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  1. à cet endroit, la limite Sud de RdP c'est Henri-Bourassa et non la 40, donc techniquement, le centre serait dans Pointe-aux-Trembles via LaPresse : Publié le 09 juillet 2014 à 11h29 | Mis à jour à 14h11 Rivière-des-Prairies accueillera le centre de compostage Le croquis du futur centre de compostage. IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL KARIM BENESSAIEH La Presse Neuf mois après avoir annoncé qu'il «tirait la plogue» sur le centre de compostage dans Saint-Michel, le maire Denis Coderre a présenté ce matin son choix de rechange : un parc industriel de l'arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles. Situé à l'angle des boulevards Saint-Jean-Baptiste et Métropolitain, ce futur centre qui commencera ses activités en 2019 est situé à 1,5 kilomètre des résidences, «soit trois fois la norme de 500 mètres», a précisé en point de presse à l'hôtel de ville le maire. Le terrain appartient à la Ville et n'exige pas de travaux importants de décontamination, a-t-il assuré. «Aujourd'hui, nous tenons parole, a-t-il déclaré. Tout le monde veut une ville plus verte. Nous comprenons que l'emplacement puisse être un irritant pour certains, mais je le répète souvent, gouverner c'est choisir. Nous avons effectué le choix le plus équitable possible, bénéfique pour le plus grand nombre.» Le centre de compostage traitera 29 000 tonnes de résidus verts et de «digestat», la matière résiduelle après qu'on ait extrait le méthane des déchets. Il fera l'objet d'une consultation publique que l'Office de consultation publique de Montréal sera appelé à organiser cet automne. L'administration Coderre souhaite que le rapport soit déposé avant la fin de l'année. Une solution «pratico-pratique» Ce centre est la cinquième infrastructure qui sera construite à Montréal dans le but d'éliminer l'enfouissement des déchets en 2020. La construction des cinq centres coûtera 237 millions, dont 130 proviendront de Québec et d'Ottawa. On espère produire 65 800 tonnes de compost annuellement, essentiellement pour les besoins horticoles de la Ville et la décontamination des sols. Les trois autres centres de traitements des matières organiques seront construits à Saint-Laurent, Montréal-Est et LaSalle. Un autre centre pilote de prétraitement devrait être construit sur le site de l'ancienne carrière Demix. Tous devraient être fonctionnels en 2019 à l'exception de LaSalle, dont l'ouverture est prévue en 2024. C'est au nom de l'équité territoriale que les administrations précédentes avaient choisi, pour la partie nord, le Complexe environnemental de Saint-Michel (CESM). En optant plutôt pour Rivière-des-Prairies, on choisit «une solution pratico-pratique, dans un site industriel», estime M. Coderre. Le CESM continuera quant à lui à servir au compostage de quelque 19 000 tonnes de résidus verts chaque année. «Il y a une réalité politique à laquelle on est confronté, il y avait une situation par rapport aux résidants de Saint-Michel, a rappelé le maire. C'est sûr qu'il y a des gens qui ne seront pas contents, c'est pour ça qu'on fait une consultation publique. On va se parler.» Impact limité Le responsable de l'environnement au comité exécutif, Réal Ménard, a rappelé qu'à peine 11 % des déchets étaient aujourd'hui «revalorisés», alors que la Ville a techniquement l'obligation d'atteindre le seuil des 60 % dès l'an prochain. Concrètement, chaque Montréalais produit 514 kg de matières résiduelles par année dont seulement 21 sont revalorisés. «On n'est pas en avance, mais plutôt sous le sceau de l'urgence», a-t-il reconnu. Il a qualifié l'annonce de ce matin de «journée historique pour l'environnement» et s'est dit assuré que le projet de centre ne suscitera pas de levée de boucliers. «Nous sommes sûrs qu'au niveau des odeurs, du camionnage, ça va être compatible avec le milieu d'insertion. La Ville de Montréal n'aura pas le choix de déposer une étude de dispersion des odeurs et du camionnage qui montre qu'on respecte les critères.» Pour la mairesse de l'arrondissement, Chantal Rouleau, l'implantation de ce centre est une occasion en or de donner un coup de pouce à un parc industriel dont les infrastructures sont déficientes. «Nous voulons devenir une destination de choix pour les entreprises en technologie propre. Grâce au centre de compostage, nous cultiverons nos actifs. Le compost produit contribuera à la décontamination des sols de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles.» «De la petite politique» Le chef de l'opposition officielle, Richard Bergeron, a dénoncé le fait que le quartier Saint-Michel continuera à accueillir des activités de compostage à ciel ouvert. Il estime que l'équipe Coderre, et notamment la mairesse de l'arrondissement Anie Samson, ont «menti et manipulé la population de Saint-Michel» en campagne électorale. «On est dans la bien petite politique. La population va continuer de souffrir.» Le porte-parole de Projet Montréal en matière d'environnement, Sylvain Ouellet, estime que «le statu quo est pire que le projet qui était présenté». Le compostage de résidus verts qui se fait depuis une dizaine d'années au CESM «génère plus d'odeurs et de camionnage que le centre de compostage projeté». Sa collègue Laurence Lavigne Lalonde, conseillère dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, estime quant à elle que le principe d'équité territoriale n'est pas respecté, avec trois installations dans l'est de Montréal. «L'Est paie déjà sa juste part, avec des raffineries, un incinérateur de boues municipales, un centre de transbordement de déchets et 16 entreprises liées à la gestion des matières résiduelles.» Le Conseil régional de l'environnement de Montréal a quant à lui accueilli avec satisfaction cette annonce. «Avec ses deux sites de traitement des matières organiques, l'Est de Montréal a une formidable occasion de déployer un pôle d'industries vertes, a déclaré par communiqué Coralie Deny, directrice générale. On est loin ici des industries lourdes très polluantes à deux pas des résidences.» Emplacement du futur centre de compostage. IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL
  2. Publié le 10 septembre 2016 à 11h31 | Mis à jour le 10 septembre 2016 à 11h31 Un centre d'expertise en économie sociale à Montréal Le Forum mondial de l'économie sociale, qui s'est terminé hier, aura des répercussions à long terme à Montréal : la ville accueillera une nouvelle organisation internationale vouée au partage de l'expertise en matière d'économie sociale et solidaire. Les villes de Séoul, Bilbao, Mondragón (Pays basque) et Barcelone sont les partenaires de Montréal dans la création du Centre international de transfert d'innovations et de connaissances en économie sociale et solidaire (C.I.T.I.E.S.). « Cinq personnes y travailleront pour commencer, mais ça pourrait rapidement augmenter à 10 ou 12, puisque d'autres villes sont intéressées à participer », a indiqué le maire de Montréal, Denis Coderre, en entrevue à la suite de cette annonce. «Il y a un momentum autour de l'économie sociale, et le fait que Montréal accueille le siège d'une nouvelle organisation internationale consolide notre rôle de leader dans ce domaine.» Denis Coderre Les entreprises de ce secteur se développent plus rapidement et plus efficacement quand elles peuvent échanger leurs connaissances, souligne Nancy Neamtan, conseillère au Chantier de l'économie sociale, qu'elle a contribué à fonder. « Tout notre mouvement s'est construit en empruntant les meilleures idées ailleurs », dit-elle. Le Forum mondial de l'économie sociale, qui a réuni pendant trois jours à Montréal 1500 personnes provenant d'une soixantaine de pays, s'est conclu hier par une déclaration incitant les participants à faire la promotion de ce modèle économique, qui vise le bien-être des communautés plutôt que la maximisation des profits, notamment par la construction de partenariats public-privé-collectif. Un centre d'expertise en economie sociale a Montreal | Isabelle Ducas | Quebec
  3. Pierre-André Normandin La Presse L'augmentation du nombre de décès de piétons sur les routes du Québec incite Montréal à maintenir l'interdiction du virage à droite au feu rouge, a indiqué le maire Denis Coderre. <!-- .excerpt --> La Société d'assurance automobile du Québec a présenté hier le bilan routier sur les routes de la province. Si le nombre de décès a globalement diminué l'an dernier, une hausse de 40 % a été observée chez les piétons. Le maire de Montréal estime que ce bilan peu reluisant met fin au débat lancé par certains maires de l'île pour permettre le virage à droite au feu rouge, comme ailleurs dans la province. « C'est clair qu'il n'y aura pas de virage à droite à Montréal. Ça met le couvercle », a indiqué Denis Coderre ce matin. Pas question de revenir sur cette décision, a-t-il ajouté. « Montréal reste ferme sur cette question. » http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201704/05/01-5085560-le-bilan-routier-scelle-le-sort-du-virage-a-droite-a-montreal.php<strike></strike>
  4. Richard Bergeron se joint à l’Équipe Denis Coderre Après avoir siégé deux ans comme indépendant, l’ex-chef de Projet Montréal, Richard Bergeron a rejoint dimanche l’équipe de Denis Coderre. «Vous savez que j’ai été son concurrent aux dernières élections, mais j’ai appris à travailler avec lui depuis trois ans», a rappelé dimanche Richard Bergeron à propos de sa collaboration avec Denis Coderre en 2014, lors de la création du bureau de l’inspecteur général. Le maire de Montréal a profité du colloque de son parti, dimanche, pour annoncer que M. Bergeron, ancien chef de Projet Montréal qui siégeait comme indépendant depuis deux ans au Comité exécutif, rejoignait ses rangs. Il s’agit du troisième élu à passer de Projet Montréal à l’Équipe Coderre, après Marc-André Gadoury en août 2015 et Érika Duchesne en mars dernier. Russel Copeman, maire de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, a lui aussi rejoint les rangs de l’Équipe Coderre vendredi dernier. «À un an de l’élection presque jour pour jour, il était important de prendre cette décision», estime M. Coderre. « Triste » «Ce n’est pas une surprise, mais il faut dire que depuis que Richard Bergeron n’est plus à Projet Montréal, nous n’avons jamais eu autant de membres et notre situation financière n’a jamais été aussi bonne. Je vous laisse tirer vos conclusions», a réagi Alex Norris, porte-parole de Projet Montréal. Toutefois, il «trouve que c’est triste» que M. Bergeron ne défende plus les positions qu’il avait lorsqu’il était à la tête de Projet Montréal, y voyant là une perte de sa crédibilité. Richard Bergeron se joint a l’Equipe Denis Coderre | JDM
  5. I guess this is what Mark_ac was talking about when he said good news in the pipe for this week... This is wonderful. Publié le 23 septembre 2016 à 07h44 | Mis à jour à 07h44 Un an après le début du vol Pékin-Montréal d'Air China, Air Canada a annoncé vendredi le lancement d'un vol quotidien entre la métropole québécoise et Shanghai à partir du 16 février. Les vols seront assurés par des avions Boeing 787-8 Dreamliner de 251 sièges. « C'est un jour que nous attendions depuis longtemps », a déclaré le PDG d'Air Canada, Calin Rovinescu, lors d'une conférence de presse à laquelle ont notamment participé le premier ministre Philippe Couillard et le maire Denis Coderre. L'annonce créera environ 200 emplois, a précisé M. Rovinescu
  6. http://www.newswire.ca/news-releases/keywords-to-expand-its-montreal-studio-creating-100-jobs-577614131.html MONTRÉAL, Canada and DUBLIN, Ireland, April 29, 2016 /CNW Telbec/ - Keywords Studios, an international technical service provider to the global video game industry, announced today that it intends to expand further in Montréal, creating 100 new jobs within the next three years. This announcement was made during a visit of The Honourable Denis Coderre, Mayor of Montréal and President of the Montréal Metropolitan Community, at Keywords headquarters in Dublin, Ireland, and after his discussions with Andrew Day, Chief Executive Officer of Keywords Studios. We love the city and we love the quality of the talent we can find in Montréal", commented Mr Day. "Since coming to Montréal in 2010, we've had great results there and we want to continue this success." Keywords offers technical services to the gaming industry. Functional testing and localization testing are the main tasks accomplished in Montréal. Keywords' clients includes the world's best-known developers, among which, to name a few, Ubisoft, WB Games, Zynga, King and Sony. They have worked on thousands of different titles such as Rise of the Tomb Raider, Halo 5: Guardians, Assassin's Creed Syndicate, Candy Crush, Clash Royale and Mobile Strike. "Keywords' decision to continue to invest in our metropolis illustrates once again Montréal's strength in the video game industry", said The Honourable Denis Coderre, Mayor of Montréal and President of the Montréal Metropolitan Community, during his visit of Keywords' headquarters, part of his European trip. "What's more, it does highlight the fact that the whole gaming cluster plays a vital role in our economy and that Montréal is the place to be." Montréal International, Greater Montréal's investment promotion agency, has provided support to Keywords Studios over the years. "Along with our government partners, we've been working with Keywords since their arrival in Montréal, stated Stéphane Paquet, Vice President - Investment Greater Montréal at Montréal International. Their reinvestment is most welcome and the whole team at MI look forward to continuing working with Keywords on other projects." "I hope that this most recent announcement is only a first step, added Mr Day, since we are currently studying further more ambitious possibilities for our Montréal studio." Keywords' Montréal studio currently employs around 350 employees.
  7. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201602/23/01-4953587-square-phillips-un-stationnement-etage-plutot-quune-tour-de-bureaux.php Square Phillips: un stationnement étagé plutôt qu'une tour de bureaux Exclusif Publié le 23 février 2016 à 06h19 | Mis à jour à 06h19 Maxime Bergeron La Presse Le projet de tour de bureaux qui était prévu au square Phillips, en plein coeur du centre-ville de Montréal, pourrait faire place à un stationnement étagé. Le promoteur Canderel projette d'y construire une telle structure pour la louer ensuite à la Ville de Montréal, a appris La Presse Affaires. Canderel prévoyait ériger une tour de bureaux d’une trentaine d’étages, certifiée LEED, au 1201-1215, square Phillips. Ce n'est plus le cas. Canderel vient tout juste de s'inscrire au Registre des lobbyistes dans le but d'officialiser ses pourparlers avec la Ville. Dans son inscription, on apprend que l'entreprise cherche à négocier « une entente avec la Ville de Montréal pour la construction pour la Ville et la location à la Ville de Montréal d'un stationnement à étage pour le public ». Au bureau du maire Denis Coderre, on confirme que des négociations ont bel et bien été entamées avec Canderel « pour la location potentielle d'espaces » au 1201-1215, square Phillips. « Montréal est en train de se doter d'une véritable politique de stationnement et elle analyse actuellement différentes mesures qui pourraient la bonifier », a indiqué Catherine Maurice, l'attachée de presse du maire. Canderel ne vise pas qu'à construire un stationnement vertical sur ce terrain stratégique du centre-ville. Le groupe planche aussi sur un projet d'habitations en partenariat avec une autre entreprise, a souligné hier Daniel Peritz, vice-président principal. Selon nos informations, il s'agirait de résidences étudiantes, ce que le dirigeant a refusé de confirmer. Il n'est pas exclu que le stationnement étagé voie le jour sans le volet résidentiel, et vice-versa. Mais l'objectif ultime de Canderel reste de construire un projet qui comprendrait les deux fonctions, a indiqué M. Peritz. « On ne peut pas prévoir le futur, mais l'idée est vraiment de faire un projet combiné. » Depuis 2008 Il s'agit là d'une nouvelle incarnation pour ce vaste terrain de stationnement à ciel ouvert, acquis par Canderel en janvier 2008. Le groupe montréalais prévoyait au départ y ériger une tour de bureaux d'une trentaine d'étages, certifiée LEED, qui aurait compté plus de 600 000 pieds carrés de bureaux et commerces. Le projet n'a pas réussi à attirer les locataires, si bien que Canderel a ensuite contemplé la possibilité de construire un immeuble mixte, qui aurait inclus des bureaux et des logements. Le promoteur a par la suite tenté de revendre le terrain, en 2012, pour le retirer du marché peu après. Pendant un temps, l'Université McGill a aussi contemplé la possibilité de construire un « campus vertical » sur ces terrains. Le projet a été écarté lorsqu'un autre emplacement de taille - l'ancien hôpital Royal Victoria - est devenu disponible pour une conversion à l'automne 2015, a confirmé hier le porte-parole de McGill, Vincent Allaire. Plus de stationnements Ni Canderel ni la Ville n'ont voulu s'avancer sur un échéancier pour leurs négociations. Daniel Peritz ne cache toutefois pas qu'il a hâte de voir un projet se réaliser sur ces terrains évalués à 14,4 millions au dernier rôle d'évaluation foncière. « Notre attitude est toujours : le plus tôt, c'est le mieux », a-t-il dit. Le maire Denis Coderre, pour sa part, martèle depuis plus d'un an qu'il souhaite voir davantage de stationnements au centre-ville de Montréal. Cet enjeu sera d'autant plus crucial pendant les longs travaux de réfection prévus dans la rue Sainte-Catherine, qui ajouteront à la rareté déjà extrême des places disponibles. Denis Coderre a encore une fois réitéré son intention « d'optimiser » le stationnement au centre-ville en décembre dernier, lorsqu'il a annoncé son projet de politique sur le stationnement.
  8. Cher monsieur Coderre en ce qui concerne les réfugiés: Question qualité prix c'est pas mal mieux a Toronto.En plus le federal payent 80% de leurs salaires. Ton copain Dorais va etre la seulement 3 mois ouaip pas fort tant qu'a y etre il ne serait pas la et ca ne changerai pas grand chose. http://www.lapresse.ca/actualites/201512/11/01-4930118-refugies-quatre-employes-a-toronto-pour-le-prix-dun-a-montreal.php Problemes majeurs ici au Quebec les immigrants ne restent pas ici. Pas de jobs pour eux. On leur compliquent la vie pour obtenir un permis de conduire. On leur bloque le chemin pour les jobs avec les ordres professionnel qui creer de la rareté artificiel de main d'oeuvre.
  9. http://journalmetro.com/actualites/montreal/885493/denis-coderre-prochain-president-de-metropolis/ Sent from my iPhone using Tapatalk
  10. 'Iconic' park will rise from former St-Michel dump Kevin Mio, Montreal Gazette More from Kevin Mio, Montreal Gazette Published on: August 28, 2015 | Last Updated: August 28, 2015 3:32 PM EDT What was once a quarry and garbage dump that has marred the city’s St-Michel district for decades will soon become one of Montreal’s — if not the world’s — most iconic parks, Mayor Denis Coderre said on Friday. The St-Michel Environmental Complex will be transformed into the city’s second-largest park, behind Mount Royal, beginning with several new sections that are to be opened to the public for the first time in 2017, in time for the city’s 375th birthday. The whole project is slated to be completed by 2023, Coderre said. “New York has its Central Park, Paris has its Luxembourg Gardens, London has its Hyde Park. If it is true that the major cities of the world can be recognized by their legendary green spaces, Montreal has certainly not been left out,” the mayor said as he made the announcement standing in front of what will become a 12.5 hectare wooded area and lookout in a few years. “We already have Mount Royal Park, our largest park, and in a few years we will soon have another equally iconic (park) right here,” he said. “This transformation represents one of the most ambitious environmental rehabilitation projects ever undertaken in an urban environment in North America,” Coderre said. “We are building a park out of a site that contains 40 million tonnes of garbage.” The cost of this phase of the project is $33.7 million, which the city is paying for from its capital works budget. The final price tag for the remainder of the work is not known. However, Coderre said whatever money is needed will be made available to complete the project. Once finished, the park will include thousands of trees, a lake, wooded areas, pathways, rest spots, an outdoor theatre and more. Anie Samson, the mayor of the Villeray — Saint-Michel — Park Extension borough and member of the executive committee, said the transformation shows that the impossible is possible. “Today is a big day for us and it is one more step forward toward the realization of our dreams (for St-Michel),” she said. “For the past 20 or 30 years, (residents) had a dump over there. Now it is going to be one of the biggest and nicest parks in the world,” Samson said. By 2017, just over 17 hectares of park space will be open to the public. In all, the park will occupy 153 hectares of the 192-hectare site. “A lot of people are talking about sustainable development, but what does it mean? I think we have a living proof here,” Coderre said. “We are providing today a new definition of how to revitalize an area. Frankly, at the end of the day … a lot of people are inspired by other cities. Trust me, this one will be an inspiration for the rest of the world.” Journalists were given a bus tour of the site Friday morning, which included a drive into the lowest point of the former quarry, which will eventually become the lake. It will be five times as big as Beaver Lake on Mount Royal. The lake will be filled with run-off water from the park and will be treated to make it safe to be used for boating and kayaking, but not for swimming. The second major project is a new entrance way to the park along Papineau Ave. that will include, among other things, a sliding area for winter activities, public spaces and areas where people can rest or play outdoor games such as Frisbee or flying kites. Two other sections already opened to the public will be reconfigured and new entrances constructed. There is already a pathway that rings the entire complex, but this is the first time the public will be allowed onto the landfill site. But how they will get to the park, near the corner of Papineau Ave. and Jarry St., is another question since public transit to the area is far from ideal. Coderre said they are working on a plan to address that issue. “We can have the nicest park, but it has to be accessible,” Coderre said. “We want Montrealers to be able to take advantage of the park so there will be an action plan for public transit, a mobility plan.” One challenge city officials face is how to camouflage the more than 500 wells that dot the site. They serve as monitoring stations for the biogas which is emitted by the buried garbage and the city must find a way to hide them while still allowing them to be accessible to workers for repairs. At the same time, they must prevent vandalism. The biogas is recovered and used as fuel on site by Gazmont, producing enough electricity for 2,000 homes. The company signed a new deal this year to recuperate the gas for 25 years once renovations are completed in 2016. The electricity is sold to Hydro-Québec, with the city getting 11.4 per cent of total sales per year. kmio@montrealgazette.com http://montrealgazette.com/news/local-news/iconic-park-will-rise-from-former-st-michel-dump
  11. http://ici.radio-canada.ca/regions/montreal/2015/10/29/005-deraillement-train-hochelaga-ontario-esperance.shtml sent via Tapatalk
  12. La Ville de Montréal, qui s'apprête à emprunter des milliards de dollars dans les prochaines années pour réparer ses infrastructures, économisera des sommes importantes en intérêts, puisque sa cote de crédit vient d'être rehaussée par une firme de notation, notamment en raison d'un «environnement politique plus stable». La cote de crédit de la métropole accordée par Standard & Poor passe ainsi de à A+ à AA-, une première hausse en plus de 30 ans pour la Ville de Montréal. La firme de notation vante les «liquidités exceptionnelles» de la Ville, son faible endettement et le redressement de la «performance budgétaire» par rapport à l'administration Tremblay. «Nous croyons que l'environnement politique s'est stabilisé dans les dernières années», peut-on lire aussi lire dans le document. Le maire Denis Coderre se réjouit de cette annonce, qui tombe la même semaine que le dévoilement du programme triennal d'immobilisations 2016-2018 de la Ville de Montréal, lequel prévoit 5,2 milliards de travaux. « C'est la preuve que les décisions que nous avons prises commencent à porter fruit. Les experts de S&P ont examiné chacune de nos actions sur le plan du contrôle des dépenses, de la gestion de notre dette, de la planification de nos investissements. Ce rehaussement de notre cote de crédit traduit un niveau élevé de confiance en la solidité financière de Montréal à long terme », a déclaré M. Coderre, dans un communiqué. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201510/22/01-4912878-standard-poors-rehausse-la-cote-de-montreal.php
  13. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=8177,89603648&_dad=portal&_schema=PORTAL Prendre un taxi à Montréal Tarification Localisation des postes d'attente Règlementation Conduire un taxi à Montréal Conduire un taxi à Montréal Calendrier des formations Obtenir un permis de chauffeur Intermédiaires en service de taxi Sécurité des chauffeurs Actualités» 20/08/15 Denis Coderre présente le plan d'action 2015-2017 du BTM Montréal, le 20 août 2015 — Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, accompagné de M. Aref Salem, responsable du transport au comité exécutif et président du conseil d'administration du Bureau du taxi de Montréal, et de Mme Linda Marchand, directrice générale... 05/08/15 Politique sur l'industrie du taxi : le paiement électronique obligatoire pour tous les taxis à partir du 15 octobre 2015 Montréal, le 5 août 2015 — Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le responsable du transport au comité exécutif, M. Aref Salem, sont heureux d'annoncer que tous les taxis de Montréal offriront la possibilité aux clients de régler leur course par carte... 06/05/15 Croisiéristes en ville du 12 mai au 28 octobre 2015! La saison des croisières 2015 s'annonce encore une fois très intéressante : en effet, plus de 55 000 passagers internationaux débuteront ou termineront une croisière à Montréal. De ceux-ci, plus de 50 % prendront un taxi pour se rendre de l'aéroport au terminal... Toutes les actualités sent via Tapatalk
  14. Vidéotron construira un centre de données à Montréal pour 40 millions LIA LÉVESQUE La Presse Canadienne Vu les besoins croissants, Vidéotron a annoncé mercredi la construction d'un centre de données au coût de 40 millions $. Au cours d'une rencontre avec la presse, mercredi, la présidente et chef de la direction de Vidéotron, Manon Brouillette, a souligné que la décentralisation des serveurs des entreprises vers des centres de données était une tendance lourde à l'échelle mondiale, une tendance dont l'entreprise souhaite profiter. Le centre de 4000 mètres carrés sera situé dans l'arrondissement de Saint-Laurent, dans le Technoparc Montréal. Environ 300 emplois seront ainsi créés durant la phase de construction et entre 15 et 20 emplois permanents par la suite pour gérer les infrastructures, a précisé Mme Brouillette. Vidéotron souhaite ainsi intéresser les entreprises et les institutions de toutes les tailles et ne compte pas s'arrêter aux frontières du Québec. «On vise tout type de clientèle. On a 120 000 clients aujourd'hui; on a une demande de cette clientèle-là, mais également, il y a des clients de grande taille. On voit vraiment une tendance; on est près des frontières. Tout: le climat, le dollar canadien, tout ça fait en sorte que c'est très favorable pour des clients internationaux. L'avantage qu'on a, c'est que nos infrastructures, nous, on est déjà avec nos interconnexions avec les États-Unis, l'Europe, etc., pour recevoir des clients et être capables de transiter les données», a expliqué Mme Brouillette. Le maire de Montréal, Denis Coderre, présent lors de l'annonce, ne cachait pas sa fierté. Il s'est dit doublement content, d'abord pour son Technoparc qui continue de se développer avec un centre de technologie de pointe, ensuite pour la croissance du nombre de centres de données au Québec. «Il ne faut pas se le cacher: le Québec et Montréal connaissent un léger retard dans ce domaine. À titre de comparaison, l'Ontario compte 1146 centres de données; le Québec n'en compte que 411», a dit le maire Coderre. Pierre Dion, président et chef de la direction de Québecor, a précisé qu'en fait, c'est non seulement Montréal et Québec, mais «tout le Canada qui est en retard sur les États-Unis» en la matière. Le maire Coderre pense que ce centre de données de Vidéotron permettra d'attirer ici d'autres entreprises. «Grâce au nouveau centre de données qui sera érigé ici, les entreprises montréalaises et du Québec entier pourront bénéficier d'une infrastructure infonuagique à la fine pointe. Pour Montréal, c'est un avantage incroyable, qui nous permettra d'attirer chez nous de nouvelles entreprises numériques ou de conserver celles que nous avons déjà», s'est-il félicité. http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201509/16/01-4901121-videotron-construira-un-centre-de-donnees-a-montreal-pour-40-millions.php
  15. Financer la venue d'événements sportifs internationaux à Montréal, renoncer au péage sur le pont Champlain, des centaines de millions pour le transport en commun, les routes et le logement social: le maire Denis Coderre a présenté sa liste d'épicerie aux partis fédéraux dans le cadre de la campagne électorale. La liste de la Ville de Montréal compte pas moins de 26 demandes, dont plusieurs requièrent des millions d'Ottawa. Le maire a présenté cette liste alors que les chefs des principaux partis commenceront à défiler à l'hôtel de ville. «On a besoin d'entendre les partis, on ne veut pas juste des consultations plates. On veut vraiment que les chefs se prononcent s'ils croient vraiment en Montréal», a déclaré le maire Coderre ce matin lors d'une réunion du comité exécutif. Le chef du Parti libéral du Canada Justin Trudeau rendra ainsi visite à Denis Coderre, avec qui il s'entretiendra des demandes de Montréal en matière fédérale. Une rencontre avec le chef du Bloc québécois Gilles Duceppe est prévue le 14 septembre et ce n'est qu'une question de temps avant que des dates soient fixées avec le chef du NPD Thomas Mulcair et la chef du Parti vert Elizabeth May. Le cabinet du maire dit n'avoir toujours pas reçu de réponse de l'entourage du premier ministre sortant et chef du Parti conservateur, Stephen Harper. «Le message a toujours été passé avec Stephen Harper, s'il ne vient pas, il manque quelque chose», a déclaré le maire Coderre lors de sa rubrique hebdomadaire du mercredi. «Peu importe, on est en contact continuellement avec Denis Lebel (le lieutenant politique de Harper au Québec) et si le chef du Parti conservateur croit en Montréal, ça va nous faire plaisir de l'accueillir.» Demandes de Montréal Transport en commun 200 millions récurrents pour Montréal -Financement pour les projets de SLR sur le pont Champlain et le Train de l'Ouest Infrastructures 342,5 millions pour Montréal sur 10 ans Postes Canada Rétablissement de la livraison du courrier à domicile Logement social Tripler les montants alloués à Montréal, pour les faire passer de 8 à 24 millions 185 millions annuellement pour la construction, l'entretien et la rénovation de logements sociaux Sécurité Rétablir un Fonds de financement des services policiers de 10 millions par an Financement annuel de 1 million pour le Centre montréalais de prévention de la radicalisation Femmes autochtones Mettre en place une commission d'enquête sur la disparition de femmes au Canada Développement économique Maintien de l'aide au secteur aérospatial de Montréal Davantage de soutien aux grappes industrielles de Montréal 375e anniversaire de Montréal Contribution directe aux festivités du 375e, Ottawa ayant mit 110 millions dans les festivités du 400e de Québec Pont Champlain Abandon du péage sur le futur pont Champlain Port de Montréal Transférer la responsabilité du Vieux-Port à la Ville Soutien du projet de restauration de la Gare maritime Iberville et de la jetée Alexandra Métropole internationale Financement d'événements sportifs internationaux Radio-Canada Réinvestir dans Radio-Canada Sites d'injection supervisée Respect de la décision de la Cour suprême http://www.lapresse.ca/actualites/elections-federales/201509/02/01-4897254-denis-coderre-presente-sa-liste-de-demandes-aux-partis.php
  16. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201506/19/01-4879367-delivrance-des-permis-coderre-en-a-assez-des-longs-delais.php sent via Tapatalk
  17. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/banque-industrielle-commerciale-chine-montreal/ Bonne nouvelle, évidemment, mais l'histoire ne dit pas ou ils vont s'installer.
  18. http://ici.radio-canada.ca/sports/sports_motorises/2015/05/26/001-formulee-montreal-2016-coderre.shtml
  19. Et bien, il me semble que j'avais entendu qu'il voulait même rester jusqu'aux prochaines élections via Radio-Canada : Richard Bergeron quitte la direction de Projet Montréal Mise à jour le lundi 27 octobre 2014 à 8 h 26 HAE Le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, quitte la direction du parti. Il en fera l'annonce à 11 h ce matin en compagnie de celui qui deviendra le chef intérimaire. On ignore toutefois qui lui succédera. Après les élections municipales en novembre dernier, Richard Bergeron avait dit qu'il quitterait éventuellement la formation qu'il a lui-même créée. Mais il avait déclaré récemment qu'il pourrait aussi rester, puisqu'il aimait le travail que lui a confié le maire Denis Coderre. En février dernier, le nouveau maire de Montréal lui a en effet confié la direction du dossier du recouvrement de l'autoroute Ville-Marie, dans l'est du centre-ville de Montréal. Richard Bergeron est l'un des principaux idéateurs de ce projet, qui consiste à recouvrir la tranchée formée par l'autoroute Ville-Marie afin d'y aménager des espaces verts et des places publiques.
  20. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201407/08/01-4782077-operation-centralisation-inedite-a-la-ville-de-montreal.php
  21. via LaPresse : Publié le 19 juin 2014 à 10h42 | Mis à jour à 12h05 Coderre présente ses 11 «chantiers» pour rendre la Ville plus performante KARIM BENESSAIEH La Presse Une Ville plus efficace, où les lourdeurs administratives et les dédoublements seraient éliminés, tout cela en 11 «chantiers» qui permettraient de générer des millions de dollars en économie. C'est en substance le plan qu'a proposé ce matin le maire Denis Coderre devant une audience conquise de quelque 600 personnes d'affaires, réunies dans une salle du Vieux-Montréal. De la diminution des accidents de travail à la revue du déneigement et passant par la simplification des soumissions et un meilleur taux de réalisation des travaux, ses 11 chantiers ratissent large. «Vous devriez vous réjouir : on vient de vous dire qu'on va s'assurer que les choses sont efficaces, et qu'on est capables de sauver des coûts sans avoir à augmenter les revenus, c'est-à-dire les taxes, a résumé en point de presse le maire Coderre. Il y a un exercice qui va se faire, toutes les grandes métropoles l'ont fait, et elles sauvent de l'argent. Nous, on va sauver le maximum.» 750 indices de performance Même si les termes semblent quelque peu abstraits, le maire assure qu'il s'agit d'une initiative bien concrète. «C'est tellement concret qu'ils l'ont fait à Toronto, où on sauve jusqu'à 400 millions par année. Si on organise toute la question de l'absentéisme, d'accidents de travail, à Québec, ils ont sauvé jusqu'à 12 millions.» L'administration Coderre mise beaucoup sur son chantier numéro un, l'adhésion à l'Ontario Municipal Benchmarking Initiative (OMBI) qui permettra à Montréal de se comparer avec 16 autres villes canadiennes. «Ce sont des mesures de gestion, des mesures d'efficience. Comment on peut mesurer l'efficacité, comment on est capables de s'assurer qu'il y a une meilleure coordination. Il y a à peu près 750 indices de performance qu'on peut appliquer, des indicateurs précis qui nous permettent en fin de compte de voir s'il y a des dédoublements, si c'est performant, si c'est nécessaire.» Il a rappelé que son administration s'était déjà engagée à réduire 10% des effectifs au cours des cinq prochaines années, soit 2200 emplois, ce qui permettra d'économiser deux milliards en dix ans. Ces économies seraient réinjectées dans les infrastructures de la métropole. Les 11 chantiers Harmonisation et simplification des devis de soumissions Augmentation du nombre et de la qualité des projets d'immobilisations réalisés Optimisation de la gestion des revenus et des paiements Simplification du processus décisionnel Implantation de la gestion par activités Réduction des maladies professionnelles et des accidents du travail Augmentation de la productivité du Service du matériel roulant et des ateliers Amélioration des processus d'acquisition et d'entretien des immeubles Accroissement de l'efficience des activités liées aux matières résiduelles Rationalisation des inventaires Optimisation des activités de déneigement.
  22. The first installment in a new Gazette series about living in Montréal. http://www.montrealgazette.com/news/montreal-az/index.html Being a Montrealer can be tough: the winters, the crumbling infrastructure, the corruption scandals ... But the start of the summer party and festival season has finally arrived, making this a perfect time to bask in all that this city has to offer, and to celebrate why we love Montreal, from A to Z. There’s so much to celebrate about living in Montreal If overcoming adversity is the secret to communal happiness, then we’re due an extra helping of joy. We ask some prominent Montrealers what they love most about our city BY RENÉ BRUEMMER, GAZETTE CIVIC AFFAIRS REPORTER JUNE 7, 2014 9:11 AM Things are looking up: Montreal’s skyline as seen from the lookout on Mount Royal. Photograph by: Megan Martin/Special to The Gazette MONTREAL — In order to truly appreciate life, a wise friend once told me, one has to suffer a little. We were descending from the peak of Mt. Algonquin in the Adirondacks after an unexpectedly harrowing five-hour hike through snow and ice that allowed ample time to ponder the question: “Why did we choose to inflict this on ourselves?” But as we descended, elated, my friend pointed out that it was the hardships we overcame that made the journey so special, and brought our disparate band of hikers closer. If overcoming adversity and suffering en masse is the secret to communal happiness, then Montrealers are due an extra helping of joy. Just as a sailor trapped in the darkness of a long storm may forget the existence of the sun, many Montrealers swamped by waves of corruption scandals and a particularly nasty political climate have lost sight that they live in one of the greatest and most vibrant cities in the world. One that manages to remain mostly harmonious in spite of, or perhaps because of, its vast diversity. More tarnished jewel than island paradise, Montreal is all the more precious to those who choose to live here — in part because of its imperfections. There are signs, finally, that Montrealers are starting to feel that glimmer of warmth again, and with it a rebirth of their pride. The shift in attitude coincides with the re-emergence of the sun, a glorious Habs playoff run, and Grand Prix weekend, what radio host Terry DiMonte refers to as “the starting gun for the summer.” It’s a time when we see our metropolis through the eyes of outsiders who see it as a special place for its unique French-English mix, harmonious multicultural melding and its expertise in the art of joie-de-vivre. The Gazette asked a handful of prominent Montrealers what they think makes our metropolis stand out. Alongside these perspectives, today we kick off a Gazette summer series on the many things that make this city a special place to live, from A to Z. We’ll run daily features — one for each letter of the alphabet. Congratulations, Montrealers, we’ve made it through some dark times. Now, it’s time to celebrate under the sun. The last many months have been hard on the soul, CHOM morning man Terry DiMonte notes. “I’ve told family and friends across the country that it has been very difficult to live in Montreal over the past 18 months, even more difficult than normal,” DiMonte said. “I had a French friend who told me, ‘Anglophones love the city so much because they have to fight so hard to stay.’ “When I first came back from Calgary, my first summer was the Maple Spring (season of student protests), which I found incredibly difficult, and that was followed by the election of the Parti Québécois (government) and all the disharmony and divisiveness (that followed), and that I found really, really soul-sapping.” In his four years in Calgary, DiMonte found that city clean, well-run and “all of those things that Montreal isn’t.” Yet he returned, for there is something about this city’s chaos that attracts. “As much as I hate to say it, part of what makes Montreal special is it demands a lot of you to live there — the construction, the politics, the closed highways, the potholes, the things we argue about, it’s all of those things that make the place in an odd way a special place. … It gives it a flavour you can’t find in any other city in Canada.” All that adversity breeds a certain toughness, said Michel Leblanc, president and CEO of the Board of Trade of Metropolitan Montreal. The city has shown resiliency in the face of a slew of crises, including loss of status as Canada’s top business metropolis, the flight of head offices and a decimated manufacturing sector. “Despite all that, there is an optimism, or will, to develop the city that always comes back,” Leblanc said. “We are an ambitious city. That doesn’t mean we necessarily realize all our ambitions, but when we say Montreal will be a cultural metropolis, and we way Montreal is a city of creativity, we actually create those two Montreals, we project ourselves as an international metropolis.” After a long decline, Montreal is rebuilding its roads and bridges, and residential and commercial office towers are sprouting everywhere, and especially downtown. There are 86 building projects over $5 million underway in Montreal and its demerged municipalities, Quebec’s construction commission reported this week. That indicates a positive outlook by developers, and the banks that saw fit to finance them, Leblanc said. The challenge, however, will be putting up with 10 years of construction zones. Beyond the current building boom, Dinu Bumbaru of Heritage Montreal also notes the city’s unique geography. “What I think is wonderful, somehow, is the space of the city itself,” Bumbaru said. “The architecture is not an architecture of immense landmarks, but one of streetscapes, and the connection between those, in a way. We can have a stroll on Gouin Blvd., or a stroll from the mountain down to the Lachine Canal. It is a strollable city. “It is the scale of the city, the notion of neighbourhoods and the fact that we have a living core.” (Eighty-four thousand people live in the Ville Marie borough, making for the most populated downtown core in North America after New York City, La Presse reported this week). While many cities are statistically diverse, their cultural groups are often grouped into ghettos that inhibit interaction and can create tensions. Montreal has a “mixity,” notes Bumbaru, “a porosity in the city fabric” that allows the multitudes to merge. That coming together creates a unique collectivity among people from all over the globe, says comedian Sugar Sammy. “People say there are two solitudes — I think there’s actually all these cultures that are starting to meld together,” said Sugar Sammy, whose bilingual standup shows have drawn 235,000 fans in Canada and India over the last two years, and whose new French TV show, Ces gars-là, is drawing a wide anglophone audience. It helps, he notes, that most Montrealers are bilingual, if not trilingual. The easy mixing allows Montrealers, often strongly attached to their own neighbourhoods, to visit the city’s other many varied locales and yet always still feel at home, Sammy said. “It’s not just biculturalism, but so many cultures and the fact that people know about each other here,” he said. Despite the division caused by Quebec’s proposed charter of values, Montreal’s “mixity” is actually a source of unity, Sammy said. Montreal’s city council and its mayor unanimously defied the charter, and the PQ, which proposed the charter, were trounced in the April elections. Communications strategist Martine St-Victor describes Montreal’s intermingling as harmony, as opposed to mere “tolerance.” “Harmony means not only that you have Asian friends, it’s that you love Asian restaurants — that you actively seek out other cultures and make them your own,” she said. “There is this human contact that you don’t find, for example, in New York or Paris,” she said, in part because many of Montreal’s neighbourhoods, with their local cafés and small cordonneries, maintain their village feel. “You sense you are part of a collective, that we are not just individuals, which is great.” It’s also a city where people aren’t afraid to look one another in the eye. And the city has a new champion, she said, in Mayor Denis Coderre. “He’s taking the city where it hasn’t been in a long time because he has guts. He has a big mouth, but he backs it up.” Since his election in November, Coderre has travelled to municipalities throughout Quebec, and to New York City, Paris, Lyons, and Brussels to forge bonds. And to proclaim: “We’re back.” “Our role is to make the city known, to make sure we are contagious. We have a great reputation internationally,” Coderre said. “When people come to Montreal, they fall in love with it.” At home, Coderre’s message has been: Tackle the issues, stop beating ourselves up about past transgressions and gain more power as Quebec’s major metropolis. If city council is proactive and takes decisions, the people will appreciate it, he argues. And they will forgive your mistakes, which allows for progress. “When we step back and look at ourselves in a bigger way, I think this is one of the greatest places in the world,” Coderre said. And a city that suffers as one also gets to celebrate as one. “We have this sort of sense, I think, of going through something together,” Sugar Sammy said. “We live whatever the pulse is, and if you live it together you feel it, and I think it makes you fall in love with the city even more.” rbruemmer@montrealgazette.com Twitter: ReneBruemmer
  23. Est-ce du flafla ou du concret? L’avenir le dira! http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/05/13/montreal-et-paris-signent-un-accord-de-cooperation_n_5319680.html Le maire de Montréal Denis Coderre est en France, où il a rencontré mardi la nouvelle mairesse de Paris, Anne Hidalgo. Les deux Villes ont signé une entente pour favoriser l'accès des entreprises aux deux marchés. Ils comptent y arriver notamment en favorisant la « bilocalisation » des entreprises. Montréal et Paris promettent aussi des rapprochements dans le domaine du numérique, des transports en commun ou de l'aménagement urbain. La mairesse Hidalgo, qui recevait un maire étranger pour la première fois depuis son élection en avril, a parlé d'une longue amitié entre les deux villes. Après seulement 30 minutes de discussions, les deux maires se tutoyaient, ce qui n'est pas dans les moeurs françaises. « Moi, je suis intéressée par le modèle de Montréal sur les questions du traitement de la grande pauvreté dans nos rues, a déclaré Mme Hidalgo. Ce sont des sujets sur lesquels nous avons, à Paris, des défis à relever. Je souhaite aussi voir comment une ville comme Montréal avance sur ces sujets. » L'administration montréalaise aidera notamment Paris à recenser le nombre de sans-abri sur son territoire, a indiqué Denis Coderre. « On a conscience tous les deux, et on en a parlé, que l'avenir passe par les grandes métropoles. C'est un espace d'activités et de résolution de la plupart des défis de la planète », a estimé Mme Hidalgo. « Il faut que cet ordre de gouvernement ait les coudées franches, et il faut apprendre à travailler ensemble, a renchéri le maire de Montréal. Tout de go, c'est le but de ma mission en Europe. C'est de travailler notamment avec Anne, et ça va bien! » Après avoir visité ses homologues de Lyon et Paris, Denis Coderre terminera sa tournée européenne jeudi à Bruxelles. Avec des informations d'Anyck Béraud et Alexandra Szacka
  24. via Radio-Canada.ca Montréal veut créer un bureau de projet de ville intelligente Mise à jour le lundi 20 janvier 2014 à 8 h 17 HNE L'administration Coderre prévoit créer cette année un bureau de projet de la ville intelligente, a appris Radio-Canada. En campagne électorale, Denis Coderre, lui-même grand adepte de Twitter, a souvent promis de recourir davantage aux nouvelles technologies pour communiquer et être à l'écoute de la population, en particulier via les téléphones mobiles. Un texte de Benoît Chapdelaine Le responsable de la ville intelligente et vice-président du comité exécutif, Harout Chitilian, explique que la Ville veut à la fois refondre son site web, qui date de 2005, et créer un bureau de projet de ville intelligente en s'inspirant du Digital Roadmap, une initiative de l'ex-maire de New York Michael Bloomberg, et qui a reçu l'appui financier de plusieurs entreprises. « Tu as eu Google, t'as eu des compagnies de téléphonie qui ont mis également leur main dans leur poche pour contribuer à la réalisation de cette Digital Roadmap. Et ici c'est un peu notre souhait, d'avoir un peu la participation de la population, mais également de notre fonction publique et, pourquoi pas, également des entreprises québécoises qui ont développé des solutions de technologie de pointe dans ce domaine-là », dit M. Chitilian. D'abord le déneigement Dans le cadre du Digital Roadmap, la métropole américaine a par exemple accéléré l'accès à Internet sans fil dans les parcs et autres lieux publics. À Montréal, le déneigement, avec ses problèmes de stationnement et de remorquage, est au coeur des projets de ville intelligente. La Ville veut développer une application pour aviser les citoyens du chargement de la neige sur leur rue et ainsi réduire le nombre de remorquages pour stationnement interdit. Les opérations de chargement de la neige sont retardées lors de chaque tempête par le remorquage de milliers de véhicules garés le long du parcours, malgré l'interdiction de stationnement temporaire. Une meilleure communication réduirait probablement le nombre de remorquages et les rues seraient complètement déneigées plus rapidement. « J'ai fait un peu un sondage informel auprès de ma famille, raconte M. Chitilian. Ce n'est pas très scientifique, mais on m'a dit : "je ne veux pas savoir à la minute près, mais au moins avoir une idée : aujourd'hui, c'est garanti on vient sur votre rue". Des fois les pancartes sont placées et les camions ne passent jamais. Les gens sont frustrés, les appels rentrent dans le 311. Si on commence à avoir une idée à quelques heures près que le chargement va passer, c'est une avancée sur le statu quo actuel ». Harout Chitilian précise que des citoyens pourraient aussi remplir facilement un formulaire de plaintes avec leur téléphone mobile et l'acheminer au service 311. Les effectifs seront prévus en conséquence. « C'est bien beau de donner le moyen de communication, mais il faut également réarranger le back-office pour que les choses se règlent vraiment, que ce ne soit pas un puits sans fond, juste envoyer des plaintes dans l'espace virtuel. », ironise le vice-président du comité exécutif. Les citoyens devraient voir apparaître les premières applications de l'administration Coderre dans les prochains mois.
  25. Bravo au Maire Coderre!! Il était temps que quelqu'un prenne le taureau par les cornes! Il faut amincir la taille de nos bureaucraties! Montréal veut abolir 2700 postes d'ici cinq ans http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201404/03/01-4754115-montreal-veut-abolir-2700-postes-dici-cinq-ans.php Karim Benessaieh La Presse Aux prises avec une masse salariale en explosion depuis dix ans, qui gruge plus de 52% de ses revenus, la Ville de Montréal aura droit à un remède de cheval. L'administration Coderre a annoncé ce matin l'abolition d'un poste sur dix d'ici cinq ans, soit 2700 postes, une économie annuelle de près de 240 millions. En point de presse à l'hôtel de ville, le maire Denis Coderre estime que ce plan lui permettra de «reprendre le contrôle des ressources humaines de la Ville, freiner la croissance démesurée qu'on a connue au cours des dix dernières années.» À titre de comparaison, les deux dernières grandes opérations de rationalisation depuis 2006 visaient chaque fois l'abolition d'un millier de postes. Elles ont eu des résultats mitigés, puisque le nombre global d'employés n'a cessé d'augmenter. Cette fois, pour contrer la tendance, on ne remplacera qu'un poste sur deux laissé vacant, soit par un départ à la retraite «ou autre motif» d'ici 2018, chez tous les groupes à l'exception des policiers et des pompiers. La Ville prévoit que 1589 cols bleus, 843 cols blancs et 471 cadres, notamment, seront admissibles à une retraite sans réduction d'ici 2018. «Ça ne peut plus continuer comme ça. On ne peut plus laisser les effectifs de la Ville croître suite à la prise de décisions en silo. L'improvisation, c'est fini.» Denis Coderre, Maire de Montréal Révision à la sécurité publique Même les pompiers et les policiers, les seuls groupes d'employés qui avaient été épargnés par les compressions dans le budget 2014, devront subir une «révision des processus des services de la sécurité publique et une rationalisation du personnel en conséquence», peut-on lire dans un document explicatif remis aux journalistes. On prévoit qu'un millier de pompiers et 876 policiers seront admissibles à une retraite sans pénalité d'ici 2018. Selon les projections de la Ville, on s'attend à ce que 2150 autres personnes vont quitter pour «d'autres motifs» d'ici 2018. Ce «plan quinquennal de la main-d'oeuvre 2014-2018» prévoit en outre l'embauche de 100 personnes par année «pour répondre aux priorités de la Ville». On prévoit qu'il s'appliquera autant aux services centraux qu'aux arrondissements. Ceux-ci, de qui relèvent 30% des effectifs, seront toutefois libres de s'y soustraire. «C'est un projet non seulement ambitieux, mais réaliste et nécessaire pour sortir Montréal de l'impasse financière», estime le maire Coderre. Il a tenu à rassurer les employés de la Ville, qu'il a décrits comme «excessivement compétents». «Ces mesures ne sont pas dirigées contre vous, nous ne procédons pas à des coupures sauvages ni à des mises à pied massives. Tout cela va se faire dans le respect des conventions collectives.» 800 millions comptant À terme, on espère simplement revenir aux effectifs de la Ville de Montréal au moment des fusions, en 2002, qui était de 20 000 employés à temps plein et représentaient alors 42,5% des dépenses. Ils ont graduellement monté pour s'établir à 22 423 en 2013, pour 51,9% du budget, soit une hausse de 9,4%. L'objectif principal de l'administration Coderre est de hausser les investissements dans les infrastructures, bâtiments et équipements de toutes sortes. Alors que les besoins sont évalués à 2,1 milliards annuellement, on ne prévoit y consacrer que 1,3 milliard. Cet écart annuel de 800 millions, on veut essentiellement le combler graduellement d'ici 2024 en augmentant la part payée comptant des immobilisations, qui passerait de 80 millions cette année à 800 millions. Cette décision de recourir moins souvent aux emprunts est «une question d'équité intergénérationnelle, pour ne plus pelleter vers l'avant», estime le président du comité exécutif, Pierre Desrochers.
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