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  1. Ville de Gatineau (développements au centre-ville) Lors de ma visite dans la ville de Gatineau j’ai pensée vous montré les développements qui ce fait la bas Alors voici quelques photos que j'ai pris et que Je trouvé qui vend très bien la ville de Gatineau Car l'urbaniste de la ville est présent dans cette ville (Gatineau Gatineau) Mais pas encore mi en valeur. Mais bon c'est à coté d'Ottawa et par ricochais qui lui donne le titre de ville banlieue.
  2. brubru

    Pointe-du-Moulin

    Bonjour, Aujourd'hui j'ai fait un peu de photoshop sur le cas du silo no 5, voici le résultat Avant Après Crédit photo: http://lesbeautesdemontreal.wordpress.com Étapes de réalisation du projet: Démolition de tout les silos, sauf celui le plus récent Enlever tout les anciennes composantes qui servaient au silo Nouvelle utilisation : Observatoire Vue du toit: Crédit photo: http://www.havremontreal.qc.ca Je ne sais pas si ça serait mieux qu'il soit au béton ou peinturé d'un couleur... Je vais faire des plans du toit et du terrain. Le bas pourrait devenir la gare des trams !
  3. Le plus bas taux au Québec depuis 1976 et plus bas que le taux canadien Taux de chomage le plus bas depuis 1976 | TVA Nouvelles
  4. Pelletier de Fontenay ADM élément signalétique, Dorval, QC Perché sur le côté de la route d’entrée de l’Aéroport International Pierre-Elliot Trudeau, l’élément signalétique ADM marque la transition entre ville et voyage, entre ciel et terre. De loin, le volume, à la fois opaque et lumineux, flotte légèrement au-dessus du paysage aéroportuaire. En arrivant à partir de la ville, le logo rétroéclairé de l’Aéroport International Pierre-Elliot Trudeau, qui contraste fortement avec la peau foncée de l’objet, annonce notre arrivée. En s’approchant de la structure, une seconde face se révèle lentement; on comprend maintenant bien la tridimensionnalité de l’objet. Une peau métallique, à la fois précise et légère, recouvre un monolithe lumineux formé d’une enveloppe de polycarbonate. À sa base, une forte lumière blanche filtre à travers une centaine d’ailettes d’aluminium. Une torsion verticale dans le déploiement des ailettes est conçue pour créer un effet cinétique qui prend vie avec le mouvement de la voiture. À l’approche, la zone lumineuse se déplace du bas vers le haut de la structure. La lumière s’élève, anticipant ainsi notre départ vers le ciel et faisant écho au sentiment de décollage. Dans la direction opposée, en quittant l’aéroport pour aller vers la ville, l’expérience est inversée et la lumière descend du haut vers le bas, évoquant un mouvement d’atterrissage. À ce moment précis, on voit clairement le nom « MONTRÉAL » apparaitre et disparaitre, tel un hologramme, annonçant subtilement aux passagers qu’ils quittent l’aéroport et les accueillant dans la ville. - Date : 2013 - 2015 Client : Aéroport de Montréal Architecte : Pelletier de Fontenay Ingénieur en structure : NCK Ingénieur mécanique : SNC Lavalin Budget : 550 000$ CAN Phase : competition - lauréat - en cours Images : Pelletier de Fontenay https://m.facebook.com/Pelletier-de-Fontenay-158005064393555/ sent via Tapatalk
  5. http://www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201502/23/01-4846775-de-plus-en-plus-de-travailleurs-de-60-ans-et-plus.php Publié le 24 février 2015 à 05h00 | Mis à jour le 24 février 2015 à 05h00 De plus en plus de travailleurs de 60 ans et plus YVES THERRIEN Le Soleil (Québec) Les gens de 60 ans et plus n'arrêtent pas de travailler. Plus encore, certains qui ont dépassé 65 ans - 70 ans, même - continuent d'être présents sur le marché du travail québécois, révèle une étude des économistes de Desjardins sur ce phénomène. Plus encore, ce n'est ni un feu de paille ni une tendance qui diminuera, soutient l'étude, car la participation des personnes de 60 ans et plus continuera de croître malgré le fait que les emplois à temps partiel prendront une place non négligeable. Parmi les raisons qui peuvent expliquer la présence d'autant de travailleurs près de l'âge de la retraite ou qui l'ont dépassé, il y a une part liée à la pyramide des âges et à l'espérance de vie, mais ce sont surtout les conditions économiques qui auraient le plus d'influence. Les besoins en main-d'oeuvre qualifiée et formée ainsi que les tâches demandant moins d'effort physique, comme les mesures gouvernementales pour prolonger la vie au travail, feront en sorte que la participation des gens de 60 ans et plus continuera de progresser. On note une hausse importante du nombre d'emplois détenus par les 60 ans et plus au Québec. Ces derniers sont passés de 125 800 en 1976 à 368 600 en 2014. Selon l'économiste Joëlle Noreau, de Desjardins, cela est dû à plusieurs facteurs, dont les besoins en main-d'oeuvre des entreprises, notamment dans la région de Québec, où le taux de chômage est plutôt bas, les entreprises faisant donc des pieds et des mains pour trouver du personnel. En même temps, les entreprises sont de moins en moins portées à offrir des bonis ou des avantages à ceux et celles qui prennent leur retraite plus tôt qu'à 65 ans. «Il y a aussi des emplois où il est plus difficile de trouver de la relève, comme dans les pâtes et papiers, explique-t-elle, de sorte que les gens quittent plus tard leur emploi.» Par contre, elle note une présence accrue des plus de 65 ans dans le monde de l'emploi. Parmi les possibilités qui font demeurer ces personnes sur le marché du travail, Mme Noreau mentionne le krach boursier de 2008, qui a fait fondre les économies de plusieurs. Les faibles taux d'intérêt et le manque d'économies pour la suite de la retraite font aussi partie des possibilités forçant certains à conserver un emploi ou à en trouver un autre. «Pour d'autres, ce sera le besoin d'avoir une vie sociale où ils sont entourés parce que la retraite les a déçus, continue-t-elle. Certains retraités deviennent consultants à temps partiel, d'autres prendront un emploi dans un tout autre domaine, comme ceux qui le font dans des magasins à grande surface.» Pas qu'au Québec Cependant, ce n'est pas un phénomène typiquement québécois, note Mme Noreau. Le taux d'emploi chez les 65 ans et plus au Québec est plus bas que la moyenne nationale et plus bas que ceux de l'Ontario et de l'Alberta. En analysant les données des États-Unis disponibles depuis 1996, elle constate que le taux dépasse celui du Québec et du Canada, mais l'Alberta coiffe les États-Unis à ce titre depuis le début des années 2000. Le même phénomène est constaté dans les pays scandinaves et au Japon. «Pour les entreprises, ce formidable bassin de main-d'oeuvre expérimentée leur donnera des assises pour affronter la concurrence. Pour les travailleurs, le marché du travail semble plus accueillant pour ceux qui souhaitent prolonger leur vie active dans un emploi rémunéré», conclut Mme Noreau.
  6. Ils ont choisi, récemment, de s'établir à Montréal. Pour toutes sortes de raisons. Des artistes de tous les horizons. Danseurs, humoristes, musiciens, comédiens, artistes visuels ou du cirque, venus d'ailleurs, pour qui Montréal est non seulement une ville d'adoption, mais un stimulant laboratoire de création. http://www.cyberpresse.ca/arts/201110/14/01-4457318-montreal-ville-dadoption.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_aujourdhui-sur-cyberpresse_267_accueil_ECRAN1POS2 + 7 liens (articles,en bas de page),des témoignages intéressants.
  7. peekay

    Ipad?

    Y-t-il des amateurs? Moi je ne vois vraiment pas le besoin. Du côté d'agronomie je trouve que c'est un véritable désastre. Comment-peut-on clavarder en regardant vers le bas? Ca va faire vraiment mal au cou! Et, si on l'appui sur nos genoux plié, il faut garder les jambes collé et cette position n'est pas trop confortable non plus!
  8. Qui se souvient de ce projet de deux tours en bas de Dorchester vers 1984 je crois ?
  9. jsuis sur que ca dois varier dependant d'innombrables facteurs, mais quel serait selon vous un bon taux d'innocupation, pour de l'espace commercial, pour une ville comme montreal? si on pense seulement a favoriser la construction c'est sur que le plus bas, le mieux, mais dans le fond est-ce qu'un taux un peu plus elever ne favorise pas la densification du c-v en permetant a davantage de commerces de s'y etablir a un prix raisonnable ? si le taux est trop bas, les loyer montent, et les compagnies vont chercher a s'etablier en peripherie, non ?
  10. Quelle est votre ville préférée (excluant Montréal, bien sûr!) et pourquoi? Ma préférée en dehors de Montréal est New York City, mais en deuxième place, très proche de NYC, se retrouve Dallas. Mon top 5 serait (sans compter Montréal ou d'autres villes Québécoises) 1. NYC, USA 2. Dallas, USA 3. Ottawa, ON 4. Lisbonne, PT 5. Denver, USA Dallas: Belle, propre, moderne et en pleine croissance. Je trouve la culture là bas incroyablement charmante. Et bien sûr, on est sur un forum d'architecture, alors... l'architecture est splendide ;) Photos 2007 et 2008:
  11. La qualité est pas superbe, j'ai juste un petit point n shoot avec pas vraiment de zoom, mais ca donne un appercu de que à quoi Westmount ressemble vu d'en bas de la côte
  12. Publié le 12 juin 2009 à 05h00 | Mis à jour le 12 juin 2009 à 05h00 Locaux pour bureaux à Québec: le plus bas taux d'inoccupation au pays Pierre Couture Le Soleil (Québec) Le marché de la location de locaux pour bureaux ne dérougit pas à Québec. Le taux d'inoccupation se situe maintenant à 3,6 %, soit le plus bas au pays. «On constate que la crise économique touche moins la capitale», souligne Steeve Gilbert du Groupe Altus, qui recense l'évolution du marché des immeubles de bureaux à Québec. À l'échelle canadienne, Québec (3,6 %) devance ainsi Edmonton (6,7 %), Winnipeg (6,8 %), Ottawa (6,9 %) et Vancouver (8,6 %). À Montréal, le taux d'inoccupation s'élève à 9,2 %. Cette rareté des loyers se fait d'ailleurs sentir sur le prix payé par les locataires. Depuis deux ans, le prix moyen de location au pied carré dans la catégorie A affiche une progression de 13 %, passant de 22 $ à 24,89 $. La rareté d'immeubles de bureaux fait en sorte que certains secteurs sont beaucoup «plus chauds» que d'autres. Par exemple, sur la colline parlementaire, le taux d'inoccupation se chiffre à 0,9 %, alors que dans le secteur du boulevard Laurier, on note un taux de locaux inoccupés de 1,4 %. Dans le quartier Saint-Roch et dans le Vieux-Québec, le portrait est différent. Le taux d'inoccupation totalise 6,4 %. Idem en périphérie nord de la ville (quartier Lebourgneuf), où l'on observe un taux de 7,1 %. Hier, le marché locatif de Québec comptait ainsi 692 000 pieds carrés disponibles sur un inventaire de 16,6 millions de pieds carrés de locaux pour bureaux. Cette tension dans le marché de Québec pourrait toutefois prendre fin avec l'arrivée de nouvelles constructions d'immeubles locatifs de bureaux. Des promoteurs, qui ont flairé la bonne affaire, devraient bientôt être en mesure de livrer près d'un million de nouveaux pieds carrés au cours de la prochaine année. La construction d'une tour à bureaux par Cominar au coût de 110 millions $ sur le boulevard Laurier comptera une superficie 316 000 pieds carrés. Dans Saint-Roch, GM Développement met la touche finale à la construction d'un immeuble de bureaux de 99 000 pieds carrés qui abritera notamment les locaux de la société Beenox. «Malgré cet ajout, les espaces construits répondent à une demande et on ne peut parler de surconstruction à Québec», fait remarquer Steeve Gilbert. Car même avec cette nouvelle impulsion d'un million de pieds carrés, le marché locatif demeurera serré, avec un taux d'inoccupation autour de 6 %, prédit le Groupe Altus. Généralement, un marché atteint son taux d'équilibre entre l'offre et la demande lorsque le taux d'inoccupation des immeubles s'établit à 7 %.
  13. Bonjour à tous ! Le 7 juin dernier je suis allé faire un tour de voiture dans le Comté d'Argenteuil et de Mirabel.. ; en voici quelques photos 1)Le rang Saint-Étienne à Saint-Benoît de Mirabel. 2)La Montée de la Côte-rouge , direction sud. 3) 4)Ma voiture 5)Toujours le rang Saint-Étienne. 6) 7)Le Mont bleu à la limite de Saint-Benoît et Saint-Placide. 8)La campagne aux abords de la Route 344 à Saint-Placide. 9)Petite panoramique ; DÉROULEZ ===> 10) 11)À Saint-André d'Argenteuil 12) 13) 14) 15) 16)La Rivière du nord , toujours à Saint-André d'Argenteuil. 17)La Rivière des Outaouais à Carillon. 18)Une grosse maison en construction avec vue imprenable. 19)Riviere des Outaouais à gauche ,route 344 à droite et Barrage de Carillon au fond. 20)La route 344. 21)Le chemin de la Rivière Rouge à Grenville sur la rouge. 22) 23)Une petite clairière en bas du chemin. 24) 25)Toujours le même chemin. 26)Et maintenant voici la sauvage et magnifique Rivière Rouge prés du chemin Kilmar. 27) 28) 29) 30) 31) 32)Et pour finir voici l'Église Catholique de Hawkesbury , Ontario. ---------------------------------------------------------------------- Merci d'avoir regardé ! J'attend vos commentaires ! Franks.
  14. Effondrement des mises en chantiers et permis de bâtir Publié le 19 mai 2009 à 08h48 | Mis à jour à 08h50 Agence France-Presse, Washington Les mises en chantiers de logements et les permis de construire délivrés aux États-Unis se sont encore effondrés en avril pour atteindre de nouveaux plus bas depuis un demi-siècle, selon les chiffres officiels corrigés des variations saisonnières publiés mardi à Washington. Les mises en chantiers de logements et les permis de construire délivrés aux États-Unis se sont encore effondrés en avril pour atteindre de nouveaux plus bas depuis un demi-siècle, selon les chiffres officiels corrigés des variations saisonnières publiés mardi à Washington. Le nombre de permis de construire délivrés est tombé à 494.000 en rythme annuel, soit 3,3% de moins que le mois précédent, indique le département du Commerce. C'est leur plus bas niveau depuis le début de la publication de cette statistique en 1960. Le record précédent remontait au mois de mars (511 000 permis délivrés, selon le chiffre révisé). Cette nouvelle baisse surprend les analystes, qui attendaient un rebond de l'indicateur à 530 000 permis délivrés. Sur un an, la baisse du nombre de permis délivrés atteignait 50,2% fin avril. Le nombre de permis de construire donne une idée de la tendance à venir du marché de la construction, en décrépitude depuis deux ans. Alors que la stabilisation des marchés de l'immobilier et de la construction passe pour être une des clefs de la reprise aux États-Unis, ce nouvel effondrement des permis de construire laisse présager que le retour à la croissance risque d'être «cahotant», ainsi que l'a déclaré lundi le secrétaire au Trésor Timothy Geithner. Si la chute des permis a ralenti en avril (l'indicateur avait plongé de 7,1% en mars), le nombre de permis de construire de maisons individuelles, chiffre clef pour les marché a progressé de 3,6% en avril, après une baisse de 5,5% en mars. Signe de l'anémie actuelle du marché de la construction, le nombre de mises en chantier a chuté encore plus fortement que les permis, de 12,8% par rapport à mars, après un recul de 8,5% en février. En rythme annuel, cela représente 458 000 départ de chantier, soit un nouveau plancher depuis le début de la publication de cette statistique en 1959. Le record précédent ne datait que de janvier (488 000 mises en chantier). Sur un an la baisse des départs de construction atteignait 54,2% fin avril.
  15. Pour ceux qui aiment la musique House, que du House (et pas de la commerciale), je vous recommende le club Karma sur St-Laurent coin Mont-Royal. La crowd est belle et super, et la musique généralement excellente (j'y suis allé plusieurs fois maintenant). On se verra peut-être là bas <object type="application/x-shockwave-flash" width="370" height="260" data="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1250.flv&link=http://www.montreal.tv/portail/view_video.php?viewkey=c596492e6f1a5a792ed5&linkfromdisplay=true&autostart=true&usefullscreen=false"> <param name="movie" value="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1250.flv&autostart=true" /> <param name="allowScriptAccess" value="sameDomain" /> <param name="allowfullscreen" value="always" /> <embed src="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1250.flv&link=http://www.montreal.tv/portail/view_video.php?viewkey=c596492e6f1a5a792ed5&linkfromdisplay=true&autostart=true" loop="false" width="640" height="520" allowScriptAccess="sameDomain" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="always" pluginspage="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer" /> </object> <object type="application/x-shockwave-flash" width="370" height="260" data="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1400.flv&link=http://www.montreal.tv/portail/view_video.php?viewkey=6075a9494772b58f9528&linkfromdisplay=true&autostart=true&usefullscreen=false"> <param name="movie" value="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1400.flv&autostart=false" /> <param name="allowScriptAccess" value="sameDomain" /> <param name="allowfullscreen" value="always" /> <embed src="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1400.flv&link=http://www.montreal.tv/portail/view_video.php?viewkey=6075a9494772b58f9528&linkfromdisplay=true&autostart=false" loop="false" width="640" height="520" allowScriptAccess="sameDomain" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="always" pluginspage="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer" /> </object>
  16. Pour ceux qui veulent s'acheter une maison ou qui doivenr renouveller leur hypothèque, les taux sont vraiments incroyablement bas! Mon meilleur chum à eue une offre de 3.79% ferme pour 5 ans:eek: :eek: !!!!! Du jamais vu. Profitez-en!
  17. L’Institut de recherche et d’informations socio-économiques, l’IRIS, formé par un groupe d’universitaires québécois résolument campés à gauche, vient de publier une étude passionnante qui démontre que la délocalisation, c’est la plupart du temps un épouvantail que sortent les patrons pour tirer vers le bas les conditions de travail... En effet, il semble, selon l’auteur de l’étude, le chercheur Philippe Hurteau, qu’on menace de délocaliser beaucoup plus qu’on ne délocalise vraiment. Ainsi, on a calculé qu’environ 1,2 million d’emplois étaient susceptibles d’être délocalisés au Canada ces dernières années. Au Québec, on parle de 280 000 emplois menacés du même sort. Et dans les faits, qu’en est-il? Eh bien, selon plusieurs études indépendantes citées par l’IRIS, seule une infime proportion de ces emplois a véritablement été transférée à l’étranger, c’est-à-dire à peine plus de 30 000 au Canada et entre 5000 et 7000 au Québec. 280 000 travailleurs ont ainsi craint, à un moment ou un autre, d'être victimes de délocalisation, mais seuls 2 % de ceux-ci ont vu leurs craintes s’avérer. Un phénomène similaire a d’ailleurs été observé partout sur la planète, notamment aux États-Unis, où l’on a observé 218 000 délocalisations au début des années 2000 sur les quelques 1,4 millions d’emplois « délocalisables ». Ce très faible pourcentage de délocalisations effectives fait dire à Philippe Hurteau qu’« avant d’être un déplacement important de main-d’oeuvre, les délocalisations s’avéreraient avant tout un moyen pour faire accepter des diminutions de salaires et de conditions de travail par les différents salariés des pays industrialisés ». Un épouvantail, une chimère, en quelque sorte, et qui est devenue la norme lorsqu’il est question de négociations entre employeurs et employés. Une chimère qui a grandement contribué à précariser les emplois des milliers de Québécois, comme en fait foi l’augmentation, ces 10 dernières années, de 11,5 % du taux d’emplois temporaires. Ou encore, de l’augmentation de 25 % par rapport aux années 1990 de la part de l’emploi à temps partiel dans l’emploi total. Quand le patron se réserve le beau rôle M. Hurteau illustre l’effet pervers des menaces de délocalisation sur le rapport de force traditionnel entre un patron et ses employés en se servant de l’exemple troublant des employés de l’usine Bombardier de Mirabel. Lisez attentivement, c’est très instructif... Habituellement, un syndicat a pour but de protéger les emplois et les conditions de travail de ses membres, tandis que l’entreprise, elle, cherche d’abord et avant tout à maximiser sa production tout en minimisant les coûts de ladite production. Un scénario qui met en scène deux positions conflictuelles qui finissent par se rencontrer quelque part au milieu. La direction de Bombardier, toutefois, a réussi à jouer à fond la carte de la mondialisation et de la délocalisation en misant sur sa « liberté » de produire où elle le désire. Ce faisant, elle a mis de facto en compétition les employés de sa filiale québécoise avec ceux d’une filiale américaine, à Kansas City, se réservant, elle, un rôle d’arbitre qui gagne sur tous les fronts. Et c’est ce qui s’est produit puisque, rapidement, le syndicat des employés de Mirabel est passé en mode séduction avec l’employeur, voyant désormais comme adversaires non plus les patrons, mais bien les syndiqués de Kansas City... Un jeu où pour gagner, il faut, comme le souligne l’étude de l’IRIS, « devenir l’option à meilleur marché, donc faire des concessions sur les salaires, les conditions de travail et la sécurité d’emploi ». La classe moyenne menacée L’exemple de Bombardier est aussi très intéressant en ce qu’il illustre un autre aspect des menaces de délocalisation, un aspect qui va à l’encontre de l’idée générale selon laquelle ne sont délocalisables que les emplois bas de gamme... Pour la plupart des gens, la délocalisation, c’est essentiellement une affaire de téléphonistes du service à la clientèle d’une quelconque entreprise beauceronne qui vont entendre vos griefs depuis des bureaux en Inde. Il y a quelques années seulement, c’était effectivement le cas. Maintenant, par contre, le portrait est tout autre et les emplois les plus menacés de délocalisation sont ceux de la classe moyenne, dans la mire des grandes multinationales en raison de leurs salaires et avantages sociaux coûteux. Comme le soutient Philippe Hurteau, en effet, il y a peu d’avantages à déplacer à l’extérieur des emplois bas de gamme, puisque les économies qu’on peut y faire ne sont guère alléchantes. Alors, que peut-on faire pour éviter que les menaces de délocalisation ne fassent exactement ce que les véritables délocalisations font, c’est-à-dire que peut-on faire pour éviter le nivellement par le bas des conditions de travail de millions de travailleurs canadiens? Car si on peut, comme société, pénaliser les entreprises qui délocalisent ne serait-ce qu’en exigeant le remboursement des aides publiques ou en les excluant des appels d’offres publics, il en va tout autrement quand vient le temps de lutter contre quelque chose d’aussi intangible qu’une menace... Qu’en dites-vous?
  18. L’immobilier va mieux. Vraiment? Richard Dufour, LaPresseAffaires Le printemps s’annonce chaud pour les agents immobiliers en Amérique du Nord. Du moins, les nouvelles pointent en ce sens. Aujourd’hui, on apprend que le prix des maisons a augmenté en janvier par rapport à décembre. C’est la première fois depuis un an qu’une hausse mensuelle est enregistrée aux États-Unis. Lundi, on apprenait que les ventes de logements existants aux États-Unis avaient rebondi en février. Ajoutons à cela la décision de la Fed mercredi dernier de débloquer jusqu’à 300 milliards pour acheter des obligations à long terme, ce qui entraîne une baisse des taux d’intérêt à long terme, et tous les éléments sont présents pour un printemps prometteur. Le bas prix des maisons dans plusieurs marchés favorise certainement une chasse aux aubaines. La prudence est toutefois de mise en raison, entre autres, des pertes d’emplois aux États-Unis. Mais aussi parce que de nouveaux nuages se pointent pour les trois prochaines années. Le reportage ci-dessus présenté par l’émission 60 Minutes une semaine avant Noël nous rappelle qu’il faut demeurer sur nos gardes. Dans ce reportage, on nous dit qu’une deuxième vague de propriétaires en détresse risque de faire surface. Des hypothèques avec un taux initial très bas ont été accordées dans les dernières années. Après quelques années, le taux de ces hypothèques augmente, ce qui hausse les mensualités. Il semble que beaucoup d’hypothèques de ce type vont changer de taux en 2009, 2010 et 2011. Cette situation pourrait provoquer une autre secousse dans le marché, selon le reportage de CBS.
  19. Les ventes des manufacturiers canadiens ont baissé de 5,4% en janvier dernier par rapport à décembre, soit le niveau le plus bas atteint en 10 ans. Sans surprise, l'industrie automobile a été la plus touchée. Pour en lire plus...
  20. L'OPEP refuse de réduire à nouveau sa production, une décision qui va contribuer à maintenir les prix bas et qui est perçue comme un geste pour soutenir une prochaine reprise économique. Pour en lire plus...
  21. L'action de l'ancien numéro mondial de l'automobile atteint son plus bas niveau depuis 75 ans à la Bourse de New York. Malgré l'aide gouvernementale, les investisseurs craignent la faillite de GM. Pour en lire plus...
  22. Les faiblesses du coeur 23 février 2009 par Joseph Facal Il est louable de vouloir aider les gens frappés par la crise économique. Mais le cœur ne suffit pas : encore faut-il les aider de la bonne manière. Le PQ propose de geler les tarifs de tous les services publics pour ne pas «accabler la classe moyenne et les plus démunis». Voyons cela de plus près. Les Québécois ont payé l’an dernier 22,2 milliards en tarifs de toutes sortes : Hydro-Québec, garderies, frais de scolarité, assurance-médicaments, droits d’immatriculation, permis de chasse et pêche, et bien d’autres. Il n’est pas déraisonnable en temps de crise de vouloir surseoir à telle ou telle hausse de tarif. Le moment ne se prête pas non plus à l’introduction de nouveaux tarifs. Mais fallait-il geler TOUS les tarifs actuels ? Pourquoi ne pas avoir étudié chaque cas à la pièce ? A-t-on fait des études pour mesurer l’impact de ce gel mur-à-mur sur les finances déjà très fragiles du gouvernement, ou sur sa capacité à fournir les services avec moins d’argent ? Et quelle est la durée anticipée de cette crise, et donc du gel ? L’arithmétique est pourtant implacable : comme le coût pour fournir le service ne peut être gelé, un gel des tarifs condamne le gouvernement à s’endetter davantage, à se financer en haussant les impôts, ou à couper dans la qualité du service. Pendant cette crise, la très grande majorité des Québécois conserveront leurs emplois, leurs revenus, leurs maisons. Ce sera mon cas. Pourquoi faut-il geler MES tarifs ? Pourquoi ne pas concentrer l’aide sur ceux qui seront touchés au lieu de gaspiller de précieuses ressources qui pourraient servir à la relance ? La démonstration a été faite mille fois : on aide mieux les pauvres par des mesures fiscales ciblées sur eux que par des gels qui profitent surtout à ceux qui ont les moyens de surconsommer, qui sont évidemment les riches. Et plus le gel des tarifs est généralisé et long, plus il nous condamne à des hausses salées plus tard. Les Québécois consomment déjà huit fois plus d’eau que les Danois. Le gel des frais de scolarité n’a aucun impact sur l’accessibilité et aggrave le retard de nos universités, qui est dramatique dans une économie du savoir. Un tarif de garderie uniforme profite aux riches qui pourraient contribuer davantage en fonction de leurs revenus. Le progressisme n’est pas toujours là où on le pense. Il faut vivre dans le réel. Nous n’irons nulle part si nous ne commençons pas à tordre le cou à quelques tabous hérités d’une autre époque. Un gel tous azimuts prive aussi l’État de précieuses ressources à un moment crucial. Réduire, par exemple, le nombre d’élèves par classe pour lutter contre le décrochage coûterait des dizaines de millions. La crise aurait justement dû être une occasion pédagogique pour rappeler à nos concitoyens quelques vérités de base à cet égard. De toute façon, règle générale, nos tarifs sont déjà plus bas et ont moins augmenté qu’à peu près partout ailleurs. En plus, comme un service public n’est JAMAIS gratuit en ce sens qu’il en coûte toujours quelque chose pour le produire, quand son tarif est trop bas ou gelé trop longtemps, on le paie en réalité via nos impôts …ou on le fait payer par quelqu’un d’autre. C’est pour cela que là où les tarifs sont plus élevés, les impôts sont généralement plus bas et vice versa. Voilà des constats qui font largement consensus chez les gens qui ont étudié ces questions à fond, qu’ils soient de gauche ou de droite. Vous noterez que j’ai dit consensus, pas unanimité. Qu’une crise requiert davantage de sensibilité politique qu’en temps normal, soit. Mais les principes de base de la saine gestion ne cessent pas pour autant d’exister. Le cœur et la tête peuvent très bien cohabiter.
  23. Les indices Dow Jones et SP 500 chutent à leur niveau le plus bas depuis 12 ans, et Toronto suit la tendance causée par un manque de confiance chronique des investisseurs. Pour en lire plus...
  24. Publié le 19 février 2009 à 05h10 | Mis à jour à 05h10 La crise frappe, les PPP vacillent André Noël La Presse Résultat de la crise financière: les projets de partenariat public-privé (PPP) vacillent un peu partout dans le monde, les banques hésitant à consentir des prêts aux entreprises impliquées, sauf à des taux d'intérêt élevés, indique un rapport récent de la firme PriceWaterhouseCoopers. De grandes sociétés étrangères qui participent aux deux consortiums présélectionnés pour construire le Centre hospitalier de l'Université de Montréal en PPP connaissent d'ailleurs des difficultés d'accès au crédit, ce qui pourrait retarder le lancement des appels de propositions, a constaté La Presse. «Les marchés du crédit sont presque à sec», explique Richard Abadie, responsable des infrastructures chez PriceWaterhouseCoopers, une firme bien connue pour son expertise en PPP, dans un rapport intitulé Financement des infrastructures - survivre au resserrement du crédit. «Les prévisions à court terme demeurent sombres. Peu de projets (en PPP) seront conclus. Plusieurs d'entre eux ont déjà été mis sur la glace, ajoute le rapport, publié en décembre. Le crédit bancaire est simplement insuffisant, et inefficace, comme source de financement à long terme (...) Il est naïf de s'attendre à ce que les marchés reviennent aux bas taux de financement obtenus pendant le premier semestre de 2007.» Dans le mode conventionnel, les gouvernements empruntent l'argent pour construire des immeubles ou des infrastructures. Ce modèle domine toujours dans la plupart des pays. Le modèle des PPP a émergé il y a quelques années: une compagnie ou un consortium contracte les emprunts, finance la construction du bâtiment, puis le loue au gouvernement. Les partisans des PPP, comme la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget, soutiennent que le gouvernement transfère les risques financiers à l'entreprise privé en agissant de la sorte. S'il y a un dépassement de coûts dans la construction, c'est l'entreprise qui écope et pas le gouvernement, affirment-ils. Mais avec la crise, les banques hésitent à prêter aux entreprises privées. En revanche, elles n'hésitent pas à prêter aux gouvernements. Les gouvernements obtiennent des taux d'intérêt beaucoup plus bas que les entreprises. Dans ce contexte, la construction revient beaucoup plus chère en PPP qu'en mode conventionnel. Des consortiums se sont engagés dans les PPP en faisant des emprunts à court terme, et en croyant pouvoir se refinancer à des taux d'intérêt relativement bas lorsqu'ils commenceraient à toucher les loyers. Mais aujourd'hui, ils éprouvent beaucoup de difficultés à renouveler leurs emprunts sans augmenter les paiements d'intérêt. «Ils pourraient faire face à des paiements de dette plus élevés que prévus, ou même être incapables de se refinancer», prévient le rapport de PriceWaterhouseCoopers. Le mois dernier, La Presse a révélé que la société australienne Babcock and Brown, membre du consortium Accès Santé CHUM, a vu sa situation se détériorer à un tel point que ses actions ont été suspendues en Bourse. Cette entreprise est aussi membre d'un consortium pour la construction en PPP de la salle de concert de l'Orchestre symphonique de Montréal. Ce n'est pas tout. La société espagnole Acciona, qui s'occupe elle aussi de l'ingénierie financière dans le même consortium pour le CHUM, a un taux d'endettement plutôt inquiétant. Cette firme a également emporté l'appel de propositions pour le prolongement de l'autoroute 30 en mode PPP. «Ce groupe est aujourd'hui aux abois, note le journal financier français Les Échos dans son numéro d'hier. Sous la pression de ses banques, qui s'inquiètent de son endettement, Acciona va sans doute être contraint de céder sa participation (dans un groupe énergétique).» Début février, Acciona s'est elle-même plainte que «le marché (est) complexe, avec un accès très limité au crédit». La société anglaise Innisfree, qui s'occupe de l'ingénierie financière dans le deuxième consortium présélectionné pour le CHUM, vient d'appeler le gouvernement britannique à l'aide pour sauver les PPP au Royaume-Uni, considéré comme le pays-modèle en cette matière par la ministre Jérôme-Forget. Dimanche dernier, Tim Pearson, directeur d'Innisfree et porte-parole du Forum sur les PPP en Grande-Bretagne, a indiqué que les sociétés privées avaient besoin de l'aide de l'État pour assurer le financement qui aurait dû être fourni par des prêts commerciaux. Selon lui, l'État britannique devrait consentir une aide de 4 milliards de livres pour sauver les projets en PPP. Le nombre de contrats en PPP signés en Grande-Bretagne l'année dernière est le plus bas depuis 11 ans. Un contrat pour une route de 11 milles a été signé en janvier 2009, mais la moitié du financement est assurée par une banque du secteur public. John Tizard, directeur du Centre pour les partenariats en services publics de l'Université de Birmingham, affirme que les banques n'ont plus d'argent pour les hôpitaux britanniques en PPP. Il suggère de revenir au mode de construction conventionnel qui, selon lui, se révèle moins coûteux et plus rapide à réaliser. Ici même, au Canada, le vérificateur général de l'Ontario vient de souligner que le premier hôpital construit en PPP dans la province a coûté 50 millions de plus que si le gouvernement l'avait réalisé en mode conventionnel, sans partenaire privé.
  25. La société Tembec a annoncé lundi un nouvel arrêt de la production à son usine de pâte de feuillus à haut rendement de Matane, dans le Bas St-Laurent. Pour en lire plus...
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