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  1. LE QUÉBEC TIENT LA CADENCE AVEC L’ONTARIO JULES DUFORT ET JEAN-PIERRE FURLONG ÉCONOMISTES Édition du 22 août 2016, Des compilations spéciales de Statistique Canada nous permettent : • de comparer adéquatement ici les niveaux de productivité et la rémunération du travail au Québec et en Ontario, pour 19 industries productrices de biens et services. La fabrication, l’une des 19, est à son tour subdivisée en 19 catégories ; et, • de vérifier l’hypothèse que l’économie du Québec est globalement aussi productive que celle de l’Ontario. Parmi les diverses données sur le produit intérieur brut (PIB), seules celles sur le PIB nominal aux prix de base par industrie permettent de comparer les niveaux de productivité entre les provinces. Les données les plus récentes sur cet indicateur sont celles de 2012. Le tableau présenté ci-contre indique bien que lorsque l’on tient compte des différences de structure industrielle (c’est-à-dire des différences dans l’importance relative des industries), le rapport Québec/Ontario de la richesse ou la production par heure travaillée augmente. Pour les biens et services pris globalement, le rapport passe de 94,5 % à 97,4 % en 2012. Le tableau révèle aussi que la productivité est nettement plus élevée au Québec dans la production de biens. C’est le cas d’ailleurs pour quatre des cinq industries de ce secteur, soit : • l’agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse ; • l’extraction minière, l’exploitation en carrière et l’exploitation de pétrole et de gaz ; • les services publics et ; • la construction. En revanche, la productivité du Québec est plus faible qu’en Ontario dans l’industrie de la fabrication. Il n’y a que dans 6 des 19 catégories de cette industrie que la productivité québécoise dépasse celle de l’Ontario. L’insuffisance des investissements en machines et équipements et en recherche et développement, une moins grande propension à innover et des établissements de production de taille relativement plus petite, ne permettant pas ainsi de profiter pleinement d’économies d’échelle, sont des pistes à explorer pour tenter d’expliquer cette situation. INDUSTRIES DE SERVICES Dans les industries de services, les prix peuvent avoir tendance à être plus élevés en Ontario qu’au Québec, ce qui expliquerait, du moins en partie, le fait que la productivité du travail soit plus faible au Québec dans ce secteur. (La rémunération constitue d’ailleurs une composante importante du prix des services. Or, la rémunération est plus élevée en Ontario qu’au Québec dans 12 des 14 industries de services.) Si la moitié de l’écart de productivité entre le Québec et l’Ontario dans le secteur des services (3,4 des 6,8 points de pourcentage d’écart) provenait de la présence de prix de vente plus faibles pour les producteurs de services du Québec, le niveau de productivité de l’ensemble du secteur des entreprises commerciales serait identique au Québec et en Ontario (à 99,97 % pour être plus précis). Ainsi, l’hypothèse que la productivité soit aussi élevée au Québec qu’en Ontario tient la route. Tout comme pour la productivité, tenir compte des différences dans l’importance relative des industries a pour conséquence de rapprocher la rémunération du travail au Québec de celle de l’Ontario. Pour les biens et services pris globalement, la rémunération horaire au Québec passe de 92,9 % à 94,9 % de celle de l’Ontario en 2012. On peut aussi déduire des pourcentages précédents que pour l’ensemble des entreprises, notamment les producteurs de biens, la rémunération horaire est inférieure au Québec par rapport à l’Ontario, ce à quoi l’on pourrait s’attendre en tenant compte de la production ou de la richesse créée par heure travaillée. Toutes choses étant égales par ailleurs, si la productivité québécoise correspond à 97,4 % de celle de l’Ontario, la rémunération horaire devrait aussi se situer à 97,4 %. Or, elle n’est qu’à 94,9 % de celle de l’Ontario. L’ampleur de la différence est encore plus difficile à expliquer lorsqu’on se limite aux biens. La productivité du travail y est plus élevée au Québec (106,3 % de celle de l’Ontario), mais la rémunération horaire y est inférieure (98,8 % de celle de l’Ontario). Pour les producteurs de services, la différence de productivité s’accompagne, à première vue, d’un écart pratiquement identique de rémunération horaire. À un niveau plus détaillé d’analyse, toujours au Québec par rapport à l’Ontario, la rémunération horaire est inférieure à la richesse créée par heure travaillée pour 13 des 19 industries de biens et services analysées. Les entreprises commerciales du Québec sont, dans leur ensemble, vraisemblablement tout aussi productives que celles de l’Ontario lorsque l’on tient compte des différences de structure industrielle et des prix relatifs des services. Par ailleurs, compte tenu de la richesse créée par heure travaillée, les travailleurs québécois sont moins bien rémunérés que leurs homologues ontariens, et ce, dans un grand nombre d’industries. http://plus.lapresse.ca/screens/89d0cf5d-590c-4026-bf3a-9683b47e1429%7C_0.html
  2. Il manque celle de Rocco... http://www.jolijolidesign.com/une-serie-de-photos-sur-les-magnifiques-colonnes-de-montreal-par-drowster/
  3. Voici l'autoroute métropolitaine d'ouest en est photographiée du haut des airs aux alentours de 1969 ( date à confirmer ) Enjoy ! Cote-de-Liesse Décarie Rockland L'Acadie St-Laurent Papineau St-Michel Viau Celle la je ne sais pas ?? Anjou
  4. Un appel d'offres a été lancé dernièrement par la Société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain Inc. pour le remplacement du Viaduc Principal. Celui-ci se trouve a enjamber deux voies de circulation, soit celle de la sortie Wellington, en provenance de l'autoroute 15 direction nord, et celle de la sortie pour l'autoroute Bonaventure en provenance de l'autoroute 15 en direction sud. Le remplacement de cette structure est prévue pour 2014 et 2015, et entrainera certainement plusieurs entraves majeures dans l'axe du Pont Champlain. [streetview]https://maps.google.ca/maps?hl=fr&ll=45.472158,-73.559089&spn=0.000008,0.004823&t=h&z=18&layer=c&cbll=45.472073,-73.559278&panoid=9e4UcI__cX8TKd44w6rmgA&cbp=12,198.81,,1,-9.01[/streetview] Lien pour consulter l'appel d'offres
  5. J'ai mis mon loft en vente la semaine dernière, au cas où certains d'entre-vous connaissez quelqu'un qui pourrait être intéressé. 2000$ à celui ou celle qui me trouve un acheteur. http://passerelle.centris.ca/Redirect2.aspx?CodeDest=EGPTECH&NoMls=MT13428332&Source=WWW.REALTOR.CA&Langue=E
  6. est-ce que qqun saurait ou il serait possible d'obtenir une carte des voies ferrees passant sous terre au centre-ville de montreal ? les cartes comme celles de google ou bing ne montrent que celle qui passent en surface. merci a lavance!
  7. http://www.canoe.com/divertissement/tele-medias/nouvelles/2011/08/02/18500181-qmi.html
  8. j'hallucine ou le premier post de chaque thread dans la section en construction apparait au haut de chaque page que je visionne sur celle ci ? ..
  9. brubru

    Parc Laurier

    Salut ! J'aime le parc laurier, j'aime son emplacement, mais je déteste comment il n'est qu'un tapis de gazon. Voilà, j'ai remplacé le plus petite terrain de baseball, deux terrain pétante et fer à cheval abandonnés de et le parc à chien parc un lac, comme celui du parc la fontaine. Un nouveau terrain de soccer synthétique. Je ne comprends pas pourquoi on ne créer pas des lac dans les parcs... il me semble que c'est 100 fois plus chaleureux qu'un tapis de gazon. Le tracé vert est le nouvelle piste cyclable qui remplacerait celle qui est très sinueuse ! Comment trouvez vous ça ?
  10. Atze

    Loft Hotel

    Juste devant le 333 Sherbrooke Est, j'ai remarqué ces affiches sur un édifice assez long ayant sa façade sur Sherbrooke. Les affiches me semblaient assez récentes et l'immeuble ne semble pas êter déjà converti en lofts. (Pour les amateurs de roller blade, la côte n'est pas aussi raide que celle sur Hôtel-de-Ville, mais elle est tout de même intéressante à descendre en patin, surtout que la chaussée est toute crevassée.)
  11. Trop d'employés incompétents, paresseux et superflus s'accrochent à leur sécurité d'emploi dans le secteur public, estime l'Action démocratique du Québec. Après avoir donné le ton la veille, le chef de l'ADQ Gérard Deltell est revenu à la charge, mardi, dénonçant la trop grande protection syndicale dont profitent, à son avis, les employés de l'État. Selon lui, les gestionnaires doivent bénéficier de plus de souplesse afin de pouvoir congédier les employés improductifs et éliminer les fonctions obsolètes. À l'entrée d'un caucus à l'Assemblée nationale, le député de Beauce-Nord, Janvier Grondin, a estimé de son côté que le Québec comptait beaucoup trop de fonctionnaires. Il est anormal, a-t-il dit, que la fonction publique québécoise soit 30% plus importante que celle de l'Ontario, une province pourtant beaucoup plus populeuse que le Québec. Vu l'état des finances publiques, il est impératif que le Québec remette en question les «vaches sacrées» du modèle québécois, comme celle de la sécurité d'emploi dans le secteur public, a pour sa part affirmé le député François Bonnardel. Les syndicats et leurs membres ne sont pas à l'abri des efforts que le Québec devra faire pour rétablir l'équilibre budgétaire, a-t-il fait valoir. En ce sens, les conventions collectives dans le secteur public ne doivent plus servir à maintenir en fonction des employés «paresseux» ou «assis sur leurs lauriers», a soutenu M. Bonnardel. ----------- Bravo de tenir ce discours, si seulement ils pouvaient le mettre en pratique, ca serait encore mieux :applause:
  12. L'économie québécoise poursuit son déclin Olivier Schmouker . les affaires.com . 26-11-2009 L'agriculture est en partie responsable du déclin. Photo : Bloomberg. Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a regressé de 0,3% en août, portant le recul à 2% sur les huit premiers mois de l’année, selon l’Institut de la statistique du Québec. Depuis le début de 2009, le Québec n’a enregistré qu’une seule hausse du PIB, de 0,6% en juin. En 2008, la croissance de l’économie avait atteint un taux de 1,3% au Québec. Qu’est-ce qui a aggravé le déclin de l’économie québécoise à la fin de l’été? La décroissance de la production des industries productrices de biens, qui s’est chiffrée à 0,6%. Les pertes proviennaient de l’industrie de la fabrication (– 1,2%), de celle de l’agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse (– 1,2%) ainsi que de celle des services publics (– 0,4%). Toutefois, la production de l’industrie de l’extraction minière, pétrolière et gazière et celle de la construction se sont appréciées respectivement de 4,1% et de 0,6%. De leur côté, les industries productrices de services ont vu leur production diminuer de 0,2% en août. C’est leur quatrième recul depuis le début de 2009. Les industries à l’origine du repli sont celle de l’information et de la culture (– 1%), celle des services professionnels, scientifiques et techniques (– 0,7%) et celle de la finance et des assurances, des services immobiliers et de location à bail et de gestion de sociétés et d’entreprises (– 0,1%).
  13. Le produit intérieur brut réel aux prix de base par industrie au Québec, juillet 2009 l'instistut de la statistique du Québec L’économie progresse de 0,1 % en juillet Québec, le 26 octobre 2009 – Le produit intérieur brut (PIB) progresse de 0,1 % en juillet (stable au Canada), après avoir reculé de 0,4 % en mai et haussé de 0,7 % en juin (au Canada : – 0,4 % en mai et 0,1 % en juin). C’est la deuxième hausse depuis janvier 2009, la dernière remontant à octobre 2008. Le cumul des sept premiers mois de 2009 glisse de 1,5 % au Québec, alors que le pourcentage correspondant au Canada est de – 3,5 %. En 2008, la progression est de 1,2 % au Québec et de 0,6 % au Canada. La croissance économique est attribuable aux industries productrices de services La production des industries productrices de biens fléchit de 0,2 % en juillet. Cette décroissance fait suite également à celle de 1,2 % en mai et à une montée de 1,1 % en juin. L’industrie la plus touchée est celle de l’extraction minière, pétrolière et gazière qui touche un creux de 12,4 %. L’industrie de l’agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse ainsi que celle des services publics réduisent leur production mensuelle respectivement de 2,2 % et de 2,1 %. Les deux seules industries de biens dont la production augmente sont la fabrication (0,7 %) et la construction (0,2 %). La progression mensuelle de l’économie résulte de la croissance de 0,2 % de la production des industries productrices de services. La production de ces industries a fait du surplace au mois de mai et a haussé de 0,5 % en juin. Plus en détail, ce sont les industries du commerce de gros (1,6 %), de l’information et de la culture (1,4 %) et de la finance et les assurances, les services immobiliers et de location à bail et de gestion de sociétés et d’entreprises (0,3 %) qui sont à la source de la croissance des industries productrices de services. Malgré ces augmentations, un peu plus de la moitié des industries productrices de services, soit 7 parmi 13, indiquent encore des faiblesses dans leur production. La production cumulée pour l’ensemble de l’économie se replie de 1,5 % Le produit intérieur brut en valeur cumulée fléchit de 1,5 % en comparaison aux mêmes mois de l’année précédente, en raison du glissement de 5,9 % de la production des industries productrices de biens. Celle des industries productrices de services monte à peine de 0,5 %.
  14. Publié le 17 août 2009 à 05h00 | Mis à jour à 08h12 La chaleur urbaine gagne la banlieue Charles Côté La Presse Les centres commerciaux et les parcs industriels qui se multiplient en banlieue créent de plus en plus d'îlots de chaleur urbains, selon les plus récentes images réalisées par le département de géographie de l'UQAM. Selon les relevés satellitaires effectués par l'équipe de l'UQAM, que La Presse a obtenus en primeur, il peut y avoir des écarts de plus de 15°C entre une zone «fraîche» et un îlot de chaleur voisin. Les îlots de chaleur urbains sont un problème de santé publique grandissant. Ils surviennent quand la végétation est remplacée par des constructions ou de l'asphalte. Ils aggravent les problèmes de santé qui surgissent lors des vagues de chaleur. «Si on vit près d'une telle zone, on sent son influence, affirme James A. Voogt, professeur à l'Université Western Ontario. La chaleur se transmet à l'air qui se déplace.» De 2005 à 2008, des nouvelles zones de chaleur intense ont apparu à quatre intersections d'autoroutes: celle de la 640 et de la 25, à Terrebonne et Mascouche; celle de la 640 et de la 15, à Boisbriand; celle de la 30 et de la 15, à Candiac, et bien sûr celle de la 10 et de la 30 à Brossard, où est installé le centre commercial DIX30. Cependant, dans la région métropolitaine, c'est l'usine de Bombardier, dans Saint-Laurent, qui s'illustre comme l'îlot le plus chaud. Au moment du relevé de 2008, réalisé le 5 juillet à 10h25, il faisait 41,9°C sur les terrains de Bombardier, comparativement à 21,7°C non loin de là; c'est un écart de plus de 20°C. Mal conçus, des quartiers résidentiels en apparence verts peuvent aussi donner chaud à leurs habitants, ce qui entraîne des dépenses supplémentaires de climatisation. Pourtant, quelques détails dans la planification et les plantations d'arbres peuvent faire toute la différence, selon le professeur de géographie Yves Baudouin, qui a réalisé l'étude de l'UQAM avec ses étudiants. «On a observé deux quartiers à peu près du même âge, un à Ahuntsic et l'autre à Pointe-Claire, où il y a de grandes différences de température. À Pointe-Claire, les rues sont beaucoup trop larges et il n'y a pas suffisamment d'arbres.» Les îlots de chaleur urbains à Montréal. Vaste problème La carte montréalaise des îlots de chaleur urbains donne l'impression que le problème est trop grand pour s'y attaquer. Une équipe d'étudiants en urbanisme de l'Université McGill a voulu trouver une façon de cibler les priorités. Ils ont croisé les relevés satellitaires de l'UQAM avec les données sur l'âge et le revenu des habitants. Ils ont constaté que les coups de chaleur frappent plus durement les enfants et les personnes âgées, d'autant plus s'ils sont à faible revenu. «La Ville devrait se préoccuper du problème là où il touche vraiment des gens exposés à des problèmes de santé, dit l'une des étudiantes, Julia Lebeveda. S'il y a des personnes seules et âgées, par exemple.» Dans un rapport remis en 2007 à la Ville de Montréal, l'équipe de McGill a dessiné une carte de la vulnérabilité aux îlots de chaleur urbains. Deux quartiers ressortent comme particulièrement vulnérables: Parc-Extension et Saint-Michel. En regardant de plus près un secteur de Saint-Michel, l'équipe de McGill a trouvé des rues comme la 12e et la 13e avenue entre les rues Émile-Journault et Robert, où le risque lié à l'effet des îlots de chaleur urbains est extrême. Il n'y a pratiquement pas d'arbres et le béton, l'asphalte et les toits goudronnés sont omniprésents. Le fait que de nombreuses personnes âgées à faible revenu y vivent en fait une zone où une intervention serait prioritaire, selon eux. Comme casser l'asphalte et planter des arbres. Nécessaire verdissement «Nous recommandons d'augmenter la végétation et de réduire les surfaces noires, dit Chen F. Chan, étudiant à McGill. Les rues à Saint-Michel sont trop larges. En réduisant les surfaces, on peut en plus économiser en déneigement l'hiver.» Clément Charrette, conseiller en aménagement de l'arrondissement de Saint-Michel, affirme que le pouvoir d'intervention de la Ville «est limité pour ce qui est déjà construit». «Cependant, dans nos projets, on s'assure qu'on a un plan d'intégration et d'implantation architecturale qui intègre des éléments pour contrer la chaleur.» Cela vaut aussi pour l'ancienne carrière Francon, où un autre centre commercial doit être construit. «Ils ont l'obligation de présenter un projet de développement durable et d'augmenter le verdissement», dit-il. La Ville de Montréal travaille à un Plan de verdissement et continue ses plantations d'arbres: il y en a eu 10 000 en 2008. La Soverdi, organisme qui collabore avec la Ville, en a cependant planté beaucoup moins en 2008: 600 au lieu de 6000. «On n'a pas eu de grands espaces pour planter, dit Pierre Bélec, de la Soverdi. Par contre, le programme de verdissement des ruelles a vraiment pris son envol. On en a fait une quinzaine et on devrait atteindre la trentaine.» Les actions de la Ville de Montréal, bien que nombreuses, manquent d'envergure, dit Coralie Deny, du Conseil régional de l'environnement de Montréal. «À Montréal, on doit mettre l'accent sur les stationnements "frais", dit-elle. Il faudrait un règlement pour les nouveaux stationnements. Pour les existants, c'est déjà plus compliqué, mais il y a des choses à faire.»
  15. La reprise économique au Québec est liée à celle des Etats-Unis 06 septembre 2009 12:55 LEVIS - La reprise économique au Québec sera intimement liée à celle de son voisin américain au cours des prochains mois. C'est ce que soutient l'économiste Joelle Noreau, du Mouvement Desjardins. Au Québec, 8300 emplois ont été créés en août dernier, mais le taux de chômage a augmenté d'un dixième pour cent, à 9,1 pour cent. Joelle Noreau estime qu'il est trop tôt pour parler de relance économique. Selon elle, il faudra un relèvement décisif aux Etats-Unis pour que les effets soient vraiment perceptibles et durables au Québec. Mme Noreau souligne que le Québec a des liens étroits avec les Etats-Unis dans plusieurs secteurs qui souffrent actuellement de la récession, soit les secteurs manufacturier, du transport et de l'aéronautique. L'économiste note que l'Ontario vit une situation quasi similaire, son économie étant également fortement tributaire des Etats-Unis. Dans cette province, le taux de chômage est passé de 9,3 pour cent en juillet à 9,4 pour cent en août. L'emploi a néanmoins crû de 12 200 le mois dernier.
  16. Pierre Duhamel Chroniqueur, Argent À la surprise générale, le Québec semble s’en tirer mieux que la plupart des autres grandes provinces canadiennes malgré la récession. Voici un portrait comparatif de la situation économique du Québec et celle de l’Ontario depuis un an. À la surprise générale, le Québec semble s’en tirer mieux que la plupart des autres grandes provinces canadiennes malgré la récession. Voici un portrait comparatif de la situation économique du Québec et celle de l’Ontario depuis un an. En conclusion, le Québec fait mieux que l’Ontario cette année, mais l’état précaire de ses finances publiques risque de lui jouer de vilains tours au cours des prochaines années. EMPLOIS PERDUS (juillet à juillet) Québec √ Ontario 35 200 168 100 TAUX DE CHÔMAGE (juillet) Québec √ Ontario 9,0% 9,3 % RÉMUNÉRATION (hebdo moyenne juin à juin) Québec √ Ontario 2,7% 0,7 % VENTES AU DÉTAIL (juin) Québec √ Ontario 1,8 % à vérifier VENTES VÉHICULES NEUFS (juin) Québec √ Ontario 1,4 % - 2,3 % REVENU PERSONNEL DISPONIBLE (prév. 2009) Québec √ Ontario 1,3 % 0 % PIB (Prévisions 2009 Conference Board) Québec √ Ontario -0,9 % -3,1 % DÉFICIT GOUVERNEMENTAL (2009-2010) Québec √ Ontario 3,9 milliards $ 14,1 milliards $ DETTE PAR HABITANT (population) Québec Ontario √ 16 336 $ 11 552 $ DETTE PAR HABITANT (PIB) Québec Ontario √ 42 % 25,4 %
  17. Vous avez sûrement tous remarqué la dernière campagne publicitaire de la Ville de Montréal pour convaincre des gens de ne pas s'enfuir en banlieue... Qu'en pensez-vous? Berri-UQAM, 5 mars 2009 d'autres affiches disent : Un Montréalais c'est quelqu'un qui reste à Montréal. Quitter Montréal, mais pour aller où? Les services de proximité, c'est mieux quand ils sont proches. Habiter la Rive-Sud, mais celle de Laval. Habiter la Rive-Nord, mais celle de Longueuil. etc.
  18. Christian Rioux Le Devoir vendredi 17 juillet 2009 -------------------------------------------------------------------------------- J’ai toujours aimé la ville de Québec. Contrairement à ces Montréalais qui ne la trouvent pas assez multiethnique, trop tranquille et un peu snob, j’ai toujours éprouvé un plaisir fou à déambuler dans les rues chargées d’Histoire de notre unique capitale. Moi qui suis pourtant un Montréalais dans l’âme, je n’ai vécu que quelques mois dans le Vieux-Québec, mais j’en garde un souvenir impérissable. Quand je voyage, je ne cherche pas le cocon originel. C’est pourquoi j’ai toujours apprécié la noblesse de cette ville. Certains le disent avec mépris, moi je le dis avec admiration. Cette noblesse s’exprime jusque dans la façon de parler des Québécois, moins négligée que celle des Montréalais. Il y a un art de vivre à Québec qui manque trop souvent à Montréal. Cela tient probablement à l’omniprésence de l’Histoire qui vous surprend à chaque coin de rue. J’ai toujours considéré Québec comme un refuge, une sorte de havre de paix à côté de la fureur et de la violence de Montréal, ville américaine par excellence. À 300 kilomètres de chez moi, les vieilles pierres de Québec offraient un peu de sérénité au voyageur. Surtout l’été, lorsque Montréal est envahie par des hordes de festivaliers, version moderne des invasions barbares. À côté de ce délire estival qui bloque toutes les rues et rend le centre-ville invivable, Québec avait gardé, malgré ses touristes et son Festival d’été, un certain sens de la mesure. Les festivités conservaient une dimension humaine. On pouvait toujours déambuler dans la ville sans se retrouver devant une rue barrée par des adolescents imberbes déguisés en clowns qui fouillent votre sac en s’étonnant que vous ne communiiez pas vous aussi à leur festivalite aiguë. *** Cette semaine, dans la rue Saint-Amable derrière le parlement, les sons stridents d’une Fender mal accordée me sont tombés dessus comme une tonne de briques. Une gigantesque scène en tubulures métalliques s’élevait entre D’Artigny et George V. Ce que je craignais s’est produit. Le virus des mégafestivals semble avoir attaqué l’un des derniers corps sains que comptait encore le Québec. En descendant l’escalier Lépine, j’ai eu la surprise de tomber sur la scène du Cirque du Soleil, située sous l’échangeur. Sa clôture de deux mètres avait des airs de camp de concentration. Est-ce l’effet du succès du 400e ? On a l’impression que la capitale vit déjà dans la nostalgie de cet anniversaire, un peu comme Montréal cultive celle de l’Expo. Faudra-t-il dire adieu à la douceur de vivre de cette ville unique en Amérique du Nord ? Chose certaine, il semble que Québec ait choisi de communier à la même fureur hédoniste qui a déjà emporté Montréal. C’est Gilbert Rozon qui affirmait que les citadins rêvaient de se transformer en « touristes dans leur propre ville ». Belle métaphore pour décrire la métamorphose des centres-villes en Disneyland. Le maître du rire décomplexé oubliait que l’exode vers les banlieues se poursuivait de plus belle à Montréal et que ces happenings permanents n’avaient rien pour attirer les familles au centre-ville. Demandez-le aux résidants du Vieux-Québec qui ont supporté pendant tout le mois de janvier la construction d’une piste de descente en patin. Comme si la région ne comptait pas assez de pentes glacées pour accueillir cette compétition, dite de « sport extrême » et qui porte le doux nom de... Redbull Crashed Ice ! Il ne faudrait surtout pas dépayser l’homo touristus en lui parlant français. Car la ville des festivals, celle de la mégafête permanente est au fond la cité de ceux qui n’aiment pas la ville. C’est pourquoi il faut les séduire en multipliant les leurres et les artifices de toutes sortes. *** Mais Québec ne fait pas que rêver de l’Expo. Il semble que son maire se prenne aussi pour Jean Drapeau. On tombe des nues en apprenant qu’en 2009, des responsables municipaux acceptent sans rien dire la destruction de deux édifices aussi prestigieux que la chapelle des Franciscaines et le monastère des Dominicains. Ces deux exemples de style néo-baroque situés sur la plus prestigieuse avenue de Québec, la Grande Allée, tomberont sous le pic des démolisseurs. Le premier sera détruit dès cet été pour faire place à des condos. Le second sera largement détruit dans quelques années pour permettre au Musée national des beaux-arts de s’agrandir. Même les appels au secours de Phyllis Lambert, du Centre canadien d’architecture, n’ont pas été entendus. On s’étonne évidemment qu’un maire fasse si peu de cas du patrimoine. Mais que la démolition du monastère des Dominicains soit souhaitée par un musée, cela dépasse tout entendement. On ne fera croire à personne que les plaines d’Abraham ne pouvaient pas sacrifier quelques mètres carrés de gazon pour que le musée puisse s’agrandir. Comment expliquer qu’un musée chargé de protéger l’héritage culturel du Québec n’ait même pas laissé sa chance au coureur en offrant aux architectes la liberté d’intégrer le couvent dans leur projet ? Par le passé, le musée avait pourtant fait des miracles avec un édifice bien moins prestigieux, l’ancienne prison de Québec. Il est vrai qu’à Disneyland, il n’y a pas de place pour les vieilles pierres.
  19. L'Institut Fraser calcule que le Québec est l'une des trois dernières provinces à atteindre la journée d'affranchissement de l'impôt, avant celle de la Saskatchewan et de Terre-Neuve-et-Labrador. Pour en lire plus...
  20. La famille moyenne dépense plus en impôts que pour ses besoins essentiels Institut Fraser Agrandir La Presse Canadienne Vancouver D'après une étude de l'Institut Fraser, la famille moyenne canadienne gagnait 71 764 $ en 2008 et a dû débourser 31 535 $ en impôts, ce qui représentait 43,9 pour cent de son revenu. Elle dépensait par ailleurs 35,7 pour cent de son avoir pour se loger, se nourrir et se vêtir. Selon Niels Veldhuis, coauteur de l'étude sur l'indice d'imposition du consommateur canadien et directeur des études fiscales à l'Institut Fraser, la facture d'impôts des Canadiens a crû de 1783 pour cent au cours des 47 dernières années. Il ajoute que, pour la même période, la facture pour se loger a augmenté de 1218 pour cent, celle pour se nourrir de 532 pour cent et celle pour s'habiller de 536 pour cent. Selon l'Institut Fraser, en 1961, la famille moyenne consacrait 33,5 pour cent de son revenu aux impôts et 56,5 pour cent de son revenu pour se loger, se nourrir et s'habiller. Cette proportion s'est inversée dès 1981. Les gouvernements percevaient alors 40,8 pour cent des revenus de la famille moyenne en impôts, ne lui laissant que 40,5 pour cent du revenu pour combler ses besoins essentiels. L'indice d'imposition du consommateur canadien comprend tous les impôts payés par les Canadiens, que ce soit à l'échelle fédérale, provinciale ou municipale.
  21. Le président de la Banque mondiale dit craindre que l'ampleur de la crise économique mondiale ne précipite le monde dans une spirale protectionniste comparable à celle des années 1930. Pour en lire plus...
  22. Le temps des sucres est de retour et les producteurs du Québec espèrent connaître une bonne saison, contrairement à celle de l'an dernier qui fut la pire de l'histoire. Pour en lire plus...
  23. Québec 2008 Septembre +0.7% Octobre 0.0% Novembre -0.7% cumulatif 2008: +1.3% Canada 2008 Septembre 0.0% Octobre -0.1% Novembre -0.7% cumulatif 2008: +0.7% 2007 Québec +2.4% Canada +2.5% Incroyable pour 2007 et 2008, considérant qu'on pisse pas du pétrole ici... Le produit intérieur brut réel aux prix de base par industrie au Québec, novembre 2008 Le PIB fléchit en novembre QUÉBEC, le 25 févr. /CNW Telbec/ - Le produit intérieur brut (PIB) réel aux prix de base du Québec recule de 0,7 % en novembre; après avoir augmenté de 0,7 % en septembre et demeuré stable en octobre. La production des onze premiers mois de 2008 monte de 1,3 % en comparaison à la même période correspondante de 2007. Au Canada, le PIB faiblit également de 0,7 % en novembre. L'économie canadienne n'a pas bougé en septembre et a légèrement reculé de 0,1 % en octobre (augmentation de 0,7 % au cours des onze premiers mois de 2008). En 2007, la progression de l'économie a atteint 2,4 % au Québec, alors que celle du Canada a été de 2,5 %. Les industries productrices de biens ainsi que celles des services affichent toutes deux des baisses La production dans les industries productrices de biens et de celles des services affiche respectivement des pertes de 1,4 % et de 0,4 %. Du côté des industries productrices de biens, le recul enregistré de 1,4 % fait suite à deux progressions consécutives de 1,3 % en septembre et de 0,4 % en octobre. Plus précisément, la production dans trois industries décroît en novembre : la fabrication (- 1,9 %), la construction (- 0,9 %) et les services publics (- 0,6 %). Cependant, la production dans l'industrie de l'agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse fait une pause pour ce mois-ci et celle de l'extraction minière, pétrolière et gazière croît de 1,2 %. Pour leur part, la production dans les industries productrices de services diminue de 0,4 %. Elle a aussi augmenté de 0,4 % en septembre et a faiblement baissé de 0,1 % en octobre. On compte sept industries sur l'ensemble des industries productrices de services dont la production est à la baisse. Le fléchissement de novembre s'explique principalement par le recul de la production de l'industrie du commerce de gros (- 3,8 %), de celle du transport et de l'entreposage (- 1,5 %) et de celle de la finance et les assurances, les services immobiliers et de location à bail et de la gestion de sociétés et d'entreprises (- 0,4 %). Toutefois, la croissance de la production de l'industrie des services administratifs, des services de soutien, des services de gestion de déchets et des services d'assainissement (1,1 %), celle des services d'enseignement (0,7 %) et celle des autres services, sauf les administrations publiques (0,5 %), atténue la perte de novembre. ------------------------------------------------------------------------- L'Institut de la statistique du Québec produit et diffuse une information statistique pertinente, fiable et actuelle sur l'évolution socioéconomique du Québec et de la société québécoise. Il constitue le lieu privilégié de production et de diffusion de l'information statistique officielle pour les ministères et organismes du gouvernement, et il est responsable de toutes les enquêtes d'intérêt général. << Sources : Réjean Aubé Tél. : 418 691-2411, poste 3142 Économiste Institut de la statistique du Québec Quynh-Van Tran Tél. : 418 691-2411, poste 3172 Économiste Institut de la statistique du Québec Centre d'information et de documentation Tél. : 418 691-2401 ou 1 800 463-4090 (sans frais d'appel au Canada et aux États-Unis) Site Web de l'Institut : http://www.stat.gouv.qc.ca >>
  24. Suspension de production chez Chrysler Mise à jour le vendredi 6 février 2009 à 14 h 31 La direction du constructeur automobile américain Chrysler annonce la fermeture temporaire d'au moins quatre de ses usines d'assemblage en Amérique du Nord, dont celle de Brampton en Ontario. Les autres usines touchées sont celles de Sterling Heights au Michigan, de Belvidere en Illinois ainsi que celle de Détroit. La production des quatre usines sera interrompue pour cinq jours à partir de la semaine prochaine, soit du 9 au 13 février prochain. Chrysler explique cette décision par la faiblesse de ses ventes de véhicules aux États-Unis et les importants problèmes financiers auxquels elle doit faire face. Un porte-parole de Chrysler a déclaré à l'Associated Press que la direction revoyait son horaire de production toutes les semaines en raison de la conjoncture et que d'autres fermetures temporaires d'usine pourraient survenir. Chrysler, qui emploie plus de 9800 personnes au Canada, a vu ses ventes de véhicules baisser de 55 % en janvier par rapport à la même période l'an dernier et de 30 % sur l'ensemble de l'année 2008 par rapport à 2007. L'usine de Brampton, en Ontario, dont le congé des fêtes avait été prolongé au-delà de la période prévue, emploie plus de 3500 personnes. On y assemble notamment les modèles Chrysler 300, Dodge Charger et Dodge Challenger.
  25. C'est la même histoire qui se poursuit: l'industrie automobile de l'Ontario plombe la valeur de son secteur manufacturier tandis que l'aérospatiale gonfle celle du Québec. Pour en lire plus...
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