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  1. Rachat de permis de calèches: un ménage d'un demi-million Rachat de permis de calèches: un ménage d\'un demi-million Depuis deux ans, le nombre de permis d'exploitation de calèches est passé de 47 à 27. Photo: David Boily, La Presse Martin Croteau La Presse La réduction du nombre de calèches dans le Vieux-Montréal a coûté un demi-million aux contribuables de la Ville, et la facture augmentera. La Ville a payé en moyenne 25 000$ pour racheter des permis qu'elle avait accordés gratuitement aux exploitants. Et elle veut en racheter d'autres. L'administration Tremblay et l'arrondissement de Ville-Marie ont commencé à serrer la bride aux cochers il y a deux ans. Résidants et commerçants s'étaient plaints du fait que des calèches étaient laissées à l'abandon par leurs propriétaires. Des automobilistes ont dénoncé la conduite erratique de certains cochers dans les rues du quartier touristique. Et plusieurs de ces petits entrepreneurs étaient acculés à la faillite.«Ils n'étaient pas rentables, explique le responsable du dossier au comité exécutif, Alan DeSousa. Il y avait trop de permis pour une clientèle limitée.» La Ville a donc adopté une série de règles pour encadrer l'exploitation des calèches et a commencé à racheter des permis d'exploitation afin d'en réduire le nombre. Depuis deux ans, leur nombre est ainsi passé de 47 à 27. «Les cochers qui restent pourront faire plus d'argent, explique M. DeSousa. Avec cet argent, ils pourront investir pour s'assurer que leur calèche est bien entretenue.» Le rachat des permis, qui avaient été délivrés gratuitement à leurs titulaires, a coûté jusqu'ici 490 000$, une moyenne de 24 500$ par permis. Plus cher Si elle s'en tient à son plan initial, la Ville rachètera encore sept permis pour ne conserver que 20 calèches dans les rues du Vieux-Montréal. Cela veut dire que la facture pourrait grimper encore, d'autant plus que les derniers permis à éliminer coûteront plus cher. «Il y a moins de permis sur le marché, donc les gens demandent plus pour se retirer», dit Alan DeSousa. La Ville a d'ailleurs refusé d'en racheter parce que leur propriétaire demandait trop cher. Les autorités espèrent compenser le rachat des permis en augmentant les frais pour ceux qui conservent le leur. Les exploitants doivent maintenant payer 120$ par année pour leur permis, et 450$ pour chaque calèche qu'ils exploitent. En multipliant ces sommes par 27 (le nombre de permis encore en vigueur), on obtient près de 15 500$, presque 10 000$ de moins que le prix de rachat d'un permis. La politique municipale ne fait pas l'affaire de certains cochers rencontrés hier. Denis Murray, par exemple, estime qu'il n'y a maintenant plus assez de calèches pour répondre à la demande. Des touristes attendent parfois longtemps avant de trouver une place. «La bonne solution aurait été de permettre à ceux qui étaient mal pris de vendre leur permis à ceux qui ont du succès et qui veulent continuer», renchérit un propriétaire de calèche, qui a demandé à rester anonyme. À la place, ils ont satisfait les braillards qui ne faisaient pas d'argent mais qui ne faisaient peut-être pas les bonnes choses non plus.»
  2. http://journalmetro.com/actualites/montreal/803754/du-pain-a-domicile-livre-a-cheval/ 05/07/2015 Mise à jour : 5 juillet 2015 | 22:28 Du pain livré à domicile… à cheval Par Mathias Marchal Métro Mathias Marchal/Métro L’initiative de la Run de pain dans le Sud-Ouest vise entre autres à promouvoir la réhabilitation du cheval en milieu urbain. L’arrondissement du Sud-Ouest offre (avec succès) la livraison du pain à cheval, histoire de souligner les 350 ans du cheval canadien. L’initiative du musée La Maison Saint-Gabriel sera répétée tous les samedi matin de l’été dans le quartier Pointe-Saint-Charles. Aux trois quarts de la première Run de pain, les deux tiers des 150 miches s’étaient envolées comme des petits pains. «Il y a encore 150 ans, on trouvait une petite écurie dans chaque ruelle de Montréal. Le cheval servait à tout: à livrer la glace, car il n’y avait pas encore de frigidaire, au livreur de lait, à l’aiguiseur de couteaux, pour l’agriculture et même le déneigement», explique Josée Lapointe, cochère et propriétaire des Écuries de Montréal. «Dans les grandes villes comme New York, Londres et Paris, où le ramassage du crottin n’était pas immédiat, les enfants pouvaient se faire quelques sous en balayant le chemin devant les dames souhaitant traverser la rue sans salir leur robe», renchérit Éric Michaud, animateur historique et boulanger estival. Le cheval besogneux a graduellement disparu avec l’arrivée de l’automobile, et la «run de pain» est devenue une relique à partir des années 1950. En France toutefois, 400 municipalités ont déjà entamé le retour du cheval en ville, que ce soit pour ramasser les poubelles ou pour remplacer les véhicules des employés municipaux dans les parcs. Au Mont-Saint-Michel, une des navettes qui relient les stationnements du site principal carbure au foin et aux carottes. Dans l’ouvrage Le cheval au service de la ville (Éditions Écosociété), un fonctionnaire de la ville de Trouville, Olivier Linot, raconte l’expérience menée depuis 14 ans par cette petite ville française, qui compte désormais cinq chevaux, afin de démystifier son côté folklorique. Depuis l’introduction du cheval en ville, la collecte du recyclage s’est multipliée, les cols bleus sentent leur travail valorisé, sans parler des bénéfices financiers et écologiques, explique-t-il. «Une maman m’a dit que la seule possibilité pour que son fils aille se coucher le soir, c’était de le menacer de le conduire à l’école en auto le lendemain [plutôt qu’en carriole]», illustre M. Linot. Mais Montréal hésite encore. Si le conseiller municipal rêve d’une grande écurie municipale à saveur éducative, qui viendrait aussi fournir les cols bleus en chevaux pour les épauler dans leurs travaux dans les grands parcs, il fait presque cavalier seul. «C’est vrai que ce serait intéressant, mais quand on y regarde de près, c’est plutôt complexe à concrétiser», indique Benoit Dorais, maire de l’arrondissement du Sud-Ouest. 62 000 Pour sauver le paddock du Horse Palace, une fondation a été mise en place. La campagne de sociofinancement qui a été lancée s’était fixé 45 000$ comme objectif. Ce sont finalement 62 000$ qui ont été récoltés. Ce dernier souligne néanmoins que la ville a contribué en 2013 au projet de sauvegarde du Horse Palace, l’une des trois écuries montréalaises, cerné par les nouveaux condos en construction. «On a racheté le terrain adjacent pour le zoner parc. Maintenant, quand on se promène sur la rue Ottawa, on voit d’ailleurs toujours au moins deux ou trois propriétaires de condos qui regardent de leur balcon les chevaux s’ébrouer», ajoute le maire de l’arrondissement. «Le cheval est à Montréal pour y rester», conclut-il.
  3. Remède de cheval pour la compagnie aérienne américaine: elle offre des primes de départ à plus de la moitié de ses employés. Pour en lire plus...
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