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  1. Un concours d'architecture pour la future bibliothèque Marc-Favreau Patrimoine Architectural 2009-07-13 Communiqué de presse | MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a procédé aujourd'hui au lancement d'un concours d'architecture à l'échelle du Québec pour la construction de la nouvelle bibliothèque Marc-Favreau. "Je me réjouis de la tenue de ce concours d'architecture. Ville UNESCO de design, Montréal a choisi de prêcher par l'exemple afin de hausser la qualité de son cadre de vie. Une saine compétition encourage la créativité et contribue à la notoriété du projet gagnant", a fait savoir la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre. "Par des concours d'architecture comme celui-ci, nous améliorons la qualité de notre patrimoine bâti et nous contribuons à faire de Montréal une véritable capitale du design. Il s'agit d'une belle occasion pour faire appel aux talents créatifs des architectes de tout le Québec et de développer des concepts novateurs et diversifiés", a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "Cette bibliothèque, qui intégrera l'actuel bâtiment d'intérêt patrimonial du 700 Rosemont, est l'un des éléments centraux de la revitalisation de ce secteur appelé à devenir un modèle d'aménagement urbain axé sur la famille, la mixité sociale et le développement durable. La qualité de vie des familles est au coeur des actions de l'arrondissement et cette bibliothèque en sera un exemple éloquent", a déclaré Gilles Grondin, conseiller de la Ville, district du Vieux-Rosemont et responsable des dossiers culturels. Dans un premier temps, une présélection basée sur la présentation de la firme, l'expérience, l'équipe, l'organisation du travail ainsi que la compréhension du projet et des enjeux sera faite par le jury composé de sept personnes reconnues pour leur expertise dans le domaine. Les architectes doivent s'adjoindre les services d'ingénieurs pour définir un concept répondant aux exigences du programme fonctionnel et technique. Dans un deuxième temps, le jury sélectionnera quatre finalistes qui auront pour mandat de développer un concept répondant à quatre axes d'aménagement, soit le design, le développement durable, l'intégration de nouvelles technologies et la prise en considération de la vocation familiale du projet. Le concours sera réalisé selon les règles établies par l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) et répondra aux exigences du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCFQ) ainsi qu'aux normes du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (RAC). Le Jury sera accompagné d'une commission technique composée d'experts qui donneront leur avis sur les aspects de faisabilité technique et de respect des contraintes budgétaires. Une somme de 48 700 $ sera accordée aux équipes sélectionnées pour le développement de leur concept, tel qu'établi par l'OAQ. Les finalistes seront dévoilés le 16 septembre prochain. Cette étape permettra de faire un choix éclairé basé sur la comparaison des propositions. Le nom de l'équipe sélectionnée sera dévoilé en décembre 2009. Rappelons que la bibliothèque sera construite sur le site des anciens ateliers municipaux qui est situé au sud du boulevard Rosemont jusqu'à la rue des Carrières, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert. Un parc nommé en l'honneur du comédien Luc Durand sera aménagé non loin de la bibliothèque sur le site appelé à recevoir quelque 500 logements, dont deux projets de logements communautaires et un projet de condos, Quartier 54.
  2. Welcome to the Technodome Another high roller gambling on Montreal's future is Abraham Reichmann, nephew of the once mighty Reichmann brothers of urban development infamy (the Toronto-based family is still reeling from losses of the early '90s and the multi-billion-dollar failure of their Canary Wharf project in London's docklands). If Reichmann has his way with us, Montreal will soon be host to what he likes to call, "the world's largest, and single-most technologically advanced indoor attraction, ever." The upstart Reichmann has been shopping his Technodome project around from city to city for nearly a decade. This past summer, Technodome looked as if it might go to Toronto. Now, the young Reichmann has turned what Dinu Bumbaru of Heritage Montreal calls his "very harsh and determined publicity campaign" on Montreal. "We believe, within three to four years," Reichmann claims, "Montreal will emerge as a premier tourist and entertainment destination not only in North America but in the world." The Technodome project has already secured a partnership with the SGF in Montreal by which $50 million will be "borrowed" from Quebec taxpayers. Though land deals have once again stalled, Bickerdyke shipping pier (at the west end of the port) has been chosen as the location for Technodome--neatly representing the shift of an economy of production to one of consumption. Features: Simply put, Technodome takes Disney's concept of the Edenic themepark as a self-contained mini-universe, and plunks it into the middle of Montreal. Its proposed 200-million-square-foot dome would shelter several biospheres, making it possible, according to Duthel, for a patron to go white-water rafting and downhill skiing in the same visit (thus resolving our harsh climate problem). In addition to "nature" attractions, it will feature disaster rides, IMAX theatres, a 125,000-capacity sports and music arena and massive indoor themed zones similar to the "Lands" at the Disney parks. http://www.montrealmirror.com/ARCHIVES/2000/022400/cover.html
  3. http://journalmetro.com/local/rosemont-la-petite-patrie/actualites/969345/un-nouveau-pub-ludique-dans-rosemont/ 25/05/2016 Mise à jour : 25 mai 2016 | 17:16 Un nouveau pub ludique dans Rosemont Par Hugo Jolion-David TC Media Collaboration spéciale - Andréanne Lupien Le nouveau rendez-vous de tous les passionnés de jeux dans Rosemont Les amoureux des soirées jeux de société sauront désormais où aller dans Rosemont avec la récente ouverture du Randolph pub ludique de Rosemont au 6505 rue des Ecores, coin Beaubien Est. C’est le deuxième pub de la lignée Randolph après celui de la rue Saint-Denis dans le quartier latin, ouvert en juillet 2012. Le concept montréalais a été créé par quatre passionnés de jeux : le comédien Normand D’Amour et ses trois associés, Justin Bazogue, Joël Gagnon et Benoît Gascon. Selon les créateurs, l’idée était de mettre en avant l’innovation dans le domaine des jeux contemporains en offrant un espace de rencontre où des animateurs proposent des jeux en fonction de la motivation et des préférences des clients. Face à l’extrême motivation de ces derniers, le pub a rapidement été victime de son succès : « Depuis deux ans le Randoph du quartier latin a une file d’attente de deux heures tous les vendredis et samedis. Il était grand temps d’ouvrir une nouvelle succursale pour satisfaire la demande » raconte Normand D’Amour. Et quel autre endroit que Rosemont pour développer le concept : « Rosemont, c’est mon quartier. Je suis né ici. C’est le plus beau et le meilleur quartier du monde. Et en plus, des quatre lieux visités, c’était le plus adéquat » explique-t-il dans un sourire. Dans un très vaste espace lumineux et décoré sous la thématique des jeux de société, le pub peut accueillir 209 personnes, du mercredi au dimanche, autour de plus de 500 jeux tels que les Aventuriers du rail, Scotland Yard ou encore Au feu!.
  4. http://www.groupedayan.com/9425-rue-meilleur.php sur ce lot vacant: [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/maps?q=9425+Rue+Meilleur&ie=UTF8&ll=45.537952,-73.656209&spn=0.001182,0.002401&sll=45.5388622,-73.6597156&sspn=0.0057713,0.0109864&hnear=9425+Rue+Meilleur,+Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec&t=h&z=19&layer=c&cbll=45.53788,-73.656476&panoid=30JHmLjEgX1eF_6IBh9ovQ&cbp=12,323.89,,0,-9.19[/sTREETVIEW]
  5. Confusion dans le nom de ce projet. Tri ou Néoterra-Tri ou Projet Clifford.....enfin, peut-etre est-ce moi qui ne comprends tout simplement pas le concept. De plus, ils mentionnent que la quartier est le Sud-Ouest. Le Sud-Ouest n'est pas un quartier mais plutot un arrondissement. Le quartier est plutot Émard (ou Ville Émard). Bref, un petit projet qui a de l'allure compte tenu que nous sommes à Ville Émard. http://neoterra-tri.com/TRi/Bienvenue.html
  6. Au Québec Loblaw investit près de 100 millions $ Agence QMI 09/04/2013 11h42 BRAMPTON, Ontario – L’épicier Loblaw a annoncé des investissements de près de 100 millions $ au Québec pour revamper des magasins sous les bannières Provigo, Loblaws, Maxi et Maxi & Cie. Ces investissements vont se traduire par la création d’une centaine d’emplois permanents dans le réseau québécois du géant canadien de l'alimentation. Loblaw entend créer un nouveau concept de magasins Provigo et Loblaws dans différentes régions du Québec. En plus d’un nouveau magasin Provigo à Sherbrooke, les magasins Provigo Prieur (Ahuntsic) et de Boucherville seront rénovés, de même que les Loblaws de Magog, Saint-Bruno et Saint-Sauveur. Par ailleurs, le magasin Loblaw de Kirkland deviendra le magasin phare représentant le nouveau modèle de magasin conventionnel de l’entreprise au Québec. Plusieurs magasins exploités sous les bannières Maxi et Maxi & Cie seront réaménagés et feront l'objet d'ajouts d'équipements. Selon Pierre Dandoy, vice-président principal, Exploitation, Provigo et Loblaws, les équipes de Loblaw ont parcouru plusieurs continents «pour y identifier les meilleures pratiques et proposer l'expérience la plus riche qui soit en magasin». «Les Québécois aiment cuisiner et se réunir en famille ou entre amis autour d'une bonne table et d'aliments frais de qualité supérieure provenant de chez nous, a-t-il dit. Ces importantes considérations sont au cœur même de notre nouveau concept de magasins et de l'offre de produits qu'on y retrouvera.» Loblaw s’attend à ce qu’une centaine de travailleurs de la construction soient embauchés pour réaliser les travaux.
  7. Puisque c'est une étude, j'ignore si j'aurais du la mettre dans vision. Des images de plus grandes tailles sont disponibles sur le site. https://maps.google.com/maps?q=45.522022,-73.707404&ll=45.484718,-73.556643&spn=0.00859,0.021136&num=1&t=h&z=16
  8. Réfection d'un parc dans la Petite-Bourgogne. Des images de plus grandes tailles sont disponibles sur le site. https://maps.google.com/maps?q=Petite-Bourgogne,+Montr%C3%A9al,+QC,+Canada&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.489502,-73.573573&spn=0.003941,0.010568&sll=45.48559,-73.556471&sspn=0.01718,0.042272&oq=petite-&hq=Petite-Bourgogne,+Montr%C3%A9al,+QC,+Canada&t=h&z=17
  9. Sur le site de NEUF (DCYSA). J'ignore où en est ce projet... Remarquez le français irréprochable de la firme et son autonomie face à GoogleTranslate.
  10. http://matrix.cwcanada.com/filecabinet/Trans/380675/autoroute%20Laval%203535%20(E).pdf
  11. Pas tout à fait nouveau mais je le poste quand même. C'est un projet étudiant d'un jeune designer en Angleterre qui a revampé L'Alfa Romeo Montréal des années soixante. À quand la Lada Toronto? http://www.diseno-art.com/encyclopedia/concept_cars/alfa_romeo_montreal_concept.html
  12. http://www.montrealgazette.com/Canada+driversdeserve+Roads+Czar/4434450/story.html I am not thinking highly of a federal office to solve problems. That said, the monies recieved from at least the federal gasoline and diesel excise tax & GST on gasoline should be invested in roads and highways and not the BS black hole it goes into currently (notwithstanding various federal-aid highway projects which seem to be common, like A-30, A-85, Montreal bridges, Calgary & Edmonton ring roads, NB Route 2 etc, the total investment is still much less than the excise revenues).
  13. Je n'arrive pas à trouver le lieu exact de ce projet mais il est quelque part dans le Sud-Ouest. Je n'arrive non plus à copier la photo donc voici le lien. SO Bourget, à deux pas... de tout Près du centre-ville, loin du stress de la ville. À deux minutes du bureau le matin, à deux pas du calme et de la verdure le soir. Voilà le concept des condos SO: une oasis de bien-être au coeur du nouveau quartier Sud-Ouest. Un investissement sans compromis pour un mode de vie unique ou comme deuxième résidence pour gens d'affaires. http://www.sobourget.ca/
  14. Montréal investit 25,2 M $ dans la réfection du boulevard Saint-Laurent Mardi 19 septembre 2006 (Plateau Mont-Royal) Bureau d'arrondissement du Plateau-Mont-Royal Montréal, le 18 septembre 2006 - M. Sammy Forcillo et M. André Lavallée, membres du comité exécutif de la Ville de Montréal, et Mme Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, annoncent un investissement de 25,2 M $ dans la réalisation de la phase 2 du projet de réfection et de mise en valeur du boulevard Saint-Laurent. Il s'agit de travaux majeurs qui visent la section comprise entre la rue Sherbrooke et l'avenue du Mont-Royal. Ils s'inscrivent dans le concept prévu pour l'aménagement du boulevard Saint-Laurent entre les rues de la Commune et Saint-Zotique. « Nous nous sommes engagés à revitaliser nos infrastructures vieillissantes à Montréal et c'est ce que nous sommes en train de réaliser. Pour le boulevard Saint-Laurent, nous allons restaurer ses infrastructures, égout, aqueduc, chaussée et trottoirs, et en même temps, nous allons mettre en valeur sa personnalité, rendre le boulevard Saint-Laurent plus sécuritaire et plus convivial pour les piétons. Nous prévoyons l'ajout d'aires de livraison et de débarcadères pour soutenir le caractère commercial du boulevard Saint-Laurent et alléger la circulation des véhicules automobiles », de déclarer M. Forcillo responsable des infrastructures et de la voirie au comité exécutif à la Ville de Montréal. Pour la Ville de Montréal, ce projet est un résultat tangible du partenariat avec le milieu, entrepris depuis 2003 et ce, particulièrement avec la Société de développement du boulevard St-Laurent (SDBSL). En fait, plusieurs organismes ont participé aux rencontres de concertation pour l'élaboration du concept d'aménagement retenu par la Ville. En ce qui a trait aux étapes de mise en œuvre de la phase 2, les nombreuses rencontres de travail avec la SDBSL ont fait en sorte que la Ville a réussi à réduire de presque la moitié le calendrier des travaux du projet, passant de 22 à 13 mois. « Ce tour de force est une démonstration éloquente de la collaboration étroite qui s'est établie entre la SDBSL et les intervenants de la Ville de Montréal », a ainsi déclaré M. Gordon Bernstein, président de la Société de développement du boulevard St-Laurent. « Le concept d'aménagement du boulevard Saint-Laurent entre le boulevard René-Lévesque et l'avenue Mont-Royal privilégie le confort, la sécurité des piétons et le transport alternatif par l'élargissement et le dégagement des trottoirs d'environ 75 cm chaque côté, l'ajout de quelque 60 arbres pour un meilleur couvert végétal, l'apport d'une soixantaine de lampadaires pour améliorer l'éclairage, l'ajout d'une dizaine d'aires de livraison et de débarcadères et d'une vingtaine de stationnements à vélos sur chaussée, ainsi que des descentes de trottoirs pour favoriser l'accessibilité universelle », de préciser André Lavallée, responsable du transport collectif et de l'aménagement urbain de la Ville de Montréal. Les travaux visent également à renforcer le caractère historique du lieu par un traitement symbolique des trottoirs représentant la mesure du temps et ainsi améliorer l'aspect visuel du boulevard en misant sur la qualité d'exécution. L'objectif est de maintenir la personnalité actuelle de la « Main » en misant sur le raffinement et la sobriété. Le concept d'aménagement urbain a été réalisé en collaboration avec les services municipaux, les arrondissements et la firme Schème, spécialisée en aménagement urbain et paysager et en architecture. Pour Mme Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, le boulevard Saint-Laurent constitue le cœur de la Ville de Montréal. «J'ai souvent dit que le boulevard Saint-Laurent nous ressemble et nous rassemble. Il a été la voie d'accès de l'immigration et il demeure le lieu de convergence de plusieurs des cultures qui sont venues se greffer aux cultures francophone et anglophone pour façonner Montréal. Le plan de réaménagement annoncé aujourd'hui constitue plus qu'un symbole de ce que doit être et de ce que sera le Montréal de demain. Il éclate la frontière de jadis pour faire place à un axe de convergence des nouvelles valeurs qui doivent guider le développement harmonieux et durable de notre cité. C'est, bien sûr, un excellent projet pour le Plateau, mais c'est aussi un projet majeur pour Montréal», a declaré Mme. Fotopulos. Avec ses conseillers Isabel Dos Santos et Michel Prescott, elle convie les riverains, les citoyens de l'arrondissement et les montréalais intéressés, à une séance publique d'informations au Centre Ex-Centris, le jeudi 12 octobre prochain à 18h où le projet sera expliqué en détails. Source : Cabinet du maire et du comité exécutif
  15. EXCLUSIF - Le Baron Sports du centre-ville fermera ses portes Écrit par Marie-Eve Fournier RueFrontenac.com Vendredi, 28 mai 2010 Le tout premier magasin Baron Sports, logé dans l’édifice historique Rodier rue Notre-Dame Ouest, fermera ses portes en novembre prochain. Rue Frontenac a appris que le bail ne sera pas renouvelé et que l’édifice est maintenant à vendre. Le commerce spécialisé dans la chasse et la pêche était ouvert depuis plus de 40 ans, peut-être même 50, selon le propriétaire du magasin et l’agent d’immeubles chargé de la vente, qui ne pouvaient être plus précis. «Nous avons ouvert un magasin Sail au Quartier Dix30 (à la fin de 2009) et cela a eu un impact sur les ventes du magasin Baron Sports au centre-ville», explique Dale Tschritter, vice-président opérations des magasins SAIL et Baron Sports. Rappelons que c’est au début de 2006 que le groupe d’investisseurs derrière Baron Sports a mis la main sur SAIL. Les cinq employés à temps plein et la quinzaine d’autres à temps partiel se feront tous offrir un travail dans un magasin Sail, promet le dirigeant. Le magasin du centre-ville est populaire auprès des travailleurs du quartier qui viennent y faire des achats sur leur heure de dîner. Il attire aussi une toute autre clientèle: les touristes français, particulièrement friands des véritables chemises à carreaux canadiennes et, plus récemment, des populaires manteaux Canada Goose, raconte une ex-employée. Des autobus de touristes font même des arrêts au magasin. La présence de Baron Sports dans Le Routard pendant des années aurait fortement contribué à la notoriété du commerce auprès des résidants de l’Hexagone. Un des rares édifices en triangle de la ville La vente de l’immeuble, qui appartient encore à la famille Baron – via une société d’investissement appelée Jumiel – a été confiée à l’agent Mitchell Ettinger, de La Capitale Alliance-Commercial. Le terrain est évalué à 144 700$ et le bâtiment à 675 100$. «On est en train de regarder pour fixer le prix de vente», a-t-il indiqué en précisant que l’inscription serait relancée après avoir été retirée en raison d’une offre qui n’a toutefois pas abouti. Selon M. Ettinger, le zonage permet autant une utilisation commerciale que résidentielle de l’immeuble. Son utilisation éventuelle demeure donc inconnue pour le moment. Nuls travaux majeurs ne seraient nécessaires. Chose certaine, l’édifice Rodier fait partie du patrimoine de Montréal. Construit en 1875 et possédant une ossature en fonte, il s’agit de l’un des rares immeubles triangulaires de la ville. À Toronto, on retrouve un édifice semblable, le Gooderham Building (1892), sur la rue Front. Ouverture de deux nouveaux magasins Par ailleurs, SAIL Baron s’apprête à ouvrir deux nouveaux magasins SAIL, l’un à Ottawa en décembre prochain et un autre sur l’île de Montréal «d’ici 18 ou 24 mois». La bannière SAIL ne compte encore aucun de point de vente sur l’île. Le Plateau et le quartier Rosemont seraient envisagés. «Nous sommes à la merci des développeurs», dit Dale Tschritter, tout en précisant que des négociations sont en cours concernant quelques emplacements possibles. Le concept SAIL (quatre magasins) requiert entre 65 000 et 70 000 pi2, tandis que celui de Baron Sport se déploie sur 10 000 pi2. La multiplication des SAIL et la fermeture de l’un des trois Baron Sports ne signifie pas que le nom Baron va être abandonné, assure Dale Tschritter. «Nous mettons l’accent sur SAIL, mais Baron est un bon nom, un bon concept pour les plus petits marchés.» http://ruefrontenac.com/affaires/23344/23344
  16. Salut à tous, J'aimerais avoir votre opinion sur une idée que j'ai eu aujourd'hui. Outre vos commentaires sur l'idée elle-même, j'aimerais surtout avoir des suggestions quant à la stratégie à adopter afin de faire réaliser un tel projet (qui contacter, comment s'y prendre, etc.). Merci! --- Avec le développement du Quartier des Spectacles, et avec le Village gay et le secteur commercial le plus dense au Canada, la rue Ste-Catherine est certainement l'une des artères les plus intéressantes en Amérique du Nord. Elle pourrait peut-être même être considérée comme l'une des meilleures au monde... si ce n'était de ce no man's land, ce secteur dénué d'âme qui se siue entre Berri et St-Laurent, soit entre le Village et le Quartier des Spectacles. J'ai pensé à un concept de développement pour ce secteur, afin de le rendre attrayant. Il s'agirait d'un secteur de transition entre le Village et le QdS, qui aurait néanmoins une identité propre. Le concept que j'ai en tête est le suivant: le secteur serait divisé en trois zones/tronçons (voir le 2e fichier joint) ayant chacun un thème particulier. La première zone, qui ferait la transition avec le QdS, aurait pour thème l'ART; la deuxième, faisant échos aux édifices de l'UQÀM, aurait pour thème le SAVOIR; et la troisième, faisant la transition avec le Quartier Gai, aurait pour thème la DIVERSITÉ. Deux éléments permettraient de reconnaître l'identité de chaque zone. D'abord, la pièce maîtresse de mon concept: d'un bout à l'autre de ce secteur, il y aurait un mince ilôt au centre de la rue Ste-Catherine (entre les deux voies), où une structure permettrait d'afficher des oeuvres de grande taille (photos, tableaux, etc.). Les passants pourraient admirer les oeuvres des deux côtés de la rue. Dans la zone ART, on retrouverait sur l'îlot des oeuvres artistiques ; dans la zone DIVERSITÉ, on retrouverait des oeuvres illustrant la diversité humaine.... vous saisissez le concept. Les oeuvres présentées seraient des expositions temporaires, pouvant être renouvellées sur une base plus ou moins régulière. Bref, les touristes visiteraient ce secteur afin d'y découvrir les différentes expositions. En plus d'être un lieu de transition entre deux quartiers, ce secteur deviendrait une destination en elle-même. Le deuxième élément consisterait en la construction de grandes arches à l'entrée de chacune des trois zones. Ces arches seraient des portes d'entrée permettant d'identifer la saveur thématique de la zone dans laquelle le passant est sur le point de pénétrer. Outre ces deux éléments principaux, on pourrait réaménager le parterre à la manière du Quartier des Spectacles, planter des arbres, proposer un mobilier urbain audacieux, etc. Je crois que toutes ces modifications permettraient de transformer un secteur sans saveur en une destination touristique d'envergure, et de faire de la rue Ste-Catherine une artère capable de rivaliser avec la Rambla de Barcelone et les autres artères majestueuses à travers la planète. Qu'en pensez-vous? Le Philosophe
  17. Dévoilement du concept d'aménagement de la rue Chabanel et prolongement de la rue Jean-Pratt Des investissements de 19,3 M$ pour la revitalisation de l'Acadie-Chabanel Montréal, le 6 août 2008 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, accompagné de M. Alan DeSousa, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025 au comité exécutif, et de Mme Marie-Andrée Beaudoin, mairesse de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville et responsable du développement social et communautaire au comité exécutif, a annoncé des investissements de 19,3 M$ pour la revitalisation du secteur l'Acadie-Chabanel. De cette somme, un montant de 17 M$ servira à réaménager la rue Chabanel et un montant de 2,3 M$, à prolonger la rue Jean-Pratt où les travaux ont, d'ailleurs, débuté à la fin juillet. « En 2005, nous nous étions engagés à consentir des investissements majeurs pour la revitalisation du secteur l'Acadie-Chabanel. Cette dernière étape finalise un projet qui permettra entre autres d'améliorer l'attractivité de cette artère importante. Déjà les projets d'investissements privés dans le secteur sont estimés à 250 M$, voilà des retombées concrètes », a déclaré M. Tremblay. « Ce secteur offre un important potentiel de développement grâce, notamment, au fort gabarit des immeubles dont la superficie de plancher atteint les dix millions de pieds carrés. D'ailleurs, l'Acadie-Chabanel représente un pôle de développement dont la portée dépasse largement l'arrondissement. C'est pourquoi nous avons identifié ce quartier comme prioritaire dans notre stratégie de développement économique », a ajouté M. DeSousa. Le réaménagement de la rue Chabanel, entre le boulevard Saint-Laurent et la rue Meilleur, vise à transformer la rue pour y créer un véritable milieu de vie. Ainsi, le concept d'aménagement retenu permet d'améliorer la sécurité et le confort des piétons, de rehausser la qualité des aménagements du domaine public, d'offrir un cadre vert et durable par un reverdissement important, de favoriser la présence des transports actifs et de donner une identité propre à la rue Chabanel. Les travaux de prolongement de la rue Jean-Pratt, entre les rues Chabanel et Beauharnois, offriront, de plus, un meilleur accès aux nouveaux immeubles qui y ont été construits récemment. « Ces travaux permettront d'améliorer considérablement le cadre de vie du quartier conformément aux préoccupations des résidants et des commerçants que nous avons consultés à plusieurs reprises. Et nous avons la ferme intention de les tenir informés de l'avancement des travaux et d'être à l'écoute de leurs besoins afin de minimiser les impacts sur leur quotidien », a noté Mme Beaudoin. Le concept d'aménagement de la rue Chabanel a été développé par un consortium composé de la firme Affleck + de la Riva architectes, de Version & Vlan paysages et d'Éclairagepublic à la suite d'un appel de propositions. Adopté en 2005, le plan d'action Réussir l'Acadie-Chabanel comportait cinq volets, soit l'implantation de la gare Chabanel, inaugurée en janvier 2007, la mise en place d'initiatives économiques structurantes, la création d'un partenariat de gens d'affaires, mis sur pied en mars 2007, la planification détaillée du secteur, approuvée en octobre 2006, et la création d'un programme d'aide aux propriétaires d'immeubles à grand gabarit, en vigueur depuis le début de l'année. Arrondissement Ahuntsic-Cartierville / Montréal, QC Portes Ouvertes Réaménagement de la rue Chabanel 29 mai 2008 Les dessins préliminaires du réaménagement de la rue Chabanel - un projet réalisé par Affleck + de la Riva en collaboration avec Version/Vlan Paysages, Éclairage Public et l'agence de signalisation IF - seront presentés au public lors de l'événement des Portes Ouvertes du bureau de l'arrondissement Ahuntsic-Cartiervlle au 555 Chabanel Ouest, 6é étage.
  18. The New York Times July 15, 2008 Country, the City Version: By BINA VENKATARAMAN What if “eating local” in Shanghai or New York meant getting your fresh produce from five blocks away? And what if skyscrapers grew off the grid, as verdant, self-sustaining towers where city slickers cultivated their own food? Dickson Despommier, a professor of public health at Columbia University, hopes to make these zucchini-in-the-sky visions a reality. Dr. Despommier’s pet project is the “vertical farm,” a concept he created in 1999 with graduate students in his class on medical ecology, the study of how the environment and human health interact. The idea, which has captured the imagination of several architects in the United States and Europe in the past several years, just caught the eye of another big city dreamer: Scott M. Stringer, the Manhattan borough president. When Mr. Stringer heard about the concept in June, he said he immediately pictured a “food farm” addition to the New York City skyline. “Obviously we don’t have vast amounts of vacant land,” he said in a phone interview. “But the sky is the limit in Manhattan.” Mr. Stringer’s office is “sketching out what it would take to pilot a vertical farm,” and plans to pitch a feasibility study to the mayor’s office within the next couple of months, he said. “I think we can really do this,” he added. “We could get the funding.” Dr. Despommier estimates that it would cost $20 million to $30 million to make a prototype of a vertical farm, but hundreds of millions to build one of the 30-story towers that he suggests could feed 50,000 people. “I’m viewed as kind of an outlier because it’s kind of a crazy idea,” Dr. Despommier, 68, said with a chuckle. “You’d think these are mythological creatures.” Dr. Despommier, whose name in French means “of the apple trees,” has been spreading the seeds of his radical idea in lectures and through his Web site. He says his ideas are supported by hydroponic vegetable research done by NASA and are made more feasible by the potential to use sun, wind and wastewater as energy sources. Several observers have said Dr. Despommier’s sky-high dreams need to be brought down to earth. “Why does it have to be 30 stories?” said Jerry Kaufman, professor emeritus of urban and regional planning at the University of Wisconsin, Madison. “Why can’t it be six stories? There’s some exciting potential in the concept, but I think he overstates what can be done.” Armando Carbonell, chairman of the department of planning and urban form at the Lincoln Institute of Land Policy in Cambridge, Mass., called the idea “very provocative.” But it requires a rigorous economic analysis, he added. “Would a tomato in lower Manhattan be able to outbid an investment banker for space in a high-rise? My bet is that the investment banker will pay more.” Mr. Carbonell questions if a vertical farm could deliver the energy savings its supporters promise. “There’s embodied energy in the concrete and steel and in construction,” he said, adding that the price of land in the city would still outweigh any savings from not having to transport food from afar. “I believe that this general relationship is going to hold, even as transportation costs go up and carbon costs get incorporated into the economic system.” Some criticism is quite helpful. Stephen Colbert jokingly asserted that vertical farming was elitist when Dr. Despommier appeared in June on “The Colbert Report,” a visit that led to a jump in hits to the project’s Web site from an average of 400 daily to 400,000 the day after the show. Dr. Despommier agrees that more research is needed, and calls the energy calculations his students made for the farms, which would rely solely on alternative energy, “a little bit too optimistic.” He added, “I’m a biologist swimming in very deep water right now.” “If I were to set myself as a certifier of vertical farms, I would begin with security,” he said. “How do you keep insects and bacteria from invading your crops?” He says growing food in climate-controlled skyscrapers would also protect against hail and other weather-related hazards, ensuring a higher quality food supply for a city, without pesticides or chemical fertilizers. Architects’ renderings of vertical farms — hybrids of the Hanging Gardens of Babylon and Biosphere 2 with SimCity appeal — seem to be stirring interest. “It also has to be stunning in terms of the architecture, because it needs to work in terms of social marketing,” Dr. Despommier said. “You want people to say, ‘I want that in my backyard.’ ” Augustin Rosenstiehl, a French architect who worked with Dr. Despommier to design a template “living tower,” said he thought that any vertical farm proposal needed to be adapted to a specific place. Mr. Rosenstiehl, principal architect for Atelier SOA in Paris, said: “We cannot do a project without knowing where and why and what we are going to cultivate. For example, in Paris, if you grow some wheat, it’s stupid because we have big fields all around the city and lots of wheat and it’s good wheat. There’s no reason to build towers that are very expensive.” Despite its potential problems, the idea of bringing food closer to the city is gaining traction among pragmatists and dreamers alike. A smaller-scale design of a vertical farm for downtown Seattle won a regional green building contest in 2007 and has piqued the interest of officials in Portland, Ore. The building, a Center for Urban Agriculture designed by architects at Mithun, would supply about a third of the food needed for the 400 people who would live there. In June at P.S.1 Contemporary Arts Center in Queens, a husband-wife architect team built a solar-powered outdoor farm out of stacked rows of cardboard tube planters — one that would not meet Dr. Despommier’s security requirements — with chicken coops for egg collection and an array of fruits and vegetables. For Dr. Despommier, the high-rise version is on the horizon. “It’s very idealistic and ivory tower and all of that,” he said. “But there’s a real desire to make this happen.” ---------------- Peut-être pour Dubai en premier? Et le silo no.5, un de ses jours?
  19. jesseps

    VBS.tv - Close Up

    Close Up on [FURNI] VBS.tv did a small video interview on Mike Giles of Furni. He does a lot of wood work. I had a chance to work at Furni for a day and use the laser cutter. Seeing he is good friends with the person I am doing my internship with. Blog So if your in the mood, buy one of their clocks for yourself or a present for someone Please check him out. INSIDER INFO: He is also working on Hi-Fi headphones. It is a concept form at the moment. I will tell you more or post pictures when I see the finish product. All I can say, the idea will be similar to GRADO's GS1000i but far less expensive.
  20. international _05.08.09 Allemagne: le mur d'un musée prend vie 555 KUBIK | facade projection | from urbanscreen on Vimeo. Les projections sur bâtiment sont de plus en plus nombreuses et impressionnantes; ici, une animation donne vie à la façade du musée Kunsthalle à Hambourg. Réalisée par le studio Urbanscreen, en collaboration avec le designer graphique Daniel Rossa, elle joue avec l'architecture et la géométrie. Elle répond à l'énoncé "How it would be, if a house was dreaming". Pour plus d'info sur le concept, cliquez ici. - Mélanie Rudel-Tessier - Grafika
  21. Pour appuyer les publicitaires d'ici Le maire de Montréal en mission à Chicago La Presse Canadienne Lia Lévesque 19/11/2009 15h42 - Mise à jour 19/11/2009 15h54 Pendant que le maire de Québec est critiqué pour avoir eu recours à un publicitaire français pour renouveler l'image de sa ville, le maire de Montréal Gérald Tremblay se trouve à Chicago pour appuyer les agences de publicité d'ici. L'Association des agences de publicité du Québec a ainsi décidé de promouvoir les agences d'ici en faisant du démarchage auprès des grands annonceurs des États-Unis. Et le maire de Montréal a tenu à les épauler en se rendant à leurs côtés à Chicago pour promouvoir ce qu'il a décrit, en entrevue, comme «une grappe industrielle» de la publicité. Le milieu québécois de la publicité veut notamment faire connaître aux annonceurs américains le concept YUL-LAB, qui permet aux annonceurs étrangers de concevoir, développer et tester ici des campagnes de publicité pour tous les types de médias qui peuvent ensuite être exportées. Montréal, grâce à son caractère cosmopolite à la fois français et américain, permet aux publicitaires de tester certains marchés, de segmenter leur publicité. C'est ce que deux grands annonceurs, MasterCard et L'Oréal, ont déjà fait ici, relate le maire Tremblay. «Quand MasterCard a fait sa campagne internationale "priceless; il n'y a pas de prix", ça a été fait à Montréal. L'Oréal veut définir des expériences particulières (en publicité) et il le fait présentement à Montréal. Autrement dit, au lieu de se choisir une publicité de masse en télévision avec 10 millions $, pour espérer conquérir le plus grand nombre de consommateurs possible, l'idée est d'essayer de cibler les consommateurs pour investir moins mais mieux», explique le maire en entrevue. Les quatre agences qui faisaient partie de la délégation à Chicago, aujourd'hui, ont d'ailleurs rencontré de grandes entreprises comme le producteur de gommes à mâcher Wrigley et Harris Bank. Le maire rapporte qu'elles ont été «très intéressées» par le concept. Bixi et autres Le maire Tremblay doit également rencontrer son homologue de Chicago, Richard Daley, afin de tenter de lui vendre le concept des vélos libre-service Bixi. La ville de Chicago est reconnue pour ses toits verts et, suivant la même philosophie, est intéressée à adopter un modèle de vélo libre-service. Montréal courtise donc Chicago avec son modèle Bixi, après avoir déjà réussi à convaincre Londres et Boston. À Chicago, le maire Tremblay veut aussi convaincre l'Alliance des maires des Grands Lacs et du Saint-Laurent d'établir un bureau à Montréal. Il devait également assister en soirée à la première mondiale d'un autre spectacle du Cirque du soleil, Banana Schpeel.
  22. FRED

    Le concept Müvbox

    Au Quai des Éclusiers, dans le Vieux-Port de Montréal (angle McGill et de la Commune) http://www.muvboxconcept.com
  23. Regarder vers devant nous fait du bien. En voici un premier exemple. Trouvé sur le blog de Marc Gauthier http://www.marcgauthier.com/blog_en/category/architecture/ In January of 2008, the History Channel proposed a contest to architects based in Washington, D.C., Atlanta and San Francisco. The purpose: to imagine what their metropolis might look like in 100 years. They had a week to come up with a concept and three hours to build a scale model. San Francisco firm IwamotoScott Architecture won the $10,000 grand prize for its entry. Their concept buried the network of infrastructures to create more surface for buildings. Furthermore, the city’s energy came from algae fields that generate hydrogen. The site of the tv channel has all the information on the contest. The winning firm posted their images on their Flickr account. http://www.history.com/minisites/cityofthefuture
  24. Dragonfly concept aims for ecological self-sufficiency in New York The latest concept design from Vincent Callebaut Architects – the Dragonfly – has been designed with the intention of easing the ever-increasing need for ecological and environmental self-sufficiency in the urban cityscape. The proposed development, designed around the Southern bank of Roosevelt Island in New York, follows a vertical farm design which, it is hoped, would cultivate food, agriculture, farming and renewable energy in an urban setting. The unique 128 floor, 700m concept design is spread over two oblong towers and suggests building a prototype of an urban farm in which a mixed programme of housing, offices, laboratories and farming spaces are vertically laid out over several floors and cultivated by its inhabitants. The architecture of the design proposes reinventing the vertical building, so associated with the New York skyline of the 19th and 20th centuries, both structurally and functionally as well as ecologically. The functional organisation of the design is arranged around two 600m towers, symmetrically arranged around a huge climactic greenhouse that links them, and constructed of glass and steel. This greenhouse, which defines the shape of the design, supports the load of the building and is directly inspired by the structural exoskeleton of dragonfly wings. Two inhabited rings buttress around the ‘wings,’ and along the exterior of these are solar panels, which will provide up to half the buildings electricity, with the rest being supplied by three wind machines along the vertical axes of the building. While most would argue that the unconventional design of Dragonfly would be more suited to Dubailand than New York, the conceptual design tackles the contemporary dilemma of food production and agriculture in a city sorely lacking in the horizontal space required to do so, as well as attempting to achieve this in an ecologically sound and renewable way by merging production and consumption in the heart of the city. John Edwards Reporter http://www.worldarchitecturenews.com/index.php?fuseaction=wanappln.projectview&upload_id=11599
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