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  1. Bonjour. Hello. Quelque chose qui me passionne et me préoccupe beaucoup c'est le réchauffement climatique. Voici le lien pour mon site préféré où je m'informe sur ce sujet. http://www.environmentalhealthnews.org/archives.jsp?sm=fr13%3Bcurrentissues15%3B5Climate_change14%3BClimate+change Je trouve ce site des plus utiles parce qu'il rassemble tout le savoir sur le réchauffement climatique, donc on peut choisir de lire la science directement des sources scientifiques (NASA par exemple) ou on peut lire les opinions ou encore on peut s'informer sur ce qui se passe partout sur la planète de par les liens vers les publications du monde entier. Très informatif. À vous d'en juger pour vous même. Ce n'est que tout récemment que les scientifiques commençent à parler des conséquences du réchauffement climatique sur les régions plus précisément alors qu'auparavant on ne parlait que des changements à l'échelle planétaire. On dit que les effets du réchauffement climatique se feront sentir fortement à Montréal en 2046, par exemple http://www.radio-canada.ca/nouvelles/environnement/2013/09/27/001-giec-rapport-climat.shtml. Quand j'ai acheté ma maison en 2011 j'ai beaucoup pensé aux consequences du réchauffement climatique en choisissant ma propriété. Je me demande souvent si le boom immobilier que l'on observe maintenant à Montréal est en parti dû au positionement des forces économiques face aux changements à venir. Les scientifiques, les grandes sociétés financières internationales et même les forces militaires du G20 ce préparent dès maintenant. En générale on dit qu'à court et moyen terme le Canada va profiter des changements dû au réchauffement climatique. Qu'en pensez-vous? C'est un sujet énorme j'en conviens. Quelles seront les enjeux pour Montréal dans les 50 prochaines années par exemple.
  2. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/419524/des-investisseurs-importants-s-engagent-a-montreal-a-devoiler-leur-empreinte-carbone
  3. Le Marché climatique de Montréal est ouvert La Bourse de Montréal (MXX) et la Chicago Climate Exchange ont procédé à l'ouverture officielle du Marché climatique de Montréal vendredi matin. 30 mai 2008 - 09h39 Presse Canadienne La cérémonie s'est déroulée en présence du premier ministre Jean Charest et de ministres fédéraux, soit John Baird, ministre de l'Environnement du Canada, et Michael Fortier, ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux. L'ouverture a eu lieu à 9h30 après un décompte avec l'inscription à la cote du tout premier contrat à terme lié aux émissions de gaz à effet de serre négocié en bourse au Canada. L'intention de mettre en place un tel marché avait été annoncée en décembre 2005. Sa mise sur pied avait, elle, été rendue publique quelques mois plus tard, en juillet 2006. La Bourse de Montréal apporte à ce nouveau marché son expertise dans les systèmes de négociation, de compensation, de réglementation des marchés et de gestion du risque financier. La CCX fournit son expérience d'exploitation de la bourse climatique de Chicago. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080530/LAINFORMER/80530084/5891/LAINFORMER01
  4. Publié le 07 septembre 2009 à 09h33 | Mis à jour à 09h39 Le Japon vise 25% de réduction de CO2 entre 1990 et 2020 Agence France-Presse Tokyo Le futur premier ministre japonais Yukio Hatoyama a annoncé lundi que le Japon allait tenter de réduire de 25% ses émissions de gaz à effet de serre (GES) d'ici 2020 par rapport à 1990, revoyant à la hausse l'objectif fixé par le gouvernent sortant. «Comme objectif à moyen terme, nous visons une réduction de 25% d'ici 2020 par rapport aux niveaux de 1990, en nous basant sur les demandes scientifiques dans l'espoir d'arrêter le réchauffement climatique», a déclaré M. Hatoyama lors d'une réunion internationale sur le changement climatique à Tokyo. Président du Parti Démocrate du Japon (centre-gauche) victorieux des récentes élections législatives, M. Hatoyama sera désigné premier ministre par la Chambre des députés le 16 septembre. Ce chiffre annoncé par le prochain chef du gouvernement est plus ambitieux que la réduction de 8% fixée en juin par le premier ministre conservateur sortant, Taro Aso, pour la même période de référence. «Ceci est une promesse politique sur laquelle nous nous étions engagés dans notre manifeste électoral», a expliqué M. Hatoyama. «Nous devons l'accomplir en prenant toutes les mesures nécessaires». Le Japon défendra cet objectif de 25% dès la prochaine réunion organisée par l'ONU à New York le 22 septembre, préparatoire au sommet de Copenhague de décembre. Sous l'égide de l'ONU, ce sommet vise à trouver un accord international pour succéder au protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de GES considérées comme largement responsables du changement climatique. M. Hatoyama a toutefois averti que le Japon ne voulait pas avancer seul sur ce sujet. «Un accord enthousiaste avec la participation de tous les grands pays est une condition nécessaire à notre promesse devant la communauté internationale», a-t-il souligné. Deuxième économie mondiale, l'archipel n'est que le cinquième émetteur de gaz à effet de serre, derrière la Chine, les États-Unis, l'Inde et la Russie. Le futur premier ministre a annoncé en outre qu'il lancerait «une initiative immédiatement après la formation du gouvernement» pour aider les pays en développement à réduire leurs émissions de GES. «Nous pensons que les pays en développement doivent aussi faire un effort pour réduire leur GES, car le changement climatique est un problème planétaire. Les pays développés doivent fournir un soutien financier et technique aux pays en développement qui essaient de réduire leurs émissions», a-t-il expliqué. La question de l'aide financière apportée par les pays riches aux pays pauvres pour réduire leurs émissions constitue un désaccord de taille dans les négociations en vue du sommet de Copenhague.
  5. Le président du Conseil mondial de l'eau fait une mise en garde contre le gaspillage dans le contexte du réchauffement climatique et de la crise économique. Une vingtaine de personnes sont arrêtées. Pour en lire plus...
  6. Le Marché climatique de Montréal suit de près la campagne électorale Sylvain Larocque La Presse Canadienne Montréal Les dirigeants du Marché climatique de Montréal ne sont pas indifférents au déroulement de la campagne électorale fédérale, puisque son résultat pourrait influencer le volume de transactions sur cette nouvelle Bourse. Le Marché climatique, une filiale de la Bourse de Montréal, en est encore à ses premiers balbutiements. Tout juste 400 contrats à terme y ont été négociés depuis son lancement en grande pompe, en mai. La situation découle notamment du fait que le gouvernement conservateur n'a pas encore adopté toutes les règles qui doivent encadrer la négociation de crédits de carbone au Canada, explique Léon Bitton, vice-président, Recherche et développement, à la Bourse de Montréal. «On s'attendait à ce que ce soit un démarrage lent, progressif, a-t-il déclaré au cours d'un entretien téléphonique. Ce n'est pas un investissement à court terme, c'est un positionnement à long terme.» Le mois dernier, Ottawa a fait un pas de plus en dévoilant le mode de fonctionnement du Système canadien de crédits compensatoires, l'une des cinq façons pour les entreprises de se conformer à leurs cibles de réduction d'émissions de gaz à effet de serre (GES). Ces nouvelles règles, qui doivent entrer en vigueur d'ici la fin de l'année si les conservateurs restent au pouvoir, encadrent les projets volontaires de réduction d'émissions de GES menés par des sociétés non visées par les cibles fédérales. Les règles sur les crédits compensatoires donnent de l'information précieuse aux sociétés désireuses d'acheter ou de vendre les droits liés à des crédits de carbone par le biais du Marché climatique, mais on ne sait pas encore quel impact elles auront sur le prix d'une tonne de carbone. On aura une meilleure idée de la valeur réelle d'une tonne de carbone au Canada lorsque le gouvernement fédéral publiera les cibles de réduction précises pour chaque secteur industriel, d'ici l'année prochaine. Chaque entreprise saura alors si elle est bien placée pour surpasser ou rater son objectif et si elle doit, par conséquent, acheter ou vendre des crédits de carbone. Plus la demande de crédits sera forte, plus les prix seront élevés. Les cours varieront aussi en fonction de la popularité des autres moyens que les sociétés industrielles peuvent employer pour se conformer aux exigences de réduction: la contribution à un fonds technologique (au coût de 15 $ la tonne de CO2 entre 2010 et 2012, puis de 20 $ la tonne en 2013) et l'achat de crédits internationaux. Au premier jour de négociation du Marché climatique, le 30 mai, le contrat à terme pour une tonne de CO2 livrée en juin 2011 s'échangeait à environ 10 $. Vendredi, son cours avait grimpé à 13 $, une hausse appréciable de 30 pour cent. Incertitude postélectorale? L'issue de la présente campagne électorale pourrait avoir un impact sur le volume de négociation au Marché climatique, surtout si un parti d'opposition prend le pouvoir et met au panier le plan conservateur et ses règles de conformité. «De façon générale, quand il y a plus d'incertitude (à l'égard des règles de réduction), ça crée moins d'intérêt (pour le Marché climatique) parce que lorsqu'on dit 'incertitude', ça veut dire que si je suis (le producteur d'électricité) TransAlta et que je ne sais pas si je suis acheteur ou vendeur de crédits selon (la plateforme électorale de tel ou tel parti), eh bien je vais attendre de savoir», souligne M. Bitton. Il reste à voir combien de temps durerait l'incertitude résultant d'un changement de gouvernement. «Il y a une notion de clarté qui est essentielle dans ce marché-là, convient Léon Bitton. Maintenant, comment est-ce qu'on définit l'incertitude? Si le nouveau parti au pouvoir a déjà une plateforme, un modèle (de réduction des émissions de GES) et qu'il a déjà annoncé quel va être son programme, peut-être que l'incertitude n'est pas si grande.» Cibles absolues ou relatives? Maintenant, quel type de cibles de réduction est susceptible de susciter davantage de volume au Marché climatique de Montréal: les cibles relatives, fondées sur l'intensité des émissions et préconisées par les conservateurs, ou les cibles absolues mises en l'avant par les libéraux, les bloquistes, les néo-démocrates et les verts? Plusieurs spécialistes estiment que les cibles absolues sont, de manière générale, plus exigeantes pour les sociétés industrielles, de sorte qu'elles sont susceptibles de contraindre ces dernières à acheter un plus grand nombre de crédits de carbone comparativement à un cadre fondé sur des cibles d'intensité. Léon Bitton n'est est pas si sûr. «Les cibles absolues pourraient éventuellement créer plus de demande (sur le Marché climatique), mais pas toujours, en fonction de comment elles sont établies, soutient-il. Une cible basée sur l'intensité peut être aussi contraignante, suivant son pourcentage. Vous pouvez très bien avoir une cible absolue moins contraignante qu'une cible basée sur l'intensité. (...) Donc pour nous, que ce soit une cible absolue ou une cible basée sur l'intensité, ça ne change rien à notre modèle de marché.» La seule chose qui pourrait empêcher le Marché climatique de fonctionner de façon optimale, c'est que le gouvernement abandonne l'idée de permettre aux entreprises de recourir à une Bourse pour acheter des crédits de carbone. Pour l'instant, aucune formation politique fédérale n'en est là. «Quel que soit le parti au pouvoir, une fois que les règles du jeu auront été bien clarifiées, on s'attend à ce qu'il y ait un plus grand nombre d'intervenants qui vont traiter sur notre marché», affirme M. Bitton. Les conservateurs se sont engagés à réduire de 20 pour cent, d'ici 2020, les émissions de GES du Canada par rapport aux niveaux de 2006. Les quatre autres partis visent des objectifs plus ambitieux. Le Parti libéral mise surtout sur sa proposition de taxe sur le carbone pour réduire les émissions de GES, mais n'entend pas interdire l'échange de crédits en Bourse pour autant. Le Nouveau Parti démocratique, qui s'oppose à une taxe sur le carbone, compte principalement sur une Bourse du carbone pour l'atteinte de ses objectifs de réduction.
  7. Montréal lance sa Bourse climatique 5 octobre 2007 - 06h19 La Presse Denis Arcand Agrandir Le grand patron de la Bourse de Montréal, Luc Bertrand. Grossir caractèreImprimerEnvoyer .a{float:left;padding:0px 15px 10px 0px;text-align:center;width:175;} La Bourse de Montréal (MXX) et son partenaire, la Bourse climatique de Chicago, ont déposé jeudi à l'Autorité des marchés financiers leur très attendu projet de Marché climatique de Montréal, a appris La Presse. C'est la principale étape concrète vers le lancement de cette Bourse des gaz polluants, qui vise à fournir des mesures d'incitation financière aux entreprises pour réduire leurs émissions de gaz nocifs pour l'environnement. Le texte du projet doit être publié ce matin dans le Bulletin de l'AMF. Le lancement du Marché climatique de Montréal MCeX est conditionnel à l'approbation de l'AMF. La loi prévoit une période de consultation de 30 jours avant sa décision. Le président de la Bourse de Montréal, Luc Bertrand, n'a pas voulu confirmer que son projet sera rendu public aujourd'hui, se bornant à dire que la publication du document est «pour très bientôt». La Bourse de Montréal a un allié de taille dans l'aventure, soit la Bourse climatique de Chicago (aussi appelée CCX), une entité indépendante qui possède aussi la Bourse climatique d'Europe, et qui a une participation de 49% du futur Marché climatique de Montréal. «Cela nous permet de nous brancher sur la plus grande expertise au monde, de loin, dans le domaine», a dit M. Bertrand. Il a noté qu'en Europe, où les gouvernements ont énoncé des cadres réglementaires clairs, la filiale européenne de CCX «fait de l'argent». Là-bas, les firmes inscrites échangent de très grandes quantités de crédits de carbone (mesurés en tonnes de CO2). Les firmes ont des objectifs de réduction d'émissions de gaz à effets de serre. Si elles échouent en polluant trop, elles doivent payer des frais, mais elles peuvent aussi atteindre leurs objectifs en achetant les «crédits de carbone» à d'autres firmes qui ont un meilleur bilan environnemental. Aux États-Unis, la Bourse CCX fonctionne sur une base volontaire, mais les firmes participantes signent des contrats qui les obligent devant la loi à fonctionner dans ce système de droits d'émission. La Bourse climatique de Montréal - la seule au Canada - impliquera seulement les firmes volontaires, comme aux États-Unis, mais cela pourrait changer, si le gouvernement fédéral de Stephen Harper adopte des règlements contraignants. Le projet de politique environnementale annoncé plus tôt cette année par le gouvernement Harper a généralement déçu les environnementalistes, mais la Bourse de Montréal a quand même jugé que cet énoncé de politique est suffisant pour lancer une Bourse climatique. «La très grande majorité des émetteurs de gaz à effets de serre canadiens avec qui nous en avons discuté sont très intéressés parce que cela fixerait un prix pour les crédits», a dit M. Bertrand. Et quel serait ce prix? «En Europe (où les gouvernements ont adopté un cadre clair), la tonne de CO2 vaut 21 euros sur la European Climatic Exchange» et les volumes sont élevés. «Aux États-Unis (où c'est purement volontaire), la tonne de CO2 vaut 3$», et les volumes sont bas. «Personne ne sait quelle ampleur cela va prendre ici, ni combien de temps il faudra attendre de grands volumes. Mais c'est clair que c'est quelque chose qui s'en vient, d'une façon ou une autre.» Selon M. Bertrand, la Bourse de Montréal et son allié de Chicago ont travaillé durant quatre ans à la conception de cette Bourse et de son contrat à terme. Pour consulter le document qui doit être mis en ligne ce matin: www.lautorite.qc.ca/bulletin.fr.html
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