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  1. Le gouvernement fédéral vient à la rescousse du chantier maritime situé à Lévis avec des prêts et des garanties de prêt totalisant 380 M$ afin de permettre à l'entreprise de poursuivre la construction de cinq navires. Pour en lire plus...
  2. Cette affiche plantée en bordure du boulevard Curé-Labelle annonce un premier projet de 46 condos, qui s’érigera dans l’aire de stationnement située à l’ouest de la Récréathèque. (Photo: Alarie Photos) Publié le 6 Février 2012 Stéphane St-Amour Courrier Laval - Économie Les jours de la Récréathèque au 900, Curé-Labelle sont comptés. Cette institution lavalloise, vieille de près de 45 ans, reconnue comme le plus grand centre d'amusement familial intérieur au Québec, fera bientôt place à un vaste ensemble immobilier. Un premier projet Bien que la mise en chantier d’un premier projet de 46 unités de condominium soit prévue dès ce printemps, la Récréathèque, qui accueille bon an, mal an 400 000 visiteurs chaque année, demeurera ouverte jusqu’au 1er juillet 2012. Même que le populaire établissement abritera dans les prochaines semaines le condo-modèle et le bureau des ventes du projet Les Jardins AVA, dont les quatre immeubles de trois étages qui le composent s’élèveront sur le terrain de stationnement situé à l’ouest de la Récréathèque, plus précisément entre les rues Jarry et Hennessy. La superficie des unités oscillera entre 950 et 1050 pieds carrés, alors que les condos s’afficheront à partir de 220 000 $, informe Gregory Gineys, chargé de projet à la Division immobilière de Aras Management. 400 autres condos Actuellement, la direction de Aras Management, qui possède la Récréathèque, regarde différents sites dans le Grand Montréal, où elle pourrait dès le 1er juillet relocaliser son centre d’amusement. Une fois le déménagement complété, le bâtiment érigé sur un terrain de 130 000 pieds carrés croulera sous le pic des démolisseurs en vue de préparer le terrain à un mégaprojet immobilier évalué à 75 M$, lequel totalisera à terme trois tours d’habitation et 400 condominiums à l’angle des boulevards Curé-Labelle et Notre-Dame, à Chomedey. Ce projet, que le promoteur immobilier est à coucher sur la table à dessin, s’inscrit parfaitement dans la foulée de la Politique de l’urbanisme durable de la Ville, favorisant la densification urbaine autour de pôles de transport en commun. Incidemment, lors du dévoilement de cette politique en mai 2011, le maire Gilles Vaillancourt réclamait de Québec cinq nouvelles stations de métro, dont une s’implanterait justement au carrefour des boulevards Curé-Labelle et Notre-Dame. Si tout va bien, le futur complexe immobilier AVA Condos pourrait voir s’aménager cet automne le condo-modèle et espérer la mise en chantier d’une première tour d’habitation de huit étages dès le printemps 2013.
  3. Le chantier de la 13 reconfiguréMise à jour le mercredi 7 mai 2008, 16 h 11 . Transport Québec annonce une modification de la configuration du chantier de construction sur l'autoroute 13 sud entre le pont Louis-Brisson et l'autoroute 40. La nouvelle configuration du chantier a pour but de soulager les importants bouchons de circulation que provoquent ces travaux aux heures de pointe à Laval et sur la ceinture nord de Montréal. À partir de lundi matin, les automobilistes qui circulent sur l'autoroute 13 vers le sud disposeront d'une voie supplémentaire dans la sortie qui conduit à l'autoroute 40. L'ajout de cette voie devrait permettre aux automobilistes de quitter plus facilement et plus rapidement l'autoroute 13 selon le porte-parole de Transport Québec, Mario St-Pierre. Cette première phase des travaux entrepris sur l'autoroute 13 doit se poursuivre au moins jusqu'au mois d'août. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/05/07/007-chantier-13-configuration.shtml ---------------------------------------------------------------------- À cause d'une voie de retranchée sur la 13, c'est le bordel complet dans les rues résidentielles à Laval! C'est complètement fou ces derniers temps le traffic. La file d'auto pour rentrer sur la 13 se rend presque devant chez moi Les policiers en profitent pour coller des contraventions à la pelle parceque des gens sont tellement désespérés qu'ils empruntent le stationnement du mega centre ste-dorothée à la place de la voie de service saturée, vraiment un attrape nigaud. d'autres gens décident d'aller pour le pont lachapelle et la encore la file est énorme, plus au nord que st-martin, et la file déborde sur samson encore. Les gens essaient pleins de petites rues résidentielles pour gagner quelques secondes ici et là... des manoeuvres illégales, des virages là ou il ne faut pas, etc etc etc. Pour donner un ordre de grandeur, le temps de parcours pour aller au métro momontrency en auto double de 15 à 35 minutes pour moi. c'est fou ce que ça peut faire juste enlever une voie... et ça dans une ville faite pour l'automobile. Ça fait me rire les gens qui lancent des idées de fou sur ce forum à propos des autoroutes quand ils n'ont jamais vu de leur propres yeux l'impact d'une autoroute sur les quartiers résidentiels, ou pire quand ils n'ont jamais pris le volant:banghead:
  4. Voir la page 4 dans le document du budget pour voir la liste des projets en chantier (permis émis) en date d'août 2012. http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_VMA_FR/MEDIA/DOCUMENTS/PR%C9SENTATION_BUDGET_2013VFBR.PDF
  5. Projet presque complété dans le quartier Villeray, face au parc le Prévost, à proximité de la Plaza St-Hubert et à une distance de marche du Marché Jean-Talon. Titre: Quarry Adresse: 7221 rue de la Roche, Villeray Usage: Residentiel / 2 logements Architecte: ADHOC Architectes Promoteur: KnightsBridge Particularités: Très grands logements de 3 et 4 chambres à coucher, répondant aux besoins des familles. La certification LEED Platine est visée. Pour plus de details: Le Quarry Photos prisent sur le chantier (presque terminé) en ce 27 janvier 2017
  6. Je n'ai pas trouvé de thread pour ce projet de réno. LaPresse parle de ce projet aujourd'hui Publié le 08 mars 2014 à 09h08 | Mis à jour à 09h09 Conversion d'un monument historique en condos par Karsten Rump L'ordonnance de fermeture du chantier des Appartements Bishop Court, angle Bishop et De Maisonneuve, a pris effet à la fin février, mais elle vient tout juste d'être officiellement enregistrée au palais de justice de Montréal. PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE VINCENT LAROUCHE La Presse La Commission de la construction du Québec ordonne l'arrêt immédiat des travaux de conversion d'un monument historique de grande valeur au centre-ville de Montréal, après avoir constaté que l'ancien «roi des peep-shows» de la métropole tentait d'y aménager des logements en usant de procédés douteux. L'ordonnance de fermeture du chantier des Appartements Bishop Court, angle Bishop et De Maisonneuve, a pris effet à la fin février, mais elle vient tout juste d'être officiellement enregistrée au palais de justice de Montréal. Le bâtiment de style néo-Tudor, classé «monument historique» et «immeuble de valeur patrimoniale exceptionnelle» par le gouvernement du Québec, a été construit en 1904 par les architectes Saxe et Archibald. L'Université Concordia y a longtemps eu des bureaux, puis elle a vendu l'immeuble pour 3,2 millions de dollars en 2010. D'importantes rénovations ont été entreprises pour y aménager des logements de prestige. Après une série de mésaventures financières et de problèmes avec des entrepreneurs en construction qui disaient ne pas avoir été payés, le projet a atterri entre les mains de l'homme d'affaires Karsten Rumpf. Rumpf avait été baptisé «le Roi des peep-shows» par le magazine Affaires Plus au cours des années 1990, car il était le plus important propriétaire de cinémas XXX à Montréal et Hamilton. Aujourd'hui, son adresse correspond à une boîte postale de Nassau, aux Bahamas, et l'homme s'est recyclé dans la gestion d'un imposant parc immobilier. Son représentant à Montréal n'a pas répondu à nos appels hier. La Commission de la construction dit avoir inspecté le chantier des Appartements Bishop Court à plusieurs reprises. Ses inspecteurs étaient mal reçus et avaient du mal à pénétrer sur les lieux et y ont découvert des travailleurs sans cartes de compétence. Pire, les travaux n'étaient même pas supervisés par un entrepreneur accrédité en bonne et due forme, selon eux. «Ils ont aussi constaté des problèmes qui pouvaient porter atteinte à la sécurité à cause des installations électriques», raconte Simon-Pierre Pouliot, porte-parole de l'organisme. Le propriétaire devra maintenant convaincre la Commission qu'il a régularisé la situation avant de pouvoir reprendre les travaux.
  7. ANDRÉ DUBUC La Presse Le marché de la construction résidentielle se porte mieux que prévu après six mois en 2016. C'est particulièrement vrai dans l'île de Montréal, où le nombre de mises en chantier a doublé au deuxième trimestre 2016 par rapport à la même période l'année précédente. La statistique a été reprise par le Service de développement économique de la Ville de Montréal, qui l'a publiée dans le plus récent numéro de son bulletin hebdomadaire Montréal économique en bref. Au total, 1534 unités ont été mises en chantier dans l'île d'avril à juin 2016, comparativement à 766 à la même période en 2015, une hausse de 100,3 %. La moitié sont des copropriétés et 37 %, ou 570 unités, sont des logements locatifs. Depuis le début de l'année, les mises en chantier sont en progression de 28 % dans l'île de Montréal. De janvier à la fin de juin, 4751 logements sont sortis de terre, comparativement à 3704 au cours du premier semestre l'an dernier. Quand on regarde la région de Montréal dans son ensemble, la progression des mises en chantier s'élève à 12,5 %, 7510 mises en chantier en 2016 contre 6674 en 2015. <iframe name="fsk_frame_splitbox" id="fsk_frame_splitbox" frameborder="0" allowfullscreen="" webkitallowfullscreen="" mozallowfullscreen="" style="width: 633px; height: 0px; border-style: none; margin: 0px;"></iframe> PROGRESSION DE 9 % AU QUÉBEC Pour ce qui est de la province de Québec, la construction de logements connaît une progression de 9 % dans les centres urbains de 10 000 personnes et plus depuis le début de l'année. On y dénombre 14 441 mises en chantier au premier semestre 2016 par rapport à 13 198 au cours des 6 premiers mois de 2015. La plupart des économistes des organismes du domaine de l'habitation prévoyaient en début d'année une stabilisation, voire une légère baisse du nombre de mises en chantier au Québec en 2016 par rapport aux quelque 38 000 mises en chantier enregistrées en 2015. Ils n'ont pas revu leur prévision depuis. EN CHIFFRES Mises en chantier au premier semestre 2016 Nombre var. par rapport à 2015 Île de Montréal 4751 + 28 % Région de Montréal 7510 + 12,5 % Province de Québec 14 441 + 9 % (Centres urbains de 10 000 personnes et plus) Source : SCHL http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201607/28/01-5005174-montreal-forte-hausse-du-nombre-de-mises-en-chantier.php
  8. LE NEZ COLLÉ SUR LES CHANTIERS… Édition du 5 juin 2016, FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE On a le nez collé sur les grilles de chantier depuis, quoi ? Le tournant du millénaire ? Ça fait une quinzaine d’années qu’on se plaint du barda et du bordel, qu’on se désole des cônes et du trafic, qu’on peste contre les détours et la poussière. Il y a tellement de chantiers à Montréal qu’à la seconde où l’un disparaît, on en trouve 10 autres contre lesquels se plaindre, se désoler, pester… Du coup, on ne voit que ça. Et on perd de vue une chose toute bête : chaque chantier est un projet en devenir. Fou de même ! Chaque chantier qui nous a dérangés depuis 2000 est devenu une construction, un édifice, un gratte-ciel, un équipement sportif, une bibliothèque, une infrastructure nouvelle, un aménagement urbain, une piste cyclable… On se croit encore à l’ère de l’immobilisme, alors que la cadence des chantiers nous prouve très exactement le contraire. Comme si on voyait le verre au tiers vide plutôt qu’aux deux tiers plein. On voit les pancartes « À louer », mais pas les artères qui ont réussi à s’adapter à la nouvelle réalité. Comme si Masson, Beaubien et Fleury étaient dans notre angle mort. On se désole du taux de chômage, sans voir l’attrait qu’a retrouvé la métropole auprès des jeunes, des familles et des travailleurs de la nouvelle économie. Comme si le Mile End, Griffintown et le Quartier des spectacles n’existaient pas. On remarque tous les détours, mais pas l’incroyable dynamisme qui se cache derrière : le CHUM, Bonaventure, Turcot, Champlain. Comme si on tenait pour acquis ce qui se fait… dès que ça se fait. Prenez l’exemple des gratte-ciel. Pendant 22 longues années, aucune tour ne s’est construite au centre-ville. Aucune. Zéro. Nada. On a érigé la magnifique Tour IBM Marathon en 1992, puis… plus rien jusqu’en 2014 ! Or, avez-vous entendu beaucoup de monde se féliciter de cette renaissance du centre-ville, devenu l’un des plus habités du continent ? Pas moi. Mais des critiques contre les chantiers, par contre… *** Vous me trouvez jovialiste ? Je m’en doutais. Je suis donc retourné lire les textes que j’ai signés il y a un peu plus de 15 ans, quand j’étais journaliste municipal, pour voir si, comme de fait, le Montréal d’aujourd’hui est bien mieux que le Montréal d’alors. Pas sorcier, j’ai eu l’impression de lire un journal vieux de 100 ans ! Rappelez-vous cette époque où le 11 septembre était une date comme une autre. Les Expos perdaient au Stade. L’énigmatique Pierre Bourque était maire. La démocratie municipale était une abstraction. Et les fusions municipales étaient l’unique projet d’avenir… Montréal, on l’oublie, était alors un champ de ruines. J’exagère à peine. Le centre-ville avait l’air bombardé, et pas à cause des nids-de-poule, parce qu’il y avait un nombre incroyable de terrains vagues et de stationnements sauvages. Il y avait tellement d’espaces vides, en fait, qu’on pensait construire sans problème un stade de baseball en plein quartier des affaires ! À côté, on espérait le Quartier international sans même s’imaginer qu’une aussi belle réussite était possible. L’idée d’un Quartier des spectacles n’existait pas, une poignée de fous se contentait de rêver à un « Quartier des théâtres ». Juste au nord, telle une forteresse de béton, l’horrible échangeur routier au coin des avenues du Parc et des Pins bloquait la vue et l’accès au mont Royal, qui n’était d’ailleurs toujours pas protégé. Au contraire, même… Pas de Grande Bibliothèque pour rapiécer le Quartier latin, à l’est. Pas d’agrandissement du Palais des congrès, ni de recouvrement d’autoroute. Et pas de CHUM non plus, qu’on prévoyait plutôt construire en plein quartier résidentiel, dans la Petite-Patrie. Oui, oui. Au sud du centre-ville, guère mieux… Le Vieux-Montréal était à ce point abandonné que le gouvernement avait mis sur pied un programme généreux en subventions pour attirer des hôtels. À un jet de pierre, le Vieux-Port se cherchait. Il n’y avait pas encore de Centre des sciences. Pas de condos dans les entrepôts frigorifiques. Pas de véritable vision, en fait, sinon celle de permettre aux promoteurs de faire n’importe quoi, n’importe où. Un aquarium Ripley’s ? Une maison de l’OSM sur le quai Bickerdike ? Un « technodôme » à la Disney World ? Ou, tant qu’à y être, le siège social de l’ONU ? Autant d’idées qui ont été détaillées et même présentées. Oui, oui… Vers l’ouest, la Cité du multimédia venait tout juste d’être annoncée. Pas aménagée, juste annoncée, comme un autre de ces projets auxquels on ne croit pas tant qu’on ne le voit pas. On réfléchissait à une cité du commerce électronique un peu plus loin. On envisageait d’aménager des cinémas dans l’ancien Forum vide. Et le quartier Griffintown ? Aussi inconnu que son nom. Oui, oui. *** Pour apprécier le chemin parcouru, c’est bien connu, il faut se rappeler d’où on part. D’une ville morose, donc, où le problème était justement l’absence de chantiers. Bien sûr, tout ne s’est pas métamorphosé comme par magie. On n’a pas réussi à tout faire ce qu’on aurait dû faire. Et bien des projets ont été abandonnés (la « modernisation » de la rue Notre-Dame Est), balayés (le prolongement de la ligne jaune, des deux côtés) ou se sont enrayés (le rond-point Dorval, dont on parlait déjà en 2000). N’empêche que Montréal est aujourd’hui une ville autrement plus dynamique que la métropole qu’elle était, malgré son incapacité à améliorer la mobilité. C’est une ville que je préfère nettement à sa version d’il y a 15 ans, malgré ses cônes orange. C’est un milieu de vie infiniment plus grouillant qu’au tournant du millénaire, malgré ses défauts, ses laideurs et ses errements. On peut bien rouspéter en empruntant tous ces détours continuellement, mais prenons quelques minutes lorsque nous sommes coincés dans le trafic pour rêver à ce qui s’en vient. Cet échangeur Turcot qui s’annonce plus fluide et ancré dans les quartiers qu’il traverse. Ce CHUM noir autrement plus réussi que son pendant anglophone. Cette autoroute Bonaventure qui disparaîtra au profit d’une majestueuse entrée de ville. Et ce futur pont Champlain, avec ses haubans élancés, à la fois sobre et élégant. Donc oui, quand on se regarde, quand on s’attarde à tout ce qui va tout croche aujourd’hui, on se désole. Mais quand on se compare, quand on regarde le chemin parcouru et celui qui s’en vient, on se console. À condition, bien sûr, de se décoller le nez des grilles de chantier. http://plus.lapresse.ca/screens/df6be48e-9f7e-48a7-b08b-6487909e4368%7C_0.html
  9. Lampadaire Wi-Fi dans Saint-Laurent Par Marc-André Carignan http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/710917/lampadaire-wi-fi-dans-saint-laurent/ L‘écocampus ne comprendra que des bâtiments dits «novateurs» en matière d’écoconstruction.Arrondissement de Saint-Laurent Plus le temps passe, plus j’avoue être agréablement surpris par l’arrondissement de Saint-Laurent, qui ne manque visiblement pas d’ambition pour l’aménagement de son territoire. Il faut dire que le maire, Alan DeSousa, prend ce dossier à cœur depuis plusieurs années, et se fait une grande fierté d’exiger des constructions de plus en plus écologiques et audacieuses dans son secteur. Bien des gens l’ignorent, mais on retrouve dans Saint-Laurent une des plus fortes concentrations d’immeubles certifiés LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) en Amérique du Nord. Cette certification est d’ailleurs devenue une exigence de l’arrondissement pour de nombreux développements immobiliers, autant résidentiels qu’industriels. Le maire se présente également comme un fier ambassadeur des concours de design à Mont*réal et tient mordicus à promouvoir la qualité architecturale à travers ses bâtiments municipaux. On n’a qu’à penser à la Bibliothèque du Boisé, qui est certainement une des plus belles bibliothèques contemporaines au Québec. Le prochain défi de l’arrondissement? Amorcer d’ici la fin de l’année le chantier d’un technoparc intelligent de 72 000m2 (l’équivalent de 12 terrains de football), en symbiose avec un boisé et un marais situés au nord de l’Aéroport Montréal-Trudeau. Cet «écocampus», dont les investissements sont évalués à 175M$, ne comprendra que des bâtiments dits «novateurs» en matière d’écoconstruction, en plus de réserver une place centrale au transport actif. Des sentiers permettront aux travailleurs de jouir d’un accès privilégié à la biodiversité du site, alors qu’une place publique au cœur du projet favorisera l’interaction entre les entreprises. Une salle de réunion extérieure, avec un mobilier sur lequel il sera possible de connecter ses appareils électroniques, se trouve aussi dans les plans. Mais attention, ne s’y établira pas qui veut. «On souhaite sélectionner les entreprises pour qu’elles soient en symbiose avec le milieu naturel, me précisait récemment la directrice de l’arrondissement, Véronique Doucet. Elles devront respecter notre philosophie écologique dans leurs activités quotidiennes.» Ce quartier deviendra également un banc d’essai pour diverses technologies liées au concept de «ville intelligente»: lampadaires à intensité variable en fonction des passants, senseurs pour la qualité de l’air et le bruit, signalisation électronique en bordure de la rue… La liste est longue. Des trottoirs chauffants pourraient également voir le jour. «Il y a beaucoup de choses qu’on va tester et qui risquent d’être reprises ailleurs sur le territoire si ça répond bien à nos attentes», poursuit Mme Doucet. À terme, l’écocampus devrait générer quelques milliers d’emplois. Les appels d’offres pour ce chantier seront lancés dès ce printemps.
  10. Avec tout les chantiers présents et ceux passé des dernières année, j'ai pensé que l'on pourrait reprendre de vieilles photos et d'essayer de s'amuser un peu en identifiant quel bâtiment est en construction. Règlement: Photo de bâtiment en construction dans la région de Montréal seulement ( y compris Laval et la Rive-Sud) Bâtiment de plus de 3 étages ( pas de duplex Samcon sur le plateau par exemple) ou infrastructure d'importance . Le bâtiment peut être en construction présentement ou complété. Le premier qui identifie le projet re-poste une photo. Image 1:
  11. Il n'y avait pas de fil pour la transformation du 410 Sherbrooke Ouest en résidences de McGill? Bref, il y avait un rendu sur le chantier aujourd'hui.
  12. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/savoir-immobilier/201203/31/01-4511354-les-quartiers-a-surveiller-region-de-montreal.php Martine Letarte, collaboration spéciale LA PRESSE Région métropolitaine de Montréal Secteurs qui connaissent la plus forte croissance des ventes résidentielles (au moins 50 transactions) - 2011 1- Montréal-Ouest (île de Montréal) 31% 2- Les Coteaux (Vaudreuil-Soulanges) 29% 3- Saint-Zotique (Vaudreuil-Soulanges) 24% 4- Laval-des-Rapides (Laval) 19% 5- Mirabel (Rive-Nord) ex aequo Lorraine (Rive-Nord) 14% 6- Dorval (île de Montréal) 13% 7- Beaconsfield (île de Montréal) 12% 8- Sainte-Anne-des-Plaines (Rive-Nord) 12% 9- Les Cèdres (Vaudreuil-Soulanges) ex aequo Bois-des-Filion (Rive-Nord) 11% 10- Lavaltrie (Rive-Nord) 10% Secteurs ayant affiché la plus forte croissance du prix médian - unifamiliale (au moins 50 transactions et au moins 30 de maisons unifamiliales) 1- Ville-Marie (île de Montréal) 45% (797 000$) 2- Saint-Philippe (Rive-Sud) 22% (219 000$) 3- Saint-Laurent (île de Montréal) 19% (470 000$) 4- Baie-d'Urfé (île de Montréal) 18% (520 000$) 5- Mont-Royal (île de Montréal) 17% (881 000$) 6- Kirkland (île de Montréal) 14% (445 000$) 7- Westmount (île de Montréal) 14% (1 197 500$) 8- L'Île-Perrot (île de Montréal) (241 000$) 9- Hampstead (île de Montréal) 12% (985 000$) 10- Pont-Viau (Laval) 12% (265 750$) Secteurs ayant affiché la plus forte croissance du prix médian - copropriétés (au moins 50 transactions et au moins 30 de copropriétés) 1-Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension (île de Montréal) 16% (248 000$) 2- LaSalle (île de Montréal) 15% (258 374$) 3- Saint-Lambert (Rive-Sud) 14% (239 000$) 4- Verdun (île de Montréal) 13% (242 500$) 5- Charlemagne (Rive-Nord) 11% (175 000$) 6- Auteuil (Laval) 11% (202 500$) 7- Montréal-Nord (île de Montréal) 11% (220 000$) 8- Chambly (Rive-Sud) 10% (179 500$) 9- Beloeil (Rive-Sud) 10% (188 167$) 10- Saint-Eustache 10% (175 000$) Source: FCIQ par Centris Top 10 des secteurs qui comprennent le plus grand nombre de mises en chantier - 2011 Copropriétés 1- Montréal - arrondissement Ville-Marie (1109 unités) 2- Laval - Chomedey (929 unités) 3- Longueuil (limite de 2006) (747 unités) 4- Montréal - arrondissement Saint-Laurent (646 unités) 5- Montréal - arrondissement Côte-des-Neiges/Notre-Dame-de-Grâce (605 unités) 6- Montréal - arrondissement Ahuntsic/Cartierville (584 unités) 7- Brossard - (576 unités) 8- Montréal - arrondissement Sud-Ouest (442 unités) 9- Mascouche - (406 unités) 10- Nouvelle Ville de Terrebonne (298 unités) Top 10 des secteurs qui comportent le plus de mises en chantier - 2011 Propriétaire-occupant 1- Mirabel (456 unités) 2- Nouvelle Ville de Terrebonne (422 unités) 3- Longueuil (limite de 2006) (369 unités) 4- Nouvelle Ville de Saint-Jérôme (333 unités) 5- Brossard (279 unités) 6- Vaudreuil-Dorion (275 unités) 7- Nouvelle Ville de Repentigny (269 unités) 8- Blainville (242 unités) 9- Chambly (214 unités) 10- Mascouche (211 unités) Quelques faits marquants - région métropolitaine de Montréal - Sur l'île de Montréal, l'arrondissement Saint-Laurent se démarque pour la construction d'habitations pour propriétaire-occupant avec 162 unités. - Dans Vaudreuil-Soulanges, Vaudreuil-Dorion se démarque pour la construction de copropriétés avec 244 unités. - Il y a eu 12 681 mises en chantier de copropriétés dans la région métropolitaine en 2011. C'est un record qui représente près du double des mises en chantier d'habitations pour propriétaires-occupants (7223). Source: Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL)
  13. http://www.taz.ca/pls/htmldb/f?p=105:99:219766909423116::::P99_IM:109 http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/mtl_2025_fr/media/documents/Tazmahal.pdf MAI 2008 C’est un énorme chantier qui a débuté le 15 mai sur l’avenue Papineau, alors que l’ouverture officielle est toujours projetée pour le printemps 2009 ! La recette gagnante : un brin de patience, une pincée de détermination et une bonne dose de persévérance. C’est ce qui nous permet de voir le projet se concrétiser : une roue à la fois, en débutant par le chantier. Le site offre d’ailleurs un décor des plus inspirants : clôture de chantier, pépinière de transplantation d’arbres, pelles mécaniques, bulldozers… Ça vous démontre que le rêve devient peu à peu réalité, que c’est réellement parti ! Les travaux dans la zone d’excavation ont débuté et la première coulée de béton approche ! Madame Sénécal, Vice-présidente du comité exécutif à la Ville de Montréal, a officiellement fait l’annonce du début de chantier du TAZ lors du Conseil municipal de la Ville de Montréal, du lundi 26 mai dernier. Ce qui nous permet aujourd’hui de vous partager la bonne nouvelle…à vous de la propager ! C’est une équipe de professionnels de plus de 15 personnes qui nous appuie dans la conception et la mise en chantier de cette construction majeure. Les travailleurs débutent leur entrée sur le terrain pour plus de 10 mois de chantier. Ils s’assurent de mener à bon port les travaux pour l’aménagement paysager, l’excavation, l’ingénierie mécanique, électrique et de structure. Tout ça, sous l’œil averti de notre gestionnaire de projet. C’est le cas de le dire, ça fourmille sur le chantier ! On vous rappelle que cet espace jeunesse sportif est érigé sur un terrain d’une superficie de 280 000 pi² et sa construction totalisera près de 85 000 pi². Localisé au cœur de l’arrondissement Villeray – Saint-Michel – Parc-Extension, sur l’avenue Papineau, en bordure du Complexe environnemental de Saint-Michel et aux abords de l’autoroute Métropolitaine, Le TAZ deviendra l’une des portes d’entrée de ce futur 2e plus grand parc de la Ville de Montréal.
  14. MONTRÉAL - L'affrontement entre les syndicats de la construction et Québec concernant le placement syndical s'est poursuivi à Montréal vendredi. Le projet de copropriétés Le Liguori, qui se trouve dans le quartier Villeray, a été paralysé dès 10 h. Des délégués syndicaux de la FTQ-Construction se sont présentés sur les lieux et ont demandé à une trentaine de travailleurs de quitter le chantier. Seuls quelques ouvriers, dont le travail ne peut être interrompu, sont restés sur place. Les syndicats ont manifesté leur mécontentement relativement au projet de loi 33 du gouvernement Charest qui vise à abolir le placement syndical dans le milieu de la construction. Le Liguori est un projet de 211 unités en copropriété du Groupe immobilier Van Houtte qui se trouve boulevard Crémazie, près de Lajeunesse. Sur l'heure du midi, un autre chantier de construction a été paralysé dans la métropole. Le projet de résidence pour aînés du Groupe Maurice dans le quartier Ahuntsic, Les jardins Millen, a été déserté par les employés. Ailleurs en province Ce n'est pas que Montréal qui a été touchée par ces manifestations des syndicats de la construction vendredi. À Châteauguay, le chantier du prolongement de l'autoroute 30 a lui aussi arrêté. Il semble que tout se soit fait très rapidement, puisque jusqu'à ce midi, tout se déroulait rondement sur le terrain. Il s'agit d'une action éclatante et symbolique, puisque le prolongement de la 30 a été un enjeu électoral important. Le plus important chantier du Saguenay-Lac-Saint-Jean a lui aussi été paralysé. Le projet AP60 de Rio Tinto Alcan, à Saguenay, où travaille un millier d'employés a cessé toute activité dès 8 h le matin. Le syndicat a affirmé que cet arrêt de travail avait lieu pour protester contre le gouvernement, mais la compagnie a dit de son côté que c'est elle qui a fait cesser les opérations, car des travailleurs auraient commis des gestes « non sécuritaires ». Grande démonstration lundi? Le chargé de projet du Liguori a confié à TVA Nouvelles qu'il pourrait y avoir une grande perturbation sur les chantiers de construction de la province, lundi prochain. Il semble que certains grands chantiers, comme celui des hôpitaux du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) et du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), pourraient aussi être touchés. De son côté, la ministre du Travail, Lise Thériault, a appelé les entrepreneurs à porter plainte contre les syndicats auprès du gouvernement ou encore à la Commission de la construction du Québec (CCQ).
  15. Publié le 01 novembre 2011 à 06h00 | Mis à jour à 06h00 La fin de l'immobilisme François Cardinal La Presse Plombée par l'abandon du projet de casino, ridiculisée pour son incapacité à mettre en chantier le moindre projet, handicapée par une absence de sensibilité montréalaise à Québec et à Ottawa, la métropole a vécu de bien difficiles années depuis le tournant du millénaire. Mais aujourd'hui, à mi-chemin entre deux élections municipales, la page de l'immobilisme se tourne. Le casino n'a plus l'intention de quitter son île. Les travaux du CHUM, de son centre de recherche et du CUSM sont en cours. Le chantier du 2-22, l'édifice phare du Quartier des spectacles, a repris. La Maison symphonique est un succès, de même que la Place des festivals. Tout n'est pas parfait, mais les grands projets auxquels on imputait l'immobilisme de la métropole n'ont plus rien d'immobiles, reconnaissons-le. Mieux, ils donnent une impulsion à Montréal au moment où celui-ci semble prêt à prendre un nouveau départ. En effet, bien des rubans d'inauguration ont été récemment coupés, ou sont sur le point de l'être. Pensons à l'annexe du Musée des beaux-arts, à la Maison du développement durable et bientôt, à la Place des arts, au Planétarium, aux agrandissements d'envergure de l'Hôpital général juif, du Centre hospitalier Ste-Justine, du stade Saputo. Parallèlement, d'imposants projets cheminent dans les officines. Le plus haut gratte-ciel construit depuis 20 ans devrait voir le jour aux côtés du Centre Bell. La première phase de réaménagement de Griffintown est lancée. D'imposants édifices sont prévus pour combler des trous laissés béants depuis trop longtemps. Bref, au moment où la crise économique secoue l'Europe et les États-Unis, Montréal connaît un essor surprenant. On le voit dans l'enthousiasme des promoteurs, mais on le voit aussi sur le terrain?: le taux d'inoccupation des plus importants édifices est en chute libre tandis que les mises en chantier résidentielles fracassent des records historiques, plaçant Montréal au troisième rang en Amérique du Nord?! Attention. On ne parle ici que de la fin de l'immobilisme, non pas de l'atteinte d'une période bénie à Montréal. On n'a qu'à penser aux problèmes éthiques qui ont secoué l'hôtel de ville, à l'état des infrastructures, à la caisse de retraite des employés, à la perte des sièges sociaux ou encore, à la congestion. Cela dit, les deux sont potentiellement liés?; la fin de l'immobilisme peut, éventuellement, servir de tremplin, elle peut permettre à Montréal de plonger dans une nouvelle étape de son développement. Après l'industrialisation du début du siècle et le développement tout-à-l'auto des années 1950, le temps est venu de limiter l'éparpillement et de fortifier l'existant. Mais quel modèle retenir?? La question est posée et la réflexion, entamée, avec les débats entourant Champlain, Turcot et Bonaventure, le Plan métropolitain d'aménagement et la révision de la loi sur l'urbanisme, le retour du péage et l'avenir du Stade, le prolongement du métro et le retour du tramway. Il n'est évidemment plus question d'Expo et de J.O., mais d'un ensemble de projets qui, mis ensemble, ont néanmoins le potentiel de transformer la métropole. Clairement, Montréal est à un moment charnière de son histoire. Demain?: les défis qui attendent Montréal
  16. Montréal tire à la hausse les mises en chantier 11 octobre 2011 | 09h18 Argent La popularité des condominiums à Montréal a fait bondir le nombre de mises en chantier dans la province en septembre, a annoncé mardi la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier d'habitations en septembre s'est élevé à 50 700 au Québec, ce qui représente un bond de 32% sur les 38 400 mises en chantier en août. Dans les centres de 10 000 habitants et plus, un total de 4 616 habitations ont été commencées en septembre, comparativement à 3 623 un an auparavant. Les données de septembre portent le cumul annuel des mises en chantier dans les centres urbains à 30 420. Le chiffre est inférieur de 6% à celui des neuf premiers mois de 2010. La SCHL attribue le recul au segment des maisons individuelles, dont le nombre a chuté de 17%. Les mises en chantier de logements collectifs ont légèrement diminué de 1%. « La hausse notable de l'activité en septembre est exceptionnelle et résulte de la mise en chantier simultanée de nouveaux ensembles de copropriétés à Montréal. Ailleurs au Québec, les mises en chantier sont essentiellement en baisse», a fait remarquer Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec. M. Hughes s'attend toutefois que la tendance baissière reprenne à court terme, compte tenu du rythme soutenu observé au cours des dernières années et du potentiel de demande. Au Canada, le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier d'habitations s'est élevé à 205 900 en septembre. Il s'agit d'une hausse de 7% par rapport à août, à 191 900. Le chiffre surpasse les attentes des économistes de l'agence Bloomberg, dont la prévision moyenne était de 190 000. En plus du Québec, une hausse du nombre de logements locatifs a été constatée en Colombie-Britannique et dans les provinces de l'Atlantique, a indiqué Mathieu Laberge, économiste en chef adjoint au Centre d'analyse de marché de la SCHL. M. Laberge estime toutefois que les mises en chantier de logements collectifs vont redescendre à court terme «vers des niveaux qui cadrent avec les facteurs démographiques fondamentaux.» Dans les centres urbains du pays, le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s'est accru de 8% pour se situer à 185 900. Il a progressé de 14,2% dans la catégorie des logements collectifs, mais diminué de 1,5% dans celle des maisons individuelles, pour s'établir respectivement à 118 000 et à 67 900. L'organisme fédéral estime à 20 000 le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier en milieu rural pour le mois de septembre.
  17. Publié le 08 juin 2011 à 11h09 | Mis à jour le 09 juin 2011 à 06h23 (Montréal) Les grues dressées aux quatre coins de Montréal ne mentent pas: la construction de condos se porte bien dans la métropole, au point où un nouveau record a été franchi le mois dernier. Au total, 1211 appartements ont été mis en chantier en mai, comparativement à 795 un an plus tôt, révèlent les données publiées hier par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Du jamais vu, selon David L'Heureux, analyste principal de marché à la SCHL, qui fait toutefois une mise en garde pour la suite des choses. «Étant donné que les copropriétés commencées en 2010 n'ont pas encore toutes été achevées, nous prévoyons une augmentation des stocks et un ralentissement du rythme des mises en chantier d'ici la fin de l'année», a-t-il averti. Ce boom du condo neuf apparaît bien collé à la réalité du marché montréalais, où ce type de propriété est en forte demande. Selon un rapport diffusé hier par la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM), la revente d'appartements a progressé de 4% le mois dernier par rapport à mai 2010, alors que le nombre total de transactions a fléchi de 4%. La copropriété séduit en masse les premiers acheteurs, très actifs sur le marché à cette période-ci de l'année. Ils continuent de privilégier les quartiers en périphérie du centre-ville de Montréal. Les ventes de condos ont ainsi explosé de 29% dans l'arrondissement de Rosemont-Villeray le mois dernier, de 21% dans le Plateau-Mont-Royal et de 16% dans le sud-ouest de l'île, indique la CIGM. Sur un an, le prix médian des copropriétés a grimpé de 7% dans la région métropolitaine, à 220 739$, et de 9% dans l'île de Montréal, à 255 000$. Laval fait figure d'exception, avec une hausse salée de 15% (à 205 000$). Comment expliquer l'envolée lavalloise? «On a pas mal de volatilité du côté du prix des condos à Laval: en avril on était à " 2%, en mars à " 3%, en février à " 11% et en janvier à -3%, a souligné Paul Cardinal, directeur de l'analyse du marché à la CIGM. Mieux vaut regarder le cumulatif depuis les cinq premiers mois de l'année ("5%).» À deux ponts de là, la Rive-Sud a encaissé une baisse de 5% du prix de ses condos en mai, à 180 000$. Ce recul est concentré à Brossard, Saint-Lambert, Candiac et La Prairie. Le prix médian a malgré tout grimpé de 3% pendant les cinq premiers mois de 2011, si on compare à la même période l'an dernier. Équilibre La revente de maisons unifamiliales a baissé de 8% dans le Grand Montréal le mois dernier, mais leur prix médian a progressé de 4%, à 266 500$. Les ventes de «plex» de deux à cinq logements ont reculé de 9%, tandis que leur prix est demeuré stable à 390 000$. Dans l'île, les ventes de maisons individuelles ont fléchi de 16% et celles de plex, de 12%. Les prix ont respectivement progressé de 8% et 3%, à 363 500$ et 420 000$. Paul Cardinal voit d'un bon oeil le recul global de 4% du nombre de transactions le mois dernier, moins brutal que les replis des mois précédents, dont 18% seulement en avril. «C'est la 13e baisse consécutive, sauf que c'est la plus faible depuis le mois de mai 2010, donc c'est encourageant», a-t-il dit à La Presse Affaires. Le marché demeure «de façon générale» à l'avantage des vendeurs, excepté dans le segment de la maison unifamiliale à Vaudreuil-Soulanges et en banlieue nord et, dans celui du condo, à Vaudreuil, Laval et en banlieue nord, a précisé M. Cardinal. Le nombre de propriétés inscrites par des vendeurs continue de gonfler de mois en mois, donnant toujours plus de pouvoir de négociation aux acheteurs. Le nombre d'inscriptions en vigueur a grimpé de 19% par rapport à mai 2010, avec 25 829 propriétés en vente dans la région métropolitaine. Par ailleurs, dans son rapport publié hier, la SCHL indique que les mises en chantier de maisons individuelles ont reculé de 21% en mai dans le Grand Montréal, alors que celles de jumelées ont fléchi de 21%. La forte construction de condos a néanmoins contribué à une hausse globale de 10% des mises en chantier, avec 2121 logements entamés. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201106/08/01-4407244-construction-de-condos-sommet-historique-a-montreal.php
  18. Six mois de travaux sur la rue Sherbrooke MONTRÉAL - La Ville de Montréal a annoncé mercredi le début d’un important chantier qui paralysera la rue Sherbrooke jusqu’à la fin mai 2011, au centre-ville, entre les rues Saint-Marc et de la Montagne. La Ville doit effectuer des travaux majeurs pour réparer un égout collecteur construit en 1910, dont l’état de dégradation est tellement avancé qu’il pourrait causer un affaissement de la chaussée et des refoulements chez les résidents du secteur, si rien n’est fait. «Ces travaux sont absolument nécessaires. Les inspections récentes, faites par caméra, démontrent bien l’état dégradé de ce tronçon», a expliqué en conférence de presse le responsable des infrastructures au Comité exécutif, Richard Deschamps. Au lieu de reconstruire l’égout, ce qui aurait coûté neuf fois plus cher, la Ville a opté pour l’installation d’une gaine à l’intérieur des conduites, de façon à créer une nouvelle paroi qui devrait tenir pendant 50 ans. Facture totale : 4,2 millions $. Cette technique permettra également de réduire de moitié la durée du chantier. Circulation Qui dit réfection d’aqueduc dit fermeture de rues, et les travaux sur Sherbrooke n’y échapperont pas. À partir du 14 novembre, l’artère sur laquelle circulent 30 000 véhicules par jour ne comportera qu’une voie dans les deux sens sur une distance d’un demi-kilomètre, entre Saint-Marc et Guy. Sherbrooke sera aussi complètement fermée entre Guy et Saint-Mathieu pendant le week-end du 13 novembre, et entre Guy et Redpath pendant le week-end du 27 novembre. Les entraves seront encore plus importantes de janvier à la fin mai 2011, alors qu’une seule voie sur quatre sera ouverte, en direction ouest. Le chantier fera relâche pendant la période des Fêtes, du 18 décembre au début janvier. Les responsables municipaux assurent qu’ils ne pouvaient attendre le début 2011 pour commencer les travaux, parce que tout doit être terminé pour la saison des festivals qui débute en juin. La Ville, qui a encore en tête le cauchemar des travaux sur Saint-Laurent en 2008, et les nombreuses plaintes sur l’avenue du Parc depuis quelques semaines, promet un plan d’action efficace. «Tous les efforts seront déployés pour diffuser l’information et accompagner les commerçants et les résidents durant les travaux», a assuré Richard Deschamps. En 2007, sur la même rue Sherbrooke, au coin de la rue Beaudry, une portion de la chaussée s’était affaissée en raison de l’égout trop vétuste. La réparation d’urgence avait nécessité la fermeture complète de l’intersection pendant deux mois. http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/regional/montreal/archives/2010/11/20101110-202428.html
  19. étant donné qu'il n'éxiste pas de discussion générale de développements, je vous laisse de re-coller ces images à volonté. la grande promenade de vendredi, le 17 septembre. 1. stm beau et monumental 2. anciennement parking de bus, actuellement terrain vague 3. passerelle looking good 4. delle'arte site 5. former jolly's fruits/computer shop site, cladding 1/2 complete 6. ludicrously unrealistic hopes for phillips square 7. new enrollment services point at mcklennan library 8. mctavish looking good 9. elle avance la nouvelle entrée à la pda 10. avance aussi la rénovation du sat 11. nouvelle rénovation du kiosk au square st louis (fruiterie?) 12. chantier l'altitude (nom exceptionellement idiot) 13. par contre, rien se passe au chantier de l'école des métiers touristiques 14. and finally, huge (and awesome) plans for the waldman bloc of properties bonus! débacle? quelle débacle?
  20. lundi 10 décembre 2007 Le Cinéma Beaubien, dans le quartier Rosemont-Petite-Patrie, héritera de deux salles supplémentaires, qui devraient être inaugurées à l'automne 2008, a appris Le Devoir de source sûre. L'une comptera 50 sièges, la seconde 90. Ces deux salles, au second étage de l'immeuble, accessibles par ascenseur et escalier, seront localisées dans les anciens bureaux occupés jusqu'à l'an dernier par le Groupe Popcorn. Le Cinéma Beaubien gérait déjà trois salles au rez-de-chaussée. Le projet comporte également une rénovation générale de ces aires d'origine: de nouveaux fauteuils et la climatisation du hall modifiée pour mieux répondre aux normes. Aujourd'hui, la Fiducie du Chantier de l'économie sociale, qui investit en capitalisation dans le projet (sans remboursement de capital), annoncera la nouvelle du chantier en conférence de presse, en précisant quelles sommes seront versées dans l'aventure. La Corporation du cinéma Beaubien, propriétaire de l'édifice, absorbera la différence. Rappelons que le Cinéma Beaubien, ancienne propriété de Cineplex Odéon, alors appelé Dauphin, avait failli fermer ses portes, quand la chaîne avait périclité au début du millénaire. Repris en septembre 2001 par la Corporation du Cinéma Beaubien, une entreprise d'économie sociale, sous la direction générale de Mario Fortin, celle-ci a su prouver qu'un cinéma de quartier, présentant des oeuvres de qualité, pouvait être populaire et rentable. À l'origine, une somme de 1,2 million de dollars avait été investie pour rénover les salles. Mais le jeu en valait la chandelle. Le Beaubien possède un des meilleurs taux d'occupation (il dépasse 30 %) dans la province. Parfois, jusqu'à sept films roulent au cours d'une semaine sur trois écrans. Les salles supplémentaires permettront de multiplier les séances, de présenter davantage de productions, mais aussi de garder des oeuvres à l'affiche plus longtemps, lorsque la demande est encore forte. Jusqu'à maintenant, des films porteurs devaient être sacrifiés après trois semaines, à cause de l'infernal roulement des nouveautés. Le Beaubien conservera son apparence et sa vocation actuelle, sans se déguiser un petit mégaplex, mais en répondant encore davantage aux besoins de sa clientèle de quartier. Dans un an, tout le projet d'agrandissement et de rénovation sera terminé.
  21. Est-ce que quelqu'un est au courant de ce qu'il advient du chantier de l'échangeur de l'Île-des-soeurs ? Ce chantier est COMPLÈTEMENT désert depuis plusieurs mois... Et pourtout, il me semble loin d'être terminé.
  22. Léo Gagnon Le Courrier du Sud - Publié le 15 février 2010 à 14:43 RIVE-SUD. Le nombre de mise en chantier dans la couronne Sud de la grande région métropolitaine, toutes catégories confondues, a cru de 368% en janvier 2010 par rapport à la même période un an plus tôt annonce la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Pour la seule ville de Longueuil, c’est une croissance des mises en chantier de 238% qui a été comptabilisée. On parle donc d'une augmentation conjointe de 359%. Les données par secteur montrent que 882 logements ont été mis en chantier dans la couronne Sud le mois dernier, contre 192 en janvier 2009. La construction de nombreux logements destinés au marché des personnes âgées ainsi que près de 400 copropriétés expliquent ce niveau exceptionnel d’activité. Le nombre de logements locatifs est passé de 47 en janvier 2009 à 333 le mois dernier. Pour la même période, le nombre de copropriétés passait de 75 à 374. La Rive-Sud bat des records C’est la Rive-Sud qui bat tous les records d’augmentation alors que la couronne Nord accuse une baisse de 31% toutes catégories confondues, et l’île de Montréal, une croissance de 39%. À Brossard, c’est un niveau d’activité spectaculaire en hausse de 847% qui est noté alors que le nombre de mises en chantier est presque multiplié par 10, passant de 51 en janvier 2010 à 483 le mois dernier. À Saint-Lambert, il n’y avait aucune mise en chantier en janvier 2010, contre 34 le mois dernier. Les statistiques ne sont pas encore disponibles pour les arrondissements de Saint-Hubert et Greenfield Park. À Longueuil seulement, le nombre de mises en janvier est passé de 13 à 44, en raison principalement de la mise en chantier de nouvelles copropriétés, de maisons individuelles et en rangées. La moyenne pour le Grand Montréal, pour l’ensemble des catégories, est de 55%. La couronne Sud comprend les villes situées au sud de Montréal qui font partie de la Communauté métropolitaine de Montréal.
  23. Ben voilà, j'en avait parlé un peu dans un autre sujet, mais aujourd'hui j'ai été prendre des photos, et considérant la grosseur du chantier, je trouvais ça pertinent de le mettre ici. Y'a pas mal de monde sur et autour du chantier, mais pas d'image indiquant ce qui s'y construit, juste que c'est un agrandissement de la bâtisse Hershey à des fins d'habitation.
  24. Mises en chantier En hausse partout, sauf au Québec Mise à jour le lundi 9 novembre 2009 à 12 h 10 Commentez »PartagerCourrielFacebookImprimer Le nombre de mises en chantier a augmenté au mois d'octobre, pour se situer à 157 300, comparativement à 149 300 en septembre, selon les données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). La hausse des mises en chantier d'habitations en octobre est attribuable à l'intensification de la construction de logements collectifs. — Bob Dugan, économiste en chef au Centre d'analyse de marché de la SCHL « Le nombre mensuel de mises en chantier de ce type de logement a atteint son deuxième sommet en importance depuis octobre 2008 », a ajouté M. Dugan. Dans les centres urbains, les mises en chantier ont augmenté de 5,2 % en octobre dernier par rapport à septembre, pour se situer à 139 900. Plus spécifiquement, les logements collectifs ont connu une hausse de 13,8 %, à 72 600. Du côté des maisons individuelles, le mois d'octobre connaît une régression de 2,7 %, à 67 300. Évolution des mises en chantier par provinces Colombie-Britannique: 15 % Ontario: 14,8 % Prairies: 6,5 % Atlantique: 1,2 % Seul le Québec connaît une baisse, de 11,63 %.
  25. La prospérité grâce aux grands chantiers Mise à jour le mardi 13 octobre 2009 à 6 h 39 Le maire sortant de Montréal, Gérald Tremblay, a dévoilé lundi une partie de ses engagements en matière d'économie en vue du scrutin du 1er novembre. En point de presse, le chef d'Union Montréal a dit vouloir miser sur les grands projets d'infrastructure pour assurer le développement économique de Montréal au cours des prochaines années. Ainsi, s'il est réélu, Gérald Tremblay veut reconduire le fonds d'investissement de 180 millions de dollars afin de compléter le quartier des spectacles, au centre-ville. Il veut aussi accélérer le chantier Montréal Technopole, qui comprend la mise en chantier des trois grands hôpitaux universitaires (CHUM, CSUM et Sainte-Justine), le développement du nouveau campus de l'Université de Montréal et de la gare de triage d'Outremont, ainsi que le développement de l'École de technologie supérieure (ETS). Dès 2010, le chef d'Union Montréal veut aussi lancer la phase 1 du projet du Havre, qui comprend notamment que l'est de la ville accueille le Muséum nature. "C'est la raison pour laquelle on a besoin d'un troisième mandat. [...] Ce qu'on annonce aujourd'hui ce sont des projets structurants. On veut accélérer la réalisation de ces projets." — Gérald Tremblay Le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, n'a pas tardé à railler les déclarations du maire sortant. "Gérald Tremblay nous dit : ce dont je vous parle depuis quatre ans et que je n'ai pas fait, si vous me reportez au pouvoir pour un troisième mandat, cette fois là je vais le faire." — Richard Bergeron http://www.radio-canada.ca/regions/Municipales2009/2009/10/12/002-Tremblay-economie.shtml
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