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  1. Des fois, je RdQ me fait tellement chier!! Remarquez bien, ironiquement, l'endroit où une Torontoise affirme que l'indépendance du Québec serait mieux pour Mtl! Food for thought..... http://www.ledevoir.com/politique/quebec/358919/montreal-un-probleme-qu-on-ne-veut-pas-voir
  2. J'ouvre ici un fil afin de trouver des idées pour stimuler l'offre touristique de la ville tout en reconnaissant l'apport des communautés culturelles à notre société. C'est à dire que je crois fortement qu'il est temps pour Montréal de jouer la carte de la diversité culturelle. Non seulement en reconnaissant l'apport des différentes communautés pour la ville mais en favorisant le développement des quartiers dit ''ethniques'' pour en faire des destinations touristiques incontournables. Montréal possède déjà des quartiers de ce genre mais il manque un gros ''wow'' à ces endroits pour que les bus de touristes fassent le détour ou que les banlieusards décident de descendre en ville pour y passer une après-midi. L'une de mes activités préférées est justement de me balader dans les quartiers ''ethniques'' pour y passer une heure ou deux, y manger, y prendre un café ou simplement de les faire visiter à des gens de l'extérieur, des touristes etc. C'est d'ailleurs l'une des première chose que je fais lorsque je visite d'autres villes. Je sais qu'il y a des aménagements dans le quartier chinois en ce moment mais je ne crois pas que ce sera assez. C'est à dire que c'est la densité qui est le moteur du succès et on aura beau rendre l'endroit plus beau, s'il n'y a pas plus de monde alors ca ne changera pas grand chose. Plus de monde emmène plus de commerce et cela emmène plus d'activité de toute sorte. C'est une simple question de mathématique. Donc comme je dis souvent, il y a 3 façons de rendre un quartier plus dynamique: Densité, densité et densité ! J'envoie une lettre à Tourisme Montréal ainsi qu'à la ville mais je souhaite récupérer d'autres idées novatrices pour pouvoir inciter les dites communautés à participer davantage mais aussi la ville et les arrondissements. Et je ne parle pas ici de façon financière car la ville ne peut pas et ne dois pas continuellement injecter des sommes mais elle peut jouer un rôle de rassembleur, changer quelques règlements, faire la promotion des idées et éventuellement des quartiers.
  3. Tres intéressant. À Concordia, en français et organisé par L'Association francophone pour le savoir (l'Acfas)! http://www.acfas.ca/evenements/congres/programme/82/600/616/c
  4. La deuxième plus importante firme de télécommunications du Canada, Telus (TSX:T), dépensera 840 millions de dollars au Québec au cours des trois prochaines années. Cet investissement appuiera notamment la poursuite du déploiement des infrastructures mobiles 4G LTE dans diverses régions, le prolongement des réseaux sans fil et filaire dans les communautés éloignées du Québec et la construction d'un centre de données Internet intelligent à Rimouski. Les investissements de Telus pendant cette période totaliseront 440 millions de dollars dans la région de Montréal. Ils permettront notamment d'étendre la portée des infrastructures mobiles 4G LTE à un plus vaste territoire de la région métropolitaine. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2012/06/04/004-investissement-telus-quebec.shtml
  5. La mondialisation est un énorme rouleau compresseur qui uniformise les villes de la planète. Partout, les mêmes McDo, Starbucks et chaînes hôtelières. Et pourtant, ce qui rend les villes intéressantes et attrayantes, c’est leur singularité, leurs différences, leur identité… C’est ce que nous rappelle de façon magistrale Daniel A. Bell, professeur de philosophie mondialement reconnue rattaché à l’Université Tsinghua de Beijing, dans son dernier livre The Spirit of Cities : Why the Identity of a City Matters in a Global Age. Cosigné avec le professeur Avner de-Shalit, cet ouvrage est un tour du monde des identités, en neuf villes bien circonscrites : Jérusalem et la religion, Paris et le romantisme, Berlin et la tolérance, New York et l’ambition… Montréal et ses deux langues! danielbellClichés, tout ça? Au contraire, il s’agit chaque fois d’une incursion en profondeur dans ce qui définit véritablement ces villes. Une véritable psychothérapie, en fait, réalisée par deux auteurs qui ont foulé les lieux dont ils parlent (en soi, c’est déjà beaucoup…). Les 21 pages sur Montréal sont un pur délice. Parce que Bell est né à Montréal et connaît très bien cette ville, mais surtout parce qu’il l’aime, parce qu’il l’a percée, parce qu’il l’a comprise dans ses plus intimes détails historiques et complexités culturelles. Ce qu’il doit fort probablement à la distance qu’il entretient aujourd’hui avec Montréal. Sa conclusion : la métropole québécoise est riche de ses deux communautés linguistiques qui forment, ensemble, son identité… Ce propos en fera probablement sursauter plusieurs pour qui cette dualité est plutôt une menace. Mais au contraire, il s’agit d’un atout qui, aujourd’hui, mérite d’être célébré, comme le souligne Bell avec justesse. Le français, langue officielle au Québec autant que dans sa métropole, est certes menacé par l’anglais dans certaines institutions. Les raisons sociales des entreprises constituent un réel problème. Et la vigilance est plus que nécessaire pour éviter des dérapages comme ceux de la Caisse et du CHUM. Mais rien de tout cela n’a à voir avec la cohabitation des Francos-Montréalais et des Anglos-Montréalais, sur laquelle s’est fondé Montréal à travers le temps. Rien de tout cela ne mine les relations harmonieuses qu’entretiennent généralement les deux communautés linguistiques. Rien de tout cela ne fait de «nos» Anglos une menace au français, peu importe s’ils regardent ou pas «notre» télé et «notre» cinéma. Et rien de tout cela n’efface les énormes progrès qu’ont accompli, de gré ou de force, les anglophones au cours des années. Bell rappelle qu’une majorité d’entre eux parlent français, alors qu’ils étaient à peine 3% à en faire autant en 1956… Aujourd’hui, ajoute-t-il, les francophones aisés sont attirés par NDG, les Anglos progressistes se font une fierté d’habiter le Plateau et les deux communautés sont de plus en plus interreliées. Phénomène, d’ailleurs, que soulignait L’actualité récemment : 80 % des Anglos se disent suffisamment bilingues pour soutenir une conversation en français, 83% veulent que leurs enfants soient bilingues et presque la moitié des Anglos choisissent un partenaire chez les Francos… «Bref, souligne Bell, les guerres de langues ont laissé place à des attitudes beaucoup plus relaxes (…) Il y a toujours certaines tensions, mais les relations entre les communautés francophone et anglophone n’ont jamais été aussi naturelles qu’aujourd’hui.» Un fait qu’il est important de se faire rappeler au moment où l’on sent croître certaines inquiétudes linguistiques. http://blogues.cyberpresse.ca/avenirmtl/2012/04/13/l%E2%80%99identite-de-montreal-ses-deux-langues%E2%80%A6/
  6. B2B Montréal 2012 Ce forum d’affaires international, spécialement conçu pour les PME, est un investissement offrant un excellent rapport qualité-prix pour le développement de votre entreprise. Se déroulant sur deux jours, vous pourrez obtenir jusqu’à 14 rendez-vous de 30 minutes avec des entreprises votre choix. De plus, le Plan Nord s’invite à B2B Montréal 2012; les enterprises participantes pourront créer des partenariats avec des entreprises, municipalités et communautés œuvrant sur le territoire du Plan Nord et plus particulièrement celles de la Nation Crie. Bénéficiant de l’expertise et de l’expérience unique de Futurallia, ce forum de jumelage d’entreprises donne lieu à des échanges fructueux qui débouchent inévitablement sur des opportunités d’affaires. http://www.b2bmontreal2012.com/fr/index.php
  7. Comme prévu dans son dernier budget, le gouvernement Charest investit dans les villages en difficulté et branche les communautés rurales à la haute vitesse. Pour en lire plus...
  8. Les oubliés de la fête André Pratte La Presse Au cours des festivités des derniers jours, on a beaucoup parlé des 400 ans de présence française en Amérique. C’est à juste titre qu’on célèbre cette survivance qui relève du miracle. Malheureusement, depuis que la Saint-Jean-Baptiste est devenue la Fête nationale des Québécois, on oublie trop souvent de souligner la contribution de ceux qui fêtent encore la Saint-Jean, qu’ils se trouvent à Saint-Boniface, à Sudbury ou à Moncton. La comédienne Guylaine Tremblay a livré lundi soir, à Québec, un vibrant plaidoyer en faveur de la «lutte» pour la langue française. Dans cette tâche, les Québécois peuvent compter sur leur majorité en territoire québécois et sur leur État. Les francophones du reste du Canada n’ont pas ces avantages. Pour continuer à vivre en français, ils doivent vraiment s’échiner. Partout, sauf au Nouveau-Brunswick, leur petit nombre les place dans une situation très difficile. Pensons aux 59 000 francophones de la Colombie-Britannique (1,4% de la population de la province, aux 65 000 francophones de l’Alberta (2% de la population). Une forte proportion d’entre eux parlent surtout l’anglais aujourd’hui, ce qui a fait conclure à bien des Québécois que leur assimilation était inéluctable. Pourtant, d’un bout à l’autre du pays, on trouve des communautés francophones vibrantes, des gens qui s’obstinent à bâtir des institutions, à défendre leurs droits, à accroître la qualité des services en français, à publier des livres... Leur combat pour la survie du français est-il moins noble, moins important que le nôtre? Depuis le plan d’action pour les langues officielles lancé par Stéphane Dion en 2003 et récemment renouvelé par le gouvernement Harper, les minorités francophones reçoivent un appui important du gouvernement fédéral. Le gouvernement du Québec, sous le leadership de Benoît Pelletier, s’intéresse plus que jamais au sort de ces communautés ; entre autres initiatives, des ententes de collaboration ont été conclues avec plusieurs provinces et un Centre de la francophonie des Amériques a été mis sur pied. De telles initiatives devront être renforcées et se poursuivre à long terme, quels que soient les partis au pouvoir à Ottawa et à Québec. À compter de la Fête nationale des Québécois de 2009, on devrait faire une place particulière aux autres Canadiens de langue française. Car qu’ils soient Acadiens, Franco-Manitobains ou Fransaskois, tous les parents qui transmettent à leurs enfants la connaissance et l’amour du français poursuivent, comme nous, l’oeuvre entreprise il y a 400 ans par Samuel de Champlain. http://www.cyberpresse.ca/article/20080625/CPOPINIONS05/80624167/6730/CPACTUALITES
  9. Québec réserve au total 500mégawatts pour les projets issus des communautés autochtones et ceux impliquant des municipalités. Pour en lire plus...
  10. La Presse Le vendredi 09 novembre 2007 À l'instar de la relève artistique qui demande un meilleur financement et accompagnement, le Conseil interculturel de Montréal (CIM) croit que la Ville doit s'intéresser davantage aux artistes issus des communautés culturelles. Dans une métropole où près de 40 % de la population est d'origine autre que française ou anglaise, le président de cet organisme aviseur, Frantz Benjamin, croit que «les arts et la culture permettent de favoriser les rapprochements» à l'heure où le débat sur l'identité québécoise fait rage. Faisant écho aux groupes et artistes des communautés culturelle et en vue du Rendez-vous novembre 2007 sur la culture à Montréal, le Conseil recommande donc à la Ville de véritablement procéder à la «reconnaissance» de la diversité culturelle et interculturelle en créant un comité de travail sur le développement des publics, notamment. Il milite aussi faveur de l'établissement d'une Maison des cultures qui ne serait pas un lieu de diffusion, mais plutôt un centre où les artistes et associations pourraient s'établir
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