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  1. La rue Sainte-Catherine n'échappe pas au ralentissement Publié le 27 janvier 2009 à 08h30 | Mis à jour à 08h31 Rue Sainte-Catherine aussi, des détaillants renégocient à la baisse leurs loyers dans la foulée du ralentissement des ventes. La rue Sainte-Catherine, qui est pourtant l'artère commerciale la plus recherchée de Montréal, surtout depuis qu'elle s'est refait une beauté durant les années 90, n'échappe pas à la tempête économique. Quand des chaînes sabrent leurs projets d'ouverture et que d'autres préparent des fermetures de magasin et renégocient leurs loyers, des courtiers commerciaux voient leur marché se rétrécir, reconnaît Bruce Munro, vice-président d'Avison&Young au Québec. «Presque toutes les grandes bannières ont déjà pignon sur rue au centre-ville de Montréal», (ce qui limite le bassin de la clientèle), et les autres prennent leur temps. Bruce Munro a ainsi aidé récemment deux chaînes à conclure des ententes, rue Sainte-Catherine, mais elles «n'ont pas encore signé leurs baux et veulent déjà les renégocier à la baisse». André Poulin, président de la société de développement commercial Destination centre-ville, confirme que des loyers se renégocient. «Certains propriétaires font des offres pour ne pas perdre leurs locataires. Plusieurs tentent leur chance. Même Destination centre-ville a renégocié son loyer», dit-il. «Les locaux de la rue Sainte-Catherine continuent toutefois d'être recherchés. Les détaillants ne veulent pas sortir du centre-ville. La rue Sainte-Catherine ne sera pas placardée demain matin», assure André Poulin. Des magasins vont cependant fermer, selon Bruce Munro. Par contre, des chaînes vont sabrer des magasins de mégacentres de la banlieue avant ceux de la rue Sainte-Catherine, ajoute-t-il. Archambault Musique vient de quitter le Complexe des Ailes de la mode, après une entente mutuelle, mais la chaîne californienne Forever 21, concurrente de H&M, va prendre les locaux avant l'été prochain, confirme Jean Laramée, vice-président principal pour l'est du Canada chez Ivanhoé Cambridge. «De grandes bannières comme Guess, American Eagle, H&M et Apple sont arrivées récemment rue Sainte-Catherine. Cela en attire d'autres, souligne André Poulin. Là, on renégocie des loyers, mais sans provoquer des départs.» «Des loyers de 200$ le pied carré pourraient baisser à 150$, rue Sainte-Catherine, estime Bruce Munro. Le prix était de 50$ ou 60$ le pied carré en 1992. Rue Bloor, à Toronto, les loyers de 325$ le pied carré sont trop élevés aussi.» Les détaillants s'en tirent mieux dans le marché des jeunes que dans celui des hommes, dit-il. «Il n'y a pas de vague de réouvertures de baux, mais quelques négociations», assure Jean Laramée. Chez Ivanhoé Cambridge, un des grands propriétaires de centres commerciaux en Amérique du Nord, «on n'est pas fou, on sait que ça brasse un peu partout, c'est une période de tests pour plusieurs. Au Canada, par contre, on ne sent pas trop la tempête. Notre affluence a été correcte en 2008». Jean Laramée reconnaît toutefois qu'il préfère gérer dans l'est du Canada qu'aux États-Unis ces jours ci. David Jubb, chef de la direction de Pyxis Real Estate Equities, de Toronto, a acheté une dizaine de locaux à proximité de la Maison Ogilvy de la rue Sainte-Catherine, qui lui appartient, pour bâtir un «Carré de la mode». Nespresso Café, de New York, y ouvrira un magasin, le mois prochain, et David Jubb déclare travailler avec «quatre ou cinq autres détaillants. L'économie ralentit et certains repensent à leurs affaires, mais on doit se reparler au printemps. Chez Ogilvy, ce sera plus lent en 2009, mais Nespresso va attirer de la clientèle», croit-il.
  2. La société McKesson Canada offre d'acheter l'ensemble des actions du groupe québécois Uniprix, propriétaire des chaînes de pharmacies Uniprix, Unipharm et Uniclinique. Pour en lire plus...
  3. Après des ventes plutôt décevantes aux Fêtes, qui surtout n'ont pas généré les profits espérés, plusieurs chaînes se préparent à des mois déficitaires, des restructurations et des fermetures de magasins, au Canada et au Québec. Pour en lire plus...
  4. Les Américains ont déserté les grands magasins 6 novembre 2008 - 13h25 Agence France-Presse Les chaînes d'habillement de moyenne gamme, comme Gap et Abercrombie & Fitch, souffrent également, avec des ventes, à nombre de magasins comparables, en chute de 16% et de 20% respectivement. Les groupes de distribution ont annoncé jeudi un effondrement de leurs ventes en octobre aux États-Unis, attestant que la crise frappe maintenant les Américains au portefeuille, mais le spécialiste des prix bas, Wal-Mart, fait toujours preuve d'une bonne résistance. Alors qu'il tablait sur une stabilité des ventes, le Conseil international des centres commerciaux (ICSC) a estimé que l'activité des chaînes de magasins avait plongé de 0,9% en octobre, après une croissance de 1,7% en septembre. Maintenant qu'ils n'ont plus l'aide des chèques de remises d'impôts distribués au printemps par le gouvernement, «les consommateurs n'ont tout simplement plus l'argent pour dépenser de manière poussée», résume Andrew Gledhill, analyste du cabinet d'études économiques Moody's economy.com. Si la rechute des prix de l'essence a été un soulagement pour les finances des Américains, le risque d'une récession économique prolongée les dissuade de pousser les portes des grands centres. «L'environnement de la vente au détail en octobre a été tout simplement affreux, avec un degré élevé d'incertitude sur les marchés financiers. Les consommateurs ont repoussé toute dépense non nécessaire, ce qui a abouti à des ventes extrêmement faibles en octobre», commente Michael Niemira, chef économiste de l'ICSC. Les familles coupent clairement dans leurs budgets vêtements et accessoires, frappant en premier lieu les grands magasins. À surfaces de ventes comparables, les ventes de Macy's ont fondu de 6,3% sur le mois d'octobre et celles de JCPenney de 13%. Le recul est encore plus flagrant pour la chaîne haut de gamme Saks, qui a connu une contraction de 16,6% de ses ventes. Les chaînes d'habillement de moyenne gamme, comme Gap et Abercrombie & Fitch, souffrent également, avec des ventes, à nombre de magasins comparables, en chute de 16% et de 20% respectivement. Cela laisse augurer de nouveaux chiffres médiocres pour les dépenses de consommation des ménages aux États-Unis, après un recul de 0,3% en septembre. D'autant plus que la confiance des consommateurs s'est effondrée à un niveau jamais vu. Mais surtout, la période phare des fêtes de fin d'année, dont la réussite donne le ton de l'ensemble de l'exercice pour les distributeurs, s'approche sous de mauvais auspices. «La saison des fêtes s'annonce faible, ce qui pourrait mettre une pression supplémentaire non seulement sur les détaillants haut de gamme, mais aussi sur certains fabricants et fournisseurs», prévient Frederic Dickson, analyste de DA Davidson. L'ICSC table pour l'instant sur une croissance très faible, de 1%, en novembre et décembre. «Le seul point positif c'est Wal-Mart, mais cela indique seulement qu'un consommateur à sec se tourne, pour l'ensemble de ses besoins, vers le magasin qui fait des remises», souligne Jon Ogg, analyste du site d'informations financières 247wallst.com. Pour les chaînes spécialisées dans les prix bas, les difficultés d'une grande partie de la population sont l'occasion d'attirer de nouveaux clients. Ainsi, le géant de l'hypermarché, Wal-Mart, dont les ventes ont progressé à contre-courant du reste du secteur, a annoncé de nouvelles réductions de prix à l'approche de Noël. Mais le tableau reste tout de même en demi-teinte, avec une hausse restreinte de son activité de 2,4%, à magasins comparables et hors essence, en octobre, exactement comme en septembre. Ses concurrents Target et Costco, également présent sur le créneau des produits discount, ont de leur côté tout juste réussi à limiter le repli de leurs ventes à -4,8% et à -1%. Un tel niveau de vente est «très décevant» et cela devrait «continuer pendant la saison des fêtes et au-delà», ne se fait guère d'illusions le PDG de Target, Gregg Steinhafel.
  5. Même si le CRTC a refusé aux télévisions généralistes l'accès aux redevances du câble, Quebecor Media se réjouit de voir le Conseil privilégier une certaine déréglementation de la radiodiffusion. Sa filiale, le Groupe TVA, compte présenter de nouvelles licences de chaînes spécialisées dans les prochains mois. Pour en lire plus...
  6. Les trois grands fabricants américains d'automobiles prennent différentes mesures pour faire face à la crise financière qui ralentit considérablement les chaînes de production. Pour en lire plus...
  7. La plupart des grandes chaînes de vente au détail paient des agences pour faire évaluer leur service à la clientèle. Ils travaillent incognito et on les appelle clients mystères. Pour en lire plus...
  8. L'exploitant de chaînes de salles de cinéma Cineplex Galaxy a fait état de revenus de 209,3 millions $ pour son deuxième trimestre, soit une hausse de 4,7 % par rapport à la même période l'an dernier. Pour en lire plus...
  9. Astral Media enregistre une hausse importante de ses profits au dernier trimestre, reflétant ainsi le fait que les téléspectateurs et les annonceurs délaissent de plus en plus les télévisions généralistes pour se tourner vers les chaînes spécialisées. Pour en lire plus...
  10. Le propriétaire de Lord & Taylor Une firme de New York pourrait acquérir La Baie d'Hudson http://argent.canoe.com/lca/infos/canada/archives/2008/07/20080710-075109.html ARGENT Le propriétaire de Lord & Taylor a entamé des discussions en vue d'acquérir la Compagnie de la Baie d'Hudson, une transaction qui, selon certaines sources, pourrait permettre à la chaîne de magasins à rayons américaine de s'implanter au Canada. La firme NRDC Equity Partners of Purchase, de New York, qui possède la chaîne de 47 magasins aux États-Unis, détient déjà une participation de 20% dans HBC, à qui appartient les magasins La Baie, Zellers, Home Outfitters. Le chef de la direction de NRDC, Richard Baker, a mentionné lors d'une conférence récente qu'il envisageait d'ouvrir des magasins à l'extérieur des États-Unis et que le Canada figurait parmi les pays considérés. «Cet acheteur potentiel m'a semblé très déterminé à aller de l'avant», a dit une source informée de discussions récentes avec HBC. Ni M. Baker ni les dirigeants de HBC n'ont voulu commenter l'information mercredi. La destinée de HBC repose entre les mains de la famille de Jerry Zucker, un milliardaire américain qui a acheté le détaillant canadien pour 1,1 milliard de dollars en 2006, mais qui est décédé en avril. Sa veuve, Anita Zucker, a par la suite pris les commandes de l'entreprise. Depuis, la famille a dit vouloir continuer d'exploiter la compagnie, fondée en 1670, ce qui n'a pas empêché plusieurs observateurs de l'industrie de croire qu'elle pourrait changer d'idée. Si elle se concrétise, l'acquisition de HBC par le propriétaire de Lord & Taylor consacrerait le mariage de deux des plus anciens acteurs dans le domaine des chaînes de magasins généralistes. Dans la dernière décennie, cette industrie a été durement touché par la concurrence féroce des magasins spécialisés et des chaînes à bas prix comme Wal-Mart. De leur côté, tant HBC que Lord & Taylor déploient tous deux beaucoup d'efforts depuis environ deux ans afin de rajeunir leur image. Mercredi, des sources citées par le site web Women's Wear Daily affirmaient que la firme NRDC était déterminée à acquérir HBC.
  11. Les dernières données de Statistique Canada illustrent ce dont on se doutait, que la télévision traditionnelle ne cesse de perdre du terrain au profit des chaînes payantes et spécialisées. Pour en lire plus...
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