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  1. Depuis hier matin, une «petite» grue en monte une grande sur Peel (côté est de la chaussée) au coin de la Gauchetière. Le seul édifice dans le secteur qui nécessite un équipement de cet ampleur serait le Château Champlain. J'ai vérifié sur le net pour savoir s'il y avait des informations à ce sujet mais rien, si ce n'est l'avis de fermeture de la ville de Montréal. En savez-vous quelque chose? http://www.destinationcentreville.com/fr/nouvelles/fermeture-partielle-de-la-rue-peel-du-21-au-25-janvier-2016
  2. https://www.ctvnews.ca/canada/chateau-laurier-redesign-denounced-as-heritage-vandalism-1.3961277 Chateau Laurier redesign denounced as 'heritage vandalism' An image of the proposed seven-storey addition at the rear of the Chateau Laurier. 25 25 The Canadian Press Published Wednesday, June 6, 2018 7:34AM EDT OTTAWA -- A preservation society is blasting the redesign of an addition to Ottawa's stately Chateau Laurier hotel as "heritage vandalism," but the lead architect on the project says a contemporary approach is the best way to protect the property's history. Heritage Ottawa fired yet another salvo this week in its ongoing campaign to prevent the proposed glass and metal structure from moving forward at the national historic site. "Heritage Ottawa remains unimpressed -- and is gravely concerned that the City of Ottawa may be on track to approve what would be the most disgraceful act of heritage vandalism of our generation," the organization said in a statement Sunday. PHOTOS A rendering of the original 2016 proposed Chateau Laurier addition. Leslie Maitland, who co-chairs the organization, welcomed some of the modifications in the latest revision of modernist design, which has faced intense backlash since it was first unveiled in late 2016. The most recent iteration reduces the addition's height to seven stories in order to preserve views of the hotel, according to the City of Ottawa's website, and has also added limestone accents. But Maitland said the changes aren't enough to overcome the structure's fundamental clash with the chateau's "picturesque" sensibility. "They come up with several iterations, but they're basically all versions of a glass box stuck onto this magnificent, Edwardian chateau," she said in an interview Tuesday. "They can't even think outside the box." Peter Clewes of Toronto-based firm architectsAlliance, who is the lead architect on the project, said he shares Heritage Ottawa's admiration for the hotel's whimsical style, but they starkly diverge in their views of the most effective strategy to preserve the property's heritage. "We're trying to do a building of our time, and we don't want to confuse the cultural history of Ottawa," Clewes said. "We certainly don't want to demean the hotel in any way." Clewes said designing a structure in the same style of the hotel would likely amount to ahistorical mimickry, and could create confusion about what elements of the property are new, and what has been there for more than a century. "When you're dealing with a building of national historic significance, you don't want to confuse history," he said. "Our focus has been trying to create a building that's deferential to the hotel, and allows it a clear legibility of the hotel itself -- what is historic and what is new." The architect said the public criticism of the project has at times been hurtful, but the process of consulting with stakeholders, government officials and citizens has ultimately influenced his team's designs for the better. Ottawa City Council is slated to discuss the project later this month. -- By Adina Bresge in Toronto
  3. Le jeu s'appelle Megapolis et il y a déjà depuis quelques mois des édifices montréalais -essentiellement des pavillons d'Expo 67 et le Stade Olympique. Le pavillon de l'Ontario pastiché : Habitat 67 presque méconnaissable : Le pavillon de la France/Casino de Montréal pastiché : Le Stade Olympique : Le 1000 qui existe depuis plus de deux ans : Le 2-22 : Et voici toute une collection mise en ligne aujourd'hui : Dans mes environnements : en premier lieu le Château Champlain qui dans le jeu s'appelle "L'hôtel de Montréal" Le 1250 qui prend le nom de Tour Marathon Puis les tours "Bureau de l'entreprise de télécommunications" (Aon), la tour "Bureau du boulevard de Maisonneuve" et finalement la "Tour McGill".
  4. Montréal Art déco Jean-Christophe Laurence La Presse Publié le 20 mai 2009 à 07h44 | Mis à jour le 20 mai 2009 à 07h52 Le cinéma Snowdon, boulevard Décarie. Photo fournie par Art Déco Montréal Bien peu de gens le savent, mais Montréal compte parmi les plus importantes villes d'architecture Art déco de la planète. Le problème, c'est que ce patrimoine bâti est trop souvent négligé, quand il n'est pas carrément démoli, comme ce fut le cas l'an dernier du mythique Ben's Delicatessen. C'est un peu, beaucoup dans l'espoir de sensibiliser nos élus à cette richesse mal exploitée, que Sandra et Colin Cohen-Rose, fondateurs de l'organisme Art déco Montréal, ont décidé d'accueillir le 10e Congrès international d'Art déco le week-end prochain, avec des visiteurs venus d'aussi loin que la Nouvelle-Zélande. «Les gens ne réalisent pas l'importance de cet héritage, souligne Sandra Cohen-Rose, auteure du livre Northern Deco: Art Deco Architecture in Montreal. Au delà de sa valeur historique, c'est une richesse qui pourrait rapporter beaucoup d'argent au plan touristique. À New York, le bâtiment le plus populaire est encore le Chrysler Building. Ça en dit beaucoup sur l'attrait de ce style.» Selon Mme Rose, d'autres villes dans le monde exploitent déjà avec succès leur patrimoine Art déco. C'est le cas de South Beach en Floride, de Napier en Nouvelle-Zélande et de Saint-Quentin en France, qui l'ont mis au centre de leurs programmes touristiques. Avec des lieux aussi connus que le cabaret du Lion d'or, la Casa d'Italia, le Cinéma Empress, le théâtre Le Château, l'église Saint-Esprit, l'Université de Montréal ou le mythique 9e étage de chez Eaton, Montréal a tout ce qu'il faut pour jouer dans les mêmes ligues, croient M. et Mme Cohen-Rose. Mais encore faut-il que le politique s'en soucie, ajoutent-ils. Si certains de ces édifices sont aujourd'hui protégés (Eaton's, le Château), la plupart ne bénéficient d'aucun statut, ce qui les rend encore vulnérables. Le cas de Ben's, détruit il y a peu, est encore frais dans les mémoires. Mais on pourrait aussi mentionner le théâtre York, le théâtre Snowdon, l'ancien Woolworth. l'ancien Kresge ou l'hôtel Laurentien, que Sandra et Colin ont vu disparaître, en tout ou en partie, pendant le dernier quart de siècle. Un Art déco typiquement canadien? Consacré à Paris en 1925, l'Art déco (pour Art décoratif) a connu son heure de gloire jusqu'au milieu des années 50. Fait intéressant, Montréal a adopté très tôt ce style architectural en vogue, parce que plusieurs architectes allaient étudier en France. C'est le cas d'Ernest Cormier, à qui l'on doit certains des plus prestigieux édifices du genre, à commencer par le pavillon central de l'Université de Montréal, son grand oeuvre, dont la construction dura plus de 12 ans. Autre fait intéressant: l'Art déco canadien avait aussi sa propre couleur, ou plutôt son absence de couleur! Moins flamboyants qu'en Floride et moins mégalo qu'à New York, les constructions montréalaises se caractérisent généralement par leurs dimensions modestes (l'édifice Aldred, sommet du genre, ne fait que 24 étages) et leur côté «pierreux» un peu gris. Ironiquement, ce sont nos églises qui ont été les plus excentriques. Les créations du moine français Dom Bellot, surnommé le «poète de la brique» sont, à ce chapitre, très impressionnantes, notamment l'abbaye Saint-Benoît-du-Lac avec ses mosaïques de briques colorées. «L'architecture Art déco reflète le contexte social et économique d'une certaine période, souligne Sandra Cohen-Rose. Les églises voyaient gros et cherchaient à se moderniser. On remarque aussi des bas-reliefs très éloquents sur les édifices publics, qui représentent souvent l'époque ou un certain folklore propre à l'histoire du Québec.» C'est pourquoi il est vital de préserver ces bâtiments, conclut-elle. «Ils sont attirants pour les visiteurs, mais aussi importants pour les générations futures qui voudront comprendre d'où l'on vient...» En savoir plus Dixième Congrès international d'Art déco, du 24 au 30 mai. Informations sur le programme: http://artdecomontreal.com/fr/ La maison Cormier, avenue des Pins. Photo fournie par Art Déco Montréal Montréal Art déco 10 adresses 1. Pavillon principal de l'Université de Montréal. 2. Oratoire Saint-Joseph. 3. Théâtre Snowdon. 4. Cinéma Empress. 5. Neuvième étage de chez Eaton 6. Pavillon central du Jardin botanique 7. Cabaret le Lion d'or (rue Ontario, angle Papineau) 8. Théâtre Le Château (angle Saint-Denis et Bélanger) 9. Casa d'Italia (angle Berri et Jean-Talon) 10. Église Saint-Esprit (angle Rosemont et 8e Avenue)
  5. Coin Alexis-Nihon et Lucien Thimens, adjacent aux sommets des bois-franc http://chateaudeville.ca/fr/
  6. J'ai aussi dans mes connaissances des personnes disons aisées qui ont acheter dans le vieux MtL, maintenant Pauline qui vend son Chateau a l'ile bizard pour s'installer dans le vieux....ça vient gentrifier le secteur http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2013/04/20130412-203332.html
  7. Nom: Château Barnett II Hauteur: 6 étages/?? mètres Coût du projet: 5 500 000,00$ Promoteur: Investissements Monsap Inc. Architecte: Emplacement: 80 Barnett (Dollard-des-Ormeaux) Début de construction: juin 2010 Fin de construction: juillet 2011
  8. Bonjour! Ça fait quelques temps que je ne suis pas venue par ici... Fin de bacc oblige! Je suis donc partie en voyage au mois de février en France où j'ai visité Paris, Lyon, Grenoble, Annecy, Marseille, Carcassonne et Toulouse. Voici donc quelques photos pêle-mêle. Désolée pour le gris des photos à Paris, c'était l'hiver là-bas aussi! (Oui, bon, il faisait quand même entre 5 et 10 environ, c'est pas très froid). La Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre : Le Palais-Royal / Musée du Louvre : L'arc de triomphe du Carrousel, avec le Palais-Royal en arrière-plan : La mairie du 1er arrondissement la nuit : Les Jardins et le Palais du Luxembourg (la France m'impressionne... Aucune feuille dans les arbres, mais des pelouses toujours vertes) : La tour Eiffel : Le Château de Versailles sous la pluie (il y a un avantage au ciel gris, ça fait ressortir le doré!) : Parterre d'eau au Château de Versailles :
  9. I contributed this so I reserve the right to delete it. Signed, MTLskyline
  10. Le Château des Boulevards est situé au cœur de la ville de Laval au intersection des boulevards Chomedey et Notre-Dame. Un développement de 33 000 pi2. Un immeuble prestigieux de sept étages avec stationnement sous-terrain. Situé près de l'autoroute 15 et du métro Momontrency, vous y retrouverez a proximité centres commerciaux, centre médical et au transport en commun.
  11. J'ai fait une petite tournée de l'exposition qui est très intéressante sur le construction de la PVM Début des travaux des fondations en 1959 Désolé pour la qualité de la photo La place avant la construction du 5 PVM A l'avant plan c'est l'emplacement de la tour KPMG (anciennement les Coopérants) avec l'église anglicane Doit dater de 1961-1962 Quelques photos bonus qui n'étaient pas à l'exposition Marriott (auparavant le Château Champlain) Tour CIBC (Construit en même temps que PVM) Question quiz, quel est cet édifice, indice, c'est un bunker, c'est une erreur d'urbanisme et c'est en 1970?
  12. Les traditions funéraires, un patrimoine bien vivant Le Devoir Hélène Clément Édition du vendredi 29 mai 2009 Mots clés : traditions funéraires, Musée du Château Dufresne, Culture, Montréal, Québec (province) Le Musée du Château Dufresne propose un regard historique sur le rituel funèbre québécois Le repos Saint-François-d'Assise Vue du cimetière Le Repos Saint-François-d'Assise, dans l'est de Montréal. Si de nos jours le rituel funéraire s'effectue de façon plus discrète dans les grandes villes, il n'y a pas si longtemps encore il occupait une place notable dans le coeur des gens. Présence du prêtre auprès du mourant, derniers sacrements, veillée mortuaire à la maison et cérémonie à l'église étaient des conditions sine qua non de la «bonne mort», la garantie d'une résurrection triomphante. Regard historique sur les cimetières, les rites et l'art funéraire québécois du XIXe siècle et du début du XXe, au Musée du Château Dufresne. Vêtu d'une longue tunique, une balance dans la main droite, un parchemin enroulé dans celle de gauche, l'ange saint Michel, peseur d'âmes, accueille le visiteur. «La balance sert à peser les âmes afin de faire la part entre le bien et le mal et le parchemin enroulé sert à évoquer la liste des justes et des damnés», explique Stéphane Chagnon, commissaire chargé de l'exposition. L'imposante oeuvre en pin du sculpteur Louis Jobin, autrefois située sur le portail d'entrée du cimetière Saint-Joseph Deschambault, à côté de l'ange à la trompette du Jugement dernier, est le point de départ de la petite mais dense exposition Le patrimoine funéraire, un héritage pour les vivants, qui se tient au Musée du Château Dufresne jusqu'au 30 août prochain. Ambiance morbide? Pas du tout! Le sujet n'est pas la mort. Enfin, pas vraiment... «On ne rentre ni dans une église ni dans un salon funéraire, précise Paul Labonne, directeur général du musée. L'exposition jette un regard historique, culturel et ethnologique sur les cimetières, de l'inhumation ad sanctos au centre funéraire d'aujourd'hui via le cimetière paroissial, ainsi que sur les rites et l'art funéraire au XIXe siècle. En parallèle, l'exposition cherche à rendre hommage aux régions du Québec qui ont su conserver leur patrimoine religieux, comme en témoigne ce catafalque blanc d'enfant fabriqué en 1920 par Omer Létourneau, charron de métier à Saint-Joseph-de-Beauce. Ou encore ce petit sarcophage en fonte prêté par le Musée Missisquoi. Bière, cénotaphe, columbarium, enfeu... Le visiteur est initié au lexique funèbre. Puis on entre dans le monde des cimetières. L'exposition a d'ailleurs pris sa source dans le très bel ouvrage publié en 2008 aux Éditions GID, Cimetières - Patrimoine pour les vivants, de l'ethnologue Jean Simard et du photographe et cinéaste François Brault. Avec les photos de ce dernier, des oeuvres d'artisans et d'artistes complètent l'exposition: stèles, mobiliers funéraires... Des pièces signées Alfred Laliberté, Louis-Philippe Hébert, Jean-Baptiste Côté. «Au départ, le cimetière paroissial situé à proximité de l'église demeure le lieu de sépulture pour la majorité de la population, note Stéphane Chagnon. À la fin du XVIIe siècle, on apprend que l'ensevelissement des défunts ordinaires se fait de façon anonyme et souvent dans des fosses communes. C'est seulement dans la première moitié du XIXe siècle que, peu à peu, la concession de lot et le monument vont permettre l'individualisation du site de sépulture. Quant aux cimetières ad sanctos, ils existaient déjà au XVIIe siècle. «Réservé à une certaine élite, l'enterrement sous les églises constituait une source de revenus considérables pour les fabriques mais n'était pas exempt d'inconvénients. Comme dans les anciennes églises il fallait déplacer les bancs et ouvrir le plancher pour procéder aux inhumations, les fidèles risquaient de tomber sur des planchers devenus moins plats à la longue. Sans compter les fortes odeurs qui émanaient du sous-sol. Au XIXe siècle, un interdit judiciaire a mis fin à cette pratique.» L'exposition traite aussi de la façon dont les confessions religieuses se souciaient de leurs morts aux XVIIIe et XIXe siècles. «En 1776, l'une des premières nécropoles juives d'Amérique est inaugurée au faubourg Saint-Antoine, à Montréal, angle nord-ouest des rues Peel et De La Gauchetière. «En 1779 apparaissent le cimetière catholique du faubourg Saint-Antoine et le second cimetière protestant de Montréal. Les premiers immigrants chinois sont inhumés dans les grands cimetières protestants devenus très tôt multiconfessionnels», souligne Stéphane Chagnon. Dans la chambre du mourant, les aiguilles de l'horloge murale sont figées à l'heure du décès. Au pied du lit, un prie-Dieu. «On faisait la toilette du mort, on le recouvrait d'un suaire, on bouchait les châssis, on allumait des cierges. Le jour, on disait le chapelet aux heures, la nuit aux heures et demie», raconte Victor Bélanger, l'un des fondateurs de la municipalité de Saint-Guy, dans les Basques. Il suffit de soulever le récepteur pour entendre le récit du conteur de 94 ans. Par respect pour le disparu, une tradition établie en 1684 interdit de transporter les morts en voiture. Mais la route est souvent longue et compte quelques pentes raides. Il faut régler l'avatar. Les premiers modèles de corbillards hippomobiles apparaissent au milieu du XIXe siècle pour pallier les problèmes causés par de longues processions funéraires dans les campagnes. On peut admirer, en fin d'exposition, un corbillard noir hippomobile sur patins d'acier, utilisé pour des enterrements l'hiver. Peu agrémenté, il servait à des défunts moins fortunés. Le Musée du Château Dufresne offre une série de conférences sur les rites funéraires des grandes religions: judaïsme, hindouisme, bouddhisme et islam, ainsi que des visites commentées des cimetières Notre-Dame-des-Neiges et du Repos-Saint-François-d'Assise, associés au Musée du Château Dufresne pour mettre en valeur le patrimoine funéraire d'ici. Collaboratrice du Devoir - Musée du Château Dufresne: 514 259-9201, http://www.chateaudufresne.com.. http://www.ledevoir.com/2009/05/29/252572.html (29/5/2009 7H03)
  13. Un Centre des congrès ouvrira à Brossard Jean-François Ducharme - LE COURRIER DU SUD 20 septembre 2008 - 09:00 Économie - BROSSARD. Le Château Brossard, un centre de congrès et de réception pouvant accueillir 1200 personnes, ouvrira ses portes à l’automne 2009. Situé à quelques mètres du nouvel Hôtel Brossard, le centre permettra d’accueillir des événements corporatifs, des expositions, des salons, des foires ou des mariages. La demande était grande pour la construction d’un centre d’une telle ampleur sur la Rive-Sud. «Un an à l’avance, nous recevons déjà plusieurs réservations de salles pour l’an prochain», affirme le directeur général du Château Brossard et de l’Hôtel Brossard, René Duchesne. Quatre salles, deux étages Le Château Brossard, un investissement de 6 à 8 M$, comprendra quatre salles qui pourront se subdiviser au besoin, réparties sur deux étages. «Selon la situation, nous pourrons accueillir soit un événement de grande ampleur ou encore plusieurs petits événements», souligne le directeur général. Un restaurant sera également construit à l’intérieur. Le Château Brossard ne sera pas utilisé uniquement par les citoyens de l’agglomération de Longueuil. «Nous visons les marchés de Montréal, Québec et même des États-Unis, soutient René Duchesne. Nous avons d’ailleurs instauré un système de navette de l’Hôtel Brossard à l’aéroport de Saint-Hubert, pour faciliter le transport des visiteurs américains.» L’architecture du Château Brossard sera similaire à celle de l’Hôtel Brossard. L’hôtel, qui a ouvert ses portes en juillet dernier, a nécessité des investissements de 10 M$. Il comprend 138 chambres réparties sur trois étages. Brossard, pôle majeur La venue de ce Centre des congrès, combinée à l’émergence du Quartier Dix30, augmente encore davantage le poids économique de Brossard. «Brossard est maintenant un pôle d’attraction majeur, souligne René Duchesne. De plus en plus de gens veulent demeurer et travailler sur la Rive-Sud, parce qu’ils ont les mêmes services qu’à Montréal sans les inconvénients reliés à la circulation.» Le directeur général ne craint pas la concurrence des autres pôles de Brossard, ni la saturation du marché. «Nous avons développé une bonne complicité avec nos concurrents brossardois, précise-t-il. De plus, nous n’attirons pas le même type de clientèle.» L’Hôtel Brossard et le futur Château Brossard sont situés sur le boul. Marie-Victorin, près du boul. Rome. Hôtel Brossard
  14. Celle qui a récemment été sacrée reine du détaillant de vêtements a mis la main sur plus de 69 000 actions de l'entreprise qu'elle dirige. Pour en lire plus...
  15. Le Château Cartier est en faillite depuis vendredi après-midi, et la chicane qui déchire les deux propriétaires de l'établissement est pire que jamais. Pour en lire plus...
  16. Ce résultat dépasse les attentes des analystes qui attendaient plutôt un bénéfice en hausse de 22%. Pour en lire plus...
  17. À la suite de pressions du gestionnaire The Ethical Funds, le détaillant compte rendre public le code d'éthique auquel elle soumet ses fournisseurs. Pour en lire plus...
  18. Besoin de votre aide, je tiens à faire une série de photo sur les châteaux d'eau à Montréal. J'en ai une liste, mais j'aimerai savoir si mtlurb peut m'aider à retracer ceux que je ne connais pas. Tour Ericsson sur Décarie, prêt de la 40. Tour Bouteille de la Guaranteed Pure Milk Tour Jacob, sur Cavendish prêt d'Ikea Tour McGill, sur le campus de St-Anne de Bellevue Tour Pitt, sur la rue Pitt prêt de St-Patrick (Vous connaissez son nom??) Tour Mile End sur St-Laurent et VanHorne (Vous connaissez son nom??) Tour de St-Anne-de-Bellevue (C'est littéralement une tour, ne ressemble pas à un château d'eau traditionnel) La tour Disparue du coin De l'église et St-Patrick, Ville-Émard (il ne reste que la tour, le réservoir n'y est plus) Tour de la Ville de Pointe-Claire (Merci WestAust) Tour Seagram à Lasalle Alors pouvez m'aider à faire grandir cette liste?
  19. Guy Laliberté emménage dans un château de 5,5 M$ <DIV id=photo_pub>Mise en ligne 12/11/2007 04h00 La maison de Guy Laliberté Photo © ARGENT Guy Laliberté revient en ville dans une résidence cossue au flanc du mont Royal. Trois ans après avoir dénoncé l'immobilisme de Montréal dans le dossier du développement du bassin Peel, Guy Laliberté y prend tout de même racine en emménageant dans un château de 5,5M$ dans Outremont. Le fondateur du Cirque du Soleil procède actuellement à des travaux de rénovation de 3 M$ dans sa nouvelle résidence achetée en octobre 2006, au coût de 2,5M$, sur l'avenue Maplewood. Les travaux concernent principalement l'agrandissement de la maison dans la cour avant et la transformation de toutes les pièces, en plus de l'aménagement d'un bureau ultramoderne pour Guy Laliberté. Les travaux ont été autorisés par l'arrondissement d'Outremont le 5 février 2007 et l'important chantier a été ouvert dans les semaines suivantes. Des rénovations d'une telle ampleur dans une maison privée sont exceptionnelles. Les ouvriers ont dû procéder à quelques phases de dynamitage dans le roc du mont Royal pour construire les fondations du bâtiment qu'il ajoute à cette résidence cossue. De type ancestral avec revêtement de pierres grises, la nouvelle résidence de Guy Laliberté est accrochée au flanc de la montagne, assurant une vue magnifique sur le Plateau Mont-Royal et le centre-ville. La nouvelle façade comportera des pierres de granit de couleur charcoal. Retour en ville Le grand patron du Cirque du Soleil ne parle jamais aux journalistes de ses affaires personnelles, mais on peut croire qu'il s'agit pour lui d'un retour commode en ville pour faciliter la vie de sa conjointe et de ses enfants. Ses deux enfants fréquentent une école primaire du secteur, avait écrit en primeur Le Journal de Montréal l'an dernier, et sa conjointe, Claudia Barila, tient commerce dans le Vieux-Montréal, soit la boutique Appartement 51. Guy Laliberté habite toujours son domaine de Saint-Bruno, très courues par le «jet-set» montréalais, domaine qu'il avait rendu très populaire, il y a quelques années, par les réceptions plutôt bruyantes qu'il y donnait, dont celle qui réunissait le monde de la F-1. Il a acheté sa nouvelle maison de Mme Elizabeth Chiang, femme d'affaires qui habitait y habitait avec son conjoint depuis 1989. Elle a hérité de la demeure à la mort de son mari, il y a quelques années, et est allée vivre à Taiwan. Frédéric Gagné, l'attaché de presse de M. Laliberté, n'a pas voulu préciser au Journal si son patron vendrait son domaine de Saint-Bruno. Plans modifiés Le richissime Québécois a dû soumettre son projet à l'approbation de l'arrondissement d'Outremont parce que les travaux allaient affecter l'apparence extérieure de cette luxueuse maison. Le comité consultatif d'urbanisme a étudié tous les plans des modifications proposées, qui formaient un document de 22 pages, a appris le Journal. Le château des Laliberté n'est encore qu'un chantier et il est peu probable que la famille y passe un premier Noël dans un mois et demi. abeauvais@journalmtl.com
  20. Guy Laliberté emménage dans un château de 5,5 M$ <DIV id=photo_pub>Mise en ligne 12/11/2007 04h00 La maison de Guy Laliberté Photo © ARGENT <DIV class=pub><DIV class=relativeBoite><DIV class=absoluteBoite>fctAdTag("bigbox",MyGenericTagVar,1);on error resume next ShockMode = (IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash.6")))if(ShockMode
  21. La Caisse de dépôt achète Legacy Hotels Photo: La Presse Canadienne /Jacques Boissinot Château Frontenac Le chic Château Frontenac, à Québec, le Royal York, à Toronto, et le Château Laurier, à Ottawa, changeront sous peu de propriétaires. En effet, la Caisse de dépôt et placement du Québec s'est entendue, jeudi, en collaboration avec les groupes Westmont Hospitality et InnVest Real Estate Investment Trust, pour acheter la chaîne Legacy Hotels pour 2,5 milliards de dollars. Legacy Hotels faisait l'objet, depuis plusieurs mois, de la convoitise de différents groupes d'investisseurs intéressés par une très prestigieuse collection d'hôtels regroupés sous les bannières Fairmont et Delta. Le Royal York, à Toronto Le groupe Fairmont Hotels & Resorts, acquis en 2006 par un prince saoudien pour 4,5 milliards de dollars, a accepté de céder à la Caisse de dépôt les 20,4 % des droits de vote qu'elle possède dans Legacy. L'accord du principal détenteur de parts dans ces hôtels ouvre la voie à la transaction. Fairmont devrait cependant demeurer le gestionnaire principal de 13 des 25 établissements de Legacy pour les 50 prochaines années. La Financière Banque Nationale estimait, voilà quelques mois, la valeur du Château Frontenac à 155 millions de dollars. Le Royal York, pour sa part, vaudrait 293 millions et le Reine Elizabeth, à Montréal, quelque 208 millions de dollars. Le Château Laurier, finalement, vaudrait pour sa part 108 millions de dollars.
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