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  1. J'utilise souvent le site d'Altus pour consulter les espaces à bureau disponibles. Depuis un certain temps, on peut visualiser les espaces sur les principales villes canadiennes en 3D! Très cool! Le data pour les tours en construction n'est malheureusement pas disponible (ex. tour Manuvie). Légende: Montréal: Notre grande dame en arrache comparée aux cinq grands... L'ancien édifice de Manuvie sur Sherbrooke est pas mal vide!! Toronto: Vancouver: Calgary: Find | Altus InSite - Canada's Leading Real Estate Information Provider
  2. http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201604/24/01-4974484-rendez-vous-canada-un-evenement-majeur-pour-attirer-des-touristes-a-montreal.php Un événement touristique majeur, Rendez-vous Canada, qui réunit plus de 500 acheteurs étrangers influents du secteur des voyages, débute dimanche au Palais des congrès de Montréal. En provenance de 28 pays, ces acheteurs pourront se familiariser avec les entreprises touristiques canadiennes et découvrir les nouveaux produits et services qui sont disponibles. Le président-directeur général de Tourisme Montréal, Yves Lalumière, souligne que Rendez-vous Canada attire plus de 1700 délégués et apporte un rayonnement majeur pour la métropole, alors qu'approchent les célébrations du 375e anniversaire. Montréal n'avait pas accueilli ce congrès depuis 2007. L'événement permet de mettre en valeur et de commercialiser les destinations canadiennes auprès des réseaux de distribution de l'Amérique du Nord, de l'Europe, de l'Asie et de l'Amérique latine. Yves Lalumière se réjouit particulièrement de la présence de 80 acheteurs chinois, un marché qui s'ouvre de plus en plus au tourisme. Selon M. Lalumière, il faut mettre Montréal «sur la map touristique» pour les 5 ou 10 prochaines années. Dans cet ordre d'idée, il croit que la présence constante du maire Denis Coderre sur la scène internationale apporte une visibilité et une aide précieuse au développement touristique de la métropole.
  3. MONTRÉAL, ENFANT PAUVRE DES GRANDES VILLES CANADIENNES http://plus.lapresse.ca/screens/dce21a65-1e37-4a60-bfc5-7893e0ab27ef%7C_0.html Dans Journal Métro http://journalmetro.com/actualites/montreal/867671/montreal-performante/ sent via Tapatalk
  4. Paru sur le Twitter de The Economist: 3 villes canadiennes dans le top mondial. Vous savez lesquelles. https://twitter.com/EconAmericas/status/424529716633407488
  5. Desjardins et le Crédit Mutuel achètent State Farm au Canada Publié le 15 janvier 2014 à 12h37 | Mis à jour à 12h50 Le Mouvement Desjardins effectuera un important bond de croissance dans le marché de l'assurance au Canada en acquérant avec l'appui de son vis-à-vis français Crédit Mutuel les activités canadiennes de State Farm, la plus grosse mutuelle d'assurances aux États-Unis. Avec cette transaction annoncée ce midi, Desjardins deviendra le deuxième plus important assureur de dommages au Canada avec un volume de primes annuelles qui doublera presque, passant de 2 milliards à près de 3,9 milliards de dollars. Selon Desjardins, cette transaction devrait également renforcer sa quatrième position dans le marché de l'assurance de personnes au Canada. Une fois la transaction conclue, d'ici un an prévoit-on, Desjardins accueillera les 1700 employés canadiens de State Farm et le réseau canadien de plus de 500 agents qui desservent quelque 1,2 million de clients de l'entreprise en Ontario, en Alberta et au Nouveau-Brunswick. Par ailleurs, pour financer cette transaction qui mobilisera quelque 1,6 milliard en capitaux, Desjardins conserve State Farm comme partenaire au capital de sa filiale d'assurance-dommages. Il y ajoutera le Credit Mutuel de France, déjà un important vis-à-vis dans le secteur des plus grandes coopératives financières du monde. Desjardins se portera acquéreur des activités canadiennes d'assurance de dommages et d'assurance vie de State Farm, ainsi que de ses entreprises de fonds communs, de prêts et d'assurance de prestations du vivant (assurance santé). Desjardins pourra exploiter les affaires canadiennes de State Farm sous la bannière de cette dernière, et ce, pendant une période convenue entre les parties. Selon la présidente et chef de la direction du Mouvement Desjardins, Monique Leroux, «cette transaction entre State Farm et Desjardins avec l'appui de son partenaire français de longue date, le Crédit Mutuel, réunit trois groupes financiers coopératifs et mutuel pour créer un chef de file dans le secteur de l'assurance au Canada.» Selon Edward B. Rust Jr., président du conseil et chef de la direction de State Farm, «l'investissement de State Farm dans la compagnie d'assurance de dommages qui résultera de cette transaction avec Desjardins et la poursuite de l'exploitation de la marque de State Farm reflètent notre confiance en l'avenir de l'entreprise. » Pour sa part, le président du Crédit Mutuel, Michel Lucas, a indiqué que «cet engagement du Crédit Mutuel s'inscrit dans le cadre de notre politique de diversification, en France comme à l'étranger. Il témoigne aussi de notre volonté de contribuer activement à la mise sur pied et à la croissance du deuxième assureur de dommages au Canada. » http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201401/15/01-4728972-desjardins-et-le-credit-mutuel-achetent-state-farm-au-canada.php
  6. Compétitivité des coûts dans les principales agglomérations nord-américaines : Montréal en tête Montréal, le 22 mars 2012 – Selon l’étude Choix concurrentiels 2012 de KPMG, publiée aujourd’hui, Montréal arrive en tête des 30 principales agglomérations canadiennes et américaines étudiées (deux millions d’habitants ou plus) sur le plan de la compétitivité des coûts. Montréal devance Toronto (qui arrive 2e), Cincinnati (3e), Vancouver (7e), Chicago (21e), Philadelphie (23e), Boston (27e) et New York (29e). L’enquête menée par KPMG fait état de 26 facteurs de coûts importants (main-d’œuvre, fardeau fiscal, immobilier, services publics) dans 16 villes canadiennes, et compare plus de 110 villes dans 14 pays. Soulignons que Montréal se classe au 10e rang du classement mondial pour la compétitivité des coûts, parmi les 103 villes des marchés arrivés à maturité, et qu’elle arrive au 7e rang des villes canadiennes. La ville de Québec se classe en 6e position, et Trois-Rivières, en 4e position, pour la compétitivité des coûts parmi les 16 villes canadiennes. « À Montréal, les coûts du transport sont relativement faibles; les loyers des locaux industriels sont modérés, et l’électricité ne revient pas très cher, ce qui attire de nombreuses entreprises », explique Denis Lacroix, associé, Fiscalité internationale, KPMG au Canada. « En outre, les sociétés bénéficient d’un vaste éventail d’incitatifs – R. et D., commerce électronique, production de médias numériques, activités financières mondiales, fabrication – qui sont autant d’atouts pour la métropole montréalaise, car ils se traduisent par un allègement du fardeau fiscal. » Comparativement aux autres villes du Canada, au chapitre de la compétitivité sectorielle des coûts, Montréal se distingue dans les secteurs de la fabrication et de la production de jeux vidéo, avec une 6e et une 7e place au classement des 16 centres urbains canadiens étudiés. De plus, par rapport à l’ensemble des villes du monde intégrées à l’étude, le point fort de Montréal reste la production de jeux vidéo : la ville arrive 7e parmi les 103 agglomérations urbaines de 9 pays arrivés à maturité. Le Canada et le monde Parmi les neuf marchés à maturité étudiés, le Canada arrive au troisième rang pour les coûts d’exploitation, grâce à des coûts inférieurs de 5,0 % à ceux des États-Unis. Le Royaume-Uni et les Pays‑Bas dépassent le Canada, mais à peine (avance de 0,5 et de 0,3 point de pourcentage, respectivement). De plus, il faut savoir que les résultats favorables de ces pays sont le fruit de la dépréciation de l’euro et de la livre, par suite de la crise de la dette européenne. « En clair, le Canada reste un marché compétitif, poursuit Denis Lacroix. Même si les taux de productivité canadiens laissent à désirer, nous gardons le même rang au classement des coûts, comme dans l’étude précédente de 2010. J’en conclus qu’indépendamment des incertitudes économiques mondiales, et malgré la vigueur du huard, le Canada reste un choix à privilégier. » Étude Choix concurrentiels de KPMG L’étude Choix concurrentiels 2012 de KPMG propose une analyse comparative indépendante des coûts d’exploitation dans plus de 110 villes de 14 pays. Les auteurs se sont penchés sur un vaste éventail de facteurs pour évaluer la compétitivité des pays. Ils ont accordé la priorité aux coûts d’exploitation, mais ont aussi tenu compte d’autres facteurs, comme la population et ses caractéristiques démographiques, la formation et la main-d’œuvre qualifiée, l’innovation, les infrastructures, les conditions économiques, le cadre réglementaire, le coût de la vie et la qualité de vie. L’enquête s’intéresse également à la compétitivité des coûts pour divers secteurs économiques, en particulier la fabrication, le secteur numérique, la recherche et développement et, enfin, les services aux entreprises. Grâce à l’étude, les cadres auront un aperçu des coûts d’exploitation comparatifs dans diverses villes des grands pays du monde. De plus, elle aidera les professionnels de KPMG et les promoteurs dans leur travail auprès d’entreprises qui envisagent une relocalisation ou une expansion. Enfin, l’analyse facilitera la tâche des décideurs amenés à évaluer l’incidence sur la compétitivité de leur territoire d’une nouvelle taxe ou d’un changement de politique. Pour consulter la version intégrale du rapport, visitez le site http://www.choixconcurrentiel.com. Dans le cadre de l’étude Choix concurrentiels 2012, les taux de change s’établissent comme suit, pour un dollar américain : 0,99 AUD – 1,80 BRL – 1,02 CAD – 6,36 CNY – 0,74 EUR – 0,64 GBP – 50,75 INR – 77,33 JPY – 13,64 MXP – 31,07 RUB. KPMG au Canada http://www.kpmg.com/Ca/fr/IssuesAndInsights/ArticlesPublications/Press-Releases/Pages/Competitive-Alternatives-Release-Quebec.aspx
  7. Montréal en 1re place devant toutes les grandes villes américaines et canadiennes MONTRÉAL, le 22 déc. /CNW Telbec/ - Montréal est devenue la première destination pour l'accueil d'événements associatifs internationaux en Amérique du Nord, voilà ce que démontrent les résultats récents du classement préliminaire 2009 de l'International Congress and Convention Association (ICCA). En accueillant des milliers de congressistes chaque année et en étant le principal hôte des rencontres internationales d'envergure dans la métropole québécoise, le Palais des congrès confirme une fois de plus sa position de leader sur le marché international. En effet, les résultats à ce jour sont éloquents. Montréal rafle la première position parmi toutes les destinations situées en Amérique du Nord, devançant ainsi les grandes villes américaines et canadiennes, dont New York, Boston, San Francisco, Washington, Miami et Chicago, de même que Vancouver et Toronto. Par ce rang, Montréal grimpe de 8 positions par rapport au classement 2008. "Ce résultat est une grande victoire pour Montréal et témoigne du dynamisme de la métropole québécoise et de son pouvoir d'attraction auprès des grandes associations internationales qui doivent composer avec une offre élargie depuis les dernières années", lance Marc Tremblay, président-directeur général au Palais des congrès. "Comme principal hôte de rencontres internationales dans la métropole, nous sommes heureux de constater que les efforts et la passion qui animent les grands partenaires de l'industrie comme Tourisme Montréal, Montréal International, les centres de recherche et la Ville de Montréal portent leurs fruits et permettent de faire vivre une expérience inoubliable à ces milliers de visiteurs qui viennent du monde entier", ajoute-t-il. Le classement préliminaire 2009 de l'ICCA démontre également que Montréal est en nette avance par rapport aux autres grandes villes canadiennes. Pour l'année financière 2008-2009, le Palais a accueilli un total de 16 congrès internationaux (incluant les congrès américains) et 15 congrès canadiens et québécois, générant au total plus de 168 millions de dollars de retombées économiques pour la métropole, sans compter les répercussions des événements d'envergure comme les expositions commerciales.
  8. Est-ce que vous êtes comme moi et vous avez aucune idée quoi acheter avec votre argent pour le RÉER??? Suggestions?? J'ai environ 10k et je veux mettre la moitié dans un cpg non fermé et le reste en actions de banques canadiennes vu que leur prix est très tentant. D'autres ont ce genre de dilemme??
  9. Les villes ripostent Mise à jour le dimanche 7 juin 2009 à 9 h 41 Les maires des municipalités canadiennes réagissent à la montée du protectionnisme aux États-Unis. Ils ont accepté une résolution pour empêcher les entreprises américaines d'obtenir des contrats des municipalités canadiennes. La résolution a été adoptée par un peu plus de la moitié des 364 délégués présents à la rencontre de la Fédération canadienne des municipalités, à Whistler, en Colombie-Britannique. Il s'agit d'un acte de représailles à la clause « Buy American », contenue dans le programme de relance économique du président américain, Barack Obama. Les maires disent vouloir envoyer un message fort et clair à Washington. « Aujourd'hui, les villes et les collectivités du Canada se sont jointes aux gouvernements fédéral et provinciaux pour faire front commun et essayer de mettre fin au protectionnisme américain », a déclaré le président de la Fédération, le maire de Sherbrooke, Jean Perrault. La résolution ne prendra toutefois pas effet avant quatre mois, afin de donner le temps au gouvernement canadien de négocier avec les autorités américaines. « La politique protectionniste des États-Unis nuit aux entreprises canadiennes, coûtant des emplois canadiens et sapant les efforts de croissance économique du Canada au milieu d'une récession mondiale », a ajouté M. Perrault. Des compagnies canadiennes se sont déjà plaintes de souffrir du « Buy American ». La résolution des maires canadiens a d'ailleurs été présentée par la communauté ontarienne de Halton Hills, où deux compagnies locales ont perdu des contrats qu'elles avaient déjà aux États-Unis, avant l'adoption de ce nouveau protectionnisme.
  10. La résolution adoptée par les maires des municipalités canadiennes pour contrer la montée du protectionnisme aux États-Unis ne fait pas l'unanimité au Canada. Pour en lire plus...
  11. En réaction au protectionnisme américain, les municipalités adoptent une résolution pour empêcher les entreprises américaines d'obtenir des contrats des villes canadiennes. Pour en lire plus...
  12. Un mariage de 15milliards de dollars entre les deux plus grandes pétrolières canadiennes, Suncor et Petro-Canada, serait sur le point d'être annoncé, selon le Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  13. 100 millions pour retaper la Citadelle de Québec Le Devoir Alec Castonguay Édition du samedi 21 et du dimanche 22 mars 2009 Mots clés : Infrastructure, Forces canadiennes, Citadelle de Québec, Histoires, Forces armées, Québec (ville), Canada (Pays) Les Forces canadiennes lancent plusieurs projets d'infrastructure au Québec La Citadelle de Québec subira une cure de jeunesse majeure dans les prochaines années. Ce joyau militaire et patrimonial au coeur de la capitale sera rénové par les Forces canadiennes au coût de 100 millions de dollars, a appris Le Devoir. Le projet devrait s'échelonner sur dix ans. La réfection de la Citadelle sera le plus important projet d'infrastructure militaire à voir le jour au Québec dans les prochaines années. Mais d'autres projets de construction et de rénovation des installations militaires seront mis en branle au cours des trois prochaines années, pour un total de 95 millions de dollars (Citadelle exclue). Lors d'une rencontre qui s'est déroulée à Montréal cette semaine, les Forces canadiennes ont permis au Devoir de prendre connaissance de ses projets d'infrastructure au Québec. Au quartier général du Secteur du Québec de la force terrestre (SQFT), dans l'est de Montréal, on reconnaît que la remise en état de la Citadelle est de loin le dossier le plus «délicat», en raison non seulement des coûts, mais également du caractère patrimonial de l'endroit. «Ce projet, c'est un casse-tête pour le service du génie, qui doit élaborer les plans tout en conservant la valeur historique du site», explique la lieutenant-colonel Annie Lapointe, commandant des services du génie au SQFT. «C'est délicat. C'est un joyau pour la ville de Québec, ça touche beaucoup de gens.» L'armée évalue les travaux de réfection à près de 100 millions de dollars. Il s'agit de travaux majeurs qui s'échelonneront sur 10 ans. L'ampleur de la tâche dépasse largement l'entretien régulier de l'endroit, explique la responsable du génie au sein des Forces canadiennes. Il s'agit d'une «mise à niveau à long terme des infrastructures», selon la lieutenant-colonel Lapointe. Les fortifications seront refaites à certains endroits. À l'intérieur de la Citadelle, on remettra en état les façades de plusieurs bâtiments. «Certaines casemates devront être refaites presque au complet», explique Mme Lapointe. Les conduites souterraines d'eau et d'égout seront aussi refaites. Dans le jargon militaire, on affirme que le projet devrait recevoir dans les prochaines semaines «l'approbation préliminaire de projet». Une fois cette étape franchie, les consultants privés entrent en scène et préparent les plans et devis. Ce travail complété, il faudra de nouveau faire approuver le projet et les coûts finaux, ce qu'on nomme «approbation définitive de projet». Les travaux peuvent ensuite commencer. Selon la lieutenant-colonel Annie Lapointe, ces étapes seront complétées d'ici deux ans, pour un début des travaux en 2011, si tout va bien. Le Manège militaire attendra Malgré ces délais, quand on se compare, on se console, puisque le Manège militaire de Québec, situé tout juste à côté de la Citadelle, devra attendre passablement plus longtemps avant de connaître son sort. Rien n'est encore dans les cartons pour ce bâtiment historique qui a brûlé l'an dernier. «C'est un sujet politique sensible. On n'a rien pour l'instant», se contente de dire Mme Lapointe. La Citadelle, haut lieu touristique de la capitale, est encore utilisée par les Forces canadiennes et la gouverneure générale du Canada. Le quartier général du 2e bataillon du Royal 22e Régiment est hébergé dans cette enceinte militaire complétée en 1850. La gouverneure générale Michaëlle Jean, commandante en chef de l'armée, y a également des bureaux. La Citadelle fait partie de la zone historique de Québec qui est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1985. La Citadelle a été construite selon le système de défense de l'ingénieur français Vauban. La construction de l'enceinte extérieure a débuté en 1820 et il aura fallu 30 ans pour compléter tous les travaux. Elle présente la forme d'un polygone à quatre angles et couvre une superficie de 2,3 km2. Construction d'un village urbain à Valcartier Parmi les autres projets d'infrastructure militaire en développement au Québec, on note la construction d'un village urbain dans le secteur d'entraînement de la base de Valcartier, en banlieue de la capitale. Ce projet, toujours en développement, se veut un ajout important pour l'entraînement des soldats qui vont se battre dans des guérillas urbaines, comme en Afghanistan. Le faux village reproduit les conditions de combat en zone urbaine, avec des maisons et des rues. La base de Wainwright, en Alberta, possède des installations semblables. Tous les militaires déployés à Kandahar se sont entraînés dans ce lieu. Le coût du projet de Valcartier oscille autour de cinq millions de dollars. Autres projets dans les cartons À plus court terme, soit pour les trois prochaines années, les Forces canadiennes mèneront à terme 11 projets d'infrastructure dans la province, pour un total de 94,8 millions de dollars. Sur 20 ans, le plan du ministère de la Défense prévoit l'ajout de sommes importantes dans les infrastructures. D'ailleurs, depuis quatre ans, l'investissement de l'armée dans ses infrastructures au Québec est en hausse constante, passant de 22,1 millions de dollars en 2005-06 à 36,1 millions cette année (2008-09). «Toutes nos installations ont été construites en même temps, dans les années 60. On est à la fin de leur vie utile. Et ce qui n'aide pas, c'est qu'on a toujours sous-investi dans l'entretien, alors il y a un immense rattrapage à faire», explique le lieutenant-colonel Lapointe, Des exemples? La base de Longue-Pointe, dans l'est de Montréal, recevra des investissements de 51,8 millions de dollars d'ici trois ans, notamment pour la construction d'un hangar (40,8 millions) qui abritera 98 véhicules blindés légers (VBL). Le 5e Groupe brigade de soutien aux opérations se verra quant à lui construire un nouveau bâtiment (11 millions). À Valcartier, la plus grosse base militaire au Québec, 29 millions de dollars en infrastructure seront investis d'ici trois ans. Le Centre d'instruction recevra un nouveau bâtiment (14 millions) et un nouveau garage (3 millions). Des travaux pour connecter le réseau d'eau potable de Valcartier à celui de la Ville de Québec (1,5 million) devraient aussi commencer sous peu. Le projet a passé toutes les étapes et n'attend plus que l'approbation du ministre Peter MacKay. Des investissements de 13 millions de dollars sont aussi prévus au centre d'entraînement de Farnham, dans les Cantons-de-l'Est, d'ici trois ans. http://www.ledevoir.com/2009/03/21/240973.html (21/3/2009 10H40)
  14. La banlieue attire les immigrants Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du vendredi 20 mars 2009 Mots clés : Banlieue, Municipalité, Immigration, Canada (Pays) Les villes demandent des fonds pour mieux les intégrer Les immigrants habitent de plus en plus dans les banlieues de Montréal. La part des nouveaux arrivants installés dans la ville centre de la région métropolitaine est passée de 79 % à 67 % entre 2002 et 2006. L'«étalement démographique» s'observe aussi à Toronto et à Vancouver. Voilà une des étonnantes découvertes du récent rapport Immigration et diversité dans les villes et les collectivités canadiennes dévoilé hier à Toronto par la Fédération canadienne des municipalités (FCM). «La voix nationale des gouvernements municipaux canadiens», fondée en 1901, compte près de 1800 membres. «Les immigrants continuent de vivre pour la plupart dans les plus grands centres urbains et les plus instruits s'installent en nombre croissant dans les banlieues et les municipalités de plus petite taille, a résumé Jean Perrault, maire de Sherbrooke et président de la FCM. Ceux qui demeurent dans les grandes villes font face à des enjeux socioéconomiques beaucoup plus importants.» Bien que plus scolarisés que l'ensemble des Canadiens, les immigrants comptent davantage sur l'aide sociale et souffrent plus que les autres du chômage. Plus de quatre familles migrantes sur dix vivent avec de faibles revenus, soit trois fois plus que le reste des Canadiens. Le président Jean Perrault a donc demandé que les villes soient consultées «comme des partenaires» pour la définition des politiques et des programmes en matière d'immigration. Il a également réclamé des fonds des ordres supérieurs de gouvernement, sans toutefois chiffrer les besoins. «Les municipalités ne sont pas responsables de l'arrivée des immigrants et pourtant elles doivent en assumer une bonne partie des coûts», a-t-il dit. Il s'agit du cinquième rapport thématique sur la qualité de vie dans les villes canadiennes publié par la fédération. L'étude disponible sur le site fcm.ca porte sur les 24 plus grandes agglomérations du pays, dont celles de Montréal, de Laval, de Québec et de Gatineau au Québec. Au total, ces grandes villes reçoivent 85 % de toute l'immigration et 90 % de tous les réfugiés au Canada. La région métropolitaine de Montréal (et ses 3,5 millions d'habitants au total) a reçu près de 40 000 immigrants en 2006, ce qui la place au deuxième rang derrière Toronto. Québec intègre environ 2000 étrangers par année. En fait, les villes canadiennes atteignent des niveaux de diversité culturelle exceptionnels, même à l'échelle internationale. Toronto et Vancouver ont des populations plus diversifiées que toutes les autres grandes villes de l'Amérique ou de l'Australie. Montréal, Calgary et Edmonton font également partie des dix principaux pôles d'immigration en Amérique du Nord. http://www.ledevoir.com/2009/03/20/240661.html (20/3/2009 9H45)
  15. Les négociations entre les TCA et les filiales canadiennes des deux géants aux pieds d'argile débutent mardi. Pour en lire plus...
  16. À l'image des autres grandes banques canadiennes, la Banque de Montréal et la Scotia réussissent, malgré la crise économique qui secoue la planète, à engranger des profits au 1er trimestre de l'année. Pour en lire plus...
  17. La firme de notation de crédit Standard and Poor's prend cette décision en raison de ses rendements «nettement» inférieurs à ceux des autres grandes caisses de retraite canadiennes en 2008, ainsi qu'à une plus grande instabilité au sein de sa haute direction. Pour en lire plus...
  18. Québec devra plier sur les paradis fiscaux Publié le 16 février 2009 à 06h13 | Mis à jour à 06h16 Francis Vailles La Presse (Montréal) Alors que le gouvernement du Québec est au coeur d'une bataille contre l'audace fiscale des entreprises, tout indique qu'il devra reculer sur un élément important impliquant des paradis fiscaux, comme l'a fait récemment fait le fédéral. Dans le dernier budget, le ministre canadien des Finances, Jim Flaherty, a abandonné un article de la Loi de l'impôt qui, s'il avait été mis en vigueur, aurait fermé la porte à un stratagème utilisé par les multinationales. L'article de loi 18.2 devait entrer en vigueur en 2012. Essentiellement, par l'entremise d'un paradis fiscal comme la Barbade, les multinationales canadiennes sont en mesure d'obtenir deux déductions d'impôts pour une même dépense d'intérêts encourues sur un emprunt servant à investir à l'étranger. En mai 2007, Jim Flaherty considérait ce stratagème comme de l'évitement fiscal, ce qui l'avait amené à modifier la Loi, en décembre 2007, pour en interdire l'utilisation. Mais en janvier 2009, dans le budget, le ministre s'est finalement rangé à l'avis du Groupe consultatif sur le régime canadien de fiscalité internationale qui demandait l'abandon de cet article 18.2. Aujourd'hui, c'est le gouvernement du Québec qui est pris avec ce problème. En effet, le Québec avait emboîté le pas au fédéral, bloquant lui aussi le stratagème. Ainsi, à l'heure actuelle, le stratagème est interdit au Québec à partir de 2012, mais permis ailleurs au Canada. Au ministère des Finances du Québec, on est peu loquace. «Les décisions concernant l'harmonisation de la législation québécoise aux mesures fiscales contenues dans le dernier budget fédéral seront annoncées lors du prochain budget du Québec», nous a indiqué la porte-parole, Catherine Poulin. Selon nos informations, le Ministère devra se plier à la volonté des entreprises, lui aussi, question de ne pas pénaliser les entreprises du Québec par rapport à celles des autres provinces. Audace fiscale Pour le ministère des Finances du Québec, cette situation survient en pleine période de consultation sur les «planifications fiscales agressives», définies comme des opérations d'évitement fiscal respectant la lettre de la loi, mais non l'esprit. Le gouvernement songe à obliger les entreprises à divulguer les opérations menant à un avantage fiscal. À défaut de divulguer l'opération dans les 30 jours, les entreprises s'exposeraient à des pénalités variant entre 10 000$ et 100 000$. La communauté d'affaires a réagi promptement à cette consultation, demandant cependant qu'elle soit allongée d'un mois, ce qui a été accordé. Les intéressés ont donc jusqu'au 1er avril pour soumettre leur mémoire. Dans le cas de l'article 18.2, la communauté d'affaires a fait d'intenses pressions auprès du fédéral et du Groupe pour que l'article soit abrogé. Deux arguments ont prévalu. D'abord, plusieurs autres pays permettent la double déductibilité des intérêts, disent-ils, et l'interdiction d'Ottawa diminuerait la compétitivité des entreprises canadiennes. Ensuite, le perdant d'un tel stratagème utilisé par les multinationales canadiennes n'est pas le fisc canadien, mais le fisc étranger. En effet, si les multinationales canadiennes investissaient dans un tiers pays sans passer par un paradis fiscal, leur emprunt au Canada pour ce faire serait tout aussi déductible. Les opposants au stratagème, tel André Lareau, de l'Université Laval, estiment que les multinationales contournent l'esprit des lois fiscales, selon lesquelles une seule déduction d'impôts peut être permise pour une même dépense, déduction qui doit éventuellement procurer un revenu imposable. Quoi qu'il en soit, les études réalisées pour le Groupe consultatif devraient nous éclairer. Elles n'ont toutefois pas encore été rendues publiques, même si le Groupe a publié son rapport final. Au ministère canadien des Finances, on justifie le délai de quelques semaines par l'obligation de traduire les études en français.
  19. Le gouvernement fédéral commande à la montréalaise CAE des simulateurs de vol pour un nouvel appareil de transport des Forces canadiennes. Pour en lire plus...
  20. L'insolvabilité des régimes de retraite à prestations déterminées (PD) oblige la plupart des capitales provinciales canadiennes à adopter des mesures extraordinaires pour ne pas étrangler les entreprises qui les parrainent. Pour en lire plus...
  21. Alors qu'Ottawa prépare son plan de stimulation économique en vue du budget fédéral du 27 février, presque toutes les industries canadiennes tendent leur chapeau vers le ministre des Finances, Jim Flaherty. Pour en lire plus...
  22. Pendant que les municipalités canadiennes demandent l'aide du fédéral pour lancer une série de projets d'infrastructure, une étude montre que ces travaux contribuent à la productivité. Pour en lire plus...
  23. Comme rarement auparavant, le contexte semble favoriser les ambitions des banques canadiennes qui lorgnent des actifs à prix dévalués. Pour en lire plus...
  24. Le président et chef de la direction de l'AIAC presse Ottawa d'en faire plus pour s'assurer que les entreprises canadiennes obtiennent leur juste part des retombées qui doivent découler des contrats militaires. Pour en lire plus...
  25. L'excédent commercial s'effrite d'un milliard de dollars en un seul mois en raison de la faible demande pour les matières premières, principal moteur des exportations canadiennes. Pour en lire plus...
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