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  1. http://journalmetro.com/actualites/montreal/803754/du-pain-a-domicile-livre-a-cheval/ 05/07/2015 Mise à jour : 5 juillet 2015 | 22:28 Du pain livré à domicile… à cheval Par Mathias Marchal Métro Mathias Marchal/Métro L’initiative de la Run de pain dans le Sud-Ouest vise entre autres à promouvoir la réhabilitation du cheval en milieu urbain. L’arrondissement du Sud-Ouest offre (avec succès) la livraison du pain à cheval, histoire de souligner les 350 ans du cheval canadien. L’initiative du musée La Maison Saint-Gabriel sera répétée tous les samedi matin de l’été dans le quartier Pointe-Saint-Charles. Aux trois quarts de la première Run de pain, les deux tiers des 150 miches s’étaient envolées comme des petits pains. «Il y a encore 150 ans, on trouvait une petite écurie dans chaque ruelle de Montréal. Le cheval servait à tout: à livrer la glace, car il n’y avait pas encore de frigidaire, au livreur de lait, à l’aiguiseur de couteaux, pour l’agriculture et même le déneigement», explique Josée Lapointe, cochère et propriétaire des Écuries de Montréal. «Dans les grandes villes comme New York, Londres et Paris, où le ramassage du crottin n’était pas immédiat, les enfants pouvaient se faire quelques sous en balayant le chemin devant les dames souhaitant traverser la rue sans salir leur robe», renchérit Éric Michaud, animateur historique et boulanger estival. Le cheval besogneux a graduellement disparu avec l’arrivée de l’automobile, et la «run de pain» est devenue une relique à partir des années 1950. En France toutefois, 400 municipalités ont déjà entamé le retour du cheval en ville, que ce soit pour ramasser les poubelles ou pour remplacer les véhicules des employés municipaux dans les parcs. Au Mont-Saint-Michel, une des navettes qui relient les stationnements du site principal carbure au foin et aux carottes. Dans l’ouvrage Le cheval au service de la ville (Éditions Écosociété), un fonctionnaire de la ville de Trouville, Olivier Linot, raconte l’expérience menée depuis 14 ans par cette petite ville française, qui compte désormais cinq chevaux, afin de démystifier son côté folklorique. Depuis l’introduction du cheval en ville, la collecte du recyclage s’est multipliée, les cols bleus sentent leur travail valorisé, sans parler des bénéfices financiers et écologiques, explique-t-il. «Une maman m’a dit que la seule possibilité pour que son fils aille se coucher le soir, c’était de le menacer de le conduire à l’école en auto le lendemain [plutôt qu’en carriole]», illustre M. Linot. Mais Montréal hésite encore. Si le conseiller municipal rêve d’une grande écurie municipale à saveur éducative, qui viendrait aussi fournir les cols bleus en chevaux pour les épauler dans leurs travaux dans les grands parcs, il fait presque cavalier seul. «C’est vrai que ce serait intéressant, mais quand on y regarde de près, c’est plutôt complexe à concrétiser», indique Benoit Dorais, maire de l’arrondissement du Sud-Ouest. 62 000 Pour sauver le paddock du Horse Palace, une fondation a été mise en place. La campagne de sociofinancement qui a été lancée s’était fixé 45 000$ comme objectif. Ce sont finalement 62 000$ qui ont été récoltés. Ce dernier souligne néanmoins que la ville a contribué en 2013 au projet de sauvegarde du Horse Palace, l’une des trois écuries montréalaises, cerné par les nouveaux condos en construction. «On a racheté le terrain adjacent pour le zoner parc. Maintenant, quand on se promène sur la rue Ottawa, on voit d’ailleurs toujours au moins deux ou trois propriétaires de condos qui regardent de leur balcon les chevaux s’ébrouer», ajoute le maire de l’arrondissement. «Le cheval est à Montréal pour y rester», conclut-il.
  2. Attractions hippiques projetterait de ne garder que l'hippodrome de Trois-Rivières et sa quinzaine d'hippo clubs, où des courses disputées à l'extérieur du Québec sont présentées sur écrans géants. Pour en lire plus...
  3. trouvé sur Cyberpresse.ca http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200901/13/01-817367-un-nouvel-hippodrome-a-montreal.php Publié le 14 janvier 2009 Un nouvel hippodrome à Montréal? La Ville de Montréal souhaite développer les terrains de l'actuel hippodrome, situé près des autoroutes Décarie et Métropolitaine. Il n'y a presque plus d'activités hippiques dans l'ancien hippodrome, mieux connu sous le nom de Blue Bonnets. André Noël La Presse Un nouveau projet se dessine à Montréal: vendre les vastes terrains de l'hippodrome et, avec les profits de la vente, aménager une piste de chevaux de course sur les terrains contaminés et peu constructibles que la Ville possède sur les rives du fleuve, entre les ponts Victoria et Champlain. Le projet est porté par Marcel Lacaille, principal propriétaire de chevaux de course au Québec, et soutenu par Serge Savard, ancien joueur étoile du Canadien et vice-président d'une société immobilière. Une partie importante du milieu des courses y est favorable. M. Lacaille, membre actif de la Société des propriétaires et éleveurs de chevaux Standardbred, a fait valoir son projet à Claude Dauphin, président du comité exécutif de la Ville, lors d'une rencontre, cet automne. Il en a parlé aussi au sous-ministre des Finances, Jean Houde. «M. Lacaille a dit que les courses pourraient se tenir pendant la saison estivale, a indiqué Bernard Larin, porte-parole du comité exécutif, au cours d'un entretien, hier. Il s'agit des terrains de l'ancien Adacport. M. Dauphin a posé des questions. La Ville n'est pas fermée à l'idée. On aimerait voir le projet dans son ensemble.» La Ville de Montréal souhaite développer les terrains de l'actuel hippodrome, situé près des autoroutes Décarie et Métropolitaine, a souligné M. Larin. L'accès en sera amélioré par le prolongement du boulevard Cavendish. Il n'y a presque plus d'activités hippiques dans l'ancien hippodrome, mieux connu sous le nom de Blue Bonnets. En 2006, le gouvernement a privatisé les courses de chevaux au profit de la compagnie Attractions Hippiques, du sénateur Paul Massicotte. Le printemps dernier, cette société s'est placée sous la protection de la loi sur les arrangements avec les créanciers. Aucune course ne s'est déroulée à l'hippodrome de Montréal cet été et quelques-unes seulement ont eu lieu pendant l'automne. Aucune autre n'est prévue avant mai prochain. Marcel Lacaille, propriétaire de la ferme Canaco à Saint-Bernard-de-Lacolle, ne croit pas qu'Attractions Hippiques puisse sauver l'industrie des chevaux de course. Selon une évaluation, le terrain de Blue Bonnets, qui appartient au gouvernement du Québec, pourrait être vendu pour 80 millions, dit-il. Une partie de ce profit pourrait servir à l'aménagement d'un nouvel hippodrome sur les terrains de l'ancien Adacport. «Il suffirait de 50 millions pour aménager une piste de 7/8e de mille, des gradins pouvant recevoir de 8000 à 10 000 spectateurs et un club-house, assure-t-il. Une partie de l'espace pourrait être loué à Loto-Québec. Il n'y aurait pas d'écuries sur place. Mais ça assurerait du travail à bien des gens. L'hippodrome serait dirigé par un Jockey Club.» M. Savard, lui-même propriétaire de quelques chevaux, a confirmé qu'il voulait donner un coup de pouce pour relancer les courses hippiques à Montréal. «Dans les années 70, j'avais plusieurs chevaux, dit-il. Les courses, c'était le fun. Le samedi matin, on allait faire jogger les chevaux avec les enfants. Il faut que le fun revienne à Montréal. Et en cette période économique difficile, ça peut assurer de l'emploi. Mais il faut d'abord régler le litige avec Attractions Hippiques.» «Le gouvernement est toujours lié par contrat à Attractions Hippiques, a souligné Jacques Delorme, porte-parole du ministère des Finances, qui a refusé de commenter la rencontre entre M. Lacaille et le sous-ministre Jean Houde. La destinée des courses se trouve entre les mains du syndic, a ajouté M. Delorme. C'est lui qui va formuler des recommandations. Le ministère les attend. Quand il les aura, il pourra les étudier. D'ici là, aucune décision ne sera prise.» Je crois que ce serait une excellente idée. Le Blue Bonnets est prèsque inutilisé depuis plusieurs années. Au lieu de laisser ces terrains IMMENSES et qui pourraient être développer autrement, pourquoi ne pas prendre cette opportunité pour redevelopper une partie du "technoparc" le long de l'autoroute Bonaventure (des terrains fortement contaminés qui ne se développeront vraisemblablement pas)? You'd kill 2 birds with one stone. Et comme mentionne M Savard, pourquoi ne pas ramener un peu de "fun" à Montréal.
  4. De nombreux hommes de chevaux de la province craignent que l'arrêt temporaire des courses durant la période hivernale ne sonne le glas de cette industrie au Québec. Pour en lire plus...
  5. L'Association Trot et Amble du Québec souhaite mettre un terme à ses liens d'affaires avec l'entreprise Attractions hippiques, qui possède les quatre hippodromes de la province. Pour en lire plus...
  6. MI Developments procédera à l'essaimage de sa filiale de courses de chevaux, Magna Entertainment à ses actionnaires, tandis que l'homme d'affaires Frank Stronach en prendre le plein contrôle. Pour en lire plus...
  7. Sans l'aide du gouvernement, l'industrie des chevaux de course au Québec mourra d'ici peu, estime le président d'Attractions hippiques, Paul Massicotte. Pour en lire plus...
  8. L'opérateur de courses de chevaux Magna Entertainment a affiché mercredi une perte nette de 21,3 millions $ US pour son deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  9. Le Journal de Montréal 21/06/2007 Les cochers du Vieux-Montréal ne pourront plus sortir les chevaux ou devront les rentrer à l'écurie dès que la température atteindra 30 degrés Celsius. «C'est l'affaire la plus stupide que j'ai entendue! «Ça fait 33 ans que je fais ce métier dans le Vieux-Montréal et je sais que les chevaux sont capables de supporter cette chaleur», commente André Saint-Amand, propriétaire de calèche. Cette norme apparaît dans un nouveau règlement de Montréal qui vise à resserrer la discipline dans ce milieu. Mais pour le conseiller municipal Alan DeSousa, responsable de ce dossier, la nouvelle norme est nécessaire puisque la température officielle retenue est celle de Dorval et qu'il y a un écart avec le centre-ville. Que reste-t-il? M. Saint-Amand estime néanmoins que le nouveau règlement complique la vie des cochers. «Il en coûte 5000 $ par année pour l'entretien d'un cheval et la plus belle saison ne dure que deux mois et demi. «Si vous enlevez tous les jours de pluie, alors qu'il est impossible de travailler à cause de l'absence de clientèle, on peut bien se demander pourquoi la Ville de Montréal veut réduire le nombre de jours de travail en imposant le 30° Celsius. Que nous reste-t-il?» demande le cocher. Dans l'ancien règlement, la température critique était fixée à 32 Celsius. Alan DeSousa estime que le nouveau règlement vise la sécurité des clients et aussi le traitement qu'il faut accorder aux chevaux. 31 permis Il confirme que la Ville a racheté cette semaine trois autres permis du même propriétaire, réduisant ainsi à 31 le nombre de cochers pour les touristes. Chaque permis a été racheté au coût de 27 500 $. La Ville est la seule à pouvoir racheter ces permis «parce que nous voulons réduire le nombre à 20», précise le conseiller municipal et maire de Saint-Laurent. M. DeSousa croit que les décisions de son administration feront en sorte que cette activité commerciale sera de plus en plus rentable pour les cochers.
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