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Bixi Montréal mise sur les utilisateurs sporadiques
un sujet a posté acpnc dans Projets oubliés et/ou en suspens
http://www.ledevoir.com/politique/montreal/434231/tarifs-2015-bixi-montreal-mise-sur-les-utilisateurs-sporadiques TARIFS 2015 Bixi Montréal mise sur les utilisateurs sporadiques 12 mars 2015 |Karl Rettino-Parazelli | Montréal Le Devoir Les tarifs de courte durée sont revus à la baisse pour 2015. Bixi veut reconquérir la clientèle des usagers occasionnels et prend les moyens d’y parvenir. Le comité exécutif de la Ville de Montréal a adopté mercredi la nouvelle grille tarifaire du service de vélo en libre-service, qui prévoit une diminution des tarifs de courte durée. Les utilisateurs réguliers constateront toutefois une légère augmentation du prix de l’abonnement annuel. Le prix de l’accès 24 heures passera cet été de 7 à 5 $ et celui de l’accès 72 heures, de 15 à 12 $. Bixi Montréal introduit également un nouveau tarif « aller simple » à 2,75 $, moins dispendieux qu’un billet de métro ou d’autobus. Ces ajustements ont été effectués pour répondre à l’importante baisse des revenus liés à la clientèle occasionnelle au cours des dernières années. Ceux-ci ont diminué de près de 40 % depuis 2012. « BIXI veut maximiser et accroître l’usage de son réseau, qui fait partie de l’offre de transport collectif », a expliqué par voie de communiqué la présidente du conseil d’administration de Bixi Montréal, Marie Elaine Farley. Pour ce qui est des abonnements, les membres annuels devront débourser 85 $ cet été, comparativement à 82,50 $ l’an dernier. L’abonnement pour 30 jours passe de 31,25 $ à 30 $, tandis que l’abonnement demi-saison, d’août à novembre, s’élève à 55 $. Pour la première fois cette année, les utilisateurs qui le désirent pourront également profiter d’un abonnement demi-saison s’échelonnant d’avril à juillet. Utilisation en baisse Les Bixi devraient faire leur apparition dans les 460 stations installées dans les rues de Montréal à partir du 23 mars, mais la saison ne débutera officiellement que le 15 avril prochain. De manière générale, Bixi Montréal a dénombré 33 216 membres actifs en 2014, contre 35 548 en 2013, une baisse de 6,5 %. Les 3,2 millions de déplacements enregistrés en 2014 constituaient par ailleurs une baisse de 4 % par rapport à la moyenne des résultats des cinq années précédentes. Le maire de Montréal, Denis Coderre, a assuré la survie des vélos en libre-service en acceptant en novembre dernier de verser une aide financière annuelle de 2,9 millions de dollars pendant cinq ans à Bixi Montréal.- 12 réponses
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le 6 novembre 2007 Frank Zampino, président du comité exécutif et responsable des finances à la Ville de Montréal, et Sammy Forcillo, conseiller du district Sainte-Marie–Saint-Jacques et membre du comité exécutif, annoncent la vente du marché Saint-Jacques pour la somme de 2 300 000 $. L’administration municipale avait lancé un appel de propositions à la suite de la décision de relocaliser les services municipaux qui occupaient cet immeuble hébergeant un marché public depuis plus de 75 ans. «Cette transaction amène le nouveau propriétaire à conserver la vocation de marché public en louant la partie extérieure de l’immeuble à la Ville jusqu’en 2022. Cette condition est assortie de cinq options de renouvellement d’une durée de cinq ans chacune, de manière à respecter l’entente intervenue avec la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal qui exploite déjà cet espace», a commenté Franck Zampino. «De plus, le propriétaire est tenu de réserver le rez-de-chaussée du bâtiment à des commerces d’alimentation, ce qui permettra de relancer le développement commercial et économique du secteur», a-t-il argumenté. Retombées positives? Pour sa part, Sammy Forcillo a souligné que «la conservation et le renforcement de la vocation de marché alimentaire et public bénéficiera aux résidents du quartier qui profiteront de services d’approvisionnement additionnels. Le marché Saint-Jacques a marqué l’histoire de notre quartier et il fera encore la fierté de ses usagers, j’en suis certain ». Il s’est réjoui que la transaction vise également le maintien du caractère architectural du bâtiment construit en 1931. «Cet édifice de style art déco représente une valeur patrimoniale importante tant pour les résidents du quartier que pour l’ensemble de la population montréalaise», a conclu Sammy Forcillo.
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Le gouvernement fédéral vient à la rescousse du chantier maritime situé à Lévis avec des prêts et des garanties de prêt totalisant 380 M$ afin de permettre à l'entreprise de poursuivre la construction de cinq navires. Pour en lire plus...
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Des taxis roses pour Montréal? Publié dans la catégorie Général Nathalie Collard Mardi dernier, dans le cadre d’un évènement destiné à la relève en design, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a lancé cinq défis aux designers et architectes montréalais: cinq concours pour embellir la taxis_s.jpgville en améliorant les cinq points suivants: les abords du métro Champ-de-mars, le mur ouest du Palais de justice, les abri-bus, le mobilier de la future Place des spectacles et l’identification visuelle des taxis. Ce n’est pas la première fois qu’on veut “brander” les taxis montréalais. Il est vrai qu’une flotte de taxis avec une identité propre et rapidement reconnaissable donne une couleur à une ville: pensez aux taxis jaunes de New York, aux verts de Mexico ou aux belles grosses voitures noires de Londres. Or à chaque fois que l’idée est lancée, on assiste à une véritable levée de boucliers de la part de l’industrie du taxi. Les chauffeurs rappellent que contrairement à leurs homologues de New York, par exemple, ils sont travailleurs autonomes et donc, propriétaires de leur voiture. Ils n’ont pas envie d’aller faire leur épicerie la fin de semaine au volant d’une bagnole rose bonbon ou vert lime. Dans l’industrie du taxi, on préférerait que les gouvernements aident les chauffeurs à faire face à la hausse des prix de l’essence ou qu’ils les encouragent à prendre le virage vert en accordant une aide supplémentaire pour acheter un véhicule hybride. Or un n’empêche pas l’autre. L’idée de donner une identité visuelle aux taxis de Montréal est excellente et doit absolument être défendue jusqu’au bout. Ce pourrait être une couleur, un modèle de voiture ou même un logo, assez visible pour être vu à distance. Les règles du concours lancé par le maire seront dévoilées bientôt. En attendant, avez-vous des idées?
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Immobilier: plus forte hausse des prix en cinq ans à Montréal
un sujet a posté p_xavier dans L'actualité
Bonne nouvelle! Dans la presse. Immobilier: plus forte hausse des prix en cinq ans a Montreal | MAXIME BERGERON | Immobilier Immobilier: plus forte hausse des prix en cinq ans à Montréal -
Pas moins de cinq plaques indiquent l'intersection des rues Sherbrooke et Cuvillier, dans Hochelaga-Maisonneuve. Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir 10 février 2014 17h39 | Marco Fortier | Le blogue urbain Bientôt à Montréal, des noms de rues faciles à lire Avez-vous déjà remarqué à quel point il est difficile de lire les noms de rue à Montréal? Les plaques blanches qui indiquent les noms de rue sont parfois cachées. Et tellement petites qu'il faut quasiment arrêter aux coins de rue, en voiture, pour les déchiffrer. La Ville de Montréal reconnaît le problème et compte le régler. Surtout que la population vieillit: 15,2% des Montréalais sont âgés de 65 ans et plus. D'ici 2026, cette proportion grimpera à un Montréalais sur cinq. Sans faire de bruit, la Ville a commencé un projet-pilote, rue Sherbrooke, pour créer des « plaques odonymiques » beaucoup plus grandes et aux couleurs vives. Pour que les jeunes et moins jeunes puissent les lire plus facilement. Pas moins de cinq plaques indiquent l'intersection des rues Sherbrooke et Cuvillier, dans Hochelaga-Maisonneuve. Une rouge, une bleue, une grise et deux blanches. Une de ces plaques mesure 200 mm par 750 mm — le format habituel — tandis que les autres, de plus grand format, font 300 mm par 1200 mm. « Entre vous et moi, il n'est pas toujours facile de trouver les noms de rue à Montréal. Nous tentons de déterminer un format, un type de lettrage et une couleur qui les rendront plus lisibles », explique Guy Pellerin, ingénieur en circulation et chef de division à la direction des transports de la Ville. Guy Pellerin et son équipe cherchent aussi à déterminer la hauteur optimale pour suspendre les plaques — environ 4,3 mètres pour une artère comme la rue Sherbrooke, comparés à 3 mètres et moins pour les petites rues. Les plaques doivent être visibles, mais pas trop: il faut aussi voir les feux de circulation, le mobilier urbain, les commerces, les arbres... Les tests, qui ont commencé en novembre dernier, se poursuivront encore plusieurs semaines, à d'autres intersections. Si tout va comme prévu, les plaques odonymiques « améliorées » s'intégreront au tronçon de 2 km de la rue Sherbrooke qui s'étire entre le boulevard Pie-IX et la rue Frontenac, qui sera entièrement reconstruit d'ici deux ans. Passages pour piétons D'autres mesures pour aider les personnes âgées sont en préparation. La Ville envisage d'allonger le temps de traversée pour les piétons à 1200 intersections, d'ici l'an prochain. Davantage de compteurs numériques seront installés pour indiquer le temps restant de traversée. La Ville compte aussi s'assurer qu'une zone de 5 mètres sera dégagée aux intersections, pour rendre la traversée des piétons plus sécuritaire.
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Technologies de l’information : 60 nouveaux emplois dans le service aux entreprises. – LINKBYNET, société française spécialisée dans l’hébergement, la sécurité et la gestion des structures et applications informatiques, annoncera aujourd’hui l’expansion de ses activités dans le Grand Montréal, cinq ans après y avoir implanté avec succès son siège social nord-américain. La société a en effet connu une croissance exceptionnelle au Québec durant cette période, en investissant près de 12 millions de dollars et en recrutant près d’une centaine d’employés, un succès considérable comparativement aux 8,4 millions de dollars et 60 embauches prévus initialement. Forte de cette réussite, LINKBYNET prévoit d’ailleurs créer 60 nouveaux emplois d’ici 2020. Offrant des services personnalisés pour héberger, gérer et sécuriser les applications et infrastructures informatiques de petites et grandes entreprises, LINKBYNET a fait progresser son chiffre d’affaires de quelque 50 000 dollars en 2011 à plus de 2,5 millions de dollars en 2015. Elle ambitionne maintenant de tripler, d’ici cinq ans, son chiffre d’affaires et de doubler ses effectifs au Canada, principalement dans le Grand Montréal. L’annonce sera faite par M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord, en présence de M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore, ainsi que des membres de la direction du groupe LINKBYNET, lors d’un cocktail-conférence au Centre des sciences de Montréal. « LINKBYNET a misé sur le Grand Montréal en 2010 pour étendre ses activités de services infonuagiques et informatiques. Après cinq ans, nous pouvons affirmer que c’était un bon pari, tant au niveau de l’expertise technique que des opportunités commerciales », a déclaré M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord. « Nous sommes heureux de célébrer ce succès avec nos clients, partenaires et amis qui nous ont accompagnés dans notre croissance », a-t-il également ajouté. Soutenue par Montréal International et Investissement Québec dans ses projets d’implantation et d’expansion, LINKBYNET répond aux besoins urgents et grandissants des entreprises montréalaises et québécoises, telles L’Oréal Canada, Bolloré ou encore CAA Québec. « Le succès de LINKBYNET, qui a connu une croissance significative de ses opérations et qui a su se positionner stratégiquement au sein de l’industrie des technologies de l’information en Amérique du Nord, démontre une nouvelle fois l’attractivité du Grand Montréal. La métropole québécoise est en effet reconnue pour son bassin de talents qualifiés, sa situation géographique enviable et ses coûts d’opération hautement compétitifs », a déclaré M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore. « De plus, LINKBYNET offre une expertise très ciblée et à l’avant-garde des nouvelles technologies, qui permet de soutenir la compétitivité de nombreuses entreprises dans la région, et ce, tous secteurs confondus », a-t-il conclu. Mentionnons que LINKBYNET a remporté de nombreuses distinctions au cours des dernières années, incluant le trophée du meilleur « cloud hybride », décerné par VMWare en 2014 et le prix du « Customer obsession partner », attribué par Amazon web service en 2015. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/linkbynet-expansion-grand-montreal/
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Le Cinq & Demi Condomimiums propose 7 condos, de 3 chambres, de 1350 à 1750 pieds carrés, dans un immeuble à l'architecture épurée et urbaine, dans l'arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. Quelques caractéristiques: Balcon en avant et en arrière (Terrasse au rez-de-Jardin) Planchers en céramique et bois Plafonds de 9 pieds (8 pieds rez-de-Jardin) Air climatisé et thermopompe Large fenestration en aluminium Comptoirs en quartz Armoires et vanités en thermoplastique Douche en céramique séparée du bain Robinetterie de qualité Échangeur d'air Aspirateur central Lumières encastrées dans la cuisine et la salle de bain Éclairage supérieur Isolation à l'Uréthane Systèmes Intercom et d'alarme Situé à quelques minutes de marche de la station de métro, le projet offre un espace de vie spacieux et confortable, dans un immeuble à la maçonnerie architecturale sur 4 façades, à proximité de nombreux services et commerces. Plus d'information à la page: http://www.constructionsdiego.com
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C'est très intéressant de voir ce nouveau fonds et ca démontre bien la transformation progressive de l'économie de Montréal ainsi que la position de Montréal sur l'échiquier des technos. Publié le 16 décembre 2014 à 06h48 | Mis à jour à 06h48 L'écosystème montréalais des jeunes entreprises en technologie continue de s'étoffer avec la création, qui doit être officiellement annoncée ce matin, d'un nouveau fonds de capital de risque mis sur pied par cinq jeunes entrepreneurs. Ce nouveau fonds, Interaction Ventures, sera doté au départ d'une cagnotte de 1 million de dollars. Ses partenaires fondateurs sont cinq jeunes entrepreneurs déjà actifs dans l'écosystème. Il s'agit de LP Maurice et Frédéric Thouin, cofondateurs de Busbud, Bruno Morency, fondateur de Context.io, Raff Paquin, cofondateur de Frank&Oak, et Guillaume Racine, gestionnaire senior chez Amazon, basé à Londres. Le trésor de guerre d'Interaction Ventures n'est pas des plus imposants, mais les partenaires fondateurs souhaitent occuper un créneau où l'on ne se précipite pas, très tôt dans l'existence d'une entreprise. «Des gens comme Real Ventures, la Banque de développement du Canada (BDC) ou iNovia interviennent généralement plus tard, fait valoir M. Maurice. Il y a un espace qui se créait à l'étape des "anges".» «Real Ventures a commencé un peu comme ça, ajoute M. Morency, mais leur fonds est maintenant rendu à plusieurs millions, et ce n'est plus la même réalité.» Interaction Ventures prévoit des investissements «normalisés» de 50 000$, qu'elle souhaite combiner à ceux de partenaires dans des rondes totalisant jusqu'à 1 million de dollars. Les jeunes entreprises sélectionnées pourront aussi bénéficier de l'expertise des cinq cofondateurs, jugés «complémentaires» par M. Maurice. «Donner des conseils, c'est quelque chose que nous faisons tous déjà. Là, avec notre fonds, c'est un autre niveau.» Ils n'entendent toutefois pas s'imposer. «Le but n'est pas de devenir cofondateurs», rappelle M. Morency. Grâce à une entente avec le fonds iNovia, les entrepreneurs de l'écurie d'Interaction Ventures auront accès à des ressources additionnelles, notamment des événements de maillage. L'un des gestionnaires d'iNovia, Chris Arsenault, servira d'ailleurs de conseiller du nouveau fonds, tout comme Dax Dasilva, fondateur de Lightspeed. La création d'un tel fonds est un gage de maturité de la scène montréalaise, estime M. Maurice. «Tranquillement, il va y en voir de plus en plus, des gens qui vont être dans cette position de pouvoir faire de petits chèques à de jeunes entrepreneurs.»
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L'Argentine veut la plus haute tour d'Amérique latine
un sujet a posté monctezuma dans Projets ailleurs dans le monde.
L'Argentine veut la plus haute tour d'Amérique latine Le gratte-ciel le plus haut d'Amérique Latine sera construit à Buenos Aires, a annoncé mardi la présidente argentine Cristina Kirchner. La tour, haute de 335 mètres, devrait supplanter la Gran Torre de Santiago du Chili qui culmine à 300 mètres. Elle abritera notamment un pôle audiovisuel destiné à la production de programmes télévisés, a affirmé Mme Kirchner lors d'un discours diffusé sur la radio et la télévision publiques argentines. Le bâtiment doit être construit d'ici à cinq ans dans le quartier de Puerto Madero, en bordure du fleuve Rio de la Plata. Le coût du projet est estimé à 300 millions de dollars.- 11 réponses
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Jean-Sébastien Marsan 04-09-2014 | 11h18 MONTRÉAL - Les tarifs hôteliers à Montréal ont grimpé de 9 % en moyenne au cours des six premiers mois de 2014 comparativement à la même période en 2013. La métropole s'est même hissée en tête de liste des villes où les voyageurs canadiens ont payé le plus cher pour un hôtel cinq étoiles, avant Tokyo et Los Angeles. C'est ce que révèle le service de réservation d'hébergement en ligne Hotels.com dans son plus récent Hotel Price Index, publié mercredi. Cet indice, fondé sur les réservations effectuées sur le site web Hotels.com et sur les prix réels (non les prix affichés) que paient les clients, a été établi à 100 en 2004. Il atteint 115 en 2014. À l'échelle mondiale, l'augmentation moyenne des tarifs hôteliers est de 4 %. Les hôtels des Caraïbes ont enregistré la plus forte hausse, à 6 %. En Amérique du Nord, en Europe et au Moyen-Orient, les prix réels ont progressé de 5 %. Lorsqu'on regarde de plus près le marché canadien, on constate que les prix des hôtels à Montréal (168 $ la nuitée en moyenne) et à Vancouver (157 $) ont augmenté de 9 % au cours des six premiers mois de 2014, dépassant le marché torontois (152 $ la nuit). Cette année, Montréal se hisse même au top 20 des villes où les Canadiens ont dépensé le plus pour un hôtel cinq étoiles: une moyenne de 573 $, en hausse de 30 % comparativement au premier semestre de 2013. Les plus chics hôtels de la métropole québécoise sont plus coûteux, en moyenne, que les établissements cinq étoiles de Tokyo (533 $), Los Angeles (532 $), Londres (508 $) et Paris (469 $). LES TOURISTES SE RESSEMBLENT Les touristes canadiens en voyage dans leur propre pays ont des comportements assez similaires aux touristes étrangers qui s'offrent un séjour au Canada. Dans les deux cas, la destination la plus populaire demeure Toronto. Les Canadiens préfèrent ensuite Montréal, puis Vancouver, tandis que les étrangers ont tendance à privilégier Vancouver avant Montréal. À ce jour, «2014 est une excellente année à Montréal grâce aux événements comme les congrès et les compétitions sportives», a commenté Eve Paré, présidente-directrice générale de l'Association des hôtels du grand Montréal. «Ces événements contribuent à occuper les chambres d'hôtel et à tirer les prix vers le haut.» Le rapport de Hotels.com dévoile également ce que les Canadiens paient lorsqu'ils réservent une chambre à l'étranger. C'est aux Bahamas que les Canadiens ont payé le plus cher dans la première moitié de l'année 2014 pour une nuit d'hôtel de luxe, à 341 $ par nuit, en hausse de 12 % par rapport à 2013. Suivent les hôtels de la Suisse (246 $ la nuitée, en moyenne), de la Croatie (235 $) et du Royaume-Uni (225 $). Les dix destinations les plus populaires chez les touristes canadiens en 2014 sont New York, Las Vegas, Londres, Paris, Orlando (Floride), Chicago, Los Angeles, San Francisco, Seattle et Rome. http://fr.canoe.ca/argent/depenser/auquotidien/archives/2014/09/20140904-111852.html
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Un complexe de luxe pour financer le retour du baseball à Montréal Pour financer le retour du baseball majeur à Montréal, un groupe secret d'hommes d'affaires envisage de construire un hôtel cinq étoiles, une boîte de nuit et une salle de spectacles. L'immense projet baptisé «le Littoral de Montréal» serait situé dans l'arrondissement du Sud-Ouest entre les ponts Champlain et Victoria. Destinées à «une clientèle ciblée», ses installations de luxe viseraient à financer le sport amateur ainsi que la construction d'un stade de baseball. Le projet est porté par l'avocat de Québec Guy Bertrand. Son désir de doter Montréal d'infrastructures sportives est connu depuis des années. Mais l'aventure est entourée de mystère. On ignore qui sont les bailleurs de fonds, même si l'avocat parle «d'investisseurs orientaux et internationaux». Guy Bertrand vient toutefois de mettre à jour son inscription au registre des lobbyistes, et de nouveaux éléments ont émergé, dont l'idée de financer un stade de baseball par un complexe de luxe. «Avant de se lancer dans la construction d'un stade et d'installations pour le sport amateur, il faut un projet rentable», a expliqué Guy Bertrand en entrevue. Selon l'inscription au registre, le complexe serait érigé en bordure du fleuve en cinq temps. Il comprendrait en plus du complexe de luxe, un stade de baseball, un centre sportif, un anneau de glace et peut-être un vélodrome. Le centre sportif serait doté de plateaux pour «par exemple le taekwondo, le judo, le ping-pong, note Me Bertrand. On a déjà été en contact avec des fédérations sportives et le but n'est pas de dédoubler ce qui se fait au Parc olympique, mais d'offrir des infrastructures qui n'existent pas ou qui doivent être améliorées.» La consultation du registre permet par ailleurs de découvrir l'identité d'au moins un des partenaires de Me Bertrand, la firme Scéno Plus. Cette entreprise de design montréalaise a notamment mené plusieurs projets d'envergure dans des casinos américains, comme la conception de salles de spectacles. Encore bien du travail à faire Mais le Littoral de Montréal est encore loin d'une réalisation. Et le retour du baseball à Montréal n'est pas pour demain la veille. Guy Bertrand précise ne pas avoir contacté le «Projet baseball Montréal» de Warren Cromartie. Le site envisagé est par ailleurs lourdement contaminé. Sa décontamination coûterait 100 millions de dollars. Me Bertrand entend d'ailleurs faire des démarches auprès du gouvernement fédéral pour obtenir des fonds publics, précisant que le reste du projet sera porté par des investisseurs privés. «La décontamination de ce secteur sera un enjeu important», reconnaît le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, qui dit avoir vaguement entendu parler du projet de Guy Bertrand, même si aucune démarche formelle n'a été entreprise, selon lui. «Je suis maire de l'arrondissement depuis 2009 et j'ai vu passer trois projets de stade de baseball sur ce site», note-t-il. Guy Bertrand n'est pas pressé. "Ça fait cinq ans qu'on travaille sur ce projet et c'est du sérieux. On va y aller tranquillement, assure-t-il. Que ceux qui veulent se complaire dans la morosité s'y complaisent. Moi, je pense qu'il faut ramener le baseball à Montréal et peut-être même les Jeux olympiques. C'est possible.» http://www.lapresse.ca/sports/baseball/201308/23/01-4682468-un-complexe-de-luxe-pour-financer-le-retour-du-baseball-a-montreal.php
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Le Félix Vaudreuil-Dorion (Vaudreuil) - 5 étages (2010)
un sujet a posté ErickMontreal dans Complétés
Vaudreuil-Dorion: construction urbaine autour de la gare Le Félix Vaudreuil-Dorion comptera 210 appartements locatifs pour retraités actifs et 28 unités pour personnes en perte d’autonomie. Le 1 juin 2009 Danielle Bonneau La Presse Il y aura sous peu beaucoup d'activité autour de la gare Vaudreuil. À l'est, le projet Les Condos de la Gare vient de démarrer. À l'ouest, un promoteur élabore avec la Ville de Vaudreuil-Dorion le plan de développement qui encadrera la construction d'environ 2000 logements, de même que des espaces de bureau et commerciaux, sur un territoire de trois millions de pieds carrés. D'ici cinq ans, des édifices de 10 étages devraient être bâtis de part et d'autre des voies ferrées. Le but de la municipalité? Appliquer les principes du TOD (Transit Oriented Development ou développement axé sur les transports en commun) et densifier les abords de la gare. Un grand nombre de résidants pourront ainsi s'y rendre à pied. Selon cette philosophie, de nombreux commerces sont construits à proximité pour diminuer la dépendance à l'automobile. La venue de centres commerciaux, qui abritent des restaurants et des magasins comme Walmart, Winners et Future Shop, n'est pas un hasard. «Le développement se fait en fonction de la gare», indique Guy Pilon, maire de Vaudreuil-Dorion. Au cours des cinq prochaines années, de 2500 à 3000 nouveaux logements devraient être construits dans un rayon d'un kilomètre autour de la gare, révèle-t-il. La typologie des habitations changera à mesure qu'elles s'en rapprocheront. Les maisons individuelles, jumelées et en rangée feront graduellement place à des immeubles de quatre et cinq étages, puis de 10 étages, de chaque côté des voies ferrées, pour répondre aux besoins variés de la future clientèle. Déjà, le Groupe Maurice a entrepris la construction de la résidence Félix Vaudreuil-Dorion, qui comptera environ 300 unités. Le vaste immeuble de cinq étages devrait ouvrir ses portes en juin 2010. La présence des nombreux commerces, à proximité, a beaucoup influencé le choix du terrain. «Beaucoup de retraités veulent être près d'une épicerie, d'une pharmacie et des magasins, souligne Luc Maurice, président de l'entreprise. Ce sera plus facile le jour où ils ne pourront plus conduire leur voiture.» Dans le projet Les Condos de la Gare, huit immeubles comptant chacun 16 unités seront construits. Toujours à l'est des voies ferrées, le duo de constructeurs Les Habitations Raymond Allard et Les Habitations Sylvain Ménard vient de lancer le projet Les Condos de la Gare. Dans un premier temps, huit immeubles de quatre étages, comptant chacun 16 unités, seront construits. Deux tours d'habitation de 10 étages, totalisant 80 logements, seront ensuite bâties en face de la gare. «Nous ciblons une clientèle jeune qui travaille à Montréal et veut prendre le train pour s'y rendre», indique Sylvain Ménard. Pour faciliter l'accès à la propriété, les 16 unités sont uniformes, avec deux chambres, précise Raymond Allard. Les appartements coûtent de 139 900$ à 163 900$, taxes incluses, pour une superficie de 1191 pieds carrés. 2000 unités, parcs et lacs À l'ouest de la voie ferrée, Vaudreuil Realty Group élabore, en collaboration avec la municipalité, un plan d'envergure qui encadrera l'aménagement d'un immense terrain de trois millions de pieds carrés. Aux abords de la gare, la construction d'immeubles de 10 étages abritant des appartements en copropriété, mais aussi des espaces de bureau, des commerces et possiblement un CLSC, est au coeur des discussions. Un complexe sportif pourrait par ailleurs s'ajouter non loin. En tout, 2000 habitations, entourées de lacs, de parcs, de sentiers pédestres et de pistes cyclables seront construites au cours des prochaines années, révèle Michael Sochaczevski, un des partenaires de Vaudreuil Realty Group. Le terrain du promoteur, vendu graduellement à des constructeurs et des promoteurs de commerces de détail comme SmartCenters et Walmart-First Pro, mesurait à l'origine 10 millions de pieds carrés.- 7 réponses
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http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201211/12/01-4593085-infrastructures-pauline-marois-met-les-freins.php L'appel d'offres principal pour l'échangeur Turcot devait être lancé le printemps dernier; il le sera plutôt à la fin de l'année ou au début de 2013, dans le but de réduire les dépenses. PHOTO: ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE DENIS LESSARD La Presse (Québec) Étranglé par une facture de 44 milliards pour ses projets d'infrastructures dans les cinq prochaines années, le gouvernement Marois appliquera les freins sur des dizaines de projets de construction des ministères des Transports, de la Santé et de l'Éducation - des immobilisations annoncées, mais dont les travaux n'étaient pas encore amorcés. Selon les informations obtenues par La Presse, à la suite des conclusions d'une évaluation réalisée par KPMG pour le compte d'Infrastructures Québec, le Conseil du Trésor posera de nouvelles balises plus serrées pour stopper la flambée des coûts des mégaprojets - notamment l'échangeur Turcot et le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM). Ces décisions doivent être annoncées par le président du Conseil du Trésor, Stéphane Bédard, dans le cadre du Plan quinquennal d'investissements qui fera partie des crédits budgétaires rendus publics en marge du budget de Nicolas Marceau, mardi prochain. Dans le cas de l'échangeur Turcot, le projet a d'abord été annoncé à 1,4 milliard sous le gouvernement libéral; la facture officielle a grimpé à 3 milliards, mais le compteur continue de tourner. «En route» pour 4 milliards, on appliquera donc les freins. «Le gouvernement n'acceptera pas de mettre autant d'argent.» Québec dira aux soumissionnaires qu'il y aura un «plafond» et qu'ils devront proposer un «scénario d'optimisation» du projet. L'appel d'offres principal n'est pas encore lancé pour ce mégaprojet. Québec s'assurera que le coût de l'aventure sera révisé avant d'aller de l'avant, ont indiqué à La Presse des sources gouvernementales. La série de travaux préparatoires et les mesures destinées à rendre le projet plus acceptable ont fait grimper la facture. L'appel d'offres principal devait être lancé le printemps dernier; il le sera plutôt à la fin de l'année ou au début de 2013. Refaire les calculs pour le CHUM Même topo pour le CHUM. D'abord annoncée à 840 millions, la facture s'élève officiellement à 1,6 milliard - en route vers 2 milliards. Cette fois encore, comme le projet est très avancé, il n'est pas question de reculer. Au Trésor, on demandera néanmoins aux responsables du projet de refaire leurs calculs pour réduire les coûts. Québec veut diminuer, au cours des cinq prochaines années, ses engagements en immobilisations. Dans le cas de plusieurs projets en cours, il est trop tard pour freiner les dépenses. Parmi la vingtaine de projets soumis à KPMG, on trouve la route des monts Otish, élément important du Plan Nord. Ce projet nécessitait le transport par hélicoptère de matériaux, parce qu'on doit travailler sur plusieurs tronçons simultanément pour respecter les échéanciers. Ce seul projet a vu son coût grimper de 260 à 471 millions. KPMG doit déterminer, dans le processus de décision des projets, les causes de la flambée des coûts. C'est 44 milliards d'investissements que Québec prévoyait faire en cinq ans. Déjà, dans le dernier budget Bachand, on prévoyait réduire ces engagements de 500 millions pour les années à venir. On repoussera donc tout ce qui n'est pas déjà engagé. On s'attend à ce que les ministères montent au créneau, mais on leur rappellera qu'il y a quelques années, Québec ne dépensait que 10 milliards sur cinq ans. Une longue attente en santé Dans le réseau de la santé, ce sera l'hécatombe, particulièrement dans la région de Montréal, où près de 2 milliards d'investissements en infrastructures étaient attendus. Au Ministère, on comprend que, dans bien des cas, si on reporte un projet officiellement d'un an, l'attente sera dans les faits beaucoup plus longue. Sous le gouvernement Charest, on annonçait beaucoup de projets sans nécessairement budgéter les fonds nécessaires, soutient-on dans les coulisses au sein du gouvernement Marois. Des projets comme les phases deux, trois et quatre de l'Hôpital général juif - une facture de plus de 250 millions - ont été «annoncés», mais pourraient être mis en suspens. Quant à l'agrandissement de l'hôpital Maisonneuve-Rosemont, il serait carrément «sur les brakes», affirme une source à l'interne. Parmi les engagements aussi «en suspens», notons un pavillon supplémentaire à l'hôpital Charles-LeMoyne, l'agrandissement de la Cité de la santé de Laval et un hôpital complètement rénové à Saint-Jérôme. Dans tous ces cas, aucun appel d'offres n'a été lancé. Ces changements auront un impact important sur le plan des effectifs médicaux. À la Cité-de-la-Santé, par exemple, le bloc opératoire est déjà utilisé à 100%; on ne pourra y accueillir de nouveaux médecins à moins de procéder aux agrandissements prévus. L'ex-ministre Yves Bolduc avait publiquement annoncé l'agrandissement des urgences de l'hôpital d'Alma et l'ajout de 140 lits à Le Gardeur, des projets appuyés par le Parti québécois qui risquent aussi de se retrouver sur la glace, confie-t-on dans le réseau de la santé. En éducation, on parle de projets réduits et moins nombreux. Ainsi, le Centre des sciences de l'Université de Montréal était prévu, mais comme les travaux ne sont pas entamés, on voudra certainement revoir les coûts.
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http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2012/10/Ritz-Carlton-Montreal-sommet.html
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http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2012/03/20120320-171502.html 20 mars 2012 | 17h15 ARGENT Le gouvernement du Québec souhaite que Montréal se fasse belle pour les touristes à l'approche de son 375e anniversaire, en 2017. Charles Lecavalier Agence QMI Le gouvernement du Québec souhaite que Montréal se fasse belle pour les touristes à l'approche de son 375e anniversaire, en 2017. Cette opération de chirurgie esthétique aura toutefois un prix, soit 125 millions $ investis sur cinq ans. Photo : Agence QMI Le ministre des Finances Raymond Bachand, qui affirme que son budget est le plus « structurant » de l'histoire du Québec pour l'industrie du tourisme, croit que ces deniers publics permettront à la métropole d'améliorer son image. Une bonne part du magot ira au site d'Espace pour la vie. Le reste sera partagé par le Jardin botanique, le Biodôme, le futur Planétarium et l'Insectarium, notamment dans la construction d'une grande serre pour accueillir des insectes de toutes espèces en liberté, qui obtiendront 45 millions $. « Ce sont des projets très spécifiques, très structurants », dit M. Bachand. Le parc Jean-Drapeau, qui reçoit annuellement 11 millions de visiteurs, récoltera quant à lui 35 millions $ pour la mise en place, notamment, d'une promenade riveraine entre les îles Notre-Dame et Sainte-Hélène. L'oratoire aussi Le gouvernement offrira plus de 26 millions à l'oratoire Saint-Joseph pour construire un centre d'observation dans le dôme de la basilique et pour rénover les infrastructures d'accueils de la plus grande église au Canada. L'ambitieux projet de réfection de l'oratoire, qui attire deux millions de pèlerins chaque année, totalise 79,2 millions $. Québec s'attend donc à ce qu'Ottawa et la Ville de Montréal y mettent aussi du leur. Finalement, le Musée des beaux-arts recevra 18,5 millions pour l'érection d'un nouveau pavillon. Ceinture verte Le gouvernement du Québec sort aussi le chéquier pour financer une ceinture verte, de Laval à Saint-Bruno en passant par Châteauguay. Cette annonce d'un investissement de 50 millions $ sur cinq ans fait suite à l'adoption en décembre dernier du plan métropolitain d'aménagement et de développement (PMAD) de la communauté urbaine de Montréal. Cette ceinture devrait être un outil supplémentaire pour lutter contre l'étalement urbain, l'un des points marquants du PMAD. La création d'un sentier cyclable de 120 kilomètres entre Oka et Saint-Hilaire, en passant par Laval, Montréal, Longueuil et Beloeil, gobera un peu moins de la moitié de ce 50 millions $. L'initiative s'inscrit dans un plan plus large, soit celui du Sentier national, qui traverse la province d'ouest en est sur plus de 1650 kilomètres. Une partie de ce budget servira aussi à la création de plages sur la digue de la Voie maritime du Saint-Laurent et d'un parc le long de la rivière des Mille-Îles. Investissements à Montréal - Ceinture verte : 50 millions $ - Espace pour la vie : 45 millions $ - Université McGill : 35 millions $ - Oratoire Saint-Joseph : 26,4 millions $ - Musée des beaux-arts : 18,5 millions $ - Organisme Montréal inc. de demain : 15 millions $ - Fonds de développement Emploi-Montréal : prêt sans intérêt de 3 millions $ pour cinq ans
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Une excellente nouvelle! Le cinéma québécois est en feu. Lien: http://moncinema.cyberpresse.ca/nouvelles-et-critiques/nouvelles/nouvelle-cinema/16513-iMonsieur-Lazhari-aux-Oscars.html?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS1 Le mardi 24 janvier 2012 La Presse Le film Monsieur Lazhar de Philippe Falardeau ira à la soirée des Oscars qui aura lieu le 26 février prochain à Los Angeles. Le long métrage québécois a en effet été sélectionné parmi les cinq finalistes encore en lice pour l'obtention de l'Oscar du meilleur film tourné dans une autre langue que l'anglais. Les membres de l'Academy of Motion Picture Arts and Sciences viennent d'en faire l'annonce à Hollywood. Les autres films en nomination dans cette catégorie sont Bullhead de Michael R. Roskam (Belgique), Une séparation de Asghar Farhadi (Iran), Footnote de Joseph Cedar (Israel) et In Darkness de Agnieszka Holland (Pologne). Par ailleurs, deux films canadiens produits par l'ONF, Dimanche de Patrick Doyon et Une vie sauvage de Amanda Forbis et Wendy Tilby sont également en nomination dans la catégorie «Courts métrages d'animation». Le réalisateur suit donc les traces de Denis Villeneuve qui, l'an dernier, s'était hissé jusqu'à l'ultime soirée avec son film Incendies. La statuette avait finalement été remportée par la Danoise Susanne Bier avec l'oeuvre intitulée In a Better World. La présence du film de Falardeau aux Oscars constitue également une superbe récompense pour Kim McCraw et Luc Déry de la maison de production micro_scope. C'est aussi cette boîte qui était derrière Incendies l'an dernier. L'oeuvre, rappelons-le, raconte la vie d'un immigrant algérien (Fellag) qui prend à pied levé une classe de jeunes du primaire dont l'enseignante s'est enlevée la vie. Le parcours de Monsieur Lazhar vers les Oscars a débuté à l'automne lorsque le film a été choisi pour représenter le Canada. Au départ, 63 films en provenance d'autant de pays étaient dans la course à l'Oscar du meilleur film étranger. Ce nombre a été réduit à neuf la semaine dernière et maintenant à cinq finalistes. M. Falardeau, qui est actuellement au festival de Sundance en Utah, s'entretiendra avec les médias plus tard ce matin. Nous y reviendrons.
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Les investissements municipaux au titre de la culture de cinq grandes villes du Canada. http://www.hillstrategies.com/resources_details.php?resUID=1000424&lang=fr
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Serais-ce une petite récompense pour avoir envoyé une majorité de fédéralistes à Ottawa ? Nouvelle distribution des sièges aux Communes Des députés fédéraux de plus pour le Québec Agence QMI 18/10/2011 19h47 OTTAWA — Pour détendre l’atmosphère et éviter les contestations judiciaires, Ottawa envisage un nouveau scénario dans le dossier de la redistribution des sièges aux Communes. Selon des sources gouvernementales sûres, le Québec (75 sièges) pourrait finalement hériter de deux sièges de plus alors que l’Ontario et la Colombie-Britannique devraient se contenter de moins de sièges que prévu. C’est ce qui ressort d’une rencontre entre le premier ministre canadien Stephen Harper et le premier ministre ontarien Dalton McGuinty vendredi dernier. On ne parlerait donc plus de 30 sièges supplémentaires aux Communes, mais plutôt de 26. L’Ontario devrait gagner 13 sièges de plus, l’Alberta, six, et la Colombie-Britannique, cinq. Le nombre total de députés aux Communes passerait de 308 à 334 et non plus à 338. La dernière version du projet de loi C-12, mort au feuilleton lors de la dissolution des chambres, prévoyait 18 sièges pour l’Ontario, sept pour la Colombie-Britannique et cinq pour l’Alberta. Le premier ministre McGuinty a reconnu que sa province devrait peut-être se contenter de moins de sièges. Le calcul final dépend des résultats du recensement de 2011, attendus en janvier ou février prochain. Entre-temps, le NPD a proposé mardi que le poids politique du Québec aux Communes ne tombe jamais sous la barre de 24,35 % des sièges. Un projet de loi a été déposé à cet effet. Dans cette configuration, le Québec gagnerait environ quatre sièges. Le député néo-démocrate Thomas Mulcair, candidat à la course à la succession de Jack Layton, a estimé que c’est la meilleure façon de donner «un contenu réel» à cette idée de «nation québécoise au sein d’un Canada uni» proposée par le gouvernement conservateur de Stephen Harper et adoptée à l’unanimité aux Communes en 2006.
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Excellent éditorial d'Yves Boisvert dans la Presse d'hier, je me permets de vous copier l'article! Coup de fil au boss du marathon de Montréal, l'autre matin. Alors, M. Bernard Arsenault, allez-vous nous annoncer votre nouveau trajet, comme promis? Ça ne sera pas pour cette année, me dit-il. Et pourquoi donc? Parce que c'est très compliqué. Bon, c'est sûr que dans une grande ville comme Montréal, ce n'est pas simple de fermer des rues sur 42,195 km pour faire un foutu marathon. Il y a des casernes de pompiers, des postes de police, des routes de déviation pour les camions transportant des substances dangereuses, des plans d'évacuation en cas d'alerte terroriste, etc., vous voyez le topo. D'autres villes de moindre envergure, qui n'ont pas connu les affres du terrorisme et des catastrophes de grande ampleur, n'ont pas ces ennuis-là. On pense à Rimouski ou des bleds comme Paris, par exemple, qui ferme les Champs-Élysées pour son marathon. Ce n'est toujours qu'un boulevard glorifié par quelques monuments et un excès d'histoire, les Champs-Élysées, pas vrai? Ou New York, tiens: quatre ponts sont fermés pour l'occasion, sans compter la 5e Avenue sur 70 rues de long et la moitié de Central Park. Facile, c'est des lignes droites partout! Mais dans une ville de l'importance de Montréal, oulala, ces choses-là sont impensables. Enfin, pas impensables, mais infaisables. Non, pas infaisables, interminables. Car Montréal, avec ses 19 arrondissements et ses 219 élus, n'est pas seulement surgouverné. Il est devenu ingérable. Tout est démultiplié, décomposé, décentralisé. La fusion a fractionné l'ancienne ville, créé des pouvoirs locaux en veux-tu en voilà, et qu'ils s'entrechoquent ou qu'ils se coordonnent, ils appesantissent la ville formidablement. Songez qu'avec leur parcours, les gens du marathon de Montréal doivent traverser cinq arrondissements. En plus de la police, des pompiers, d'Hydro-Québec, d'Urgences-santé, des CSSS, de Gaz Métro, de Transports Québec et les autres ratons laveurs inévitables et normaux dans une grande ville, en plus de ça, dis-je, il faut l'autorisation de tous les services concernés de chacun des cinq arrondissements avant d'aller faire approuver ça par le comité exécutif de la Ville de Montréal. Il faut par exemple l'approbation du Directeur des travaux publics section voirie de l'arrondissement de Ville-Marie. Ainsi que de son collègue de la circulation du même arrondissement. Plus le gars des parcs, c'est évident. Et n'oublions pas, quatrièmement, l'agent «culture, sports et loisirs et développement social». Il ne manque qu'un agent de conservation de la faune, mais ça ne saurait tarder, on en viendra là, j'ai vu un renard hier matin sur le mont Royal. Bon. Quatre personnes, toutes bien intentionnées et de bonne humeur. Ça, c'est pour l'arrondissement de Ville-Marie. Répétez ça dans cinq arrondissements. Ça fait 20. Dieu merci, la ville centre a une division qui s'occupe des événements spéciaux et qui coordonne le travail de tous ces gens bien intentionnés et de bonne humeur. «Le problème, ce n'est pas le monde, c'est que quand j'envoie mes documents à 20 personnes, pour avoir une réponse rapide, il y en a la moitié qui est en vacances, ou absente, ou occupée, et on n'est pas capables de faire les choses dans les délais», me dit Mario Blain, qui s'occupe des tracés du marathon depuis les tout débuts. Alors, ça traîne. «J'ai bon espoir qu'on puisse le faire pour 2012», me dit-il, optimiste. Les marathons sont devenus une source de tourisme très recherchée par les villes. Toronto en a deux, on pourrait presque dire trois avec celui de Mississauga. Ottawa remplit tous ses hôtels pendant une fin de semaine à la fin mai avec le sien. Montréal, en 2009, a attiré 838 coureurs américains, 820 coureurs canadiens hors Québec, 350 coureurs d'Europe et d'ailleurs dans le monde. En 2010, les chiffres touristiques ne sont pas disponibles, mais la participation a augmenté de plus de 25% aux différentes courses - on a compté plus de 20 000 inscriptions. Ces gens-là viennent accompagnés. Ils en profitent généralement pour fêter un peu après. Partout en Amérique du Nord, la participation augmente. Mais les marathons sont en concurrence les uns avec les autres et celui de Montréal est réputé assez difficile et un peu moche visuellement. On veut qu'il soit beau et rapide. L'entraîneur Jean-Yves Cloutier a dessiné un trajet qui partirait d'Édouard-Montpetit, devant l'Université de Montréal, et qui se promènerait dans de jolies rues pour finir dans le Vieux-Port. L'organisme fédéral refuse, parce que les activités sportives ne font plus partie du «branding» de l'endroit (le Piknic Électronik oui, par contre, en tant qu'art de la scène, m'a-t-on expliqué, c'est très subtil, le branding). Qu'importe, on pourrait finir rue de la Commune. De toute manière, ceci n'est pas une chronique sur le marathon. C'est une chronique sur le degré d'embourbement organisationnel de cette ville. «Pour les premiers marathons (il y a 30 ans), m'explique M. Blain, il y avait un homme au bureau du maire Drapeau, Paul-Émile Sauvageau, qui embarquait tous les directeurs dans un autobus pour aller voir le parcours. On n'avait pas besoin de répéter ça cinq fois, les décisions se prenaient.» Le pire, c'est que Gérald Tremblay, marathonien, est sympathique au marathon. Il est sympathique avec tout le monde, remarquez, ce n'est pas ça son problème. Mais enfin, le fait est qu'il a dit aux organisateurs qu'il les soutenait. Et là? Ben là, il y a 19 arrondissements, il y a 219 élus, il y a plein de ratons laveurs et un renard, puis au milieu, Gérald Tremblay qui est très, très sympathique, mais qui bien sûr ne fait rien arriver. Fait qu'on s'en reparle l'an prochain. Ou l'autre d'après. Source: http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/yves-boisvert/201101/10/01-4358539-une-ville-ingouvernable-surgouvernee.php
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Traverse de moutons au centre-ville de Montréal
un sujet a posté MtlMan dans Divertissement, Bouffe et Culture
ROADSWORTH: j'adore ce que fait ce type! http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2010/09/20100929-132432.html- 2 réponses
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(P.S. ce n'est pas une nouvelle série, elle à été à la tv de 2002 à 2008). J'ai découvert cette série télévisée il y a quelques semaines et j'y suis accroc. Elle se passe à Baltimore, et s'étend sur 5 saisons (60 épisodes d'une heure). C'est une série fiction qui peut facilement être faite à Montréal.... c'est pourquoi elle m'intéresse beaucoup, pas seulement par l'écriture excellent de ses textes, mais de son réalisme déconcertant. Tiré de Wikipedia ( lire: http://fr.wikipedia.org/wiki/Sur_%C3%A9coute)
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Cinq idées à importer de Vancouver pour stimuler Montréal
un sujet a posté CFurtado dans L'actualité
En se rendant à Vancouver pendant les Jeux olympiques, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, avait indiqué qu’il allait en profiter pour s’informer des initiatives vancouvéroises qui marchent en matière de transport en commun, d’urbanisme et de fiscalité. En voici cinq qui mériteraient d’être étudiées d’après notre journaliste, Mathias Marchal, qui revient de Vancouver. -------------------------------------------------------------------------------- 1. Trolleybus avec porte-vélos: Vive le cocktail transports! -------------------------------------------------------------------------------- À Vancouver, 15 % du réseau est électrifié. Si le système de fils qui alimente les 240 autobus est coûteux et pas forcément esthétique, il permet de réaliser des économies d’énergie et évite 20 000 ton-nes d’émissions de gaz à effet de serre par an. Pour les cyclistes, deux porte-vélos sont installés à l’avant sur la totalité de la flotte d’autobus. Pourquoi? «Ça convainc les usagers qui habitent loin d’une ligne d’autobus de choisir ce moyen de transport, car ils gagnent ainsi du temps», précise Drew Snider, porte-parole de Translink, la STM de Vancouver. Problème avec les phares À Montréal, on n’a pas retenté l’expérience depuis que la Société de l’assurance automobile du Québec a signalé qu’une telle installation réduisait l’efficacité des phares. «On a éprouvé ce problème à Vancou*ver, mais il a été rapidement corrigé avec les fabricants», indique M. Snider. Quant aux trolleybus, on pourrait les voir, en site protégé, sur la fameuse ligne Pie-IX qui doit voir le jour d’ici 2014, indique la STM. «On envisagera cette possibilité au cours des travaux, mais il y a de fortes chances que la ligne soit parcourue au début par des autobus au diesel», précise Isabelle Tremblay, porte-parole de la STM. Read more:http://www.journalmetro.com/linfo/article/496516--cinq-idees-a-importer-de-vancouver-pour-stimuler-montreal -
Jean-François Ducharme Actualités - Publié le 8 janvier 2010 à 09:00 BROSSARD. 54 nouvelles résidences unifamiliales de type manoir seront construites au projet «Domaines de la Rive-Sud», dans le secteur L, à Brossard. Le conseil municipal a approuvé la plus récente phase de développement de ce projet réalisé par le Groupe Frank Catania, lors de l’assemblée du 21 décembre. Les 54 résidences seront construites sur des terrains d’une superficie minimale de 1200 mètres carrés, soit 12 916 pieds carrés. Elles seront construites sur cinq rues, soit les rues Louvier, Lugano et trois rues à être nommées plus tard. Le montant total de ces travaux coûtera à la Ville environ 1,8 M$. Les travaux débuteront en février 2010 et devraient se terminer en 2012. Cette phase constitue l’avant-dernière étape du projet Domaines de la Rive-Sud. La dernière phase complétera la dernière rue du projet.