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  1. Comme quoi les statistiques peuvent donner de fausses impressions... Entrepreneuriat: les Québécois premiers de classe! http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/entrepreneuriat-les-quebecois-premiers-de-classe-/569451 Publié à 06:02 Par Dominique Froment «Le problème est que l’on compare toujours le Québec avec l’ensemble du Canada. Or, avec leur pétrole, l’Alberta et la Saskatchewan faussent les comparaisons», affirme Étienne St-Jean, titulaire de la Chaire de recherche sur la carrière entrepreneuriale de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). C’est l’explication qu’il donne pour l’excellente performance du Québec qu’il a fait ressortir de l’analyse du plus récent rapport du Global Entrepreneurship Monitor (GEM), une initiative du Babson College et de la London Business School. Ce rapport couvre 70 pays représentant 90 % du PIB mondial. L’analyse a été faite en collaboration avec Diane-Gabrielle Tremblay, professeur titulaire à la TÉLUQ et titulaire de la Chaire de recherche sur les enjeux socio-organisationnels de l'économie du savoir. On peut, en exagérant un peu, conclure de ce rapport que tout ce qui empêche l’entrepreneuriat d’exploser au Québec, c’est la confiance. «Les Québécois s’estiment beaucoup moins compétents pour démarrer une entreprise», peut-on lire dans l’analyse du rapport du GEM que font M. St-Jean et Mme Tremblay dans le bulletin du Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises, une constituante de l'Institut de recherche sur les PME de l’UQTR. «Notre perception de compétence dans le démarrage d’une entreprise est parmi les plus faibles des pays comparables. Le reste du portrait est plutôt encourageant, mais malheureusement, ça peut être un frein important à la création d’entreprises. Il faudrait sérieusement s’y attaquer», croit M. St-Jean, interrogé par LesAffaires.com. Faits saillants Voici les faits saillants, parfois étonnants, de ce rapport du GEM : -La carrière entrepreneuriale est très valorisée au Québec et se démarque largement des économies similaires et du reste du Canada. Les citoyens du Québec estiment que les médias accordent beaucoup d’attention à l’entrepreneuriat; -Les Québécois ont beaucoup moins peur de l’échec que les autres pays comparables et que le RDC (reste du Canada); -L’intention d’entreprendre des citoyens du Québec est de 15,6 %, inférieure au 17,5% du RDC mais supérieure à tous les pays du G8 à l’exception des États-Unis; -Comparativement au RDC, une plus grande proportion d’entrepreneurs du Québec démarre par choix plutôt que par obligation; -Une plus grande proportion d’entrepreneurs québécois que du RDC et de la quasi-totalité des pays comparables se départent de leur entreprise en laissant une entreprise qui poursuit ses activités, par rapport à qui cesse ses activités. «Au niveau des transferts d’entreprises, le Québec semble faire figure d’exception lorsque comparé aux pays dont l’économie est tirée par l’innovation», estime M. St-Jean. -Les jeunes du Québec de 18 à 35 ans perçoivent plus d’occasions d’affaires que dans le RDC. Toutefois, moins de jeunes Québécois semblent passer à l’action; -Les experts au Québec estiment que les normes socioculturelles, l’accès au financement, l’enseignement et la formation en entrepreneuriat, l’ouverture des marchés et les transferts technologiques ne sont pas optimaux; -Par contre, ces mêmes experts pensent que les infrastructures physiques, commerciales et de services, les programmes et les politiques gouvernementales sont plutôt favorables à l’entrepreneuriat; «Ce portrait de la relève entrepreneuriale est très positif pour le Québec, conclut M. St-Jean. Si on exclut l’Alberta et la Saskatchewan et leur pétrole et les États-Unis, où on se lance en affaires beaucoup plus par nécessité que par choix, le Québec tire très bien son épingle du jeu.»
  2. Assurance emploi : les chiffres explosent * Presse Canadienne, * 09:31 Au Québec, le nombre de bénéficiaires ordinaires a augmenté de 7,8% en mars. Le nombre de Canadiens recevant des prestations ordinaires d'assurance-emploi a crû de 10,6 pour cent en mars pour atteindre 681 400. Cette augmentation est la plus forte depuis que le marché du travail a commencé à se détériorer, en octobre, a indiqué Statistique Canada. Le nombre de prestataires ordinaires d'assurance-emploi a grimpé de 36,2 pour cent depuis l'automne dernier. Le nombre de demandes initiales et renouvelées reçues en mars a toutefois diminué de 1,9 pour cent par rapport à février, pour s'établir à 318 900. Malgré tout, le nombre total de demandes reçues en mars était le deuxième en importance depuis que des données comparables sont disponibles, soit 1997. C'est dans l'ouest du pays que la situation s'est le plus détériorée. En Alberta, le nombre de bénéficiaires ordinaires d'assurance-emploi a bondi de 32,1 pour cent en mars, alors qu'il a augmenté de 26,7 pour cent en Colombie-Britannique. Dans les deux cas, il s'agit des hausses mensuelles les plus importantes depuis que des données comparables existent. Le nombre d'Albertains et de Britanno-Colombiens qui reçoivent des prestations d'assurance-emploi a crû respectivement de 131,1 et 80,5 pour cent depuis octobre. Au Québec, le nombre de bénéficiaires ordinaires a augmenté de 7,8 pour cent en mars par rapport au mois précédent. En Ontario, la hausse a été de 9,9 pour cent, alors qu'elle a été de 4,9 pour cent au Nouveau-Brunswick.
  3. Les Fêtes 2008 aux États-Unis, un désastre 8 janvier 2009 - 13h50 Agence France-Presse Ces résultats, portant sur les cinq semaines allant du 1er décembre au 3 janvier, ont surpris par leur faiblesse, dans une atmosphère de récession qui a obligé les magasins à accorder des rabais très tôt dans la saison. Les groupes américains de distribution ont révélé jeudi l'étendue du désastre pour leurs ventes cruciales de la période des fêtes de fin d'année, à l'issue d'un mois de décembre où le consommateur s'est montré très prudent dans ses dépenses. Ces résultats, portant sur les cinq semaines allant du 1er décembre au 3 janvier, ont surpris par leur faiblesse, dans une atmosphère de récession qui a obligé les magasins à accorder des rabais très tôt dans la saison. Les titres du secteur étaient sanctionnés à la Bourse de New York. Les commerces ont également été desservis par une météo défavorable, glaciale dans certaines régions. Dans l'ensemble, le Conseil international des centres commerciaux (ICSC) a indiqué que les ventes des chaînes de magasins aux États-Unis s'étaient contractées de 1,7% à magasins comparables par rapport à un an plus tôt, et de 2,2% pour les deux mois de novembre et décembre. La chaîne de grands magasins Macy's a fait état d'une baisse de ses ventes de 4,7% en décembre par rapport à la même période de l'année précédente, et 4% à magasins comparables. Elle a annoncé la fermeture de 11 magasins, pour un total de 960 emplois. Au magasin amiral new-yorkais de Macy's, sur la 34e rue, qui s'autoproclame «le plus grand magasin du monde», la nouvelle n'a guère surpris. «Ici au stand des cosmétiques, ça marche bien», note un vendeur, «mais je sais que le magasin dans son ensemble ne marche pas aussi fort. Ils ont embauché 5000 personnes pour Noël, ils ne les gardent pas». D'autres distributeurs pourraient suivre et fermer des établissements. «Cela va être affreux. Clairement, c'est dur pour les distributeurs puissants et bien capitalisés. Donc, on peut imaginer ce qui se passe chez les acteurs plus faibles», a souligné une analyste du secteur chez Goldman Sachs, Adrianne Shapira, interrogée sur la chaîne CNBC. Nordstrom, autre enseigne de grands magasins, a fait mieux que ce qu'il attendait, mais il s'agit d'une baisse de 8%, et 10,6% à magasins comparables. De même que JCPenney (-6,8%, -8,1% à magasins comparables), qui partait aussi avec des prévisions très pessimistes. Le groupe Sears (-7,3% à magasins comparables) relève les performances contrastées de sa propre enseigne, de moyenne gamme (-12,8%), et de sa filiale Kmart, moins chère (-1,1%). L'habillement a été un secteur à la peine. En témoignent les mauvaises performances de Gap (-12%, et -14% à magasins comparables), Abercrombie & Fitch (-18%, et -24% à magasins comparables) ou American Eagle Outfitters (-10%, et -17% à magasins comparables). American Apparel (+10%, et +3% à magasins comparables) fait exception en bénéficiant d'un effet de mode: il mise sur le «made in USA». Dans le luxe, la fin d'année a été terrible. Saks, qui déplore que «les consommateurs (aient) continué à reporter leurs achats des prix d'origine vers les promotions et soldes», a vu ses ventes chuter de 18,9% (-19,8% à magasins comparables). Le chiffre d'affaires de Neiman Marcus a plongé de 26,4% (-27,5% à périmètre comparable). Les gagnants de ces fêtes ont été les enseignes pratiquant les plus bas prix, avec en tête Wal-Mart dont les ventes (hors essence) ont progressé de 4,3% (1,9% à périmètre comparable). Mais le numéro un mondial fait moins bien que prévu et a dû revoir à la baisse ses prévisions de résultats trimestriels. Parmi ceux qui profitent de la chasse aux bonnes affaires figurent également Ross (+6%), Kohl's (+3,6%) ou Target (+0,2%).
  4. Les ventes des magasins comparables du géant aux États-Unis ont augmenté de 3,4% le mois dernier, pour atteindre 32,21 G$ US. Pour en lire plus...
  5. Les titres provinciaux ont connu une semaine de grands mouvements sur le marché obligataire canadien. Du 30 octobre au 6 novembre, les obligations provinciales de 10 ans ont donné un rendement total de 224 points de base, contre seulement huit pour les titres comparables du gouvernement fédéral. Pour en lire plus...
  6. Les Américains ont déserté les grands magasins 6 novembre 2008 - 13h25 Agence France-Presse Les chaînes d'habillement de moyenne gamme, comme Gap et Abercrombie & Fitch, souffrent également, avec des ventes, à nombre de magasins comparables, en chute de 16% et de 20% respectivement. Les groupes de distribution ont annoncé jeudi un effondrement de leurs ventes en octobre aux États-Unis, attestant que la crise frappe maintenant les Américains au portefeuille, mais le spécialiste des prix bas, Wal-Mart, fait toujours preuve d'une bonne résistance. Alors qu'il tablait sur une stabilité des ventes, le Conseil international des centres commerciaux (ICSC) a estimé que l'activité des chaînes de magasins avait plongé de 0,9% en octobre, après une croissance de 1,7% en septembre. Maintenant qu'ils n'ont plus l'aide des chèques de remises d'impôts distribués au printemps par le gouvernement, «les consommateurs n'ont tout simplement plus l'argent pour dépenser de manière poussée», résume Andrew Gledhill, analyste du cabinet d'études économiques Moody's economy.com. Si la rechute des prix de l'essence a été un soulagement pour les finances des Américains, le risque d'une récession économique prolongée les dissuade de pousser les portes des grands centres. «L'environnement de la vente au détail en octobre a été tout simplement affreux, avec un degré élevé d'incertitude sur les marchés financiers. Les consommateurs ont repoussé toute dépense non nécessaire, ce qui a abouti à des ventes extrêmement faibles en octobre», commente Michael Niemira, chef économiste de l'ICSC. Les familles coupent clairement dans leurs budgets vêtements et accessoires, frappant en premier lieu les grands magasins. À surfaces de ventes comparables, les ventes de Macy's ont fondu de 6,3% sur le mois d'octobre et celles de JCPenney de 13%. Le recul est encore plus flagrant pour la chaîne haut de gamme Saks, qui a connu une contraction de 16,6% de ses ventes. Les chaînes d'habillement de moyenne gamme, comme Gap et Abercrombie & Fitch, souffrent également, avec des ventes, à nombre de magasins comparables, en chute de 16% et de 20% respectivement. Cela laisse augurer de nouveaux chiffres médiocres pour les dépenses de consommation des ménages aux États-Unis, après un recul de 0,3% en septembre. D'autant plus que la confiance des consommateurs s'est effondrée à un niveau jamais vu. Mais surtout, la période phare des fêtes de fin d'année, dont la réussite donne le ton de l'ensemble de l'exercice pour les distributeurs, s'approche sous de mauvais auspices. «La saison des fêtes s'annonce faible, ce qui pourrait mettre une pression supplémentaire non seulement sur les détaillants haut de gamme, mais aussi sur certains fabricants et fournisseurs», prévient Frederic Dickson, analyste de DA Davidson. L'ICSC table pour l'instant sur une croissance très faible, de 1%, en novembre et décembre. «Le seul point positif c'est Wal-Mart, mais cela indique seulement qu'un consommateur à sec se tourne, pour l'ensemble de ses besoins, vers le magasin qui fait des remises», souligne Jon Ogg, analyste du site d'informations financières 247wallst.com. Pour les chaînes spécialisées dans les prix bas, les difficultés d'une grande partie de la population sont l'occasion d'attirer de nouveaux clients. Ainsi, le géant de l'hypermarché, Wal-Mart, dont les ventes ont progressé à contre-courant du reste du secteur, a annoncé de nouvelles réductions de prix à l'approche de Noël. Mais le tableau reste tout de même en demi-teinte, avec une hausse restreinte de son activité de 2,4%, à magasins comparables et hors essence, en octobre, exactement comme en septembre. Ses concurrents Target et Costco, également présent sur le créneau des produits discount, ont de leur côté tout juste réussi à limiter le repli de leurs ventes à -4,8% et à -1%. Un tel niveau de vente est «très décevant» et cela devrait «continuer pendant la saison des fêtes et au-delà», ne se fait guère d'illusions le PDG de Target, Gregg Steinhafel.
  7. L'offensive pub de la multinationale a porté fruit: la croissance mondiale par magasins comparables a grimpé de 8,5% en août dernier. Pour en lire plus...
  8. La compagnie annonce que ses ventes ont augmenté de 3% au sein des magasins comparables aux États-Unis en août, soit autant que le mois précédent. Pour en lire plus...
  9. Le détaillant empoche un gain de 61,1 M$ ou 56 cents par action au deuxième trimestre et les ventes des magasins comparables ont augmenté de 1,8%. Pour en lire plus...
  10. L'économie tourne au ralentit et les ventes comparables baissent un peu, mais ça n'empêche pas la chaîne d'enregistrer des profits plus importants que prévu au deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  11. Le premier distributeur mondial enregistre une hausse de 3% en juillet au sein de ses magasins comparables, si l'on exclut l'essence. Pour en lire plus...
  12. Le distributeur américain Wal-Mart a annoncé jeudi que ses ventes en mai avaient augmenté de 3,9% à magasins comparables (hors essence). Pour en lire plus...
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