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  1. Aimer Montreal - Revue de presse montrealaise | Facebook
  2. Deux projets immobiliers rue Chabanel à Montréal 13 janvier 2011 | 07h23 Agence QMI Habituellement associée aux activités commerciales, la rue Chabanel, dans l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, suscite maintenant l’intérêt de promoteurs immobiliers résidentiels. Deux projets de condominiums viennent de recevoir des approbations préliminaires de la Ville. Il s’agit d’une nouvelle phase dans la transformation d’un secteur moribond, amorcée en 2008 par la Ville de Montréal et des investisseurs privés, a appris le quotidien «24H». L’endroit avait perdu beaucoup de son lustre depuis les années 1980, alors qu’il était un pôle économique pour l’industrie de la mode et du vêtement. Selon les informations obtenues, deux promoteurs ont franchi la première étape, s’étant qualifiés avec succès à un appel de propositions lancé l’an dernier par la Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM). Ils devront maintenant présenter des plans détaillés à la Ville et l’arrondissement. Double vocation Le projet le plus près de l’étape de réalisation se trouve au coin de l’avenue de l’Esplanade. À cet endroit, un vieil immeuble industriel ayant déjà abrité des manufactures de textiles sera converti pour accueillir 196 condominiums. Le promoteur, le groupe Dayan, serait en mesure de débuter la construction six mois après la demande de permis à la Ville. La structure actuelle du bâtiment sera conservée, et le rez-de-chaussée, où on trouvera des commerces, sera ramené au niveau du sol pour un meilleur accès. Un peu plus à l’ouest, au coin de la rue Meilleur, pourrait voir le jour un bâtiment d’environ 10 étages et de 300 logements, mis de l’avant par le promoteur Macarko. L’endroit est actuellement occupé par un immeuble administratif qui appartenait au gouvernement fédéral. Les deux projets ont la particularité commune d’intégrer des commerces au rez-de-chaussée, précise Richard Blais, chef de la division de l’urbanisme de l’arrondissement. Selon lui, la rue Chabanel, où les promoteurs tentent d’attirer des firmes qui œuvrent dans les domaines de la mode et du design, gardera sa vocation principalement commerciale. «Je ne vois pas de contradiction [entre les habitations et les entreprises]. Une telle chose se fait de plus en plus, les promoteurs trouvent important d’augmenter la masse critique résidentielle à proximité des lieux de travail», explique-t-il. Cure de jouvence Depuis 2008, l’administration Tremblay a consenti presque 18 millions $ pour refaire la chaussée, les trottoirs, les lampadaires et le mobilier urbain de la rue Chabanel. De quoi attirer des investissements privés, croit Gilles Côté, directeur du développement du territoire à Ahuntsic-Cartierville. «C’est du moyen terme. Ça devrait prendre de 5 à 10 ans pour revitaliser tout le secteur», dit-il en mentionnant que quelques nouveaux commerces viennent de s’installer. D’autres secteurs de l’arrondissement connaissent aussi un essor immobilier important. Près de l’autoroute 15, 1300 unités d’habitation sont en construction à la Place l’Acadie. Plus au nord, face au métro Henri-Bourassa, 400 résidences pour personnes âgées seront bientôt terminées, au coin de l’avenue Millen. La Ville et l’arrondissement travaillent aussi sur un futur «quartier vert» sur le site de l’ancienne cour Louvain, qui servait de fourrière à la ville de Montréal. Un projet qui pourrait décoller «dans deux ou trois ans», selon la direction de l’arrondissement.
  3. Situé dans Ville Émard, au Sud-Ouest de Montréal, Condos Monk propose 31 unités, de 1, 2 et 4 chambres, de 561 à 1377 pieds carrés, dans un bâtiment au design moderne. Se trouvant à quelques pas du canal de Lachine, dans un quartier chaleureux, très diversifié et en plein renouveau, le projet offre un cadre de vie à la fois paisible, facilement accessible en transports en commun et proche des commerces et autres services. Projet admissible au Programme d’accession à la propriété de la ville de Montréal pour les premiers acheteurs. (Subventions de $4,500 à $12,500) Plus d'information à la page: http://www.condosmonk.com
  4. Dans LaPresse+ RENOUVEAU DANS LA PETITE-PATRIE DANIELLE BONNEAU LA PRESSE NOM DU PROJET Iberville 99 OÙ Rue des Carrières, au sud du boulevard Rosemont et à l’ouest de la rue d’Iberville, dans Rosemont – La Petite-Patrie. EN TOUT Le complexe, construit en une seule phase, compte 97 appartements en copropriété et un espace commercial au rez-de-chaussée de l’immeuble principal. De six étages à son plus haut, il a trois étages à son plus bas afin de s’harmoniser avec les bâtiments aux alentours et ne pas porter préjudice aux voisins. CONSTRUCTION Elle est très avancée. Les copropriétaires commenceront à emménager au début du mois de février. Environ 75 % des appartements sont vendus. APERÇU Actif dans le secteur depuis quelques années, le promoteur Dino Mazzone a reconnu le potentiel du terrain, occupé par une ancienne usine et un édifice commercial. À la suggestion de l’arrondissement de Rosemont – La Petite-Patrie, le projet a pris plus d’ampleur que prévu afin de se mettre au diapason de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, de l’autre côté de la rue des Carrières. Pour relever le défi, le Groupe Mazzone s’est associé avec le Groupe Canam, un important fabricant de composantes métalliques, ainsi qu’avec Avicor Construction. Il a aussi fait appel à l’architecte Louis-Paul Lemieux et à son équipe de l’Atelier VAP. Autant l’édifice principal, en forme de U, que l’immeuble de trois niveaux hors sol comportant des maisonnettes, le long de l’avenue Louis-Hébert, sont en acier et en béton. Outre une cour intérieure, deux ruelles vertes seront aménagées. La circulation automobile pour accéder au garage intérieur sera circonscrite à un seul endroit. Les copropriétaires auront par ailleurs accès à une terrasse sur le toit. POUR QUI? Surtout de jeunes professionnels de 25 à 45 ans qui habitent déjà dans les environs et deviennent propriétaires pour la première fois. Le projet plaît aussi à des acheteurs d’un certain âge qui veulent demeurer dans le quartier après avoir vendu leur propriété. COMBIEN* (prix des appartements encore à vendre) À partir de 203 400 $, une chambre (668 pi2) À partir de 240 000 $, une chambre et un bureau (796 pi2) À partir de 263 000 $, deux chambres (847 pi2) 350 700 $, maisonnette sur deux niveaux, trois chambres (1370 pi2) Stationnement intérieur : 27 000 $ Rangement privé pour les vélos : 500 $ * Taxes en sus Les charges mensuelles de copropriété sont d’environ 13 cents le pied carré. DANS LE VOISINAGE Les commerces et restaurants de la rue Beaubien Est, du boulevard Rosemont et de la Promenade Masson. La piste multifonctionnelle des Carrières, qui rejoindra sous peu le Plateau, se trouve non loin. Les parcs Rosemont, du Pélican et Molson sont les plus proches. ON AIME Iberville 99 donne une nouvelle prestance à cette section de la rue des Carrières, qui borde un quartier résidentiel et se trouve à la limite d’un secteur en mutation abritant à la fois des commerces et des industries légères. ON AIME MOINS Mieux vaut prendre un autobus pour se rendre à la station de métro Rosemont. Elle se trouve à un peu plus de 20 minutes à pied. SITE WEB Iberville99.com
  5. Ça doit être le prix trop élevé des vignettes, ou le parco trop cher, ou la trop faible place laissée aux automobiles dans l'aménagement des lieux. Blague à part, dommage qu'on ne parle plus aussi clairement d'unité résidentielle comme il y a quelques années. Ceux qui ont LP+ : d'autres petits textes sont publiés.
  6. Tres bonne nouvelle! Personnellement je n'ai jamais comprit le besoins de légiférer en matières des heures de commerces mais bon au Qc rare est le chantier économique qui n'est pas viser par le gouvernement. A quand les Home Depot de Laval ouvert jusqu’à 21h un samedi? And this is one way that will help Downtown set itself apart from Royalmount for example though I think this unfair to every other retailer outside this zone. **** Dès lundi, les commerces du centre-ville pourront ouvrir leurs portes 24 heures sur 24. Le gouvernement du Québec vient d'autoriser la demande de la Ville de Montréal de donner le statut de «zone touristique» pour cinq ans à la rue Saint-Catherine Ouest, au Quartier des spectacles, au Quartier latin et au Village. Le secteur du Casino sur l'île Notre-Dame, le Quartier chinois et le Vieux-Montréal, qui avaient déjà ce statut, le voit prolongé du même coup. Les bars ne seront toutefois pas touchés par cette mesure puisque c'est la Régie des alcools qui a pleine juridiction sur leurs opérations. «Je remercie le gouvernement du Québec pour cette décision qui aura un impact majeur sur la vitalité de nos commerces, sur l'attractivité et la compétitivité de notre centre-ville et sur l'ensemble de l'économie montréalaise. En établissant une zone touristique unique dans laquelle les commerces pourront ouvrir 24 heures par jour, 7 jours par semaine, nous répondons à la fois aux demandes de nos détaillants et à celles de leurs clients, qui recherchent une plus grande flexibilité dans les horaires de magasinage», a déclaré le maire de Montréal, Denis Coderre, dans un communiqué. Le centre-ville de Montréal compte environ 3000 commerces. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201505/22/01-4871718-commerces-ouverts-24-heures-au-centre-ville-quebec-donne-son-accord.php http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201505/22/01-4871718-commerces-ouverts-24-heures-au-centre-ville-quebec-donne-son-accord.php
  7. http://designmontreal.com/commerce-design/a-propos-de-commerce-design-montreal Commerce Design Montréal Toggle navigation À propos de Commerce Design Montréal La Ville de Montréal célèbre cette année le 20e anniversaire de la création des Prix Commerce Design Montréal, une initiative montréalaise dont le succès fait écho depuis plus de dix ans dans plusieurs villes d’Europe, du Canada et des États-Unis. Les efforts soutenus dans ce programme ont contribué à sensibiliser les commerçants et le public à la valeur ajoutée du design. Ils ont insufflé une remarquable progression dans la qualité des lieux que l’on fréquente et l’expérience qu’ils nous procurent. C’est sur cette lancée que la Ville de Montréal poursuit son action et récompense celles et ceux à qui l’on doit cette heureuse transformation. Les lauréats se retrouvent au cœur d’une campagne de promotion et de relations de presse d’envergure qui vise à les faire connaître auprès du grand public, contribuant à leur notoriété et à l’accroissement de leur volume d’affaires. Cette récompense confère aux Prix Commerce Design Montréal toute leur originalité. Un trophée, création du designer industriel Claude Maufette, est attribué aux lauréats (commerçants et designers) qui sont aussi pourvus d’autres outils promotionnels visibles signalisant leur distinction. Historique Commerce Design Montréal a été créé en 1995 dans le but de faire valoir auprès des commerçants montréalais les bénéfices d’investir dans la qualité de l’aménagement de leur établissement avec l’aide de professionnels qualifiés. La raison d’être de cette activité est encore et toujours de développer le marché du design commercial à Montréal pour : améliorer la qualité du cadre de vie et rendre la Métropole plus attrayante; augmenter la compétitivité des commerces; accroître la demande locale pour les services professionnels en aménagement commercial. Les objectifs visent à créer un effet d’entraînement auprès d’autres commerçants, de convaincre ces derniers du bien-fondé du design pour leur succès en affaires et d’avoir un effet structurant sur la revitalisation et la dynamisation des rues commerciales. L’effort public et parapublic pour sensibiliser les commerçants montréalais au design a été sans relâche de 1995 à 2004. L’étude d’impacts alors réalisée avait démontré que le programme a concrètement développé, en dix ans, le marché en design de commerces et induit l’effet d’entraînement recherché. La qualité promue par les Prix Commerce Design Montréal s’est avéré un axe de communication très porteur pour la candidature de Montréal Ville UNESCO de design dont la désignation a été obtenue en 2006. Après dix ans de succès, un élargissement et un repositionnement vers d’autres secteurs d’activités étaient nécessaires. Il s’imposait alors de sensibiliser de nouveaux acteurs à l’amélioration de la qualité du design dans la ville. En 2005, le prolongement de l’action de Commerce Design Montréal fut confié à Créativité Montréal qui réalisa, de 2006 à 2008, trois éditions des Prix Créativité Montréal. De son côté, la Ville de Montréal continua de transférer son expertise et céder des licences à d’autres villes qui reprisent le concept original. « Commerce Design » est devenu une marque de commerce officielle de la Ville de Montréal en 2014. En relançant le programme en 2015, Montréal souhaite continuer à inspirer d’autres villes, à faire grandir le réseau et voir évoluer son concept puis, engendrer des retombées probantes sur son territoire grâce au partage d’expériences. Les grandes étapes de Commerce Design Montréal Appel de candidature : l’objectif est de recruter une centaine de participants d’une grande diversité ; des commerces de tous types et envergure, répartis sur le territoire de l’île de Montréal, récemment aménagés avec l’aide d’un professionnel en design ou en architecture. Jury : le jury retient, suivant l’analyse des dossiers et le visionnement des photos, une quarantaine de commerces finalistes qu’il visite lors d’une tournée d’observation. Il sélectionne 20 commerces et concepteurs lauréats, ex aequo. Parmi les critères qui guident les jurés, la mise en contexte est cruciale, car la sélection vise à refléter plusieurs réalités commerciales à Montréal, afin que les commerçants qui songent à investir dans le design de leur commerce puissent s’identifier et s’inspirer de l’un ou l’autre des établissements primés. Les Prix du jury sont annoncés lors d’une soirée festive qui réunit des centaines d’invités. Rencontres avec les designers : le public est invité à découvrir, lors du weekend « Venez, voyez, votez! » les 13 et 14 juin 2015, les 20 commerces lauréats sous l’angle du design, alors que les concepteurs sont sur place pour accueillir visiteurs et clients et expliquer leur démarche créative. Prix du public : du 11 mai au 31 août 2015, le public peut voter en ligne ou à l’aide d’un bulletin de vote pour son commerce préféré parmi les 20 lauréats. Au terme de la campagne « Votez avec vos yeux!», le commerce qui récolte le plus grand nombre de votes est proclamé « Prix du public » lors d’un événement de presse. Des cartes et chèques-cadeaux échangeables dans les commerces primés sont tirés au hasard parmi les votants, bouclant ainsi la boucle. Voir les partenaires et collaborateurs Prix Frédéric-Metz En août 2014, le milieu du design a perdu un grand pédagogue, un communicateur exceptionnel, un militant en faveur de la qualité en design : Frédéric Metz (1944-2014). Professeur associé à l’École de design, membre fondateur du Centre de design et de l’École supérieure de mode de l’UQAM, il est une figure marquante du design au Québec. Pour perpétuer sa pensée, la Société des designers graphiques du Québec (SDGQ), l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et le Bureau du design de la Ville de Montréal lui rendent hommage en créant le Prix Frédéric-Metz dans le cadre des Prix Commerce Design Montréal 2015, un programme qu’il affectionnait tout particulièrement et auquel il a collaboré pendant plusieurs années. Le Prix Frédéric-Metz récompensera un établissement primé parmi les 20 Prix du jury dont le design (intérieur, graphique) parfaitement intégré, inspirant et efficace « facilite la vie, élève la beauté, la fonction et le sens, adoucit l’expérience, et constitue une valeur ajoutée à la vie quotidienne ». Un trophée, aux couleurs du personnage Metz, sera attribué aux lauréats lors d’une cérémonie spéciale le 14 septembre prochain. Une vidéo produite par deux étudiants en communications de l’UQAM, Gabriel Lajournade et Amélia Blondin, sous la direction artistique de Philippe Lamarre, président sortant de la Société des designers graphiques du Québec, a été réalisée pour l’occasion. Les plus proches collaborateurs et amis de Frédéric Metz témoignent de leur amitié et de leur admiration pour son travail et son legs pour les générations futures. sent via Tapatalk
  8. Afin de maximiser l'offre commerciale du centre-ville et la vitalité des quartiers - La Ville de Montréal lance le Plan commerce avec l'appui financier du gouvernement du Québec MONTRÉAL, le 8 mai 2015 /CNW Telbec/ - Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le ministre des Transports et ministre responsable de la région de Montréal, M. Robert Poëti, annoncent la mise sur pied du Plan commerce. Ce plan directeur définit le cadre dans lequel les stratégies du Service de développement économique de la Ville seront élaborées au cours des prochaines années en matière de mise en valeur et de développement de l'activité commerciale montréalaise. Ce plan dispose d'un budget de 40,5 M$ de la Ville de Montréal, qui comprend une somme de 9,5 M$ provenant d'une aide financière du gouvernement du Québec accordée dans le cadre de l'Entente Montréal 2025, administrée par le Secrétariat à la région métropolitaine. « Le Plan commerce que nous dévoilons aujourd'hui, et qui est appuyé par un budget de 40,5 M$, se veut un engagement ferme de la Ville envers sa diversité commerciale, son centre-ville, les sociétés de développement commercial et le commerce de proximité. Il résulte de notre collaboration avec les arrondissements, les villes liées et l'Association des sociétés de développement commercial (ASDC) de Montréal que je tiens à remercier. Je remercie aussi le gouvernement du Québec pour son soutien financier à ce projet essentiel au développement économique de Montréal. Ensemble, nous avons l'ambition de miser sur une offre commerciale dynamique, afin d'asseoir le rayonnement de notre centre-ville et la vitalité de nos quartiers », a affirmé M. Denis Coderre. « Le gouvernement du Québec est fier de soutenir la mise en œuvre du Plan commerce. Miser sur le dynamisme et la valorisation de l'offre commerciale montréalaise, en faisant appel à la concertation et à la collaboration de tous les acteurs en cause, est une approche stratégique et nécessairement gagnante. Nous adhérons à cette démarche qui permettra de consolider des actions déjà entreprises et d'améliorer le visage et la notoriété de notre métropole. Voilà une vision qui rejoint tout à fait la volonté gouvernementale quant au développement et à la prospérité de Montréal », a ajouté le ministre Robert Poëti. Une forte compétition, qui se joue à l'échelle internationale et qui se répercute chez les commerçants, combinée à la popularité croissante du magasinage en ligne, figurent parmi les enjeux qui exigent de revoir l'approche du commerce de détail, en tenant compte des nouvelles habitudes de vie et de consommation de la population. Malgré de nombreux changements opérés au cours des dernières années, les rues commerciales montréalaises, avec leur ambiance conviviale, leur créativité et une programmation festive, conservent généralement leur attrait pour les consommateurs. Ces commerces innovateurs, créatifs et uniques se retrouvent aujourd'hui bien au-delà du centre-ville. Toutefois, la compétition est bien réelle et il y a lieu de continuer à déployer des efforts soutenus afin de maintenir Montréal et son territoire parmi les destinations commerciales de premier plan. Le Plan commerce, qui couvre dans son ensemble la période de 2015 à 2026, propose quatre axes d'intervention, appuyés par des programmes de financement pour assurer pleinement l'atteinte de ses objectifs : gérer de manière dynamique la fonction commerciale ; dynamiser le centre-ville pour accroître sa contribution au rayonnement de Montréal ; accompagner les commerces lors de travaux d'infrastructures d'envergure sur les grandes artères commerciales ; maintenir l'engagement municipal en soutien à la rénovation commerciale de qualité. Quatre mesures importantes prendront effet dès 2015 et 2016 : La relance du programme PR@M Commerce pour la période 2016-2020, qui passe de 12,7 M$ dans la version précédente (2007-2014) à 15,4 M$, et ce, pour stimuler et aider la rénovation des bâtiments commerciaux sur 20 rues et artères de l'agglomération. À chaque année, quatre rues commerçantes ou grandes artères commerciales seront admissibles au programme ; L'investissement de 1,5 M$ dans la promotion de la diversité commerciale et du commerce de proximité pour l'ensemble de l'agglomération montréalaise ; L'injection, pendant 4 ans, de 4,7 M$ dans les Sociétés de développement commercial (SDC) du territoire de la Ville de Montréal pour les aider à mieux contribuer à l'amélioration des affaires de leur secteur et encourager la création de nouvelles SDC ; La création du programme PR@M Artères en chantier pour un montant 13,9 millions $ afin de tourner une situation négative en une situation d'opportunité lors de la tenue de chantiers d'infrastructures majeurs sur sept artères commerciales montréalaises entre 2015 et 2024. Le secteur commercial montréalais en quelques chiffres Le commerce à Montréal, c'est : 14 000 entreprises de biens et services de consommation, dont 8 331 sont des commerces de vente au détail ; une structure commerciale composée majoritairement de propriétaires indépendants, représentant 30 % des commerçants de l'ensemble du Québec ; une offre commerciale répartie en trois formats, soit le magasin sur rue, le centre commercial et le regroupement de magasins ne partageant pas d'aires intérieures communes ; une abondance de magasins ayant pignon sur rue, composée autant de grandes chaînes, de bannières de franchises que de commerces indépendants ; près de 120 000 emplois contribuant à près de 4,5 % du PIB de l'agglomération ; un chiffre d'affaires global estimé à près de 40 milliards de dollars. SOURCE Communiqués Montréal sent via Tapatalk
  9. Conseil d’arrondissement de Saint-Laurent 18 décembre 2012 8 étages x 2 Cavendish / Henri-Bourassa Le premier projet de règlement numéro RCA08-08-0001-62 a pour objet : - de créer la zone H07-052 à même la zone H07-026 afin de permettre des habitations multifamiliales de 8 étages le long des boulevards Henri-Bourassa et Cavendish; - de créer la zone S07-053 à même la zone I08-009 afin de permettre des habitations multifamiliales de 8 étages et certains commerces et services. http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav14396.pdf
  10. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/401435/arteres-commercantes <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;">DE GRANDES AVENUES EN MUTATION Artères commerçantes sous perfusion Les grandes rues de la métropole montréalaise se cherchent un second souffle </header>1 mars 2014 | Isabelle Paré | Actualités en société <figure class="photo_paysage" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : Jacques Nadeau - Le DevoirLe boulevard Saint-Laurent, à Montréal, doit revenir à ses sources pour retrouver sa vigueur commerciale d’antan.</figcaption></figure><section class="retenir retenir_paysage" style="box-sizing: border-box; width: 230px; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; line-height: 1.2em; background-color: rgb(239, 239, 242); padding: 15px; color: rgb(28, 30, 124); float: left; margin-right: 20px; margin-bottom: 10px; margin-top: 10px;">À lire aussi: La Main retourne à ses sources Avancées piétonnières sur Sainte-Catherine L’avenue du Mont-Royal atteint un plateau La rue Saint-Denis sur la touche Un enjeu de hauteur à Québec</section>Pendant que la rue Saint-Denis périclite, l’étoile de la rue Mont-Royal faiblit et la Main flirte avec l’art et le Web pour sortir de sa morosité. Au moment où le maire Coderre annonce un vaste chantier pour piétonniser la rue Sainte-Catherine, Le Devoir est allé prendre le pouls de ces grandes artères de la métropole, à la recherche d’un second souffle. La complainte du Dix30, plusieurs commerçants de la métropole en ont soupé. « La faute aux banlieues, c’est trop facile. Les centres commerciaux, ça existe depuis les années 70. Mais la Ville se fout des artères commerçantes alors qu’il se construit des milliers de condos à Montréal. Qu’est-ce qui cloche ? », fustige un commerçant rencontré dans la rue Saint-Denis cette semaine. Mieux vaut le dire tout de suite, l’ambiance est morose dans plusieurs des grandes rues qui ont été au coeur du commerce de détail dans la métropole depuis cent ans. Immeubles à vendre, commerces vacants, ou loués à des vendeurs de pacotille : plusieurs secteurs de Saint-Laurent, Sainte-Catherine ou Saint-Denis ont perdu de leur lustre d’antan. Et dans la foulée, leurs clients. Si les détaillants en ont marre de se faire rebattre les oreilles avec la concurrence venue des « power centers » qui poussent comme des champignons en banlieue, le diagnostic, lui, est implacable. Pour Jacques Nantel, professeur titulaire de marketing à HEC, il est clair que ce qui fait mal aux artères commerciales de Montréal, c’est que les plus grands consommateurs de produits, les familles, ont massivement migré vers les banlieues. « Le plus bel exemple est la rue Sainte-Catherine, qui attirait autant des résidants de Montréal que de l’extérieur. La population environnante n’est plus là », dit-il. Mais ce n’est pas du tout. « Une artère, c’est quelque chose qui se travaille. Ça ne se maintient pas tout seul. Ça prend une concertation intense des commerçants », ajoute ce spécialiste, qui compare la situation vécue sur certains segments de la rue Sainte-Catherine et du boulevard Saint-Laurent « à un désastre ». La clé du succès est simple comme une recette de gâteau quatre-quarts, plaide-t-il. « Il faut une mixité parfaite, avec un tiers de services, un tiers de produits et un tiers de divertissements. Il faut des commerces de détail, mais aussi des services, des restos, des cafés, des cinémas. Une rue bourrée de restaurants, ça tombe le jour où les gens découvrent autre chose de plus intéressant à faire ailleurs. » Revitaliser pour séduire La rue Prince-Arthur en sait quelque chose. Ce tronçon piétonnier couru pour ses terrasses animées et ses bars il y a 30 ans est aujourd’hui un corridor désert balayé par le vent huit mois sur douze. Frappées de plein fouet par le syndrome décrit par la fameuse chanson des Colocs (Y’est tombé une bombe su’a rue principale, depuis qu’y ont construit : le centre d’achat !), des dizaines de villes ont fait appel depuis ces dernières années à la Fondation Rues principales. Gatineau, Saguenay, Dorval, le Sud-Ouest de Montréal… Les symptômes sont généralisés. « La montée des banlieues, c’est vrai, mais ce n’est pas tout. Il faut de la concertation, de l’animation, rendre le secteur attrayant à l’année. On ne peut pas se contenter de rénover des façades, puis se croiser les doigts. Pour revitaliser de façon durable, il faut s’attaquer à tous ces volets en permanence », dit Émilie Têtu, coordonnatrice aux communications à Rues principales. Preuve que le repositionnement est possible, la rue Fleury et même le marché Jean-Talon, semi-couvert, ont réussi à « s’imposer 52 semaines par année », soutient Jacques Nantel. Savant mélange de commerces, offres de transport en commun, stationnements intelligents, supports à vélo et mobilier urbain invitant : aucun détail ne doit être laissé au hasard pour assurer la vitalité d’une artère. « Si on regarde la rue Sainte-Catherine, aucune de ces conditions n’existe ! », tranche Jacques Nantel, qui donne l’exemple des mesures prises par Strasbourg, Toulouse et Chicago pour renouveler leur centre-ville. « À Strasbourg, la ville a pris les grands moyens. Le centre-ville est quasiment entièrement piétonnier et le tramway, omniprésent. » Nouveaux résidants sur la touche Il y a sept ans, une étude réalisée sur les achats faits par les résidants du centre-ville (rue de la Commune au sud, Sherbrooke au nord, Griffintown à l’ouest, et de Bleury à l’ouest) a démontré que ces derniers concluaient 60 % de leurs achats sur la Rive-Sud.« Une catastrophe ! » selon Jacques Nantel. Pourtant, ce n’est pas la population qui manque, relance ce dernier. Deux mille condos ont poussé dans Griffintown et 7000 sont en cours de construction ou projetés en plein centre-ville de Montréal. Comment s’explique alors l’asphyxie des artères de la métropole ? « Dans certains quartiers, la densité s’accroît, mais personne ne planifie de trame commerciale conséquente. Où vont ces gens pour acheter des meubles ou des électroménagers ? La Rive-Sud. C’est comme si on avait jeté l’éponge », dit-il. Du côté de l’alimentation, certains géants commencent déjà à redéployer des « petites surfaces urbaines » pour répondre à cette nouvelle clientèle. La chaîne Métro installera deux marchés, l’un dans la future Tour de l’avenue et l’autre dans Griffintown. Un marché Adonis ouvrira ses portes dans le projet Séville, rue Sainte-Catherine. Paradoxalement, le boom immobilier vécu dans le secteur résidentiel à Montréal a aussi nui aux artères commerçantes, où les coûts de location caracolent, fragilisant les petits commerces. Selon plusieurs détaillants, de nombreux propriétaires refilent la totalité du bond observé sur leur avis d’imposition aux locataires. « La spéculation dans le secteur résidentiel a incité des propriétaires à garder leurs locaux vacants pour mettre en vente leurs immeubles, recherchés par les promoteurs de condos. Ça, c’est le début de la fin pour une artère commerçante », dit-il. Peut-on encore renverser la vapeur ? Une bonne dose de volonté politique, le prix de l’essence et la gifle assenée par le cybercommerce à plusieurs géants des grandes surfaces annoncent des jours meilleurs pour les centres-villes, disent plusieurs spécialistes. « Je suis prêt à parier que d’ici quelques années, les gens vont faire leurs achats ennuyants sur Internet et réinvestir leur temps dans les commerces de proximité, plus personnalisés. » La sape du commerce électronique Depuis que le lèche-vitrines peut se faire dans le confort douillet de son salon (12 % des achats se concluent au bout d’un clic — en excluant les secteurs de l’alimentation et de l’automobile), plusieurs détaillants en arrachent. « Les commerces doivent se distinguer par l’offre d’une expérience unique et le service à la clientèle. Autant de choses qu’on ne retrouve ni sur Internet ni dans une grande surface de banlieue », affirme Jacques Nantel, professeur de marketing à HEC. *** Taux d’inoccupation de certaines artères commerçantes de Montréal (hiver 2013) SDC avenue du Mont-Royal : 5 % SDC promenade Fleury : 3 % SDC Ontario et Sainte-Catherine Est : 13 % Promenade Masson : 3 % Plaza Saint-Hubert : 3 % Petite-Italie et marché Jean-Talon : 11 % Moyenne des artères : 8 % Source PR@M-Commerce, Ville de Montréal
  11. http://www.quartierhochelaga.com/vandalisme-chez-des-commerces-dhochelaga-maisonneuve/ Publié par : Jean-Pierre J. Godbout 27 novembre 2013 dans Citoyenneté 17 commentaires Le Chasseur, rue Ontario Si de la neige est tombée sur Montréal ce matin, c’est plutôt une vague de nouveaux actes de vandalisme envers des commerces ciblés et bien connus qui a secoué le quartier. Les vitrines du resto-bar Le Chasseur, des bistros Bagatelle et Le Valois sur la rue Ontario ainsi que du bistro In Vivo sur la rue Sainte-Catherine ont été cassées en même temps que leur était laissé un message clairement anti-embourgeoisement au ton agressif. Réveillée à 4 h 30 ce mercredi 27 novembre par un appel de l’entreprise responsable du système d’alarme, la copropriétaire du bistro In Vivo Annie Martel s’est rendue au restaurant afin de constater l’état de la situation. « On avait une fenêtre brisée, et j’ai trouvé une brique à l’intérieur accompagnée d’un message.» (Voir l’image ci-dessous.) Le message retrouvé chez certains commerçants vandalisés. Les policiers, arrivés sur place une heure et demie après l’appel au service d’urgence 9-1-1, n’ont pu que constater les dégâts en précisant à Mme Martel qu’il y avait « [des] anarchistes dans le quartier », comme quoi ils n’étaient pas surpris d’un tel acte. Tandis que les agents du SPVM étaient encore au bistro In Vivo, ils ont reçu un appel pour la même raison, mais concernant cette fois Le Valois, sur la rue Ontario. Préoccupée par le fait que certains commerçants ne disposent pas de système d’alarme, Mme Martel s’est déplacée vers d’autres commerces susceptibles d’être visés par les vandales. Elle a pu constater les dégâts au Chasseur et au Valois. Du côté de Bagatelle Bistro, en plus de la brique lancée dans le commerce, l’intérieur de ce dernier avait été aspergé de peinture, forçant la fermeture de l’établissement pour la journée. Mathieu Ménard du resto-bar Le Chasseur a constaté à quel point les vandales ont dû forcer pour arriver à casser une vitrine de son commerce. À l’extérieur de la porte d’entrée on y trouvait une brique cassée en deux, outil présumé de la tentative d’effraction et puis à l’intérieur, le marteau utilisé pour réaliser les dégâts laissé derrière. «On essaye juste de travailler nous aussi », mentionne M. Ménard, plutôt dépassé par la vague de vandalisme dans le quartier. « Ça commence à être lourd » Malheureusement, la scène ne fait que rappeler les nombreux incidents du genre survenus au cours de la dernière année; pensons à la peinture jaune sur la devanture du saucissier William J. Walter au mois de mai, à l’unicorne de Zone Homa peint en rouge l’été dernier et, tout récemment, au graffiti de nature politique inscrit sur un mur du bistro In Vivo. « Ça commence à être lourd », souligne Mme Martel au sujet de la situation qui prend sérieusement de l’ampleur. Du côté du SPVM, on confirme la production de quatre rapports pour les incidents, mais on n’a aucun suspect dans ces affaires et on n’a procédé à aucune arrestation pour l’instant. À la suite de l’analyse de ces nouveaux rapports, le service de police sera en mesure de décider s’il y a lieu de mener une enquête plus approfondie.
  12. Ivanhoé Cambridge annonce un investissement de 30 millions $ pour la construction d'un immeuble de bureaux de classe A de six étages sur le site de Centropolis, au cœur du centre-ville de Laval. La venue du 3055 Saint-Martin Ouest s'inscrit dans le processus de développement du concept de Centropolis, un prestigieux parc immobilier à ciel ouvert qui recrée un esprit de quartier dans un environnement de style urbain alliant plaisir et travail. La mise en chantier du 3055 Saint-Martin Ouest est prévue pour cet automne et sa livraison est fixée à 2014. Objectif : LEED CS Argent Le 3055 Saint-Martin Ouest sera construit selon les normes de construction les plus élevées de l'industrie et visera la certification LEED-CS Argent, permettant d'approcher les sociétes ayant de hauts standards de responsabilité sociale. Faits saillants du projet 7 étages dont 5 étages de bureaux, un étage de commerces et un sous-sol ; Superficie de plancher d'environ 19 000 pi ca dont environ 117 000 pi ca de bureaux et 17 800 pi ca d’espace de commerces ; Hauteur libre des bureaux : 9 pieds ; Environ 50 places de stationnement intérieur et ajout d’environ 200 places sur le site ; Bâtiment entièrement conçu en mur-rideau ; Un bassin de rétention des eaux pluviales ; Marquises végétalisées ; Toiture principale blanche diminuant ainsi les impacts sur le réchauffement climatique. Source : Ivanhoé Cambridge
  13. Ce projet aurait pu se retrouver dans la section rénovations aussi, car c'est la conversion de la manufacture de vêtements « Utility » via Guide Habitation : Description * Prix 1 chambre prix N/D 2 chambres prix N/D * Prix avant taxes. Valeur indicative seulement, prix sujets à changements sans préavis. Des unités avec autres caractéristiques, tailles, nombre de chambres et prix peuvent être disponibles. Avis légal . Dernière mise à jour : 2014-02-26 U-Lofts offre 18 condos, de 1 ou 2 chambres, de 586 à 993 pieds carrés, dans l'ancienne manufacture de vêtements « Utility », au coeur de la Petite-Italie. Profitant d'une localisation avantageuse, à proximité des transports en commun, du marché Jean-Talon, du parc Jarry et de nombreux services et commerces, le projet se distingue par son architecture sobre qui respecte aussi bien le caractère initial de la bâtisse que celui du quartier. Soyez parmi les premiers à découvrir le projet et profitez de prix pré-construction! Inscrivez-vous maintenant : http://www.u-lofts.com
  14. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/401486/la-main-retourne-a-ses-sources
  15. J'ai trouvé un site plutôt cool (je trouve). Walk Score™ Le site évalue par différent critères savants le degré de marchabilité (je sais pas si il y a un meilleur mot ?) d'un quartier. Il génère un score de 1 à 100. * 90–100 = Walkers' Paradise: Most errands can be accomplished on foot and many people get by without owning a car. * 70–89 = Very Walkable: It's possible to get by without owning a car. * 50–69 = Somewhat Walkable: Some stores and amenities are within walking distance, but many everyday trips still require a bike, public transportation, or car. * 25–49 = Car-Dependent: Only a few destinations are within easy walking range. For most errands, driving or public transportation is a must. * 0–24 = Car-Dependent (Driving Only): Virtually no neighborhood destinations within walking range. You can walk from your house to your car! Il donne aussi une liste de tous les commerces par catégorie et leur distance du point de mesure (l'adresse de recherche) Le site est principalement destiné au É.U. mais il fonctionne pour le Canada. Le plus gros bug que je remarque, c'est le manque de d'information sur les commerces environnants. En fait il semble avoir moins de commerces inscrits dans la banque de donnée Google au Canada qu'au É.U. Pour mon quartier, il manquait plusieurs commerces dans le relevé. C'est certains que ça doit affecter à la baisse le score finale. J'ai vérifié pour des endroits centrales comme le plateau et le centre-ville et le score est plutôt bas. Il me semble que plusieurs quartier de Montréal devrait être des Walkers' Paradise
  16. (13/04/2007) Les Montréalais pourraient bientôt aller magasiner sous le viaduc du boulevard Notre-Dame. Le maire de Montréal a laissé échapper cette information hier, lors de sa conférence de presse sur la démolition de l'autoroute Bonaventure. Gérald Tremblay commentait alors le projet de transformer le viaduc du CN en galerie marchande et s'est permis un parallèle avec celui de Notre-Dame. Le viaduc Notre-Dame a été conçu pour accueillir des commerces sous sa structure. Mis à part les trois arches de métal qui délimitent les rues qui se rendront au fleuve, le reste de l'ouvrage est en béton et peut facilement s'adapter à une vocation commerciale. La construction de nombreuses unités d'habitation tout autour du viaduc amène la Ville à soutenir l'implantation de commerces de quartier à cet endroit. «Il y a un promoteur qui s'appelle Télémédia qui a acheté la gare Viger pour neuf millions de dollars. Il y a un financement international très important et, dans les plus brefs délais, on va annoncer un projet. Et vous allez voir, ce qui était prévu il y a un certain nombre d'années va se réaliser», a laissé entendre le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Développement Télémédia s'est refusé à tout commentaire, prétextant que l'annonce était prématurée et qu'une conférence de presse sera convoquée en mai sur cette question. La compagnie qui souhaite développer ce quartier s'est associée à deux autres investisseurs européens. Déjà, on sait qu'elle veut transformer l'ex-gare Viger en hôtel de luxe et construire des tours d'habitation dans le stationnement de l'ex-gare. Dans les années 90, l'ex-maire Jean Doré avait proposé un projet semblable, mais rien n'avait été fait.
  17. Nouveau projet du Groupe Rossi pour des condos et commerces au rez de chaussée. Emplacement actuel (commerce de produits nettoyants): http://maps.google.ca/maps?hl=fr&q=groupe+rossi+condo+plateau&ie=UTF8&ll=45.534495,-73.577081&spn=0,0.005284&z=18&layer=c&cbll=45.534495,-73.577979&panoid=kryZNo3NAxAtDsmwuCiF_A&cbp=12,66.27,,0,11.67 http://www.grouperossi.ca/
  18. Le projet de 12 condos (576-1230 pi.ca) sera situé au 1325 Laurier est, sur le coin nord-ouest de la rue Lanaudière et comprendra des commerces au RC et stationnements intérieurs. Pour ceux qui connaissent le coin, c'est l'emplacement actuel de "Vincent Sous-Marins" http://www.aldoconstruction.ca/fr/le_laurier_html
  19. Description Projet de 17 condos de 1 ou 2 chambres (850 pi2 à 1800 pi2) sur 1 ou 2 étages. Certification Novoclimat à venir. Prix: de 204 500$ à 294 900$ + taxes. Stationnement disponible : + 15 000$ + taxes Éligible aux subventions de la Ville de Montréal. Situé près du métro Verdun et de nombreux commerces. Livraison: juillet 2013. C'est un projet des Habitations KPR. Site Web : http://www.michelpaquette.com
  20. Vaudreuil-Dorion: construction urbaine autour de la gare Le Félix Vaudreuil-Dorion comptera 210 appartements locatifs pour retraités actifs et 28 unités pour personnes en perte d’autonomie. Le 1 juin 2009 Danielle Bonneau La Presse Il y aura sous peu beaucoup d'activité autour de la gare Vaudreuil. À l'est, le projet Les Condos de la Gare vient de démarrer. À l'ouest, un promoteur élabore avec la Ville de Vaudreuil-Dorion le plan de développement qui encadrera la construction d'environ 2000 logements, de même que des espaces de bureau et commerciaux, sur un territoire de trois millions de pieds carrés. D'ici cinq ans, des édifices de 10 étages devraient être bâtis de part et d'autre des voies ferrées. Le but de la municipalité? Appliquer les principes du TOD (Transit Oriented Development ou développement axé sur les transports en commun) et densifier les abords de la gare. Un grand nombre de résidants pourront ainsi s'y rendre à pied. Selon cette philosophie, de nombreux commerces sont construits à proximité pour diminuer la dépendance à l'automobile. La venue de centres commerciaux, qui abritent des restaurants et des magasins comme Walmart, Winners et Future Shop, n'est pas un hasard. «Le développement se fait en fonction de la gare», indique Guy Pilon, maire de Vaudreuil-Dorion. Au cours des cinq prochaines années, de 2500 à 3000 nouveaux logements devraient être construits dans un rayon d'un kilomètre autour de la gare, révèle-t-il. La typologie des habitations changera à mesure qu'elles s'en rapprocheront. Les maisons individuelles, jumelées et en rangée feront graduellement place à des immeubles de quatre et cinq étages, puis de 10 étages, de chaque côté des voies ferrées, pour répondre aux besoins variés de la future clientèle. Déjà, le Groupe Maurice a entrepris la construction de la résidence Félix Vaudreuil-Dorion, qui comptera environ 300 unités. Le vaste immeuble de cinq étages devrait ouvrir ses portes en juin 2010. La présence des nombreux commerces, à proximité, a beaucoup influencé le choix du terrain. «Beaucoup de retraités veulent être près d'une épicerie, d'une pharmacie et des magasins, souligne Luc Maurice, président de l'entreprise. Ce sera plus facile le jour où ils ne pourront plus conduire leur voiture.» Dans le projet Les Condos de la Gare, huit immeubles comptant chacun 16 unités seront construits. Toujours à l'est des voies ferrées, le duo de constructeurs Les Habitations Raymond Allard et Les Habitations Sylvain Ménard vient de lancer le projet Les Condos de la Gare. Dans un premier temps, huit immeubles de quatre étages, comptant chacun 16 unités, seront construits. Deux tours d'habitation de 10 étages, totalisant 80 logements, seront ensuite bâties en face de la gare. «Nous ciblons une clientèle jeune qui travaille à Montréal et veut prendre le train pour s'y rendre», indique Sylvain Ménard. Pour faciliter l'accès à la propriété, les 16 unités sont uniformes, avec deux chambres, précise Raymond Allard. Les appartements coûtent de 139 900$ à 163 900$, taxes incluses, pour une superficie de 1191 pieds carrés. 2000 unités, parcs et lacs À l'ouest de la voie ferrée, Vaudreuil Realty Group élabore, en collaboration avec la municipalité, un plan d'envergure qui encadrera l'aménagement d'un immense terrain de trois millions de pieds carrés. Aux abords de la gare, la construction d'immeubles de 10 étages abritant des appartements en copropriété, mais aussi des espaces de bureau, des commerces et possiblement un CLSC, est au coeur des discussions. Un complexe sportif pourrait par ailleurs s'ajouter non loin. En tout, 2000 habitations, entourées de lacs, de parcs, de sentiers pédestres et de pistes cyclables seront construites au cours des prochaines années, révèle Michael Sochaczevski, un des partenaires de Vaudreuil Realty Group. Le terrain du promoteur, vendu graduellement à des constructeurs et des promoteurs de commerces de détail comme SmartCenters et Walmart-First Pro, mesurait à l'origine 10 millions de pieds carrés.
  21. À l’orée du chic et convoité quartier Fontainebleau se dressera bientôt le projet résidentiel Élysée. Conciliant à merveille les commodités de la vie citadine et la splendeur de la nature bienfaisante, l’Élysée Fontainebleau est synonyme de raffinement et de modernité, de confort et de distinction. Grâce à l’esthétique à la fois classique et contemporaine de son architecture, l’Élysée Fontainebleau possède le charme bucolique des grandes demeures européennes. La présence d’un joli ruisseau bordé d’arbres matures apporte la touche distinctive à l’endroit. La piste cyclable passant à proximité et les nombreux parcs environnants lui donnent un air champêtre empreint de sérénité. Cette oasis de tranquillité est néanmoins fort bien desservie par le réseau de transport en commun et profite de la proximité de nombreux commerces de détail et de services ainsi que de grands axes routiers. Ce projet résidentiel, luxueux mais abordable, se caractérise, en outre, par sa conception soignée résolument moderne mettant à l’honneur des matériaux nobles dans chacune des unités. L’Élysée Fontainebleau, une adresse de prestige à découvrir. http://www.elysee.qc.com/le-projet.html
  22. On dévoilait hier le projet préliminaire du Programme particulier d’urbanisme (PPU) pour le secteur de la rue Jarry Est qui vise à revitaliser cette artère urbaine de 1,9 km et la rendre plus conviviale, sécuritaire et attrayante tout en intégrant des principes de développement durable. Structurer le secteur Le territoire visé se situe de part et d’autres de la rue Jarry Est, entre la rue D’Iberville et le boulevard Pie-IX. Le territoire a été subdivisé en quatre secteurs de planification contenant chacun des orientations distinctes : ■La Porte d'entrée couvre la portion de la rue Jarry Est située au croisement du boulevard Crémazie Est jusqu'à la 2e Avenue. Ce secteur comprend notamment la Cité des arts du cirque. Orientation : mettre en valeur l’entrée du parc du Complexe environnemental de Saint-Michel (CESM) et ses abords en révisant l’aménagement du domaine public. ■Le Cœur du quartier est la portion du territoire qui comprend les propriétés de la rue Jarry Est situées entre la 2e et la 14e Avenue. Elle est caractérisée par la concentration de bâtiments institutionnels et une faible intensité commerciale. Orientation : assurer la vitalité de ce secteur par la création d’un milieu de vie attrayant tout en favorisant la fonction résidentielle. ■Le secteur Des affaires englobe les terrains situés au nord de la rue Jarry Est entre l'avenue Joseph-Guibord et le boulevard Pie-IX. Il se distingue par la présence d'industries et de commerces de gros. Orientation : optimiser le développement des activités économiques. ■Le secteur Vitrine Crémazie et les Avenues est délimité par la rue Jarry Est, le boulevard Crémazie Est, la 14e et la 20e Avenue. Il se compose majoritairement de commerces liés à l'automobile, de petits ateliers industriels et des entrepôts. Orientation : modifier la vocation en secteur mixte afin de permettre l’établissement de bureaux, commerces, habitations et industries légères et en rehausser l’image pour le positionner comme un secteur dynamique. Le PPU – secteur de la rue Jarry Est constitue le fruit d’une démarche participative tenue auprès des partenaires du milieu et d’experts en aménagement urbain. Rappelons que le conseil d’arrondissement avait déjà mandaté en juin 2010 la firme AÉCOM pour l’élaboration d’une étude de planification détaillée pour revitaliser cette importante voie urbaine. Des professionnels de divers services à l’arrondissement et à la Ville ainsi que les partenaires du milieu (commerçants, industriels et organismes communautaires) ont participé dans le cadre de cette étude à plusieurs activités de consultation afin de mieux cerner les enjeux inhérents à ce territoire et saisir les préoccupations du milieu dans le but de les intégrer au PPU. Avec ce projet préliminaire, le PPU – secteur de la rue Jarry Est franchit une nouvelle étape. Une consultation publique locale prendra place cet hiver. La mise en œuvre du PPU nécessitera par la suite une série d’interventions sur le domaine public ainsi qu’un amendement au plan d’urbanisme de la Ville de Montréal et à la réglementation de zonage de l’arrondissement Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension en vue d’une adoption au conseil municipal de la Ville de Montréal au printemps 2013. Source : Ville de Montréal http://www.portailconstructo.com/actualites/revitalisation_rue_jarry_est_%E2%80%93_presentation_projet_preliminaire_ppu
  23. Le RL Comme ses initiales le rappellent si bien, le RL sera bientôt érigé en plein front du boulevard René-Lévesque, côté sud, à l'angle de la rue Dorion, un endroit convoité pour sa localisation des plus avantageuse à deux pas de la station de métro Papineau, près de la tour de Radio-Canada, des pavillons de l'UQAM, du night life, etc. Mentionnons aussi la proximité des commerces et attractions de la rue Sainte-Catherine (cafés, saunas, discothèques, restos, boutiques en tous genres), le tout vibrant au rythme du village considéré comme l'un des plus importants quartiers gays du monde. http://groupecpf.ca/pages/gconstruction/projets/en_cours/rl/gc_rl.htm
  24. La version préliminaire du plan d’aménagement, telle que présentée au cours de cette soirée, prévoit, entre autres, la construction de 600 à 900 logements, de quelque 20 000 m 2 de commerces et de bureaux, un nouveau parc, des milieux naturels protégés, ainsi que de nouvelles rues reliées au réseau existant. À terme, le Quartier de la gare générera des investissements privés de 200 M $ et des revenus fonciers supplémentaires de 3,4 M $ par année. La Ville de Montréal, pour sa part, consacrera 6 M$ à l’aménagement des infrastructures municipales dans ce nouveau quartier. Depuis plusieurs mois déjà, l’arrondissement et la Ville de Montréal s’affairent à mettre sur la table tous les éléments nécessaires au développement du futur Quartier de la gare. La version préliminaire du plan d’aménagement de ce nouveau quartier, qui sera aménagé sur les terrains vacants adjacents à la future gare Pointe-aux-Trembles, reflète les plus récentes tendances en matière d’aménagement et de développement durable. En effet, le futur Quartier de la gare s’inspire d’un concept d’aménagement appelé Transit Oriented Development (TOD) axé sur l’utilisation du transport collectif (autobus, métro, train) et actif (voies cyclable et piétonnière), tout en réduisant l’utilisation de l’automobile grâce à l’aménagement de milieux de vie et de travail complet et animé, comprenant des habitations, des espaces verts, des commerces et des lieux de travail, ainsi qu’un accès direct à la gare, dans ce cas-ci. Dans le cadre de la réalisation du Train de l’Est, le secteur de Pointe-aux-Trembles est le seul à Montréal où il est possible de créer un tout nouveau milieu de vie dans un quartier urbain moderne. http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_RDP_FR/MEDIA/DOCUMENTS/CONSULTATION%20PUBLIQUE_GARE%20DE%20PAT.PDF
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