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  1. Voici un exemple de modèle alternatif que j'aime bien: on voit au-delà du capitalisme primaire "profit-only", sans non plus tomber dans l'ANTI-capitalisme primaire, tout en améliorant la société, et en participant à l'économie active. C'est ce type de choses originales, plus "sociales", qui fait l'originalité de notre système québécois. Malgré ses défaillances, ça me persuade qu'il y a du bon à conserver là-dedans. Yeah. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201012/28/01-4355805-un-modele-unique-en-amerique-du-nord.php
  2. Royal Air Maroc : un Dreamliner à Montréal. Le deuxième Boeing 787-8 Dreamliner de la compagnie aérienne Royal Air Maroc a été déployé vendredi entre Casablanca et Montréal, où il doit atterrir trois fois par semaine jusqu’au début juin. Livré mi-avril à la compagnie nationale marocaine, le Dreamliner immatriculé CN-RGC a décollé le 1er mai 2015 à 18h20 de l’aéroport de Casablanca-Mohammed V à destination de Montréal-Pierre Elliott Trudeau, où il est arrivé à 21h05 ; le vol retour a quitté le Canada à 22h35 pour se poser le lendemain à 10h35. Royal Air Maroc a prévu de déployer son 787-8 jusqu’à trois fois par semaine sur cette route sans concurrence, les autres rotations restant opérées en 767-300ER. Rappelons qu’elle a annoncé pour cet été un doublement des capacités vers le Canada, y compris via l’ajout de fréquences supplémentaires. http://www.air-journal.fr/2015-05-04-royal-air-maroc-un-dreamliner-a-montreal-5143684.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
  3. Publié le 14 août 2013 à 08h26 | Mis à jour à 08h26 http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201308/14/01-4679708-la-caisse-investit-400-millions-dans-place-ville-marie.php Ivanhoé Cambridge, filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec, fera l'acquisition de la participation de 50% de certains clients de la société Alberta Investment Management Corporation (AIMCo) dans Place Ville Marie. Cette transaction, soumise à l'approbation du Bureau de la concurrence, est évaluée à plus de 400 millions. Ivanhoé Cambridge a dit prévoir d'importants investissements pour relancer l'immeuble. ---- Hmmm, peut-être un nettoyage ou recladding à l'horizon??
  4. Le Bureau de la concurrence intervient Mise à jour le lundi 8 février 2010 à 17 h 35 Le Bureau de la concurrence conteste les règles de l'Association canadienne de l'immeuble (ACI), qui représente quelque 98 000 agents immobiliers, devant le Tribunal de la concurrence. L'organisme fédéral estime que ces règles « restreignent la capacité des consommateurs à choisir les services immobiliers qu'ils désirent, les forçant à acheter des services dont ils n'ont pas besoin ». Et d'ajouter que les agents immobiliers ne peuvent pas offrir « davantage d'options de service et de tarification novatrices ». Le registre des propriétés dans la ligne de mire Le registre des propriétés de l'ACI (le Service inter-agence ou Multiple listing service) se trouve au coeur des griefs du Bureau de la concurrence. Celui-ci note que « l'immense majorité des transactions immobilières canadiennes font appel [à ce système] ». Toutefois, seuls les membres de l'ACI peuvent y accéder, selon des règles restrictives, estime l'organisme. Le Bureau de la concurrence explique qu'il est interdit de seulement inscrire une maison à mettre en vente sur le registre, les clients devant plutôt acheter « un ensemble prédéterminé de services supplémentaires ». « C'est le marché qui, en définitive, déterminera le prix des services immobiliers résidentiels, mais, advenant que le Tribunal abolisse les restrictions anticoncurrentielles, nous nous attendons à ce que s'exerce une pression à la baisse sur les tarifs des services immobiliers au Canada », a déclaré Melanie Aitken, commissaire de la concurrence. Pour en lire plus...
  5. Une très bonne nouvelle en perspective. Les transactions immobilières pourraient bientôt coûter moins cher au Canada. Selon le quotidien Toronto Star, le Bureau de la concurrence du Canada a passé les deux dernières années à réviser les pratiques des professionnels de l'industrie. À la suite de cette étude, le Bureau conclut que le comportement de l'Association canadienne de l'immeuble nuit aux saines pratiques concurrentielles, et que les façons de faire doivent changer. Le Bureau de la concurrence ouvre ainsi la voie à une chute des frais de courtage immobilier au pays. La possibilité d'inscrire soi-même sa propriété sur le site des Services interagences, mieux connu sous le nom de MLS, serait aussi souhaitée. Aucun règlement ne serait encore intervenu entre le Bureau de la concurrence et l'Association canadienne de l'immeuble. L'Association canadienne de l'immeuble regroupe plus de 96 000 agents immobiliers au pays, soit la majorité des gens de la profession. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2009/11/02/002-frais-courtage-immobilier.shtml
  6. Metro pourrait-elle acheter Jean Coutu? Permalink 10/07/09 01:32 am, François Pouliot / Général, 967 mots Il serait intéressant de poser la question à Éric Laflèche et François Jean Coutu lors de leur prochaine sortie publique. Dans l’intérim, l’analyste Perry Caicco avance que c’est une possibilité bien réelle et parle même d’un mariage parfait. L’analyste de CIBC Marchés mondiaux ne détaille pas beaucoup sa proposition. Elle survient néanmoins à un moment où les deux sociétés approchent de la maturité et se cherchent des avenues de croissance. Surtout, elle survient à un moment où, si elles ne se courtisent pas relativement rapidement, il pourrait bientôt être trop tard. La situation de Jean Coutu Jean Coutu est enclavée. Après avoir réussi une première sortie du Québec dans les années 90, avec l’acquisition de Brooks, elle vient de mordre la poussière avec Eckerd. Sa participation de 32% dans Rite Aid (désormais propriétaire des Eckerd) l’empêche de songer à un retour aux États-Unis, et même si elle s’en défaisait, l’ampleur de l’échec a probablement fermé pour longtemps la porte à tout plan d’acquisition à l’extérieur du pays. Chat échaudé craint l’eau froide. Au Canada pendant ce temps, rien ne semble disponible. Le plan de match actuel repose donc sur quelques axes intérieurs. Le principal consiste à ajouter des pharmacies Jean Coutu dans le paysage québécois. Le groupe veut faire passer son réseau de 300 à 400 établissements d’ici 5 à 7 ans, tout en intégrant dans la plupart de ses surfaces des boutiques Passion Beauté (les produits de beauté génèrent de fortes marges). La stratégie est intéressante à moyen terme et génère d’assez bons rendements, mais les analystes notent que la création de valeur devient de plus en plus difficile, alors qu’en grandissant, Jean Coutu vole certes des parts de marché à ses concurrents, mais s’en vole aussi à elle-même, ce qui vient diminuer ses marges. L’acquisition du fabricant de produits génériques Pro Doc, il y a un an et demi, est une initiative qui pourrait donner plus de fruit qu’initialement escompté, mais tôt ou tard, l’état des résultats devra faire face à la situation géographique. La situation de Metro Plus de trois ans après avoir acquis A&P Canada, l’épicier est dans un vaste programme de rénovation de 200 M$. Actuellement 89 des 159 Loeb et A&P ont été rénovés et convertis à la bannière Metro. L’opération devrait être complétée à la fin de l’année. Metro continue de livrer d’impressionnants résultats. Au dernier trimestre, les ventes des magasins comparables ont progressé de 7,3% et son bénéfice a pulvérisé le consensus. Les analystes estiment cependant que la croissance est difficilement soutenable alors qu’une bonne partie de celle-ci provient de l’inflation. Après avoir extirpé toutes les synergies qu’elle pouvait tirer de A&P, tout comme Jean Coutu, et plus vite même, Metro se rapproche à nouveau d’une situation de maturité. Les avantages d’une fusion Par le biais de son grossiste McMahon, Metro exploite au Québec la bannière franchisée Brunet, qui compte 122 établissements. Elle exploite aussi la bannière Clini Plus, dont les 68 établissements de moindre taille sont souvent installés en périphérie de cliniques médicales. En Ontario, le détaillant compte 51 établissement Pharmacy (dans ses Metro et A&P) et 27 Drug Basics (dans ses Food Basics). À l’évidence, une acquisition de Jean Coutu par Metro permettrait de créer des synergies significatives et un certain effet de levier. -Le pouvoir d’achat des deux entités serait décuplé. -Les coûts de distribution seraient abaissés. -Les coûts administratifs tomberaient. -Les infrastructures de Metro en Ontario pourraient éventuellement un peu plus tard supporter une expansion de Jean Coutu dans la province. Metro a-t-elle les moyens? Oui. Ses ratios d’endettement sont bas (dette/BAIIA à 1,4). En 2005, elle avait payé 1,7 G $ pour A&P Canada et valait à l’époque elle-même 3 G$. Jean Coutu vaut aujourd’hui 2,4 G$, et Metro en vaut 4 G$. Avec les succès d’intégration de l’épicier québécois, il ne devrait pas y avoir trop de réticence des banquiers à financer. D’autant que l’acheteur pourrait en partie offrir de ses actions pour permettre aux actionnaires de la cible de participer à la récolte projetée de plus value et à la famille Coutu de conserver une position d’influence. Et le Bureau de la concurrence? C’est ici un peu moins évident. Selon sa dernière présentation aux investisseurs, Jean Coutu détient 32% de parts de marché au Québec en termes de ventes pharmaceutiques. Les parts de marché des Brunet et Clini Plus ne sont pas divulguées. Il se trouverait sans doute un certain nombre de concurrents pour agiter le spectre de la domination outrancière et ses conséquences néfastes à long terme (élimination de la concurrence et hausse des prix). En contrepartie, le paysage concurrentiel demeurerait tout de même encore assez bien peuplé (Pharmaprix, Familiprix, Uniprix, Proxim, Wal Mart, etc.) La question est intéressante parce qu’elle veut aussi dire que plus Jean Coutu continuera de grandir, plus sa part de marché devrait continuer de grimper (même si sa marge s’effritera). S’il a des hésitations à 300 établissements, le Bureau de la concurrence ne pourra qu’en avoir davantage à 400. C’est pourquoi si elles ne veulent pas rater un mariage catalyseur de valeur pour chacune, Metro et Jean Coutu auraient avantage à bientôt se parler.
  7. Dans un blogue, Microsoft annonce qu'elle s'ouvre à la concurrence en permettant à son prochain système d'exploitation, Windows7, d'utiliser des programmes de ses concurrents. Pour en lire plus...
  8. Ce deuxième rachat rapide au Québec va accroître la concurrence de McKesson Canada face à Jean Coutu et Pharmaprix. Pour en lire plus...
  9. Plusieurs acheteurs sur les rangs pour Uniprix 23 juillet 2008 - 06h29 La Presse Laurier Cloutier Le statu quo est inacceptable pour Uniprix, car la concurrence augmente et ses pharmaciens font moins d'argent. Non seulement le grossiste canadien McKesson Canada lorgne Uniprix, mais Metro-Brunet, de Montréal, et Katz Group of Companies, d'Edmonton, s'intéressent aussi à la première chaîne du Québec pour le nombre de pharmacies. «C'est McKesson qui est le plus motivé par l'acquisition d'Uniprix, mais Metro et le Katz Group seraient grandement intéressés aussi», déclare à La Presse Affaires un analyste financier d'un grand courtier canadien. McKesson doit se défendre contre les braconniers dans son marché, ajoute David Hartley, analyste de BMO Marchés de capitaux. Un peu lassée d'attendre l'acquisition souhaitée de la chaîne de supermarchés Safeway Canada, Metro miserait encore davantage sur l'expansion de Brunet, sa filiale de pharmacies, et leur grossiste McMahon, explique son collègue. Quant au Katz Group, ce leader nord-américain possède plus de 1800 pharmacies au Canada et aux États-Unis. En outre, Katz exploite Meditrust Pharmacy, seule entreprise canadienne de vente en ligne de produits pharmaceutiques. Par ailleurs, Katz ne compte encore aucun magasin au Québec, ni dans les Maritimes, note le premier analyste financier. Pas de surprise pour Jacques Nantel, professeur de commerce de détail et secrétaire général de HEC Montréal. Juste après l'acquisition de Proxim par McKesson le 1er juillet dernier, Jacques Nantel a en effet prononcé une conférence chez Uniprix sur la consolidation du secteur des pharmacies. Les chaînes de pharmaciens indépendants vont devoir se consolider, tout comme antérieurement celles dans l'alimentation et la quincaillerie, dit Jacques Nantel. Par ailleurs, un autre spécialiste du commerce de détail affirme que Metro manifeste un appétit tel pour l'expansion de Brunet que des dirigeants du groupe ont tenté d'acheter Proxim, raflée par McKesson Canada. Metro-Brunet a de plus discuté d'une acquisition avec Uniprix et même avec... Jean Coutu, ajoute ce spécialiste. Metro-Brunet a refusé de donner des détails hier, tout comme le Groupe Jean Coutu. De son côté, le porte-parole d'Uniprix, Pierre Gince, a lancé "qu'un autre gros acteur essaie d'acquérir une chaîne de pharmacies au Québec". Leader au Québec pour les ventes, avec 305 grandes pharmacies, Jean Coutu ne serait pas autorisé à acheter Uniprix par le Bureau canadien de la concurrence, déclare l'analyste financier qui ne veut être identifié. Par contre, Metro demeure en bonne santé financière, malgré la sévère concurrence que doit affronter sa filiale ontarienne A&P, et pourrait réaliser des synergies appréciables après l'acquisition d'Uniprix par Brunet, estime cet analyste. Les gammes de produits des supermarchés et des pharmacies se ressemblent souvent. En outre, contrairement au grossiste McKesson, Metro-Brunet possède une grande expertise dans le commerce de détail. Quant à Katz, sa structure d'exploitation s'apparente en partie à celle d'Uniprix, selon l'analyste, contrairement à celle de Shoppers-Pharmaprix. C'est toutefois McKesson qui offrirait le meilleur prix pour la bannière Uniprix, selon l'analyste, pour protéger son marché. Le grossiste approvisionne à la fois Uniprix et Proxim. Shoppers-Pharmaprix serait le groupe le moins intéressé par Uniprix, même si la chaîne compte près de 400 pharmacies. Joint aux États-Unis, Guy-M. Papillon, fondateur d'Essaim (la chaîne devenue Proxim), déclare que les pharmaciens sont enchantés du prix payé par McKesson. Le statu quo est inacceptable pour Uniprix, car la concurrence augmente et ses pharmaciens font moins d'argent, dit l'analyste. Le Québec offre un marché plus intéressant que les autres provinces, pour le nombre de prescriptions. L'acquisition d'Uniprix et de Proxim par McKesson pourrait entraver la croissance en cours de Jean Coutu et de Shoppers-Pharmaprix au Québec, dit David Hartley. Ces deux chaînes seraient davantage menacées, par contre, si Metro-Brunet entrait dans la danse en achetant Uniprix, selon lui.
  10. Frappé de plein fouet par la concurrence chinoise et l'écrasement de la demande aux États-Unis, le fabricant de meubles devrait être retiré de la Bourse sous peu. Pour en lire plus...
  11. Groupe Soucy, c'est un des succès industriels les mieux gardés du Québec. Dans une de ses usines en bordure de l'autoroute 20, on a dû faire preuve d'imagination pour contrer la concurrence chinoise. Pour en lire plus...
  12. Le gouvernement achètera d'ici la fin de l'année financière des blocs additionnels de prêts assurés à concurrence de 50 G$ pour faciliter la circulation du crédit. Pour en lire plus...
  13. Les autorités de la concurrence et des clients forcent Google à renoncer au partenariat publicitaire sur Internet prévu avec son concurrent Yahoo. Pour en lire plus...
  14. Afin de préserver la concurrence des banques canadiennes, le ministre des Finances du Canada annonce un nouveau programme temporaire de garantie des prêts interbancaires. Pour en lire plus...
  15. Les commerces vont devoir encore rénover pour battre la concurrence, mais la vague des investissements amorcée depuis 2000 est terminée. Pour en lire plus...
  16. C'est ce que croient des groupes représentant des producteurs d'essence et des détaillants qui ont été entendus devant un comité de la Chambre des communes chargé d'examiner la hausse des prix. Pour en lire plus...
  17. Le gendarme de la concurrence craint que la fusion pourrait perturber la concurrence sur le marché mondial du minerai de fer. Pour en lire plus...
  18. La Commission de la concurrence britannique estime que l'opérateur aéroportuaire, dans lequel la Caisse de dépôt détient une participation, bénéficie d'une position anticoncurrentielle. Pour en lire plus...
  19. Où iront les milliards du sans fil? 22 juillet 2008 - 12h09 Presse Canadienne Jim Prentice a affirmé que son gouvernement n'a pas encore décidé de ce qu'il fera avec les 4,25 G$ générés par les enchères. Le ministre fédéral de l'Industrie, Jim Prentice, a affirmé mardi que son gouvernement n'a pas encore décidé de ce qu'il fera avec les 4,25 G$ générés par la récente mise aux enchères de fréquences de services sans fil évolués et d'autres bandes de fréquences dans la gamme de deux gigahertz. Le résultat des enchères a été dévoilé lundi par Industrie Canada. Au total, 282 licences ont été attribuées à 15 entreprises au cours du processus d'enchères en ligne mené du 27 mai au 21 juillet par le gouvernement, pour une contrepartie de 4,25 G$. Mardi, lors d'une conférence de presse organisée à Edmonton, en Alberta, le ministre Prentice a indiqué que son collègue des Finances, Jim Flaherty, a déjà affirmé que le remboursement de la dette nationale et la réduction des impôts étaient des priorités. M. Prentice a ajouté que la vente de cette bande de fréquences de 105 mégahertz, dont 40 mégahertz ont été réservés exclusivement aux nouveaux fournisseurs qui se sont fait concurrence pour les obtenir, a été un véritable succès et que cette initiative marquera pour toujours l'industrie du téléphone cellulaire au Canada. Cette vente aux enchères avait pour objectif d'accroître la concurrence et le nombre de fournisseurs de services sur le marché, ce qui devrait avoir pour effet, selon le ministre, de réduire les prix.
  20. La hausse de 3¢ du litre d'essence imposée par la Régie de l'énergie entre en vigueur mardi. La Régie souhaite ainsi protéger les commerçants indépendants de la concurrence de Costco. Pour en lire plus...
  21. Si le Financial Times a raison, le magnat indien de l'acier Lakshmi Mittal donnera de la concurrence à l'offre d'achat de BHP Billiton. Pour en lire plus...
  22. Les retards du Canada Alain Dubuc La Presse Il y a mille et une façons de prendre prétexte de la fête de la Confédération pour réfléchir à la réalité canadienne. J'ai choisi un angle d'attaque qui est à mille lieues de l'esprit festif et de légèreté estivale qui préside habituellement à ce genre d'exercice. À la veille du 1er juillet, je voudrais parler des retards du Canada. Un pays qui, contrairement à ce que l'on croit d'habitude, n'est pas assez compétitif et risque d'être déclassé. Et si j'aborde cette question maintenant, ce n'est pas pour casser le party, mais parce que la remise d'un rapport au gouvernement fédéral m'en donne l'occasion. C'est ce jeudi qu'a été rendu public le rapport du Groupe d'étude sur les politiques en matière de concurrence, composé de cinq personnes issues du monde des affaires, présidé par Lynton Wilson, où l'on retrouvait la présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. Le Canada, nous dit en substance le groupe d'étude en termes mesurés, n'est pas un modèle de compétitivité, et les Canadiens ne réalisent pas pleinement l'importance de la concurrence. Pourtant, de nombreux signaux d'alerte indiquent que tout ne tourne pas rond au Canada, en cette période d'accélération de la concurrence mondiale: déclin des investissements étrangers, bouleversements du marché du travail, faible présence internationale du Canada, sauf aux États-Unis, érosion de notre avantage de coûts, faible innovation, très faible croissance de la productivité. Je suis très à l'aise avec le cadre général dans lequel s'inscrit cette démarche, puisqu'elle pose les problèmes de la même façon que je le fais depuis des années, en commençant par un principe très simple: «Le fait d'améliorer la performance économique globale du Canada permettra aux Canadiens de rehausser leur niveau de vie.» Le rapport propose ainsi 65 recommandations pour améliorer le degré de concurrence. Celles qui susciteront les plus vives réactions favorisent un assouplissement des contrôles sur les investissements étrangers et sur les fusions bancaires. Mais le rapport se penche aussi sur la révision de la fiscalité, l'investissement dans l'éducation postsecondaire, le développement des villes, l'union économique canadienne, les relations commerciales Canada-États-Unis. Ce ne sont pas tant ces recommandations, souvent techniques, qui ont retenu mon attention, mais plutôt les questions qu'elles soulèvent. La première - et elle est de taille - consiste à se demander si ce message sera entendu. Au Québec, l'idée qu'il y a un problème qu'il faut régler en augmentant la productivité et en créant de la richesse commence à passer, parce que nos retards sont mesurables et les menaces évidentes. Mais ailleurs au Canada, parce que l'activité est gonflée aux stéroïdes pétroliers, le fait que l'économie canadienne souffre de carences ne saute pas autant aux yeux. Il sera difficile de percer le mur de l'indifférence et de pousser à l'action politique. Est-ce que les Canadiens savent que le pays est au 17e rang sur 20 dans l'OCDE pour la croissance de la productivité? L'Ontario, mal en point, commence à peine à le découvrir. Il faut ensuite se demander s'il existe une volonté politique au Canada pour s'attaquer à ces problèmes. La question est centrale parce qu'il faudrait une solide dose de leadership des gouvernements, et particulièrement du gouvernement central. Le fait que le gouvernement Harper ait commandé ce rapport peut être vu comme un signe positif. Mais il y a déjà eu des rapports récents, qui ont abordé ces questions, l'un produit lors du règne de Paul Martin, et l'autre par le ministre Jim Flaherty, sans que cela devienne un élément central des plans d'action et des préoccupations de ces gouvernements. Voilà pourquoi une série de recommandations du rapport qui ne plairont pas à tout le monde au premier abord prennent toute leur importance. Il s'agit de la création d'un Conseil canadien de la concurrence. «Un autre organisme!» diront certains. Au contraire, cette idée d'un organisme léger, indépendant du gouvernement, qui relève du Parlement, m'apparaît utile, et même essentielle. Un exemple? Dans ses recommandations au ministre, le comité propose une transformation de la fiscalité, qui consisterait entre autres à baisser l'impôt sur le revenu, surtout pour les revenus faibles et moyens, et à augmenter la TPS. Exactement le contraire de ce qu'a fait le gouvernement Harper. Peut-être que cette décision malheureuse aurait pu être évitée si une voix indépendante et non partisane s'était fait entendre. Un organisme qui peut choisir ses champs de réflexion et d'étude, qui peut préconiser des mesures pour améliorer la productivité et la compétitivité, qui peut contribuer à créer une culture de la concurrence, comblerait certainement un besoin. http://www.cyberpresse.ca/article/20080628/CPOPINIONS05/806281117/6730/CPACTUALITES
  23. Les fusions bancaires remises à l'ordre du jour 27 juin 2008 - 06h48 La Presse Hugo Fontaine Il faut mettre fin à l'interdiction des fusions bancaires, suggère le Groupe d'étude sur les politiques en matière de concurrence. Cette recommandation, comme celles annoncées hier dans La Presse Affaires sur la libéralisation des règles dans les secteurs du transport aérien et des télécommunications, fait partie des 65 propositions soumises hier au ministre fédéral de l'Industrie. C'est un rapport résolument tourné vers la concurrence mondiale et l'investissement étranger qu'ont présenté les cinq membres du Groupe d'étude, dont la présidente et chef de la direction de la chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. «Mais ce n'est pas une lumière verte pour toute fusion (bancaire), a précisé Isabelle Hudon au cours d'un entretien avec La Presse Affaires. Si deux banques proposent une fusion, il y aura toujours le Bureau de la concurrence qui aura à évaluer la transaction. On ne peut pas avoir un discours en faveur d'une concurrence forte et saine, et dire non à tout sur le front bancaire.» Click here to find out more! Le Groupe écrit que de plus grandes institutions financières permettraient de «soutenir plus efficacement la concurrence sur les marchés internationaux». Moins de restrictions Le rapport intitulé Foncer pour gagner propose que les investisseurs étrangers n'aient plus à démontrer qu'une transaction soit à l'avantage net du Canada afin qu'elle soit approuvée. Il reviendrait plutôt au ministre de démontrer qu'une transaction est contraire à l'intérêt national pour la bloquer. En d'autres mots, le Groupe veut renverser le fardeau de la preuve. «En recommandant ce changement ainsi que d'autres à la Loi sur Investissement Canada, le Groupe d'étude est bien conscient qu'en vertu de l'ALENA et d'autres engagements découlant de traités internationaux, le Canada ne peut amender la loi que pour diminuer, et non élargir, la portée de son application» est-il écrit dans le rapport. Ceux qui espéraient que l'on resserre les règles sur l'investissement étranger ne trouveront donc aucun réconfort dans le rapport. «À quelques exceptions près, nous n'avons pas eu cette demande durant les consultations», a noté Isabelle Hudon. Le Groupe recommande aussi de hausser les seuils d'examen des transactions à 1 milliard de dollars (au lieu de 295 millions), de sorte que seules les mégatransactions soient étudiées. En ce qui concerne le transport aérien, le groupe demande qu'on autorise jusqu'à 49% de propriété étrangère. Le groupe préconise aussi d'ouvrir la porte aux investissements étrangers dans les entreprises de télécommunications qui détiennent moins de 10% de parts de marché. «Quand on propose une plus grande ouverture, la réciprocité est très importante, dit Mme Hudon. Si on s'ouvre ici, il faut que ce soit ouvert dans les autres pays.» Le Groupe préconise aussi la mise en place d'un Conseil canadien de renforcement de la compétitivité. Réactions mitigées du milieu d'affaires Le Conseil du patronat du Québec, l'Association des banquiers canadiens et le Conseil canadien des chefs d'entreprise (CCCE) ont accueilli favorablement le rapport. «C'est de la musique à nos oreilles, a dit le président du CCCE, Thomas D'Aquino. Ce rapport est complet, élaboré, et d'une grande portée. Il s'agit d'une base de travail phénoménale pour transporter le Canada pendant le XXIe siècle.» Cet enthousiasme n'est cependant pas partagé par tous les gens d'affaires. La Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI), qui entretenait pourtant de grands espoirs, est fort déçue. «C'est un rapport conçu pour les grandes entreprises», déplore le vice-président de l'organisme pour le Québec, Simon Prévost. Selon lui, plusieurs recommandations sont des sources d'irritation pour les PME, notamment celle qui prévoit que l'aide gouvernement devrait être axée sur les PME qui ont la volonté de devenir de grandes entreprises. «Ce rapport-là n'est pas rassembleur pour l'économie», résume M. Prévost. «La FCEI n'a pas déposé de mémoire au groupe», a répondu d'emblée Isabelle Hudon, qui assure que les intérêts des PME ont été pris en compte par le Groupe d'étude. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080627/LAINFORMER/806270791/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  24. Une question de déréglementation Mise à jour le jeudi 26 juin 2008 à 16 h 34 PartagerTexteImprimer « Foncer pour gagner », c'est le titre du rapport du groupe de travail mandaté par le gouvernement fédéral, l'an dernier, pour examiner les lois et les politiques du Canada en matière de concurrence. Selon le groupe, la prospérité économique du pays passe par l'augmentation de sa concurrence. « Une concurrence plus intense au Canada donnera lieu à des produits à un prix plus bas, à un nombre accru d'emplois et à des salaires plus élevés, des entreprises plus dynamiques et une économie plus vigoureuse », peut-on lire dans le rapport. Camion Pour que le Canada soit plus productif et plus concurrentiel, le groupe propose un assouplissement des règles sur la concurrence et une plus grande ouverture aux investissements étrangers. En fait, le rapport de 134 pages comprend 65 recommandations orientées sur l'ouverture du marché canadien aux investissements étrangers, plutôt que la fermeture. « Le Groupe d'étude est d'avis que le Canada doit être plus ouvert à la concurrence, car elle favorise l'accroissement de la productivité qui sous-tend notre rendement économique et, en fin de compte, notre qualité de vie », affirme le président du groupe d'étude, L.R. Wilson. « Avec notre programme de renforcement de la productivité, ajoute-t-il, nous espérons attirer l'attention de tous les Canadiens, afin de développer au Canada une mentalité davantage axée sur la concurrence, et de créer les conditions propices à la réussite économique à l'échelle internationale ». Le rapport propose notamment de : * Modifier la Loi sur l'investissement pour faciliter l'investissement étranger, en renversant, par exemple, le fardeau de la preuve si le gouvernement estime qu'un investissement étranger serait néfaste à l'économie canadienne * Augmenter de 25 % à 49 % la limite de propriété étrangère dans le secteur du transport aérien * Permettre aux entreprises de l'extérieur du pays de détenir une entreprise de télécommunications canadiennes, si sa part de marché est sous 10 % * Redonner aux institutions financières le droit de fusionner * Réduire l'impôt des sociétés et éliminer l'impôt sur le capital, et l'impôt des particuliers à faible et moyen revenu Certaines recommandations risquent de soulever des inquiétudes, puisque des entreprises canadiennes importantes comme Inco, Falconbridge et la Baie sont déjà passées à des mains étrangères. Isabelle Hudon, membre du groupe d'étude sur la concurrence, ne fait rien pour dissiper les inquiétudes. « On ne peut pas s'assurer qu'avec nos recommandations, il n'y aura pas d'autres acquisitions. Néanmoins, d'être plus ouvert à la concurrence fait des nos entreprises des entreprises plus solides ». Jim Prentice, le ministre de l'Industrie du Canada, n'a pas encore réagi au rapport. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2008/06/26/002-Rapport-concurrence.shtml
  25. Le Groupe d'étude sur les politiques en matière de concurrence recommande que le Canada assouplisse ses lois sur l'investissement et la concurrence afin de faciliter l'acquisition de compagnies canadiennes par des sociétés étrangères. Pour en lire plus...
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