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  1. Nouvellement inscrit sur ce forum et ce soir je vais mettre des photographies ( 3 ou 4) dont j'essaie d'identifier le lieu à Montreal. Ils font parti d'un album de 100 photos nouvellement découvertes appartenant au capitaine J.B Bélanger, capitaine du Savoy de l'île Anticosti et aussi capitaine de l'Eureka qui fut le premier sur les lieux du naufrage de l'Empress of ireland. P. Laurin http://www.comettant.com
  2. Charest patrouille le ciel de L.A. Nicolas Bérubé La Presse Publié le 05 octobre 2009 à 07h18 | Mis à jour le 05 octobre 2009 à 07h21 (Los Angeles) Jean Charest enlève son veston beige et grimpe à bord de l'hélicoptère Black Hawk du comté de Los Angeles. Le capitaine Tony Marrone, un homme solide à la mâchoire carrée, lui montre son siège. «Vous avez la meilleure place à bord, M. le premier ministre!» dit-il. Il montre du doigt le siège qui fait face à une grande ouverture dans le côté droit de l'appareil. En vol, il offre une vue non obstruée du ciel californien - et du sol, à plusieurs centaines de mètres. Le premier ministre prend place, un sourire accroché aux lèvres. Le capitaine Marrone l'aide à boucler sa ceinture, sorte de pieuvre noire aux multiples tentacules. Les autres passagers montent à bord, et quelqu'un referme les portes coulissantes. Le moteur démarre. Une vague odeur de kérosène remplit l'appareil. But du voyage: observer les avions-citernes Bombardier CL-415 en action. Pilotés par des Québécois, deux de ces avions sont loués au Québec chaque automne depuis 16 ans par le comté de Los Angeles, où les feux de broussailles sont de plus en plus fréquents et dévastateurs. Les Américains paient trois millions de dollars pour louer les CL-415 et leur équipage de 11 Québécois, experts dans l'entretien et le pilotage de ces bimoteurs uniques qui valent près de 30 millions pièce. «Aujourd'hui, nous considérons que les pompiers québécois font partie de notre famille, note le capitaine Marrone. C'est vous dire à quel point leur travail est apprécié par les pompiers d'ici.» Attention aux motomarines À travers les fenêtres du Black Hawk, les bâtiments de Los Angeles sont si petits qu'ils ressemblent aux circuits imprimés d'un ordinateur. Le pilote fonce vers le nord, vers les montagnes de Santa Clarita. Au bout de 10 minutes, un immense lac apparaît au milieu des montagnes arides. C'est l'un des 12 points d'eau utilisés par les pompiers pour ravitailler les CL-415. «Ces lacs sont populaires auprès des plaisanciers, explique le capitaine Marrone. Avant d'aller faire le plein, les CL-415 doivent communiquer avec les gardiens, qui font évacuer le lac. Il ne faut pas que des motomarines soient dans le chemin quand l'avion arrive.» À notre droite, un avion jaune et rouge apparaît à l'horizon. Il file vers le lac de ravitaillement. L'avion ralentit. Bientôt, sa carlingue effleure le dessus des flots à une vitesse de 130 km/h, laissant une longue traînée blanche. Après 12 secondes, l'avion reprend de l'altitude. Les pilotes pompiers sont prêts à relâcher 6000 litres d'eau. L'avion décrit un arc au-dessus de la région. Au-dessus d'une crête, les réservoirs s'ouvrent. Un nuage blanc prend naissance sous l'avion. Des trombes d'eau frappent le paysage sec et mouillent une route désertée en contrebas. Les passagers de l'hélicoptère regardent la scène, médusés. En route vers Hollywood Le pilote de l'hélicoptère met le cap vers le sud. On survole bientôt les gratte-ciel du centre-ville de Los Angeles. L'appareil s'approche ensuite des lettres «Hollywood», si hautes qu'elles remplissent notre champ de vision. «Incroyable. C'est à couper le souffle», murmure M. Charest, alors que le Black Hawk survole les vertes collines de Beverly Hills et les immenses villas qui y sont juchées. «Il y a plus d'habitants à Los Angeles qu'au Québec au complet, dit-il, sondant le paysage du regard. C'est quand même quelque chose.» De retour à la base de Van Nuys, M. Charest sert la main de l'équipage québécois, et pose pour une photo de groupe. «S'il y en a qui ont des casiers judiciaires, c'est le temps de le dire», lance-t-il, pince-sans-rire. De son excursion dans le ciel de Los Angeles, M. Charest dit retenir que les pompiers québécois accomplissent un travail essentiel et remarquable. Et que Los Angeles n'est sans doute pas un modèle de croissance à imiter pour le Québec. «Comme Québécois, c'est impressionnant de voir la densité de population. C'est à l'opposé de nos grands espaces. Et la place qu'occupe l'automobile est tellement importante ici... Je crois qu'on est bien chez nous.» http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/200910/05/01-908403-charest-patrouille-le-ciel-de-la.php
  3. Le port de Vancouver écope 29 novembre 2008 - 12h06 La Presse Philippe Mercure Si Montréal semble bien se sortir de la crise pour l'instant, la situation est différente à Vancouver. En milieu d'année, le Port de Vancouver avait déjà vu le volume total des marchandises manutentionnées reculer de 5% par rapport à un an auparavant. Directement branché sur la Chine, le plus important port au pays écope. Et doublement. «En temps normal, les matières premières vont en Chine, sont transformées et reviennent ici sous forme de biens de consommation, explique le capitaine Gordon Houston, président et chef de la direction du Port de Vancouver. Quand les Nord-Américains ne consomment plus, on voit donc l'impact des deux côtés. Si on cesse d'envoyer, on cesse de recevoir.» «La situation des lettres de crédit en Chine cause des problèmes au cours des dernières semaines. Plusieurs de nos produits - la pulpe de bois en particulier - ont subi un impact», dit aussi M. Houston. Sans compter la chute du prix des matières premières, qui ralentit temporairement les échanges. «On dirait que du côté des céréales, les acheteurs ont mis un frein aux achats parce qu'ils attendent de voir jusqu'où les prix vont descendre, croit le capitaine. C'est une question de spéculation - ils vont devoir acheter les céréales à un moment ou à un autre.» Dans la boule de cristal? «Les premiers trimestres de l'année prochaine vont certainement être difficiles, répond M. Houston. Et si j'étais capable de vous dire ce qui va se passer au-delà de ça, je serais probablement assis dans un autre bureau... Honnêtement, je ne le sais pas.»
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