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  1. Il me semble qu'on avait également ce projet sur le forum, mais je suis incapable de le retrouver. Coin Wolf et Robin Condo neuf à vendre à Ville Marie, Montréal, Québec. Printemps 2012 - En Pré-vente - 1 et 2 chambres Les particularités des condos Ce nouvel immeuble est constitué de 7 unités de logement dont 3 ont un accès direct au niveau du sol les 4 autres unités des étages ont un accès commun intérieur et un accès commun extérieur à l’arrière de l’édifice coté ruelle. Trois espaces de stationnement sont prévus a l’arrière de l’édifice par la ruelle. Autres caractéristiques - Chauffage électrique - Air climatisé central - Très grande fenestration - Insonorisation supérieure - Rangement intérieur et au sous sol - 3 stationnements extérieur - Frais de condos très bas - Plancher de bois franc de qualité - Choix de céramique supérieure
  2. Projet de condominiums situé dans l'arrondissement de Ahuntsic-Cartierville, Montréal Localisation: 12206-12108 rue Lachapelle Ce projet comporte 8 unités de 1 et 2 chambres, dont 3 unités de 2 chambres avec mezzanine et terrasses privées au toit. Situé en plein cœur d’arrondissement Ahuntsic-Cartierville face a un parc, ce secteur vous offre une multitude de services tels que : piste cyclable, boutiques, restaurants, transport en commun, école, hôpital et autres. Réservez dès maintenant et profitez de nos prix de pré-construction incluant climatiseur mural ! Notez que ce projet se qualifie pour le programme de subventions de la Ville de Montréal. http://www.groupecalex.com/index.php?id=68&mod=projets&cat=encours&pId=111
  3. Nom : B-Loft Hauteur : Phase 1 : nouvel édifice ayant 17 unités sur 3 étages — Phase 2 : Conversion de l'Usine B en 55 unités Promoteur : Groupe Dargis Emplacement: 1830, rue Panet, dans le Village Début de construction : 2013 Fin de construction : 2014 (Phase 1), 2015 (Phase 2) Description : Lofts industriels allant de 406 à 1574 pi2 Le nouvel édifice sera construit dans le stationnement Une cour intérieure privée Un stationnement souterrain avec espaces de rangement Un cellier commun avec espaces privatifs Deux terrasses communes sur le toit offrant une vue panoramique sur Montréal (sur 2 niveaux différents) Un chalet urbain et un spa Des unités sur 2 étages, certaines avec une terrasse privée et d'autres avec une cour anglaise Prix : À partir de 186 900$ taxes incluses. Site web : http://www.jesuisloft.com/
  4. L’Ontario veut investir 17,5 milliards de dollars dans le transport en commun dans la région de Toronto : http://www.premier.gov.on.ca/news/Product.asp?ProductID=1383 La Colombie Britannique mets 14 milliards de dollars pour améliorer le transport collectif à Vancouver : http://www.canada.com/vancouversun/news/story.html?id=f3218ef4-c4fb-413f-bebb-cb8fea512570&k=47746 La ville de Montréal prépare un plan d’investissement en transport en commun beaucoup moins ambitieux (et concernant uniquement la ville de Montréal et non pas toute la région): http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=4577,7757563&_dad=portal&_schema=PORTAL Et le gouvernement du Québec dit que ça ne l’intéresse pas! Maudit qu’on est cave au Québec!!!!!!!! :banghead:
  5. Situé dans Ville Émard, au Sud-Ouest de Montréal, Condos Monk propose 31 unités, de 1, 2 et 4 chambres, de 561 à 1377 pieds carrés, dans un bâtiment au design moderne. Se trouvant à quelques pas du canal de Lachine, dans un quartier chaleureux, très diversifié et en plein renouveau, le projet offre un cadre de vie à la fois paisible, facilement accessible en transports en commun et proche des commerces et autres services. Projet admissible au Programme d’accession à la propriété de la ville de Montréal pour les premiers acheteurs. (Subventions de $4,500 à $12,500) Plus d'information à la page: http://www.condosmonk.com
  6. ** Note aux modérateurs: je ne souhaite en aucun cas enfreindre les règles du forum, je partage un évènement que j'organise ici ** Bonjour à tous, Je participe depuis quelques années au forum, que je lis à tous les jours avec beaucoup de plaisir! Je fais partie du comité organisateur du concours d'idées Morphopolis, et nous organisons une édition en 2017 sous le thème du transport en commun à Montréal. Le thème explore toutes les facettes des lieux du transport, de l'échelle de l'objet à la planification générale des modèles de transport à Montréal. La fin des inscription est le vendredi 17 mars @ 23h00, et les prohets doivent être remis le 22 mars. Nous demandons 1 panneau format A2 (orientation portrait, 420mm x 594mm), sous la forme d'image et de croquis. Nous souhaitons surtout dégager des idées, des tendances en aménagement, ou encore des projets audacieux pour redorer l'image du transport en commun. *Tous les détails sont sur notre site morphopolis et sur notre Facebook (Morph.o.polis Montréal).* Nous avons cette année un jury très dynamque, composé de: - François Cardinal, rédacteur en chef de La Presse - Catherine Demers, Architecte Associée, Jodoin Lamarre Pratte Architectes Inc. (chargée de projet pour les projets à l'Aéroport Montréal-Trudeau) - Josée Bérubé, architecte, Provencher_Roy, présidente du CA de l'ARTM - Jonathan Cha, architecte paysagiste, urbanologue, phD en aménagement - Valérie Mahaut, professeure titulaire à l'Université de Montréal. Nous présentons également des conférences la semaine prochaines à la Faculté de l'Aménagement (2940 chemin de la Côte-Sainte-Catherine), amphithéâtre 3110: - Mardi 14 mars @ 18h00 : Zvi Leve, Rue Publique, "Les rues comme lieux de transit" - Jeudi 16 mars @ 18h00 : Maxime Frappier, ACDF* Architecture, "Architecture et Mouvement" Je sais que certains d'entre-vous avez participé l'année dernière et que certains projets ont été relayés ici. Je me permets de faire la promotion de mon évènement avec vous parce que je sais qu'il saura vous rejoindre en tant que passionnés de Montréal. Je serais très content de voir une équipe MTLURB, ou d'autres contributions à titre personnel! Il y a 2000$ à gagner en prix, dont 1 grand prix de 1000$. Vous pouvez me contacter en message privé, ou encore nous envoyer un courriel pour toute question ou inscription. Merci, et bonne chance aux futurs participants!! Simon Tremblay Responsable du jury Morphopolis 2017
  7. http://cbgcondos.com/ Quartier Profitez de la vie dans un des secteurs les plus en vogue de Montréal. Niché à côté du centre-ville, vos déplacements seront des plus aisés et vous pourrez ainsi bénéficier pleinement de la vie culturelle de la métropole. L’arrondissement Rosemont La-Petite-Patrie est reconnu tant pour sa tranquillité que pour l’accès à une gamme de services des plus variés. Les espaces verts y sont nombreux, la circulation automobile réduite et le transport en commun est multimodal et accessible à pied (bixi, autobus, métro) . Édifice 3 étages avec mezzanine comportant un espace commercial de 3 500 pi.ca. et 22 unités de condos : Des unités aux espaces bien dessinés et généreusement fenestrés. Terrasse commune en mezzanine avec toiture verte pour contrer l’effet d’îlot de chaleur. Stationnements intérieurs disponibles incluant également des espaces pour vélos et des espaces de rangement. Systèmes de contrôle d’accès, d’alarme et de protection d’incendie pour la sécurité.
  8. http://www.groupecalex.com/index.php?id=68&mod=projets&cat=encours&pId=69 Nouveau Projet de condominium du Groupe Calex situé dans l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Prairie, Montréal Ce projet vous offre 29 unités de 1 et 2 chambres à coucher incluant des unités avec mezzanine et terrasses privée au toit. A noter qu’il y a des places de stationnement extérieur de disponible pour ce projet Situé à près du métro Rosemont et directement face au parc du Père Marquette, ce secteur vous offre une multitude de services tels que : piste cyclable, boutiques, restaurants, marché Jean-Talon, transport en commun, école, hôpital et autres. Réservez dès maintenant et profitez de nos prix de pré-construction incluant climatiseur murale ! Notez que ce projet se qualifie pour le programme de subvention de la Ville de Montréal Adresse : 5740 rue Garnier, Rosemont-La-Petite-Patrie, Qc, H2G 2Z7 Pour information contactez-nous au : 514-795-7121 ou @ info@groupecalex.com
  9. Vaste plan d'aménagement pour le grand Montréal La Communauté métropolitaine de Montréal a dévoilé jeudi la première version de son premier Plan d'aménagement et de développement JENNIFER GUTHRIE MÉTRO Publié: 28 avril 2011 19:55 La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) a présenté, jeudi, son projet de Plan d’aménagement et de développement (PMAD). Ce projet, qui sera soumis à la consultation publique à l’automne, vise à densifier la région métropolitaine, à mettre en place un réseau métropolitain de transport performant et à développer un réseau récréotouristique. Le premier PMAD doit être adopté au plus tard le 31 décembre, en vertu de la loi. La CMM prévoit qu’il faudra deux ans à ses membres pour conformer leurs schémas d’aménagement régionaux aux critères du PMAD. Elle se donne ensuite jusqu’en 2031 pour réaliser tous les objectifs de son plan. Selon les évaluations de la CMM, 320 000 nouveaux ménages s’établiront à Montréal, Laval, Longueuil, dans la couronne Nord ou dans la couronne Sud d’ici 20 ans. Puisque ces territoires sont déjà relativement denses, la CMM se donne comme objectif de «canaliser 40% de la croissance future à proximité des points d'accès aux réseaux de transport en commun en favorisant la réalisation de quartiers de type TOD (Transit-Oriented Development)». Les quartiers de type TOD s’articulent autour des stations de transport en commun (train, métro, service rapide par bus) et favorisent les transports actifs, sans toutefois exclure l’automobile. Ils pourront se greffer aux projets de transports qui attendent la région, dont le prolongement du métro vers l’est et la mise en place d’un système léger sur rail (SLR) sur le nouveau pont Champlain. Au chapitre de l’environnement, la CMM «propose de mettre en place un réseau récréotouristique qui s'appuie sur les atouts naturels et culturels de la région». Elle rappelle que la région «dispose d'un riche patrimoine naturel et bâti ainsi que de paysages emblématiques qui méritent d'être mieux protégés et mis en valeur dans une approche intégrée». http://www.journalmetro.com/linfo/article/845598--vaste-plan-d-amenagement-pour-le-grand-montreal
  10. Je mets cet article fort intéressant dans ''Actualité'', étant donné que ce genre de nouvelle risque de plus en plus de voir le jour. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201403/16/01-4748307-transports-en-commun-88-des-quebecois-veulent-plus-dinvestissements.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Les Québécois sont quasi unanimes à penser qu'il faut investir davantage dans les transports en commun, y compris ceux qui ne les utilisent pas. Selon un sondage CROP réalisé pour le compte de l'Association du transport urbain du Québec (ATUQ) en janvier dernier, 88% des répondants, usagers ou non, ont estimé qu'il était «assez» ou «très» important de mettre plus d'argent dans ces services. L'appui au financement accru des transports collectifs croît directement avec l'usage. Ainsi, 98% des répondants qui disent les utiliser souvent, et 94% des usagers occasionnels pensent qu'on devrait les financer davantage. Dans la région métropolitaine de Montréal, où les transports collectifs sont les plus visibles, les plus utilisés et les plus accessibles, ce pourcentage atteint 90% des répondants, et ce, qu'ils soient usagers ou non du métro, des trains de banlieue ou des services de bus. L'appui aux transports collectifs est moins élevé chez ceux qui ne les utilisent jamais, mais tout de même surprenant; 80% des répondants qui ont affirmé n'être pas des usagers de ces services estiment quand même qu'il serait important d'y investir davantage, selon le sondage de l'ATUQ, qui regroupe les neuf plus grandes sociétés de transports en commun du Québec. La population de la région de Québec semble plus tiède qu'ailleurs en province, selon CROP. Son appui à des investissements supplémentaires dans les transports en commun ne dépasse pas 80% des répondants, qu'ils soient usagers ou non. Hors des régions de Montréal et de Québec, l'appui à un financement additionnel des transports collectifs atteint 87% de la population, usagers ou non confondus. Des autobus avant des routes Les opinions largement favorables à une augmentation du financement des transports en commun sont plus nuancées lorsqu'on propose aux répondants un choix de moyens pour «assurer une meilleure circulation sur les routes du Québec». Les investissements dans les transports collectifs sont alors favorisés par 48% des répondants de l'ensemble du Québec, alors que 42% privilégient plutôt la construction de nouvelles routes. Ces résultats sont intéressants dans la mesure où ils ont été exprimés en janvier, soit bien avant la publication de la Stratégie de mobilité durable du gouvernement Marois, en vertu de laquelle des budgets de plus de 900 millions prévus pour la construction routière, de 2015 à 2020, ont été transférés vers des projets de maintien des actifs dans les réseaux de transports en commun de la province. Par ailleurs, 53% des répondants affirment qu'un investissement dans les transports en commun serait de nature à améliorer leur perception à l'égard du gouvernement du Québec, «parce qu'il veut améliorer la qualité de vie de ses citoyens». À la même question, 43% des gens ont affirmé que cela ne changerait pas leur opinion du gouvernement. Un maigre 4% ont exprimé qu'ils auraient une moins bonne opinion du gouvernement du Québec s'il augmentait les sommes consacrées aux transports collectifs. Selon le sondage de l'ATUQ, réalisé par questionnaire sur l'internet à partir d'un groupe web, entre les 16 et 19 janvier derniers, un peu plus de la moitié des 1000 répondants, soit 52%, affirment qu'ils n'utilisent «jamais» les transports collectifs. Ce pourcentage augmente à 71% hors des régions de Montréal et de Québec. Dans la région de la capitale nationale, 62% des personnes sondées affirment ne pas utiliser ces services, alors que dans la région de Montréal, c'est seulement une personne sur trois (34%) qui affirme ne «jamais» utiliser les transports en commun.
  11. http://www.metrodemontreal.com/forum/viewtopic.php?t=11970&start=0&postdays=0&postorder=asc&highlight=&sid=10dea0201b46489d072563afd5c50efb metrodemontreal.com Un lieu de discussion du transport en commun de Montréal et d'ailleurs Belle collection de veilles photographes Quelques exemples:
  12. Salut ! Je suis pour ma part un fan de jeux de gestion, les tycoons et autres. J'ai adoré la série des Sim City (sauf society) et J'ai jouer un peu au Cities XL (beau graphique mais un peu froid comme jeux..) Je suis tombé ce weekend sur un nouveau petit jeu très sympa, Cities in Motion Pour y avoir jouer tout le weekend en fou, (jusqu'à en rêver....) je dois dire qu'il est extrêmement addictif quoi qu'assez difficile au début. On fait face a des villes européennes simplifié ou l'on doit combattre le trafic pour déplacer les gens. On se retrouve dans la peau de la compagnie de transport en commun et on doit gérer les lignes. On se rend bien vite compte que la solution n'est pas toujours plus de bus, mais de faire passer la ligne ailleurs et tout. Note que le métro, bien qu’extrêmement cher reste le moyen de transport le plus rentable. Le jeux est assez difficile si on reste qu'au bus et tramway qui peuvent être dépendant de la circulation. Ce n'est pas 100% réaliste mais c'est quand même très bien. Faut bien en faire un jeux. Les déplacement ne son donc pas en temps réel, mais chaque citoyen doit se déplacer pour travailler et/ou pour ses loisir. Il devra bien sur revenir. Pour ajouter un peu de travail, il faut ajuster les salaires et le prix d'entré en fonction de l'économie pour rester profitable. Chose qui est difficile a prendre en main au début. Mais après quelque échec, on découvre vite comment faire des lignes profitables que les gens utiliseront. Le seul bémol que j'ai est que le premier scénario de la campagne est probablement le plus difficile et qu'il vaut mieux des fois ne pas faire ce qu'il nous est conseillé sous peine d'aller droit à la faillite ! Notez bien que c'est exclusivement un simulateur de transport en commun et que notre tache s'arrête la. La ville n'évoluera que très peu durant une partit bien que plusieurs version de cette dernière existe selon l'époque. Les villes sont animés, les automobiles ne sont pas que des animations. Ils existent vraiment et vont et vient selon leur besoin. Si on augmente l'utilisation du ToC, on diminue leur nombre sur la route. Il y a aussi différent évènement qui peuvent compliquer la vie, des parades, des feux, des accidents. Au final, le jeux est très bon et très prenant et vaut la peine d'être acheté pour les fans du genre. Mais faites attention, ce jeux est très prenant
  13. Voilà, c'est fait, j'ai acheté une voiture après 3 années et demi d'utilisation du bus et du métro. Je le fais un peu à regret car je suis de ceux qui pensent que le succès d'une ville comme Montréal passe par le transport en commun mais pour l'instant, notre système de transport en commun ne répond pas aux besoins de la population et surtout pas aux miens. J'ai bien essayé de me contenter du bus et du métro mais il n'est pas assez performant. Loin de moi l'idée de partir un autre débat entre la voiture et le transport en commun, ce que je veux faire ici c'est apporter ma petite expérience et espérer que les autorités concernés se bougent un peu pour donner à Montréal un système de transport en commun digne d'une grande ville moderne en pleine effervescence. J'habite à Villeray à 2 rues de Jean-Talon et je travaille dans le Golden Square Mile à 2 rues de Guy-Concordia. Le métro est bien entendu le moyen de transport idéal et c'est ce que j'ai utilisé pendant plus de 3 ans mais malheureusement, mise à part le fait d'aller à quelques endroits centraux, le fait de ne pas avoir de voiture me limite énormément dans mes déplacements. Je dois régulièrement aller sur la Rive-sud (Ste-Catherine/St-Constant) ainsi que la Rive-Nord et je dois admettre que le transport en commun est affreux pour se rendre à ces endroits. C'est meme très frustrant. Parfois pour me faciliter la vie on m'attend au métro Longueuil en voiture. mais quelle ne fut pas ma surprise, lors de mon retour à cette station en soirée, que je devais payer 3 dollars pour reprendre le métro meme si je suis abonné à la carte mensuelle !!! Ça c'est définitivement un gros ''down'' pour Montréal. Je ne parle pas ici d'une station à 20 kilomètre du Centre-Ville mais de la seule et unique station sur le Rive-sud et tout simplement de l'autre coté du pont ! Ensuite, je suis à la recherche d'un meilleur boulot et dans le domaine que je recherche il y a des offres dans le secteur de l'aéroport. Je sais qu'il y a le 747 mais il ne se rend qu'à l'aéroport alors si le boulot est à 200 ou 300 métres de l'aéroport alors c'est le bordel ! Et je ne comprends pas encore pourquoi cet autobus fait tout ce détour après son arret à Lionel-Grouxl. Interminable !!! Donc pour un boulot à l'extérieur du Centre il faut absolument une voiture, le système actuel ne répond pas. De plus, si un mec veux sortir sa copine de temps à autres, alors le métro n'est pas conseiller. À Paris ou à Londres, peut-etre, mais pas ici. Ne serait-ce que parce qu'il ne couvre pas beaucoup de territoire, mais aussi parce qu'il est bondé à 23heures un samedi soir de jazz ou après un match du Canadiens. Mais bondé par à peu près. Et puis il ne roule plus après 01h00 et que par deux fois j'ai manqué le dernier sur la ligne blueue alors qu'il était à peine minuit et demi. Mais aussi parce que la faune de soir/nuit est assez irrespectueuse du bien public dans le métro ce qui rend la ballade un peu désagréable surtout lorsque la copine est un peu sexy!!! Le temps est venu pour le gouvernement du Québec et la ville de Montréal de focuser sur l'amélioration du transport en commun. Il faut arreter de palabrer et passer à l'action. Il faut prolonger le métro, il faut faire sortir des trains dans les quartiers non desservi par lé métro (NDG, Lachine, La Salle, RDP etc...) On se targue d'etre une ville d'innovation et de créativité, on se targue d'etre une ville verte, on se targue d'etre une ville universitaire et on veut réduire la pollution......et nous payons beaucoup beaucoup de taxes à Montréal alors je me demande bien comment se fait-il que nous ne soyons pas capable de faire mieux que ce que nous avons en ce moment. On dirait que notre système s'est figé en 1988 et depuis ce temps.....il n'y a eu que les lignes 10 minutes !!! J'espère bien un jour vendre ma voiture et retourner en métro mais pour l'instant ce n'est pas assez pratique pour quelqu'un qui bouge et qui a besoin d'etre mobile. Dommage !
  14. Un premier autobus entièrement électrique sillonnera les rues de Laval dès le printemps prochain, a annoncé la Société de transport de Laval (STL) lundi. La STL a reçu le premier véhicule à la fin de l'année dernière, mais elle doit procéder à une série de tests avant de le mettre en service. Il s'agira d'une première québécoise et canadienne, selon la STL. Le véhicule mesure 40 pieds, soit la taille d'un autobus régulier, a été construit par la firme américaine Design Line. L'autobus est alimenté par une batterie à recharge lente dont l'autonomie est estimée à plus de 200 kilomètres. Le président du conseil d'administration de la STL, Jean-Jacques Beldié, estime que l'expérience de son organisme sera bénéfique à toutes les sociétés de transport qui souhaitent électrifier leur réseau de transport en commun. Le projet-pilote de la STL a été développé en partenariat avec le ministère des Transports du Québec, Hydro-Québec et la Société de gestion et d'acquisition de véhicules de transport. Le ministre des Transports, Sylvain Gaudreault, a indiqué que le gouvernement vise une électrification graduelle du transport collectif au Québec au cours des prochaines années. Son collègue député de Laval-des-Rapides, Léo Bureau-Blouin, a déclaré qu'il s'agissait d'un pas de plus vers l'indépendance énergétique de la province. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2013/01/14/004-laval-autobus-electrique.shtml?isAutoPlay=1
  15. À l’orée du chic et convoité quartier Fontainebleau se dressera bientôt le projet résidentiel Élysée. Conciliant à merveille les commodités de la vie citadine et la splendeur de la nature bienfaisante, l’Élysée Fontainebleau est synonyme de raffinement et de modernité, de confort et de distinction. Grâce à l’esthétique à la fois classique et contemporaine de son architecture, l’Élysée Fontainebleau possède le charme bucolique des grandes demeures européennes. La présence d’un joli ruisseau bordé d’arbres matures apporte la touche distinctive à l’endroit. La piste cyclable passant à proximité et les nombreux parcs environnants lui donnent un air champêtre empreint de sérénité. Cette oasis de tranquillité est néanmoins fort bien desservie par le réseau de transport en commun et profite de la proximité de nombreux commerces de détail et de services ainsi que de grands axes routiers. Ce projet résidentiel, luxueux mais abordable, se caractérise, en outre, par sa conception soignée résolument moderne mettant à l’honneur des matériaux nobles dans chacune des unités. L’Élysée Fontainebleau, une adresse de prestige à découvrir. http://www.elysee.qc.com/le-projet.html
  16. Le Séville sur Barclay est un projet de condominiums neufs situé dans l'arrondissement Côte-des-Neiges de Montréal. Offrant 39 condos neufs, tous accessibles aux subventions de la ville de Montréal, le Séville sur Barclay offre la qualité de construction associée aux projets du Groupe Cartierville tout en demeurant abordable. Situé à proximités de l'Universite de Montréal, parcs, services et transport en commun, le Séville sur Barclay est idéal pour les premiers acheteurs de condos.
  17. Transport en commun: plaidoyer pour une importante hausse des tarifs Bruno Bisson La Presse Les usagers paient-ils assez cher pour utiliser les réseaux de transports en commun dans la région de Montréal? > En graphique: Financement du transport en commun Dans un mémoire présenté la semaine dernière lors des consultations publiques sur le financement des transports collectifs de la Communauté métropolitaine de Montréal, un groupe d'universitaires a proposé de hausser considérablement les tarifs aux usagers pour améliorer la qualité et l'efficacité des services. L'Observatoire sur la mobilité durable, groupe de recherche affilié à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal, recommande ainsi que les revenus en provenance des usagers soient augmentés, jusqu'à ce qu'ils représentent 50% des coûts des services de transports en commun. À l'heure actuelle, les revenus des usagers représentent de 27% à 47% des coûts annuels des services offerts à Montréal et en banlieue (voir graphique). Selon Jean-Philippe Meloche, professeur associé à l'Institut, cette augmentation de la contribution des usagers assurerait des revenus additionnels de 300 millions par année, à l'horizon 2020, aux sociétés de transports en commun de la région. Concrètement, elle se traduirait aujourd'hui par des augmentations de tarifs de plus de 60%, dans la banlieue nord, où les recettes des usagers couvrent seulement 31% du coût actuel des services d'autobus. Les usagers de la Société de transport de Laval, qui assument actuellement 27% des coûts des services, verraient leurs tarifs multipliés par deux. Mais pour la grande majorité des usagers des transports collectifs de la région, qui utilisent les services de la Société de transport de Montréal (STM), «l'augmentation serait d'environ 20%, estime-t-il. En l'étalant sur cinq ans, et en tenant compte de l'inflation, on obtiendrait des hausses annuelles de 6 ou 7%, sur cinq années consécutives». «Une approche doctrinaire» Dans une entrevue à La Presse hier, le directeur général de Transports 2000 Québec, Normand Parisien, n'a pas hésité à qualifier de «doctrinaire» l'approche préconisée dans ce mémoire, parce qu'elle «réduit l'usage des transports en commun à un service commercial», dont la disponibilité et le coût seraient soumis aux aléas de l'offre et de la demande. Cette «approche microéconomique», déplore-t-il, occulte totalement la dimension «sociale» des réseaux de transports en commun qui est très présente à Montréal. «On dirait que c'est tabou et qu'il ne faut jamais en parler, mais il reste que Montréal est une des grandes villes les plus pauvres de l'Amérique du Nord.» Le directeur de la plus importante association d'usagers des transports en commun du Québec estime aussi que des tendances fortes dans l'évolution récente de la clientèle des transports collectifs laissent supposer une chute de la fréquentation s'il y avait une augmentation marquée des tarifs. M. Parisien cite les résultats d'une étude d'Impact Recherche menée à la demande du ministère des Transports du Québec (MTQ) et présentée à Transports 2000 Québec lors de consultations statutaires récentes du MTQ sur son prochain plan stratégique de cinq ans. «La plus importante augmentation de la clientèle provient des étudiants, qui paient un demi-tarif, dit M. Parisien. La part des étudiants qui préfèrent les transports collectifs a grimpé de 50% à 61%, dans les dernières années.» Par contre, dit-il, «les gens qui se déplacent pour se rendre au travail le matin le font encore, dans 80% des cas, en automobile. Une hausse des tarifs ne les incitera sûrement pas à se tourner vers le métro et les autobus». Péages pour automobilistes Tout en rejetant le qualificatif de «doctrinaire», le professeur Jean-Philippe Meloche reconnaît qu'une hausse des tarifs n'est pas une mesure qui incite les gens à préférer le métro ou les autobus à l'automobile. Un péage routier, en revanche, pourrait bien l'être. «Une hausse de tarifs de cette dimension, se défend le chercheur, est impensable si on n'impose pas, en même temps, des péages routiers, pour que les automobilistes paient, eux aussi, leur juste part des vrais coûts de transport.» «On ne peut pas isoler les différents éléments qui composent la circulation, affirme-t-il. Et notre approche, ce n'est pas de faire payer en particulier les usagers des transports en commun. C'est de tarifer équitablement tous les modes de déplacement.» Le modèle proposé par l'Observatoire prévoit ainsi que les automobilistes seraient triplement sollicités, par le péage, par une tarification serrée du stationnement, à l'échelle de la région, et par le maintien d'un taux de taxation «relativement élevé» sur l'essence. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201205/09/01-4523474-transport-en-commun-plaidoyer-pour-une-importante-hausse-des-tarifs.php Enfin du monde sensée qui sortent du moule des théories toutes faites des 'écoles' urbanistiques. Tout le monde doit payer sa juste part, même si celle-ci n'est a hauteur de 50% du vrai coût.
  18. Je sais pas si cela a déja été mis ici, mais une carte du plan de TEC tel qu'imaginé en 1981 Courtoisie de ce site http://www.montrain.ca/
  19. Un SLR sur le boul. Taschereau : « une nécessité », croit une étude Alexandre Lampron Le Courrier du Sud Actualités - Publié le 1 février 2012 à 09:25 EXCLUSIF. Un rapport de maîtrise de l’Institut d’urbanisme de l’Université de Montréal, rédigé par Lucile Besson, Damien Bonnet, Ernesto Duenas et Véronique Montpetit, conclut à la nécessité de l’implantation d’un train léger dans l’axe du boul. Taschereau «pour envisager la densification, le redéveloppement et la revalorisation du tissu urbain». Dans cette étude, dont le Brossard Éclair a obtenu copie, il a été imaginé d’instaurer un mode de transport lourd dans sa portion centrale. Ce système de train léger serait accompagné des grandes aires piétonnes, des quais, de la verdure de chaque côté et des voies de circulation beaucoup plus étroites afin de permettre un meilleur accès au transport en commun dans cet axe névralgique de la Rive-Sud. «Le train léger, ce n’est non seulement envisageable sur le boul. Taschereau, mais c’est surtout une nécessité pour envisager la revalorisation du milieu, a expliqué François Racine, chargé de cours à l’Institut d’urbanisme de l’Université de Montréal. Il faut se rappeler à la base que cette artère a été pensée dans les années 60 et 70.» À l’heure où la Ville de Brossard peaufine ses études préparatoires pour mener à bien la refonte prévue de son plan d’urbanisme, ce rapport arrive à point avec l’adoption, en décembre, du Plan métropolitain d’aménagement et de développement (PMAD) par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM). Revitaliser le milieu bâti Les étudiants qui ont travaillé à l’élaboration de cet important rapport de maîtrise ont examiné le boul. Taschereau selon trois portions qui vivent chacune des problématiques d’aménagement particulières, soit: la Ville de Brossard, l’arr. de Greenfield Park ainsi que l’arr. du Vieux-Longueuil. «La mise en place du transport collectif dans ce corridor peut être un élément de transformation de l’emprise publique en réaménageant des secteurs qui sont strictement conçus pour la voiture, a ajouté M. Racine, qui est également architecte et urbaniste. Avec la mise en place des stations de train, cela ferait en sorte qu’un important élément d’attraction se crée tout autour. La présence du transport collectif aurait ainsi une incidence dans le développement urbain.» Ainsi, selon M. Racine, un mode de transport lourd comme le train léger sur le boul. Taschereau aurait un effet «très positif» sur le développement commercial, reprenant ainsi l’idée d’une rue principale, et non d’un boulevard véhiculaire. «Avec les problèmes d’infrastructures que nous connaissons, la mise en place de systèmes de transport en commun est souhaitée, a précisé François Racine. Nous voulons que les citoyens aient un milieu de vie beaucoup plus riche. Nous laissons ainsi de côté les problèmes associés à l’utilisation de la voiture, comme les îlots de chaleur. Les municipalités s’en retrouveraient aussi gagnantes.» Une boucle Rappelons que l’Agence métropolitaine de transport (AMT) a lancé un appel d’offres, en janvier, afin de mettre à jour les études d’avant-projet d’un SLR, qui datent déjà de 2007, dans l’optique d’augmenter l’offre de service de transport en commun dans l’axe du nouveau pont Champlain. «À terme, ce projet pourrait être complété par une liaison à haut débit (autobus rapide ou SLR) dans l’axe du boul. Taschereau, entre l’A10 et la station du métro de Longueuil, peut-on lire sur le site de Plania, associé au groupe d’ingénieurs-conseils Dessau inc. Avec le métro de Montréal, ces deux projets formeraient une boucle prolongeant sur la Rive-Sud le réseau lourd de transport collectif métropolitain. Chacune des stations de ce nouveau réseau représentent une occasion unique de réaliser un développement urbain et économique dense et mixte.»
  20. Avec la densité d'occupation actuelle, la grande région montréalaise ne pourra pas absorber l'augmentation de la population prévue d'ici 20 ans. La solution du Plan métropolitain d'aménagement et de développement: la densification urbaine. À terme, les bungalows sont appelés à disparaître au profit des condos, notamment pour faciliter la desserte des transports en commun et protéger les milieux naturels et agricoles. C'est une tendance lourde déjà en très forte progression, soutiennent les experts. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201110/14/01-4457088-sans-densification-point-de-salut.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B25_A-decouvrir_219_article_ECRAN1POS2
  21. Il y a un article qui est passé sans que personne n'y fasse attention dans les médias. Ça vend beaucoup plus dire que les cônes oranges et Ferrandez vont tuer à eux seuls l'activité économique d'une ville de 3 millions d'habitants. On est comme ça ici `: on aime juste quand ça va mal. ------------------------------------------------------------ Transport Montréal: 31 minutes en moyenne pour aller travailler Agence QMI 05/09/2011 16h46 Seriez-vous étonnés d’apprendre que les travailleurs de la région de Montréal passent en moyenne 31 minutes pour se rendre au boulot? C’est ce que révèle la plus récente étude réalisée par Statistique Canada concernant le temps de déplacement entre la maison et le travail en auto, en transport en commun ou à pied. La moyenne canadienne est de 26 minutes, soit cinq minutes de moins qu’à Montréal, tous modes de transport confondus. À Toronto, on parle plutôt de 33 minutes. «Il faut préciser qu’on inclut l’ensemble de la grande région montréalaise», a affirmé Martin Turcotte, chercheur pour Statistique Canada. «Les données vont aussi comprendre des gens qui restent en banlieue et qui travaillent en banlieue à proximité de leur domicile». Cependant, 27% des gens de la région montréalaise prennent 45 minutes ou plus pour leur déplacement entre leur domicile et leur lieu de travail, une proportion plus grande qu’ailleurs au pays. L’étude, intitulée Se rendre au travail: résultats de l’Enquête sociale générale de 2010 a été diffusée en août, mais a été réalisée en 2010 grâce à un échantillon de 6650 répondants. Environ 85% des participants se disent «satisfaits» ou «très satisfaits» de la durée de leur déplacement alors que seulement 15% seraient «insatisfaits». Parmi les gens qui consacrent 45 minutes pour se rendre au bureau, 36% trouvent leur journée «stressante» ou «extrêmement stressante». «On a même vu que le temps de déplacement exerçait une influence indépendante sur le stress. Ça démontre que ce ne sont pas seulement les autres facteurs de la vie qui causent le stress, mais bel et bien le déplacement en tant que tel», a expliqué M. Turcotte. L’étude révèle également que les déplacements sont plus longs en transport en commun qu’en automobile pour une distance équivalente. La moyenne canadienne se situe à 44 minutes pour les usagers des trains de banlieue, des autobus ou du métro. À Toronto et Vancouver, les usagers ont consacré environ vingt minutes de plus que les automobilistes pour se rendre au travail. La situation s’améliore à Montréal puisqu’on parle plutôt de 10 minutes supplémentaires. Près de 75% des automobilistes questionnés à ce sujet estiment que le transport en commun serait «assez peu pratique» ou «très peu pratique», ce qui ne décourage pas pour autant la Société de transport de Montréal. «Notre objectif d’ici 2020, c’est d’aller chercher 5% des automobilistes», a affirmé François Pépin, le directeur des études en planification des transports à la STM. ------------------------------------------------------------ Moyenne des temps de déplacement pour se rendre au travail en 2010: Toronto: 33 min Montréal: 31 min Vancouver: 30 min Ottawa/Gatineau: 27 min Calgary: 26 min Edmonton: 23 min
  22. Voici comment j'imagine le transport en commun autours de Montréal d'ici 2050. En tout, 92km de tramway et 107km de métro seraient ajoutés. Le plan comporte principalement: Nouvelle ligne rouge - Montréal-Nord/Centre-Ville/NDG Nouvelle ligne blanche - Montréal-Nord/Ahuntsic/Cartierville/St-Laurent Prolongement bleu - Hampstead/Anjou Prolongelement orange - Boucle à Laval Prolongement vert - Lachine Prolongement ligne jaune - Griffintown/Île-des-soeurs/Longueil/Brossard Tramway - Parc, Pix-IX, Côte-des-neiges, Boucle centre-ville, Point-aux-Trembles, St-Joseph, Laval, Longueil http://maps.google.ca/maps/ms?hl=fr&ie=UTF8&msa=0&msid=113329568573945141742.000490022083917f7b145&z=10 Selon mes calculs très approximatif (50M$/km de tramway + 150M$/km de metro), la réalisation de ce projet couterait 20 milliards de dollars, soit 500 millions par année d'ici 2050. C'est environs 50$ par québécois par année. Commentaires, suggestions et critiques pertinentes sont les bienvenues.
  23. Le Château des Boulevards est situé au cœur de la ville de Laval au intersection des boulevards Chomedey et Notre-Dame. Un développement de 33 000 pi2. Un immeuble prestigieux de sept étages avec stationnement sous-terrain. Situé près de l'autoroute 15 et du métro Momontrency, vous y retrouverez a proximité centres commerciaux, centre médical et au transport en commun.
  24. L'immobilier montréalais relève la tête 27 avril 2010 | 13h46 Argent Richard Deschamps, responsable des grands projets et des infrastructures de la ville de Montréal a fait le point au micro d'Argent ce matin sur la situation du marché immobilier Montréalais. De retour du grand congrès immobilier international MIPIM qui s'est tenu cette année à Cannes en France à la mi-mars, M. Deschamps a parlé de la nécessité d'attirer les investissements étrangers pour construire le Montréal de demain. "Nous leur vendons Montréal, et le dynamisme de Montréal," a-t-il déclaré ce matin. M. Deschamps a qualifié le marché immobilier Montréalais d'effervescent, et ce malgré une industrie mondiale encore en demi-teinte suite à la crise économique. "Le congrès n'a attiré que 18 000 personnes cette année, à comparer avec 25 à 30 000 d'ordinaire," a-t-il commenté. Le marché montréalais lui, est en reprise. "La question de l'immobilisme à Montréal va être derrière nous dans quelques mois," a-t-il dit. M. Deschamps a mentionné les nombreux projets majeurs en chantier - l'échangeur Turcot, le quartier des spectacles, le projet Bonaventure de la Société du Havre, le CHUM et le CUSUM - avant de rappeler la nécessité de forger des contacts avec les plus grands joueurs mondiaux de la construction pour assurer la pérennité du secteur. "Montréal est sur une lancée et c'est ce que nous avons essayé de faire au MIPIM, transmettre cette impulsion pour attirer des investisseurs étrangers, et rester sur cette lancée," a-t-il dit. Est-ce qu'attirer plus d'investisseurs privés signifie signer plus de PPP? Par forcément d'après M. Deschamps qui voit plutôt les entreprises privées étrangères s'associer entre elles pour répartir les risques associés aux projets."Il faut que le marché puisse absorber les besoins exprimés par le marché privé," a-t-il déclaré, mentionnant que l'offre lui semblait adaptée à la demande actuelle. M. Deschamps a semblé plus intéressé par des questions de fond telle que la nécessité de relier le développement immobilier au développement durable des communautés par une politique de transport en commun ambitieuse. "Le transport en commun est l'armature par laquelle la Ville de Montréal et les grandes villes du monde se développent. On investit 500 M$ par an dans le transport en commun et le développement durable. Il faut emmener les gens au centre-ville, mais pas seulement par la voiture," a-t-il conclu.
  25. La piétonisation des rues, le prolongement du réseau cyclable, l'élargissement des trottoirs, le développement du transport en commun... Confinées au mouvement écolo dans le passé, ces demandes sont aujourd'hui celles d'une portion croissante des Montréalais. Voilà le message des fidèles de la toute première heure de la journée En ville sans ma voiture, qui disent observer, année après année, une ouverture de plus en plus grande des citoyens envers des pratiques urbanistiques plus progressistes. «La journée sans auto le prouve, selon Marco Viviani, de l'entreprise Communauto. S'il y avait dans le passé des protestations quand on bloquait les rues pour l'événement, ce n'est plus du tout le cas aujourd'hui. L'idée est même tellement ancrée, que la journée a des airs de vente trottoir!» Entre un cyclo-mélangeur qui permettait de faire des smoothies en pédalant, un skatepark où tournoyaient les amateurs de planche à roulettes et de BMX et un spectacle de baladi, l'ambiance était en effet plus ludique que tendue au centre-ville de Montréal, cet après-midi. Mais de là à dire que les citoyens réclament des politiques de réduction du nombre d'autos? Oui, répond Marie-Hélène Binet-Vandal, conseillère en aménagement à la Ville de Montréal. «Le message est beaucoup plus compris que dans les années passées, croit-elle. Les gens savent qu'il y a un problème, qu'il faut s'éloigner du tout-à-l'auto. Les Montréalais sont rendus là.» La réponse positive à l'événement d'hier en est une preuve, selon cette spécialiste, mais la multiplication des projets de quartiers verts sur l'île, avec la bénédiction des citoyens, le confirme plus encore : réaménagement de la place Valois au profit des piétons et des cyclistes, transformation d'un stationnement en allée piétonne dans l'axe de la rue Charlotte, à un jet de pierre du Red Light, transformation de la place Norman-Bethune au sein du campus Concordia, etc. «Une autre culture du déplacement est en train de prendre racine, estime Julie Beauvilliers, de la direction des Transports de la Ville. Il y a encore du travail à faire, c'est vrai. Mais des journées comme celle-ci permettent justement de sensibiliser encore un peu plus les gens.» Pour Mme Beauvilliers, le succès de la piétonisation estivale de la rue Sainte-Catherine, dans le Village gay, montre bien que les mentalités évoluent. «C'est un des seuls secteurs où les ventes au détail ont augmenté l'an dernier», note-t-elle. Un peu plus loin vers l'est, passé la scène où les Porn Flakes entonnent avec énergie «Welcome to the Jungle», l'équipe de l'éco-quartier Peter-McGill tient une partie de hockey improvisée entre groupes scolaires. «À chaque année depuis 2003, on voit bien que l'idée de la piétonisation fait tranquillement son chemin, lance Paul-Antoine Troxler, coordonnateur. Même que de plus en plus, les gens demandent pourquoi le périmètre s'arrête là et ne se poursuit pas plus loin...» Un rickshaw à vélo passe sur la Sainte-Catherine, suivi de près par un véhicule électrique à trois roues, tu type Segway, conduit par un policier. Non loin, un groupe d'une vingtaine de personnes s'adonnent au tai chi. Le fonds de l'air est doux, mais il est surtout mois pollué qu'à l'habitude. «Il y a 28 ans, quand je commençais en environnement, les Montréalais refusaient de croire que leur ville était polluée. Ils me lançaient constamment que Montréal n'est pas Los Angeles, se rappelle André Bélisle, président de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique. Aujourd'hui, ils sont beaucoup plus conscients de la situation.» Corolaire : ils sont prêts à laisser leur auto au garage au profit du transport en commun. Mais à condition qu'on améliore le réseau, et vite. «Québec dépensera cette année 15 milliards pour les routes, mais seulement deux milliards pour le transport en commun, se désole M. Bélisle. Manifestement, les gouvernements sont en retard sur la population...» Source : http://www.cyberpresse.ca/environnement/200909/22/01-904463-lidee-de-la-pietonisation-fait-son-chemin-a-montreal.php
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