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  1. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/405732/grand-montr GRAND MONTRÉAL Une Trame verte et bleue s’inscrira dans le territoire 17 % des milieux naturels seront protégés 19 avril 2014 |Jacinthe Leblanc | Actualités sur l'environnement Ce texte fait partie d'un cahier spécial. Le Devoir L’idée d’une ceinture verte dans la grande région de Montréal ne date pas d’hier. À plusieurs reprises, des citoyens, des élus, des groupes ont demandé la protection de territoires définis. Par la mise sur pied de cinq projets d’envergure en collaboration avec les municipalités et des groupes environnementaux, la Communauté métropolitaine de Montréal donne un coup d’envoi à la réalisation d’une Trame verte et bleue à la grandeur de son territoire. À la suite de consultations publiques tenues en 2011, la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) a adopté le Plan métropolitain d’aménagement et de développement (PMAD), en vigueur depuis 2012. Il y a, dans ce plan, la Trame verte et bleue (TVB), qui s’inspire grandement du concept de la ceinture verte, signale d’ailleurs Geneviève Bédard, conseillère en recherche pour le service environnement de la CMM. Dans l’essentiel, la Trame a un objectif de conservation et de protection de la biodiversité dans la région métropolitaine, explique Mme Bédard, à des fins récréotouristiques. La TVB se limite au territoire couvert par les 82 municipalités composant le Grand Montréal. À la demande de la population et des élus, le PMAD s’est collé aux objectifs de Nagoya, soit de protéger 17 % des milieux naturels sur son territoire d’ici 2017. Selon les données de 2010, déjà 9,6 % du territoire de la CMM sont inscrits au registre des aires protégées du gouvernement du Québec. Les aires protégées, les bois et corridors forestiers, les milieux humides, les rives et littoraux, et les paysages et le patrimoine bâti d’intérêt pour la métropole constituent les milieux naturels à protéger. Protéger le milieu terrestre Lorsqu’il est question de protéger les milieux aquatiques comme l’accès aux plans d’eau et aux rives, les gens embarquent rapidement et facilement dans les projets, constate Geneviève Bédard. Par contre, ceux-ci tendent à être plutôt réticents lorsqu’on parle du milieu terrestre comme la protection des bois et des milieux humides. Mais selon madame Bédard, la tendance semble changer tranquillement au sein de la société. C’est pourquoi cinq projets orientés vers la trame verte sont en cours. On parle ici du parc de la rivière des Mille-Îles, d’un sentier cyclable et pédestre reliant Oka et à Mont-Saint-Hilaire en passant par les différents parcs nationaux présents, d’un parc-plage du Grand Montréal et de deux corridors forestiers, celui du mont Saint-Bruno et celui de Châteauguay-Léry. De l’avis de Geneviève Bédard, « il était nécessaire d’avoir des projets concrets sur le territoire, et pas seulement de grands objectifs de protection et de conservation ». Ces projets s’inscrivent dans ce sens et font partie du plan d’action du PMAD. Le rôle de la CMM, précise Geneviève Bédard, est de coordonner et d’assurer la répartition du financement des différents projets de la Trame verte et bleue. À ce sujet, en janvier 2013, un investissement de 150 millions a été annoncé afin d’aider la réalisation des cinq projets ciblés. Cet investissement est réparti entre le gouvernement provincial, la CMM et les villes composant la CMM à la hauteur de 50 millions chacun. C’est un peu le pari que tient la CMM. En favorisant l’accès à des lieux de détente et de récréotourisme, les citoyens se réapproprieront l’espace, sortiront de chez eux et bougeront plus, pense Mme Bédard. Ils en deviendront par le fait même les meilleurs gardiens. Avec des citoyens en quête de plein air et sans devoir faire plusieurs heures de transport, le Plan métropolitain et la Trame verte et bleue semblent être arrivés au bon moment. Pour la CMM, il est donc important de pouvoir redonner un peu de nature aux citoyens. Et pour convaincre le plus de gens possible d’embarquer dans la TVB, le mieux, c’est d’en parler. Au-delà du récréotourisme Le territoire de la CMM est zoné agricole à 58 % et protégé en vertu de la Loi sur la protection du territoire agricole. À ce moment-ci, les MRC doivent faire leur plan de développement, et elles doivent tenir compte des objectifs de la Trame verte et bleue, mentionne Geneviève Bédard. « Intégrer les producteurs agricoles dans le développement et la mise sur pied de la TVB devient ainsi un incontournable. Et de plus en plus, souligne-t-elle, cela se fait dans le respect du travail de chacune des parties. » Pour le projet de la piste cyclable, un aspect pratique et utilitaire s’en dégage. En plus de relier le parc d’Oka au parc du Mont-Saint-Hilaire, le projet permettra de compléter certains tronçons manquants. Il servira aussi de prétexte pour améliorer le réseau cyclable à plusieurs endroits. Il sera plus facile et sécuritaire pour les cyclistes de se déplacer. Une intéressante collaboration De plus en plus, remarque-t-elle, il y a une collaboration qui s’installe entre les municipalités et les groupes environnementaux. Au cours des années, ces derniers ont développé une expertise et une connaissance de leur milieu, et plusieurs d’entre eux se sont professionnalisés. Geneviève Bédard souligne que ces collaborations deviennent efficaces avec les années. En effet, il semble reconnu que ceux à même de parler de certains territoires sont ceux qui les habitent. Par ailleurs, Geneviève Bédard observe qu’« avec la sensibilisation aux enjeux environnementaux et de conservation au sein des élus municipaux, il est plus facile de protéger les différents milieux naturels et d’en rendre une bonne part accessible au public ».
  2. http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201602/14/01-4950641-un-incitatif-pour-lachat-dautobus-scolaires-electriques.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-le-soleil_article_ECRAN1POS4 Publié le 14 février 2016 à 20h15 | Mis à jour le 15 février 2016 à 09h30 Un incitatif pour l'achat d'autobus scolaires électrique De Saint-Georges, en Beauce, au Lac-Saint-Jean, en passant par le nord de Montréal, des autobus électriques jaunes aux pare-chocs bleus commencent à rouler un peu partout. Autobus Lion en a même un en essai en Californie. Ma Presse Patricia Cloutier Le Soleil (Québec) Apparus sur les routes du Québec au début janvier, les autobus scolaires électriques de la compagnie Lion sont sur le point de prendre leur place sur le marché. Le ministère des Transports annoncera bientôt comment les commissions scolaires pourront privilégier les transporteurs qui utilisent des véhicules électriques. Située à Saint-Jérôme, Autobus Lion est, pour le moment, la seule entreprise en Amérique du Nord à avoir conçu un autobus scolaire 100 % électrique. «On est vraiment dans la phase de construction et de livraison, et ça va très bien. On en livre un ou deux par semaine, un peu partout au Québec», se réjouit le président Marc Bédard. De Saint-Georges, en Beauce, au Lac-Saint-Jean, en passant par le nord de Montréal, des autobus jaunes aux pare-chocs bleus commencent à rouler un peu partout. La compagnie en a même un en essai en Californie. M. Bédard a attendu la politique d'électrification des transports du gouvernement du Québec, dévoilée cet automne, avant de commencer ses livraisons dans la province. Cette politique prévoit une enveloppe de 30 millions $ d'ici 2020 pour appuyer l'achat d'autobus scolaires électriques. Le gouvernement souhaite aussi réduire la compensation qu'il accorde pour l'utilisation du carburant diesel sur les parcours scolaires. Selon M. Bédard, une autre annonce gouvernementale, qui sera faite prochainement, permettra aux commissions scolaires de savoir comment elles pourront prendre le virage. «Cette annonce va permettre de faire un pas de plus», affirme M. Bédard, sans vouloir s'avancer davantage sur ce qu'elle contiendra. «Nous ferons une annonce en temps et lieu», s'est contenté de dire Mélissa Turgeon, l'attachée de presse du ministre des Transports Jacques Daoust. Précurseur dans son domaine, Autobus Lion a eu besoin de moins d'un an pour concevoir et construire un autobus scolaire électrique, qui a été mis à l'essai en 2014. En février 2015, le gouvernement du Québec lui a accordé une subvention de 2 millions $ pour la construction et l'essai de six autres prototypes. Maintenant qu'elle a le vent dans les voiles, la compagnie souhaite vendre des autobus scolaires électriques un peu partout en Amérique du Nord. Essais concluants à Saint-Georges Autobus Breton, fournisseur du transport scolaire à Saint-Georges, se dit pour l'instant très satisfait des deux autobus qu'il a commandés, en mai dernier. Il était alors la première compagnie à le faire. «J'adore ça, c'est très silencieux! On s'aperçoit que les enfants sont plus bruyants qu'on pensait», lance en riant le président Pierre Breton. Ayant reçu ses autobus vers le 8 janvier, M. Breton n'a pas connu de problème majeur après un mois d'utilisation en période hivernale. Pas de panne, pas de difficultés à monter les côtes. «Je les ai essayés beaucoup, et ils vont très bien. Par contre, ils parlent de 120 kilomètres d'autonomie, mais avec le chauffage, je pense pas qu'on va réussir à faire ça en hiver», lance-t-il. Se limitant à des circuits de 75 kilomètres par jour, ses autobus scolaires sont rechargés tous les soirs au garage. «On va regarder nos factures d'électricité et on va voir d'ici la fin de l'année scolaire combien on économise par rapport au diesel», explique-t-il. M. Breton admet avoir eu quelques problèmes mineurs avec le tableau de bord et l'indication de la charge. Des techniciens d'Autobus Lion ont dû se déplacer deux fois pour assurer le service après-vente. M. Breton n'a pas l'intention d'acheter d'autres autobus électriques d'ici la fin de l'année, mais il est ouvert à l'idée si la rentabilité est au rendez-vous et si le gouvernement annonce bel et bien des incitatifs en ce sens. «Ce qui est important, c'est que nos contrats avec les commissions scolaires soient à plus long terme. On va voir si on investit là-dedans, tout dépendant comment le gouvernement s'aligne pour la durée de nos contrats», ajoute M. Breton. Nommé eLion, l'autobus électrique fonctionne avec un moteur fabriqué au Québec, limité à 149 kW, soit l'équivalent de 200 chevaux. Il faut compter 4,5 heures avec un point de charge de 240 volts pour recharger complètement les batteries. La coquille en fibre de verre des véhicules est fabriquée à Sainte-Clothilde, en Beauce. Les autobus coûtent environ 150 000 $ et permettraient de faire des économies de 15 000 $ en carburant par année.
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