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  1. http://journalmetro.com/actualites/montreal/983950/hippodrome-les-citoyens-veulent-y-construire-un-village/ 22/06/2016 Mise à jour : 22 juin 2016 | 18:21 Hippodrome: les citoyens veulent y construire un village Par Laurence Houde-Roy Métro Les citoyens ont parlé: ils souhaitent que l’ancien site de l’hippodrome de Montréal devienne un véritable petit village au coeur de Montréal. La Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges (CDC), qui regroupe plusieurs citoyens et organismes communautaires de Côte-des-Neiges, a dévoilé mercredi ce qu’ils aimeraient avoir comme aménagement de l’ancien site de l’hippodrome de Montréal, à l’angle de l’autoroute 15 et 40, non loin du site du futur centre commercial Royalmount. Les citoyens veulent littéralement un petit village, le plus vert possible, sans tour à condos, mais plutôt des logements de 3 à 6 étages avec une diversité d’habitants et d’habitations. Cette idée émane d’un forum citoyen tenu en 2014, en collaboration avec la firme d’architecture et design urbain Rayside Labossière. Il faut surtout que tout le projet soit bien pensé en amont, disent-ils, et que chaque aspect de la construction respecte tous les citoyens, peu importe leur âge, sexe, origine ou condition physique. «Il ne faut pas morceler le projet, commencer à construire sans avoir pensé au plan général avant», fait valoir Jennifer Auchinleck, organisatrice communautaire à la CDC. Bien sûr, ils gardent le même message qu’ils ont depuis plus de 10 ans: le site doit accueillir au moins 2500 logements sociaux pour répondre aux besoins des gens du quartier. Ils font valoir que 5060 ménages de Côte-des-Neiges dépensent plus de 80% de leur revenu pour se loger. Alors que la Ville promet que 15% des logements qui seront construits sur l’ancien site de l’hippodrome seront des logements sociaux, la CDC maintient que ce n’est pas assez pour répondre aux besoins de la population. Mais au-delà de cette demande, les citoyens souhaitent que ce terrain réponde à l’ensemble des besoins des citoyens, et que tout soit accessible facilement et rapidement. Selon la première ébauche élaborée par Rayside Labossière (voir photo), une artère principale traverserait le quartier en partant de la station de métro Namur sur laquelle on retrouverait tous les services comme les écoles, les épiceries, les restaurants (abordables et sains, demandent-ils), la bibliothèque, etc…«Une artère qui donne une âme au quartier», résume Ron Rayside, de Rayside Labossière. Deux «pôles communautaires» (points mauves sur la photo), où les habitants pourront se rassembler et fraterniser, pourraient être aménagés à deux endroits sur cette artère. Les différents parcs seraient reliés entre eux par des corridors verts. Tant qu’à rêver, pourquoi ne pas également y imposer des exigences de développement durable, comme utiliser la géothermie dans les logements, encourager les initiatives d’économie sociale, réguler les prix des baux commerciaux, limiter la place de l’auto, aménager de rues de moins de deux voies et adopter une politique d’embauche locale, se disent-ils. «C’est un terrain public, et il est vide, on peut en profiter pour faire les choses autrement, on peut faire tout ce qu’on veut», ajoute Mme Auchinleck. Pour répondre aux besoins d’un maximum d’habitants de Côte-des-Neiges, la CDC souhaite accueillir le plus de personnes possible dans ce petit village. Ainsi, les maisons avec une cour seraient à proscrire, croient-ils, pour maximiser l’espace. La CDC souhaite au moins 7500 unités de logement, dont 2500 logements sociaux. Ceci correspond à la densité de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. M. Rayside croit que le site peut facilement accueillir 4000 ou 5000 logements. Puisque la voie ferrée se trouve non loin du site, la question de la densité pourrait poser problème, reconnaissent-ils, considérant les nouvelles normes de sécurité imposées à la suite des événements de Lac-Mégantic. Le site, qui appartient au gouvernement du Québec, doit être cédé à la Ville de Montréal avant que les constructions débutent. La condition, avant la signature, est que le bâtiment de l’ancien hippodrome soit démoli. Le gouvernement vient d’obtenir le certificat de démolition.
  2. Une passerelle «grandiose» à l’entrée du pont Jacques-Cartier? Une passerelle «grandiose» pourrait remédier au problème de sécurité des piétons à l’entrée du pont Jacques-Cartier qui fait rager les citoyens du quartier Sainte-Marie dans le centre-sud. La firme d’architectes Rayside Labossière propose à l’arrondissement de Ville-Marie d’y aménager cette structure de type «parc linéaire», dont Métro a obtenu copie des plans. Cette passerelle – passant juste au-dessus de la sculpture florale «L’homme qui plantait des arbres» – relierait tous les coins du parc des Vétérans et du parc des Faubourgs ainsi que toutes les rues adjacentes évitant ainsi aux piétons et aux cyclistes de faire des détours rebutants ou de s’aventurer sur les voies dangereuses. La conseillère du district, Valérie Plante, espère que les plans de la firme seront considérés par les hautes instances. Mme Plante connaît bien ce quadrilatère entre les rues Ontario, Papineau, Sainte-Catherine et de Lorimier autour du métro Papineau; ces rues qui encerclent les bretelles d’accès au pont Jacques-Cartier. Résidente de ce quartier, elle voit chaque jour des piétons et des cyclistes «s’aventurer» dans ce secteur dont les bretelles d’accès au pont traversent et divisent les deux parcs (voir plan). Tout autour, des écoles, une épicerie, une entrée de métro; des essentiels qui obligent les citoyens du secteur à traverser ces voies que Mme Plante qualifie de «véritables entrées d’autoroute». La conseillère et ses citoyens s’inquiètent pour la sécurité des passants qui traversent ces voies rapides où les voitures prennent leur vitesse de croisière pour accéder au pont. «Il y a des piétons qui traversent [les bretelles d’accès] n’importe comment, il y en a que c’est cellulaire à la main, d’autres qui zigzaguent à travers le flux de voitures. Traverser ici, c’est n’importe quoi», a affirmé d’emblée Mme Plante à Métro. C’est que malgré la présence de quelques traverses piétonnes (point 1 et 2 sur le plan), les piétons qui partent d’un peu partout à travers le quartier et qui convergent pour la plupart vers le métro choisissent plus souvent de traverser aux endroits non-adaptés pour éviter les détours. «Toute la population qui vient de la rue Sherbrooke et du Plateau descendent par les rues Cartier et Dorion, donne en exemple Antonin Labossière, résidant du quartier et architecte chez Rayside Labossière. C’est normal, ils ne veulent pas faire le détour pour aller prendre la lumière destinée aux piétons sur la rue Papineau (point 2), puis traverser à nouveau la deuxième (point 1) pour revenir prendre la rue Cartier et aller vers le métro», dit celui qui avoue être parmi les «piétons aventuriers». Résultat: plusieurs traversent ainsi les bretelles d’accès à 4 voies (point 3), là où il n’y a aucune installation assurant la sécurité des piétons. «La seule solution que la Ville a trouvée, à court terme, c’est qu’elle compte mettre une clôture (au point 3), mais les gens vont la traverser quand même. S’il y a autant de gens qui traversent à cet endroit, c’est peut-être qu’il y a un problème», note Mme Plante. Même les passages pour piétons (points 1 et 2) inquiètent la conseillère municipale, alors que la brigadière, les piétons, les poussettes et les cyclistes aguerris doivent se partager le petit espace asphalté en attendant la lumière verte. «Quand la lumière devient rouge, les voitures ne la voient pas tout de suite. La brigadière a peur pour sa vie. Elle me disait que quand la lumière change, elle ne s’engage pas tout de suite sur la voie», alerte la conseillère. La présence policière aux heures de pointe dans ce secteur, qui a pour but de calmer la vitesse des voitures et la fougue des piétons, n’aurait donc que peu d’impact, selon elle. «C’est un quartier sectionné, qui semble être rapiécé. Ce secteur, on l’appelle la cicatrice», déplore la conseillère. L’idée d’une passerelle pour recréer un lien entre le parc des Vétérans et le parc des Faubourgs, désenclaver la portion sud et la portion nord du secteur et corriger le problème de sécurité est ressortie des discussions des citoyens il y a maintenant quelques années. «Ça avait été nommé par plusieurs résidants, ça revient souvent dans les consultations publiques où les gens ont l’impression que la situation actuellement est plus un irritant qu’un avantage», indique Antonin Labossière. «Dès que je suis entrée en mandat, et même avant, on me parlait de cet endroit et l’idée de la passerelle m’a été suggérée à quelques reprises», ajoute Mme Plante. Après une demande de la conseillère Plante, la firme d’architectes Rayside Labossière, qui s’implique au sein de plusieurs tables de quartier, lui est revenue à l’automne avec ce plan proposant leur idée de cette passerelle (voir photo). Avec ces plans en main, Mme Plante espère maintenant que la proposition fasse son bout de chemin. Et même si une telle structure pourrait être dispendieuse, elle estime que la Ville a des «marges de manœuvre, avec ses surplus budgétaires» et qu’une telle idée «qui allie vie montréalaise, sécurité et projet d’envergure» en vaut la réflexion. Une structure «grandiose» Et tant qu’à y construire une structure pour améliorer la sécurité du quadrilatère, tous s’entendent pour dire qu’il faut miser gros sur la beauté de l’objet. «Il y a moyen de faire une passerelle et que ça ne ressemble pas à une passerelle laide et moche que personne ne va monter; faire quelque chose de super beau qui devient presque un symbole d’entrée de Montréal», fait valoir l’architecte Antonin Labossière. «Il faut quelque chose de grandiose qui marque les automobilistes qui entrent dans la Ville par le pont, poursuit la conseillère Valérie Plante. Et pour les piétons, c’est aussi une façon de se réapproprier notre vue sur le pont Jacques-Cartier qu’on ne voit que très peu», ajoute-t-elle, espérant que la passerelle devienne également un endroit où les citoyens pourront flâner. http://journalmetro.com/actualites/montreal/802109/une-idee-de-passerelle-grandiose-a-lentree-du-pont-jacques-cartier/#
  3. RIP Monsieur le maire via LaPresse Publié le 15 juin 2015 à 15h09 | Mis à jour à 15h15 L'ancien maire de Montréal Jean Doré est décédé Jean Doré Photo d'archives, La Presse =author%3ADaphn%C3%A9+Cameron&sort=recent"]Daphné Cameron La Presse L'ancien maire de Montréal Jean Doré s'est éteint lundi à l'âge de 70 ans, emporté par le cancer du pancréas. Il était entouré de ses proches. À l'hôtel de ville, le maire de Montréal Denis Coderre a demandé aux conseillers municipaux d'observer une minute de silence. «Salut Jean, on se retrouvera», a-t-il déclaré après le moment de recueillement. Jean Doré a été maire de Montréal pour deux mandats, de 1986 à 1994. Avocat de formation, il est arrivé au pouvoir à l'âge de 41 ans. Il est le père de l'Office de consultation publique de Montréal, du premier plan d'urbanisme de Montréal et de la période des questions à l'hôtel de ville. C'est sous son règne que les portes de l'hôtel de ville ont été débarrées pour permettre aux citoyens d'y entrer et que la Ville s'est procuré ses premiers ordinateurs. Après une brève carrière comme attaché de presse de René Lévesque et à la Fédération des associations d'économie familiale, il participe en 1974, à la fondation d'un nouveau parti politique : le Rassemblement des citoyens de Montréal (RCM). Plus de détails suivront.
  4. http://lenavet.ca/4834/st-lambert-poursuit-montreal-parce-quelle-lui-cache-la-vue/ CONFLIT JURIDIQUE St-Lambert poursuit Montréal parce qu’elle lui «cache la vue» 14 avril 2015 Montreal Skyline - Jul.09 «Montréal pourrait commencer par dynamiter la tour de Radio-Canada et la place Ville-Marie pour démontrer sa bonne foi » − Crédit image : Emmanuel Huybrechts La ville de St-Lambert a annoncé mardi qu’elle poursuivra la ville de Montréal car ses nombreux grattes-ciel et tours d’habitation empêchent ses citoyens de bien voir le paysage, le ciel et le soleil. « Les soirs d’été, nos citoyens veulent prendre un verre dans leur cour et admirer le ciel sans avoir à endurer des édifices qui briment leur vision, a expliqué le maire de la banlieue de la Rive Sud. C’est une question de respect envers les gens de St-Lambert.» L’administration de St-Lambert s’est défendu d’avoir des demandes déraisonnables dans ce dossier, affirmant que «ce qui est injuste, c’est de construire un centre-ville majeur à quelques kilomètres seulement d’une petite ville dortoir tranquille, en faisant complètement fi des impacts sur les résidants de celle-ci.» «Montréal pourrait commencer par dynamiter la tour de Radio-Canada et la place Ville-Marie pour démontrer sa bonne foi », a ajouté le maire. Au moment de mettre en ligne, St-Lambert envisageait également de poursuivre la métropole parce qu’elle est plus grosse sur les cartes géographiques, ce qui «nuit à la visibilité de notre belle banlieue». sent via Tapatalk
  5. 49e Finale des Jeux du Québec - Été 2014 : la Ville de Longueuil aménagera une nouvelle plage au parc de l’île Charron Longueuil, Mardi 15 avril, 2014. La Ville de Longueuil procèdera à des travaux de 800 000 $ au parc de l’île Charron pour accueillir les compétitions de natation en eau libre et de sauvetage sportif (volet plage) de la 49e Finale des Jeux du Québec, du 1er au 9 août prochain. Cet investissement permettra à la Ville de favoriser l’accès aux berges pour les citoyens, de bonifier ses installations et de mettre en valeur les rives du fleuve Saint-Laurent. Les travaux, qui s’étaleront de mai à juillet, permettront l’aménagement d’une plage sablonnée, la construction d’une terrasse en bois, l’installation de voiles d’ombrages et d’infrastructures sanitaires. Des équipements provenant des deux premières phases du Marché public, tels que des voiles pare-soleil et des conteneurs colorés, seront récupérés et intégrés dans l’aménagement. Des végétaux seront plantés, un terrain de volleyball sera aménagé, et du mobilier de parc sera installé afin de rendre les lieux plus conviviaux. « Le parc de l’île Charron occupe une place à part parmi tous les espaces verts de Longueuil. Situé au milieu du fleuve Saint-Laurent, il permet aux citoyens de s’évader de la ville et de profiter du calme de la nature. C’est l’endroit idéal pour un aménagement qui sera un legs permanent de la tenue des Jeux du Québec chez nous. Ce projet témoigne à nouveau de notre volonté d’améliorer les infrastructures récréatives pour les citoyens et pour leur offrir un meilleur accès aux rives du fleuve », a expliqué la mairesse de Longueuil, Caroline St-Hilaire. Les analyses ont démontré que la qualité de l’eau dans ce secteur autorise la baignade. La Ville de Longueuil a d’ailleurs obtenu l’autorisation du Ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs du Québec pour la réalisation de ce projet, qui respectera les normes et règlements environnementaux en vigueur. Une seconde phase de travaux sera menée l’année prochaine afin de faciliter l’accès au site et de rendre la circulation plus fluide dans le secteur. http://longueuil.ca/fr/node/38399 Plan: http://longueuil.ca/sites/www.longueuil.ca/files/communiques/2014/ile_charron_plan_conceptuel.pdf
  6. Un ami m'a dit que l'immeuble coin St Laurent/Av des Pins ---->>> serait restauré et reconstruit, quelqu'un à des réponses pour moi ? J'ai vraiment hâte qu'il soit rénové car, il est vraiment laid et il constitue une honte pour tous les citoyens du quartier.
  7. MONTRÉAL, le 28 février 2011 - Au nom de la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le député de Marquette, M. François Ouimet, la responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, ainsi que le maire de l'arrondissement de Lachine, M. Claude Dauphin, annoncent l'investissement de 10, 9 M$ pour le réaménagement et l'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow dans l'arrondissement de Lachine. Ce projet est financé dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal. Le coût global de ce projet, qui s'inscrit dans le programme de rénovation, d'agrandissement et de construction de bibliothèques (RAC), est de 10,9 M$. La Ville et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCF) investiront chacun 4,3 M$, tandis que l'arrondissement injectera près de 2,3 M$. L'ouverture de la bibliothèque agrandie et rénovée est prévue pour le printemps 2013. Soulignons que durant les travaux, les services offerts aux citoyens seront maintenus, mais temporairement relocalisés au sein de l'arrondissement. « Je suis très fier d'être ici aujourd'hui pour annoncer ce beau projet pour les citoyens de Lachine, qui permettra à la bibliothèque Saul-Bellow d'être un pôle culturel plus attrayant et accessible. Cette réalisation, où battra le cœur de Lachine, a été rendue possible grâce à un engagement commun pris lors du Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle. Le concours d'architecture associé à ce projet offre une occasion privilégiée de se surpasser et de viser l'excellence. L'effervescence de notre communauté passe indéniablement par l'accès à un lieu de savoir et de culture vaste et diversifié », a souligné M. François Ouimet. « Les bibliothèques représentent en quelque sorte le cœur d'un quartier. Véritables lieux de rencontre, elles donnent accès à la culture et au savoir à ceux qui les fréquentent. Les citoyens de Lachine pourront profiter d'une bibliothèque agrandie, modernisée et axée sur les besoins des familles. Aujourd'hui, notre Administration démontre, encore une fois, qu'elle est résolue à consolider Montréal comme ville de savoir et comme métropole culturelle », a déclaré Mme Fotopulos. « Je suis heureux d'annoncer ce projet de réaménagement et d'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow puisqu'il s'agit d'un investissement direct qui permettra d'offrir aux citoyens de Lachine une bibliothèque moderne, attrayante, fonctionnelle et ouverte à sa communauté. Ce projet vise à combler l'important déficit de l'arrondissement en matière d'offre de service, tant sur les plans qualitatifs que normatifs. Il permettra de plus, de consolider un pôle culturel et social au cœur de l'arrondissement de Lachine », a affirmé M. Claude Dauphin. Ce projet a été retenu par la Ville et le MCCCF sur la base de critères spécifiques, soit : l'écart par rapport aux normes qui avait été rendu public dans le Diagnostic des bibliothèques municipales de l'île de Montréal, la volonté de l'arrondissement de s'engager financièrement, ainsi que la faisabilité et la qualité du projet. Architecture, développement durable et art publicLa future bibliothèque Saul-Bellow intégrera le bâtiment existant (1427 m2) et un ajout d'environ 1194 m2. Une fois les travaux terminés, la superficie de la bibliothèque aura presque doublée. La conception de la bibliothèque fait l'objet d'un concours d'architecture qui contribuera à consolider le statut de Montréal Ville UNESCO de design. Ce nouvel équipement culturel vise une certification environnementale LEED OR. L'appel de candidatures pour le concours d'architecture, qui se déroulera en deux étapes, a été lancé le 16 février dernier. Un jury formé de sept membres recommandera à la Ville de Montréal et à l'arrondissement de Lachine sept finalistes parmi les architectes qui auront déposé leur dossier de candidature. Les sept finalistes retenus présenteront ensuite un concept sur la base duquel l'équipe lauréate sera choisie. Les membres du jury sont : monsieur Patrice Poulin, architecte, PA LEED et gestionnaire immobilier à la Direction des stratégies et des transactions immobilières de la Ville de Montréal; monsieur Alex Polevoy, directeur - Culture, sports, loisirs et développement social, au sein de l'arrondissement de Lachine; madame Julie-Anne Cardella, directrice de la bibliothèque de Westmount; monsieur Daniel Pearl, architecte et professeur à l'Université de Montréal; madame Louise Bédard, architecte; monsieur Maxime Frappier, architecte; madame Anne Carrier, architecte, et monsieur Charles Ferland, architecte et membre suppléant. Selon la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du gouvernement du Québec, la Ville procèdera en 2012 à un concours d'art public sur invitation visant à doter la bibliothèque Saul-Bellow d'une œuvre. Rappelons que cette politique consiste à réserver un pourcentage de l'ordre de 1% du budget de construction à la réalisation d'une ou de plusieurs œuvres conçues spécifiquement pour ce lieu. La réalisation du projet d'oeuvre d'art sera gérée par la Division des équipements culturels, de l'art public et du patrimoine artistique par l'entremise de son Bureau d'art public. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1344&lang=fr
  8. via Radio-Canada.ca Montréal veut créer un bureau de projet de ville intelligente Mise à jour le lundi 20 janvier 2014 à 8 h 17 HNE L'administration Coderre prévoit créer cette année un bureau de projet de la ville intelligente, a appris Radio-Canada. En campagne électorale, Denis Coderre, lui-même grand adepte de Twitter, a souvent promis de recourir davantage aux nouvelles technologies pour communiquer et être à l'écoute de la population, en particulier via les téléphones mobiles. Un texte de Benoît Chapdelaine Le responsable de la ville intelligente et vice-président du comité exécutif, Harout Chitilian, explique que la Ville veut à la fois refondre son site web, qui date de 2005, et créer un bureau de projet de ville intelligente en s'inspirant du Digital Roadmap, une initiative de l'ex-maire de New York Michael Bloomberg, et qui a reçu l'appui financier de plusieurs entreprises. « Tu as eu Google, t'as eu des compagnies de téléphonie qui ont mis également leur main dans leur poche pour contribuer à la réalisation de cette Digital Roadmap. Et ici c'est un peu notre souhait, d'avoir un peu la participation de la population, mais également de notre fonction publique et, pourquoi pas, également des entreprises québécoises qui ont développé des solutions de technologie de pointe dans ce domaine-là », dit M. Chitilian. D'abord le déneigement Dans le cadre du Digital Roadmap, la métropole américaine a par exemple accéléré l'accès à Internet sans fil dans les parcs et autres lieux publics. À Montréal, le déneigement, avec ses problèmes de stationnement et de remorquage, est au coeur des projets de ville intelligente. La Ville veut développer une application pour aviser les citoyens du chargement de la neige sur leur rue et ainsi réduire le nombre de remorquages pour stationnement interdit. Les opérations de chargement de la neige sont retardées lors de chaque tempête par le remorquage de milliers de véhicules garés le long du parcours, malgré l'interdiction de stationnement temporaire. Une meilleure communication réduirait probablement le nombre de remorquages et les rues seraient complètement déneigées plus rapidement. « J'ai fait un peu un sondage informel auprès de ma famille, raconte M. Chitilian. Ce n'est pas très scientifique, mais on m'a dit : "je ne veux pas savoir à la minute près, mais au moins avoir une idée : aujourd'hui, c'est garanti on vient sur votre rue". Des fois les pancartes sont placées et les camions ne passent jamais. Les gens sont frustrés, les appels rentrent dans le 311. Si on commence à avoir une idée à quelques heures près que le chargement va passer, c'est une avancée sur le statu quo actuel ». Harout Chitilian précise que des citoyens pourraient aussi remplir facilement un formulaire de plaintes avec leur téléphone mobile et l'acheminer au service 311. Les effectifs seront prévus en conséquence. « C'est bien beau de donner le moyen de communication, mais il faut également réarranger le back-office pour que les choses se règlent vraiment, que ce ne soit pas un puits sans fond, juste envoyer des plaintes dans l'espace virtuel. », ironise le vice-président du comité exécutif. Les citoyens devraient voir apparaître les premières applications de l'administration Coderre dans les prochains mois.
  9. 1912 1911 1911 1910 1911 1913 La réception ducale à Montréal : Les décorations : 1) L'édifice de La Presse ; 2) Arc de triomphe McGill ; 3) Arc des citoyens, angle Peel et Sherbrooke ; 4) Arc, angle Windsor et Dorchester ; 5) Arc, angle St-Denis et Sherbrooke ; 6) Vue de la rue St-Jacques ; 7) Rue Windsor, près Ste-Catherine ; 8) Arc, place Jacques-Cartier ; 9) La gare Windsor ; 10) Rue Sherbrooke, près St-Laurent
  10. http://www.lapresse.ca/videos/actualites/201308/23/46-1-un-futur-marche-dans-un-ancien-entrepot-du-cn.php
  11. Publié le 10 avril 2013 à 08h10 | Mis à jour à 08h54 Laval: la «tour Vaillancourt» n'est pas le seul projet controversé FRANCIS VAILLES La Presse La tour de condos que devait habiter l'ex-maire Gilles Vaillancourt, rue des Cageux, n'est pas la seule à susciter la grogne de citoyens à Laval. Les partis d'opposition dénoncent d'ailleurs la multiplication des projets contestés. «Déroger aux règles ou construire sans permis est une affaire récurrente à Laval», affirme Robert Bordeleau, président du Parti au service du citoyen (PSC). Selon une enquête de La Presse, rappelons-le, la tour de condos de 14 étages de la rue des Cageux a été construite en infraction des règlements de zonage. Les manquements sont tels que les citoyens voisins sont en droit de demander la démolition de l'immeuble. Dans ce secteur près de l'île Paton, seuls des bâtiments de huit étages et moins sont autorisés et aucun règlement valable n'a été adopté pour changer ce zonage, selon des avocats consultés par La Presse. Le cas des Résidences Soleil Robert Bordeleau, du PSC, donne d'autres exemples problématiques à Laval, comme le cas des Résidences Soleil, une tour de 25 étages dont la construction avait débuté sans la délivrance du permis de construction. La résidence pour personnes âgées est située en plein coeur de Laval, boulevard de l'Avenir. Robert Borderleau mentionne également le projet du domaine Mont-Laval, dans le quartier Sainte-Dorothée. Une vingtaine de tours de 6 à 20 étages y sont prévues. La première phase (4 bâtiments, 274 logements) a commencé. Robert Bordeleau rappelle qu'en février 2009, les promoteurs avaient obtenu une résolution du comité exécutif de la Ville pour modifier le zonage avant de devenir officiellement propriétaires du terrain. Le projet sur les terrains de l'ancienne marina Commodore, boulevard Lévesque Est, soulève également le mécontentement des citoyens. Du jour au lendemain, la vue sur la rivière des résidants du quartier Pont-Viau sera bloquée par les deux tours de 27 et 28 étages. «De nombreux citoyens ne sont pas contents. Un groupe s'est d'ailleurs présenté à l'hôtel de ville l'automne dernier, mais le projet ira tout de même de l'avant», a déclaré David de Cotis, président du Mouvement Lavallois. Les deux tours seront situées dans le corridor d'accès au métro Cartier. Il est visé par le Plan particulier d'urbanisme (PPU) adopté par le conseil municipal en juin dernier. Une pétition en cours Plus à l'ouest, une autre tour de condos, cette fois de 15 étages, en bordure de la rivière des Prairies, est en gestation. Le bâtiment serait construit à l'angle du boulevard Lévesque, près du pont Papineau-Leblanc, dans le quartier Duvernay. Une pétition pour s'opposer au projet dans le quartier est en cours et une assemblée publique aura lieu à l'hôtel de ville le 18 avril, à 19h. Enfin, le projet de deux tours de 10 étages à Fabreville, baptisé Rosa Nova, suscite également la grogne de certains citoyens. Le projet situé dans une zone inondable a fait l'objet de débats devant les tribunaux. L'ordonnance interdisant la poursuite des travaux a toutefois été annulée en novembre dernier, dans l'attente d'une décision du ministère de l'Environnement. Concernant la «tour Vaillancourt», rue des Cageux, les deux partis d'opposition ne sont pas chauds à l'idée d'entreprendre une démarche pour faire démolir l'immeuble, notamment parce qu'elle pénaliserait des propriétaires qui ont acheté de bonne foi.
  12. On avait pas de fil je crois, mais le projet était dans les plans en même temps que le Parc Laurier (maintenant réouvert et vraiment très beau!). Aujourd'hui, le Carré était complètement clôturé. Les travaux sont commencés!
  13. La ville vient de s'entendre avec les cols bleus mais il reste aux cols bleus à entériner l'entente. Pour l'Instant il n'y a pas grand détail mais à croire M. Applebaum ce serait une bonne chose pour la ville. J'espère qu'il a raison parce qu'on sait bien que les syndiqués obtiennent toujours la grosse part su gâteau et que les citoyens finissent par payer avec des hausses de taxes. Maintenant il reste à négocier avec les pompiers et les policiers. J'espère que la ville va tenir sont bouts et forcer les pompiers/policiers à faire des concessions importantes. Mais j'en doute malheureusement !!! http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201210/11/01-4582343-entente-historique-avec-les-cols-bleus-de-montreal-.php
  14. Je n'avais jamais entendu parlé de ce projet j'ai vu cela en regardant les photos d'histoires de Montreal qui sont présentées près de la Place Jacques-Cartier dans le Vieux-Port. Il y a déja eu un projet d'une autoroute à la fin des années 50 qui aurait traversée d'est en ouest le Vieux-Port , dans l'emprise actuelle de la rue de la Commune. Selon la pancarte, des citoyens et un urbaniste de la Ville se serait objecter et le projet n'a jamais eu lieu. Quand meme fascinant de voir qu'on était prêt à tout détruire le patrimoine et couper l'accès au port pratiquement.... Désolé pour la photo de cellulaire
  15. Ruelles vertes La nature reprend sa place Agence QMI Emmanuel Delacour 31/05/2012 19h35 MONTRÉAL – De petits trésors se cachent dans les ruelles du Plateau-Mont-Royal. Une agence de visites guidées à Montréal entreprend de dévoiler ces joyaux verdoyants méconnus. Lors des fins de semaine de juin, Ivan Drouin fera découvrir aux curieux quelques ruelles verdies par la Ville de Montréal et par ses citoyens. «C'est une exploration qui commence avec l'histoire urbaine de la métropole. J'explique aux gens comment l'aménagement des jardins et des ruelles a évolué depuis les maisons coloniales françaises, les manoirs anglais, et les habitations de l'époque industrielle», étale M. Drouin. À partir de ce petit retour en arrière les explorateurs des allées apprennent comment au fil du temps, la ruelle, qui était utilisée par divers services tels que les livreurs de charbon et les vendeurs de guenilles, perdra sa vocation pratique. Délaissée par les travailleurs, la ruelle a été quelque peu désertée au cours des années. Effet boule de neige Toutefois, depuis les années 1970 quelques citoyens ont décidé de faire tomber les palissades de leur cour arrière pour que la flore n'y soit plus restreinte, mais qu'elle s'étende à la ruelle. Ainsi, c'est un mouvement communautaire a pris naissance et a fait boule de neige dans les quartiers. «Quand les gens voient une belle ruelle verte, l'envie leur prend d'embellir à leur tour l'espace public. Bien évidemment, il faut des personnes précurseurs, prêtes à engendrer le mouvement, car c'est beaucoup de travail», explique M. Drouin. C'est en effet à la sueur de leur front que de simples citoyens entreprennent de transformer leur allée. Pour que l'arrondissement s'implique, il faut souvent que deux propriétaires proposent le projet en passant par leur écoquartier. L'arrondissement demande parfois un accord signé de 60 % jusqu'à 90 % des propriétaires des bâtiments de la ruelle concernée. «Il faut un plan d'aménagement, un échéancier, une coupe du béton. Le processus prend deux années au minimum. Et une fois que tout cela est fait, ce n'est pas fini, il faut qu'un comité de ruelle s'occupe de son entretien», souligne M. Drouin. Les réseaux sociaux ont toutefois facilité le processus, puisqu'un simple clic sur Facebook permet désormais aux membres de ces regroupements de savoir quand se feront la prochaine semaison ou les grandes périodes d'arrosage. C'est avec des essais et des erreurs que ceux-ci ont parfois transformé leur allée bétonnée en véritable chemin à faire rougir de jalousie les vallons irlandais. Meilleure qualité de vie Au-delà de l'aspect esthétique, ces ruelles aménagées semblent améliorer la qualité de vie des résidents. «Quand elles sont propres et verdies, les automobilistes sont moins tentés à passer dans les ruelles, ce qui diminue la circulation et le bruit. De plus, il y a moins de criminalité, moins de gens qui consomment de la drogue le soir, parce qu'ils constatent que les résidents surveillent et tiennent à leur petit passage», affirme M. Drouin. Plus d'information sur les visites des ruelles vertes du Plateau-Mont-Royal est disponible sur le site tourskaleidoscope.com.
  16. Source: Messager de Lasalle Publié le 9 Novembre 2011 Pierre Boulanger Le projet de développement résidentiel du Quartier de la gare, qui prévoit la construction d'environ 1 400 unités d'habitation d'ici les 10 ou 15 prochaines années, est loin de faire l'unanimité auprès des résidents des zones concernées. Plusieurs d'entre eux ont d'ailleurs envahi la salle du conseil d'arrondissement lundi soir dernier. La mairesse Manon Barbe a tenté de calmer le jeu en annonçant que le conseil retirait son projet dans sa forme actuelle. Pour la mairesse Barbe, «nous avons une vision pour le Quartier de la gare pour y créer un T.O.D. (Transit Oriented Development). Un avis annonçant la possibilité de faire une demande de participation à un référendum a été publié le 15 septembre. Mais seulement trois des 12 demandes reçues ont été considérées valides par le service du contentieux. Ces demandes contiennent des revendications dont nous voulons tenir compte. Elles demandent la tenue de soirées d'information, d'études d'impact sur la circulation et le stationnement, le bruit, l'ensoleillement, la pollution, etc. Le processus légal ne permettant pas d'inscrire dans la démarche référendaire ces commentaires de citoyens, le conseil a décidé de retirer le projet tel qu'il a été présenté. Mais nous ne l'abandonnons pas. Nous allons attendre d'avoir des projets concrets de la part de développeurs, avant d'entreprendre des changements au règlement de zonage. Nous pourrons alors présenter des perspectives aux citoyens, qui pourront se faire une idée précise du développement en devenir.» Une opposition grandissante Les opposants s'inquiètent des impacts qu'entraîneraient autant de nouvelles habitations. Le règlement aurait permis aux promoteurs de construire des édifices pouvant aller jusqu'à 12 étages dans certaines zones. Ils dénoncent la procédure mise de l'avant, d'abord avec l'annonce d'une consultation publique en août, alors que plusieurs étaient en vacances. Puis, avec une séance de consultation de 45 minutes, le 6 septembre dernier, alors que les citoyens n'ont eu qu'une vingtaine de minutes pour soulever des questions. Une période de questions animée La mairesse Barbe a choisi de donner d'abord la parole aux gens qui ne sont pas des habitués des séances du conseil, ce qui a soulevé la colère des intervenants réguliers qui s'étaient pourtant inscrits les premiers. Furieux, quelques-uns ont crié à l'injustice. Le citoyen Michel Benoit, qui insistait pour exercer son droit de parole, a été expulsé sur ordre de la mairesse et escorté à l'extérieur de la salle par deux policiers. Mme Sonja Susnjar, qui a circulé de porte en porte pour récolter plus de 200 signatures de personnes qui s'opposent au projet, a manifesté ses inquiétudes devant la venue possible «de 2000 véhicules supplémentaires dans une zone désenclavée.» Kim St-Pierre a voulu s'assurer que le projet était «mis sur la glace». La mairesse a répondu «qu'en fait, il n'y avait pas de projet concret. On voulait redéfinir le développement du secteur parce que deux compagnies ont fermé leurs installations. Les gens sont venus nous questionner sur des projets de construction qui n'existaient pas. Quand un projet concret va arriver, on pourra enclencher le processus et quand on fera une présentation publique, on pourra dire aux gens les différents impacts. On prend une méthode plus traditionnelle, projet par projet.» Deux intervenants se sont interrogés sur l'avenir de l'usine Fleischmann. La mairesse a répondu que le «terrain de cette usine est zoné résidentiel depuis 1988, mais que tant et aussi longtemps qu'elle sera en opération à cet endroit, elle est en droits acquis.» Mme Barbe souligne que les terrains des deux compagnies qui ont fermé leurs portes n'est pas zoné résidentiel et que le zonage devra y être changé. «On va partir bas et quand on arrive vers la bretelle du pont Mercier, on ira plus en hauteur parce que ce sera loin des maisons existantes. Pour les dix prochaines années, on va s'attaquer au secteur Wanklyn, Jean-Milot, Des Oblats et Lafleur.» Roland Laforce affirme qu'avec les nouvelles taxes provenant de ces projets, «nous payons les infrastructures mais c'est la grande ville qui collecte.» La mairesse a rétorqué que l'arrondissement va recevoir, dans sa dotation, un surplus d'argent en compensation. Pour sa part, Yves Daoust a déclaré «qu'une fois le processus de changement de zonage enclenché, les citoyens n'auront plus rien à dire. Vous dites que c'est une vision sur 10 ou 15 ans, alors c'est quoi l'urgence de changer le zonage maintenant?» De son côté, Francisco Moreno a demandé aux élus de tenir compte des écoles et des parcs dans ce projet. Le projet du Quartier de la gare prévoit le déplacement de la gare LaSalle dans l'axe Wanklyn, la relocalisation du terminus d'autobus au coin Wanklyn et Lafleur. Sur le plan résidentiel, on parle d'un potentiel total de 1 400 unités de logements; pour l'îlot compris entre Jean-Milot et Wanklyn: 750 unités, et pour celui compris entre les rues Airlie/Stinson/Wanklyn: 650 unités.
  17. MONTRÉAL — Une trentaine de militants de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) ont perturbé le forum public qu'a tenu François Legault, cofondateur de la Coalition pour l'avenir du Québec (CAQ), mardi soir à Montréal. Alors que M. Legault exposait les grandes lignes de son programme depuis une trentaine de minutes, les militants se sont levés scandant à tour de rôle «Legault, Charest, même combat», «le privé à la porte» et «contre la hausse des frais de scolarité». Ils ont dénoncé la hausse des frais de scolarité à laquelle M. Legault adhère, de même que son projet d'abolir les cégeps. «Il veut détruire le réseau des universités», a lancé l'un des membres de l’ASSÉ, Maxime Larue. S'en sont suivi de nombreuses altercations entre les membres de l'ASSÉ et les citoyens présents. Plusieurs étaient excédés du comportement des jeunes étudiants. «Il faut être prêt à entendre les points de vue différents du tien», a crié quelqu’un dans le public. Quelques policiers ont fait irruption dans la salle et les militants étudiants se sont dispersés. La consultation a été interrompue pendant près d’une demi-heure. «On est dans une campagne qui vise à perturber l'ensemble des acteurs qui prennent position pour la hausse des frais de scolarité», a assuré le porte-parole de l'organisation, Gabriel Nadeau, une fois sortie de la salle où se tenait la réunion. Le temps n'est plus à la discussion.» Les débats entre les citoyens et l'ancien ministre se sont poursuivis par la suite, surtout sous le thème de l’éducation. Le cofondateur de la CAQ a déploré que les militants aient refusé d'ouvrir le débat avec lui et se soient contentés de faire du tapage. La CAQ avait convié les citoyens à venir discuter au Centre des loisirs communautaires Lajeunesse de Montréal. Environ 200 personnes ont répondu à l'appel. François Legault terminera jeudi sa tournée de consultations publiques à travers le Québec entamée le 12 septembre dernier. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/politiqueprovinciale/archives/2011/10/20111018-221457.html
  18. Publié le 7 Septembre 2011 Sandrine Béjanin Rive-Sud Express.ca Le conseil municipal de Brossard a voté un règlement permettant aux commerces situés sur le boulevard Taschereau, de part et d'autre de la rue Mario, de construire des bâtiments de plus de deux étages. Des citoyens touchés par cette mesure ont cherché à s'y opposer, mais le registre de signatures était inexistant à la mairie. En votant le règlement 203, le conseil municipal a voulu modifier le règlement de zonage 1642 applicable à la zone M01C, bordée par le boulevard Taschereau à l'ouest, le côté pair de la rue Malo à l'est, le croissant Marin au nord et la Place Mercure au sud. Avec le changement de réglementation, le zonage ne serait plus un frein pour les commerces qui souhaiteraient construire en hauteur. La réglementation existante constituait un obstacle au projet d'agrandissement du garage Montmorency Ford. Le directeur général de Montmorency Ford, M. Bélanger, a déclaré que le projet n'était pas finalisé, mais que le bâtiment serait agrandi et surélevé: deux étages avec stationnement ou trois étages. Les citoyens de la rue Malo craignent pour leur qualité de vie, déjà incommodés par le bruit du garage ouvert 24h/24. Pour eux, un bâtiment plus grand et plus haut signifie une vue directe des employés de Ford sur leur jardin ainsi qu'une perte de clarté et de soleil. Julie Deveau, Jean-Marie Beauvais et Marie-Jeanne Hernandez sont venus demander au conseil, le 4 juillet dernier, quels étaient leurs recours. Ils se sont vu répondre qu'ils pourraient faire une demande d'approbation référendaire en signant un registre. Le conseiller Antoine Assaf a été le seul à voter contre le projet de règlement «par respect pour les citoyens qui sont venus ici protester», a-t-il précisé. Sauf que le 18 juillet, quand Jean-Marie Beauvais est allé signer le registre à la mairie, quelle ne fut pas sa stupéfaction d'apprendre que le registre n'existait pas, «parce que les citoyens n'ont pas l'habitude de s'opposer», a-t-il reçu comme explication. Il a donc dû recueillir une cinquantaine de signatures des résidents de Malo, Mario et Mercure opposés au règlement 203 et demandant la tenue d'un référendum.
  19. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201012/14/01-4352111-avant-projet-de-loi-des-quartiers-soustraits-au-processus-referendaire.php André Dubuc LA PRESSE (Montréal) Des quartiers de Montréal, de Québec et des autres villes de la province pourraient devenir des zones libérées de toute contrainte référendaire en matière d'urbanisme, selon un avant-projet de loi déposé la semaine dernière par le ministre Laurent Lessard. L'article 82 de l'avant-projet de loi d'une centaine de pages qui vient moderniser la Loi sur l'aménagement et l'urbanisme donne la possibilité aux villes et municipalités québécoises de définir dans leur plan d'urbanisme des secteurs stratégiques «en tant que zone franche d'approbation référendaire et à l'intérieur de laquelle aucune modification réglementaire ne sera sujette à l'approbation référendaire». Les zones doivent prioritairement faire l'objet de rénovation urbaine, de réhabilitation ou de densification. Le plan d'urbanisme doit définir des objectifs, stratégies et cibles spécifiques à ces fins. «La nouvelle loi contribuera à la mise en oeuvre du développement durable en accordant la priorité à des objectifs comme la densification pour contrer l'étalement urbain», explique le ministre des Affaires municipales, dans un communiqué. Le texte de loi ne définit pas ce qu'est une zone et pourrait théoriquement couvrir un quartier complet, comme le centre-ville. L'Institut de développement urbain du Québec (IDU Québec), lobby de promoteurs, accueille favorablement l'avant-projet, dans un communiqué. «C'est une grande victoire, dit Guillaume Neveu, président du comité d'urbanisme de l'IDU Québec à Québec et urbaniste. On vient réparer une erreur qu'on a commise avec les fusions municipales.» Contrairement aux citoyens du reste de la province, les résidents de Montréal et Québec n'avaient pas le pouvoir d'exiger un référendum jusqu'au moment des fusions municipales au tournant des années 2000. Le législateur a préféré étendre ce pouvoir aux habitants des grandes villes plutôt que de le retirer aux citoyens des villes fusionnées de la banlieue. Le référendum est un moyen donné aux citoyens concernés de bloquer un projet immobilier nécessitant une modification à la réglementation d'urbanisme en vigueur. «On doit constater à l'usage que le référendum, bien qu'intéressant pour des citoyens et des groupes de pression, est un mécanisme un peu bête où on décide de l'avenir du projet sans être capable d'y apporter la moindre nuance», dit Gérard Beaudet, professeur d'urbanisme de l'Université de Montréal, à qui on a demandé ses commentaires sur l'avant-projet de loi. Pour l'universitaire, une ville de la taille de Montréal dispose de l'Office de consultation publique ou du Conseil du patrimoine pour analyser les projets qui lui sont soumis. «Il y a d'autres poignées (que le référendum) pour se faire une meilleure tête sur le projet et mettre sur la place publique un certain nombre d'avis favorables ou non.» Levée de boucliers à prévoir On imagine que cette disposition sera interprétée comme un recul démocratique aux yeux de certains groupes de citoyens. «C'est clair qu'on va faire valoir que la voix citoyenne est brimée», reconnaît le professeur Beaudet. Autre nouveauté introduite par l'avant-projet, l'article 129 ouvre la porte au «bonus zoning», comme ça existe depuis des années à Toronto, d'après Guillaume Neveu, de l'IDU. Cette disposition donne le pouvoir à une ville de passer outre à des normes de zonage, à l'exception des normes sur les usages, en contrepartie d'aménagements ou équipements d'intérêt général. Par exemple, un promoteur pourrait gagner des étages au-delà de la hauteur permise en échange d'un engagement sur l'aménagement d'un parc public. Par ailleurs, l'avant-projet de loi laisse le soin aux municipalités de se doter d'une politique d'information et de consultation de leurs citoyens. L'avant-projet de loi est le fruit d'un travail de concertation avec les partenaires du monde municipal, dit le ministre, et représente une réforme majeure de la Loi sur l'aménagement qui a plus de 30 ans. Le ministre entreprendra une tournée en région en février pour expliquer son avant-projet
  20. et j'ai nommé les résidents du platô Hugo Fontaine La Presse Condos sur pilotis: la construction démarre, l'opposition renaît Mardi, un promoteur a officiellement conclu une transaction de 1,25 million de dollars avec Stationnement de Montréal pour l'acquisition des droits aériens lui permettant de construire 98 condos par-dessus les terrains de stationnement situés rue Généreux, au nord de l'avenue du Mont-Royal. Vers la fin de la semaine, des pelles mécaniques sont apparues sur un des terrains pour casser l'asphalte. La construction d'un controversé projet de condos sur pilotis a débuté la semaine dernière au coeur du Plateau-Mont-Royal. Un chapitre de plus dans un feuilleton qui dure depuis sept ans. Mardi dernier, le promoteur a officiellement conclu la transaction de 1,25 million de dollars avec Stationnement de Montréal pour l'acquisition des droits aériens lui permettant de construire 98 condos par-dessus les terrains de stationnement situés rue Généreux, au nord de l'avenue Mont-Royal, entre les rues De Lanaudière et Marquette. L'arrondissement avait délivré les permis nécessaires en décembre. Vers la fin de la semaine, des pelles mécaniques sont apparues sur un des terrains pour casser l'asphalte. La construction démarre, sans qu'aucune affiche n'indique la nature des travaux. Ça ne fait pas le bonheur de tout le monde dans le Plateau. Au début des années 2000, près de 12 000 personnes avaient signé une pétition contre le projet. Laurent Imbault, qui a été le porte-parole d'une coalition de citoyens qui s'opposaient à l'arrivée de ces condos, dénonce aujourd'hui l'absence d'intervention des politiciens. «Au bout du compte, tout le monde a enterré cette histoire en s'imaginant que ça allait disparaître tout seul.» Les inquiétudes des citoyens touchent principalement la question de la sécurité dans un stationnement recouvert et peu visible. La densification d'un quartier déjà dense est aussi une préoccupation. La Société de développement de l'avenue du Mont-Royal, qui s'est toujours opposée au projet, annoncera aujourd'hui qu'elle interpelle le maire Gérald Tremblay et la mairesse d'arrondissement Helen Fotopulos. Une rencontre entre la Société et l'arrondissement est aussi prévue en après-midi. «On aurait espéré que le projet ne se fasse jamais, a précisé le directeur général de la Société, Michel Depatie. Mais il faut prendre le problème où il est rendu.» Un projet dans les règles Le porte-parole d'Helen Fotopulos, Marc Snyder, rappelle que la mairesse a fait connaître à plusieurs reprises son opinion très négative sur ce projet. "Mais à partir du moment où le projet respecte la réglementation de toutes les façons, l'administration est obligée d'émettre les permis", explique-t-il. "Nous avons été mis devant un fait accompli par Stationnement de Montréal", affirme Mme Fotopulos, qui n'a pas trouvé cela "très élégant". "Si le projet se fait, ma priorité est que le chantier soit exemplaire en termes d'impact sur le voisinage, les résidants et les activités commerciales", a ajouté la mairesse. En plus de causer un tollé chez les marchands et les citoyens, le projet, d'abord approuvé par l'administration Bourque en 2000, fait l'objet d'un bras de fer juridique entre le promoteur David Owen et la Ville. Des recours judiciaires sont toujours en cours, dont une poursuite de 5,7 millions en dommages et intérêts contre la Ville. La Cour supérieure a ordonné aux deux parties de tenir une conférence de règlement qui aura lieu en avril. Avec la collaboration de Catherine Handfield source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080331/CPACTUALITES/803310468/5077/CPACTUALITES ----------------- Let me in but don't let anybody else come after me... c'est exactement l'attitude des platôiste
  21. La Ville de Montréal agit afin d'améliorer la qualité de vie des citoyens Source: Ville de Montréal Montréal, le 25 août 2010 - Monsieur Alan DeSousa, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable de l'administration générale, des finances, du développement durable, de l'environnement et des parcs, est heureux d'annoncer la vente à l'entreprise Remorquage Météor, au montant de 1,4 M$, d'un terrain municipal vacant situé du côté est du boulevard Saint-Michel dans l'arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension. « La transaction permettra de mettre fin à une occupation problématique de l'entreprise dans un quartier résidentiel et de solutionner les nuisances avec lesquelles les gens du voisinage doivent composer. La qualité de vie de nos citoyens est primordiale et cette vente améliorera la situation, tant pour les résidants que pour l'entreprise », a déclaré M. DeSousa. Un meilleur site pour les activités de l'entreprise Rappelons que la firme Remorquage Météor, exploite actuellement un dépôt de remorquage d'autos saisies par les corps policiers du Service de police de la Ville de Montréal et de la Sûreté du Québec, ainsi qu'un autre qui dessert le ministère de Transports. L'emplacement actuel, situé sous le boulevard Métropolitain, dans l'arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, est mal adapté à ce genre d'activités. La Ville a travaillé à identifier un site qui réponde à ses besoins ainsi qu'à ceux de l'entreprise. Après l'étude de plusieurs sites potentiels, la Ville et Remorquage Météor ont convenu que étant le plus approprié est situé du côté est du boulevard Saint-Michel, entre la rue Bressani et le boulevard Industriel. Ce terrain, propriété de la Ville, est vacant de longue date. Le présent projet inclut aussi l'aménagement d'un écran de verdure entre le secteur résidentiel de la rue Bressani et le terrain cédé à l'entreprise Météor. Les coûts de cet écran de verdure seront défrayés à même les revenus de la vente du terrain. « Je remercie les employés de la Ville et de l'arrondissement et tous les élus qui ont appuyé ce projet. C'est un bel exemple d'une administration municipale à l'écoute de ses citoyens », a déclaré M. Frantz Benjamin, conseiller municipal du district de Saint-Michel dans l'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. La promesse d'achat oblige l'acquéreur à y construire un bâtiment dans un délai de neuf mois suivant la signature officielle de l'acte de vente. La compagnie s'engage également, au plus tard 15 mois après la signature de l'acte de vente, à n'effectuer ses opérations de remorquage et de fourrière qu'à partir du nouveau site. Plutôt que de retrancher du prix de vente les coûts de la décontamination, la Ville s'est engagée à décontaminer, à ses frais, le terrain afin de respecter les critères environnementaux du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs pour un usage commercial ou industriel. Cette solution s'étant avérée plus économique. « Les citoyens nous ont envoyé un message clair en se mobilisant pour faire déplacer cette fourrière et grâce aux efforts de l'administration Tremblay et du conseil d'arrondissement nous pouvons aujourd'hui nous réjouir d'avoir répondu à leurs attentes », a conclu M. Frank Venneri, conseiller municipal du district de François-Perrault dans l'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension.
  22. Photos: http://www.journalmetro.com/linfo/article/601300--un-stationnement-du-vieux-montreal-devenu-vacant-reprend-vie
  23. Il y a un erreur dans mon titre, elle date de 1914. En 1993-1995, à la suite de la cessation du service de la ligne Montréal-Deux-montagnes, la ville de Mont Royal hérita de la locomotive GE boxcab #6712, dans le but de la restaurer. Elle fait partie des première locomotives à avoir traverser le tunnel du Mont-Royal.Plusieurs musée obtenu des locomotives du même modèle dont ville de Deux Montagnes qui restaura la sienne en 1998 et l'installa à coté de sa nouvelle gare. Ville Mont-Royal, entreposa la sienne sur le terrain de son garage municipal. Depuis 1995 quelle est là, à attendre... Selon quelques personnes, ce sont des citoyens de VMR qui s'oppose à sa restauration et son installation à côté de la gare de VMR, soit diant que c'est laid. Cet hiver, la bâche qui la couvrait à cédé. Photos: Le PAB, http://www.metrodemontreal.com/forum/viewtopic.php?t=12471&postdays=0&postorder=asc&start=20 En avril: http://www.flickr.com/photos/kellergraham/4516805870/ La voici en 2005 sous la bâche http://www.flickr.com/photos/kellergraham/347312676 Et en 2009 Quelle honte !
  24. MONTRÉAL, le 22 juin /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Ville-Marie a été mandaté pour élaborer un plan majeur pour l'aménagement et le développement du centre-ville de Montréal. Cette démarche ambitieuse, prévue pour l'année à venir, amènera les citoyens, les intervenants du milieu, ainsi que les experts à se pencher sur l'avenir du centre-ville de Montréal et sur son rôle moteur au cœur de la métropole. Une occasion de dessiner le centre-ville de demain À l'instar des activités de consultation participatives et citoyennes qui ont été mises en place lors de l'événement Saint-Laurent'dez-vous au mois de mai dernier, l'arrondissement de Ville-Marie organisera, dès l'automne prochain, des activités publiques stimulantes et innovatrices à l'image du potentiel créatif, culturel, jeune et dynamique de Montréal. Ces exercices de concertation sont une occasion unique et formidable pour les citoyens, les intervenants du milieu ainsi que les experts reconnus dans les domaines du développement urbain, du design, de l'architecture et du patrimoine, de s'exprimer et d'échanger sur les grands enjeux d'aménagement urbain pour l'avenir de leur ville. Un nouveau plan d'urbanisme Les résultats de ces activités de concertation publique réalisés avec le milieu, les propositions d'aménagement, ainsi que les recommandations formulées en ce sens, constitueront la matière première à l'élaboration d'un énoncé d'aménagement, qui sera préparé par l'arrondissement de Ville-Marie, en collaboration avec le service du développement et des opérations de la ville. Ce document permettra ainsi d'établir une vision stratégique et collective à long terme pour l'aménagement du centre-ville de Montréal et de définir en amont les priorités d'action, en vue de la révision prochaine du plan d'urbanisme prévue pour 2011. Le rôle majeur du centre-ville dans l'économie montréalaise amène l'arrondissement de Ville-Marie à aborder cette nouvelle planification urbaine dans sa dimension métropolitaine, et ce, afin d'assurer à ses citoyens un milieu de vie de qualité au sein d'un centre-ville dynamique et habité, pour les décennies à venir. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/June2010/22/c7366.html
  25. Nouveaux logements communautaires à Cloverdale Pierrefonds-Roxboro par Olivier Laniel 23 mars 2010 Les familles à faible revenu et les personnes âgées en légère perte d’autonomie peuvent désormais compter sur 258 nouveaux logements communautaires dans le secteur de Cloverdale à Pierrefonds-Roxboro. Le coût du projet financé par les gouvernements municipal et provincial s’élève à près de 39 M$. «Il y a de la construction neuve et de la rénovation de logements… Il y a aussi des logements pour des familles de 5-6 personnes», a mentionné le ministre des Affaires municipales, Laurent Lessard, de passage à Pierrefonds le 19 mars dernier. Soulignant que 137 des 258 locataires de ces ensembles d'habitation peuvent bénéficier du programme Supplément au loyer, une aide financière destinée aux personnes à faible revenu, le ministre s’est dit fier du projet. «Moi je dis, quand tu as un bon toit, après ça tu peux te trouver un travail», a souligné le M. Lessard. «Je connais Cloverdale depuis 40 ans, quand j’étais très jeune médecin on faisait des visites ici. On est passé par des phases très difficiles, peu sécuritaires, où il fallait pratiquement se faire accompagner par la police», reconnaît pour sa part le député fédéral de Pierrefonds-Dollard, Bernard Patry. Celui-ci ajoute que l’implantation du conseil d’administration et l’implication des citoyens du secteur ont changé la donne. «Ma vie de couple a commencé à Cloverdale!», a d’emblée lancé la mairesse de l’arrondissement Pierrefonds-Roxboro, Monique Worth. Elle qui a habité le secteur avec son mari lorsqu’elle avait 20 ans n’y est toutefois pas restée très longtemps. Cela dit, près de 45 ans plus, Mme Worth habite toujours l’Ouest-de-l’Île. «Je voudrais que ce projet devienne un modèle pour tout ce qui existe dans les arrondissements. On pourrait faire une annonce : venez faire un tour à Cloverdale, c’est comme ça qu’on vit dans l’Ouest-de-l’Île!», conclut la mairesse. À noter qu’un projet de jets d’eau pour enfants, au coût de 200 000$, sera aussi implanté. La voix des citoyens Rencontrée après la conférence, la citoyenne du secteur de Cloverdale, Anna Couiteux, était curieuse de connaître quelle amélioration les élus allaient annoncer. La dame qui habite le coin depuis 10 ans note «qu’il y a une plus grande présence policière qu’avant en plus des citoyens qui font le tour du quartier le soir». Un avis partagé par le citoyen Mario Roy qui y a récemment aménagé dans le secteur avec ses trois enfants. http://www.citesnouvelles.com/article-442557-Nouveaux-logements-communautaires-a-Cloverdale.html
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