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  1. Après la performance mauvaise de février du marché de l'emploi au Québec, de bonne nouvelles pour mars: - 15 100 personnes de plus qui ont un emploi (gain de 24 000 emplois à temps plein et perte de 8 900 emplois à temps partiel) - Baisse du taux de chômage à 7,6% http://www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/140404/dq140404a-fra.htm Voir Tableau 3 pour plus d'infos.
  2. http://journalmetro.com/plus/carrieres/433651/lemploi-affiche-un-nouveau-record-a-montreal-pour-un-troisieme-mois-consecutif/ <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">L’emploi affiche un nouveau record à Montréal pour un 3e mois consécutif Par Laurence Houde-RoyMétro </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">MétroDans la vente et les services aux personnes, environ 50 % des travailleurs sont surqualifiés.</figcaption></figure> Le nombre d’emplois à Montréal a atteint un nouveau record pour le troisième mois consécutif en décembre 2013, selon l’Enquête sur la population active de Statistique Canada. Quelque 977 300 Montréalais travaillaient, soit 1000 de plus qu’en novembre 2013 et 8400 de plus qu’en octobre 2013. «Cette performance est cependant légèrement atténuée par une perte de 4300 postes à temps plein en un mois, alors que 5900 emplois à temps partiel ont été créés», mentionne le bulletin Enquête sur la population active du mois de décembre 2013 de Montréal en statistiques. <aside class="stat-highlight" style="border-style: solid; border-color: rgb(218, 218, 218); border-width: 1px 0px; font-size: 13px; line-height: normal; font-family: Arial, sans-serif; padding: 10px 0px;"> 18 500 On compte 18 500 emplois de plus sur l'Île-de-Montréal en décembre 2013 que douze mois plus tôt. </aside>Le taux de chômage à Montréal a également fait un bond d’un dixième de point en décembre, pour grimper à 9,1%. «L’arrivée de personnes additionnelles au sein de la population active a fait sentir sont impact sur le taux de chômage», explique Montréal en statistique. La population active est effectivement composée de 2600 individus de plus qu’en novembre 2013, avec maintenant 1 075 200 Montréalais en emploi ou à la recherche d’emploi, «soit un record de tous les temps». Le taux de chômage à Montréal en décembre affiche tout de même une baisse de 0,9 point si on le compare aux données de décembre 2012, où il était de 10%.</article>
  3. Emploi: des signes positifs au Québec Stéphane Rolland . les affaires.com . 08-11-2013 (modifié le 08-11-2013 à 09:28) Le marché de l’emploi québécois donne des signes d’embellie en octobre tandis que la province a créé près de 40 000 emplois à temps plein et que la population active augmente, selon les données de Statistique Canada. En un mois, il s’est créé 34 100 emplois, toujours dans la province. De ce chiffre, on enregistre la création de 39 600 emplois à temps plein et la perte de 5 600 emplois à temps partiel. L’emploi augmente ainsi de 0,8% en un mois et de 0,6% en un an. Le temps plein augmente de 1,2% en un mois et de 1,5% en un an. Le temps partiel recule de 0,7% en un mois et de 3,3% en un an. Le taux de chômage passe ainsi de 7,6% à 7,5%. La diminution est cependant réduite par une augmentation de la population active de 32 400 personnes, un gain de 0,7% en un mois. Le taux d’activité passe ainsi de 64,8% à 65,3%. Généralement, les économistes attribue une augmentation du taux d’activité au fait que les travailleurs en plus de confiance en leur capacité de trouver du travail. À l’inverse, une baisse peut vouloir dire que plus de personnes quittent le marché de l’emploi découragé de pouvoir s’y insérer. Voilà pourquoi, en période de ralentissement économique ou de récession, des baisses du taux de chômage sont accueillies négativement lorsqu’elles s’expliquent par une baisse des effectifs sur le marché du travail. La publication des données survient alors que Québec doit composer avec des revenus moins élevés que prévu en raison d’une croissance économique plus faible qu’anticipée. Les partis d’opposition accusent le gouvernement minoritaire du Parti québécois de mener une piètre politique économique. En septembre, Pauline Marois a d’ailleurs dévoilé un plan pour créer 43 000 emplois supplémentaires d’ici 2017. Dans le reste du pays, le taux de chômage est resté stable à 6,9% tandis qu’on a créé 12 300 emplois. Les économistes espéraient la création de 11 000 emplois. La création d’emplois dans le secteur public aura permis de compenser les pertes dans le secteur privé. Lien: http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/emploi-des-signes-positifs-au-quebec/563509
  4. Québec Le taux de chômage recule Agence QMI 08/02/2013 10h43 OTTAWA - Le taux de chômage a diminué au Québec en janvier, alors qu'il s'est créé plus de 5000 emplois, a indiqué vendredi Statistique Canada. Les chiffres sur l'emploi de la province détonnent avec la perte de plus de 20 000 emplois au Canada. L'agence fédérale a souligné que si l'économie de la province a détruit 7900 emplois à temps partiel, elle en a créé 13 300 à temps plein, pour une création nette de 5500 emplois. Cette embellie dans le monde du travail a contribué à ramener le taux de chômage à 7,1 %, en baisse de deux dixièmes de point de pourcentage. Au Canada, le portrait est beaucoup moins reluisant, alors qu'il s'est perdu 21 900 emplois en janvier, essentiellement des postes à temps plein (20 600). Les économistes sondés par l'agence Bloomberg attendaient une création de 5000 emplois. Le taux de chômage a reculé d'un dixième de point de pourcentage, à 7 %. En décembre, à la fois le Québec et le Canada avaient enregistré une création d'emplois, soit respectivement de 5200 et 31 200 emplois, en chiffres révisés. Au pays, l'hémorragie d'emplois s'est surtout produite en Ontario, avec une perte de 31 200 emplois. L'emploi à temps plein a reculé de 43 000. Comme il y avait moins de personnes à la recherche de travail, le taux de chômage a diminué de deux dixièmes de point dans la province voisine pour passer à 7,7 %. Au pays, le secteur public s'est délesté de quelque 27 000 employés le mois dernier, alors que l'emploi dans le secteur privé a diminué de 18 800. Le nombre de travailleurs autonomes s'est accru de 23 900. Par rapport à 12 mois plus tôt, le nombre d'employés du secteur privé a augmenté de 1,9 % ou de 210 000, alors que le nombre d'employés du secteur public et celui des travailleurs autonomes ont connu peu de variation, fait savoir l'agence fédérale. Le nombre de personnes travaillant dans l'enseignement et le secteur de la fabrication a chuté, alors qu'il s'est accru dans la construction et les administrations publiques. Les mauvaises statistiques sur les mises en chantier et l'emploi faisaient réagir négativement le dollar canadien, qui perdait 49 centièmes de cent par rapport au dollar américain, à 99,73 cents, à 9 h 12.
  5. http://affaires.lapresse.ca/portfolio/developpement-economique-regional-2013/portrait-2013-montreal/201304/02/01-4636662-montreal-la-metropole-se-rattrape.php
  6. Seul le Québec, IPE et la Saskatchewan ont eu augmentation du taux de chômage Faut croire que la reprise économique est maintenant bien amorcée au pays. Retour aux chiffres normaux... *** Emploi - Perte de 25 700 emplois au Québec en décembre Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Dans l'ensemble du Canada, le taux de chômage a légèrement augmenté en décembre, pour s'établir à 7,5 %, en hausse de 0,1 % par rapport à novembre. Statistique Canada souligne que 17 500 emplois ont été ajoutés en décembre au pays après deux mois de baisses. Toutefois, le taux de chômage a augmenté parce que davantage de personnes ont cherché activement du travail. L'organisme rapporte une augmentation de 43 000 du nombre de personnes travaillant à temps partiel en décembre mais note aussi une baisse de 26 000 du nombre de travailleurs à temps plein. Le nombre d'emplois dans le secteur de la fabrication a augmenté de 30 000 en décembre. Parallèlement, le nombre d'emplois a baissé de 7200 dans les services publics et est resté à peu près inchangé dans les autres secteurs. Pour l'ensemble de l'année 2011, les gains sont de 199 000 emplois au pays. La grande majorité de ces emplois ont été créés durant les six premiers mois de l'année. Hausse du chômage au Québec Dans les provinces, l'emploi a augmenté en décembre en Colombie-Britannique, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve-et-Labrador, en Saskatchewan, au Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard. L'emploi a toutefois diminué au Québec pour un troisième mois consécutif. La diminution était estimée à 25 700 emplois en décembre, portant le taux de chômage à 8,7 %. Les baisses les plus marquées au Québec se situent dans le secteur de la construction (monctezuma : pourant c'est pas les chantiers qui manquent !?!?) et dans celui des soins de santé et de l'assistance sociale. Le Québec a connu une baisse de 51 000 emplois en un an. Taux de chômage par province, décembre (novembre entre parenthèses) Terre-Neuve-et-Labrador 12,8 (13,2) Île-du-Prince-Édouard 11,4 (11,1) Nouvelle-Écosse 7,8 (8,6) Nouveau-Brunswick 9,4 (9,8) Québec 8,7 (8,0) Ontario 7,7 (7,9) Manitoba 5,4 (5,5) Saskatchewan 5,2 (5,1) Alberta 4,9 (5,0) Colombie-Britannique 7,0 (7,0)
  7. 5$ que dans une semaine on vas annoncer que le Québec a créé 42 000 emplois en juin /********************** Juin Le Québec a perdu 4600 emplois Agence QMI 06/07/2012 10h06 - Mise à jour 06/07/2012 10h37 OTTAWA – L'économie québécoise a perdu 4600 emplois en juin par rapport à mai, essentiellement des postes à temps plein, selon Statistique Canada. Le taux de chômage a tout de même chuté de 0,1 % pour s'établir à 7,7 %, en raison du moins grand nombre de personnes à la recherche d'un emploi. De fait, l'activité économique a détruit 5500 emplois à temps plein et en a créé 900 à temps partiel. Les données publiées vendredi par Statistique Canada contrastent avec celles du mois précédent, alors qu'on avait enregistré une création de 14 700 emplois. L'agence fédérale a aussi indiqué qu'il s'est créé 7300 emplois au pays, ce qui est supérieur aux 5000 emplois attendus par les économistes. Le taux de chômage a diminué d'un dixième de point de pourcentage, à 7,2 %. L'emploi a surtout progressé en Ontario, avec une création nette de 20 200 emplois. Le taux de chômage a diminué d'un dixième de point de pourcentage pour s'établir aussi à 7,7 %, comme au Québec. Au pays, des hausses de l'emploi ont été constatées notamment dans les services aux entreprises, dans les soins de santé et l'assistance sociale, dans l'enseignement et dans les services publics. Des baisses ont été constatées dans le secteur de l'information, de la culture et des loisirs ainsi que dans celui de l'agriculture. Le nombre d'employés du secteur public a augmenté de 38 900 en juin alors qu'il a diminué de 26 000 dans le secteur privé. Toutefois, la croissance de l'emploi au cours des 12 derniers mois a eu lieu principalement au sein du secteur privé, avec une augmentation de 148 700 emplois. Dans le secteur public, elle a été de 21 200 emplois. Un été difficile pour les étudiants Chez les étudiants, le marché du travail est moins reluisant cette année que l'an dernier. Statistique Canada a indiqué que le taux d'emploi, soit le nombre d'étudiants qui travaillent par rapport au total des étudiants, s'est affiché à 63,2 % en juin, comparativement à 67,4 % en juin 2011. Le taux d'emploi est le plus bas enregistré pour un mois de juin depuis 35 ans, a souligné l'agence fédérale. Le taux de chômage des étudiants s'est fixé à 13 % en juin, en hausse par rapport au taux de 11 % enregistré un an plus tôt.
  8. Le Québec crée plus du tiers des emplois au Canada La création d'emplois a surpris en mars au Québec et au Canada, alors que Statistique Canada a rapporté jeudi que plus de 80 000 emplois avaient été créés au pays, dont plus du tiers au Québec. Après quatre mois de faible variation, l'emploi a progressé de 82 300 au Canada, soit 70 000 postes à temps plein et 12 400 à temps partiel. Les économistes sondés par l'agence Bloomberg attendaient une création d'emplois beaucoup moins forte, soit aux environs de 10 000 postes. La hausse de l'emploi a fait chuter le taux de chômage de 0,2 point de pourcentage, à 7,2%. Au Québec, l'économie a créé un total de 36 400 emplois, ramenant le taux de chômage à 7,9%, en baisse de 0,5 point de pourcentage. Environ les deux tiers des emplois créés ont été des postes à temps plein (23 900), alors que 12 600 nouveaux postes à temps partiel ont été observés. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2012/04/quebec-cree-plus-tiers-des-emplois-canada.html
  9. La capitale excelle Rémi Nadeau 05/02/2010 20h01 La ville de Québec affiche maintenant le plus faible taux de chômage au pays, et selon les leaders de la région, elle se maintiendra dans le peloton de tête pendant un bon moment. La publication des taux de chômage enregistrés au Canada, en janvier, a révélé, hier, que la ville de Québec détient la palme du plus bas taux à 4,5 pour cent, en baisse de 0,4 pour cent comparativement au mois de décembre 2009. Cette donnée démontre encore à quel point l’économie se porte mieux à Québec qu’à Montréal, alors que la métropole accuse un taux de chômage de 9,1 pour cent. Le taux de chômage moyen est de 8,3 pour cent au Canada et de 8 pour cent au Québec. Les statistiques révèlent aussi à quel point l’Ontario est toujours affectée par la récession, la ville de Windsor affichant le pire taux de chômage au pays à 12,8 pour cent. « Nous récoltons les fruits de nos efforts des dernières années », a d’abord commenté l’économiste principal de Pôle Québec−Chaudière-Appalaches, Louis Gagnon. Il soutient que la croissance observée dans de nouveaux secteurs économiques ayant pris de l’importance à Québec, jumelée aux bonnes performances de l’industrie de la construction, sont à l’origine des succès de la ville. « Les secteurs des finances, de l’assurance et des technologies de l’information ont permis à Québec de soutenir sa croissance économique, alors qu’elle détient déjà une base solide avec les employés de la fonction publique », a-t-il précisé. Selon lui, la position de tête de Québec n’est pas un phénomène ponctuel, notamment en raison de la reprise économique, de l’expansion des entreprises de technologie comme Ubisoft et Frima ainsi que des nombreux projets de construction résidentielle et commerciale qui sont en cours. « On voit des projets de construction de tours à bureaux qui pourraient amener des superficies supplémentaires de 500 000 pieds carrés entre 2010 et 2012 », a-t-il signalé. La présidente de la Chambre de commerce de Québec, Liliane Laverdière, estime aussi que Québec n’a pas à craindre que son succès soit éphémère, rappelant que la tendance à la baisse du taux de chômage est observée depuis septembre dernier. « Ce n’est pas un feu de paille. Il y a beaucoup de projets et les gens de la région de Québec ont recommencé à consommer avec confiance », a-t-elle affirmé, hier. Le ministre de l’Emploi, de la Solidarité sociale et du Travail, Sam Hamad, a pour sa part mis en garde les acteurs économiques contre la tentation de s’asseoir sur leurs lauriers, en commentant ces données positives. « Ça démontre qu’il faut continuer à investir dans la recherche et le développement, la recette elle est là, et Québec l’a, la recette », a précisé le député de Louis-Hébert au cours d’une conférence de presse tenue dans le parc technologique du Québec métropolitain. À ses côtés, la ministre fédérale responsable de la région de Québec, Josée Verner, a rappelé que le Conference Board prévoit par ailleurs que la région de Québec sera celle qui obtiendra le meilleur taux de croissance économique au pays en 2010.
  10. Mauvaise surprise: le Canada a perdu 43 000 emplois 6 novembre 2009 | 07h04 Mise à jour: 6 novembre 2009 | 07h43 L’économie canadienne a perdu 43 200 emplois en octobre, après deux mois de croissance modérée. Les données publiées par Statistique Canada démontrent toutefois qu'il s'agit essentiellement d'emplois à temps partiel. Sous l'effet de cette baisse, le taux de chômage a augmenté de 0,2% pour s'établir à 8,6%. Les chiffres vont surprendre les économistes, qui tablaient sur une création de 10 000 emplois et un taux de chômage de 8,5%. Le Québec s'en est mieux tiré, avec une création de 1400 emplois. Il s’est détruit 22 500 emplois à temps partiel dans la province, en même temps qu’il s’en est créé 23 900 à temps plein. Au Québec toujours, le taux de chômage a reculé de 0,3% pour s'établir à 8,5%. Statistique Canada explique ce recul par une contraction de la population active. Depuis un an, le nombre de travailleurs a diminué de 62 000 ou -1,6 % au Québec. Il s'agit d'un taux de repli inférieur à la moyenne nationale, qui est de -2,3 %. Au pays, le recul de l'emploi en octobre s'est surtout manifesté dans les commerces de détail et de gros, dans les «autres services» et dans les ressources naturelles. Ces pertes ont été partiellement compensées par la hausse de l'emploi dans le transport et l'entreposage. Le nombre d'employés dans le secteur privé et dans le secteur public a diminué, et ce recul a été tempéré par la croissance du travail indépendant. Le fléchissement de l'emploi en octobre s'est entièrement manifesté chez les femmes adultes âgées de 25 ans et plus et chez les jeunes de 15 à 24 ans. Le chômage à la hausse en Ontario En octobre, l’Ontario a encaissé une hausse du taux de chômage de 0,1% qui s’établit maintenant à 9,3%. La situation de l’emploi y est moins reluisante qu’au Québec, alors qu’il s’est perdu 15 200 emplois à temps partiel pour une création de seulement 3200 à temps plein.
  11. La reprise économique au Québec est liée à celle des Etats-Unis 06 septembre 2009 12:55 LEVIS - La reprise économique au Québec sera intimement liée à celle de son voisin américain au cours des prochains mois. C'est ce que soutient l'économiste Joelle Noreau, du Mouvement Desjardins. Au Québec, 8300 emplois ont été créés en août dernier, mais le taux de chômage a augmenté d'un dixième pour cent, à 9,1 pour cent. Joelle Noreau estime qu'il est trop tôt pour parler de relance économique. Selon elle, il faudra un relèvement décisif aux Etats-Unis pour que les effets soient vraiment perceptibles et durables au Québec. Mme Noreau souligne que le Québec a des liens étroits avec les Etats-Unis dans plusieurs secteurs qui souffrent actuellement de la récession, soit les secteurs manufacturier, du transport et de l'aéronautique. L'économiste note que l'Ontario vit une situation quasi similaire, son économie étant également fortement tributaire des Etats-Unis. Dans cette province, le taux de chômage est passé de 9,3 pour cent en juillet à 9,4 pour cent en août. L'emploi a néanmoins crû de 12 200 le mois dernier.
  12. La presse, 7 aout 2009 Si le taux de chômage est resté stable au Canada en juillet, les pertes d'emplois au Québec ont connu une importante hausse durant la même période. Le taux de chômage était stable à 8,6 % en juillet au pays. Après avoir peu bougé en juin, l'emploi a toutefois diminué de 45 000 au cours du mois dernier. Statistique Canada souligne que les pertes d'emploi ont touché à la fois le travail à temps plein et le travail à temps partiel. L'emploi s'est replié principalement chez les jeunes de 15 à 24 ans et chez les femmes de 25 à 54 ans. La tendance à la baisse chez les employés du secteur privé a persisté mais on a noté une progression soutenue de l'emploi autonome. En juillet, l'emploi a diminué dans les services d'hébergement et de restauration, ainsi que dans la construction. Le commerce de détail et le commerce de gros ont pour leur part connu des augmentations. Au Québec Le taux de chômage a augmenté de deux dixièmes au Québec en juillet pour passer à neuf pour cent. C'est le plus élevé depuis janvier 2004. Après quatre mois sans enregistrer de pertes notables, l'emploi au Québec a reculé au total de près de 37 000. Au Nouveau-Brunswick, le taux de chômage est passé à 9,4 %, en hausse de deux dixièmes par rapport au mois précédent. En Ontario, il a baissé de trois dixièmes à 9,3%. Le mois de juillet a été difficile pour les étudiants canadiens. Leur taux de chômage a atteint 20,9%. Il s'agit du taux de chômage le plus élevé noté en juillet pour les étudiants depuis que des données comparables sont devenues disponibles en 1977. L'emploi a reculé de 10,9% chez les jeunes de 15 à 24 ans par rapport au même mois de l'année précédente.
  13. Emploi: le Québec résiste bien Publié le 11 juillet 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Rudy Le Cours lapresseaffaires.com Les travailleurs québécois sont jusqu'ici beaucoup moins touchés par la récession que leurs collègues ontariens, encore loin du bout de leurs peines. De janvier à juin, l'économie a détruit 25 300 emplois au Québec, mais 178 600 dans la province voisine, selon les données de l'Enquête sur la population active de Statistique Canada publiées hier. Le mois dernier, il s'est créé 1200 emplois en Ontario alors que 4600 ont disparu ici, mais ces chiffres sont pur mirage. Chez nous, 3000 nouveaux emplois à temps plein n'ont pu compenser la destruction de 7600 postes à temps partiel. En Ontario, le faible gain total masque la destruction de 56 200 jobs à temps plein portant l'hécatombe dans la meilleure catégorie d'emplois à 244 200 cette année. Au final de mai à juin, le taux de chômage est passé de 8,7% à 8,8% au Québec, et de 9,4 à 9,6% en Ontario où l'on a aussi assisté à un soubresaut de la population à la recherche active d'un emploi. «Les pertes ontariennes sont sept fois plus nombreuses, constate Joëlle Noreau, économiste principale chez Desjardins. Le secteur manufacturier est trois fois et demie plus éprouvé.» L'Ontario fait face à un autre défi. Le taux de chômage chez les 15-24 ans a bondi de 17,1% à 19,1% en un mois. Au Québec il a plutôt diminué d'un point de pourcentage à 14,9%, allant ainsi à l'encontre de la tendance canadienne. Cela signifie que, hors Québec, les étudiants ont du mal à trouver du travail cet été. Or, les droits de scolarité y sont beaucoup plus élevés. Les parents contraints d'aider leurs grands enfants devront diminuer leurs dépenses discrétionnaires, ce qui freinera la relance de l'activité économique dans ces provinces. À l'échelle canadienne, le taux des demandeurs d'emploi a grimpé de deux dixièmes à 8,6%. En juin, il s'est perdu 7400 emplois, soit beaucoup moins que ce à quoi les experts s'attendaient, mais encore ici, il convient de gratter un peu. Ce résultat est le fruit de la disparition de 47 500 jobs à temps plein que n'a pas compensée la création 40 100 temps partiel. En outre, 37 200 personnes ont créé leur emploi car tant les secteurs public que privé ont réduit leurs effectifs. Pour le deuxième trimestre, les pertes nettes canadiennes se limitent à quelque 13 000 emplois. Cela tranche avec les destructions brutales de l'hiver et laisse croire que le marché du travail est en voie de se stabiliser. Le nombre d'heures ouvrées a augmenté pour un deuxième mois d'affilée en juin, ce qui accrédite la thèse d'une stabilisation. «Si les heures travaillées restent au même niveau en juillet, nous entamons le troisième trimestre avec un élan, le meilleur depuis le dernier trimestre de 2007», pensent Yanick Desnoyers et Marco Lettieri, de la Financière Banque Nationale. Quel contraste avec ce qui se passe aux États-Unis où la destruction d'emplois a été brutale le mois dernier et a fait grimper le taux de chômage à 9,5%! C'est d'ailleurs la faiblesse de l'emploi aux États-Unis qui pèse le plus sur celui du Canada dont les exportations au sud continuent de fléchir. Cela pèse sur le secteur manufacturier. Encore 25 700 emplois en usines détruits le mois dernier, surtout concentrés au Québec. Cela porte le solde cette année à 187 800, dont la moitié en Ontario où sont concentrées les activités de GM et Chrysler, qui émergent d'une faillite. La consolidation du marché du travail est assurée par la construction et par l'ensemble des services, hormis le commerce. Stabilisation ne signifie pas encore regain toutefois, comme le remarque Sébastien Lavoie, économiste chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne. Le temps de chômage moyen a bondi de 11% en juin à 16,2 semaines. «On peut se consoler en se rappelant qu'il était beaucoup plus élevé durant les récessions précédentes (20 semaines dans les années 1980 et 25 dans les années 1990).» Aux États-Unis, on atteint les 24 semaines et demie, un triste sommet.
  14. Le chômage a augmenté de 0,2 point en juin * Alexandre Paillé, Lesaffaires.com * 07:22 Au Québec, l'emploi est resté inchangé en juin. Le taux de chômage a augmenté de 0,2 point de pourcentage en juin au Canada, pour atteindre 8,6 pour cent. Statistique Canada affirme qu'un plus grand nombre de personnes a cherché du travail. L'économie canadienne a donc perdu 7400 emplois en juin, alors que les analystes s'attendaient à des pertes de quelque 35 000 emplois, contre 41 800 en mai, et à une augmentation du chômage à 8,7%. Pour le deuxième trimestre de 2009, les pertes nettes totales se chiffrent à 13 000 emplois, soit bien moins que la baisse de 273 000 observée au cours des trois premiers mois de l'année. Au premier trimestre, l'emploi avait reculé dans presque toutes les branches d'activité, mais surtout dans la fabrication et la construction. Par contre, au cours des trois derniers mois, l'emploi a progressé dans la plupart des industries du secteur des services, s'est stabilisé dans la construction, mais a continué à fléchir dans le secteur de la fabrication, indique Statistique Canada. Par province L’agence fédérale note que le changement le plus marqué dans la tendance de l'emploi en juin a été observé au Québec, en Colombie-Britannique et en Alberta. L'emploi y a fortement baissé au cours des trois premiers mois de 2009 et cela contraste avec les trois derniers mois au cours desquels l'emploi a augmenté au Québec et en Colombie-Britannique et a peu changé en Alberta. Au Québec, l'emploi est donc resté inchangé. Le taux de chômage s'est fixé à 8,8 pour cent dans la province. Depuis octobre, l'emploi au Québec a seulement diminué de 0,8 pour cent, soit un taux de décroissance nettement inférieur à la moyenne nationale (-2,2%). À noter que le Québec encaisse en bonne partie les pertes reliées à l'emploi dans la fabrication à l’échelle nationale. L’Ontario, la perte de 56 000 emplois en juin a été neutralisée par la hausse du travail à temps partiel (+57 000), de sorte que l'emploi total est resté inchangé en juin. Le taux de chômage a connu une légère hausse pour s'établir à 9,6 %, soit le taux le plus élevé en 15 ans. Ailleurs au pays, l'emploi est resté pratiquement inchangé en juin dans les autres provinces, sauf à Terre-Neuve-et-Labrador, où il a augmenté. Par secteur En juin, des emplois ont été créés dans le secteur de l'information, de la culture et des loisirs (26 000) de même que dans celui de la finance, des assurances, de l'immobilier et de la location (21 000). Cependant, des baisses appréciables ont été observées dans la fabrication (-26 000) et dans le secteur des services aux entreprises, des services relatifs aux bâtiments et des autres services de soutien (-14 000). Les jeunes durement touchés Les jeunes de 15 à 24 ans ont été durement touchés par le recul de l'emploi en juin, les pertes nettes s'étant élevées à 33 000 dans ce groupe. Le taux de chômage chez les jeunes a progressé d’un point de pourcentage pour s'établir à 15,9 %, soit le taux le plus élevé en 11 ans. Depuis le sommet atteint en octobre dernier, ce sont les jeunes, parmi tous les groupes d'âge, qui ont connu la baisse la plus marquée de l'emploi (-6,4 %). Plus de travailleurs indépendants Le travail indépendant a progressé en juin (37 000 emplois), tandis que le nombre d'employés du secteur privé a diminué (-39 000). Statistique Canada rapporte que depuis octobre, le nombre de travailleurs indépendants a augmenté de 1,5 %, alors que l'effectif des salariés s'est contracté, particulièrement dans le secteur privé (-3,3%). Le taux dans les provinces du pays Le chiffre du mois précédent figure entre parenthèses: _ Terre-Neuve-et-Labrador 15,6 (15,1) _ Ile-du-Prince-Edouard 12,2 (13,1) _ Nouvelle-Ecosse 9,4 (8,9) _ Nouveau-Brunswick 9,2 (8,8) _ Québec 8,8 (8,7) _ Ontario 9,6 (9,4) _ Manitoba 5,2 (4,9) _ Saskatchewan 4,6 (4,9) _ Alberta 6,8 (6,6) _ Colombie-Britannique 8,1 (7,6) Le taux dans les grandes villes du pays Le chiffre du mois précédent figure entre parenthèses: _Saint-Jean, T.-N.-L. 7,6 (7,5) _Halifax 5,9 (5,8) _Saint-Jean, N.-B. 5,0 (5,9) _Saguenay 9,2 (9,4) _Québec 4,6 (4,4) _Trois-Rivières 8,2 (8,8) _Sherbrooke 9,1 (8,8) _Montréal 9,5 (9,4) _Gatineau 5,4 (5,4) _Ottawa 6,4 (6,1) _Kingston 6,6 (6,5) _Toronto 9,6 (9,1) _Hamilton 7,1 (7,4) _Kitchener 9,9 (9,9) _London 10,4 (10,2) _Oshawa 8,7 (7,9) _St. Catharines-Niagara 10,9 (10,6) _Sudbury 8,9 (8,4) _Thunder Bay 8,8 (8,8) _Windsor 14,4 (13,8) _Winnipeg 4,9 (4,8) _Regina 3,4 (3,8) _Saskatoon 4,6 (5,0) _Calgary 6,6 (6,6) _Edmonton 6,5 (6,0) _Abbotsford 8,2 (7,5) _Vancouver 6,9 (6,8) _Victoria 6,3 (6,4) _Moncton 5,3 (5,6)
  15. Le taux de chômage a augmenté de 0,2 % en juin au Canada, pour atteindre 8,6 %. L'emploi est resté pratiquement inchangé dans toutes les provinces, sauf à Terre-Neuve-et-Labrador, où il a augmenté. Pour en lire plus...
  16. Il n'y a pas de récession à Québec 16:58 pm, Luc Lavoie Les derniers chiffres du chômage nous rappellent la gravité de la crise économique actuelle. Au Canada, le taux de chômage a monté d'un demi point (.4% pour être plus précis) en mai pour se situer à 8,4%. En Ontario, il a monté de plus qu'un demi point (.7%) pour atteindre 9,4%. C'est exactement le même niveau qu'aux États-Unis où on compte maintenant 14,5 millions de chômeurs. Au Québec, on s'en sort mieux avec un taux de chômage de 8,7%, mais à Montréal la situation devient inquiétante, alors que le taux de chômage grimpe d'un demi-point pour se situer à 9,4%. Ce qui contribue sûrement à expliquer qu'en dépit du fait que plus ou moins la moitié de la population du Québec vit dans la grande région de Montréal, la moyenne à l'échelle du Québec est sensiblement inférieure au niveau de chômage enregistré à Montréal, c'est que dans la région de Québec, c'est la prospérité et le plein emploi avec un taux de chômage 4,4%. Alors que débute la saison touristique estivale, la région de Québec fait face à une pénurie de main d'oeuvre. Le monde en entier traverse la pire récession depuis les années 30, mais pas Québec!!! Comment expliquer cet autre "mystère de Québec" ?
  17. Le chômage au Canada à un sommet en 11 ans Publié le 05 juin 2009 à 07h22 | Mis à jour à 11h29 L'Ontario a été la province canadienne la plus durement touchée par la récession pendant le mois de mai, perdant quelque 60 000 ouvriers, la grande majorité étant des travailleurs à temps plein du secteur manufacturier. Ces imposantes pertes à l'intérieur de la province la plus populeuse au pays ont généré un taux de chômage, à l'échelle canadienne, de 8,4%, comparativement à 8,0% en avril. Il s'agit du taux de chômage le plus élevé au Canada en 11 ans. En Ontario, le taux de chômage s'est élevé de 0,7% par rapport à avril 2009 et a atteint 9,4%, soit son niveau le plus élevé en 15 ans. L'emploi est resté inchangé au Québec en mai. Une augmentation du nombre de personnes sur le marché du travail dans la province a cependant fait monter le taux de chômage, qui s'est fixé à 8,7%. Au Nouveau-Brunswick, le taux de chômage a baissé d'un dixième, passant à 8,8%. On a aussi enregistré des hausses de l'emploi au Manitoba, en Nouvelle-Ecosse et en Saskatchewan. Dans l'ensemble du pays, 41 800 travailleurs ont joint les rangs des sans-emploi le mois dernier, haussant le total à 363 000 Canadiens ayant perdu leur boulot depuis le début de la récession, en octobre. Les chiffres seraient encore plus sombres n'eut été de 17 000 embauches à temps partiel. Depuis octobre, il s'est perdu 406 000 emplois à l'échelle nationale, tandis que le nombre de postes à temps partiel a augmenté de 44 000, ce qui tend à démontrer que de nombreux patrons préfèrent réduire le nombre d'heures de leurs employés, plutôt que de les limoger. La récession a également eu des répercussions sur les revenus des travailleurs. Le tarif horaire moyen a connu une hausse de 3,4% en mai par rapport au même mois l'an dernier, la plus petite augmentation en deux ans. Mais alors que les statistiques de mai démontrent que toutes les régions du Canada ont été affectées par la situation économique, aucune n'a été plus durement touchée que l'Ontario, où se sont volatilisés 234 000 emplois depuis octobre 2008. «Bien que l'Ontario réunit 39% de la population en âge de travailler, cette province a enregistré 64% du repli global de l'emploi depuis le début du mouvement du déclin du marché du travail», note Statistiques Canada dans son rapport mensuel. La plupart de ces pertes sont survenues dans le secteur manufacturier, durement affecté par la crise dans l'industrie automobile et par la réduction de la demande en provenance des États-Unis. L'emploi dans le secteur de la fabrication a poursuivi son mouvement en déclin, en baisse de 58 000 en mai, principalement en Ontario. Ce recul a porté à 186 000 les baisses observées depuis octobre. La diminution la plus marquée a été observée dans l'industrie du matériel de transport. En mai, l'emploi a également fléchi dans le secteur du transport et de l'entreposage, de même qu'au chapitre des travailleurs indépendants, effaçant ainsi la progression inscrite en avril. Statistique Canada a cependant noté une hausse des employés du secteur public, de l'ordre de 27 000 employés, surtout en raison de la croissance de l'effectif des administrations publiques. Les emplois d'été commencent en mai pour de nombreux étudiants âgés de 20 à 24 ans. Or, l'activité de ce groupe sur le marché du travail a considérablement fléchi. Le taux de chômage s'est élevé à 18,3% pour ce groupe d'étudiants, comparativement à 15,4% en mai 2008. Voici le taux pour les provinces canadiennes. Le chiffre du mois précédent figure entre parenthèses: - Terre-Neuve et Labrador 15,1 (14,7) - Ile-du-Prince-Edouard 13,1 (12,4) - Nouvelle-Ecosse 8,9 (9,2) - Nouveau-Brunswick 8,8 (8,9) - Québec 8,7 (8,4) - Ontario 9,4 (8,7) - Manitoba 4,9 (4,6) - Saskatchewan 4,9 (5,0) - Alberta 6,6 (6,0) - Colombie-Britannique 7,6 (7,4) Et pour les grandes villes Québécoises : -Saguenay 9,4 (8,9) -Québec 4,4 (4,4) -Trois-Rivières 8,8 (8,9) -Sherbrooke 8,8 (7,6) -Montréal 9,4 (8,9)
  18. À 8,4 %, le taux de chômage atteint un niveau inégalé en 11 ans. Les plus importantes pertes d'emplois ont été enregistrées dans le secteur manufacturier ontarien. Pour en lire plus...
  19. Mises à pied chez Dassault Mise à jour le lundi 11 mai 2009 à 8 h 36 L'avionneur français Dassault, qui fabrique les jets d'affaires Falcon, licenciera quelques centaines d'employés aux États-Unis et forcera quelque 2000 travailleurs du personnel de production à se placer au chômage pour quelques jours entre fin septembre et fin décembre. C'est ce qu'a annoncé lundi le président-directeur général de la firme, Charles Edelstenne, lors du Salon de l'aviation d'affaires EBACE, qui se tient à Genève, en Suisse. Selon lui, les mesures de chômage partiel, toujours en négociation, réduiront le travail des employés de production de trois jours et demi par mois. M. Edelstenne n'a guère donné de détails sur les pertes d'emplois aux États-Unis, où Dassault Aviation embauche plus de 2500 personnes, surtout en Arkansas, mais aussi au Delaware au New Jersey et en Floride. « Ce sera progressif », s'est-il contenté d'ajouter. Tout comme Bombardier au Canada, Dassault est victime du ralentissement économique, qui se traduit notamment par une baisse des dépenses des entreprises. Bombardier a annoncé le mois dernier la suppression de 3000 emplois, dont 800 à Montréal, d'ici la fin de l'année. Dassault n'exclut pas de procéder à d'autres mises à pied au cours des prochains mois. Selon M. Edelstenne, l'entreprise se penchera sur d'éventuels licenciements supplémentaires en décembre. « On verra si on est obligé de faire comme les autres », a-t-il laissé tomber. Selon l'AFP, c'est la première fois que Dassault effectue des mises à pied depuis la dernière grande crise qui a secoué l'industrie du transport aérien, au début des années 90.
  20. Le ministre des Finances déclare qu'il n'a pas été informé d'une possible fuite d'information sur les données de chômage de Statistique Canada, qui a provoqué une enquête de l'organisme. Pour en lire plus...
  21. Pauvre Vancouver Sophie Cousineau, LaPresseAffaires À quelques mois de l’ouverture des Jeux olympiques d’hiver, cela devait être son année de gloire. Et pourtant, les malheurs ne cessent de s’abattre sur Vancouver. Les dernières statistiques sur le chômage de la province, publiées ce matin, sont affreuses. Des 61 000 emplois qui se sont perdus au pays en mars, plus du tiers ont disparu en Colombie-Britannique. Ainsi, le taux de chômage de la province a progressé de 6,7% à 7,4% en un mois. Avec le dégonflement de la bulle immobilière, ce sont les secteurs de la construction et de la fabrication qui sont les plus durement touchés. Les mises en chantier en milieu urbain, au nombre de 744 en mars, sont le tiers de ce qu’elles étaient il y a un an, rapporte le Globe & Mail ce matin. La violence qui s’est emparée de Vancouver ajoute à la morosité ambiante. L’assassinat brutal et en apparence gratuit de Wendy Ladner-Beaudry, alors que cette femme de 53 ans joggait dans un parc paisible, le week-end dernier, a révolté les Vancouverois. La ville est aux prises avec une flambée de violence en raison d’un conflit entre gang rivaux. Seulement depuis le début de l’année, il y a eu 45 fusillades qui ont emporté 17 victimes. Le président du comité organisateur des Jeux, John Furlong – qui connaissait très bien Mme Ladner-Beaudry, une femme reconnue pour sa grande implication dans le sport amateur en Colombie-Britannique – reste malgré tout optimiste pour les Jeux d’hiver de 2010. Et cela, même si son organisation n’ambitionne même plus de faire des profits et rêve seulement de faire ses frais. Si General Motors ou Air Canada, deux des principaux partenaires, se mettent à l’abri de leurs créanciers, comme certains le craignent, «on trouvera une solution», a-t-il confié à mon collègue Simon Drouin, dans une entrevue fort intéressante à lire ici. Le drapeau olympique flotte devant l’hôtel de ville de Vancouver. Photo Presse Canadienne.
  22. La récession terminée en septembre, selon des analystes Publié le 09 avril 2009 à 15h47 | Mis à jour le 09 avril 2009 à 15h49 Agence France-Presse Washington La récession aux États-Unis prendra fin en septembre, selon le pronostic qui se dégage de l'enquête de conjoncture mensuelle réalisée par le Wall Street Journal auprès de 54 économistes et publiée jeudi sur son site internet. Selon le journal des milieux d'affaires, une majorité relative de 43% des économistes interrogés estime que la récession commencée en décembre 2007 s'achèvera au troisième trimestre. Les économistes «prévoient que la récession finira en septembre, bien que la plupart d'entre eux disent que l'économie ne se reprendra pas suffisamment pour faire baisser le chômage avant la moitié de l'année 2010», écrit le WSJ. Selon le consensus qui se dégage de l'enquête, le PIB américain devrait avoir reculé de 5,0% en rythme annuel au premier trimestre et reculera encore de 1,8% au deuxième, avant de progresser à partir du troisième trimestre (+0,4%), et de continuer sur sa lancée au quatrième (+1,6%). Le journal note que c'est la première fois depuis le début de la récession que les économistes n'ont pas abaissé leurs prévisions concernant le PIB par rapport au mois précédent. Selon les derniers chiffres officiels disponibles, le PIB américain a reculé de 6,3% au quatrième trimestre 2008, après un recul de 0,5% au cours des trois mois d'été. Néanmoins, seuls 12% des économistes estiment que l'économie retrouvera une croissance suffisamment rapide d'ici à la fin de l'année pour faire baisser le taux de chômage, actuellement à 8,5%, son plus haut niveau depuis fin 1983. La majorité d'entre eux (35%) estime que la croissance ne sera assez forte pour faire baisser le chômage qu'à partir du troisième trimestre 2010 (contre 24% à partir du deuxième trimestre, et 14% à partir du premier). Mercredi, un des dirigeants de la Réserve fédérale (Fed), Richard Fisher, a estimé que le taux de chômage pourrait atteindre 10% d'ici à la fin de l'année. Les économistes interrogés par le Wall Street Journal tablent eux sur un chômage de 9,5% en décembre. Ils voient le PIB se contracter de 1,4% sur l'ensemble de 2009, après avoir cru de 1,1% en 2008. Selon les dernières prévisions des dirigeants de la Réserve fédérale (Fed) publiées mercredi dans les minutes de sa réunion de politique monétaire de mars, le PIB américain devrait ralentir sa chute «progressivement jusqu'à se stabiliser au second semestre de cette année et [progresser] lentement» en 2010.
  23. Le nombre est moins élevé que prévu États-Unis : les inscriptions au chômage sont en baisse 19 mars 2009 - 09h19 THE ASSOCIATED PRESS Quelque 646 000 personnes se sont inscrites au chômage la semaine dernière aux États-Unis, un chiffre moins important que prévu. Mais le nombre total de chômeurs a continué d'augmenter pour la huitième semaine consécutive, pour passer à 5,47 millions. En données corrigées des variations saisonnières, les États-Unis comptaient la semaine dernière 646 000 nouveaux inscrits au chômage, contre 658 000 la semaine précédente, selon les chiffres annoncés jeudi par le département du Trésor. Mais le nombre total de chômeurs a progressé de 185 000 personnes au cours de la semaine dernière, pour s'établir à 5,47 millions en données corrigées des variations saisonnières. Il s'agit d'un nouveau record, alors que les analystes tablaient sur 5,33 millions de chômeurs. http://argent.canoe.com/lca/infos/etatsunis/archives/2009/03/20090319-091949.html
  24. Montréal se stabilise Mise à jour le vendredi 13 mars 2009 à 10 h 55 Le taux de chômage a légèrement baissé à Montréal alors qu'il a augmenté dans l'ensemble du pays, selon Statistique Canada. Le taux de chômage demeure toutefois plus élevé que la moyenne canadienne dans la région montréalaise. Malgré une baisse de 0,7 % dans la région montréalaise au cours du mois de février, le taux de chômage s'est établi à 8,2 %. La moyenne canadienne se situe à 7,7 %. Le taux de chômage dans la région métropolitaine a ainsi baissé par rapport au mois de janvier dernier, mais il a augmenté 0,5 % par rapport au mois de février 2008. Pas moins de 82 600 emplois ont été perdus au Canada en février, ce qui a fait bondir le taux de chômage de 7,2 % à 7,7 %, toujours selon la plus récente enquête sur la population active de Statistique Canada. Il s'agit de la quatrième baisse consécutive de l'emploi recensée par l'agence fédérale. En janvier, Statistique Canada avait annoncé la suppression de 129 000 emplois, ce qui porte le nombre d'emplois perdus à 295 000 depuis octobre dernier.
  25. Un autre mois terrible pour l'emploi au Canada Publié le 13 mars 2009 à 06h59 | Mis à jour à 10h04 Michel Munger lapresseaffaires.com (Montréal) Février a été un autre mois difficile pour l'économie canadienne. À preuve: environ 83 000 emplois ont été perdus, indique Statistique Canada. Il s'agit de la quatrième baisse consécutive. Surtout, c'est maintenant routinier de dire que les chiffres réels sont pires que les prévisions: les analystes consultés par Bloomberg tablaient sur 50 000 postes. Ainsi, le taux de chômage bondit d'un demi-point à 7,7%. L'agence fédérale souligne que c'est le travail à temps plein qui écope avec la perte de 110 000 postes. Les mises à pied massives annoncées ces dernières semaines ont donc un impact sur les statistiques officielles. La baisse de 83 000 du mois dernier porte à 295 000 le nombre d'emplois abolis depuis le sommet atteint en octobre dernier. Cela représente l'élimination de 1,7% des emplois qui existaient à l'époque. Selon les données publiées ce matin, il y a des visages identifiables derrière cette situation pénible. Par exemple, les Ontariens sont les plus pénalisés par la récession en février alors que 35 000 travailleurs ont perdu leur gagne-pain. Les deux autres provinces les plus touchées sont l'Alberta (24 000 postes disparus) et le Québec (18 000 postes). Ce dernier a maintenant un taux de chômage en hausse de 0,2 point à 7,9%. Ces visages sont surtout masculins: un recul de 66 000 emplois a été constaté chez les hommes âgés de 25 à 54 ans. Depuis que le marché du travail bat en retraite, ils ont perdu 170 000 emplois ou 2,7%. Le taux de chômage masculin était de 7,3% en février, contre 5,5% chez les femmes. Un autre visage se trouve sous un casque de protection: les travailleurs de la construction ont perdu 43 000 emplois en février. C'est donc un peu plus de la moitié du repli d'ensemble à travers le pays. Il s'agit d'un retour du balancier car en octobre 2008, la croissance s'était élevée à 4,9%, la plus importante parmi les industries canadiennes. Depuis ce temps, le recul se chiffre à 6,4%. Les secteurs des services professionnels, scientifiques et techniques (31 000 postes), les services d'enseignement (15 000) et les ressources naturelles (8000) accusent aussi des baisses. Surprise, la fabrication a gagné 25 000 travailleurs en raison des gains de l'industrie alimentaire. L'agriculture est le seul autre secteur gagnant. ____________________________________________________________________ Le marché du travail «entre dans une période de chute libre» Publié le 13 mars 2009 à 10h47 | Mis à jour à 10h51 Michel Munger lapresseaffaires.com (Montréal) «Le taux de chômage de l'Ontario devrait par ailleurs atteindre 10% d'ici 2010, même si le plan de restructuration du secteur de l'automobile fonctionne», dit Sébastien Lavoie. Ce n'est pas un message agréable à lancer au public mais les économistes le font d'une seule voix: les pertes d'emplois sont loin d'être terminées au Canada. Les pertes de 129 000 postes en janvier et de 83 000 en février devraient être suivies par des bilans peu reluisants au cours des prochains mois. C'est «le pire one-two punch de l'histoire moderne pour le marché du travail au pays, affirme Millan Mulraine, stratège de la firme TD Securities. Après avoir bien résisté lors du début de l'année dernière, il est maintenant clair que le marché canadien de l'emploi est entré dans une période de chute libre.» M. Mulraine trouve que les nouvelles récentes sont dramatiques. «De plus, alors que l'économie continue de se détériorer, nous ne nous attendons pas seulement à ce que le rythme des pertes demeure rapide, mais nous prévoyons que les rangs des chômeurs continueront à croître alors qu'il sera de plus en plus difficile de trouver du travail.» Les prévisions de Sébastien Lavoie, économiste chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne, sont tout aussi inquiétantes. Ce spécialiste s'attend à ce que le taux de chômage grimpe à 9% tant au Canada qu'aux États-Unis d'ici la fin de 2009, mais il y a pire. «Selon nous, dit-il, les pertes d'emplois durant la récession actuelle seront plus importantes que lors des récessions des années 1980 et 1990. Le taux de chômage dans la plus grande province du pays (l'Ontario) devrait par ailleurs atteindre 10% d'ici 2010, même si le plan de restructuration du secteur de l'automobile fonctionne.» Selon Joëlle Noreau, économiste principale au Mouvement Desjardins, le marché québécois du travail ne peut plus résister à la tendance comme il le faisait jusqu'en décembre. «À la lumière des résultats des derniers mois, on peut comparer le marché du travail à un embâcle qui aurait cédé suite à une trop forte pression, illustre-t-elle. Ce sont près de 51 600 emplois qui ont été perdus au cours des trois derniers mois.» Mme Noreau conclut en lançant un petit message aux gouvernements. «Souhaitons que les plans de relance annoncés des deux côtés de la frontière prendront effet le plus rapidement possible pour limiter le glissement encore plus sévère de l'économie et du marché du travail.»
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