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  1. “Le sentiment se répand que l’ère des icônes est bel et bien terminée, que les architectes doivent délaisser les skylines pour redescendre au niveau des rues.” http://www.courrierinternational.com/article/architecture-biennale-de-venise-une-conscience-sociale-retrouvee Ce 28 mai s’ouvre la Biennale internationale d’architecture de Venise. Cette quinzième édition marque un tournant, selon le Financial Times : finie l’ère des starchitectes et de leurs débauches, l’époque exige une architecture socialement engagée. “C’est la première Biennale post-Piketty”, annonce le Financial Times. Ce 28 mai, la Biennale de Venise, vitrine mondiale de l’architecture contemporaine, repart pour une quinzième édition. Huit ans après l’explosion de la crise financière et la multiplication des mouvements Occupy, alors que l’Europe est confrontée à l’afflux de réfugiés, le malaise est perceptible, relève le quotidien britannique : “Le sentiment se répand que l’ère des icônes est bel et bien terminée, que les architectes doivent délaisser les skylines pour redescendre au niveau des rues.” Fini donc, le règne des starchitectes ? Depuis la fin des années 1990, Daniel Libeskind, Frank Gehry, Lebbeus Woods ou encore Zaha Hadid s’étaient fait une spécialité de construire des édifices de prestige au cœur des villes. “Ces projets étaient avant tout une affaire de statut et se souciaient peu du paysage urbain dans lequel ils s’inscrivaient, du fonctionnement de la ville et du quotidien des habitants”, rappelle le Financial Times. L’heure de la contrition En 2016, l’heure serait à “la contrition”, à un retour de balancier vers une “conscience sociale”, assure le quotidien britannique. Toute la question est de savoir comment la culture de l’architecture peut négocier cette transition de la célébrité mondiale aux bidonvilles de l’hémisphère Sud.” Mais le quotidien reconnaît que, avec Alejandro Aravena aux manettes, la Biennale a trouvé un commissaire qui parvient “à équilibrer les deux”. Récipiendaire du prix Pritzker 2016, l’équivalent du prix Nobel en architecture, le Chilien s’est fait un nom en construisant des écoles et des lotissements pour les plus modestes. Il est aussi l’inventeur d’un système de “demi-maisons” : des demeures que les habitants peuvent moduler et agrandir selon leurs besoins et leurs moyens. L’Irak pleure trop tard sa star Zaha Hadid Pour cette Biennale 2016, Alejandro a posé pour thème “Des nouvelles du front”. Tragédie des migrants en Méditerranée, guerre en Ukraine, réfugiés climatiques, pollution, les champs d’exploration sont multiples. Voici quelques-uns des événements qui, selon le magazine d’architecture et de design Deezen, sont à ne pas manquer : - Dans les pavillons allemand et finlandais, des expositions consacrées à l’accueil des réfugiés. - Dans le pavillon danois, un village capable de produire sa nourriture et son énergie, dessiné par le studio Effekt. - Dans les pavillons espagnol et belge, des expositions sur l’impact de la crise économique sur les villes. - Dans les pavillons suisse et israélien, des gros plans sur de nouveaux procédés de construction (robots, impression 3D, fibre carbone, dessins inspirés du vivant…). - Un hommage à Zaha Hadid, disparue le 31 mars dernier. - Un Lion d’or sera remis à Paulo Mendes da Rocha, figure du modernisme brésilien, pour l’ensemble de son œuvre. sent via Tapatalk
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