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Le Mardi 4 Août 2009 | Mise en ligne à 15h03 À quoi ça sert, un maire ? Ariane Krol David Miller a tenu tête aux employés municipaux durant plus d’un mois, mais apparemment, ce n’était pas assez. Les Torontois se montrent beaucoup moins enclins à réélire leur maire qu’avant le conflit, montre un sondage CTV/The Globe and Mail. Et on ne parle pas d’un petit recul. Presque 60% des citoyens interrogés ont moins envie de voter pour lui aux élections de l’an prochain. L’enquête a été réalisée à la fin de la semaine dernière, juste après que les conditions de l’entente avec le premier syndicat aient rendues publiques. Plus de 60% des répondants trouvent que leur maire s’est écrasé devant les grévistes. Où étaient les partisans de la ligne dure durant le conflit? On a entendu des masses de citoyens se plaindre des ordures qui s’accumulaient dans les parcs, mais très peu dire que le jeu en valait la chandelle. Qu’ils étaient prêts à endurer quelques semaines de puanteur pour éviter que leur compte de taxes ne grimpe en flèche. Remarquez, on ne fait pas mieux avec notre neige, qu’on voudrait voir ramassée instantanément sans se demander combien il en coûterait de plus. La réaction des Torontois a au moins le mérite de donner l’heure juste sur les attentes des citoyens. David Miller n’a pas ménagé ses efforts pour accroître le rayonnement de sa ville. La métropole canadienne s’embellit et devient plus intéressante de jour en jour, au point que son maire est devenu une sorte de repoussoir pour dénoncer l’apathie de Gérald Tremblay. Et pourtant… Ce qui sera déterminant dans l’isoloir, ce ne sera probablement pas l’architecture des musées ou les nouveaux festivals, mais les services municipaux. Parce que la raison d’être d’une municipalité, c’est avant tout de donner des services. Je suis la première à souhaiter que les maires des grandes villes comme Montréal fassent preuve d’inspiration et voient plus loin que la gestion quotidienne. Mais le premier mandat n’exempte pas du second et les élus ne devraient jamais l’oublier. Car ce ne sont pas les commentateurs de tout acabit qui remplissent les urnes, mais les simples citoyens. (Remarquez, si les citoyens en question étaient aussi prompts à aller voter qu’à critiquer les élus , on aurait peut-être des administrations municipales plus efficaces…)
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Petro-Canada: projet de 1 milliard compromis à Montréal
un sujet a posté ErickMontreal dans L'actualité
Petro-Canada: projet de 1 milliard compromis à Montréal 25 juillet 2008 - 06h21 La Presse Martin Vallières Le lancement d’un investissement de 1 milliard de dollars à la raffinerie de Petro-Canada dans l’est de Montréal est compromis en raison du conflit de travail qui y perdure depuis huit mois. Les dirigeants de la société pétrolière dirigée de Calgary ont confirmé le sort inquiétant qui guette désormais l’un des plus gros projets de pétrochimie au Québec depuis des années, hier, lors de leur énoncé des résultats trimestriels. «La décision d’investissement dans un cokeur (raffinage de pétrole plus lourd) à la raffinerie de Montréal est reportée jusqu’à un règlement du conflit de travail», lit-on dans le communiqué de résultats trimestriels de Petro-Canada, publié tôt hier matin. Ensuite, lors de la discussion avec les analystes financiers, le président et chef de la direction de Petro-Canada, Ron Brenneman, a indiqué que «nous avons besoin des bonnes conditions au niveau des relations de travail pour aller de l’avant avec ce projet». «Tant que ces conditions ne seront pas en place, nous avons décidé de mettre ce projet en attente.» En préparation depuis deux ans, le projet d’investissement de Petro-Canada comprend surtout l’installation d’équipements de pointe pour augmenter la capacité de traitement de pétrole lourd, moins cher sur le marché. La pétrolière cible un ajout de capacité de l’ordre de 25 000 barils par jour en hydrocarbures lourds afin d’en extraire davantage de carburants comme l’essence et le diesel. Petro-Canada achève d’ailleurs un projet comparable mais de plus grande capacité à sa raffinerie d’Edmonton, en Alberta, afin de traiter davantage de pétrole provenant des sables bitumineux. Toutefois, ce projet s’est avéré beaucoup plus coûteux que prévu. Son budget d’origine, prévu à 1,6 milliard, a gonflé à 2,3 milliards, puis encore à 2,5 milliards récemment, ont confirmé hier les dirigeants de Petro-Canada. «La principale cause de ce surcoût est une ingénierie de mauvaise qualité et une gestion de projet insatisfaisante», a admis Ron Brenneman. À la raffinerie de Montréal-Est, le conflit de travail des 265 opérateurs et employés d’entretien syndiqués perdure depuis novembre 2007. Le principal point en litige est une revendication des syndiqués d’une parité de gains salariaux avec ceux de la raffinerie d’Edmonton. Leur plus récente convention contient des hausses salariales de 5% et 4,5% par année, mais dans une économie albertaine beaucoup plus inflationniste que celle de la région de Montréal. Par ailleurs, les employés syndiqués de Petro-Canada à Montréal-Est sont aussi en litige au sujet de l’usage de travailleurs de remplacement, ou «scabs» disent-ils, depuis qu’ils ont été mis en lock-out il y a huit mois. Les prochaines rencontres des deux parties devant un conciliateur gouvernemental sont prévues les 19 et 20 août prochains. Mais dans l’immédiat, le principal représentant syndical des salariés de Petro-Canada, Jacques Vanier, a dit douter de l’impact du conflit de travail sur la suite du projet d’investissement à la raffinerie. «Nous avons déjà proposé une convention de six ans à Petro-Canada, avec ajustement salarial après trois ans, dans le but justement de lui donner une période suffisante pour réaliser ce projet», a soutenu M. Vanier. «Pourtant, Petro-Canada continue de refuser notre offre depuis des mois. Et ce conflit de travail, c’est l’entreprise qui l’a provoqué en nous mettant en lock-out et en embauchant des «scabs» pour continuer d’exploiter la raffinerie, malgré les risques que ça comporte.» Entre-temps, Petro-Canada a encore divulgué hier des résultats trimestriels qui témoignent de l’entrain sans précédent de l’industrie pétrolière canadienne. Ses revenus bruts de 7,64 milliards pour le trimestre terminé le 30 juin étaient en hausse de 39% par rapport à la même période un an plus tôt. Le bénéfice net du deuxième trimestre de 2008 était encore plus fort: en hausse de 77%, à 1,49 milliard de dollars, incluant un gain spécial de revente d’actifs. Petro-Canada a aussi profité de ses résultats records pour rehausser son dividende trimestriel de 53%, à 20 cents l’action, comparativement à 13 cents précédemment. À la Bourse de Toronto, les investisseurs ont apprécié les résultats de Petro-Canada alors qu’ils se préoccupent du recul des cours pétroliers sur la Bourse canadienne. Ils ont soutenu ses actions, qui ont connu une baisse modérée de 1,2%, à 46,04$, pendant que l’indice de marché S&P/TSX, très influencée par les ressources naturelles, basculait de 2,2% en fin de séance. N’empêche, avec ce recul, même modeste, la valeur boursière de Petro-Canada s’éloigne encore plus de son sommet de 61,85$ l’action atteint le 22 mai dernier. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080725/LAINFORMER/807250704/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER-
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