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  1. Expo universelle de 2025: deux elus veulent que Montreal soit candidate | Pierre-Andre Normandin | Montreal Publié le 15 janvier 2017 à 05h00 | Mis à jour à 06h59 Expo universelle de 2025: deux élus veulent que Montréal soit candidate Marvin Rotrand, conseiller de la Ville et chef du parti Coalition Montréal Photo OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE Pierre-André Normandin La Presse Alors que Montréal souligne cette année le 50e anniversaire d'Expo 67, deux élus montréalais proposent d'inviter à nouveau le monde dans la métropole québécoise en organisant l'Exposition universelle de 2025. Justine McIntyre, conseillère de la Ville et chef de Vrai changement pour Montréal Photo tirée du compte Facebook de Vrai changement pour Montréal Les conseillers Marvin Rotrand et Justine McIntyre proposeront à l'administration Coderre, lors du prochain conseil municipal, « d'examiner la possibilité de déposer au Bureau international des expositions la candidature de la Ville de Montréal pour l'Expo 2025 ». Ils comptent rendre publique demain leur évaluation des coûts et des retombées économiques de l'événement. Le temps presse toutefois puisque les villes intéressées ont jusqu'au 22 mai pour entrer officiellement dans la course. En effet, la France a présenté le 22 novembre dernier la candidature du Grand Paris en vue de 2025. En vertu des règles d'attribution de l'Exposition universelle, ce dépôt a déclenché le compte à rebours de six mois pour les mises en candidature. Novembre 2018 Moment où sera connu le choix de l'hôte pour l'Exposition universelle de 2025 au terme d'un processus de sélection parmi les différents candidats. Dans une motion qu'ils déposeront le 23 janvier au conseil municipal, les deux élus montréalais soulignent qu'Expo 67 a eu d'importantes retombées pour Montréal, de la construction du métro à l'aménagement de l'île Notre-Dame en passant par l'arrivée d'une équipe professionnelle de baseball. La Ville de Toronto a sérieusement envisagé une candidature en vue d'Expo 2025, mais a fini par renoncer l'automne dernier, en raison des risques financiers. « Chaque fois que Toronto a dit non à quelque chose d'important, ça a fonctionné à l'avantage de Montréal », a indiqué Marvin Rotrand, qui vient de prendre la tête du parti Coalition Montréal. Celui-ci rappelle que la métropole québécoise a obtenu Expo 67 après que la Ville Reine s'est montrée peu intéressée par la tenue de l'événement, que le Canada convoitait à l'époque. « Le reste fait partie de l'histoire », poursuit M. Rotrand. Et de deux? Il n'est pas rare que l'Exposition universelle soit présentée à plusieurs reprises par une même ville. Seule candidate pour l'heure en vue de 2025, Paris l'a déjà organisée six fois. Bruxelles (Belgique) l'a présentée à quatre reprises. Les villes de Londres (Royaume-Uni), Barcelone (Espagne) et Milan (Italie) l'ont organisée chacune deux fois. Les règles du Bureau international des expositions, qui gère l'événement, prévoient un délai d'au moins 15 ans entre deux présentations de l'Exposition dans un même pays. La dernière présentation de l'événement au Canada remonte à 1986, à Vancouver. Détail important, la candidature doit être présentée par un État - le Canada, donc, dans le cas de Montréal. Si elle décide de se lancer, la métropole québécoise devra ainsi convaincre rapidement le gouvernement Trudeau d'embarquer dans l'aventure. Si le délai pour présenter une candidature montréalaise devait être jugé trop serré, Marvin Rotrand et Justine McIntyre proposent d'envisager une candidature pour l'Expo spécialisée prévue en 2027 ou 2028.
  2. http://www.lapresse.ca/sports/autres-sports/olympisme/201604/19/01-4972713-jeux-de-2026-les-e-u-ferment-la-porte-a-une-candidature-quebec-lake-placid.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-title_article_ECRAN1POS2&utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_Autres%20contenus%20populaires_article_ECRAN1POS2 Publié le 19 avril 2016 à 06h49 | Mis à jour à 06h49 Jeux de 2026: les É.-U. ferment la porte à une candidature Québec-Lake Placid En plus d'avoir le dénivelé skiable le plus important... (PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE) En plus d'avoir le dénivelé skiable le plus important à l'est des Rocheuses, la montagne de Whiteface, située à quelques kilomètres de Lake Placid, dans le nord de l'État de New York, compte plusieurs infrastructures pouvant accueillir les Jeux d'hiver, notamment des tremplins de saut à ski. Jean-François Bégin La Presse Le Comité olympique américain (USOC) dit non à une participation de Lake Placid à une éventuelle candidature de Québec pour les Jeux olympiques d'hiver de 2026, écartant ainsi d'emblée l'un des scénarios envisagés publiquement par le maire Régis Labeaume. Utilisée comme base d’entraînement par les athlètes américains... (Photo Shaun Best, Archives Reuters) - image 1.0 Utilisée comme base d’entraînement par les athlètes américains après avoir été l’hôte des Jeux d’hiver à deux reprises (1932 et 1980), Lake Placid détient plusieurs atouts qui font défaut à la candidature de Québec comme le site potentiel des Jeux d’hiver. On retrouve notamment dans la région une piste de luge-bobsleigh-skeleton (notre photo). « Le Comité olympique américain est concentré à 100 % sur notre candidature pour attirer les Jeux [d'été] à Los Angeles en 2024 et nous n'envisageons pas de candidature pour 2026 », a écrit le porte-parole du USOC, Patrick Sandusky, dans un courriel envoyé à La Presse. Relancé, M. Sandusky a précisé qu'aucune ville américaine ne peut être partie à une candidature d'une ville étrangère sans l'assentiment du USOC - et que cela constituait une fin de non-recevoir à la participation de Lake Placid aux projets de Québec, qui restent d'ailleurs à confirmer. Plus de 20 ans après l'échec de la tentative de Québec d'obtenir les Jeux de 2002, la Capitale nationale a de nouveau attrapé la fièvre olympique, le mois dernier, quand le maire Labeaume a fait savoir que le président du Comité international olympique (CIO), Thomas Bach, l'avait invité à Lausanne. M. Labeaume s'est rendu en Suisse la semaine dernière. Au terme d'une rencontre de cinq heures, il s'est dit convaincu du sérieux de la volonté du CIO de réformer les Jeux pour les rendre plus « modestes » et moins coûteux. Selon l'Agenda 2020, que le CIO a adopté en décembre 2014, il est désormais possible pour deux villes de présenter une candidature conjointe. «Ce n'est plus une hypothèse, c'est acquis. Il n'y a aucun problème pour qu'on tienne ça dans deux villes, même deux pays différents. C'est majeur.» Régis Labeaume Maire de Québec, discutant avec les médias qui l'avaient accompagné lors de sa visite en terre helvétique la semaine dernière Le maire avait évoqué la possibilité que Québec, s'il décide de plonger, fasse cause commune avec Calgary ou Vancouver, qui ont organisé les Jeux en 1988 et 2010 respectivement, ou encore avec Lake Placid. La petite localité du nord de l'État de New York, située à 400 kilomètres de Québec, a été l'hôte des Jeux d'hiver à deux reprises, en 1932 et en 1980. Le mois dernier, le maire Craig Randall avait confirmé au Soleil avoir eu des « discussions très préliminaires » avec Régis Labeaume au sujet d'une participation de sa ville à une possible candidature. Le maire de Québec a indiqué la semaine dernière qu'il comptait rencontrer M. Randall à son retour d'Europe. Il n'a pas été possible de parler à M. Labeaume au terme de la séance du conseil municipal, hier soir. Joint au téléphone, son attaché de presse, Paul-Christian Nolin, a réitéré le message répété récemment par son patron : « On n'est pas en mode olympique, on est en mode exploratoire. On regarde les possibilités. » Dans ce contexte, « il n'est pas question de déception » malgré le veto exprimé par le USOC - d'autant plus, a-t-il ajouté, que c'est le maire de Lake Placid qui avait relancé l'idée d'une collaboration lors d'une entrevue avec Le Journal de Québec, l'hiver dernier. DES ATOUTS Toujours utilisée comme base d'entraînement par les athlètes américains, Lake Placid détient plusieurs atouts qui, dans l'hypothèse d'une candidature conjointe, auraient permis à Québec de ne pas avoir à construire des éléphants blancs potentiels comme une piste de luge-bobsleigh-skeleton et des tremplins de saut à ski. La région compte aussi sur la montagne de Whiteface, dont le dénivelé skiable de 1045 mètres est le plus important à l'est des Rocheuses. L'absence dans les environs de Québec d'une montagne suffisamment haute pour tenir la descente masculine était jusqu'ici considérée comme un handicap fatal pour les chances de Québec de devenir ville olympique. Le maire de Calgary, Naheed Nenshi, n'a pas commenté jusqu'à présent la possibilité d'une candidature conjointe avec Québec. Son homologue de Whistler, Nancy Wilhelm-Morden, s'est pour sa part dite « très intéressée ». Il reste qu'avant même que le USOC ne signifie hier son refus, certains observateurs doutaient du réalisme d'un partenariat entre Québec et d'autres villes nord-américaines. Pour Robert Livingstone, éditeur du site spécialisé gamesbids.com, qui se consacre aux candidatures olympiques, le concept « est plus approprié sur le continent européen, où les distances sont plus courtes et les frontières à l'intérieur de [l'espace Schengen] sont ouvertes ». « Les vastes distances proposées en Amérique du Nord et une frontière surveillée si ce sont des Jeux Canada-États-Unis auraient un impact sur la qualité de l'expérience des Jeux et réduiraient de manière significative les chances de succès de Québec », a-t-il écrit sur son blogue la semaine dernière. Tant le maire Randall que les dirigeants de la New York State Olympic Regional Development Authority (ORDA), qui gère les installations olympiques de Lake Placid, ont refusé d'accorder une entrevue à La Presse, hier. Jeux olympiques de 2026: pas de référendum à 6 millions Si Québec se lance dans une candidature pour les Jeux d'hiver de 2026, pas question de faire un référendum évalué 6 millions, dit Régis Labeaume. Le maire de Québec assure du même souffle que la population sera consultée « en bonne et due forme ». Dans un monde idéal, les citoyens pourraient voter sur une candidature olympique en même temps que le scrutin municipal de novembre 2017, estime M. Labeaume. Or, la loi québécoise ne le permet pas. « Je ne dépenserai pas 6 millions pour un référendum, oubliez ça. C'est-tu clair ? Ce que j'aimerais est qu'on puisse consulter le monde en même temps que les élections. Ce serait bien moins compliqué et ça ne coûterait pas une cenne de plus », a-t-il lancé, hier, en mêlée de presse avant le conseil municipal. L'autre option pourrait être la signature de registres, qu'avait privilégiée l'ancien maire Jean-Paul L'Allier pour la candidature de 2002. « Mais ce que la population doit savoir est qu'elle sera consultée », a tranché le maire. - Le Soleil
  3. http://www.lapresse.ca/sports/autres-sports/olympisme/201604/17/01-4972297-la-ministre-des-sports-favorable-a-des-jeux-a-quebec.php Publié le 18 avril 2016 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 La ministre des Sports favorable à des Jeux à Québec Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Au cours de la prochaine année, la ministre des Sports et des Personnes handicapées a l'intention de réunir les décideurs du milieu olympique canadien, pour établir une stratégie nationale pour l'accueil des grands événements sportifs internationaux. La ministre fédérale des Sports, Carla Qualtrough, estime que le Canada «doit accueillir» les Jeux olympiques ou les Jeux du Commonwealth d'ici 2030. Et elle se demande à voix haute si ce n'est pas le tour d'une ville québécoise, par exemple Québec pour les Jeux d'hiver de 2026. «Ça aurait du sens», a-t-elle dit en entrevue avec La Presse. «Je suis plutôt favorable à l'idée d'avoir différentes régions du pays [qui accueillent les Jeux], a indiqué la ministre Qualtrough. Je ne sais pas si c'est le tour de Québec, c'est au COC de décider, mais ce serait agréable d'avoir les Jeux à Québec, ça aurait du sens. Nous avons accueilli des Jeux olympiques à Vancouver et à Calgary, nous avons accueilli des Jeux à Montréal, mais c'était il y a quelque temps. Maintenant, si Edmonton disait qu'elle voulait des Jeux, je dirais qu'Edmonton serait aussi une bonne ville hôtesse.» La ministre Qualtrough a de bons mots pour le maire de Québec Régis Labeaume, qui a rencontré le président du Comité international olympique (CIO) Thomas Bach en Suisse la semaine dernière. Au cours de la prochaine année, la ministre des Sports et des Personnes handicapées a l'intention de réunir les décideurs du milieu olympique canadien, incluant le Comité olympique canadien (COC), qui a le dernier mot sur les candidatures olympiques. L'objectif: établir une stratégie nationale pour l'accueil des grands événements sportifs internationaux, afin d'avoir des efforts mieux concertés. «Nous ne pouvons pas accueillir tous les événements, dit-elle. Il faut s'asseoir avec tous les décideurs et faire un plan. Ils [COC, Commonwealth Games Canada, CONCACAF] ont le droit de déposer une candidature, j'ai les dollars fédéraux. Nous manquons des occasions quand nous le faisons seuls. Je ne veux pas avoir une situation où nous avons une candidature pour les Jeux d'hiver de 2026, les Jeux d'été de 2028 et les Jeux du Commonwealth en 2030. Nous ne pouvons pas financer ni remporter tous ces événements. Nous devons être stratégiques: voulons-nous des Jeux dans une ville qui a besoin d'infrastructures ou dans une ville qui a déjà les infrastructures? Nous devons avoir ces discussions difficiles», a précisé la ministre Qualtrough, avocate et ancienne nageuse paralympique qui a gagné trois médailles aux Jeux de Séoul (1988) et de Barcelone (1992). Il n'y a pas qu'à Québec qu'on démontre de l'intérêt pour une candidature olympique. Toronto a évalué la possibilité de présenter une candidature pour les Jeux d'été de 2024, mais le maire John Tory en a finalement décidé autrement, notamment en raison des réticences du gouvernement provincial et des délais serrés. Toronto, qui a accueilli les Jeux panaméricains l'été dernier, pourrait être tenté à nouveau pour les Jeux d'été de 2028. Accueillir les Jeux olympiques ou les Jeux du Commonwealth représente un investissement de plusieurs milliards de dollars pour le gouvernement fédéral, en grande partie en raison des infrastructures et de la sécurité. Pour l'instant, le gouvernement Trudeau n'a pas statué à savoir s'il appuierait une éventuelle candidature canadienne. «Je serai le plus grand défenseur d'une candidature [au cabinet], mais c'est un grand investissement et c'est une décision du cabinet», a dit la ministre Qualtrough, qui croit que l'obtention de tels événements est «une bonne chose» sur le plan économique. La ministre Qualtrough rappelle que les premiers Jeux du Commonwealth ont eu lieu à Hamilton, au Canada, en 1930 et que les Jeux du Commonwealth auront 100 ans en 2030. Patience avec le COC jusqu'aux Jeux de Rio Six mois après la démission de Marcel Aubut en raison d'allégations de harcèlement sexuel, le Comité olympique canadien (COC) a engagé des spécialistes et commence à changer ses politiques internes, mais l'organisme en fait-il assez pour contrer le harcèlement sexuel et assurer un climat de travail sain? La ministre fédérale des Sports, Carla Qualtrough, veut «donner du temps» à la nouvelle présidente du COC, Tricia Smith. «À un moment donné, je penserai différemment, peut-être après [les Jeux de] Rio», dit-elle. Résumé en trois déclarations. «Nous devons donner à Tricia [smith] le temps de travailler sur ce processus. Ils ont engagé un spécialiste de la gouvernance, un spécialiste des ressources humaines. Certaines de ces choses prennent du temps. Elle a choisi d'être discrète, je suis prête à attendre et voir quel type de changements il y aura.» [Le COC a dévoilé hier sa politique contre le harcèlement sexuel. L'entrevue avec la ministre Qualtrough a eu lieu la semaine dernière, avant cette annonce] «Vous devez vous rappeler qu'il ne reste que six mois avant les Jeux de Rio. Je n'ai pas de problème avec le délai, c'est raisonnable dans leur situation. À un moment donné, je penserai différemment, peut-être après Rio.» «Jean-Luc Brassard est un héros sportif canadien. Il est extrêmement respecté, par moi et par tous les gens que je connais. Il a fait un choix personnel, le COC traverse des moments difficiles, je comprends pourquoi il a démissionné [comme chef de mission des Jeux de Rio]. Je suis ravi que Curt [Harnett] puisse prendre la relève et qu'il n'y ait pas de dérangement pour les athlètes. Je partage le point de vue de Jean-Luc et de Curt voulant que nous ayons besoin d'un changement de culture au COC, mais aussi leur point de vue que Tricia Smith [la présidente ayant succédé à Marcel Aubut] sera capable de le faire, et beaucoup d'athlètes de haut niveau pensent la même chose.»
  4. Montréal, terre d'accueil de Future Earth Publié le 11 juin 2014 à 08h48 Une organisation internationale visant à coordonner les recherches mondiales sur les changements climatiques vient de choisir Montréal pour s'y installer. Future Earth, qui compte notamment l'UNESCO et le Programme des Nations unies pour l'environnement parmi ses commanditaires, établira une partie de ses activités dans la métropole québécoise. L'information n'a toutefois pas encore fait l'objet d'une annonce officielle, et les partenaires impliqués se sont faits avares de commentaires, hier. C'est le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion, qui a vendu la mèche dans un communiqué diffusé lundi. Montréal International, qui a travaillé à pousser la candidature de Montréal dans ce dossier, a confirmé du bout des lèvres que Montréal avait été désigné «soumissionnaire favori» pour abriter le secrétariat de l'organisation. La ville a proposé une candidature commune avec la France, le Japon, la Suède et les États-Unis. Il n'a pas été possible de savoir combien d'emplois devraient être créés à Montréal, ni si des mesures d'incitation financières ont été offerts pour attirer ce nouveau secrétariat. «Il s'agit d'une nouvelle fantastique pour le rayonnement de Montréal. Il y a déjà 62 organisations internationales basées à Montréal, contre 14 à Vancouver et 34 à Toronto. Nous sommes la ville internationale du Canada», a dit Stéphanie Allard, vice-présidente, organisations internationales, chez Montréal International. Future Earth, dont le secrétariat est actuellement à Paris, s'est donné comme mission de favoriser les recherches sur les meilleures façons de réagir aux changements climatiques. Elle dit vouloir mobiliser 1000 chercheurs et tisser des partenariats avec les décideurs de la planète au cours des 10 prochaines années. Montréal International avait formé une alliance avec les universités montréalaises, le Fonds de recherche du Québec et le consortium de recherche sur le climat Ouranos pour promouvoir la candidature de Montréal. http://www.lapresse.ca/environnement/dossiers/changements-climatiques/201406/11/01-4774771-montreal-terre-daccueil-de-future-earth.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_environnement_263_accueil_POS1
  5. Québec et Montréal songent à déposer leur candidature Le Québec pourrait vivre à l'heure des X Games. Le réseau ESPN qui a créé l'évènement de sports extrèmes a annoncé jeudi que Montréal et Québec envisageaient poser officiellement leur candidature après avoir franchi une première étape du processus de sélection. Les deux villes québécoises ne sont pas pour autant concurrentes, car Montréal est candidate pour les X Games d'été (entre 2014 et 2016), alors que Québec vise les X Games d'hiver (entre 2015 et 2017). Ce sont obligatoirement des mandats de trois ans. Elles ne sont pas les seules à avoir envie de recevoir les meilleurs athlètes de la planète. En effet, 15 autres villes nord-américaines ont passé avec succès la première étape leur permettant d'envoyer un dossier de candidature. Il s'agit d'Aspen (hiver), Atlanta (été), Austin (été), Charlotte (été), Chicago (été), Détroit (été), Fort Worth (été), Houston (été), Lake Tahoe (hiver), Long Beach (été), Minneapolis (été), La Nouvelle-Orléans (été), Park City (hiver), Pasadena (été) et Philadelphie (été). Les 17 villes candidates ont jusqu'au 2 avril pour envoyer leur dossier de candidature. http://www.radio-canada.ca/sports/PlusSports/2013/01/17/001-xgames-candidates-quebecmontreal.shtml
  6. On vient d'annoncer que le Massif de Petite Rivière St-François a été éliminé pour la descente masculine, compétition phare des Jeux Olympiques d'hiver. A moins de trouver une solution de rechange, la candidature de Québec est donc fortement mise en doute.
  7. Publié le 20 décembre 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Candidature au Forum universel des cultures: Québec affronterait Amman Ian Bussières Le Soleil (Québec) La Ville de Québec déposera cette semaine, avec l'appui des gouvernements du Québec et du Canada, sa candidature afin de présenter en 2016 le cinquième Forum universel des cultures, un événement de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO). Ce grand rendez-vous international comporte trois axes prioritaires, à savoir la diversité culturelle, le développement durable et le développement pour la paix qui sont mis en valeur grâce à des colloques, des séminaires, des congrès, des ateliers, des camps de la paix, des expositions, un spectacle permanent et une kyrielle d'activités culturelles. Le budget prévu pour la tenue du Forum à Québec est de 100 millions $, soit 90 millions $ en 2016 et 10 millions $ répartis sur la période de 2011 à 2015 pour les activités pré-Forum. C'est moins de la moitié des 230 millions $ prévus pour le quatrième Forum qui aura lieu à Naples en 2013. Le premier Forum universel des cultures, tenu à Barcelone en 2004, avait coûté 433 millions $. La part des gouvernements Si Québec obtient l'événement, les gouvernements provincial et fédéral assumeront chacun 40 % de la facture, alors que la Ville de Québec contribuera pour 8 %. Les commandites représenteront 9 % du budget, tandis que 2,5 % proviendra de la vente d'entrées et 0,5 % de la vente de produits dérivés. «Nous voulons y aller avec un budget plus modeste que Naples», a déclaré hier l'attaché de presse du maire Régis Labeaume, Paul-Christian Nolin, soulignant que plusieurs investissements majeurs avaient déjà été réalisés à Québec pour les festivités du 400e en 2008. Les villes intéressées ont jusqu'au 31 décembre pour poser leur candidature et, déjà, Paul-Christian Nolin a signalé qu'Amman, capitale et métropole de la Jordanie, figurait parmi les adversaires potentielles de Québec, de même qu'une ville de Belgique. «Nous avons fait beaucoup de travail dans ce dossier, mais on restera discret sur le thème que nous proposerons et les grands éléments de notre candidature d'ici le 31 décembre», a enchaîné M. Nolin. Dans un document de la Ville de Québec dont Le Soleil a obtenu copie, on apprend cependant qu'il a été décidé de ne pas ajouter un thème abstrait et général, comme la connaissance pour le Forum de Monterrey en 2007 ou la mémoire du futur pour celui de Naples. Dans sa candidature, Québec utilisera plutôt «un thème transversal qui soit aussi concret que significatif pour Québec et à partir duquel tous les axes et formats peuvent être abordés». Un comité directeur comptant parmi ses membres Patrick Caux d'Ex Machina, Lili-Anna Peresa de la Fondation One Drop, John R. Porter du Musée national des beaux-arts du Québec, le recteur de l'Université Laval, Denis Brière, Michel Venne de l'Institut du Nouveau Monde et Jean Morency de SSQ Groupe financier a aussi été mis en place pour établir les bases de la candidature. Il est appuyé par Marie Albertson, embauchée cet été comme secrétaire administrative de la mise en candidature, et Denis Ricard, secrétaire général de l'Organisation des villes du patrimoine mondial, qui consacre 15 % de son temps comme conseiller personnel du maire sur les questions de stratégie politique et internationale et sur la recherche d'appuis à la candidature de la ville. Québec a également réalisé des missions auprès des comités organisateurs de tous les forums passés et à venir afin de mieux cerner la teneur de l'événement et auprès de la Fondation du Forum, qui évaluera le dossier de mise en candidature. Annonce en 2011 Si Québec est retenue parmi les trois villes finalistes, une délégation du comité de sélection de la Fondation du Forum se rendra dans la capitale entre février et avril, et Québec saura si sa candidature est retenue entre septembre et décembre. L'annonce publique s'effectuera lors de la cérémonie de clôture du troisième Forum, qui aura lieu à Valparaiso, au Chili, le 7 janvier 2011.
  8. En 2022, 2026 ou 2030... La Presse Canadienne 09/11/2009 16h30 Plus d'une décennie après le revers pour l'obtention des Jeux de 2002, la ville de Québec continue d'entretenir le rêve olympique. Mais la marche est longue et pourrait durer encore 20 ans. Le premier ministre Jean Charest a annoncé lundi la nomination de l'homme d'affaires Claude Rousseau à la tête d'un comité chargé de paver la voie à la tenue de championnats du monde, en prélude à une éventuelle candidature olympique. Président des Remparts de Québec de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ), M. Rousseau et son groupe de travail identifieront les infrastructures requises à la tenue de grands événements sportifs et proposeront des modes de financement. À terme, le comité espère démontrer le savoir-faire de la ville de Québec en prévision d'une nouvelle candidature olympique pour les Jeux de 2022, de 2026 ou encore de 2030. Le comité est doté d'un budget de 1 million $ provenant des surplus générés par les activités des fêtes du 400e de la ville de Québec en 2008. En 1995, la candidature de la ville de Québec pour les Jeux d'hiver de 2002 avait été rejetée par le Comité international olympique (CIO) au profit de celle de Salt Lake City, en Utah, aux Etats-Unis.
  9. Sondage Un grand projet pour Montréal Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 18/02/2009 09h04 - Mise à jour 18/02/2009 12h19 http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/02/20090218-090400.html Après avoir perdu le Grand Prix de Formule Un et passé l'année 2008 dans l'ombre du 400e de la ville de Québec, les Montréalais rêvent de grands projets. Deux Montréalais sur trois souhaitent voir la Ville de Montréal investir dans un projet touristique majeur qui pourrait remplacer le Grand Prix de F-1, selon un sondage Léger Marketing-Le Journal de Montréal. De plus, l'idée de poser la candidature de Montréal pour la tenue de l'exposition universelle de 2020, lancée par le candidat à la mairie Benoît Labonté, plaît à une grande majorité des personnes sondées. «Les Montréalais croient que leur ville est mûre pour de grands projets mobilisateurs», analyse le président de Léger Marketing, Jean-Marc Léger. Selon le sondeur, l'exemple donné par la Ville de Québec avec les festivités du 400e anniversaire donne envie aux Montréalais d'en faire autant. «Les Montréalais ont regardé et aimé ce qu'ils ont vu à Québec avec les festivités du 400e qui ont eu un grand succès. C'est certain que ça les motive à en vouloir autant pour la métropole», note-t-il. Labonté jubile Plutôt malmené dans la première partie du sondage qui ne lui accordait, plus tôt cette semaine, un maigre 4% dans les intentions de vote, le chef de Vision Montréal, Benoît Labonté, se réjouit de voir les Montréalais appuyer son projet d'exposition universelle. «Quand on traverse une crise comme celle-ci, il faut des projets rassembleurs. Et la candidature pour l'expo de 2020, ce n'est pas seulement un projet à long terme. Il faut déposer le projet pour 2011 et ensuite, c'est parti pour neuf ans de grands changements et de développement pour Montréal», explique le chef de l'opposition. Selon M. Labonté, Montréal a besoin d'un projet qui leur redonnerait de la fierté. «Regardez l'impact qu'a eu l'Expo 67 sur Montréal, pendant 20 ans. Que serait Montréal aujourd'hui si l'exposition universelle n'avait pas eu lieu?»
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