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  1. Un cabinet d'avocats des îles Caïmans s'installera à Montréal Maples and Calder, un cabinet d'avocats des îles Caïmans que le président américain Barack Obama accuse de faciliter l'évasion fiscale, établira une antenne à Montréal d'ici l'automne. «Le bureau permettra à Maples Finance de puiser dans le réservoir de talents locaux tout en offrant un centre d'activités à partir duquel nous pourrons servir notre clientèle nord-américaine croissante dans les domaines de l'administration de fonds, de la comptabilité de même qu'à titre d'agent des registres et transferts», a indiqué la firme dans un document affiché sur son site Web. «La raison pour laquelle nous avons choisi Montréal, c'est que nous sentions que vous aviez une main-d'oeuvre de très haut calibre et que c'est un bon endroit pour faire des affaires si vous voulez servir vos clients nord-américains», a expliqué un porte-parole de Maples, Thor Valdmanis, au cours d'un entretien téléphonique avec La Presse Canadienne depuis New York. Maples a obtenu le statut de Centre financier international (CFI), ce qui lui donnera droit à une exemption d'impôt provincial sur certains revenus et à une réduction de 75 pour cent des cotisations au Fonds des services de santé du Québec. M. Valdmanis a dit ne pas être au courant de ces avantages fiscaux. Une centaine de sociétés actives à Montréal sont actuellement reconnues comme CFI. Le bureau montréalais de Maples doit amorcer ses activités d'ici la fin septembre. On ne sait pas encore combien de personnes y travailleront. «Des membres de l'équipe mondiale actuelle de Maples Finance ouvriront le bureau afin de faire en sorte que du personnel pleinement formé soit disponible dès le départ», a précisé la firme. Cet «investissement à long terme» vise à développer dans la métropole québécoise «un centre régional qui étendra la présence mondiale de Maples Finance», a précisé la chef de la direction de la firme, Maxine Rawlins. Outre les îles Caïmans, Maples Finance compte déjà des bureaux à Dublin, Dubaï, Hong Kong et au Luxembourg. Controverse Maples and Calder défraye les manchettes depuis plusieurs mois dans le cadre du débat sur les paradis fiscaux. Pendant la campagne présidentielle de l'an dernier, M. Obama a fait mention à plusieurs reprises, sans le nommer, du siège social de la firme, Ugland House, qui sert d'adresse officielle à près de 19 000 entreprises et fonds internationaux. «Il s'agit du plus gros édifice du monde ou de la plus importante arnaque fiscale du monde», a encore répété le président la semaine dernière. «Je suis désolé de décevoir qui que ce soit, mais notre bureau n'est ni le plus gros édifice du monde, ni un centre d'inconduite financière», a rétorqué Charles Jennings, associé directeur de Maples and Calder, à l'agence de presse Bloomberg. «Détenir une adresse enregistrée aux îles Caïmans est motivé par des considérations commerciales et non pas pour faire de l'évitement fiscal, a-t-il ajouté. Cela permet aux entreprises d'obtenir des capitaux et de mener des affaires à l'échelle mondiale.» Dans le but de rétablir la réputation de l'ancienne colonie britannique, le président de la Cayman Islands Financial Services Association, Anthony Travers, vient d'écrire à Barack Obama. Dans sa lettre, il a soutenu que les îles Caïmans collaboraient pleinement avec les autorités américaines et que le pays ne permettait pas aux entreprises d'éviter les impôts. «Les îles Caïmans offrent un faible taux d'imposition, comme le font l'Irlande et d'autres pays, a écrit M. Travers. Cela n'est pas une mauvaise chose et ce n'est certainement pas suffisant pour laisser entendre qu'il s'agit d'évasion fiscale illégale.» Selon les autorités des îles Caïmans, le fait que certaines sociétés des États-Unis ou d'autres pays payent un faible pourcentage d'impôts ne relève pas d'elles, mais des autres gouvernements.
  2. (Le samedi 31 mars 2007 )Le grand stabile L'Homme, du sculpteur américain Alexander Calder, que l'on peut voir ancré dans l'île Sainte-Hélène depuis le Vieux-Port de Montréal, pourrait être déménagé au centre-ville, à l'échangeur des Pins, à la place du Canada ou dans le futur Quartier des spectacles. Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal, a suggéré un tel déménagement jeudi à l'UQAM alors qu'il prononçait une conférence intitulée Beauté, esthétique et tourisme : les défis de Montréal, au cours de laquelle il a encouragé la Ville à améliorer l'attrait de la métropole. Selon M. Lapointe, Montréal devrait mettre davantage en valeur la sculpture de «l'oiseleur de fer», comme le poète Jacques Prévert appelait le sculpteur américain. Pour ce faire, il a proposé l'échangeur des Pins ou la place du Canada, au coin du boulevard René-Lévesque Ouest et de la rue Peel. «Dans l'île, on ne peut se rendre à cette sculpture immense en voiture, a dit M. Lapointe. Et il est difficile de la voir depuis le centre-ville, surtout avant le mois de juin alors qu'elle est cachée par les branches des arbres.» Charles Lapointe dit qu'il faut agir comme on l'a fait avec La Joute, de Riopelle, ôtée de son site olympique pour être avantageusement placée dans le quartier international. La proposition de M. Lapointe est bien accueillie par le maire de Ville-Marie, Benoit Labonté, également responsable de la Culture au comité exécutif de Montréal. M. Labonté veut toutefois que la décision soit «largement partagée». «Cette oeuvre d'art est quand même liée à l'Expo 67 et on est dans l'année du quarantième anniversaire, dit-il. S'il y a une volonté de la mettre en valeur afin qu'elle soit (plus) vue, pourquoi pas, mais il faut trouver un endroit assez grand et cela pourrait être aussi dans le Quartier des spectacles, pour donner à celui-ci une coloration culturelle. Mais je ne recommanderai pas un déménagement avant d'avoir parlé à Héritage Montréal ou à des groupes d'artistes.» Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal, n'est pas très chaud à l'idée de déménager le Calder. «On n'a pas de position dogmatique sur cette oeuvre, mais elle appartient à l'Expo 67 et l'Expo, ce sont les îles, dit-il. Par contre, on doit se demander pourquoi on a arrêté d'installer de grandes oeuvres sculpturales à Montréal avec l'Expo 67. Quand on voit l'installation extraordinaire de La Joute au quartier international, on voit qu'il y a parfois des gestes audacieux à poser.» M. Bumbaru dit qu'on a déjà voulu installer le Calder au centre-ville, «dans la pente de la rue Université». «C'était comme d'envoyer la sculpture en exil dans les gaz d'échappement, dit-il. On devrait aborder le nomadisme des monuments avec parcimonie.» À l'occasion de son 100e anniversaire, le cabinet d'avocats Fasken Martineau va bientôt léguer une oeuvre d'art à l'espace public montréalais, a révélé Charles Lapointe. Et c'est dans le quartier international qu'elle sera placée, a indiqué M. Labonté.
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