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  1. J'aime bien voir Montréal bien performer dans certains classements surtout quand on bat Toronto ! Hehe Voici le dernier classement des meilleurea villes universitaires selon QS. Montréal est #1 dans les Amériques et #6 au monde. Voici ce que dit QS sur notre belle ville: Montréal is multicultural, multilingual and is widely referred to as Canada’s “cultural capital”. It performs well across five of the six indicators assessed, ranking within the top 50 for all of them except affordability. Montréal is home to several of Canada's highest-ranking institutions, including McGill University (currently ranked 35th in the world and second in Canada) and the Université de Montréal (137th in the world, fifth in Canada). The city is also a regular contender in lists of the world’s best places to live – and it seems students agree. While it might no longer be number one overall in the ranking, Montréal is 12 places higher in the student rank indicator than fellow Canadian city, Toronto, and is celebrated by students for its arts and culture, as well as for its friendliness and diversity. None of this is likely to come as a surprise. As a French-speaking city in a largely English-speaking nation that has experienced mass immigration from across the world, Montréal is known for its multicultural makeup and inclusive ethos. It’s also renowned for its laidback yet lively lifestyle, attractive boulevards, thriving creative industries, café culture, and eclectic range of arts venues, live performances and nightlife. https://www.topuniversities.com/city-rankings/2019
  2. Je ne sais pas si il y a un fil sur le sujet ou si ça va dans une autre catégorie, donc je m'excuse d'avance si c'est le cas (Je suis nouveau sur le forum). J'ai trouvé ce document récemment et j'aimerais le partager avec vous. Il s'agit d'un classement des villes nord-américaines selon le potentiel économique et la stratégie d'attraction des investissements étrangers (fdi). Le classement de Juin 2019 met Montreal 3eme derrière Toronto dans la catégorie Overall Cities of the Future, mais 2eme derrière Chicago en ce qui concerne la Stratégie fdi (Toronto est 11eme ... hehe). Même si ce genre de classement est un peu superficiel et subjectif, c'est quand même encourageant de voir que Montréal est perçu comme un pôle d'attraction majeur en Amérique du Nord. Les années ou Montréal était stagnante sont derrière nous les amis !! Qu'en pensez-vous ? fDi American Cities of the Future 2019-20-1.pdf
  3. Certains sur ce forum aime bien dépeindre Montréal (et le Québec par association) comme un endroit où les régulations et l'imposition rendent la vie difficile au commerce et à l'activité économique dans son ensemble. Une étude de KPMG place cependant Montréal au 4e rang d'une sélection de 51 villes pour son niveau de compétitivité fiscale. Le hic? C'est que Toronto et Vancouver figurent parmis les villes qui se classent devant Montréal. Deux constats s'imposent ici : - Montréal, globalement, est extrêmement attirante pour l'établissement de nouvelles entreprises. - Montréal, localement, est peut-être moins attirant. Le deuxième constat est difficilement un défaut que l'on pourrait qualifier d'accablant de l'administration régionale. On accuserait donc Montréal de ne pas être plus catholique que le pape? Il faudrait être la ville la plus "lousse" fiscalement du monde industrialisé pour satisfaire certain. Il est normal que Montréal perde "minimalement" au change quand on la compare à des villes situés dans des juridictions où le panier de services publics sont beaucoup moindre. La ville reste néanmoins extrêmement compétitive en terme d'attraction d'activité commerciale. SOURCE : L'étude de KPMG : http://www.ledevoir.com/documents/pdf/rapportkpmgfiscalite.pdf SOURCE : L'article du devoir : http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/475363/fiscalite-le-canada-soigne-bien-les-entreprises-selon-le-classement-de-kpmg?utm_campaign=Autopost&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1468410135
  4. http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/459813/quebec-songe-a-proteger-une-eglise-menacee-de-demolition Québec songe à protéger une église menacée de démolition 9 janvier 2016 |Jeanne Corriveau | Villes et régions L’église Saint-Gérard-Majella sera-t-elle épargnée ? Le ministère de la Culture examine la possibilité de classer cette église de Saint-Jean-sur-Richelieu jugée exceptionnelle, mais condamnée à la démolition. Si un tel statut était accordé au bâtiment, sa destruction deviendrait impossible. Construite en 1962 selon les plans de l’architecte Guy Desbarats, l’église Saint-Gérard-Majella a été vendue en octobre dernier à des promoteurs immobiliers pour 800 000 $. Les nouveaux propriétaires prévoient de raser le bâtiment pour construire un projet domiciliaire de 104 appartements sur le site. Même si l’église dotée d’une voûte asymétrique spectaculaire a reçu du Conseil du patrimoine religieux du Québec la plus haute évaluation, soit la cote « A », la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste a décidé de la vendre, faute de financement pour la rénover. Les travaux de restauration avaient été estimés à 3 millions de dollars. Le Devoir a appris qu’après avoir reçu une demande d’intervention le 16 novembre dernier, le ministère de la Culture a décidé d’examiner la possibilité de classer l’immeuble. « Le ministère a entamé une analyse pour voir ce qu’il est pertinent de faire comme intervention en vertu de la Loi sur le patrimoine. Le classement fait partie de cette réflexion », a confirmé Philip Proulx, attaché de presse de la ministre de la Culture, Hélène David. « Le ministère a eu pour mot d’ordre de faire une analyse rapidement, étant donné qu’il y a des craintes concernant la possible démolition de l’église. » M. Proulx précise qu’advenant la signature d’un avis d’intention de classement par la ministre, la protection entrerait aussitôt en vigueur et la démolition de l’église serait interdite. Église vidée Le président de la fabrique de la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste, Louis-Charles Fontaine, ignorait qu’un classement était envisagé par le ministère lorsque Le Devoir l’a joint vendredi. « Ça serait très bien ! Je pense qu’il faut s’intéresser au patrimoine avant qu’il soit trop tard. Il est déjà tard, mais mieux vaut tard que jamais », a dit M. Fontaine. En l’absence de mobilisation pour préserver l’église et de fonds pour la rénover, la paroisse, qui compte six autres lieux de culte, avait décidé de vendre Saint-Gérard-Majella. En décembre, la fabrique a même vidé l’église et vendu le mobilier et les objets qui s’y trouvaient. « Mais avoir su qu’on aboutirait à ça, je n’aurais pas vendu les bancs et les objets », regrette M. Fontaine. La Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu n’entend pas se mêler du dossier ni contribuer à la restauration de l’église, mais elle devra éventuellement autoriser le changement de zonage, la démolition de l’immeuble et la conformité du projet immobilier, a indiqué Sylvain Latour, attaché de presse du maire Michel Fecteau. Maison des patriotes Quant à la maison Chénier-Sauvé, une demeure patrimoniale de Saint-Eustache elle aussi menacée de démolition, le ministère dit suivre le dossier de près. La Ville de Saint-Eustache affirme que la maison aurait besoin de coûteuses rénovations de 2,8 millions, et elle songe à la démolir malgré une subvention de près d’un million accordée par Québec. « On a mis de l’argent sur la table pour assurer une restauration. On attend de voir quel est le plan de match [de la Ville] », a indiqué Philip Proulx. La Ville entend décider du sort de la propriété ayant appartenu au patriote Jean-Olivier Chénier dans les prochains mois.
  5. http://journalmetro.com/actualites/economie/864874/start-ups-montreal-20eme-ville-du-monde-la-plus-active/ Mise à jour : 28 octobre 2015 | 20:25 Start-ups: Montréal, 20e ville du monde la plus active Par Mathias Marchal Métro Métro Selon certains analystes, les entrepreneurs de la nouvelle économie devraient prendre plus de temps pour faire croître leur entreprise avant de la revendre. Pour la première fois cette année, Montréal figure au classement des 20 meilleurs écosystèmes de start-ups (entreprises en démarrage) dans le monde. Les organisateurs de la journée Portes ouvertes start-ups auront une raison de plus de se réjouir. Entrevue avec Kara Sheppard-Jones, l’organisatrice de l’événement qui se tient jeudi. Combien y a-t-il de start-ups à Montréal et quelle est la qualité de l’écosystème? Il y a plus de 200 start-ups à Montréal et ce chiffre augmente drastiquement si l’on compte les petites entreprises de deux employés, qui n’ont pas encore de bureau et qui en sont à leur première année. Le nombre de sociétés d’investissement en capital-risque (venture capital), d’opportunités de mentorat, et de support académique pour l’entrepreneuriat ont grandi de manière importante depuis les dernières années, contribuant ainsi à hausser la qualité des start-ups montréalaises et à garder les talents montréalais au sein de la métropole. On note aussi que le taux d’échec des star-tups tend à diminuer. Il est actuellement d’un peu plus de 10% dans la première année. Comment mesurer si Montréal se positionne bien sur la planète start-ups? Montréal a accédé pour la première fois cette année au classement Compass des 20 meilleurs écosystèmes start-ups dans le monde, se classant au 20e rang, non loin de Toronto et Vancouver qui figurent désormais aux 17e et 18e rang. Les critères les plus importants sont le financement, le talent, la taille et la valeur de l’écosystème. [NDLR: ce classement ne comprend pas de villes du Japon, de Chine de Taiwan ou de Corée du Sud]. Quels seront les moments forts de la journée Portes ouvertes Start-ups? Près de 150 start-ups montréalaises ouvriront leurs portes. C’est un événement condensé de trois heures de 16h à 19h qui sera intense en soi! Les moments forts de la soirée seront, entre autres, le lancement de nos parcours thématiques, une innovation cette année, ainsi que l’after-party à l’atelier de Dix2.
  6. Allez Mark, chiale que ce n'est pas assez bon! Toronto et Montréal sont les meilleures villes où vivre, selon «The Economist» Toronto et Montréal ont beau alimenter une rivalité, il n'en demeure pas moins que ce sont deux villes formidables où habiter. Du moins si on se fie à un récent classement de The Economist. Le Economist's Intelligence Unit (EIU) Safe Index 2015, publié lundi, classe les villes majeures de partout dans le monde en fonction de différents aspects liés à la sécurité. Toronto s'y trouve au 8e rang et Montréal, au 14e. Mais lorsque The Economist compile les résultats de ses différents classements, c'est-à-dire dans son «index des index», la ville de Toronto apparaît alors au sommet du classement, suivie de Montréal. The Economist fait son calcul global en se basant sur trois classements au niveau des villes (sécurité, qualité de vie et coût de la vie) et trois classements au niveau du pays (environnement des affaires, démocratie et sécurité alimentaire). Comme le rapport l'indique, le choix d'une ville où s'établir reste un choix bien personnel. «Décider de la ville où s'établir est un choix personnel. Pour certains, la sécurité sera primordiale. D'autres mettront l'accent sur la culture et la créativité. Deux voisins peuvent avoir des visions opposées sur la démocratie ou le coût de la vie», peut-on lire dans le document. http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/01/29/classement-meilleures-villes-the-economist-toronto-montreal_n_6571982.html
  7. http://www.cnn.com/2014/09/22/travel/best-nightlife-cities/ Montreal is the undiscovered party gem of North America. Beautiful, friendly people, all night dancing to a wide variety of music. And, of course, the summer festivals. Obvious tip, but still good to keep in mind: Don't go in winter. Best place to learn why the French do it better: Wood 35. Good drinks, good food.
  8. Montréal, ville des congrès par excellence en Amérique du Nord, en 2013 Montréal se classe en tête de liste des villes d'Amérique du Nord ayant accueilli le plus de congrès internationaux, en 2013. La métropole québécoise avait également remporté cet honneur en 2012. Ce classement est établi par l'International Congress and Convention Association (ICCA), qui recueille des données sur le sujet pour les grandes villes du continent, telles que Toronto, Vancouver, New York, Boston, San Francisco, Washington, San Diego et Chicago. Les congrès internationaux constituent une source de revenus appréciables pour la métropole. Ainsi, pour l'année financière 2013-2014, les 25 congrès internationaux et les 17 congrès canadiens qui ont eu lieu au Palais des congrès de Montréal ont généré près de 161 millions de dollars en retombées économiques, pour la métropole. De manière plus globale, en 2013-2014, Montréal a été l'hôte de 71 événements internationaux auxquels ont participé 37 000 personnes. Pour Raymond Larivée, président-directeur général au Palais des congrès, ces résultats sont le fruit du travail de collaboration entre son organisation et Tourisme Montréal, les hôtels et Aéroports de Montréal, entre autres partenaires. Dans le monde, les villes les plus courues pour les grands congrès sont Paris, Madrid et Vienne, toujours selon l'ICCA. L'ICCA représente les principaux spécialistes dans l'organisation, le transport et la tenue de grands événements et de rencontres majeures. L'Association compte dans ses rangs un millier de compagnies et d'organisations, implantées dans plus de 90 pays. Elle effectue son classement des villes hôtes de congrès depuis cinquante ans. Par continent, pour une période couvrant les années 2008 à 2012, c'est en Europe que l'on retrouve plus de la moitié des grands événements internationaux, chaque année. L'Asie et le Moyen Orient viennent en seconde place avec 18 % des grands congrès. Suivent l'Amérique du Nord avec 12 % et l'Amérique latine avec 10 %. Toujours durant les années 2008 à 2012, le Canada arrive au onzième rang des pays ayant été l'hôte de grands congrès. Les États-Unis arrivent en tête du classement. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/05/13/003-montreal-congres-amerique-nord-villes.shtml
  9. Beau papier d'opinion de 2 membres du CERIUM à propos de Montréal: http://www.lapresse.ca/debats/votre-opinion/201309/25/01-4693223-montreal-nest-pas-une-ile.php
  10. Montréal arrive au premier rang mondial comme destination pour un étudiant étranger qui souhaite faire des études universitaires, selon une analyse publiée par la division de renseignements de la revue The Economist. L'analyse, effectuée en collaboration avec une grande banque chinoise, permet la création d'un guide pour parents qui cherchent à trouver le meilleur endroit pour parfaire l'apprentissage de leurs enfants. L'objectif était de cibler, à l'aide de plusieurs critères, les villes qui offrent le meilleur rendement potentiel sur les plans des études, financier, culturel et social. Les conclusions de l'étude sont le résultat d'une série d'entrevues réalisées avec des experts et de l'indice appelé «Sea Turtle Index». Dans la culture chinoise, une «tortue de mer» désigne un diplômé d'une université d'outre-mer qui rentre au pays après avoir obtenu une éducation de premier ordre. Dans le cadre de cette étude, cependant, la signification s'applique à n'importe quel étudiant qui entend étudier à l'étranger et revenir ensuite chez lui pour en faire profiter son pays. En plus de la qualité de l'enseignement, les critères retenus pour établir le classement sont, notamment, la diversité culturelle et sociale, l'ouverture à l'immigration et la facilité d'obtention d'un visa de travail, l'ouverture aux investissements étrangers, les droits de scolarité, le coût de la vie, le taux de criminalité, le rendement potentiel d'un investissement immobilier, les possibilités d'emplois une fois diplômé et la valeur de la devise. Montréal devance des villes comme Londres, Cambridge et Oxford. «Ce qui aide aussi Montréal, entre autres, est le fait que la ville compte quatre universités, dont certaines ont une réputation de calibre mondial», commente André Costopoulos, doyen à la vie étudiante à l'Université McGill. Près du quart des 38 000 étudiants inscrits à McGill sont des étudiants étrangers et environ 50% d'entre eux proviennent de l'extérieur des États-Unis. L'Université McGill accueillera notamment 2400 nouveaux étudiants étrangers en septembre. L'étude préparée par The Economist souligne qu'il y a eu une hausse de 50% du nombre d'étudiants américains depuis 10 ans dans les universités canadiennes. Marché immobilier Les auteurs de l'étude soulignent par ailleurs que beaucoup de parents jonglent avec l'idée d'investir dans le pays où leurs enfants étudient. Et un investissement immobilier peut venir en tête de liste. Bien que la croissance moyenne des prix au cours des cinq dernières années soit un indicateur important, d'autres éléments doivent être considérés, les taxes, par exemple. L'achat d'une propriété peut notamment servir à éduquer et éveiller son enfant à la gestion et l'entretien d'un condo ou d'un immeuble à revenus. La tenue du marché immobilier a donc joué un rôle dans le classement des villes. Il est souligné dans l'étude que le Canada a évité la crise immobilière et la chute des prix survenue dans plusieurs villes américaines au cours des dernières années. Numéro un sur papier Montréal n'est pas la destination numéro un au monde présentement pour les étudiants étrangers, mais elle devrait l'être selon les conclusions de l'étude. Ce que l'exercice démontre est le fait que le retour sur l'investissement ne se limite pas au bagage de connaissances scolaires. Il faut tenir compte de l'expérience culturelle (restaurants, théâtres, spectacles, etc.), sociale, professionnelle (travail) et pratique (gestion d'une propriété si l'enfant s'implique dans l'investissement des parents). Tous ces éléments servent à former les «tortues de mer» et à les préparer pour leur retour à la maison, ce qui les aidera à obtenir un emploi et à mener une vie épanouissante. Ultimement, fait valoir l'étude, c'est ce qui représente le véritable rendement d'un investissement dans l'éducation de son enfant. L'étude est accessible à l'adresse http://seaturtleindex.com/ --------------- LE HAUT DU CLASSEMENT 1- Montréal, Canada 2- Londres, Angleterre 3- Hong Kong, Chine 4- Toronto, Canada 5- Cambridge, Angleterre 6- Oxford, Angleterre 7- Boston, États-Unis 8- Sydney, Australie 9- Zurich, Suisse 10- New York, États-Unis http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201307/17/01-4671462-montreal-premier-de-classe-pour-les-etudiants-etrangers.php
  11. Montréal, première ville hôte de congrès organisés par des associations internationales en Amérique du Nord. Montréal obtient la première place en Amérique du Nord quant au nombre de congrès accueillis organisés par des associations internationales, selon le classement 2012 de l'International Congress and Convention Association (ICCA). La métropole rafle ainsi la première position parmi les destinations d'Amérique du Nord, devançant les grandes villes américaines et canadiennes, dont New York, Boston, San Francisco, Washington, San Diego, Chicago, Vancouver et Toronto. Fruit du travail concerté du Palais des congrès de Montréal et de ses Ambassadeurs, de Tourisme Montréal et de leurs partenaires respectifs, le positionnement avantageux de Montréal au sein du classement d'ICCA démontre la capacité de la métropole à répondre aux besoins des grandes associations internationales en matière d'infrastructures, d'accueil et de divertissement. Principal hôte des grandes rencontres internationales se tenant à Montréal, le Palais des congrès attire des milliers de touristes d'affaires chaque année, confirmant ainsi sa position de leader dans l'industrie touristique au niveau mondial. « Les résultats à ce jour sont éloquents! Montréal est une ville dynamique et évolutive qui possède un pouvoir d'attraction indéniable auprès des grandes associations internationales », indique Marc Tremblay, président-directeur général au Palais des congrès. « Le classement 2012 de l'ICCA est une autre grande victoire pour la métropole! Évidemment, l'offre touristique est compétitive, mais encore une fois, Montréal, le Palais et tous les partenaires de l'industrie se démarquent par l'expérience unique offerte aux délégués. » « Véritables moteurs de l'économie et de l'industrie touristique, les congrès internationaux sont d'une importance capitale pour la vitalité de notre métropole. Occasions privilégiées de partage d'idées, de processus et d'innovations avec des délégués du monde entier, ces rencontres sont également une vitrine pour le savoir-faire et la créativité montréalaise », souligne l'honorable Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal. « Quelle fierté que Montréal soit reconnue comme le principal carrefour d'échange pour les voyageurs d'affaires en Amérique du Nord! » « Nous tenons à féliciter tous les acteurs qui ont travaillé en étroite collaboration pour positionner Montréal comme chef de file en Amérique du Nord au classement 2012 de l'ICCA. Ce rang est la preuve que Montréal et la province possèdent des atouts enviables, recherchés par les grandes associations internationales d'envergure ! », a fait savoir Pascal Bérubé, ministre délégué au Tourisme. Pour l'année financière 2012-2013, le Palais des congrès a accueilli un total de 11 congrès internationaux1 et 20 congrès canadiens2, générant près de 118 millions de dollars en retombées économiques pour la métropole. À propos de l'International Congress and Convention Association (ICCA) ICCA représente les principaux spécialistes de l'organisation, du transport et de l'hébergement du milieu des réunions et des événements internationaux. Elle comprend 900 sociétés et organismes membres provenant de 85 pays. Pour plus d'information : http://www.iccaworld.com http://www.newswire.ca/fr/story/1165517/montreal-premiere-ville-hote-de-congres-organises-par-des-associations-internationales-en-amerique-du-nord
  12. Finances: Montréal grimpe encore en grade Publié le 25 mars 2013 à 12h17 | Mis à jour à 12h17 La réputation de Montréal comme place financière grimpe encore d'un cran dans le classement des «centres financiers mondiaux» réalisé par une firme spécialisée de Londres, et dont les résultats sont discutés ce midi lors d'une conférence du CORIM. (Conseil de relations internationales de Montréal) Montréal se classe maintenant au 16e rang parmi les principales villes d'activités financières dans le monde. C'est un rang de mieux que le classement de l'an dernier, mais aussi neuf de mieux qu'il y a six ans. Toutefois, selon le principal auteur du classement, Mark Yeandle, directeur du Z/yen Group de Londres, le progrès de Montréal risque de stagner si la métropole québécoise n'y met pas plus d'efforts ciblés de coordination et de promotion. En fait, Montréal subit encore un «déficit de réputation» au niveau international, en dépit de ses avantages concrets comme ville financière d'envergure intermédiaire, a expliqué M. Yeandle en entrevue avec La Presse Affaires, ce matin. «Les attributs du secteur financier à Montréal demeurent sous-estimés et méconnus dans le milieu de la finance internationale. C'est une question de moyens de promotion, mais aussi des choix que Montréal doit faire et promouvoir envers les types de services financiers où elle a de vrais avantages concurrentiels, a expliqué Mark Yeandle. «C'est inutile de chercher à rivaliser des gros centres financiers comme Londres, New York et même Toronto, qui font partie du top-10 mondial. À mon avis, Montréal devrait cibler les secteurs où elle a déjà le plus de capacités. La gestion d'avoirs financiers, par exemple, où Montréal pourrait même concurrencer des pays comme la Suisse, qui perd peu à peu son avantage du secret bancaire.» Dans le secteur des produits dérivés, ajoute M. Yeandle, la spécialisation de la Bourse de Montréal est porteuse d'un bon potentiel alors que ce marché migre de plus en plus des transactions privées (au comptoir) vers des marchés mieux supervisés et plus transparents. Un bémol, toutefois. «La spécialisation des produits dérivés requiert un bon mélange de talents en finances, mais aussi en technologies. C'est très différent des talents requis en gestion d'avoirs », souligne Mark Yeandle, ce qui suggère un défi additionnel de gestion pour les principaux intervenants en finance à Montréal. Autres détails et commentaires dans le cahier Affaires de La Presse de mardi. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201303/25/01-4634540-finances-montreal-grimpe-encore-en-grade.php
  13. La ville de Montréal s'est hissée au 10e rang du classement des meilleures villes universitaires au monde établi par la firme britannique QS et publié mercredi. La métropole québécoise se glisse ainsi au 2e rang en Amérique du Nord et au 1er rang au Canada devançant ainsi Toronto (26e) et Vancouver (31e). « C’est une nouvelle formidable pour Montréal de figurer à ce palmarès […] aux côtés de ville comme Paris, Londres et Boston, a déclaré dans un communiqué Guy Breton, recteur de l’Université de Montréal. La firme QS a pris plusieurs éléments en compte pour établir son palmarès. Seules les villes de plus de 250 000 habitants comptant au moins deux universités s’étant classée au QS World University Rankings étaient éligibles. Le nombre d’étudiants internationaux, la qualité et le coût de la vie ainsi que l’avis d’employeurs locaux et internationaux sur la valeur des diplômés universitaires de la ville sont des critères retenus pour déterminer le classement. Montréal s'est démarquée pour la qualité de vie et pour le nombre d’étudiants internationaux. QS décrit Montréal comme une ville se distinguant par sa culture hybride et sa créativité. Pour plus de renseignements sur le classement et sur la méthodologie du sondage visitez le site de QS World University Ranking. La ville de Montréal s'est hissée au 10e rang du classement des meilleures villes universitaires au monde établi par la firme britannique QS et publié mercredi. La métropole québécoise se glisse ainsi au 2e rang en Amérique du Nord et au 1er rang au Canada devançant ainsi Toronto (26e) et Vancouver (31e). « C’est une nouvelle formidable pour Montréal de figurer à ce palmarès […] aux côtés de ville comme Paris, Londres et Boston, a déclaré dans un communiqué Guy Breton, recteur de l’Université de Montréal. La firme QS a pris plusieurs éléments en compte pour établir son palmarès. Seules les villes de plus de 250 000 habitants comptant au moins deux universités s’étant classée au QS World University Rankings étaient éligibles. Le nombre d’étudiants internationaux, la qualité et le coût de la vie ainsi que l’avis d’employeurs locaux et internationaux sur la valeur des diplômés universitaires de la ville sont des critères retenus pour déterminer le classement. Montréal s'est démarquée pour la qualité de vie et pour le nombre d’étudiants internationaux. QS décrit Montréal comme une ville se distinguant par sa culture hybride et sa créativité. Pour plus de renseignements sur le classement et sur la méthodologie du sondage visitez le site de QS World University Ranking.
  14. Montréal figure au 18e rang selon l’étude annuelle du Reputation Institute qui mesure, auprès de 35 000 répondants, le score de 100 villes selon 13 critères comme la sécurité, l’économie ou la gouvernance. Montréal arrive juste derrière Helsinki et Toronto, mais tout juste devant Munich et Madrid. C’est Londres qui domine le classement. http://www.journalmetro.com/montreal/article/1067917
  15. MONTRÉAL EST CONFIRMÉE PREMIÈRE VILLE D'ACCUEIL D'ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX EN AMÉRIQUE DU NORD Grande victoire pour la métropole, Montréal a été consacrée première destination en Amérique du Nord pour l'accueil d'événements associatifs internationaux, selon le classement officiel 2009 de l'International Congress and Convention Association (ICCA). Quelques jours auparavant, le Palais des congrès de Montréal annonçait son classement parmi les finalistes du Prix APEX 2010 du Meilleur centre de congrès au monde qui sera annoncé en juillet par l'Association internationale des palais de congrès (AIPC). Principal hôte de rencontres internationales d'envergure dans la métropole québécoise, le Palais des congrès accueille chaque année des milliers de congressistes et génère d'importantes retombées intellectuelles et économiques pour Montréal et le Québec. "C'est une grande victoire pour le Palais qui a accueilli plus de 1 000 congrès d'envergure depuis son ouverture en 1983, mais c'est également une belle reconnaissance des efforts déployés au quotidien par les équipes de Tourisme Montréal et du Palais", déclare Marc Tremblay, président-directeur général du Palais des congrès. "Nous avons su nous démarquer des autres centres de congrès internationaux grâce à des atouts fort enviables tels que la flexibilité de nos installations, notre emplacement au cœur du centre-ville, l'expertise et la passion de nos employés, sans oublier le design unique de notre immeuble", ajoute-t-il. Depuis 2007, le Palais des congrès figure en effet au palmarès des "1001 merveilles de l'architecture qu'il faut avoir vues dans sa vie" de Mark Irving. "Tourisme Montréal est très fier de ce classement qui atteste l'excellence de notre industrie touristique en matière de congrès et de rencontres internationales", souligne le président-directeur général de Tourisme Montréal, l'honorable Charles Lapointe. "Le célèbre dicton "l'union fait la force" prend ici tout son sens, puisque ces résultats sont le fruit d'efforts concertés de tous les intervenants montréalais qui travaillent d'arrache-pied pour faire de notre métropole la destination de prédilection des gens d'affaires du monde entier. Tourisme Montréal tient à remercier tout particulièrement l'ensemble du personnel du Palais des congrès qui, par son dévouement exceptionnel et par la qualité irréprochable de ses services, hisse Montréal non seulement au premier rang des destinations de rencontres internationales en Amérique du Nord, mais aussi au 4e rang des villes de congrès de tout le continent américain", précise-t-il. Par cette victoire, Montréal rafle la première position parmi toutes les destinations situées en Amérique du Nord, devançant ainsi les grandes villes américaines et canadiennes, dont New York, Boston et Washington, ainsi que Vancouver et Toronto.
  16. Montréal en 1re place devant toutes les grandes villes américaines et canadiennes MONTRÉAL, le 22 déc. /CNW Telbec/ - Montréal est devenue la première destination pour l'accueil d'événements associatifs internationaux en Amérique du Nord, voilà ce que démontrent les résultats récents du classement préliminaire 2009 de l'International Congress and Convention Association (ICCA). En accueillant des milliers de congressistes chaque année et en étant le principal hôte des rencontres internationales d'envergure dans la métropole québécoise, le Palais des congrès confirme une fois de plus sa position de leader sur le marché international. En effet, les résultats à ce jour sont éloquents. Montréal rafle la première position parmi toutes les destinations situées en Amérique du Nord, devançant ainsi les grandes villes américaines et canadiennes, dont New York, Boston, San Francisco, Washington, Miami et Chicago, de même que Vancouver et Toronto. Par ce rang, Montréal grimpe de 8 positions par rapport au classement 2008. "Ce résultat est une grande victoire pour Montréal et témoigne du dynamisme de la métropole québécoise et de son pouvoir d'attraction auprès des grandes associations internationales qui doivent composer avec une offre élargie depuis les dernières années", lance Marc Tremblay, président-directeur général au Palais des congrès. "Comme principal hôte de rencontres internationales dans la métropole, nous sommes heureux de constater que les efforts et la passion qui animent les grands partenaires de l'industrie comme Tourisme Montréal, Montréal International, les centres de recherche et la Ville de Montréal portent leurs fruits et permettent de faire vivre une expérience inoubliable à ces milliers de visiteurs qui viennent du monde entier", ajoute-t-il. Le classement préliminaire 2009 de l'ICCA démontre également que Montréal est en nette avance par rapport aux autres grandes villes canadiennes. Pour l'année financière 2008-2009, le Palais a accueilli un total de 16 congrès internationaux (incluant les congrès américains) et 15 congrès canadiens et québécois, générant au total plus de 168 millions de dollars de retombées économiques pour la métropole, sans compter les répercussions des événements d'envergure comme les expositions commerciales.
  17. Montréal, deuxième ville de party au monde Agence QMI Jean-Marc Gilbert 14/11/2009 17h10 À en croire le palmarès fait par l’organisation touristique Lonely Planet, qui a récemment publié son nouveau guide de voyage 1000 Ultimate Experiences, Montréal est la deuxième meilleure ville de party au monde. Se classant tout juste derrière la ville de Belgrade en Serbie, les auteurs de ce classement qualifient Montréal de «destination de plus en plus populaire chez les voyageurs étrangers». Selon eux, on y retrouve «des boîtes de nuit pleines à craquer», «une atmosphère vieux-quartier», et «de la bonne bière locale»... De quoi bien s’amuser toute la nuit! On fait également référence au populaire festival Juste Pour Rire qui se tient chaque été. Tremblay s’en réjouit Le maire de Montréal Gérald Tremblay a été mis au courant de cette nomination et l’a commenté par voie de communiqué, la semaine dernière. «Ces deux prix (Montréal s’est aussi mérité un prix pour les BIXI) nous démontrent qu'en misant sur ses créateurs et sur l'innovation, Montréal a fait le bon choix et réussit ainsi à se démarquer.» Ce dernier pense aussi que ce genre d’honneur permet à la métropole d’être «reconnue tant au national qu'à l'international [...] et j'en suis particulièrement fier.» Les autres villes figurant à ce classement des 10 plus grandes villes de party dans le monde sont dans l’ordre: Buenos Aires en Argentine, Dubaï aux Émirats arabes unies, Thessaloniki en Grèce, La Paz en Bolivie, Cape Town en Afrique du Sud, Bakou en Azerbaïdjan, Auckland en Nouvelle-Zélande et Tel Aviv en Israël.
  18. Le MBA de HEC Montréal au Top 10 de Forbes Publié le 06 août 2009 à 07h46 | Mis à jour à 08h01 Nadielle Kutlu lapresseaffaires.com Pour une quatrième fois d'affilée, le MBA intensif offert à HEC Montréal figure au palmarès biennal des meilleurs MBA, excluant les États-Unis, répertorié par le prestigieux magazine Forbes. Ce MBA, d'une durée d'un an, occupe le 10e rang du palmarès. Près de 170 étudiants s'insrivent chaque année au MBA intensif de HEC Montréal. Et parmi ceux-ci «45% sont des étudiants étrangers (hors Canada)», précise la relationniste médias du programme, Céline Poissant. Le classement a été réalisé en tenant compte du rendement de l'investissement des diplômés, cinq ans après l'obtention de leur diplôme, en considérants des droits de scolarité et des revenus non touchés pendant leur scolarité. «Nous sommes particulièrement fiers que notre MBA se classe à nouveau parmi les meilleurs programmes offerts en dehors des États-Unis», affirme Jacques Roy, directeur du programme, par voie de communiqué. Cette année, quelque 17 000 diplômés de 2004 issus de 103 établissement partout dans le monde ont reçu le questionnaire de Forbes en vue de la préparation du classement. Le classement des MBA selon Forbes ( excluant les États-Unis) 1. Insead - France 2. IMD - Suisse 3. Instituto de Empresa - Espagne 4. Cambridge (Judge) - Royaume-Uni 5. Oxford (Said) - Royaume-Uni 6. City University (Cass) - Royaume-Uni 7. Lancaster - Royaume-Uni 8. SDA Bocconi - Italie 9. Cranfield - Royaume Uni 10. HEC Montréal - Canada
  19. Publié le 15 juillet 2009 à 11h38 | Mis à jour à 11h46 Québec, 3e meilleure destination en Amérique du Nord La Presse Canadienne Québec Québec occupe une place de plus en plus enviable dans le coeur et les souvenirs de voyage des lecteurs du magazine américain Travel + Leisure. La Vieille Capitale se retrouve au troisième rang des meilleures destinations de l'Amérique du Nord (États-Unis et Canada) dans le classement 2009 de la publication; l'an dernier, elle était au sixième rang. Pour l'ensemble des destinations, tous continents confondus, Québec se classe au 19e rang cette année.La ville identifiée comme la meilleure destination aux États-Unis et au Canada par les lecteurs de Travel + Leisure est New York. San Francisco suit au deuxième rang. Selon Dany Thibault, président du conseil de l'Office du tourisme de Québec, cette reconnaissance est sans doute redevable aux festivités du 400e anniversaire de la ville de Québec et aux efforts promotionnels consentis sur le marché américain en 2008. Montréal est pour sa part au neuvième rang cette année, alors qu'elle figurait au septième rang de ce classement l'an dernier. Pour l'ensemble de la planète, la meilleure destination 2009 de Travel + Leisure est la ville d'Udaipur, en Inde, qui détrône ainsi le numéro de l'an dernier, Bangkok. Le classement de Travel + Leisure est issu d'un sondage réalisé de janvier à mars en partenariat avec la firme américaine Harris Interactive. Dans les numéros de février et de mars du magazine, les lecteurs ont été invités à donner leur appréciation des différentes destinations touristiques à travers le monde. Des villes de partout dans le monde étaient évaluées selon les panoramas, la culture et l'art de vivre, les restaurants et la nourriture, les gens, les valeurs ainsi que les boutiques.
  20. Une semaine après la publication de l’indice du bonheur, qui concluait que les Montréalais étaient parmi les plus malheureux au Québec, on apprend aujourd’hui que les citoyens de la Métropole disposeraient d’une des meilleures qualités de vie au monde. Dans un rapport publié ce matin par la firme Mercer, on apprend en effet que la Métropole occupe la 22e position d’un classement de 215 villes en ce qui a trait à la qualité de vie de ses citoyens. «Montréal fait bien sur à peu près tous les facteurs considérés, mais perd toutefois quelque plumes en raison de la rigueur de son hiver», explique Georges cabana, conseiller principal chez Mercer. Fait à noter, cette 22e position ne constitue pas une amélioration pour la Métropole qui occupait la même position dans la première édition de cette étude, l’année dernière. Montréal n’est par ailleurs pas la seule ville canadienne à avoir fait bonne figure dans cette étude. Le document conclut que cinq villes, dont Montréal, se retrouvent dans la tranche supérieure de 15% de l’échantillon mondial. De toutes les villes canadiennes évaluées, c’est Vancouver qui obtient la meilleure note, occupant la 4e position mondiale avec un indice de qualité de vie de 107,4, trois points devant Montréal qui a enregistré une note de 104,2 dans ce même classement. Par la suite, les villes de Toronto (15e), Ottawa (16e), Montréal (22e) et Calgary (26e), complètent le palmarès canadien du sondage. De toutes les villes évaluées, c’est celle de Vienne en Autriche qui a raflé la première position avec un indice de qualité de vie de 108,6, dépassant ainsi Zurich qui occupait la tête du classement l’année dernière. À l’opposé, en raison de son climat politique instable et des nombreux attentats qui s’y produisent, c’est la ville de Bagdad qui occupe la dernière position du classement avec un indice de qualité de vie de 19,6. Pour arriver à ce classement final, la firme Mercer évalue les conditions de vie selon 39 facteurs. On compte notamment l’environnement politique et social, l’environnement économique et socioculturel, la santé et l’hygiène ainsi que les divertissements disponibles dans chaque ville étudiée.
  21. Menée par le Conference Board Montréal est au 13e rang d’une étude sur la prospérité des villes 8 avril 2009 - 07h07 LA PRESSE CANADIENNE< Une étude commandée par le Toronto Board of Trade sur la prospérité urbaine globale classe la ville de Calgary au premier rang et Montréal au treizième rang. Menée par le Conference Board du Canada, l'étude a mesuré des indicateurs tels que le produit intérieur brut, la productivité, le taux d'emploi, la criminalité, le revenu disponible, l'éducation, le climat et le temps de déplacement. Première au classement, Calgary a reçu la note «A», alors que la ville de Québec est arrivée en dixième position avec une note globale de «C». Treizième au classement, la ville de Montréal a pour sa part obtenu un «D». Toronto est quatrième au classement avec la note «C», tout comme les villes de Boston, London et New York. Au huitième rang figure Vancouver, qui a obtenu la note «C». Selon l'étude, qui est basée sur des informations recueillies avant le ralentissement économique, Toronto est une ville attirante et habitable, mais qui est languissante sur le plan économique et pas très concurrentielle.
  22. Comment organiser vos documents? Le planificateur financier Jean Dupriez a mis au point au fil des ans une méthode de classement qu'il présente dans son ouvrage Le classement des documents personnels. Pour en lire plus...
  23. Les équipes de la NFL valent en moyenne 1 milliard $ (Corus Sports)- Selon le classement annuel de la revue Forbes, les formations de la NFl valent en moyenne 1 milliard $, une première dans l'histoire des sports professionnels. Les Cowboys de Dallas dominent toujours et encore ce prestigieux classement, avec une valeur évaluée à 1,612 milliard $. Suivent ensuite les Redskins de Washington (1,538 milliard $), Patriots de la Nouvelle-Angleterre (1,324 milliard $) et les Giants de New York (1,178 milliard $). D'ailleurs, les deux formations de New York, les Giants et les Jets, ont toutes deux gonflé leur valeur de 21%. Les deux équipes new-yorkaises évolueront dans un nouveau stade en 2010. Les Colts d'Indianapolis ont fait le plus gros bond au classement, passant du 21e au 8e échelon, notamment en raison de leur nouveau stade cette saison. Ils valent actuellement 1,076 milliard $. Le reste du top 10 inclut les Texans de Houston (1,125 milliard $), les Eagles de Philadelphie (1,116 milliard $), les Bears de Chicago (1,064 milliard $) et les Ravens de Baltimore (1,062 milliard $). En tout, ce sont 19 équipes qui ont une valeur supérieure à 1 milliard $. Les Vikings du Minnesota, les Raiders d'Oakland et les 49ers de San Francisco traînent au bas du classement. Il y a 10 ans seulement, les formations de la NFL valaient en moyenne 288 millions $. Frédéric Bhérer / Corus Sports
  24. Économie et affaires Desjardins : 96e au monde Mise à jour le lundi 18 août 2008 à 14 h 01 Le partage de signets permet d’archiver, d’organiser et, bien sûr de partager des signets (ou favoris) de pages Web. Il suffit de sauvegarder les liens des pages Web que l'on veut retrouver facilement ou partager. Cliquez sur un de ces liens pour ajouter notre article à votre liste. L’accès aux sites proposés est gratuit, mais vous devez être inscrit. Le Mouvement Desjardins Le Mouvement Desjardins Le Financial Times Business de Londres place le Mouvement des caisses Desjardins dans le classement du Top 1000 WorldBanks, les plus grandes institutions financières au monde, qui est publié dans la revue The Banker. Desjardins a gagné deux places par rapport à 2007 pour se situer au 96e rang. Le Mouvement se classe aussi au 18e rang du Top 25 de l'Amérique du Nord, au 6e rang des institutions financières au pays et demeure numéro un au Québec. Les critères qu'a utilisés The Banker pour le classement sont la capitalisation et la qualité du capital de première catégorie, l'équivalent du capital-action pour les banques. Selon André Chapleau, directeur de l'information au Mouvement Desjardins, il s'agit en fait des assises de la Caisse, qui a des réserves de 8 milliards et 900 millions en parts sociales. Premières institutions financières au monde: 1 - HSBC Holdings (Royaume-Uni) 2 - Citigroup (États-Unis) 3 - Royal Bank of Scotland (Royaume-Uni) 4 - JP Morgan Chase (États-Unis) 5 - Bank of America Corp. (États-Unis) 96 - Mouvement des caisses Desjardins En Amérique du Nord 1 - Citigroup (États-Unis) 2 - JP Morgan Chase (États-Unis) 3 - Bank of America Corp. (États-Unis) 4 - Wachovia Corporation (États-Unis) 5 - Wells Fargo $ co. 6 - Banque Royale du Canada 8 - Banque Scotia (Canada) 9 - Banque de Montréal (Canada) 11 - Banque Toronto-Dominion (Canada) 12 -CIBC (Canada) 18 - Mouvement Desjardins (Canada) Desjardins Le Mouvement des caisses Desjardins a un actif global de près de 152 milliards de dollars, et il regroupe un réseau de caisses, Credit unions et des centres financiers pour les entreprises au Québec et en Ontario, de même qu'une vingtaine de filiales en assurances de personnes et de dommages, en valeurs mobilières, en capital de risque et en gestion d'actifs.(Source: Desjardins)
  25. Se basant sur l'analyse de plusieurs facteurs, le Conference Board du Canada conclut que le rendement socioéconomique du pays recule par rapport à d'autres pays industrialisés, notamment dans le domaine de la santé. Pour en lire plus...
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