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  1. Un concours d'architecture pour la future bibliothèque Marc-Favreau Patrimoine Architectural 2009-07-13 Communiqué de presse | MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a procédé aujourd'hui au lancement d'un concours d'architecture à l'échelle du Québec pour la construction de la nouvelle bibliothèque Marc-Favreau. "Je me réjouis de la tenue de ce concours d'architecture. Ville UNESCO de design, Montréal a choisi de prêcher par l'exemple afin de hausser la qualité de son cadre de vie. Une saine compétition encourage la créativité et contribue à la notoriété du projet gagnant", a fait savoir la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre. "Par des concours d'architecture comme celui-ci, nous améliorons la qualité de notre patrimoine bâti et nous contribuons à faire de Montréal une véritable capitale du design. Il s'agit d'une belle occasion pour faire appel aux talents créatifs des architectes de tout le Québec et de développer des concepts novateurs et diversifiés", a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "Cette bibliothèque, qui intégrera l'actuel bâtiment d'intérêt patrimonial du 700 Rosemont, est l'un des éléments centraux de la revitalisation de ce secteur appelé à devenir un modèle d'aménagement urbain axé sur la famille, la mixité sociale et le développement durable. La qualité de vie des familles est au coeur des actions de l'arrondissement et cette bibliothèque en sera un exemple éloquent", a déclaré Gilles Grondin, conseiller de la Ville, district du Vieux-Rosemont et responsable des dossiers culturels. Dans un premier temps, une présélection basée sur la présentation de la firme, l'expérience, l'équipe, l'organisation du travail ainsi que la compréhension du projet et des enjeux sera faite par le jury composé de sept personnes reconnues pour leur expertise dans le domaine. Les architectes doivent s'adjoindre les services d'ingénieurs pour définir un concept répondant aux exigences du programme fonctionnel et technique. Dans un deuxième temps, le jury sélectionnera quatre finalistes qui auront pour mandat de développer un concept répondant à quatre axes d'aménagement, soit le design, le développement durable, l'intégration de nouvelles technologies et la prise en considération de la vocation familiale du projet. Le concours sera réalisé selon les règles établies par l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) et répondra aux exigences du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCFQ) ainsi qu'aux normes du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (RAC). Le Jury sera accompagné d'une commission technique composée d'experts qui donneront leur avis sur les aspects de faisabilité technique et de respect des contraintes budgétaires. Une somme de 48 700 $ sera accordée aux équipes sélectionnées pour le développement de leur concept, tel qu'établi par l'OAQ. Les finalistes seront dévoilés le 16 septembre prochain. Cette étape permettra de faire un choix éclairé basé sur la comparaison des propositions. Le nom de l'équipe sélectionnée sera dévoilé en décembre 2009. Rappelons que la bibliothèque sera construite sur le site des anciens ateliers municipaux qui est situé au sud du boulevard Rosemont jusqu'à la rue des Carrières, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert. Un parc nommé en l'honneur du comédien Luc Durand sera aménagé non loin de la bibliothèque sur le site appelé à recevoir quelque 500 logements, dont deux projets de logements communautaires et un projet de condos, Quartier 54.
  2. Des taxis roses pour Montréal? Publié dans la catégorie Général Nathalie Collard Mardi dernier, dans le cadre d’un évènement destiné à la relève en design, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a lancé cinq défis aux designers et architectes montréalais: cinq concours pour embellir la taxis_s.jpgville en améliorant les cinq points suivants: les abords du métro Champ-de-mars, le mur ouest du Palais de justice, les abri-bus, le mobilier de la future Place des spectacles et l’identification visuelle des taxis. Ce n’est pas la première fois qu’on veut “brander” les taxis montréalais. Il est vrai qu’une flotte de taxis avec une identité propre et rapidement reconnaissable donne une couleur à une ville: pensez aux taxis jaunes de New York, aux verts de Mexico ou aux belles grosses voitures noires de Londres. Or à chaque fois que l’idée est lancée, on assiste à une véritable levée de boucliers de la part de l’industrie du taxi. Les chauffeurs rappellent que contrairement à leurs homologues de New York, par exemple, ils sont travailleurs autonomes et donc, propriétaires de leur voiture. Ils n’ont pas envie d’aller faire leur épicerie la fin de semaine au volant d’une bagnole rose bonbon ou vert lime. Dans l’industrie du taxi, on préférerait que les gouvernements aident les chauffeurs à faire face à la hausse des prix de l’essence ou qu’ils les encouragent à prendre le virage vert en accordant une aide supplémentaire pour acheter un véhicule hybride. Or un n’empêche pas l’autre. L’idée de donner une identité visuelle aux taxis de Montréal est excellente et doit absolument être défendue jusqu’au bout. Ce pourrait être une couleur, un modèle de voiture ou même un logo, assez visible pour être vu à distance. Les règles du concours lancé par le maire seront dévoilées bientôt. En attendant, avez-vous des idées?
  3. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/techno/2016/06/17/001-montreal-ville-intelligente.shtml Montréal domine le palmarès mondial des villes intelligentes Publié le vendredi 17 juin 2016 à 11 h 51 Vue sur le centre-ville depuis le Vieux-Montréal Photo : Radio-Canada/Coralie Mensa La nouvelle est tombée au sommet annuel de l'Intelligent Community Forum (ICF) qui se tenait à Columbus, en Ohio. Chaque année, une cérémonie couronne la ville qui démontre la meilleure utilisation des technologies de l'information et des communications à des fins de prospérité économique, de résolution de problèmes sociaux et d'amélioration de la qualité de vie. Un texte de Catherine Mathys Cette reconnaissance internationale vient récompenser les efforts de la ville, qui a entrepris son virage de ville intelligente en 2011. Pour la première fois, Montréal a su se hisser parmi les 7 finalistes, et ce n'était que la deuxième fois qu'on la retenait dans la courte liste des 21 candidatures au concours de l'ICF. ICF est un organisme à but non lucratif, situé à New York, qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Centré essentiellement sur la recherche, les conférences, les services-conseils, les services éducatifs et un concours annuel, il détermine quelles sont les meilleures pratiques en développement des villes intelligentes. Montréal devient ainsi la quatrième ville canadienne à remporter les honneurs, après Calgary en 2002, Waterloo en Ontario en 2007 et Toronto en 2014. D'ailleurs, le cofondateur de l'ICF confiait à Triplex, en novembre 2014, que les succès de la Ville Reine avaient tendance à fouetter les troupes montréalaises. Il semble avoir eu raison. Dans un communiqué émis par l'ICF, Zacharilla mentionne la vigueur de l'innovation montréalaise qui se manifeste dans des réalisations comme le Quartier des spectacles, où la technologie et la bande passante sont un vecteur important de développement économique et d'expression culturelle. Un long processus de sélection C'est un processus long d'une année qui vient de prendre fin. Les villes retenues pour le concours sont évaluées selon six indicateurs, et selon un septième critère qui découle de la thématique annuelle. Cette année, la thématique était « De la révolution à la renaissance ». Zacharilla a dit de Montréal qu'elle était la meilleure illustration de l'évolution que pouvait connaître une ville pour arriver à une véritable renaissance en s'appuyant sur la technologie. Tous ces critères sont évalués selon une analyse quantitative des données, des inspections physiques des lieux et le vote d'un jury international composé d'experts d'un peu partout dans le monde. Les qualités de Montréal Selon l'ICF, le virage vers la ville intelligente entrepris en 2011 est un des principaux catalyseurs des changements observés. Aujourd'hui, plus de 6250 entreprises, constituant environ 10 % de la main-d'œuvre, sont actives dans les technologies de l'information et de la communication, le secteur aérospatial, les sciences de la vie ainsi que les technologies reliées à la santé et à l'environnement. Une ville intelligente, c'est bien sûr une ville branchée qui mise sur les infrastructures de communication, mais aussi sur l'efficacité de ses systèmes et services dans le but de créer un écosystème collaboratif entre citoyens, entreprises et institutions. Le taux de pénétration d'Internet de 81 % est important, mais ce sont aussi les efforts d'étendre le wifi aux 17 kilomètres de la ville centrale, ses initiatives qui favorisent la participation citoyenne (pensons à Je fais Montréal), ainsi que les moyens déployés pour favoriser la littératie numérique qui ont retenu l'attention. Montréal produit aussi plus de diplômés universitaires que toute autre ville canadienne. Ce sont 415 000 étudiants qui ont obtenu un diplôme universitaire entre 1998 et 2008. Cette force nourrit l'économie de l'information, qui se manifeste par l'éclosion d'espaces d'apprentissage (LearningLab Network), d'accélérateurs d'innovation et d'espaces collaboratifs de travail qui favorisent à leur tour une culture de l'entreprise en démarrage. Toutes ces initiatives forment un cocktail unique qui fait de Montréal l'un des modèles à suivre en tant que ville intelligente.
  4. <header id="page-header"> 12/10/2016 Mise à jour : 12 octobre 2016 | 4:00 Découvrez Loop, la nouvelle oeuvre de l’événement Luminothérapie Par Jeff Yates Métro </header> <figure> <figcaption> Un projet d'ekumen, conçu et réalisé par Olivier Girouard, Jonathan Villeneuve et Ottoblix en collaboration avec Generique design et Jérôme Roy </figcaption> </figure> À partir du 8 décembre au Quartier des spectacles, contes de fées, roues futuristes et techniques d’animation anciennes se rencontreront avec Loop, la toute nouvelle installation d’art public dans le cadre de l’événement Luminothérapie. L’œuvre a été choisie suite à un concours organisé par le Quartier des spectacles. Métro a pu obtenir un aperçu du gagnant, qui sera dévoilé officiellement mercredi matin. Les 13 exemplaires de Loop ressemblent à de grosses roues futuristes au centre desquelles on peut s’assoir. Une manivelle permet à une ou deux personnes d’actionner le mécanisme, qui fait tourner une bande d’images autour des utilisateurs. Au gré du mouvement de la manivelle, des lumières clignotent, ce qui crée l’illusion que les images s’animent. Le principe est presque identique à celui du zootrope, l’ancêtre du cinéma, explique un des concepteurs, Olivier Girouard. Le mécanisme rappelle aussi la draisine à levier, ce mode de transport qu’on voit dans les anciens westerns ou dans les dessins animés de Bugs Bunny. Une boîte à musique actionnée par le mouvement de la roue apporte quant à elle une dimension sonore à l’œuvre. L’idée était d’ailleurs de combiner d’anciennes technologies avec un habillement futuriste, selon un autre des concepteurs, Jonathan Villeneuve. «On voulait partir de technologies ultra archaïques, la boite à musique, le zootrope, la draisine à levier. On voulait les transformer et de les inclure dans un objet qui a vraiment l’air sorti du futur.» Les courtes séquences se veulent une sorte de version analogue des gif animés, ces images en mouvement qui pullulent sur le web. «Tout ce qu’on voit sur notre ordinateur, ça a commencé avec des technologies primitives comme ça. C’est un retour à ces racines-là», précise M. Girouard. Le thème de l’édition 2016-2017 de Luminothérapie est le conte traditionnel, tels La belle au bois dormant et Le Petit chaperon rouge. Chacune des installations Loop contiendra une courte animation de trois ou quatre secondes mettant en vedette un de ces comptes. Des vidéoprojections sur les bâtiments autour du site agiront aussi à titre de décor pour les contes, illustre M. Girouard. «Parce que c’est si court et si rapide, c’est mieux de jouer avec des images hyper connues, avance-t-il. La compréhension des images doit se faire tout de suite.» Le projet Loop a été choisi parmi 5 finalistes d’un concours organisé pour le compte de la 7ième édition de Luminothérapie. Il a été réalisé en collaboration avec les entreprises Ottoblix et Generique design, ainsi que Jérôme Roy et Thomas Ouellet Fredericks. Decouvrez Loop, la nouvelle oeuvre de l’evenement Luminotherapie | Metro
  5. Cahier des Charges Concours de design pour le développement d’éléments de mobilier urbain amovibles à l’usage des festivals Concours approuvé par l’association des designers industriels du Québec http://mtlunescodesign.com/docs/projects/09-RM-MobilierFestivals-CDC.pdf
  6. Le Partenariat du Quartier des spectacles, en collaboration avec Montréal Ville UNESCO de design, vient de lancer un concours de mise en valeur et d’animation des espaces publics pour les abords du métro Saint-Laurent, la place des Festivals et la place Émilie-Gamelin. Ça s'adresse à tout designer ou toute équipe composée d’au moins un designer principal qui oeuvre dans les domaines de l’aménagement et du design (architecture, architecture de paysage, urbanisme, design urbain, design d’intérieur, design de l’environnement, design industriel, design graphique) et/ou dans les domaines du design événementiel, du multimédia, des arts de la scène (scénographe, metteur en scène, concepteur lumière et vidéo) et des arts visuels et médiatiques. Si vous voulez plus de détails, n'hésitez pas à visiter le http://www.quartierdesspectacles.com/creer_lhiver/ ou à communiquer directement avec moi. Merci! Bianka, du Quartier des spectacles
  7. Publié le 19 mars 2017 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Carte blanche aux créateurs Programmation comprenant des logements, dont un minimum de 30% de logement social, dans les parties protégées des nuisances du périphérique et qui prévoit la reconstitution des fonctionnalités du parc de stationnement et de la gare routière existantes sur le terrain « Pershing ». Concepteur : Sou Fujimito, architecte / Manal Rachdi, Oxo Architectes / Moz Paysage / Atelier Paur Arène, paysagiste / Pierre-Alexandre Risser Horticulture; Jardins, paysagiste. Photo fournie par la mairie de Paris (http://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/francois-cardinal/201703/18/01-5080053-carte-blanche-aux-createurs.php#wcm:article:5080053) François Cardinal (https://cse.google.com/cse?cx=004348325735519040616:xugxk9rp5mm&q=Fran%C3%A7ois+Cardinal) La Presse La toute première décision comme ministre de l'Aménagement et de l'Architecture ? Spontanément, la priorité irait au diktat du plus bas soumissionnaire. À son abolition, en fait, tant cette règle fait des dégâts au Québec. Il est franchement absurde qu'encore aujourd'hui, une loi force les élus à choisir le projet le moins cher plutôt que le meilleur ! Mais comme première, première décision ? Le ministre pourrait faire rêver davantage, non ? Il pourrait élever la qualité de l'architecture plutôt que d'éliminer simplement les obstacles. Pourquoi ne pas donner carte blanche aux créateurs ? Pourquoi ne pas s'associer à Québec et Montréal, cibler une demi-douzaine de terrains publics, puis lancer un concours international : les projets les plus fous, les plus originaux, les plus innovants remporteraient... un permis de construction ! L'idée peut sembler farfelue, mais c'est très précisément ce que vient de faire la Ville de Paris. Avec des résultats époustouflants ! En accédant à la mairie en 2014, Anne Hidalgo a en effet lancé « l'initiative un peu folle » Réinventer Paris. Une manière révolutionnaire de céder les terrains qui appartiennent à la ville, surtout les plus ingrats. Une vingtaine de sites aux quatre coins de Paris ont ainsi été mis en compétition : gare, friches industrielles, hôtels particuliers, terrains vagues et même un transformateur électrique. Un appel de projets a alors été lancé aux promoteurs et architectes avec une seule règle : pas de tour. « Ils ont été attirés par l'idée de la carte blanche : pour une fois, nous n'imposions aucun programme et leur laissions proposer les idées et innovations les plus originales », explique Jean-Louis Missika, adjoint à la mairesse, chargé de l'urbanisme (voir entrevue). Et la qualité des projets a surpris la Ville, autant que leur nombre : 650 dossiers officiellement déposés avec offre d'achat formelle par autant d'équipes d'investisseurs réunissant des architectes, des paysagistes, des designers, mais aussi des penseurs, des agronomes et des artistes. Et rien d'utopique dans les projets, car l'objectif était de les construire « à court terme ». Les 22 gagnants ont ainsi été choisis l'an dernier, 10 dossiers sont déjà passés devant le conseil municipal et trois permis de construire ont été délivrés. La majeure partie des projets, promet-on, verra le jour d'ici 2020. Paris ne s'est donc pas contentée de susciter la création urbaine, elle l'a réinventée... en même temps qu'elle a réinventé la ville. Parmi les lauréats, on retrouve de tout. Un écoquartier suspendu au-dessus d'une autoroute. Une station électrique transformée en cinéma. Des bains-douches réaménagés en ateliers d'artistes. Un entrepôt de voirie devenue funérarium. « Paris, s'est exclamé Le Soir, n'avait pas connu pareil bouillonnement de projets urbains depuis le Second Empire. » Depuis, en fait, que Napoléon a chargé le baron Haussmann de percer de larges avenues dans la ville. Le concours est ainsi devenu un véritable laboratoire d'idées, sans même que cela coûte un sou à la municipalité (elle aurait au moins pu rémunérer les professionnels, mais bon...). Au contraire, même, grâce à la vente des terrains, les coffres de la Ville seront renfloués de centaines de millions d'euros. Réinventer Paris est ainsi devenu une opération financière intéressante. Mais c'est aussi devenu une nouvelle carte de visite pour la ville, une occasion en or pour les jeunes architectes d'émerger et, surtout, une opération de pédagogie auprès des Parisiens qui ont suivi le concours de près et qui se sont déplacés nombreux pour visiter leur exposition au Pavillon de l'Arsenal (jusqu'au 8 mai, pour les intéressés). « Rarement, a concédé Le Monde, une compétition d'architecture aura suscité autant d'engouement en France. » Trop beau pour être vrai ? Trop beau pour Montréal et Québec ? Ce n'est pas l'avis de la mairie de Paris, qui est en discussion avec « un grand nombre de villes qui souhaitent s'inspirer de la démarche », en plus de mener de front de nouvelles initiatives du genre pour la grande région de Paris, le sous-sol parisien et même la Seine. « Montréal a la chance de disposer d'un vivier important de collectifs et porteurs de projets qui pourraient être intéressés par ce type de démarche, indique Jean-Louis Missika. Le classement de la métropole québécoise en tant que ville UNESC O de design incite à ouvrir la production urbaine à des équipes pluridisciplinaires. » À son avis, les appels à projets urbains innovants pourraient certainement servir d'inspiration aux professionnels de Montréal. « Mon conseil à M. Coderre serait de miser sur la jeune génération, pleine de ressources et d'idées nouvelles. » Prometteur, non ? Une bonne initiative pour lancer la carrière d'un ministre de l'Architecture fraîchement nommé.
  8. Ça fait un mois que le concours est lancé. Il reste à peine une semaine pour participer au concours, donc la création d'un fil était plutôt nécessaire. Le nouveau bâtiment sera construit au coin Ontario/Hotel de ville. Bref, la rue Ontario sera complètement habitée au Nord! https://www.oaq.com/fileadmin/Fichiers/Nouvelles/A1-AVIS_D_APPEL_DE_CANDIDATURES-CVM_MT.pdf https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=5e417fda-c31d-47a4-91f7-de539cc53ad8&SubCategoryCode=S3&callingPage=4&ColumnAction=1&searchId=51bf683a-850d-42b4-805d-d34f17577aa7
  9. Dès vendredi soir, une exposition à la Maison de l’architecture du Québec (MAQ) offrira un regard sur des bâtiments qui auraient pu faire partie du paysage montréalais, mais qui, pour diverses raisons, n’ont jamais abouti. Une soirée intitulée Perdants magnifiques, qui accompagne l’exposition, se tiendra au Centre Phi. Huit architectes viendront à cette occasion expliquer comment leurs projets, finalistes à des concours d’architecture, n’ont finalement pas été choisis, et raconter ce que l’expérience leur a appris. «Les bureaux [d’architectes] les plus intéressants au Québec, ce sont souvent ceux qui participent à des concours, parce que c’est un peu comme faire ses gammes. Ça permet d’aller plus loin et de réfléchir, de faire sortir les idées, lance la cofondatrice de la MAQ, Sophie Gironnay. Ça pousse les bureaux à donner le meilleur d’eux-mêmes.» Ces projets sont «très détaillés et très, très élaborés, c’est comme si on les voyait», assure Mme Gironnay. «On veut vraiment montrer tout ce qui se trame et qui n’est pas connu, et qui se comparerait à bien des œuvres d’art contemporain. Ces projets architecturaux sont largement aussi bien réfléchis et aussi beaux, et ils méritent d’être connus par le public», juge-t-elle, en ajoutant que ce n’est pas parce qu’un projet n’est pas retenu qu’il n’est pas intéressant. «Pas du tout! Ça, c’est un autre débat, mais ce n’est pas toujours le meilleur projet qui gagne.» «Ça raconte toutes les idées qui bouillonnent ici à Montréal, mais qui ne sont pas saisies par les promoteurs, et qui, donc, n’aboutissent pas. Il y a ici le talent qu’il faut pour faire quelque chose de beaucoup mieux que ce qu’on a.» – Sophie Gironnay, cofondatrice de la Maison de l’architecture du Québec Pourquoi ces projets n’ont-ils jamais abouti? Certains ont été refusés parce qu’ils étaient trop audacieux ou parce qu’ils semblaient «techniquement impossibles» à l’époque. Parfois, un projet est abandonné pour des raisons anecdotiques. «Ça peut être parce qu’il y a eu un changement d’administration à la mairie, ou parce que le développeur a acheté un terrain plus grand à côté et que finalement ça sera autre chose», explique Mme Gironnay. Infos L’exposition Montréal jamais construit se tient à la Maison de l’architecture du Québec, partir de vendredi et jusqu’au 14 février. La soirée Perdants magnifiques aura lieu le lundi 26 octobre à 19 h, au Centre Phi. http://journalmetro.com/actualites/montreal/861560/le-montreal-qui-aurait-pu-etre/
  10. LE MINISTRE SAM HAMAD ANNONCE UNE DÉMARCHE CONCERTÉE POUR L'AMÉNAGEMENT DU PARCOURS D'ENTRÉE DE VILLE DE MONTRÉAL Un concours international d'idées en design urbain est lancé MONTRÉAL, le 20 mai 2011 /CNW Telbec/ - Le ministre des Transports, M. Sam Hamad, a annoncé aujourd'hui, dans le cadre du Forum stratégique sur le développement des infrastructures de transport organisé par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, une démarche concertée pour l'aménagement du parcours d'entrée de ville de Montréal. Cela se traduira par la tenue d'un concours international d'idées en design urbain pour le parcours reliant l'Aéroport international Montréal-Trudeau au centre-ville de Montréal dans le corridor de l'autoroute 20. Initiée par le ministère des Transports, cette démarche concertée réunit en une table de travail les représentants des principaux organismes dans ce secteur, soit la Ville de Montréal et ses arrondissements Côte-des-Neiges - Notre-Dame-de-Grâce, Lachine, Sud-Ouest et Ville-Marie, les villes de Dorval, Montréal-Ouest et Westmount, la Communauté métropolitaine de Montréal, la Conférence régionale des élus de Montréal, Parcs Canada, Aéroports de Montréal, l'Agence métropolitaine de transport ainsi que le Canadien National et le Canadien Pacifique. « La présente décennie a vu et verra de nombreux projets se concrétiser dans ce corridor, notamment ceux du ministère des Transports. Il s'agit là d'une occasion unique de coordonner l'aménagement urbain de ce corridor et d'obtenir des propositions à la hauteur de nos aspirations », a déclaré le ministre Hamad. Pourquoi choisir le corridor de l'autoroute 20 ? Principale porte d'entrée internationale du Québec, le corridor de l'autoroute 20, entre l'aéroport et le centre-ville, constitue pour de très nombreux visiteurs le premier contact avec Montréal et le Québec. C'est également le décor quotidien de milliers de Montréalais qui y circulent en voiture, en train ou en autobus. Ce secteur de la ville est en effervescence et de nombreux projets autant publics que privés sont appelés à s'y réaliser au cours des prochaines années. Il s'agit donc d'une occasion unique de créer un véritable parcours d'entrée de ville de calibre international pour la métropole. Un concours international d'idées Le concours international d'idées pour le développement d'une vision stratégique d'aménagement du corridor de l'autoroute 20 s'adresse à tous les professionnels en aménagement, qu'ils soient architectes, designers urbains ou urbanistes. Ces professionnels sont invités à former des équipes multidisciplinaires comptant également des artistes, scénographes et spécialistes en transport. Les différentes idées qui seront proposées permettront de mieux définir les possibilités de développement et de dégager les options qui font consensus pour l'ensemble des intervenants. Plus spécifiquement, ce concours international d'idées cherche à réinventer et à harmoniser les liens des multiples composantes de ce parcours et les milieux de vie adjacents. « La tenue d'un concours international d'idées permettra d'obtenir des propositions de visions macroscopiques d'aménagement qui reflètent l'identité et la maturité de Montréal et qui soutiennent sa vitalité. La tenue du concours permet aussi de souligner le 5e anniversaire de la désignation de Montréal Ville UNESCO de design en soutenant les efforts d'accroissement de la qualité du design des lieux montréalais afin d'en promouvoir la viabilité et l'attractivité», a souligné M. Hamad. Le concours sera officiellement lancé le 9 juin 2011 lors d'un appel de participation qui présentera l'ensemble des modalités et les documents qui guideront l'élaboration des propositions. Les équipes auront jusqu'au 7 octobre pour déposer leurs projets. Le ministère des Transports a confié à la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal (CPEUM) le soin de piloter le concours international d'idées et l'effort de concertation qui en découle. Fondée en 1996, la CPEUM a pour mission le développement de connaissances et de moyens d'intervention dans les domaines du paysage et de l'environnement. La CPEUM mise, pour ce faire, sur des collaborations étroites avec ses principaux partenaires, dont le ministère des Transports, qui participent aux projets de la CPEUM depuis ses débuts. « Plus que jamais, nos emprises autoroutières doivent s'intégrer de façon harmonieuse dans les milieux urbains dans lesquels elles se trouvent. Une intégration concertée et cohérente permettra à ce parcours de devenir une signature urbaine pour notre métropole», a conclu M. Hamad. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Mai2011/20/c6522.html
  11. http://www.journaldemontreal.com/2015/05/14/concours-pour-rencontrer-u2-a-montreal--les-quebecois-non-admis Concours pour rencontrer U2 à Montréal: les Québécois non admis Bono vante les mérites du Québec – et surtout des fans québécois de U2 – dans une vidéo visant à présenter le concours. Visiblement, le chanteur de U2 ignorait que ceux-ci seraient inadmissibles au concours au moment de tourner le segment, puisqu’il parle directement aux fans montréalais du groupe. PHOTO D’ARCHIVES Bono vante les mérites du Québec – et surtout des fans québécois de U2 – dans une vidéo visant à présenter le concours. Visiblement, le chanteur de U2 ignorait que ceux-ci seraient inadmissibles au concours au moment de tourner le segment, puisqu’il parle directement aux fans montréalais du groupe. Marc-André Lemieux MARC-ANDRÉ LEMIEUX Jeudi, 14 mai 2015 16:33 MISE à JOUR Jeudi, 14 mai 2015 16:33 Que diriez-vous de rencontrer les membres de U2 après leur concert au Centre Bell le mois prochain? Ça tombe bien, Guy Laliberté organise justement un concours donnant la chance aux fans du groupe de remporter un tel prix. Le seul hic: les Québécois ne peuvent pas y participer. Le fondateur du Cirque du Soleil s’est associé à Prizeo, un site web hébergeant des concours de nature philanthropique, pour offrir la chance aux fidèles admirateurs de Bono et compagnie de gagner une journée avec leurs idoles, des billets VIP pour leur concert et une tournée des coulisses après coup. En prime, les heureux élus visiteront les quartiers généraux du Cirque du Soleil. Pour courir la chance de rafler cet énorme prix, rien de plus simple: faire un don de 5 $ (ou plus) à One Drop, la fondation de Guy Laliberté ayant pour mission d’assurer aux populations les plus démunies un meilleur accès à l’eau potable. Or, les Québécois sont exclus du concours en raison des lois en vigueur dans la Belle Province, nous confirme Pascal Chandonnet, directeur exécutif, marketing et communications chez One Drop. Il refuse toutefois d’entrer dans les détails concernant les points en litige. Des lois strictes Chose certaine, les règlements entourant la tenue de concours au Québec sont reconnus pour être stricts, note Jacques St-Amant, chargé de cours au département des sciences juridiques de l’UQAM. Les concours ayant lieu dans la Belle Province doivent respecter la Loi sur les loteries, les courses, les concours publicitaires et les appareils d’amusement, qui oblige entre autres les organisateurs à faire des dépôts de garantie, enregistrer leurs publicités, etc. Ces exigences entraînent bien entendu des coûts supplémentaires qui peuvent décourager certains organisateurs. En vigueur depuis 1978, ces lois visent à protéger le consommateur, notamment contre la fraude, précise M. St-Amant. L’exemple de One Drop et U2 n’est pas un cas isolé, ajoute M. St-Amant. Plusieurs concours sont fermés aux Québécois en raison des lois et règlements applicables. «Les formalités ne sont pas très lourdes, mais pour la plupart des compagnies, des organismes ou des groupes qui organisent ces concours, elles sont tout simplement de trop», déclare Jacques St-Amant, mentionnant au passage que Guy Laliberté et sa fondation One Drop avaient sans doute les «ressources nécessaires» pour se plier aux exigences légales du Québec s’ils l’avaient vraiment voulu. Mince consolation pour les fans québécois de U2 peinés par cette situation: les Québécois ne sont pas les seuls à être jugés inadmissibles. Les gens vivant à Cuba, en Iran, en Corée du Nord, en Irak, en Arabie saoudite, en Syrie et dans quelques autres pays reconnus comme étant répressifs sont aussi écartés. Bono salue ses fans québécois Ironie: Bono explique le concept du concours dans une vidéo sur Prizeo. Visiblement, le chanteur de U2 ignorait que nous serions *inadmissibles au concours au moment de tourner le segment, puisque pendant deux minutes, il parle directement aux fans montréalais du groupe, garnissant son discours de mots en français comme «la Belle Province» et «bonne chance». Il vante même les mérites du Québec, berceau du «Cirque du Soleil, Leonard Cohen et Arcade Fire». ♦ U2 donnera pas moins de quatre concerts au Centre Bell le mois prochain. Les spectacles des 12 et 13 juin affichent complet, mais quelques billets sont encore disponibles pour les 16 et 17 juin. sent via Tapatalk
  12. Nouvelle salle de spectacle à Verdun Mise à jour le lundi 6 février 2012 Un nouvel espace de diffusion culturelle sera construit à Verdun, près du Saint-Laurent. Il comprendra une salle de spectacle de niveau professionnel. Le projet prévoit également le réaménagement et l'agrandissement de l'École de cirque de Verdun. C'est la firme Les Architectes FABG qui a remporté le concours d'architecture. Les travaux doivent commencer en septembre. « Nous avons organisé un concours d'architecture afin d'obtenir un projet répondant au défi de transformer l'ancien aréna Guy-Gagnon en un lieu artistique de grande qualité privilégiant le rapprochement entre le spectateur et l'artiste », a expliqué Claude Trudel, maire de l'arrondissement de Verdun. Le coût du projet s'élève à 16,3 millions de dollars. La Ville de Montréal offre une contribution financière de 7,9 millions de dollars. Dès l'automne 2013, la salle de spectacle pourra offrir entre 368 et 444 sièges fixes et rétractables, selon la forme de spectacle qui y sera présenté. Elle oeuvrera en symbiose avec la Tohu pour la recherche de spectacles. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2012/02/06/003-nouveau-projet-culturel-verdun.shtml
  13. Voici un article paru dans le Devoir il y a quelques temps. Je ne sais pas si cela avait été débattu alors mais vos avis sur ce sujet m intéresse... Que reponderiez vous a l auteur concernant son point de vue? crédit le Devoir 19 avril 2014 |Frédérique Doyon | Actualités en société «Montréal n'a pas besoin d'être dans cette course à la Dubaï. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d'un côté et pas assez dans le reste du territoire.» — Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture Les édifices emblématiques de Montréal datent des années 1960. Le petit boom changera-t-il la donne ? Qu’est-ce qu’un bon design architectural pour ces hautes structures ? Avec son centre-ville entre fleuve et mont Royal, Montréal n’a pas développé une culture du gratte-ciel. Le mot même est un abus de langage… Et la qualité relative des édifices en hauteur, depuis le boom des années 1960, en témoigne. « Beaucoup de tours sont insignifiantes à Montréal, elles ne sont pas porteuses de sens, souligne Clément Demers, le directeur général du Quartier international de Montréal. Pour avoir une tour de qualité, ça prend un promoteur visionnaire qui croit à la valeur culturelle de l’architecture, pas juste à la valeur financière. Ça prend aussi un marché prêt à l’absorber. » Comme à Toronto, dont la banlieue de Mississauga a retenu l’attention quand les tours de la firme chinoise MAD, surnommées « Marilyn Monroe » pour leurs formes sensuelles, ont remporté le prix Emporis Skyscraper 2013. « L’engouement suscité par le projet [issu d’un concours auquel les promoteurs étaient d’abord réfractaires] a décuplé les investissements », rapporte Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture. Selon Clément Demers, les bâtiments en chantier qui se multiplient à Montréal depuis quelques années, et encore d’ici 2020, majoritairement des condos, n’y ajouteront pas beaucoup de personnalité. Ceux qui se démarquent du skyline — la silhouette caractéristique de la ville telle qu’elle se découpe dans le ciel — sont encore et toujours la fameuse Place Ville-Marie de I.M. Pei (1962), la tour de la Bourse de Luigi Moretti (1963), le Westmount Square de Ludwig Mies van der Rohe (1967). Il ajoute le 1250, René-Lévesque (1992) de Kohn Pedersen Fox and Associates. Rien dans le radar des 20 dernières années, où débute la course aux tours à condos ? Jean-Pierre Chupin signale le bel effort récent du Louis Bohème en face du Devoir, signé Menkes Shooner Dagenais LeTourneux (MSDL) en 2010, pour le souci des matériaux et ses 27 étages qui donnent de l’ampleur à la ville sans lui imposer une masse côté place des Festivals. Car « la principale qualité des édifices en hauteur est leur participation à la construction de la ville, affirme M. Chupin. Est-ce qu’ils la régénèrent ou arrivent comme une brutalité dans la ville ? » Il dégage deux autres aspects à considérer pour un design architectural réussi. « La tête d’une tour, c’est sa participation au skyline. C’est ce qu’on remarque en premier. Est-ce que ce sera une forme ou une enseigne ? » Au risque parfois de briser le « skyline » plutôt que de l’enrichir… Plus important encore, il y a « le rapport à la rue qu’il ne faut jamais négliger ». Effet carte postale Pendant que l’on compte nos (petits) gratte-ciel significatifs sur les doigts d’une main, le reste du monde en abonde. Car la course au plus haut, au plus flamboyant se poursuit, avec un souffle nouveau depuis le chantier du (One) World Trade Center, dans l’après-11- Septembre. Pour le meilleur et pour le pire. « À Dubaï, souvent, ils font les plans avant même de savoir ce qu’ils vont mettre dedans. L’image a beaucoup d’importance. Est-ce qu’on veut un effet carte postale ou une ambiance, une ville habitée ? » En explosion dans ces régions émergentes, le gratte-ciel témoigne d’un pouvoir d’affirmation face au monde. Difficile de passer sous silence l’élégant Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar, cylindrique avec sa tête en dôme, qui conjugue lignes contemporaines et motifs d’architecture islamique. Les courbes, injectées dans l’imaginaire architectural par des Antoni Gaudí, Oscar Niemeyer et Frank Gehry, rendues techniquement possibles grâce à l’évolution de l’ingénierie et des outils informatiques, se répandent dans le paysage urbain mondial. « On est dans des tentatives récentes pour revoir la forme », dit M. Chupin en citant le projet montréalais Peterson et ses balcons ondoyants à venir. À l’angle de René-Lévesque et Bleury vient de sortir de terre l’hôtel Marriott Courtyard, avec une courbure qui sert de parfait contre-exemple, selon le professeur de l’École d’architecture de l’Université de Montréal. « Sa forme semi-bombée n’apporte rien à la qualité de l’espace urbain. » « Ce n’est pas parce que les outils le permettent que c’est la solution à appliquer partout », note Anik Shooner, de la firme MSDL, qui insiste sur l’importance d’éviter les modes en architecture et d’analyser les volumes et formes de la ville pour dessiner un édifice. MSDL planche sur deux autres édifices à pleine hauteur, le YUL et le 900, De Maisonneuve. Expérimentation « Montréal n’a pas besoin d’être dans cette course à la Dubaï,clame M. Chupin. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d’un côté et pas assez dans le reste du territoire. » Tant qu’à chercher matière à inspiration, c’est du côté des concours d’idées architecturales eVolo qu’il suggère de regarder. Le premier prix est revenu à l’Américain Jong Ju-lee pour Vernacular Versatility qui reprend, en la transformant, la tradition architecturale coréenne du hanok, aux structures apparentes et aux bordures de toit recourbées. Le troisième prix remporté par les Sino-Canadiens YuHao Liu et Rui Wu explore l’usage structurel du CO2 dans les gratte-ciel. Un champ de recherche qu’il juge sous- exploité à Montréal, malgré les étiquettes LEED qui se multiplient. « Une tour devrait être un lieu d’expérimentation et d’apothéose, dit M. Chupin rappelant la longue vie de ces mégastructures. Là, alors, on mériterait de parler d’un Montréal du futur. » ***
  14. Pas un concours, plutôt un appel à contribution pour bonifier une exposition de photographie qui va avoir lieu au parc Bellerive dans le quartier Sainte-Marie intitulée ''Le fleuve, le pont et l'Homme'' Voici les détails:
  15. MONTRÉAL, le 28 février 2011 - Au nom de la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le député de Marquette, M. François Ouimet, la responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, ainsi que le maire de l'arrondissement de Lachine, M. Claude Dauphin, annoncent l'investissement de 10, 9 M$ pour le réaménagement et l'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow dans l'arrondissement de Lachine. Ce projet est financé dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal. Le coût global de ce projet, qui s'inscrit dans le programme de rénovation, d'agrandissement et de construction de bibliothèques (RAC), est de 10,9 M$. La Ville et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCF) investiront chacun 4,3 M$, tandis que l'arrondissement injectera près de 2,3 M$. L'ouverture de la bibliothèque agrandie et rénovée est prévue pour le printemps 2013. Soulignons que durant les travaux, les services offerts aux citoyens seront maintenus, mais temporairement relocalisés au sein de l'arrondissement. « Je suis très fier d'être ici aujourd'hui pour annoncer ce beau projet pour les citoyens de Lachine, qui permettra à la bibliothèque Saul-Bellow d'être un pôle culturel plus attrayant et accessible. Cette réalisation, où battra le cœur de Lachine, a été rendue possible grâce à un engagement commun pris lors du Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle. Le concours d'architecture associé à ce projet offre une occasion privilégiée de se surpasser et de viser l'excellence. L'effervescence de notre communauté passe indéniablement par l'accès à un lieu de savoir et de culture vaste et diversifié », a souligné M. François Ouimet. « Les bibliothèques représentent en quelque sorte le cœur d'un quartier. Véritables lieux de rencontre, elles donnent accès à la culture et au savoir à ceux qui les fréquentent. Les citoyens de Lachine pourront profiter d'une bibliothèque agrandie, modernisée et axée sur les besoins des familles. Aujourd'hui, notre Administration démontre, encore une fois, qu'elle est résolue à consolider Montréal comme ville de savoir et comme métropole culturelle », a déclaré Mme Fotopulos. « Je suis heureux d'annoncer ce projet de réaménagement et d'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow puisqu'il s'agit d'un investissement direct qui permettra d'offrir aux citoyens de Lachine une bibliothèque moderne, attrayante, fonctionnelle et ouverte à sa communauté. Ce projet vise à combler l'important déficit de l'arrondissement en matière d'offre de service, tant sur les plans qualitatifs que normatifs. Il permettra de plus, de consolider un pôle culturel et social au cœur de l'arrondissement de Lachine », a affirmé M. Claude Dauphin. Ce projet a été retenu par la Ville et le MCCCF sur la base de critères spécifiques, soit : l'écart par rapport aux normes qui avait été rendu public dans le Diagnostic des bibliothèques municipales de l'île de Montréal, la volonté de l'arrondissement de s'engager financièrement, ainsi que la faisabilité et la qualité du projet. Architecture, développement durable et art publicLa future bibliothèque Saul-Bellow intégrera le bâtiment existant (1427 m2) et un ajout d'environ 1194 m2. Une fois les travaux terminés, la superficie de la bibliothèque aura presque doublée. La conception de la bibliothèque fait l'objet d'un concours d'architecture qui contribuera à consolider le statut de Montréal Ville UNESCO de design. Ce nouvel équipement culturel vise une certification environnementale LEED OR. L'appel de candidatures pour le concours d'architecture, qui se déroulera en deux étapes, a été lancé le 16 février dernier. Un jury formé de sept membres recommandera à la Ville de Montréal et à l'arrondissement de Lachine sept finalistes parmi les architectes qui auront déposé leur dossier de candidature. Les sept finalistes retenus présenteront ensuite un concept sur la base duquel l'équipe lauréate sera choisie. Les membres du jury sont : monsieur Patrice Poulin, architecte, PA LEED et gestionnaire immobilier à la Direction des stratégies et des transactions immobilières de la Ville de Montréal; monsieur Alex Polevoy, directeur - Culture, sports, loisirs et développement social, au sein de l'arrondissement de Lachine; madame Julie-Anne Cardella, directrice de la bibliothèque de Westmount; monsieur Daniel Pearl, architecte et professeur à l'Université de Montréal; madame Louise Bédard, architecte; monsieur Maxime Frappier, architecte; madame Anne Carrier, architecte, et monsieur Charles Ferland, architecte et membre suppléant. Selon la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du gouvernement du Québec, la Ville procèdera en 2012 à un concours d'art public sur invitation visant à doter la bibliothèque Saul-Bellow d'une œuvre. Rappelons que cette politique consiste à réserver un pourcentage de l'ordre de 1% du budget de construction à la réalisation d'une ou de plusieurs œuvres conçues spécifiquement pour ce lieu. La réalisation du projet d'oeuvre d'art sera gérée par la Division des équipements culturels, de l'art public et du patrimoine artistique par l'entremise de son Bureau d'art public. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1344&lang=fr
  16. Quoi y a un concours?!?! Oui sans le vouloir, vous y avez tous participé... pourquoi le secret??? la raison est bien simple... continuez à lire plus bas et vous comprendrez! Comment récompenser les membres d'un forum? Qu'est ce qui fait vivre un forum? Les membres contributeurs!!! Ceux qui participent aux débats et surtout ceux qui se donnent la peine de prendre des photos pour être nos yeux sur le terrain. En annonçant le le concours en début d'année, j'avais bien peur que le forum soit inondé de messages et photos dans le but de gagner... voici pour le secret. L'expression une image vaut mille mot, sur MTLURB c'est encore plus vrai! Chaque image génère une quantité incroyable de commentaires et de visites sur le site web... Alors voilà, j'ai séparé les gagnants en 2 catégories, soit top 3 des photographes MTLURB, et top 3 des contributeurs en volume (longueur des textes) de participation. La période couverte est du premier décembre 2012 au premier décembre 2013! Il y a 5 gagnants puisqu'un l'un deux se retrouve dans les deux catégories! Top 3 photographes [table=width: 500, class: grid] [tr] [td]Membre[/td] [td]Photos[/td] [/tr] [tr] [td]Yvon L'Aîné[/td] [td]1539[/td] [/tr] [tr] [td]IluvMTL[/td] [td]449[/td] [/tr] [tr] [td]denpanosekai[/td] [td]299[/td] [/tr] [/table] Top 3 en participation dans les débats [table=width: 500, class: grid] [tr] [td]Membre[/td] [td]Messages[/td] [td]Volume[/td] [/tr] [tr] [td]IluvMTL[/td] [td]1176[/td] [td]1818476[/td] [/tr] [tr] [td]acpnc[/td] [td]765[/td] [td]1255511[/td] [/tr] [tr] [td]monctezuma[/td] [td]1054[/td] [td]628612[/td] [/tr] [/table] Quels sont les prix?? Lors de mon dernier voyage à New York, j'ai remarqué un casse-tête pour adultes, qui est vraiment remarquable pour nous "nerds" de villes et de tours!! Regardez ce vidéo pour comprendre: J'ai choisi 5 villes pour distribuer aux gagnants, soit: New York, Berlin, Sydney, London et Toronto. Puisque pour les contributions photos, consiste à beaucoup plus de travail, je pondère en leur faveur, voici donc l'ordre des gagnants: 1-Yvon L'Aîné 2-IluvMTL 3-denpanosekai 4-acpnc 5-monctezuma Chacuns à votre tour, faites un choix parmi les villes, et je me ferais un plaisir de vous les poster ou livrer. IluvMTL en bonus, vu que tu gagnes dans les deux catégories, tu recevras aussi un puzzle 3D de l'Empire State Building. Merci à tous, et excellente nouvelle année 2014!!!
  17. Montréal, 22 octobre 2013 – Le prestigieux Intelligent Community Forum (ICF) vient de reconnaître la grande région métropolitaine de Montréal parmi les 21 métropoles intelligentes de l’année (Smart 21). L’annonce a été faite à North Canton, Ohio, lors du dévoilement des demi-finalistes du concours Intelligent Community of the Year, édition 2014. La candidature du Grand Montréal a été déposée par TechnoMontréal, la grappe des technologies de l’information et des communications du Grand Montréal, en partenariat avec Montréal International, la Ville de Montréal, la Conférence régionale des élus (CRÉ) de Montréal, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et le Conseil des arts de Montréal. Depuis 1999, le concours Intelligent Community of the Year reconnaît annuellement les communautés (villes ou territoires) qui s’illustrent dans le développement des villes intelligentes. Les critères d’évaluation sont composés de cinq thèmes récurrents (réseaux haut débit, innovation, économie du savoir, fracture numérique et promotion) et d’un thème annuel, soit « la culture » en 2014. Le Grand Montréal s’est distingué par la qualité et la quantité de ses projets de développement du numérique, et par la place prépondérante occupée par la culture au sein de la cité. «L’avancement et le potentiel du Grand Montréal à titre de métropole intelligente sont méconnus du grand public. La métropole compte déjà une vingtaine d’initiatives “smart” indépendantes, et plusieurs chantiers majeurs sont en branle. Depuis 2011, TechnoMontréal regroupe ces initiatives et coordonne des projets structurants au sein d’une vision de développement intitulée Montréal métropole numérique, qui vise à hisser la région métropolitaine au rang des grandes “Smart Cities”. En marge de ce projet fédérateur, nos partenaires ont mis en œuvre des projets qui, ensemble, créent un tout plus grand que la somme des parties. Si ce travail de longue haleine est aujourd’hui reconnu par la plus haute instance internationale en la matière, c’est grâce à tous les joueurs qui ont cru aux retombées positives d’une vision numérique pour la métropole», a déclaré Lidia Divry, directrice générale de TechnoMontréal. En plus de ses atouts en matière de numérique, la candidature du Grand Montréal s’est distinguée au chapitre de la thématique annuelle culturelle. «La créativité est une composante phare de la culture montréalaise. La métropole est déjà reconnue pour le foisonnement et la qualité de ses productions artistiques et depuis quelques années elle se démarque de plus en plus au plan international dans plusieurs créneaux du numérique, que ce soit dans l’industrie des jeux vidéo, de la production de logiciels, des applications citoyennes ou des arts numériques. D’ailleurs, les acteurs du milieu se mobilisent actuellement pour offrir en 2014 un Printemps numérique qui sera un événement mémorable», a déclaré Marie-Claire Dumas, directrice générale de la CRÉ de Montréal. Le Grand Montréal est reconnu comme une ville du savoir qui s’appuie sur un riche écosystème d’établissements d’enseignement supérieur et d’entreprises visionnaires. «Il s’agit d’une importante distinction qui vient souligner l’expertise de nos entreprises du secteur des technologies de l’information et des communications. Cette reconnaissance confirme, si besoin était, que la métropole figure effectivement parmi les régions métropolitaines les plus avancées dans l’application de nouvelles technologies. Il importe maintenant de maximiser les retombées de cette annonce afin d’attirer de nouveaux investissements dans ce secteur clé de notre base économique», a ajouté Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Cette distinction accordée par l’ICF est le premier jalon d’un processus de 10 mois, qui mènera au choix des sept villes les plus avancées en janvier 2014 (Top 7), et ultimement à la nomination du grand gagnant en juin 2014. À propos de l’Intelligent Community Forum (ICF) L’Intelligent Community Forum (ICF) est un organisme de recherche à but non lucratif situé à New York, qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Le groupe de réflexion indépendant est voué à la création d'emplois et au développement de l'économie du numérique. L’ICF, centre essentiellement sur la recherche, les conférences, les services-conseils, les services éducatifs et un concours annuel, identifie et partage les meilleures pratiques en développement des villes intelligentes. Le concours Intelligent Community of the Year Depuis 1999, le concours Intelligent Community of the Year reconnaît annuellement les communautés (villes ou territoires) qui s’illustrent dans le développement des villes intelligentes. L’objectif du concours est de souligner le travail et les succès des communautés qui orientent leur développement vers l’économie numérique, et de nourrir en données les recherches de l’ICF. Les critères d’évaluation sont composés de cinq thèmes récurrents : L’infrastructure haut débit (broadband) L’innovation L’économie du savoir (knowlegde workforce) La fracture digitale (digital inclusion) La promotion (marketing and advocacy) En plus de ces cinq critères, un thème annuel guide la sélection des finalistes. Le thème retenu pour 2014 est la culture, en son sens élargi (art, patrimoine et mentalité). Le concours Intelligent Community of the Year s’échelonne sur un processus de 10 mois. Au premier jalon, Smart 21, l’ICF sélectionne les 21 communautés intelligentes demi-finalistes, dont les noms ont été annoncés le 21 octobre. S’en suit la soumission d’un second dossier de candidature, sur la base duquel on choisira les sept finalistes (Top 7, en janvier 2014). Les finalistes se soumettent finalement à un audit, piloté par un groupe indépendant, qui permettra de nommer, à l’occasion du sommet annuel de l’ICF en juin, l’Intelligent Community of the Year. Lauréats du prix Intelligent Community of the Year 1999-2013 2013 – Taichung, Taïwan 2012 – Riverside, Californie, États-Unis 2011 – Eindhoven, Pays-Bas 2010 – Suwon, Corée du Sud 2009 – Stockholm, Suède 2008 – Gangnam-Gu, Corée du Sud 2007 – Waterloo, Ontario, Canada 2006 – Taipei, Taïwan 2005 – Mitaka, Japon 2004 – Glasgow, Écosse, Royaume-Uni 2002 – Calgary, Canada et Séoul, Corée du Sud 2001 – New York, État de New York, États-Unis 2000 – LaGrange, Géorgie, États-Unis 1999 – Singapour Qu’est-ce qu’une ville intelligente (ou Smart City)? Depuis 2007, une personne sur deux dans le monde vit en ville. Les métropoles consomment 75 % de l’énergie de la planète et produisent 80 % des CO2. Cette tendance s’accentue de jour en jour : on compte un million d'habitants de plus chaque semaine dans les villes du globe. D’ici 2050, plus de 70 % de la population mondiale vivra dans les métropoles, générant 60 % de la croissance du PIB. L'urbanisation mondiale connaît aujourd’hui une croissance sans précédent, qui a un impact sur la gestion des villes et transforme les services aux citoyens liés notamment aux transports, aux soins de santé, à l’éducation, à la gestion des ressources et à l’administration. Devant ces défis, des centaines de grandes villes dans le monde emboîtent le pas dans le développement des villes intelligentes. Les villes intelligentes (ou Smart Cities, smart grids, etc.) utilisent la technologie pour optimiser les services aux citoyens. Il existe des centaines d’exemples concrets : À Singapour, un système peut prédire la vitesse du trafic avec près de 90 % de précision; Un système de gestion intelligent du trafic à Londres a ramené le volume de circulation au niveau des années 1980; Les systèmes de gestion énergétique à Dublin, en Irlande, sont composés d’une infrastructure de capteurs pour obtenir des données en temps réel sur le transport et l’énergie; Barcelone en Espagne a libéré 500 séries de données publiques, générant le développement d’applications qui permettent aux citoyens de contribuer directement à la vie démocratique; Stockholm en Suède a installé un million de mètres de fibre permettant le développement d’une multitude de services publics tels que la téléassistance et les téléservices à la personne. Tous ces grands projets mettent à profit les TIC pour faciliter le quotidien des citoyens, appuyer le développement économique, réduire les impacts environnementaux et optimiser les services collectifs. http://www.montrealinternational.com/le-grand-montreal-nomme-parmi-les-21-metropoles-intelligentes-de-lannee/
  18. http://mtlunescodesign.com/fr/projet/Portes-Ouvertes-Design-Montreal Montréal est une ville où le design et les designers - qu’ils soient des domaines de l’architecture ou du design d’intérieur, industriel, graphique, ou de la mode - représentent une force dynamique de la vie culturelle et économique. En juin 2006, Montréal a été désignée Ville UNESCO de design et fait désormais partie du Réseau des villes créatives de l'Alliance globale pour la diversité culturelle mis en place par l'UNESCO en 2004. Cette désignation décernée par l’UNESCO, tant sur la base des actifs que du potentiel de développement de la métropole montréalaise en architecture et en design, doit aujourd’hui être comprise et appropriée par les montréalais. La validation du titre Montréal, Ville UNESCO de design auprès des citoyens passe par la poursuite du travail de diffusion, de vulgarisation et de sensibilisation à la qualité en design et en architecture entrepris avec succès depuis 1998 par l’administration municipale au moyen de Commerce Design Montréal. Le concept même des Portes Ouvertes Design Montréal hautement public et accessible, à l’instar des Journées des Musées montréalais ou de la Culture, ou des circuits Commerce Design Montréal, est de faire [re]découvrir le design et les designers aux montréalais de façon à ce qu’ils s’approprient et soient fiers de la désignation UNESCO tout en devenant plus intéressés par ceux et celles qui façonnent leur quotidien. Depuis 2007, le bureau Design Montréal de la Ville de Montréal prend le parti d’ouvrir ces Portes ouvertes la première fin de semaine du mois de mai à toutes les disciplines du design, avec emphase sur celles qui ont un plus grand impact sur le cadre de vie montréalais (design de ville). L’originalité des Portes Ouvertes Design Montréal est de s’appuyer sur une sélection déjà existante de projets et de professionnels montréalais qui, chaque année, se distinguent dans le cadre de prix et concours d’architecture et de design crédibles, nationaux, voire internationaux. Ces lauréats restent trop souvent méconnus du public, la promotion des concours étant souvent limitée à un cercle réduit d’initiés. L’idée des Portes Ouvertes Design Montréal est de mettre fortement en lumière tous ces lauréats montréalais (concepteurs et projets) qui justifient, alimentent et sont les meilleurs ambassadeurs de Montréal Ville UNESCO de design. L’événement a pour but de : développer une culture de la qualité en architecture et en design : sensibiliser, éduquer et élever les exigences des montréalais de façon à créer une plus forte demande pour des projets innovants et de qualité démocratiser l’accès à l’architecture et au design en resituant ces professions et leur production dans le quotidien des montréalais faire découvrir au public les métiers du design et de l’architecture, défaire les préjugés envers ces professions et démontrer la richesse, la diversité et le talent de l’offre montréalaisefaire connaître la récente désignation de Montréal au titre de Ville UNESCO de design, en expliquer les fondements et développer la fierté du public situer l’action de Design Montréal comme une valeur ajoutée pour les organismes du milieu qui contribue au rayonnement de leur concours et à la notoriété de leurs lauréats
  19. Voici les 7 propositions lauréates du concours Nordicité, retenues parmi les 36 projets déposés, qui ont été dévoilées le 29 avril à la Cinémathèque québécoise. Pour voir toutes les propositions et consulter le rapport du jury http://aduq.ca/concours-nordicite/ "L’ensemble des propositions permet d’alimenter une réflexion riche qui se poursuivra dans le but de stimuler la créativité en vue de la prochaine saison hivernale. L’ADUQ souhaite ainsi mettre sur pied une série d’évènements, dont le vernissage et un débat, afin que ce concours puisse nourrir en continu la recherche sur le thème. Par la suite, une publication, voire même la réalisation de certaines propositions pourraient être envisageables. Les organisateurs se réjouissent donc de voir que le médium du concours d’idée peut réellement jouer un rôle dans la recherche d’idées novatrices, et alimenter un débat plus concret et imagé."
  20. Il y a des moments où l’énergie et l’enthousiasme du groupe est tel qu’on a l’impression que quelque chose est en train de se passer et que les plus grands exploits semblent possibles. J’ai eu ce sentiment mercredi soir à Québec en assistant au 14e gala des grands prix du Concours québécois en entrepreneuriat. Voilà un concours méconnu et sous-estimé. Il constitue pourtant un antidote puissant au cynisme et au pessimisme. Il vise à récompenser des projets entrepreneuriaux en milieu scolaire et communautaire ainsi que des entreprises nouvellement créées dans toutes les régions du Québec. On décerne 42 grands prix, dont trois pour des élèves de niveau primaire ! Imaginez des gamins hauts comme trois pommes tous fiers d’avoir contribué à changer les choses dans leur école et d’avoir été remarqués et récompensés. Les statistiques qui entourent ce concours sont renversantes. 63 355 projets ont été soumis depuis 14 ans, impliquant 1 235 000 personnes. Cette année, 3490 projets ont été présentés et le nombre de participants a atteint 45 300 personnes. Il y avait toutes sortes de projets d’entreprise, de l’ouverture d’un café étudiant à l’école secondaire, à la confection de cirés pour les pêcheurs, à l’élevage d’écrevisses ou d’alpagas, en passant par la vente de mini-cupcakes. La culture entrepreneuriale est forte au Québec et un tel événement me donne l’impression que l’entrepreneuriat est un mouvement social d’envergure et pas seulement une forme d’organisation économique. C’est un mouvement d’autant plus noble qu’il favorise le développement personnel et la prise en main de son propre destin dans l’optique de servir sa collectivité. Pour un deuxième année, je faisais partie du jury du grand prix défi de l’entrepreneuriat jeunesse. Mes collègues et moi avions la dure tâche de comparer et d’évaluer des entreprises déjà gagnantes dans leur catégorie respective ou qui auraient pu se distinguer tant leurs présentations étaient solides et méritoires. L’entreprise gagnante, Novothermic Technologies, a fait l’unanimité. Leur produit permet aux restaurants d’économiser considérablement sur leur facture d’énergie en utilisant leurs rejets d’eau chaude. Voilà une entreprise qui mise sur l’innovation et le développement durable et dont le plan d’affaires était exemplaire. Au-delà des bonnes intentions, nous avions là un projet dont les hypothèses commerciales semblaient raisonnables et prometteuses. La jeune entreprise s’est même dotée d’un comité consultatif composé d’entrepreneurs et de spécialistes pour aider ses dirigeants dans la gestion de l’entreprise et son développement. Longue vie au Concours québécois en entrepreneuriat ! http://www2.lactualite.com/pierre-duhamel/2012/06/22/les-triomphes-de-lentrepreneuriat-quebecois/
  21. Bonjour à tous! j'ai trouvé un concours sur la page Facebook de la Joaillerie Signature, je voulais vous le partager! C'est pour gagner un bracelet Charriol, en acier noir avec des diamants, une valeur de 375$.. il est vraiment beau!! Je vous met le lien: http://www.facebook.com/JoaillerieSignature Bonne chance!
  22. À propos du Chantier Réalisons Montréal Ville UNESCO de design 1 Origines et Mission 2 Valeurs et Approche 3 Outils pour les concours Le chantier Réalisons Montréal Ville UNESCO de design vise, d'ici 2011, à provoquer des opportunités de création en design à Montréal et à mettre en valeur les initiatives du milieu du design qui font vivre et rendent tangible le statut de Montréal comme Ville UNESCO de design. http://www.realisonsmontreal.com/fr/ http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5457,25937715&_dad=portal&_schema=PORTAL http://www.facebook.com/designmontreal
  23. Le Nightlife magazine organise un concours photo, allez voir les candidats, de très belles photos : http://www.nightlife.ca/likes/concours-photo-les-7-merveilles-de-montreal-ouverture-des-votes La 1ère et la 13ème : WoW !!!!!
  24. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2011/08/02/montreal-remix-ou-la-ville-selon-les-montrealophiles/
  25. Publié le 02 juin 2009 à 14h43 | Mis à jour à 14h50 Une boutique montréalaise parmi les meilleures au monde Nadielle Kutlu Cyberpresse Les Touilleurs a récemment été classé parmi les cinq meilleurs commerces de détails au monde, dans la catégorie des articles et accessoires de cuisine. La boutique de l'avenue Laurier, à Outremont, a reçu cette distinction lors du prestigieux concours international Global Innovator Award 2009 (GIA) qui s'est tenu à Chicago. Vingt-quatre pays répartis sur les cinq continents y ont participé.Les Touilleurs a d'abord remporté le concours au Canada pour ensuite représenter le pays sur la scène internationale. Comme une distinction ne vient jamais seule, les propriétaires sont aussi en discussion pour avoir leur propre émission de télévision auprès d'un grand diffuseur, a appris La Presse. C'est la première fois que la boutique, qui a souvent remporté des honneurs, se présentait au GIA. Les critères de sélection reposaient, entre autres, sur la stratégie de marque de l'établissement, le concept, l'expérience client et l'étendue de la gamme de produits. «C'est un prix important, on se retrouvait face à nos pairs et ça permet aussi de mettre Montréal sur la carte», souligne le copropriétaire Sylvain Côté. «On espère que ça va fidéliser encore plus la clientèle et attirer la curiosité de nouveaux clients.» Qu'est-ce qui a séduit le jury ? «On nous a dit que c'était notre unité, l'ensemble de ce que nous offrons. Que ce soit la présentation de notre vitrine, la recette sur le tableau à l'entrée, le personnel, le service à la clientèle, tous ces éléments forment une unité chez Les Touilleurs», explique-t-il. Lorsqu'on entre dans la boutique, on remarque rapidement le look épuré et soigné. « Il n'y pas de boites entassées comme on voit souvent dans d'autres magasins», souligne Sylvain Côté . Le tout reste simple afin de faire ressortir l'objet. Les articles de cuisine sont notamment importés d'Allemagne ou de France. Les propriétaires tentent d'ailleurs d'offrir une exclusivité dans la gamme de produit. Depuis son ouverture en 2002, l'entreprise, qui a atteint un chiffre d'affaires de 1, 1 million $, est devenue une véritable référence dans le milieu. En plus des articles de cuisine, la boutique offre divers cours de cuisine animés par des grands chefs ainsi que des voyages gastronomiques.
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