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  1. Une petite légèreté : qui joue à SimCity sur son mobile? La dernière mise à jour permet aux joueurs de se regrouper dans des clubs de Maires. Si nous sommes quelques-uns à perdre leur temps sur ce jeu, on pourrait se regrouper. Alors, suis-je le seul ici?
  2. http://www.konbini.com/fr/tendances-2/clubs-berlin-voisins/ Konbini Snapchat Facebook Twitter Instagram À Berlin, ce sont les voisins qui devront s’adapter, pas les clubs par Vincent Glad | 3 days ago fbshare on facebook twtwitter 13.4K SHARES Journaliste basé à Berlin, Vincent Glad nous a envoyé une nouvelle chronique. Après la grande chaîne berlinoise de l’amitié nue entre inconnus, il nous parle aujourd’hui de la difficile cohabitation entre monde de la nuit et riverains dans la capitale allemande. Sisyphos, Berlin © Vincent Glad Les clubs, d’abord. Pour les habitations, on verra ensuite. La mairie de Berlin veut mettre en place une nouvelle règle : avant de construire un immeuble, les promoteurs devront s’assurer qu’aucun club n’est situé à proximité, en consultant une carte des établissements de nuit. S’ils veulent vraiment construire, ce sera à eux de s’adapter, en insonorisant les nouveaux logements. La capitale allemande veut défendre un de ses plus grands patrimoines : sa vie nocturne. “Notre objectif est que Berlin reste palpitant et sauvage“, a déclaré le 2 juin Andreas Geisel, responsable du développement urbain à la mairie de Berlin. Les autorités veulent éviter que de nouveaux clubs soient fermés à cause de ce dangereux fléau que sont les voisins. Les établissements de nuit pourraient devenir une sorte d’espèce naturelle protégée dans la faune berlinoise. Le King Size obligé de fermer La cohabitation entre le monde de la nuit et les riverains est de plus en plus compliquée. Berlin n’est plus l’immense squat qu’il était à la chute du Mur et le nombre d’espaces vierges dans le centre-ville s’est considérablement réduit ces dix dernières années. De grands noms de la nuit berlinoise subissent régulièrement les foudres du voisinage : le SO36, le Lido, le Yaam ou encore la Kulturbrauerei. Le 23 avril, le King Size, un bar de nuit de la Friedrichstrasse, équivalent berlinois du Baron parisien, a dû fermer ses portes après cinq années de fêtes légendaires, harcelé par les plaintes des voisins. S’attaquer aux clubs, c’est aussi et avant tout s’attaquer au tourisme. Berlin est devenu la troisième ville la plus visitée d’Europe, notamment grâce aux nuées d’EasyJet qui débarquent tous les week-ends pour faire la fête. Dimitri Hegemann, fondateur du séminal Tresor en 1991, devenu un club à touristes, connaît bien le sujet: “Je pense que 60% des visiteurs viennent à Berlin pour la culture alternative — et pas pour faire du shopping dans des centres commerciaux. Des Rolex, vous pouvez aussi en acheter à Dubaï, mais des clubs comme dans notre ville vous n’en trouverez nulle part ailleurs“, déclarait-il récemment au Tagesspiegel. Une carte des clubs berlinois à travers le temps Pour préserver cette exception culturelle, Musicboard, une initiative de la mairie berlinoise en faveur de la musique, vient de présenter un très officiel “cadastre“ des établissements de nuit de la capitale allemande. Cette carte doit permettre aux autorités de n’autoriser des permis de construire que si ceux-ci n’empiètent pas sur le monde de la nuit. Le cadastre, accessible en ligne, est un formidable document pour qui s’intéresse à la scène berlinoise. Mais attention, prévient Katja Lucker, directrice générale de Musicboard, cette carte “n’est pas faite pour donner des bons plans aux touristes“. carte Carte tirée du site http://www.clubkataster.de Sous réserve de ne pas faire le touriste, donc, il est aussi possible de remonter dans le temps et de voir la géographie des clubs telle qu’elle était il y a cinq ans ou à la chute du Mur — même si de nombreux clubs illégaux des années 90 ne sont pas encore répertoriés. Le cadastre de 2015 montre une grande concentration des lieux de fête à l’Est, dans les quartiers de Kreuzberg et de Friedrichshain, le long de la Spree, des espaces encore “sauvages” où les voisins se font rares. C’est là que sont installés la majorité des clubs techno : le Berghain, par exemple, est planté au milieu d’une anonyme zone industrielle, à côté d’un magasin d’usine Metro. L’Ouest a complètement disparu de la carte D’après les chiffres fournis par le cadastre, le quartier qui a connu la plus grosse saignée est Mitte. Le quartier, aujourd’hui largement embourgeoisé, était en ruines à la chute du Mur. Ce sont dans ses espaces abandonnés que s’est développée la scène techno dans les années 90. Aujourd’hui, Mitte compte 93 clubs fermés pour seulement 32 encore ouverts. À l’inverse, on dénombre 26 établissements ouverts à Kreuzberg, contre 23 fermés. L’Ouest a complètement disparu de la carte, à l’image du quartier de Schöneberg (où vivait David Bowie) qui n’a plus de 4 clubs, pour 18 fermés. Kater Blau © Vincent Glad À Berlin, les clubs ferment mais rouvrent souvent ailleurs. Le mythique Bar 25 a fermé en 2010, avant de réapparaître sur l’autre rive de la Spree sous le nom de Kater Holzig (lui-même fermé en 2014). Aujourd’hui, le Kater Blau, héritage des deux clubs précédents, a repris l’emplacement de l’ancien Bar 25. La surprenante fermeture du Stattbad Cette initiative de la mairie — qui ne reste pour l’instant qu’une belle déclaration d’intention — intervient dans un climat morose. La scène berlinoise a la gueule de bois depuis que le Stattbad, un des meilleurs clubs techno de la ville, situé dans une ancienne piscine, a soudainement fermé mi-mai. Et cette fois-ci, ce ne sont pas les voisins qui sont à blâmer. Suite à une dénonciation anonyme, la mairie d’arrondissement a découvert que l’établissement (pourtant mondialement connu) faisait office de club, ce qui n’était pas prévu dans le permis de construire. De gros problèmes de sécurité anti-incendie ont par ailleurs été constatés. Le Stattbad a annoncé avoir besoin de plus d’un an de travaux pour s’adapter, mais l’établissement pourrait ne jamais avoir le droit de rouvrir. Une fermeture qui laisse des doutes quant aux réelles intentions des autorités berlinoises. sent via Tapatalk
  3. Family Guy (briefly) visited Montreal last night and featured a song about Canadian strip clubs, done to the tune of "The Merry Old Land of Oz." Quagmire: "French also comes in handy when I have layovers in Montreal, that place is the best [...] Montreal has the best strip clubs in the world!" http://newsbusters.org/blogs/noel-sheppard/2013/04/15/family-guy-turns-classic-wizard-oz-song-vulgar-tune-about-canadian-nu
  4. Un communiqué vient tout juste d'être envoyé par Spectra: le Metropolis vient d'apparaître sur la liste Pollstar des 100 meilleurs "concert clubs" au monde. Il est 1er au Canada et 9e au monde! Pas de lien internet encore, c'est trop chaud. Ça viendra bientôt.
  5. Dans l'éventualité de l'interdiction et/ou tarification du stationnement dans notre chère république du Plateau, et ce 24h/7j, il m'appraît évident de commencer à chercher des alternatives aux nombreux bars et clubs sur St-Laurent, St-Denis et Mont-Royal. Je peux pas imaginer sortir des bars aux 2h pour payer 6$ à chaque coup, à 1h du matin... c'est pas raisonnable. Je préfère aller dépenser mon 100$ par fin de semaine ailleurs, et je suis sur que les places ne manquent pas. Crescent et le vieu Montréal me viennent à l'esprit, quoique le deuxième est vraiment pas évident côté stationnement...
  6. Attractions hippiques projetterait de ne garder que l'hippodrome de Trois-Rivières et sa quinzaine d'hippo clubs, où des courses disputées à l'extérieur du Québec sont présentées sur écrans géants. Pour en lire plus...
  7. Gretzky confirms Coyotes in trouble MATTHEW SEKERES January 16, 2009 VANCOUVER -- Phoenix Coyotes head coach Wayne Gretzky confirmed yesterday that the troubled NHL franchise requires financial assistance and is seeking an investor who could help keep the team in Arizona. The Coyotes could lose as much as $45-million (all currency U.S.) this season, including interest payments, and owner Jerry Moyes is looking for a partner. He also is speaking to city officials in Glendale about the lease arrangement at the community-owned Jobing.com Arena. Yesterday, when Gretzky was asked whether the owner could continue to operate the club, given its losses, he deferred queries to Moyes. But Gretzky, the club's coach and managing partner, also signalled that Moyes requires investment in the franchise and financial relief from the city of Glendale. "I don't think it is any big secret that Mr. Moyes has asked for new partners or investors," Gretzky said. "Mr. Moyes is doing the best he can in working with the city and city officials. Our responsibility is to come, show up and play, and play the best we can." Since The Globe and Mail began documenting the Coyotes' economic woes last month, no one from the club's management had confirmed that it was seeking financial help. A TSN report on Wednesday said that as much as 80 per cent of the team is expected to be sold in the next two months, and that Moyes would retain as much as 20 per cent. Barring a sale, the club could be forced into bankruptcy proceedings. It is possible the Coyotes could be disbanded or moved out of Phoenix before next season. The Coyotes entered a game against the Vancouver Canucks last night in seventh place, a playoff spot, in the Western Conference. The team is trying to snap a seven-year postseason drought behind a youth movement that features seven players who are 22 or younger. "The older players definitely don't let [the financial trouble] be a distraction, but the younger players don't understand it, maybe," said defenceman Derek Morris, the team's union representative. "We realize that things aren't good, but they are still treating us first-class here. They're allowing us to play hockey."
  8. Le sport n'est pas épargné par la crise 16 décembre 2008 - 08h38 Agence France-Presse Des clubs comme Chelsea sont lourdement endettés malgré la présence du milliardaire russe Roman Abramovitch. La crise financière n'a pas épargné le monde du sport, parfois touché de plein fouet par les soubresauts des Bourses, à l'image des clubs de football anglais, des préparatifs des Jeux olympiques de Londres ou de la dispendieuse Formule 1. À l'heure où l'ensemble des activités économiques s'enfonçait dans la crise, il eut été curieux que le sport, ultradépendant de la générosité des sponsors et des banques prêteuses, reste à l'abri du marasme. Leur mauvaise fortune a ainsi porté à l'automne un rude coup à la Premier League anglaise, championnat le plus opulent du monde mais aussi le plus endetté. Alors que les Bourses plongeaient, les fans de Chelsea, Manchester, Arsenal, clubs côtés à la City, découvraient des pieds d'argile à leurs idoles aux souliers d'or. Au début d'octobre, le président de la fédération de football estimait que les clubs «commençaient à voir le bord de l'ouragan» en raison d'un endettement évalué à 3,9 milliards d'euros. Click here to find out more! Dettes contractées auprès de banques en quasi-faillite ou de prodigues mécènes, tels le milliardaire russe Roman Abramovitch (Chelsea), secoués par une crise dont toutes les conséquences ne se feront probablement pas sentir avant le prochain renouvellement des contrats de parrainage. Touchée dans son football, l'Angleterre est également en première ligne au titre de pays hôte des prochains Jeux olympiques. Stigmatisés avant la crise pour leur mégalomanie, les organisateurs de Londres 2012 qui comptaient sur neuf milliards d'euros de fonds privés ont commencé à puiser dans leur fonds d'urgence. Ils envisagent de modestes «plans B» voire l'annulation de constructions en raison de la soudaine frilosité des investisseurs. «Si nous avions su ce que nous savons maintenant, aurions-nous été candidats?», s'est du coup interrogé la ministre en charge des Jeux, Tessa Jowell. Avant d'apporter une réponse sans équivoque: «Presque certainement non». Plus généralement, le mouvement olympique a pâti des conséquences de la crise sur ses parraineurs, avec le retrait de quatre d'entre eux Kodak (EK), ManuLife (MFC), Lenovo et Johnson & Johnson (JNJ) du programme de commandite pour les années 2010-2012. Première victime collatérale de la crise, l'Angleterre n'est pas seule à souffrir. Aux États-Unis, les ligues professionnelles ont les unes après les autres supprimé des emplois et augmenté le prix des places au détriment de spectateurs eux aussi économiquement malmenés. Mais comme pour le football européen, le coût prohibitif des places dans les stades aura à terme un effet vertueux sur l'économie des clubs : Les supporters regarderont la télé, permettant aux droits TV de rester stables. En Russie, la situation est plus critique pour des sports collectifs vivant des perfusions d'oligarques dont le sport n'est plus la priorité en temps de crise. «Quelques clubs pourraient cesser d'exister», affirmait ainsi un responsable du Dynamo Moscou à l'automne. Enfin, sans considération géographique, des sports entiers souffrent: Si le golf, sport de luxe, reste épargné malgré l'annulation d'un tournoi en Inde après la faillite de son commanditaire, la F1, depuis longtemps montrée du doigt pour son incivisme en des temps écologiquement corrects, attaquera la saison 2009 sans l'écurie Honda, forfait pour cause de crise et de mauvais résultats. Si l'équipe nippone n'était pas remplacée, la saison se déroulerait avec 18 monoplaces, soit seulement deux de plus que le «seuil critique» fixé par Max Mosley, président de la fédération internationale (FIA) plus que jamais partisan d'un moteur unique, et donc économique, pour équiper les voitures dès 2010.
  9. La crise financière n'a pas épargné le monde du sport, parfois touché de plein fouet par les soubresauts des Bourses, à l'image des clubs de football anglais. Pour en lire plus...
  10. Parmi le million de golfeurs québécois, on retrouve de nombreux professionnels qui jouent pour faire des affaires. Quels terrains choisissent-ils ? Pour en lire plus...
  11. Un autre article intéressant du Telegraph de Londres. Ils publient régulièrement des articles touristiques sur Montréal et le Québec, toujours très flatteurs, d'ailleurs. Montreal: a thrilling collision of cultures Part French, part English and a lot more besides, Montreal is stylish, intriguing, and full of joie de vivre, says Kathy Arnold. On a sunny Saturday morning, we stroll through the Quartier Latin. Apart from a few dogwalkers and the occasional cyclist, the streets are quiet. We take a table at an outdoor café, order café au lait and read through La Presse, the local newspaper. It is all oh-so French, but when an American sits down nearby, the waitress slips effortlessly into English. We are in Montreal, the third-largest French-speaking metropolis in the world (after Paris and Kinshasa) – and one of the most intriguing cities I know. Montreal is proud of its Gallic roots. From its founding in 1642 until 1763, when the British took over, this island in the St Lawrence River was an important outpost of France. Down by the harbour, 19th-century banks and warehouses testify to the wealth generated by the port. It still ranks as one of the largest in North America, despite being 1,000 miles from the Atlantic. Traditionally, the Anglophones lived on the west side, the Francophones to the east. The dividing line was - and still is - the boulevard Saint-Laurent, referred to as “The Main” in English or “La Main” in French. The look of the city reflects this mixture of cultures, as if, in an architectural game of tit-for-tat, classic French designs are matched by traditional British. In front of the Hôtel de Ville, we crane our necks to look up at columns and porticoes as grandiose as any on a 19th-century town hall in France. By contrast, at Christ Church Cathedral, Anglican Gothic rules, from arches to spire. Then there are the street names: Saint-Jacques and Victor-Hugo share the map with Sherbrooke and Queen-Mary. And where else boasts a rue Napoléon and a rue Wellington? Canada’s second city may rest on European foundations, but its mirror-windowed skyscrapers are pure North America. So is the grid system of streets that spreads from the St Lawrence up to Mont-Royal, the hill for which the city is named. But unlike many US cities, Montreal is very walkable. We saunter along cobbled streets and lanes in the oldest part of the city, the Vieux-Port, where harbourside seediness has given way to galleries, trendy hotels and restaurants. Up the hill, in the Plateau area, we photograph the escaliers - the outdoor staircases that are a feature of the century-old duplex townhouses. Some insist that the curved steps reduced building costs; others say they created space for a front garden. Local lore suggests otherwise. “We are very Catholic,” a friend explains. “To ensure propriety, the church insisted on exterior entrances so everyone on the street could always see who was going in and out of each apartment.” Many Montrealers still live downtown, so the urban bustle continues after work and at weekends. Thanks to a passion for the arts, there is always plenty going on. Over the years, we have been to the Montreal Symphony Orchestra and the Grands Ballets Canadiens, enjoyed jazz and comedy at small clubs. And we have always eaten well. Like their cousins in the Old World, Montrealers love good food. As well as four busy, European-style markets, piled high with local produce, there is a huge range of well-priced restaurants. Some offer hearty Québec favourites such as smoked meat, tourtière (meat pie) and, thanks to the Jewish community, arguably the best bagels in North America. My favourite restaurants are those offering a modern take on traditional recipes; the most famous is Toqué!, whose chef, Normand Laprise, was in the vanguard of the foodie revolution. Still others reflect the influx of immigrants from Italy and Greece, Spain and China. These newcomers have spiced up the pot-au-feu that is Montreal: Vietnamese-run flower stalls look like mini-garden centres and red-shirted Benfica supporters celebrate the Portuguese club’s victory. Although locals still talk about the “French” and the “English”, meaning Francophone and Anglophone, Montreal today embraces so much more than just these two cultures. It all adds up to a city that is vibrant, confident and forward-looking, with a joie de vivre that is impossible to resist. As the franglais slogan for a local radio station puts it: “Plus de hits! Plus de fun!” Essentials Montreal is five hours behind UK time; the international dialling code for Canada is 001; the current exchange rate is C$1.88 to the pound. Where to stay Luxury The city is dotted with designer-cool hotels, such as the 30-room Hotel Gault at 449 rue Sainte-Hélène (514 904 1616, http://www.hotelgault.com; from £90), on the edge of Vieux-Montreal. Behind its elegant 1871 façade are bare brick and modern art. Traditionalists should opt for the Auberge Bonaparte at 447 rue Saint-François-Xavier (514 844 1448, http://www.bonaparte.com; £80), with its romantic ambience, excellent restaurant and 30 comfortable rooms. In fine weather, take in the views over Vieux-Montreal from the sixth-floor roof terrace. Mid-range The 60-room Hôtel XIXe Siècle at 262 rue St-Jacques Ouest (877 553 0019, http://www.hotelxixsiecle.com; from £70) scores for price and location – on the edge of Vieux-Montreal and an easy walk from downtown. The lobby and bar still have the high ceilings from the building’s origins as a 19th-century bank. Budget When the Auberge Les Passants du Sans Soucy at 171 rue St-Paul Ouest (514 842 2634, http://www.lesanssoucy.com) opened as an art gallery-cum-b&b some 15 years ago, Vieux-Montreal had yet to be revived. Today, guests staying in this 1723 stone house are steps away from galleries, shops and restaurants. Nine rooms only, so book early; Daniel Soucy’s breakfasts are lavish. What to see Museums For a quick history lesson, visit Pointe-à-Callière, built right on top of the city’s first Catholic cemetery (1643-1654). Look down through glass to the graves of Iroquois Indians buried near people named Tessier, Thibault and Hébert, family names that are still in the local phone book. On the top floor, L’Arrivage restaurant has great views over the port (514 872 9150, http://www.pacmusee.qc.ca). As well as the obvious European Old Masters, the Musée des Beaux-Arts (514 285 2000, http://www.mbam.qc.ca) has fine Canadian works. Paintings by the renowned Group of Seven capture the ruggedness of the country in the early 20th century; more contemporary are Quebecois talents such as Jean-Paul Riopelle and Serge Lemoyne . The Olympic Park From the 1976 Olympic Stadium, the Montreal Tower rises 537 feet (164m) - at an incline of 45 degrees. Take the funicular up to the Observatory for spectacular views across the city. Another legacy of the Games is the pool. For £2, you can swim where David Wilkie of Scotland took gold in the 200m breaststroke, breaking the world record in the process (514 252 4737, http://www.rio.gouv.qc.ca). Then there is the velodrome, recycled as the Biodôme. Under a vast roof, this space is divided into four eco-systems, which are always in season. Sloths hide in the Tropical Rainforest, cod and salmon swim in the St Lawrence Marine Eco-system, beavers build dams in the Laurentian Forest, but the biggest crowd-pleasers are the penguins, which torpedo into the icy waters of the Antarctic (514 868 3000, http://www.biodome.qc.ca). Montreal Botanical Garden An easy walk from the Olympic Park is the city’s answer to Kew Gardens (514 872 1400, www2.ville.montreal.qc.ca/jardin). Within its 180 acres are 10 giant greenhouses and 30 themed gardens. Learn all about toxic and medicinal plants; compare Chinese and Japanese horticultural styles. Montreal Insectarium Across from the Botanical Garden is the Insectarium (514 872 1400, www2.ville.montreal.qc.ca/insectarium), a must for children. This is a world of creepy-crawlies, with dung beetles, stick insects, cochineals, bees and more. There is even a set of scales that registers your weight, not in pounds or kilos but in ants. A 10-year-old weighs in at about 1.5 million. What to buy Shopping With sterling riding high, shopping is a pleasure. All the international brand names are here, but most fun are the boutiques featuring the work of stylish local designers. Downtown, head for rue de la Montagne, between Boulevard de Maisonneuve and rue Sherbrooke; up on the Plateau, check out rue Saint-Denis, chock-a-block with shops, and the funky boulevard Saint-Laurent. The three big department stores are Holt Renfrew, La Baie (Hudson’s Bay Company) and La Maison Ogilvy, where noon is still marked by a kilted piper playing the bagpipes. Markets Join locals shopping for produits du terroir at the art deco Marché Atwater, with its cheeses and maple syrup, and, next to Little Italy, the Marché Jean-Talon, ringed with busy bistro tables. The Marché Bonsecours in Vieux-Montreal no longer sells fruit and veg: the handsome 1847 building is now devoted to arts and crafts. Where to eat Toqué! Back in the early 1990s, Normand Laprise startled locals with his flavour combinations and the dramatic look of his dishes. As inventive as ever, his seven-course, £45 “mystery menu” could include scallops marinated in strawberry and bell pepper jus and suckling pig with a curry glaze (900 Place Jean-Paul-Riopelle; 514 499 2084, http://www.restaurant-toque.com). La Porte At this family-run operation, Pascale Rouyé looks after front of house while her husband, Thierry, and their son cook. They do what the French do best (local ingredients, classic techniques), and the five-course, £22 menu would be hard to beat in their native Brittany (3627 Boulevard Saint-Laurent; 514 282 4996) . Olive + Gourmando Wood floors and chairs and young, cheerful staff make this a pleasant place to start the day with steaming café au lait and a blueberry brioche (351 rue Saint-Paul Ouest; 514 350 1083, http://www.oliveetgourmando.com). Garde-Manger The disco beat gets louder as the evening progresses in this brick-walled restaurant. Get stuck in to ribs and platters piled with crabs, mussels and shrimp from Québec’s Iles de la Madeleine. Finish with maple-pecan pie (408 rue Saint-François-Xavier; 514 678 5044). Aszú In this basement oenothèque, David Couture’s modern cuisine is matched with 50 wines by the glass (212 rue Notre-Dame Ouest; 514 845 5436). Night owls During Prohibition, Americans escaped to Montreal for whisky and jazz. There is still no shortage of clubs and bars. Join the fun on rue Crescent, boulevard Saint-Laurent and rue Saint-Denis in the Quartier Latin. One of the best jazz clubs is The Upstairs (1254 rue MacKay; 514 931 6808, http://www.upstairsjazz.com). Getting there Canadian Affair has return flights from London Gatwick and Manchester to Montreal Trudeau International from £198; flights and six nights’ three-star accommodation from £396, based on two sharing (020 7616 9184 or 0141 223 7517, http://www.canadianaffair.com). Getting about No car is needed. The STM three-day tourist pass (£9) offers unlimited travel on the fast, safe metro and bus system. Metro stops are part of RÉSO, the network of cheerful, brightly lit underground walkways that stretches for some 20 miles, linking shops and apartment blocks, restaurants and museums. Getting in The Montreal Museums Pass gets you in to the 30 principal museums, and includes the three-day travel pass (£23, http://www.museesmontreal.org). More information Tourism Montreal: http://www.tourisme-montreal.org. At Tourism Québec, talk to a real person on 0800 051 7055 (http://www.bonjourquebec.com/uk). In the know Three of the best events on the city’s calendar include: Canadian Grand Prix, June 6-8 (http://www.grandprix.ca). International Jazz Festival, June 26-July 6 (http://www.montrealjazzfest.com). Just for Laughs Comedy Festival, July 10-20 (http://www.hahaha.com).
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