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  1. La gauche déconnectée La présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, veut partir l’année du bon pied. En s’attaquant à « la droite », qu’elle juge « de plus en plus provocante ». Cette droite, incarnée par le Réseau Liberté Québec (RLQ), veut, entre autres, moins de fonctionnaires, plus d’argent dans nos poches de contribuables, et désengorger les urgences avec l’aide d’entrepreneurs québécois – le « privé ». Beaucoup de Québécois appuient ces idées. Et ça fait paniquer les syndicats de la fonction publique. On les comprend. Leur employeur, c’est l’État. Si celui-ci décide de se serrer la ceinture, ça veut dire moins d’emplois et moins de privilèges pour les syndiqués. Quelle privatisation? Le discours des centrales syndicales est toujours le même : nous vivons dans un monde « néolibéral » de droite, où l’État coupe et privatise sans cesse les programmes sociaux. Mais quel monde néolibéral? Quelle privatisation? C’est l’inverse. Au Québec on étatise et syndique les programmes sociaux sitôt qu’on a la chance. Dernier exemple : les garderies. La CSN et la CSQ ont récemment syndiqué 15 000 gardiennes en milieu familial (des grèves ont suivi aussitôt). Contrairement à ce que claironne la propagande syndicale, l’État ne rapetisse pas. Il grossit. Le nombre de fonctionnaires aussi. On comptait 94 employés du secteur public pour 1000 habitants au Québec en 2000, selon Statistique Canada. Aujourd’hui : 112. Le poids du gouvernement dans l’économie était de 27 % à l’arrivée de Jean Charest comme premier ministre en 2003. Aujourd’hui : 31 %. Si vous payez 1 % plus de TVQ à partir d’aujourd’hui, ce n’est pas un hasard. La supposée « privatisation des services publics » est un mensonge. Un épouvantail ridicule qui n’effraie aucunement quiconque se donne la peine de vérifier les chiffres. Programmes sociaux en danger C’est vrai, nos programmes sociaux sont en danger. Mais pas à cause de la droite. Ironie ultime, ce sont les syndicats eux-mêmes, par leur gourmandise et leur intransigeance, qui menacent la survie des programmes sociaux au Québec. Revenons aux garderies à 7 $. Le coût de ce programme est passé de 290 millions en 1997, à plus de deux milliards aujourd’hui. Sept fois plus. Pourtant, le nombre de places pour les enfants a à peine plus que doublé. Le programme est dans le rouge – le gouvernement a emprunté plus de 200 millions l’an dernier pour se le payer. Et pour satisfaire les exigences salariales des 15 000 nouveaux syndiqués, il faudra ajouter un autre 300 ou 400 millions à la facture. Bientôt, la survie du programme sera menacée. Pas à cause de « la droite ». En grande partie à cause des syndicats et de la bureaucratie, qui font exploser les coûts. On pourrait aussi parler des hôpitaux, où les syndicats et corporations agissent comme obstacles à une livraison plus efficace des services. De nos écoles, où les syndicats et génies du ministère de l’Éducation nivèlent par le bas autant la qualité des professeurs que des élèves. Illusions solidaires Les citoyens qui souhaitent garder des programmes sociaux de qualité au Québec doivent réaliser une chose : ceux qui se déguisent en défenseurs de vos intérêts – les centrales syndicales, comme celle de Mme Carbonneau – sont les mêmes qui vont dépouiller ces programmes pour leur profit, jusqu’à ce qu’on n’ait plus le choix de les privatiser… parce qu’on n’aura plus un sou. Selon Mme Carbonneau, « les libertés dont le RLQ se réclame sont des “illusions tranquilles” pour l’immense majorité de la population, qui n’aura jamais les moyens de s’en prévaloir ». Erreur. Ce que les Québécois ne sont plus capables de s’offrir, ce sont les « illusions solidaires » de la CSN, FTQ et autres syndicats. Et les fantasmes ruineux d’une gauche déconnectée de leur réalité. http://descoteaux.argent.canoe.ca/general/la-gauche-deconnectee/
  2. Avis aux médias - Un autre Québec est possible - Lancement de l'Alliance sociale QUÉBEC, le 3 nov. /CNW Telbec/ - Afin de contrer le discours de droite de plus en plus présent sur la scène publique et en prévision des consultations prébudgétaires du ministre des Finances, Raymond Bachand, des groupes progressistes lancent l'Alliance sociale. Les représentantes et les représentants des médias sont invités à une conférence de presse qui se tiendra le 5 novembre 2010, à 9 h 30, à l'hôtel Québec Hilton, à la salle Beauport. Cet événement se déroulera en présence de Michel Arsenault (FTQ), Claudette Carbonneau (CSN), Réjean Parent (CSQ), François Vaudreuil (CSD), Lucie Martineau (SFPQ), Dominique Verreault (APTS), Gilles Dussault (SPGQ), Louis-Philippe Savoie (FEUQ) et Léo Bureau-Blouin (FECQ).
  3. Le plan Carbonneau pour ruiner le Québec Permalink 09/12/09 13:52, Pierre Duhamel / Général, 682 mots Pour la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, les choses sont claires et simples. Les contribuables québécois doivent payer plus d’impôts pour payer les augmentations de salaires des employés de l’État. Ses propositions sur les finances publiques du Québec seraient désastreuses pour les Québécois et leur économie. Voici pourquoi. Hausser les impôts Claudette Carbonneau veut reprendre les baisses d’impôts de 950 millions de dollars accordées aux Québécois en janvier 2008. Ces baisses réduisaient de 40 % l’écart entre les Québécois et les autres Canadiens. Je fais remarquer à la présidente de la CSN qu’il subsiste un écart de 60 % et que seules trois provinces sont plus imposées que le Québec. Sa proposition ne vise qu’à nous redonner le titre de contribuables les plus imposés en Amérique du Nord, un championnat auquel je ne tiens pas particulièrement. Quant aux entreprises, soulignons que le Québec est la seule province à avoir augmenter l’impôt des entreprises depuis 2001. Les juridictions concurrentes cherchent à diminuer le fardeau fiscal des entreprises pour qu’elles puissent prospérer, investir et embaucher sur leur territoire. Pour rester concurrentiel, le Québec a entrepris d’éliminer la taxe sur le capital, une mesure qui a permis aux sociétés d’abaisser leur fardeau fiscal de 20 % depuis 2002. Non à la compression des dépenses Le gouvernement Charest veut limiter la croissance des dépenses à 3,2 % par année. On ne parle pas ici de diminution des dépenses, mais d’un ralentissement de leur augmentation. De plus, cette hausse de 3,2% reste un peu plus élevée que la croissance anticipée de l’économie au cours des prochaines années. Ce n’est pas comme si le Québec avait du rattrapage à faire au niveau des dépenses publiques, bien au contraire. Les dépenses de programmes – les services de l’État à la population – représentaient en moyenne 26 % du PIB québécois entre 1989 et 2009, contre 17 % pour l’Ontario et 20,3 % pour la moyenne des provinces canadiennes. Surtout pas de hausse de la TVQ L’idée de Madame Carbonneau, c’est de faire payer toute la facture par les 58,6 % des contribuables qui paient de l’impôt et d’épargner tous les autres. Elle fait partie d’une école où vaut mieux taxer la production, plutôt que la consommation. Pour elle, une hausse d’un point de la TVQ serait évidemment «régressive», puisqu’elle avantagerait les mieux nantis. Je lui ferait néanmoins remarquer que les Québécois de la classe moyenne sont déjà lourdement imposés et que les mieux nantis seraient les premières cibles d’une hausse de la TVQ, parce qu’ils consomment davantage. De plus, les plus démunis sont compensés par le gouvernement pour la TVQ et il en serait varisemblablement ainsi si le gouvernement voulait hausser les tarifs d’électricité. Sept ans pour rétablir l’équilibre budgétaire Le gouvernement Charest prévoit des déficits cumulés de 13,2 milliards de dollars d’ici 2013-2014. 13 milliards qui s’ajoutent à la dette déjà considérable du Québec. En ne limitant pas la croissance des dépenses et en refusant l’augmentation de la TVQ, le déficit atteindrait 26,9 milliards de dollars, soit plus du double. Même en ajoutant la ponction fiscale de 3,6 milliards de dollars en quatre ans favorisée par la CSN, on arrive avec 10 milliards de dollars supplémentaires à ajouter à la dette du Québec. En ajoutant deux autres années de déficit au niveau de 2013-2014, on parle de plus de 30 milliards de dollars. Ces dizaines de milliards participeront à la croissance du service de la dette, déjà le troisième poste budgétaire après la santé et l’éducation. Les propositions de Claudette Carbonneau sont injustes pour les contribuables Québécois et ruineuses pour les finances publiques. C’est bête et c’est cher et cela rendra le financement des services de l’État encore plus difficile.
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