Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'billets'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

24 résultats trouvés

  1. Un accueil chaleureux à tous. Prenez le risque maintenant de devenir riche, ce qui vous permet de payer vos frais de scolarité et avez encore de l'argent pour acheter des trucs scolaires, nettoyer vos prêts, factures d'hôpitaux, factures de services publics et toutes les autres factures. Prenez votre temps pour lire cette publication / article avant de nous contacter. Notre mission est de réduire la pauvreté mondiale. Tout le monde doit être riche, alors voici votre chance d'être un millionnaire donc permetez nous de combattre ensemble. Nous imprimons de l'argent qui peut être changer dans mes banques localaux, Casino, centre commercial et de nombreux endroits. Nous produisons également des passeports, DL, ID, certificats de naissance, certificats de mariage, certificats de décès et une foule d'autres documents. Nous avons la possibilité d'avoir les documents enregistrés dans le système de base de données du pays. En tant que tels, ils sont vérifiables. En ce qui concerne notre méthode de livraison de son très sûr et sécuritaire car les billets sont protégés contre toute dommages, fuite, la perte ou l'inspection par les autorités aéroportuaires. Donc ci-dessous est notre e-mail; melissahilton469@gmail.com franckpersey98@yahoo.com Skype: franckpersey
  2. Un accueil chaleureux à tous. Prenez le risque maintenant de devenir riche, ce qui vous permet de payer vos frais de scolarité et avez encore de l'argent pour acheter des trucs scolaires, nettoyer vos prêts, factures d'hôpitaux, factures de services publics et toutes les autres factures. Prenez votre temps pour lire cette publication / article avant de nous contacter. Notre mission est de réduire la pauvreté mondiale. Tout le monde doit être riche, alors voici votre chance d'être un millionnaire donc permetez nous de combattre ensemble. Nous imprimons de l'argent qui peut être changer dans mes banques localaux, Casino, centre commercial et de nombreux endroits. Nous produisons également des passeports, DL, ID, certificats de naissance, certificats de mariage, certificats de décès et une foule d'autres documents. Nous avons la possibilité d'avoir les documents enregistrés dans le système de base de données du pays. En tant que tels, ils sont vérifiables. En ce qui concerne notre méthode de livraison de son très sûr et sécuritaire car les billets sont protégés contre toute dommages, fuite, la perte ou l'inspection par les autorités aéroportuaires. Donc ci-dessous est notre e-mail; melissahilton469@gmail.com franckpersey98@yahoo.com Skype: franckpersey
  3. Un accueil chaleureux à tous. Prenez le risque maintenant de devenir riche, ce qui vous permet de payer vos frais de scolarité et avez encore de l'argent pour acheter des trucs scolaires, nettoyer vos prêts, factures d'hôpitaux, factures de services publics et toutes les autres factures. Prenez votre temps pour lire cette publication / article avant de nous contacter. Notre mission est de réduire la pauvreté mondiale. Tout le monde doit être riche, alors voici votre chance d'être un millionnaire donc permetez nous de combattre ensemble. Nous imprimons de l'argent qui peut être changer dans mes banques localaux, Casino, centre commercial et de nombreux endroits. Nous produisons également des passeports, DL, ID, certificats de naissance, certificats de mariage, certificats de décès et une foule d'autres documents. Nous avons la possibilité d'avoir les documents enregistrés dans le système de base de données du pays. En tant que tels, ils sont vérifiables. En ce qui concerne notre méthode de livraison de son très sûr et sécuritaire car les billets sont protégés contre toute dommages, fuite, la perte ou l'inspection par les autorités aéroportuaires. Donc ci-dessous est notre e-mail; melissahilton469@gmail.com franckpersey98@yahoo.com Skype: franckpersey
  4. Un accueil chaleureux à tous. Prenez le risque maintenant de devenir riche, ce qui vous permet de payer vos frais de scolarité et avez encore de l'argent pour acheter des trucs scolaires, nettoyer vos prêts, factures d'hôpitaux, factures de services publics et toutes les autres factures. Prenez votre temps pour lire cette publication / article avant de nous contacter. Notre mission est de réduire la pauvreté mondiale. Tout le monde doit être riche, alors voici votre chance d'être un millionnaire donc permetez nous de combattre ensemble. Nous imprimons de l'argent qui peut être changer dans mes banques localaux, Casino, centre commercial et de nombreux endroits. Nous produisons également des passeports, DL, ID, certificats de naissance, certificats de mariage, certificats de décès et une foule d'autres documents. Nous avons la possibilité d'avoir les documents enregistrés dans le système de base de données du pays. En tant que tels, ils sont vérifiables. En ce qui concerne notre méthode de livraison de son très sûr et sécuritaire car les billets sont protégés contre toute dommages, fuite, la perte ou l'inspection par les autorités aéroportuaires. Donc ci-dessous est notre e-mail; melissahilton469@gmail.com franckpersey98@yahoo.com Skype: franckpersey
  5. Un accueil chaleureux à tous. Prenez le risque maintenant de devenir riche, ce qui vous permet de payer vos frais de scolarité et avez encore de l'argent pour acheter des trucs scolaires, nettoyer vos prêts, factures d'hôpitaux, factures de services publics et toutes les autres factures. Prenez votre temps pour lire cette publication / article avant de nous contacter. Notre mission est de réduire la pauvreté mondiale. Tout le monde doit être riche, alors voici votre chance d'être un millionnaire donc permetez nous de combattre ensemble. Nous imprimons de l'argent qui peut être changer dans mes banques localaux, Casino, centre commercial et de nombreux endroits. Nous produisons également des passeports, DL, ID, certificats de naissance, certificats de mariage, certificats de décès et une foule d'autres documents. Nous avons la possibilité d'avoir les documents enregistrés dans le système de base de données du pays. En tant que tels, ils sont vérifiables. En ce qui concerne notre méthode de livraison de son très sûr et sécuritaire car les billets sont protégés contre toute dommages, fuite, la perte ou l'inspection par les autorités aéroportuaires. Donc ci-dessous est notre e-mail; melissahilton469@gmail.com franckpersey98@yahoo.com Skype: franckpersey
  6. Le mode de paiement de la STM contesté Mise à jour le mercredi 7 août 2013 à 16 h 34 HAE La jeune femme de 24 ans qui a reçu une contravention salée après avoir tenté de payer son passage à bord d'un autobus de la Société de transports de Montréal (STM) avec un billet de 5 $ a engagé un avocat pour se défendre. Les usagers des autobus publics à Montréal sont souvent confrontés à ce problème : impossible de monter à bord si on ne dispose pas de la somme exacte en pièces de monnaie. La semaine dernière, n'ayant pas la monnaie exacte, Pauline Tantost n'avait pas été en mesure de payer son passage puisque les boîtes de perception installées dans les autobus ne peuvent recevoir les billets en papier. Elle est donc montée sans payer, puisque le chauffeur n'a pas voulu accepter son billet même si la jeune femme n'exigeait pas qu'on lui rende sa monnaie. Des inspecteurs de la STM l'ont ensuite expulsée de l'autobus avec son bébé de deux ans et lui ont remis une contravention de 219 $. Son avocat, Kenneth Zigby, compte invoquer la Loi sur la monnaie pour faire annuler la contravention, qui a été suspendue par la STM le temps de faire enquête dans ce dossier. « Nous avons de la technologie qui va de l'avant, et qui prévoit toutes sortes de façons de paiement. Mais on semble oublier que la façon principale de payer, c'est en argent comptant. » — Me Kenneth Zigby « La Loi sur la monnaie prévoit qu'on peut faire des paiements libératoires, soit en pièces de monnaie, ou en billets », affirme Me Zigby. Revoir la façon de faire Par voie de communiqué, le syndicat des chauffeurs d'autobus de la STM a indiqué que l'intervention des inspecteurs dans le cas de Mme Tantost était « fortuite et qu'elle n'a jamais été demandée par le chauffeur ». Ce dernier s'est d'ailleurs dit « désolé de cette situation et espère ne plus y être confronté à l'avenir ». « Nous croyons aussi que cet incident aurait pu être évité si l'employeur accordait une marge de manoeuvre suffisante à tous ses groupes d'employés pour leur permettre une application moins mécanique des règles et consignes enseignées », a déclaré le président du syndicat, Renato Carlone. « Ça peut créer des problèmes de tensions avec la clientèle. On en est bien conscient et ce n'est pas ce que l'on souhaite. Nous, ce que l'on veut, c'est faire notre travail et conduire les gens du point A au point B. » — Stéphane Lachance, porte-parole du syndicat des chauffeurs d'autobus Le porte-parole du syndicat estime d'ailleurs qu'il est grand temps de revoir la façon de percevoir les paiements des usagers et demande à la STM de s'inspirer des systèmes européens, où les chauffeurs n'ont pas à se préoccuper de la question. « Il y a des pays en Europe, et même à Vancouver - le Sky Train en est un exemple - où c'est le paiement sur honneur [qui prime]. Il y a des installations à bord des véhicules et les gens se doivent de valider leur titre de transport. [Le chauffeur] n'a pas de perception à faire », a indiqué Stéphane Lachance. Chez Transport 2000, un organisme qui fait la promotion du transport en commun, on abonde dans le même sens. Si à Paris, Boston, Milan ou Vancouver, les gens peuvent acheter des billets de transports dans des machines qui sont faciles d'accès, pourquoi pas ici? « Ça ne devrait pas relever de la responsabilité du chauffeur d'autobus, qui n'est pas un caissier ou un placier à l'entrée d'un bar », conclut le directeur général de Transport 2000, Normand Parisien. ------------------------------------- :thumbsdown::thumbsdown: http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2013/08/07/006-stm-paiement-avocat-contravention-defense-pauline-tantost.shtml
  7. http://aduq.ca/soiree/ ADUQ [0;0;0] , soirée de lancement officiel de l’Association du design urbain du Québec, prendra place dans l’édifice ZONE, ancien bâtiment de l’industrie maritime reconverti. Nous serons fiers de vous recevoir dans ce lieu emblématique du design urbain de Montréal, situé entre Griffintown, l’autoroute Bonaventure, le faubourg des Récollets, le Canal de Lachine, et faisant face au Farine Five Roses. La soirée sera parrainée par : - Claude Cormier – architecte paysagiste, fondateur de Claude Cormier + Associés - Nik Luka – professeur associé et responsable de l’orientation Design Urbain à l’Université McGill - David B. Hanna – géographe urbain, professeur au Département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM, ancien président de la Fondation Héritage-Montréal Ces derniers seront invités à nous présenter au cours de la soirée leur vision du design urbain sous l’angle de leur discipline respective. La programmation détaillée de la soirée sera dévoilée au cours de la semaine du 17 septembre 2012 OÙ ? /// Édifice Zone (Autodesk) / 10 rue Duke, Montréal QC H3C 2L7 QUAND /// Jeudi le 27 septembre 2012 de 18h à 1h QUI ? /// Tous ceux qui s’intéressent au design urbain et à la dimension collective de la ville COMBIEN ? /// Gratuit pour les membres* / 18$ pour les 200 premiers billets / 25$ régulier QUOI ? /// Bar open de 18h à 21h / Bouchées offertes / La Mangeoire Food Truck sur place / DJ : François Lebaron * Les membres ADUQ doivent confirmer leur présence en écrivant au m.pare@aduq.ca Billetterie Utilisez ce formulaire pour l'achat de billets pour la soirée de lancement. À noter que la soirée est gratuite pour les membres de l'ADUQ. Vous n'avez aucun billet à imprimer. Vous n'aurez qu'à donner votre nom à l'entrée. Si vous ne pouvez vous présenter le soir de l'évènement, il vous sera possible de nous contacter et de transférer votre billet à une autre personne.
  8. Parcomètres: la solidarité pour économiser Tristan Péloquin La Presse Publié le 19 novembre 2009 à 19h11 | Mis à jour le 20 novembre 2009 à 10h28 Des automobilistes montréalais ont découvert comment contourner un des principaux irritants du système de parcomètres informatisés de la métropole. Grâce à une astuce extrêmement simple, ils arrivent à refiler leurs minutes de stationnement inutilisées au prochain automobiliste. Contrairement aux anciens parcomètres mécaniques, qui mettaient à la vue de tous le nombre de minutes restant au droit de stationnement, les nouvelles bornes informatisées ne permettent pas aux automobilistes de savoir si l'utilisateur précédent a quitté sa place avant l'échéance. Cette stratégie délibérée de Stationnement de Montréal a souvent fait l'objet de critiques, notamment de l'Association de Sociétés de développement, qui la qualifie de «double facturation» nuisant à l'achalandage des commerces. En 2005, un résident montréalais, Jean Piérard, a même tenté d'intenter un recours collectif contre la ville pour dénoncer cette pratique, mais sa requête a été rejetée en 2007 par la Cour supérieure. En coinçant tout simplement leur ticket entre l'espace bleu et la partie métallique de la borne de stationnement avant de quitter, les automobilistes contournent cependant le système et laissent savoir au prochain utilisateur qu'il peut se stationner gratuitement pendant un certain temps. Visiblement, la majorité des utilisateurs qui tombent sur ces billets les ramassent, puisque lors de notre tournée, jeudi, tous les billets trouvés dataient du jour même. Stationnement de Montréal, qui affirme que le phénomène est encore marginal, estime que cette pratique est parfaitement légale. La société en commandite enregistre des revenus d'environ 50 millions par année, et ses revenus ont connu une hausse de 65% en 2007 par rapport à 2006. Cette augmentation s'explique en partie à cause des nouvelles bornes, mais surtout à cause d'une augmentation de tarifs et de l'élargissement des plages horaires de tarification. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200911/19/01-923269-parcometres-la-solidarite-pour-economiser.php ^ il y a un vidéo
  9. Le maire de New York expédie des SDF à Granville Louis Laroque (à Caen) et Adèle Smith (à New York) 10/08/2009 | Mise à jour : 08:42 | Un programme créé en 2007 prévoit de payer un aller simple aux sans-abri accueillis par un membre de leur famille vivant hors de New-York. «Une famille américaine arrivée pour un long séjour dans ma ville ? Mon collègue de New York, Michael Bloomberg, ne m'a pas prévenu», ironise, un brin amer, Daniel *Caruhel, 63 ans, maire DVG de Granville, cité de 15 000 habitants sur les côtes du département de la Manche. Ce pourrait être le jeu de piste de l'été : rechercher ce couple et ses trois enfants en provenance de New York et censés être accueillis à Granville ou ses environs chez une parente de la mère de famille ? Il ne s'agit pas d'un voyage d'été, ni du déplacement classique des enfants et petits-enfants d'un vétéran du Débarquement. Mais d'un aller sans retour pour des SDF new-yorkais avec billets d'avion pour Paris et tickets de train de Montparnasse à Granville. L'addition de 6 332 dollars (4 520 euros) est réglée par la mairie de New York. Depuis 2007, la ville et son maire, Michael Bloomberg, paie des billets d'avion vers la destination de leur choix aux sans-abri. Seule condition : pouvoir justifier d'un hébergement assuré à destination. Une situation mise au jour par le New York Times dans son édition du 28 juillet. Contacté par Le Figaro, le département chargé des sans-abri à la mairie (Department of Homeless Services, DHS) affirme que la famille de Granville est la seule qui ait été renvoyée en France. Le DHS précise qu'en principe les familles reçoivent un appel des autorités de la ville de New York pour vérifier que leur installation s'est bien passée. Nul ne trouve en tout cas la *trace des intéressés en France : ni à la mairie, ni à la préfecture de la Manche, ni au consulat américain à Rennes. Même ignorance à l'ambassade US à Paris où l'on s'interroge : «Il ne s'agit pas d'un projet fédéral. Peut-être cela se *traite-t-il de mairie à mairie ?» «Marchandisation et exportation de la pauvreté» Le maire de Granville n'est au courant de rien. Ancien vice-président national de Peuples solidaires, cet horticulteur de 63 ans, élu en 2008 à la tête d'une liste «humano-pragmatique au-delà des clivages» ne mâche pas ses mots : «On connaissait déjà les charters pour Africains. Cette fois, on assiste à la marchandisation et à l'exportation de la pauvreté.» Interrogé par CNN, Michael Bloomberg a déclaré : «Est-ce que l'on est en train de transférer le problème ailleurs ? Je ne sais pas. Peut-être trouvent-ils un nouvel emploi quand ils arrivent dans un nouvel endroit, peut-être pas. C'est peut-être plus facile pour eux. Ce qui est sûr, c'est que l'on a deux choix : faire ce programme [de billets d'avions] ou payer très cher, chaque jour, pour leur fournir un hébergement.» Un hébergement qui coûte 36 000 dollars (25 000 euros) par an et par famille. Chaque nuit, 38 000 SDF sont accueillis dans les centres d'accueil de la grande métropole. Depuis 2007, près de 550 familles ont déjà bénéficié du programme de «rapatriement volontaire» pour un coût global d'environ un million de dollars (700 000 €). San Juan (Porto Rico) accueille le plus grand nombre d'entre elles pour un coût de «seulement» 484 dollars (340 €). D'autres sont partis pour Johannesburg (Afrique du Sud). Au total, 24 destinations différentes sur les cinq continents.
  10. Le géant de la distribution de billets de spectacles et d'événements sportifs a vendu des billets à des prix plus élevés via une de ses filiales. Il a accepté de payer 300000$ à l'État du New Jersey et fait face à un recours collectif au Canada. Pour en lire plus...
  11. Annulation : UFC + 12M$ de retombées = «no brainer» (Corus Sports)- Vous désirez vendre un événement sportif à Montréal (et non Mawn-Tri-Al)? Adressez-vous à Dana White, il semble en être un expert ! Un invité des plus articulés, Dana White a habilement vendu chacun des arguments en poche pour supporter la tenue de son événement. Si on se fie à monsieur White, l'événement UFC 97 aura bel et bien lieu au Centre Bell le 18 avril prochain, tel que prévu. «Je ne vois tout simplement pas comment l'événement pourrait ne pas avoir lieu tel que prévu originalement. Nous avons entendu parler de toute la controverse avec le Régie des alcools, des courses et des jeux, mais les ventes sont déjà incroyables.» En observant les chiffres présentés par White, force est d'admettre qu'il serait tout à l'honneur du gouvernement du Québec d'appuyer l'événement : - 12 000 billets vendus en pré-vente - 1 million $ en taxes pour ces billets, jusqu'à maintenant - Retombées totales potentielles de 12 millions (argent neuf en majorité) pour le week-end du 18 avril prochain «C'est une décision évidente (no brainer)», a t-il renchéri. Questionné sur sa réaction lorsqu'il a appris que la RACJ désirait mettre un frein aux événements UFC, Dana White a déclaré avoir été tenu en haleine («we were a little bit freaked out»), mais que ce genre de démêlés étaient monnaie courante dans son industrie. Un passage remarqué À propos du dernier passage de la UFC à Montréal en 2008, White a été catégorique. «Tout le monde dans la région de Montréal a ressenti notre passage. Nous avons fait sauter la baraque! (The place was rocking)» Dana White a par ailleurs affirmé que les États-Unis étaient un excellent marché pour les arts martiaux mixtes, mais que le Canada était tout un terreau fertile, notamment parce que George St-Pierre est une vedette de calibre international.
  12. La récession s'attaque à Broadway Marie-Joëlle Parent 06-02-2009 | 09h58 Le nuage gris de la récession recouvre dorénavant le ciel de Broadway. Des spectacles comme Chicago, Equus ou Shrek The Musical jouent devant des salles à moitié vides. Plusieurs productions comme Hairspray et Grease viennent d'éteindre leurs projecteurs pour toujours. Malgré tout le glamour et les paillettes, le monde du divertissement n'est pas imperméable à la crise économique. Il suffit de déambuler dans le Theatre District de Manhattan ces jours-ci pour le contacter. Plusieurs théâtres situés sur les rues transversales à Broadway sont déserts et placardés d'affiches. «La dernière représentation de Grease a eu lieu le 4 janvier, les billets après cette date doivent être remboursés au point d'achat», est-il inscrit. La scène est plutôt triste. Quand Broadway va mal, c'est toute la ville qui en souffre. C'est une machine énorme qui a engrangé des revenus de 941M$US l'an dernier. Sans compter les retombées pour les hôtels et restaurants. Fermetures en série Même si plusieurs productions comme Billy Elliot ou Wicked attirent encore les foules, d'autres n'ont pas résisté au marasme financier. En tout, 16 spectacles ont fermé leurs portes ces dernières semaines, certaines fermetures étaient prévues, mais huit résultent directement de la situation économique. C'est le cas de Hairspray, Spring Awakening, Gypsy, Spamalot, Boeing-Boeing, Young Frankenstein, 13 et Grease. La plupart de leurs billboards sont encore bien en vue dans les hauteurs de Time Square, signe qu'on ne s'attendait pas du tout à un tel revirement de situation. «Oui c'est plus dur que les autres années. L'an dernier 12 shows ont fermé à cette période-ci, cette année, on parle de 16 shows» admet Drew Hodges, président de SpotCo, agence de publicité spécialisée en théâtre. «La plupart des gens sont plus hésitants avant d'acheter un billet, les temps sont durs. Les familles magasinent avant d'acheter», dit-il. «C'est pourquoi la plupart des billets sont réduits à 50%.» «De plus en plus de productions diminuent leurs prix, il faut remplir les salles» confie un promoteur rencontré près du comptoir de dernière minute TKTS à Time Square. Juste à côté des danseurs de la pièce Chicago dansent autour des touristes malgré le froid tout en donnant des dépliants. Ça frôle la vente sous pression. Tous les moyens sont bons pour faire de la promotion. Il faut dire que Chicago connaît un taux d'occupation de 66% ces jours-ci... Période creuse La production n'est pas la seule à jouer devant des salles à moitié remplies. C'est le cas de Shrek (56%) et Equus (61%) mettant en vedette Daniel «Harry Potter» Radcliffe. Malgré tout le battage médiatique, le spectacle quittera l'affiche le 9 février. Malgré tout, Broadway ne baisse pas les bras. Au contraire, les relationnistes des productions et la Broadway League affichent un optimisme exacerbé. «Le printemps va être incroyable. Il y aura 22 nouveaux spectacles d'ici avril, Broadway est plus fort que jamais» souligne Joe Parotta de Boneau/Bryan-Brown. Du côté du syndicat des acteurs de théâtre, l'Actor's Equity, la panique n'est pas installée. «Les spectacles ferment normalement en janvier, ce n'est pas tellement différent de l'an dernier, les acteurs savent que leur job n'est pas à long terme», dit Maria Somma, porte-parole. La grande question qui hante maintenant MidTown c'est de savoir si les touristes seront au rendez-vous cet été. 51 millions de billets En octobre dernier, le maire Bloomberg a inauguré les nouvelles installations futuristes de Duffy Square, le petit ilot en plein coeur de Time Square qui abrite la populaire billetterie de dernière minute, TKTS. Coût de l'opération : environ 19 M$ US. L'îlot a doublé de superficie et le comptoir à lui seul a coûté plus d'un million, il est recouvert d'une immense estrade rouge en plexiglas. Les lieux sont chauffés, les touristes peuvent donc faire la file plus longtemps. C'est là qu'il se vend le plus de billets au monde. Depuis 1973, 51 millions de billets y ont été vendus, soit l'équivalent de 1,4 milliard de dollars américains dans les poches de l'industrie du divertissement. Depuis le début de janvier cependant, on remarque que les ventes vont moins bien que l'an passé. «C'est évident que c'est dû à la situation économique du pays, mais aussi à la neige» explique David LeShay, porte-parole du Theatre Development Fund. 90% des billets offerts sont vendus à moitié prix. La taxe de service est quant à elle réinvestie dans des programmes pour aider la relève artistique.
  13. La Banque Toronto-Dominion émet pour 1 G$ de billets à long terme afin d'augmenter ses fonds propres de catégorie 1. Pour en lire plus...
  14. Publié le 26 novembre 2008 à 15h35 | Mis à jour à 15h38 Les Red Wings n'échappent pas à la récession «C'est un secret de polichinelle que le Michigan est un des états que la récession touche le plus durement», a souligné le vétéran défenseur Chris Chelios Robert Laflamme La Presse Canadienne Detroit Les temps sont durs aux Etats-Unis. La crise financière qui secoue le pays de l'Oncle Sam éprouve particulièrement la ville de l'automobile, Detroit. Les Red Wings le constatent amèrement. Sur la glace, tout baigne dans l'huile pour les champions de la coupe Stanley, qui ont clôturé le premier quart de la saison avec une récolte de 14 victoires et de 32 points. A l'extérieur de la patinoire, «Hockeytown» a du plomb dans l'aile. Les déboires des géants de l'automobile, General Motors et Ford, affectent grandement l'économie de la région. Les propriétaires des Red Wings, la famille Illitch, doit user d'ingéniosité afin de remplir le Joe Louis Arena. «C'est un secret de polichinelle que le Michigan est un des états que la récession touche le plus durement», a souligné le vétéran défenseur Chris Chelios, mercredi. «On remarque que les assistances sont à la baisse, et ce n'est pas surprenant, a-t-il repris. On sait que ça n'a rien à voir avec l'intérêt ou la fidélité de nos partisans. Ils veulent nous soutenir, mais ils n'en ont pas les moyens.» Son coéquipier Kris Draper a fait le même constat. «Les gens sont emballés par nos performances, ils nous le laissent savoir partout où on va en ville, a-t-il affirmé. Ils n'ont rien perdu de la passion qui les anime. Financièrement toutefois, ils sont incapables de venir à l'aréna. Les familles doivent composer avec une situation économique difficile.» Billets trop dispendieux Chelios, activiste ces dernières années au sein de l'Association des joueurs de la LNH, a identifié le coût trop onéreux des billets à travers la LNH comme un problème auquel on doit s'attaquer. «C'était (le coût des billets) une de nos préoccupations avant le lock-out, a-t-il relevé. On croyait que le conflit servirait à alléger le fardeau des amateurs, ça n'a pas été le cas. On adorerait voir plus d'amateurs dans les amphithéâtres, mais les billets sont trop dispendieux, surtout dans le contexte actuel.» C'est d'ailleurs avec comme toile de fond la crise financière en Amérique que les dirigeants de l'Association des joueurs vont se réunir, au début de décembre, afin d'établir la pertinence de rouvrir le contrat de travail, à la conclusion de la saison. Le directeur exécutif de l'association, Paul Kelly, est en voie de compléter la tournée des 30 équipes. «J'ai confiance en Paul et en l'équipe qui l'entoure, Glenn Healy et Steve Larmer, qui est de retour. Le nouveau comité me rappelle l'arrivée de Bob Goodenow à la tête de l'association, il y a plusieurs années», a souligné Chelios, qui a joué un rôle important dans le renvoi du prédécesseur de Kelly, Ted Saskin. Chelios ne sait pas quelle approche le syndicat va adopter, mais il estime que la LNH ne peut pas se permettre un autre conflit de travail après celui qui a provoqué l'annulation de la saison 2004-05. «La montée en flèche du dollar canadien, la saison dernière, a été une merveilleuse chose pour la ligue qui a vu ses revenus augmenter considérablement. La baisse du dollar dernièrement va modifier le portrait. On va voir ce qui va arriver. Si on peut trouver une façon que les amateurs payent leurs billets moins cher, tout le monde serait heureux.»
  15. La Réserve fédérale américaine a annoncé mardi qu'elle allait commencer à racheter des billets de trésorerie, pour soutenir les fonds de pension américains. Pour en lire plus...
  16. Zoom Airlines n'est plus qu'un souvenir, mais plusieurs passagers devront encore attendre des mois avant de se faire rembourser des billets inutilisables payés avec des cartes de crédit. Pour en lire plus...
  17. Les billets contrefaits de 100$ canadiens seraient plus nombreux à circuler depuis les derniers mois, rapporte la Banque du Canada. Pour en lire plus...
  18. Vous en voulez aux artistes et aux promoteurs de fixer des prix aussi élevés pour leurs spectacles? Pensez à ce qui suit. Pour les spectacles les plus courus, il y a toujours des fans prêts à payer deux ou trois fois le prix normal en se procurant des billets auprès des revendeurs, que ce soit sur eBay ou devant l'aréna. Pour en lire plus...
  19. Voyager à partir des États-Unis Mise à jour le mercredi 23 juillet 2008, 12 h 11 . De plus en plus de voyageurs canadiens se rendent dans des aéroports américains pour profiter des prix moins élevés des billets d'avion. L'aéroport de Syracuse, dans l'État de New York, note une augmentation du nombre de voyageurs canadiens, au cours des derniers mois. Plusieurs consommateurs estiment que faire quelques heures de route pour se rendre à l'aéroport en vaut la peine, et ce, même avec le prix plus élevé de l'essence. C'est le cas de Geneviève Préseault et de son conjoint, qui partent pour Las Vegas cet été. Pour réserver leurs billets d'avion, ils ont d'abord regardé les prix au départ de l'aéroport d'Ottawa, qu'ils ont jugé élevés. Une amie leur a suggéré de vérifier les prix des vols en partance de Syracuse. « Elle, elle part cet hiver, puis elle sauve environ 1000 $ sur ses billets d'avion. Donc, j'ai fait pareil, j'ai regardé à partir d'Internet les prix à partir de Syracuse puis, en tout et partout, je sauve environ, pour deux billets d'avion, je sauve 315 $ à peu près », explique Mme Préseault. Le couple a donc choisi de se rendre à trois heures de route d'Ottawa, à Syracuse, pour partir en vacances. Ils ne sont pas les seuls. De plus en plus de Canadiens traversent la frontière pour profiter des prix moins élevés. La force du dollar canadien et le nombre plus grand de transporteurs à rabais représentent des avantages pour les consommateurs. Il y a quatre ans, l'agence de développement économique de Syracuse a lancé une campagne de publicité ciblant les États voisins. Au cours des derniers mois, l'agence a étendu sa campagne, notamment à Kingston, à Cornwall et à Ottawa. Des publicités ont été achetées dans des stations radiophoniques de l'Est ontarien. L'aéroport estime que 2 % de ses 2 millions de voyageurs en 2007 provenaient du Canada. L'aéroport de Syracuse n'est pas le seul aux États-Unis à voir une progression des voyageurs canadiens. Les aéroports de Plattsburgh, de Burlington et de Buffalo attirent de plus en plus de voyageurs de Toronto et de Montréal. Les aéroports canadiens disent qu'ils ne peuvent rien faire pour arrêter cette progression. RDI.ca
  20. De plus en plus de voyageurs canadiens passent par des aéroports américains, dont celui de Syracuse, pour profiter du prix moins élevé des billets d'avion. Pour en lire plus...
  21. Salut tout le monde, Il y a eue un problème avec le logiciel Gallery (galleries de photos) sur le site web qui a fait en sorte qu'un traffic incroyable à été généré sur le site et ce qui a en fait en sorte que mon compte à été suspendu. Il y a eu un peu d'incompétence de la part de l'hébérgeur puisqu'ils ne répondaient plus aux billets de service que je plaçait... ça a pris un appel téléphonique remplis de haine pour corriger les choses:stirthepot: Voilà pourquoi ça a pris autant de temps. Désolé pour les inconvénients! Malek
  22. BILLETERIE DE DERNIÈRE MINUTE Bon pour Broadway, bon pour nous David Patry Le Journal de Montréal 09-10-2007 | 10h49 Montréal inaugure demain sa billetterie de dernière minute, La Vitrine culturelle, 34 années après que le premier guichet du genre eut ouvert ses portes, à New York. Le TKTS est devenu une institution incontournable dans la Grosse Pomme, et il est difficile de croire que la métropole québécoise ait pu s'en passer. Depuis son ouverture à New York, en juin 1973, la billetterie de dernière minute TKTS jouit d'un incroyable succès. Des centaines de personnes se présentent chaque jour en plein coeur de Times Square à la recherche d'un billet de spectacle à prix d'aubaine. Les éternelles files d'attente devant la remorque du TKTS font maintenant partie du paysage new-yorkais. Et les chiffres ont de quoi faire rêver. En 34 ans, 50 millions de billets ont trouvé preneurs au TKTS, ce qui représente des recettes de plus de 1,3 milliard de dollars. Indispensable «C'est un véritable symbole des théâtres de Broadway et de New York. Sans le TKTS, il y aurait beaucoup moins de monde dans les salles, il y aurait également beaucoup moins de gens qui auraient été familiarisés aux spectacles», indique Victoria Bailey, directrice principale du Theatre Development Found, organisme sans but lucratif à l'origine du TKTS. Selon elle, la billetterie a permis à des millions de personnes de goûter à un spectacle pour la première fois et d'avoir la piqûre. «Ils n'y seraient pas allés autrement parce qu'ils n'en avaient pas les moyens», affirme-t-elle. Pour les uns, c'est une façon d'économiser. Pour les autres, c'est un lieu de rassemblement. «Les gens font la ligne tout en parlant entre eux des spectacles qu'ils ont vus, qu'ils ont aimés. C'est une véritable communauté qui crée un enthousiasme autour des spectacles», dit-elle. Situation gagnant-gagnant Visiblement passionnée, l'administratrice nous fait l'éloge au bout du fil de son établissement et de son impact sur la vie culturelle new-yorkaise. Même les producteurs tirent avantage à écouler leurs billets de 25 à 50% moins cher. «Les théâtres vendent autant de billets qu'ils le peuvent au plein prix. Ce ne sont que les billets restants qu'ils écoulent à la dernière minute en les offrant à rabais», explique Victoria Bailey. «C'est bon pour la santé des spectacles, et c'est très bon pour les spectateurs. Donc tout le monde y gagne.» Avec tous ces avantages pour le milieu culturel, difficile de croire que Montréal ne se soit pas encore doté d'une billetterie de dernière minute. De nombreuses villes dans le monde ont la leur, dont Londres, Boston et Toronto. Montréal lancera la sienne demain. «Je suis surprise que vous n'en ayez pas encore. Je pensais que ça allait arriver plus tôt!» lance Victoria Bailey, qui se dit fort heureuse que l'expérience new-yorkaise fasse un nouveau bébé. Championne mondiale incontestée, la billetterie de Times Square se refait justement une beauté en ce moment. Un projet impliquant plusieurs partenaires est en cours afin de doter le TKTS d'un tout nouvel édifice permanent. Un investissement de 14 M$ qui démontre toute l'importance que l'établissement prend dans le décor culturel new-yorkais
  23. La cenne noire n'est plus nécessaire 12 juillet 2007 - 06h20 La Presse Vincent Brousseau-Pouliot Agrandir Un grand ménage s'impose, estime la Banque du Canada. Il est grand temps de faire le ménage dans le portefeuille des Canadiens, croit la Banque du Canada. Selon la banque centrale du pays, les «cennes noires» ne sont plus nécessaires car leur pouvoir d'achat est devenu trop faible. Par contre, les Canadiens ont besoin de nouveaux billets de 200$ et de 500$, selon une étude de la Banque du Canada obtenue par La Presse Affaires grâce à la Loi sur l'accès à l'information. «Les gens se sont enrichis et il leur faut des billets de banque plus pratiques, dit François Dupuis, économiste en chef du Mouvement Desjardins. Avec le pouvoir d'achat des Canadiens qui augmente, c'est normal d'ajouter des billets vers le haut et d'enlever des pièces vers le bas.» La Banque du Canada a retiré son billet de 1000$ en 2000 afin de lutter contre le blanchiment d'argent et le crime organisé. Le billet de 100$ est ainsi devenu le billet de banque dont la valeur est la plus élevée. document.write(''); document.write(''); La banque centrale du pays n'a imprimé des billets de 500$ qu'à une seule reprise au cours de son histoire, en 1935. La pièce d'un cent, elle, a été introduite en 1908. Mais selon le Mouvement Desjardins, elle a fait son temps. En 2006, elle aurait coûté au moins 150 millions de dollars aux Canadiens. «Elle ne vaut plus rien, dit François Dupuis. Les commerçants en demandent parce que la loi les oblige à en avoir. Quand ils les remettent aux consommateurs, ceux-ci les gardent chez eux. Ça crée une fausse demande car la Monnaie royale canadienne doit en produire d'autres.» Sans la pièce d'un cent, les prix seraient arrondis aux cinq cents. Dans son étude, la Banque du Canada conclut que l'abolition de la pièce d'un cent ne stimulerait pas l'inflation. «L'expérience dans d'autres pays a prouvé que l'abolition de la pièce d'un cent n'amène pas d'inflation, dit François Dupuis, du Mouvement Desjardins. Ça peut même être à l'avantage des consommateurs en raison de la concurrence dans le commerce au détail. Mais plusieurs personnes ont peur d'abolir la pièce d'un cent en raison de leurs liens sentimentaux avec cette pièce.» En plus des changements proposés par la Banque du Canada, François Dupuis estime que le gouvernement fédéral devrait abolir la pièce de cinq cents et remplacer le billet de cinq dollars par une pièce de la même valeur. «Les billets de 5$ circulent trop et ils reviennent rapidement à la Banque du Canada, dit-il. La durée de vie des pièces de monnaie est plus longue.» Malgré les conclusions de la Banque du Canada, le gouvernement Harper n'a pas l'intention d'ajouter de nouveaux billets de banque ni d'abolir la pièce d'un cent. «Nous n'avons pas de plan à cet effet», dit Chisholm Pothier, attaché de presse du ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty. Les conservateurs et les libéraux veulent tous deux conserver la pièce d'un cent tandis que le Nouveau Parti démocratique étudie toujours la question. Seul le Bloc québécois est en faveur de l'abolition de la pièce d'un cent. En 1999, le Bloc en avait même fait la demande à Paul Martin, alors ministre des Finances. L'Australie, la Nouvelle-Zélande, la France, la Norvège et le Royaume-Uni ont déjà éliminé leur pièce d'un cent. La Nouvelle-Zélande a même éliminé sa pièce de cinq cents en juillet dernier. Depuis 1989, le Congrès américain a étudié la possibilité d'abolir sa pièce d'un cent à quatre reprises, mais la pièce à l'effigie du président Abraham Lincoln est toujours en circulation aux États-Unis. Les conclusions de la Banque du Canada, qui datent de 2005, ont été tirées du modèle économique D-Metro, qui détermine les pièces de monnaie et les billets de banque nécessaires dans un pays en se basant sur le revenu net de sa population. La Banque n'a pas voulu commenter les conclusions de son étude, qui a aussi été obtenue par le Globe and Mail.
  24. La Presse Le mardi 19 juin 2007 Montréal pourra taxer les stationnements commerciaux et les billets de spectacles. Le gouvernement Charest a finalement décidé d’accorder de nouveaux pouvoirs de taxation à la Ville afin de régler ses ennuis financiers. Demain, la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, déposera à l’Assemblée nationale un projet de loi confiant des «pouvoirs habilitants» à Montréal. La Ville pourra ainsi diversifier ses sources de revenus. «On a fait un travail pour permettre à Montréal d’avoir des nouveaux outils, des nouveaux leviers pour lui permettre d’améliorer sa situation financière», a expliqué Mme Normandeau, hier. La loi québécoise s’inspirera largement de celle qui a accordé de tels pouvoirs habilitants à Toronto, a appris La Presse de sources fiables. Au fil de ses demandes insistantes, l’administration Tremblay-Zampino avait d’ailleurs souligné qu’une loi semblable au Toronto Act la satisferait. La loi adoptée par Queen’s Park procède par exclusions. En théorie, Toronto a le pouvoir de tout taxer hormis ce qui est clairement établi comme n’étant pas de sa compétence. «Tout est conçu de façon à ce que les élus municipaux aient à porter la responsabilité politique de leur décision», a-t-on expliqué à La Presse. Toronto peut imposer des péages et percevoir des revenus sur le stationnement, les billets de spectacle, la vente de cigarettes et d’alcool, par exemple. Mais Queen’s Park a imposé à la métropole une limite de revenus en taxation de 50 millions de dollars par année. L’assiette des taxes sur le revenu, le capital, les successions et le carburant, ne seront pas accessibles à Montréal. La taxe de vente restera aussi à Québec, sauf pour des exceptions explicitement prévues à la loi qui sera déposée demain. Et contrairement à Toronto, Montréal ne pourrait taxer l’alcool et les cigarettes. Le ministère des Finances s’est montré réticent à cet égard, craignant une augmentation de la contrebande. Parmi les exceptions qui seront prévues se trouveront les stationnements et une «taxe d’amusement», une redevance sur les billets de manifestations artistiques ou sportives qui avait été abolie au début des années 90. Pour le stationnement, lors de la négociation du contrat de ville il y a quelques années, Montréal avait déjà prévu que la taxe sur les stationnements commerciaux pourrait rapporter 25 millions de dollars. Des simulations plus récentes laissaient prévoir presque le double. Le péage évoqué par l’administration Tremblay-Zampino est déjà dans la compétence de la Ville, qui pourrait le mettre en place sans l’aval de Québec. En février, dans une sortie fracassante, le maire Gérald Tremblay a souligné qu’il manquera 276 millions de dollars à Montréal pour boucler son budget en 2008, et jusqu’à 700 millions en 2013 si rien n’est fait. En 2007, Montréal a éliminé un déficit appréhendé de 400 millions en réduisant ses dépenses et en gelant les budgets des arrondissements et les salaires des employés. Plus tôt en janvier, durant un tête-à-tête avec le premier ministre Jean Charest, le maire Tremblay avait parlé d’un déficit structurel de 700 millions par année et d’un manque à gagner de trois à quatre milliards d’ici 2013. Le gouvernement Charest s’était montré ouvert dès le début de l’année à confier des « pouvoirs habilitants » à Montréal. Mais à la veille des élections, les libéraux avaient mis sur la glace ce dossier susceptible de soulever la grogne des contribuables, en particulier des banlieusards. Dans son projet de loi qui fera l’objet de consultations l’automne prochain, Nathalie Normandeau modifiera également les mécanismes de gouvernance de l’agglomération de Montréal. Elle a refusé d’en préciser la nature. Rien ne garantit toutefois que ses propositions feront l’unanimité. Les maires «ne s’entendent pas du tout sur les moyens à privilégier pour régler les irritants», a-t-elle reconnu.
×
×
  • Créer...