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  1. Une imitation de Times Square au centre-ville ? Kathleen Lévesque Édition du mardi 26 juin 2007 Mots clés : Times Square, écran géant, Busac, Construction, Montréal L'installation d'un écran électronique géant pourrait bientôt être autorisée Photo: Pedro Ruiz Le centre-ville de Montréal pourrait bientôt prendre une allure clinquante à la façon de Times Square, à New York. L'arrondissement Ville-Marie s'apprête à autoriser l'installation d'un écran électronique géant avec publicités, vidéos et messages qui défilent, a appris Le Devoir. L'immense écran électronique trônerait sur l'immeuble situé au 1200, McGill College, une avenue de prestige bordée au sud par la Place Ville-Marie et tournée au nord vers le mont Royal. showBigBox(); C'est le promoteur immobilier Busac, celui-là même qui a mené le projet de l'îlot Voyageur constituant un dérapage financier pour l'UQAM, qui talonne depuis plusieurs mois l'arrondissement Ville-Marie afin de changer les règles d'affichage publicitaire. L'insistance de Busac semble donner des résultats. Selon le scénario privilégié par l'arrondissement, le conseil de Ville-Marie pourrait donner son aval à un changement réglementaire en août. L'équipe du maire de l'arrondissement, Benoit Labonté, a jusqu'au premier juillet pour inscrire le projet à l'ordre du jour de l'assemblée. Il s'agirait de permettre un projet-pilote d'une année. «Les élus doivent prendre une décision rapidement. Si cela se fait, il y aura des revenus pour l'arrondissement. Et le type d'affichage devra être soumis à des règles», a expliqué au Devoir le directeur des affaires publiques de l'arrondissement, Jean-Yves Duthel. Ce dernier estime qu'il s'agirait d'un nouveau champ de revenus fort intéressant pour Montréal. Selon le pourcentage négocié avec Busac, Ville-Marie pourrait empocher quelque 200 000 $ par année, par écran géant. Cela semble s'inscrire dans un contexte où Montréal est aux prises avec des difficultés financières et souhaite diversifier ses sources de revenus. Le gouvernement du Québec a d'ailleurs déposé jeudi dernier un projet de loi donnant entre autres choses de nouveaux pouvoirs de taxation (divertissement et stationnements commerciaux) à la Ville de Montréal. Outre les règles d'urbanisme qui interdisent les écrans électroniques géants, un autre obstacle se pose. La Charte de la Ville de Montréal ne permet pas que la municipalité puisse bénéficier de redevances sur le domaine privé. Ainsi, le projet de Busac devra être soumis à l'approbation du conseil municipal qui pourrait ainsi demander une modification à sa loi constituante. Le changement législatif qui en découlerait pourrait être adopté en décembre par l'Assemblée nationale et entrer en vigueur dès 2008, selon ce que prévoit Ville-Marie. Au-delà des revenus anticipés, l'arrondissement Ville-Marie aimerait profiter de cet écran géant pour diffuser de l'information destinée aux citoyens, comme la tenue de certains événements. Or l'arrondissement Ville-Marie planifie déjà depuis plus d'un an la construction d'un édifice (vitrine culturelle) dans le contexte plus large du développement du Quartier des spectacles. L'immeuble s'élèverait au coin des rues Sainte-Catherine et Saint-Laurent avec en façade, un écran surdimensionné destiné uniquement aux événements culturels. Le projet de Busac est d'une autre nature. Pour André Poulin, directeur général de Destination centre-ville, une société de développement commercial représentant 8000 commerces, l'écran sur McGill College serait «un irritant inquiétant». «Si on veut une qualité de vie, il ne faut pas imiter ce que les grandes villes font. Venir au centre-ville de Montréal, ce n'est pas pour être assailli par de la pollution visuelle. Il faut protéger les gens contre l'envahissement commercial», croit M. Poulin. Ce dernier se questionne également sur le problème de sécurité que pourrait engendrer la présence d'un écran électronique. Il croit que les automobilistes pourraient être distraits par la diffusion des publicités et des messages à lire. Les affiches lumineuses, les écrans électroniques géants et les néons publicitaires sont chose courante dans plusieurs grandes villes du monde, notamment sur le continent asiatique. Times Square, à New York, demeure toutefois le quartier le plus célèbre pour son animation et sa démesure. En 2000, un nouvel écran, haut de plus de 36 mètres, a été construit au coût de 37 millions de dollars. NASDAQ loue l'emplacement pour plus de 2 millions par année. À Montréal, le projet de Busac pourrait ouvrir la porte à une avalanche de demandes similaires. Busac, qui est une filiale d'une entreprise new-yorkaise installée ici depuis 1998, a de l'ambition. En moins de dix ans, Busac s'est hissée parmi les douze plus grands propriétaires immobiliers au Québec. Elle a acquis des immeubles comme le 1200, MGill College, la Place Dupuis et l'immeuble voisin (888, de Maisonneuve Est) où loge le maire Benoit Labonté et la fonction publique de l'arrondissement Ville-Marie. Busac n'a pas rappelé Le Devoir hier
  2. Does anyone know what the status is on the construction that was being done in the Olympic Stadium tower? http://www.busac.com/index.php?lang=an&sect=3&offset=0&region=5&id=5733552 Judging by the 3D tour http://www.busac.com/previz/on the Busac Real Estate site, it looks like they are planning to remove some of the concrete panels on the side of the tower and replace them with more windows. Thus creating 20 floors of office space. The floor spaces in the tour were built with very high ceilings and windows that were much to high. I wonder if and how many floors they might be adding to fill up these large rooms. If anyone has anymore info on this project or pictures of construction of any part of the Olympic Complex I would be very interested. All Pictures are from Busac Real Estate www.Busac.com
  3. Dépassements de coûts Au-delà des chiffres avec Léo-Paul Lauzon 19 février 2009 05:15 En 2006, privilégiant les PPP afin de ratatiner l’État, la ministre libérale Monique Jérôme-Forget promettait la fin des dépassements de coûts. En PPP, tout est secret. Aucune transparence! Prenons la nouvelle salle, totalement superflue, de l’Orchestre symphonique de Montréal, réalisée en PPP. En 2006, on prévoyait des coûts de 105 M$… rendus à 266 M$ en 2007. Comme les coûts augmentent encore, la dame vient de décider que «le budget de construction de la salle de l’OSM n’a plus de plafond». Voilà! Fini les dépassements de coûts! Fallait y penser! Si la santé est la priorité des Québécois, pour Jean Charest, la salle de l’OSM est «une priorité pour nous», qu’il a souvent dit. La Presse du 13 décembre 2008 titrait : «Alston-Bombardier : Le prix des nouvelles voitures du métro explose». Une petite augmentation imprévue de 400 M$ du fournisseur. Faut pas s’énerver. Puis : «100 M$ de plus pour l’autoroute 30», à payer aux entrepreneurs privés, et 27 M$ additionnels versés aux consultants, selon Le Devoir. Une autoroute qui n’aura de privé que le nom. Pour rire de nous, l’Agence des PPP a dit : «Ce n’est pas une augmentation, c’est une mise à jour de l’estimation initiale.» On te croit, menteur. Enfin, on apprend que Maple Leaf, responsable de la listériose qui a tué 20 personnes et qui a coûté des millions en fonds publics, veut redorer son «image». On repart à neuf comme si de rien n’était. Idem pour les milliards engloutis par nos banques dans les hypothèques pourries et renflouées pour 120 G$ par l’État sans aucune condition. Par contre, pour les impairs commis dans le public, on est intraitable. Le patronat et ses majorettes exigent alors la privatisation. Pensons aux cas de l’Îlot voyageur de l’UQAM, dont la firme privée Busac est aussi responsable, et de la Gaspésia, où la firme privée Tembec est également impliquée; là, les affairistes et les éditorialistes se sont déchaînés contre l’incompétence du public. Aucun blâme toutefois à Busac et à Tembec. Tolérance zéro pour le public et indulgence infinie pour le privé. Et Stephen Harper qui dit : «8 G$ ou 18 G$, peu importe ce que ça coûtera pour mener à terme la guerre canadienne en Afghanistan». Pas de problème, on n’aura qu’à couper 10 G$ dans les services publics. C’est tellement simple! Si la priorité des Cana*diens est aussi la santé, pour Harper, c’est la guerre…
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