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  1. Montréal accueille la prochaine Flying Business Travel Academy C'est au Québec, et plus précisément à Montréal, que se tiendra du 17 au 20 novembre prochain, la seconde Flying Business Travel Academy. Pour cet événement, 11 travel managers francophones iront échanger avec leurs homologues québécois sur les grands thèmes du travel management et aborderont les techniques du "change management", les grandes évolutions de l'aérien ou les attentes en matière de gestion des budgets voyage. La seconde édition de la Flying Business Travel Academy (qui s'était déroulée à Washington en 2010), organisée en partenariat avec Air France, les sujets ne manquent pas. Outre les grandes interrogations actuelles sur les évolutions tarifaires et les approches stratégiques des grandes compagnies, il est clair que la lisibilité actuelle des transporteurs aériens est complexe à analyser et à intégrer dans sa politique d'achat. En deux ans, 154 lignes ont disparu ou changé d'opérateurs. Autant de refonte des plans de déplacements pour certaines entreprises qui s'étaient réjouies un peu vite de ces ouverture. L'époque du transport aérien "champignon" est engagée. La ligne se crée le lundi et s'abandonne le vendredi. Les low-cost donnent le ton et damnent le pion aux régulières même si, et c'est une évidence, elles ne desservent aujourd'hui que 12 % des liaisons mondiales. En clair, s'il est facile de faire un Beauvais - Venise, il est plus complexe d'aller tous les jours à Boston ou à Tokyo... Aux mêmes tarifs que les prix d'appels aujourd'hui constatés en Europe. On le voit le best buy est lentement mais surement abandonné par les grandes entreprises alors que les PME/PMI à l'affût de la moindre économie ne jurent que par lui. Faut-il alors faire comme IBM et jouer au chat et à la souris avec le tarif le moins cher ? Doit-on suivre Unilever ou Monsanto qui désormais reportent les budgets voyages sur leurs divisions en incitant aux économies par des primes de résultats ? On le voit tout bouge. Les compagnies réduisent capacités et dessertes. Des low fares se créent tous les jours en Asie et personne ne peut dire à quoi ressemblera le transport aérien dans deux ans, cinq ans ou dix ans. A Montréal, ce sont ces sujets quotidiens qui seront abordés, débattus, analysés. Une Académie pour comprendre et anticiper. Une Académie pour se préparer aux grandes mutations annoncées. Marcel Lévy http://www.deplacementspros.com/Montreal-accueille-la-prochaine-BR-Flying-Business-Travel-Academy_a12124.html
  2. Vers un déficit de 5 milliards? Mise à jour le vendredi 24 octobre 2008, 8 h 29 . L'Ontario se dirige vers un déficit plus grand que prévu, selon un nouveau rapport de la Banque TD. L'institution estime que la province atteindra un déficit de 3 à 5 milliards de dollars au cours des deux prochaines années. Mercredi, le ministre des Finances de l'Ontario a annoncé qu'il prévoit désormais un déficit de 500 milliards de dollars. La Banque TD croit que les finances de l'Ontario ne s'amélioreront pas au cours des deux prochaines années, notamment parce que le secteur manufacturier de la province a profité pendant trop longtemps de la faiblesse du dollar canadien et des prix du pétrole: « Ce sont des avantages corporatifs qui se sont érodés et qui ne vont pas revenir », mentionne l'économiste Pascal Gauthier, qui propose à l'Ontario de concentrer ses efforts sur d'autres secteurs pour diversifier sa croissance. La Banque TD ajoute que le gouvernement fédéral n'échappera pas aux budgets déficitaires: Ottawa doit s'attendre à un manque à gagner de 10 milliards de dollars d'ici deux ans. McGuinty: « L'année prochaine sera pire » Le pessimisme de la Banque TD semble en partie être partagé par le premier ministre ontarien Dalton McGuinty. En entrevue dans une station de radio privée de Toronto, jeudi matin, il a déclaré que la situation financière de la province serait encore plus précaire l'année prochaine. « L'année prochaine sera encore pire et l'année suivante aussi », a dit McGuinty. Il précise qu'il n'y aura pas de nouveaux investissements gouvernementaux dans la province et que les programmes existants seront ralentis. Pour le premier ministre, la chose la plus importante est d'avoir un plan pour éliminer le déficit. Questionné à savoir quel est son plan, Dalton McGuinty est resté vague, se bornant à promettre de nouveau de ne pas hausser les impôts. Lors de la campagne électorale de 2007, les libéraux avaient promis de présenter des budgets équilibrés. Version Tory Le chef conservateur John Tory s'est montré sceptique face au discours de son adversaire politique. « M. McGuinty est le roi des promesses rompues, et je pense que les citoyens ne le croient pas lorsqu'il dit qu'il n'augmentera pas les impôts. - John Tory » M. Tory ajoute que s'il était premier ministre, il aurait gelé les embauches dans la fonction publique et réduit les impôts afin de stimuler les investissements et les dépenses des Ontariens.
  3. La Presse Le samedi 28 juillet 2007 L'administration Tremblay-Zampino accordera en 2008 un peu d'argent frais aux 19 arrondissements de la Ville de Montréal, dont les budgets passeront de 870 millions de dollars à un peu plus de 900 millions en 2008, a appris La Presse. En contrepartie, ils devront réduire le nombre de leurs employés dès l'an prochain. Les directeurs d'arrondissement ont tous reçu une cible à atteindre pour éliminer des postes au fur et à mesure des départs à la retraite, a-t-on appris. Dans une lettre envoyée aux maires d'arrondissement, le président du comité exécutif, Frank Zampino, rappelle que son administration s'est engagée à réduire ses dépenses de 300 millions d'ici 2009. «Une partie de cet objectif doit être atteint par la réduction de 1000 postes, dont 250 cadres, d'ici le 31 décembre 2009», peut-on lire. Les services centraux doivent fournir un effort de 70 millions et les arrondissements, de 30 millions. Dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, par exemple, le budget passera de 61 à 63 millions. Mais la mairesse de l'arrondissement, Lyn Thériault, estime que l'administration Tremblay-Zampino «donne de la main droite et enlève de la main gauche». Elle fait valoir que les budgets accordés ne permettent pas d'augmenter les services, alors que la population de l'arrondissement s'accroît. «On nous oblige à abolir 45 postes d'ici 2009 alors qu'on devrait en ajouter, plaide-t-elle. À moins d'une aide providentielle, nous n'aurons pas le choix de mettre encore des projets de côté.» À Anjou, le maire Luis Miranda est plus alarmiste et prévoit même réduire la fréquence du déneigement: «Je n'ai pas le choix de couper. Montréal ramasse sa neige une fois sur deux, eh bien! on va faire la même chose.» M. Miranda estime que les sommes allouées (environ 25 millions) lui permettront à peine de couvrir les différentes hausses de coûts. Luis Miranda menace même de ne pas obtempérer aux demandes de la Ville, selon lesquelles il devrait abolir 19 postes. «La loi 33 a donné la responsabilité des employés aux arrondissements», précise-t-il. Sammy Forcillo, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, fait valoir que les arrondissements auront plus de marge de manoeuvre en 2008. «Je suis certain que ce budget sera plus facile qu'en 2007 parce que nous avons tenu compte des indexations», dit-il. M. Forcillo ajoute que deux fonds spéciaux sont aussi disponibles pour les arrondissements sous-financés. Il a toutefois été impossible de savoir à combien ils s'élèvent. Selon M. Forcillo, les arrondissements peuvent se serrer la ceinture sans réduire les services aux citoyens. Par ailleurs, il a refusé de préciser si son administration pourrait boucler son budget sans augmenter l'impôt foncier. «Le passé est garant de l'avenir», a-t-il laissé tomber. Il a aussi été impossible de connaître les intentions de l'administration quant à la possibilité d'augmenter des tarifs comme ceux des parcomètres. L'an prochain, Montréal pourrait toutefois disposer de nouveaux pouvoirs de taxation. Québec a récemment déposé un projet de loi pour permettre à la ville de taxer les stationnements commerciaux et les billets de spectacles. Depuis son arrivée au pouvoir, en 2002, l'administration Tremblay-Zampino a toujours adopté des budgets comportant des hausses des dépenses de 2 à 5%. En 2007, la Ville faisait face à un déficit appréhendé de 394 millions. Elle avait équilibré son budget en gelant notamment les salaires des employés et les budgets accordés aux arrondissements. Plusieurs arrondissements s'étaient donc tournés vers des taxes locales. La Ville présente son budget chaque année à la fin novembre.
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