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  1. Voici un texte de Maxime Bergeron qui est très intéressant pour ceux qui pensent investir dans les propriétés à Montréal... pourrait commencer un beau débat sur le sujet. Comment faites-vous vos calculs (et quels outils utilisez-vous)? Quels sont vos critères de sélection? Quels risques considérez vous dans vos calculs, etc? Condos locatifs: «cashflow» de -1% au centre-ville de Montréal Acheter un condo au centre-ville de Montréal pour le louer ensuite, un exercice payant ? Plus ou moins, si l’on se fie à une étude de cas inédite réalisée par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Les économistes Tania Bourrassa-Ochoa et Geneviève Lapointe ont constitué un échantillon de 100 copropriétés offertes en location au centre-ville et à L’Île-de-Sœurs, toutes construites après 2010. Selon les hypothèses retenues, les condos étudiés ont produit un flux de trésorerie moyen (ou « cashflow ») négatif de - 1 % au terme d’une année d’exploitation. « Au final, il s’agit ici des revenus de location moins les coûts d’exploitation de la copropriété en location (paiements hypothécaires, frais de copropriété, taxes scolaires et foncières, assurances habitation et coût d’opportunité) dans l’espace-temps d’une année », explique Mme Bourassa-Ochoa. ENTRE - 10 % ET + 20 % L’analyse des deux jeunes économistes tombe à point, alors que la location de condos est en plein essor à Montréal. Selon les données les plus récentes de la SCHL, le quart des copropriétés du centre-ville et de L’Île-des-Sœurs sont possédées par des investisseurs, dans le but d’être ensuite louées. L’histoire d’Émilie, dont je vous parlais la semaine dernière sur ce blogue, illustre à quel point la question soulève les débats –et donne lieu à plusieurs interprétations. Sans trop se prononcer sur le bien-fondé d’investir – ou pas – dans un condo locatif à Montréal, Tania Bourrassa-Ochoa souligne que les rendements obtenus dans les 100 appartements étudiés varient énormément. Certains investisseurs ont ainsi obtenu des flux de trésorerie négatifs de - 10 %, tandis que d’autres ont récolté des rendements de plus de 20 %. La fourchette des loyers perçus démontre aussi la grande variété de condos qui se retrouvent sur le marché locatif montréalais. Dans le cas qui nous intéresse, ceux-ci oscillaient entre 1400 $ et 7500 $ par mois. GAIN HYPOTHÉTIQUE Quoi qu’il en soit, avec un « cashflow » moyen de - 1 %, la perspective d’un tel investissement peut sembler bien peu attrayante aux premiers abords. La rentabilité pourrait être atteinte en fin de parcours si le propriétaire réalise un gain à la revente du condo, souligne Tania Bourrassa-Ochoa. Une telle plus-value est toutefois loin d’être assurée dans l’état actuel du marché montréalais, plutôt stagnant. « À la fin du compte, c’est vraiment à chaque personne de regarder sa situation, ses choix en matière d’investissement », conclut sobrement l’économiste de la SCHL. L’ÉTUDE DE CAS Voici les hypothèses utilisées par les deux économistes de la SCHL dans leur étude de cas d’une centaine de condos, tous mis en location sur le réseau Centris : – La mise de fonds est de 20 %. La somme totale de l’hypothèque est de 80 %. – Le taux hypothécaire est fixe et fermé sur 5 ans, à 2,54 %. – Le montant du loyer signé est celui qui est affiché sur le réseau Centris. – L’unité offerte trouve un locataire pour les 12 mois de l’année, sans mauvaise créance. Les économistes ont aussi pris en compte le coût d’opportunité dans leurs calculs, soit le choix d’investissement fait par l’acheteur du condo. « Il s’agit du coût de placer l’actif dans la mise de fonds pour une copropriété en location plutôt que dans un autre véhicule financier, souligne Tania Bourrassa-Ochoa. Pour cette étude, le coût d’opportunité reflète l’investissement dans une obligation à prime du gouvernement canadien de 10 ans. » Une analyse qui fait réfléchir, en somme. http://blogues.lapresse.ca/lapresseaffaires/immobilier/2015/12/07/condos-locatifs-«cashflow»-de-1-au-centre-ville-de-montreal/
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