice a été mise en vente, en mars 2008, l'organisme de défense du mont Royal, Les Amis de la montagne, a demandé à plusieurs reprises de voir les plans détaillés du futur acquéreur. Mais en vain. Ce n'est qu'aujourd'hui, alors que le projet sera fort probablement soumis à des audiences de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM), un organisme de la Ville sans pouvoir décisionnel, qu'on apprend l'ampleur des travaux et l'impact sur la montagne. Un complexe de 325 logements Dans l'ensemble, il est projeté de recycler l'ancien séminaire de philosophie du chemin de la Côte-des-Neiges en un complexe de 325 logements comprenant des maisons superposées, des unifamiliales isolées et des multiplex. Outre les deux nouveaux immeubles d'une hauteur variant de 3 à 9 étages, le promoteur entend aménager une clinique médicale, possiblement à vocation privée, d'une superficie de 2000 m2, soit l'équivalent de la superficie du tablier du viaduc Rockland. Il est aussi question de creuser une piscine et d'aménager 671 unités de stationnement souterrain. Afin d'analyser le projet et de tirer des conclusions, le Conseil du patrimoine (CPM) s'est basé sur la version finale du plan directeur de développement du promoteur Cato, datée du 7 janvier. À la lumière des maquettes, le CPM en vient à la conclusion que le site aurait dû demeurer à vocation institutionnelle ou publique, et croit qu'il serait temps d'explorer les moyens pour «transférer les droits de développement du promoteur Cato sur un autre site.» Mais comme le site a déjà été vendu pour la somme de 45 millions et que la Ville n'a pas le pouvoir de dire non, le Conseil du patrimoine va de l'avant avec ses recommandations. Au chapitre des arbres, on apprend que l'abattage d'une rangée d'arbres matures doit servir à installer des maisons unifamiliales à l'ouest du site, donc en direction du sommet Westmount. À cet égard, le CPM déplore qu'aucune information n'a été fournie sur les mesures de plantation et les espèces retenues. Tous les travaux de déblai et de remblai projetés font par ailleurs penser qu'on est encore une fois «en train de grignoter les flancs du mont Royal.» Éléphant dans un jeu de quilles Dans un endroit où la circulation est particulièrement délicate, avec des impératifs de développement durable, les ambitions d'ouvrir une clinique médicale et d'aménager 671 unités de stationnement sont aussi vertement critiquées par le CPM. «La capacité d'accueil du site est limitée, note le Conseil. Et compte tenu de la proximité de l'Hôpital général de Montréal et des difficultés probables d'accès à partir de Côte-des-Neiges, il est difficile d'assurer un équilibre.» En ce qui concerne la démolition du centre sportif et de la maison des employés, l'instance patrimoniale estime enfin que la nouvelle construction de neuf étages, plus haute que l'ancienne, cachera la vue sur l'ancien séminaire à partir de l'avenue Cedar. En conséquence, le Conseil craint qu'on répète l'erreur du projet de la Ferme sous les noyers, tout près du séminaire, qui a eu pour effet de rendre invisible la maison rénovée. Informée par La Presse des conclusions du Conseil du patrimoine, la directrice générale des Amis de la montagne, Sylvie Guilbault, partage entièrement l'avis du Conseil, particulièrement au sujet de l'importance d'étudier les façons de transférer au public ou à l'institutionnel les droits de construction. «Ce projet, dans un endroit particulièrement achalandé, avec en plus l'agrandissement prévu de l'Hôpital général de Montréal, constituera un bon test pour les gouvernements. Si on prend juste le nombre de stationnements que le groupe veut construire, c'est effarant», ajoute Mme Guilbault.
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