Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'avait'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201602/03/01-4946661-le-geant-americain-lowes-acquiert-rona-pour-32-milliards.php (Mooresville, Caroline du Nord) Près de quatre ans après l'échec d'une première tentative pour acquérir le quincailler Rona, le géant américain de la rénovation Lowe's est finalement parvenu à ses fins. Les deux entreprises ont annoncé mercredi la conclusion d'une entente définitive qui fera passer le fleuron québécois de la rénovation sous contrôle étranger en échange d'une somme de 3,2 milliards de dollars en espèces. Cette transaction a été approuvée à l'unanimité par les conseils d'administration des deux sociétés. Le détaillant américain offre 24$ par action ordinaire de Rona, ce qui représente une prime de 104 pour cent par rapport au cours de clôture du titre de l'entreprise québécoise, mardi, à la Bourse de Toronto.  «Nous croyons que le moment est venu de franchir cette nouvelle étape», a commenté le président du conseil de Rona, Robert Chevrier, par voie de communiqué. Lowe's - qui compte 1840 magasins en Amérique du Nord - s'est engagé à établir le siège social de ses activités canadiennes à Boucherville, en plus de maintenir les bannières exploitées par l'entreprise québécoise. Le numéro deux de la rénovation aux États-Unis dit également avoir l'intention de conserver «la vaste majorité» des employés actuels de Rona en plus de maintenir en postes des «hauts dirigeants clés». Le réseau de Rona compte près de 500 établissements corporatifs et magasins affiliés indépendants. Le quincailler québécois compte plus de 17 000 employés dans ses magasins corporatifs et plus de 5000 autres répartis dans ses établissements indépendants. Ce regroupement représentera la plus importante chaîne de rénovation résidentielle au détail du pays, avec des revenus estimés à 5,6 milliards $ pour l'exercice 2015. «La transaction devrait accélérer la mise en oeuvre de la stratégie de croissance de Lowe's en intensifiant de manière importante notre présence sur le marché canadien grâce à l'ajout des activités attrayantes de Rona», a estimé le président et chef de la direction de Lowe's, Robert Niblock. Celui-ci a ajouté que Lowe's, présente en Ontario et ailleurs au Canada, pourra percer le marché québécois - le deuxième en importance au pays - principalement occupé par Rona. En octobre dernier, le détaillant américain s'apprêtait à rencontrer des fournisseurs québécois, ce qui avait alimenté les rumeurs voulant que la chaîne spécialisée soit en train de préparer son entrée au Québec. Lowe's avait présenté une offre amicale de 1,76 milliard de dollars pour mettre la main sur Rona en 2012, mais cette approche avait suscité une levée de boucliers, notamment de la part du gouvernement du Québec. La Caisse approuve La Caisse de dépôt et placement du Québec, le plus important actionnaire de Rona, avec une participation de 17%, a approuvé la transaction mercredi matin. Par voie de communiqué, l'institution annonce qu'elle*déposera ses actions dans le cadre de l'offre faite par Lowe's. «Dans l'ensemble, la Caisse estime que la transaction mènera au maintien ou à la croissance de l'activité économique générée par les bannières de Rona au Québec.» La Caisse appuie sa décision sur «la recommandation unanime du conseil d'administration de Rona en faveur de cette offre, la prime de 105*% par rapport à la valeur moyenne de l'action à la Bourse de*Toronto*dans les 30 derniers jours, les responsabilités de la Caisse envers ses déposants et les engagements pris par Lowe's quant à sa présence au Québec et au*Canada».
  2. Depuis hier matin, une «petite» grue en monte une grande sur Peel (côté est de la chaussée) au coin de la Gauchetière. Le seul édifice dans le secteur qui nécessite un équipement de cet ampleur serait le Château Champlain. J'ai vérifié sur le net pour savoir s'il y avait des informations à ce sujet mais rien, si ce n'est l'avis de fermeture de la ville de Montréal. En savez-vous quelque chose? http://www.destinationcentreville.com/fr/nouvelles/fermeture-partielle-de-la-rue-peel-du-21-au-25-janvier-2016
  3. Collège Marianopolis: feu vert à une version réduite du projet Martin Croteau La Presse Site du promoteur: http://www.msurlamontagne.com/
  4. Je ne crois pas qu'on avait de fil pour ce projet. Nouveau projet de Développements McGill http://www.habiter.com/lachine/fr/
  5. 13/08/2007 Un nouveau lien routier entre Montréal et Laval pourrait être construit grâce au prolongement de l'autoroute 440. Le tracé passerait par Sainte-Dorothée, traverserait la rivière des Prairies et se rendrait à l'autoroute 40 via l'Île-Bizard, Pierrefonds et Kirkland. Ce sont les travaux de prolongement des autoroutes 25 et 30 qui ont ravivé cette vieille idée. Le projet avait déjà été présenté une première fois il y a 35 ans, mais il avait été mis sur la glace après le moratoire de 1977. Les maires de l'ouest de l'île préfèreraient un boulevard urbain, mais le maire de Laval Gilles Vaillancourt croit qu'une autoroute est la seule solution pour régler les problèmes de circulation.
  6. SNC-Lavalin: deux milliards en contrats dans l'Ouest 5 mai 2007 - 15h04 La Presse Martin Vallières Vancouver Pour la première fois, SNC-Lavalin tenait son assemblée d'actionnaires dans la métropole de la côte ouest canadienne. Et pour cause. La Colombie-Britannique et l'Alberta, en plein boom économique, pèsent au moins deux milliards dans le carnet de commandes de 10,4 milliards de SNC-Lavalin, a confirmé son président, Jacques Lamarre, à La Presse Affaires. Il y a bien sûr, en Alberta, plusieurs contrats reliés aux projets pétroliers et gaziers. Mais la province voisine est aussi en plein boom d'investissement. À preuve, les nombreux chantiers dans les environs immédiats de l'hôtel du centre-ville de Vancouver, où avait lieu l'assemblée de SNC-Lavalin. Et la firme montréalaise dirige même le plus gros et le plus compliqué de ces chantiers vancouverois. Il s'agit de la ligne de métro au centre-ville et de train aéroportuaire qui doit ouvrir quelques mois avant les Jeux olympiques d'hiver, en février 2010. SNC-Lavalin est le maître d'oeuvre de ce projet de 1,9 milliard, ainsi qu'un investisseur dans la société d'exploitation de la «Canada Line», pour un mandat de 30 ans. La Caisse de dépôt et placement du Québec est aussi impliquée. Ailleurs en Colombie-Britannique, SNC-Lavalin a un autre projet particulier d'ingénierie et de gestion. Il s'agit du remplacement du «pont autoroutier flottant» sur le lac Okanagan, à Kelowna. Ce projet d'un peu plus de 200 millions est dans une région de villégiature et d'agriculture en forte croissance, située au milieu des chaînes montagneuses entre Vancouver et Calgary.
  7. Voici ou en est rendu le projet. Derrière ce que l'on voit il y a une aile et le tout constitue les trois phases. En plus, le tout est vendu à 100%. Lors de ma visite ils étaient en train de vendre à 4ème phase et il y avait beaucoup de monde au bureau des ventes dont des jeunes couples chinois. 3 ou 4 couples chinois et ils ne se connaissaient pas donc il y a buzz dans la communauté chinoise pour le quartier Angrignon ! [ATTACH=CONFIG]3574[/ATTACH]
  8. Édifice Robillard - Montréal Il y avait des échafauds de LM Sauvé d'installer cet après-midi quand je suis passé. Un bel édifice du Quartier Chinois qui mérite d'êter bien préservé. J'espère que c'est toute la façade qui sera restaurée. Source : L’edifice Robillard : premier cinema du Canada | Memoires des Montrealais
  9. Michael Applebaum coupable de fraude, abus de confiance et complot ICI, PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 8 H 42 | Mis à jour il y a 53 minutes L'ex-maire intérimaire de Montréal Michael Applebaum a été reconnu coupable jeudi de 8 chefs d'accusation sur les 14 dont il faisait l'objet, dont fraude envers le gouvernement, complot dans le but de commettre une fraude envers le gouvernement, abus de confiance et complot dans le but de commettre un abus de confiance. Il risque une peine d'emprisonnement maximale de cinq ans. Le procès de Michael Applebaum se poursuivra avec les observations sur la peine de la Couronne et de la défense, qui auront lieu le 15 février. La Couronne s'est dite satisfaite du jugement, alors que l'avocat de M. Applebaum, Me Pierre Teasdale, a refusé de faire quelque commentaire que ce soit. Il a toutefois affirmé qu'il allait analyser le jugement, « et on verra s’il y a lieux de faire quelque chose ». Michael Applebaum était accusé d’avoir empoché, pour favoriser deux projets, des pots-de-vin totalisant des dizaines de milliers de dollars de la part de promoteurs immobiliers et d’un ingénieur entre 2006 et 2011, alors qu’il était maire de l’arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. Applebaum a été déclaré coupable : de fraude envers le gouvernement (2 chefs d'accusation); de complot pour fraude envers le gouvernement (2 chefs); d'abus de confiance (2 chefs); de complot pour abus de confiance (2 chefs). Une décision détaillée La juge Louise Provost, de la Cour du Québec, a pris plus d’une heure et demie pour lire son jugement, commençant par un résumé des cinq témoignages, puis passant à la preuve et à son analyse de celle-ci. Debout pendant cette lecture, Michael Applebaum a d’ailleurs eu un malaise après plus d’une heure, obligeant la suspension de l’audience pour une quinzaine de minutes. La juge a terminé sa lecture en disant que Michael Applebaum avait fait fi du serment qu’il avait prêté lorsqu’il était devenu maire d'arrondissement, soit sa promesse de servir ses concitoyens avec honnêteté et respect. La décision de la juge Provost a notamment reposé sur son appréciation de la crédibilité du témoin principal de la Couronne, Hugo Tremblay, ex-chef de cabinet de M. Applebaum. Ce dernier a notamment collaboré avec l’Unité permanente anticorruption (UPAC) en acceptant de porter un micro caché pour tenter de soutirer des aveux à l'ex-maire. La juge a déterminé que M. Tremblay semblait sincère lors de son témoignage et que de multiples détails ajoutaient à sa crédibilité. Par ailleurs, à propos des conversations avec le maire Applebaum enregistrées par M. Tremblay, la juge a souligné que certaines réactions de Michael Applebaum « donnent à penser qu'il a quelque chose à cacher ». À la barre des témoins pendant quatre jours, Hugo Tremblay est le seul témoin qui a affirmé avoir remis directement de l’argent à M. Applebaum. Un intermédiaire L'ex-chef de cabinet a dit n’avoir été qu’un intermédiaire agissant à contrecoeur dans cette affaire. Il a soutenu que son ex-patron l’avait initié à l’importance de constituer une caisse occulte et lui avait demandé d’aller récolter de l’argent auprès de Patrice Laporte, ex-directeur général de SOGEP, et des promoteurs Robert Stein et Anthony Keeler. Tous trois ont également témoigné lors du procès. Leur propos « corroborent les dires d'Hugo Tremblay », selon la juge Provost. M. Laporte a raconté avoir versé 25 000 $ à M. Tremblay pour obtenir le contrat de gestion d’un centre sportif dans l’arrondissement. SOGEP avait remporté l’appel d’offres, mais M. Tremblay l’avait prévenu que le maire ne porterait pas le dossier au conseil municipal sans cette contribution, a-t-il témoigné. M. Stein a dit avoir été forcé de verser des pots-de-vin à M. Tremblay pour que M. Applebaum fasse progresser un projet de résidences universitaires de 17 millions de dollars qui nécessitait un changement de zonage. M. Keeler, ancien associé de Robert Stein, a aussi affirmé que M. Tremblay l'a aussi rencontré pour discuter de ce projet. Le chef de cabinet lui avait dit que « Michael devra travailler fort » pour le faire accepter, et qu'ils auraient besoin d'une compensation. Les deux promoteurs immobiliers ont dit croire que le pot-de-vin de 30 000 $ ou 35 000 $ versé à M. Tremblay irait dans les poches de M. Applebaum. Réactions à l'Hôtel de Ville de Montréal Le maire de Montréal, Denis Coderre, n'a pas semblé surpris par le jugement, qu'il a qualifié de « très fort ». Il a toutefois voulu mettre l'accent sur les nouvelles politiques qu'il a instaurées pour contrer la corruption. « C’est une triste journée pour le passé de Montréal. [...] C’est la fin d’un chapitre. On passe à d’autre chose, et je suis très heureux de voir que depuis trois ans, ici à Montréal, on fait les choses adéquatement », a-t-il lancé. Quant à la chef de l'opposition officielle, Valérie Plante, elle considère que « le jugement prononcé aujourd’hui envoie le message que nul n’est au-dessus des lois ». Mme Plante a aussi tenu à rappeler que d'anciens collègues de Michael Applebaum faisaient toujours partie de l'administration municipale. « N’oublions pas que sept membres de l’actuel comité exécutif, en plus du président du Conseil et du Leader de la majorité, ont pu bénéficier du système mis en place par l’ex-maire de Montréal et ses collaborateurs pour les élus d’Union Montréal. Ce sont en tout 21 ex-membres d’Union Montréal, auquel appartenait Michael Applebaum, qui siègent encore aujourd’hui dans l’équipe du maire de Montréal, Denis Coderre », a-t-elle transmis dans un communiqué. Applebaum a choisi de ne pas témoigner La défense n'a présenté aucun témoin au cours du procès, qui a été expédié en sept jours. L’ex-maire Applebaum a choisi de ne pas témoigner pour sa défense, comme il en avait le droit. Avant que le procès ne s’ouvre, en novembre, M. Applebaum avait tenté à deux reprises de faire arrêter les procédures contre lui, mais en vain. Il a d’abord invoqué des délais déraisonnables, puis affirmé que la Couronne n’avait pas divulgué toute la preuve nécessaire pour une défense pleine et entière. Deux autres personnes avaient été arrêtées en même temps que Michael Applebaum, en juin 2013, soit Saulie Zajdel et Jean-Yves Bisson, respectivement ancien conseiller municipal et ancien haut fonctionnaire dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. M. Zajdel a plaidé coupable en 2015 à des accusations de corruption et d'abus de confiance. Il a écopé d'une probation de 18 mois, assortie de 240 heures de travaux communautaires et de l'obligation de verser 10 000 $ à divers organismes. De son côté, M. Bisson a plaidé coupable à une accusation de corruption. Il s'est vu imposer une peine de prison de 9 mois à purger dans la collectivité de même qu'une période de probation de 18 mois. Michael Applebaum était devenu maire de Montréal en 2012, après que Gérald Tremblay eut démissionné en pleine commission Charbonneau. Il avait alors promis de faire le ménage à l'Hôtel de Ville. Sa chute est survenue à peine sept mois plus tard. Avec les informations de Geneviève Garon http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1013132/michael-applebaum-jugement-proces-fraude-corruption-abus-confiance-complot
  10. Pas mon habitude de citer le JdM, mais là... Hostie de trou du cul.... Un deneigeur delinquant dans la mire de la ville de Montreal | JDM
  11. LE NEZ COLLÉ SUR LES CHANTIERS… Édition du 5 juin 2016, FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE On a le nez collé sur les grilles de chantier depuis, quoi ? Le tournant du millénaire ? Ça fait une quinzaine d’années qu’on se plaint du barda et du bordel, qu’on se désole des cônes et du trafic, qu’on peste contre les détours et la poussière. Il y a tellement de chantiers à Montréal qu’à la seconde où l’un disparaît, on en trouve 10 autres contre lesquels se plaindre, se désoler, pester… Du coup, on ne voit que ça. Et on perd de vue une chose toute bête : chaque chantier est un projet en devenir. Fou de même ! Chaque chantier qui nous a dérangés depuis 2000 est devenu une construction, un édifice, un gratte-ciel, un équipement sportif, une bibliothèque, une infrastructure nouvelle, un aménagement urbain, une piste cyclable… On se croit encore à l’ère de l’immobilisme, alors que la cadence des chantiers nous prouve très exactement le contraire. Comme si on voyait le verre au tiers vide plutôt qu’aux deux tiers plein. On voit les pancartes « À louer », mais pas les artères qui ont réussi à s’adapter à la nouvelle réalité. Comme si Masson, Beaubien et Fleury étaient dans notre angle mort. On se désole du taux de chômage, sans voir l’attrait qu’a retrouvé la métropole auprès des jeunes, des familles et des travailleurs de la nouvelle économie. Comme si le Mile End, Griffintown et le Quartier des spectacles n’existaient pas. On remarque tous les détours, mais pas l’incroyable dynamisme qui se cache derrière : le CHUM, Bonaventure, Turcot, Champlain. Comme si on tenait pour acquis ce qui se fait… dès que ça se fait. Prenez l’exemple des gratte-ciel. Pendant 22 longues années, aucune tour ne s’est construite au centre-ville. Aucune. Zéro. Nada. On a érigé la magnifique Tour IBM Marathon en 1992, puis… plus rien jusqu’en 2014 ! Or, avez-vous entendu beaucoup de monde se féliciter de cette renaissance du centre-ville, devenu l’un des plus habités du continent ? Pas moi. Mais des critiques contre les chantiers, par contre… *** Vous me trouvez jovialiste ? Je m’en doutais. Je suis donc retourné lire les textes que j’ai signés il y a un peu plus de 15 ans, quand j’étais journaliste municipal, pour voir si, comme de fait, le Montréal d’aujourd’hui est bien mieux que le Montréal d’alors. Pas sorcier, j’ai eu l’impression de lire un journal vieux de 100 ans ! Rappelez-vous cette époque où le 11 septembre était une date comme une autre. Les Expos perdaient au Stade. L’énigmatique Pierre Bourque était maire. La démocratie municipale était une abstraction. Et les fusions municipales étaient l’unique projet d’avenir… Montréal, on l’oublie, était alors un champ de ruines. J’exagère à peine. Le centre-ville avait l’air bombardé, et pas à cause des nids-de-poule, parce qu’il y avait un nombre incroyable de terrains vagues et de stationnements sauvages. Il y avait tellement d’espaces vides, en fait, qu’on pensait construire sans problème un stade de baseball en plein quartier des affaires ! À côté, on espérait le Quartier international sans même s’imaginer qu’une aussi belle réussite était possible. L’idée d’un Quartier des spectacles n’existait pas, une poignée de fous se contentait de rêver à un « Quartier des théâtres ». Juste au nord, telle une forteresse de béton, l’horrible échangeur routier au coin des avenues du Parc et des Pins bloquait la vue et l’accès au mont Royal, qui n’était d’ailleurs toujours pas protégé. Au contraire, même… Pas de Grande Bibliothèque pour rapiécer le Quartier latin, à l’est. Pas d’agrandissement du Palais des congrès, ni de recouvrement d’autoroute. Et pas de CHUM non plus, qu’on prévoyait plutôt construire en plein quartier résidentiel, dans la Petite-Patrie. Oui, oui. Au sud du centre-ville, guère mieux… Le Vieux-Montréal était à ce point abandonné que le gouvernement avait mis sur pied un programme généreux en subventions pour attirer des hôtels. À un jet de pierre, le Vieux-Port se cherchait. Il n’y avait pas encore de Centre des sciences. Pas de condos dans les entrepôts frigorifiques. Pas de véritable vision, en fait, sinon celle de permettre aux promoteurs de faire n’importe quoi, n’importe où. Un aquarium Ripley’s ? Une maison de l’OSM sur le quai Bickerdike ? Un « technodôme » à la Disney World ? Ou, tant qu’à y être, le siège social de l’ONU ? Autant d’idées qui ont été détaillées et même présentées. Oui, oui… Vers l’ouest, la Cité du multimédia venait tout juste d’être annoncée. Pas aménagée, juste annoncée, comme un autre de ces projets auxquels on ne croit pas tant qu’on ne le voit pas. On réfléchissait à une cité du commerce électronique un peu plus loin. On envisageait d’aménager des cinémas dans l’ancien Forum vide. Et le quartier Griffintown ? Aussi inconnu que son nom. Oui, oui. *** Pour apprécier le chemin parcouru, c’est bien connu, il faut se rappeler d’où on part. D’une ville morose, donc, où le problème était justement l’absence de chantiers. Bien sûr, tout ne s’est pas métamorphosé comme par magie. On n’a pas réussi à tout faire ce qu’on aurait dû faire. Et bien des projets ont été abandonnés (la « modernisation » de la rue Notre-Dame Est), balayés (le prolongement de la ligne jaune, des deux côtés) ou se sont enrayés (le rond-point Dorval, dont on parlait déjà en 2000). N’empêche que Montréal est aujourd’hui une ville autrement plus dynamique que la métropole qu’elle était, malgré son incapacité à améliorer la mobilité. C’est une ville que je préfère nettement à sa version d’il y a 15 ans, malgré ses cônes orange. C’est un milieu de vie infiniment plus grouillant qu’au tournant du millénaire, malgré ses défauts, ses laideurs et ses errements. On peut bien rouspéter en empruntant tous ces détours continuellement, mais prenons quelques minutes lorsque nous sommes coincés dans le trafic pour rêver à ce qui s’en vient. Cet échangeur Turcot qui s’annonce plus fluide et ancré dans les quartiers qu’il traverse. Ce CHUM noir autrement plus réussi que son pendant anglophone. Cette autoroute Bonaventure qui disparaîtra au profit d’une majestueuse entrée de ville. Et ce futur pont Champlain, avec ses haubans élancés, à la fois sobre et élégant. Donc oui, quand on se regarde, quand on s’attarde à tout ce qui va tout croche aujourd’hui, on se désole. Mais quand on se compare, quand on regarde le chemin parcouru et celui qui s’en vient, on se console. À condition, bien sûr, de se décoller le nez des grilles de chantier. http://plus.lapresse.ca/screens/df6be48e-9f7e-48a7-b08b-6487909e4368%7C_0.html
  12. Ce projet avait passé inaperçu sur le forum. C'est au hasard d'une promenade virtuelle sur Google Map que je l'ai découvert. https://www.google.ca/maps/place/Centre+sportif+Pierre-Laporte/@45.603449,-73.4512065,252m/data=!3m1!1e3!4m2!3m1!1s0x4cc91d4e46474715:0x634fd76cf50c6b22 Voici des informations qui pourraient vous intéresser. http://espacesportif.boucherville.ca/projet/http://espacesportif.boucherville.ca/projet/ www.boucherville.ca//cgi-bin/index.cgi?page=residants0_3_2_0_454_208_221&langue=fra
  13. Il y en avait plusieurs autres dans La Presse+. Sur le web, il y a celui-là. http://plus.lapresse.ca/screens/6790bc58-4291-491e-9f73-8a5ca1f3dd04%7CgAnPmVt3Ehav.html
  14. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/440961/guy-laliberte-convoite-un-terrain-sur-l-ile-sainte-helene Guy Laliberté convoite l’île Sainte-Hélène Le fondateur du Cirque du Soleil veut implanter son projet funéraire Pangéa sur un terrain de 130 000 m2 26 mai 2015 |Jeanne Corriveau | Montréal Sur le terrain convoité par Guy Laliberté se trouve notamment la Grande Poudrière, un bâtiment dont la construction remonte à la première moitié du XIXe siècle. Le projet Pangéa comporterait une place publique ainsi qu’un parcours piétonnier dans le «parc nature». Guy Laliberté convoite un terrain sur l’île Sainte-Hélène afin d’y réaliser son projet Pangéa, soit créer un espace commémoratif visant à redéfinir le rapport à la mort et à la mémoire des personnes disparues, a appris Le Devoir. Le fondateur du Cirque du Soleil a dans sa mire une zone située au sud du pont Jacques-Cartier sur cette île montréalaise. Le projet Pangéa s’étendrait sur une superficie de 130 000 m2, selon nos informations. Guy Laliberté souhaite créer une place publique d’environ 10 000 m2 sur la rive ouest de l’île. Cet espace comprend à l’heure actuelle une partie du stationnement P8. Il serait relié à un parcours piétonnier qui s’étendrait sur une portion de 120 000 m2 du parc. Pangéa est un projet mené par la compagnie Lune Rouge Innovation, une entreprise détenue par Guy Laliberté, et c’est sa branche immobilière, Lune Rouge Immobilier, qui pilote la création de l’espace commémoratif sur l’île. L’île Sainte-Hélène, qui avait accueilli Expo 67, appartient à la Ville de Montréal depuis 1908. En 2007, le conseil municipal avait cité l’île comme site du patrimoine, la soumettant dès lors à des règles précises quant à sa préservation. Guy Laliberté veut concrétiser ce projet à temps pour les fêtes du 375e de Montréal. Ce lieu devrait devenir le phare, le premier jalon d’une série de sites commémoratifs que le patron du Cirque du Soleil cherche à implanter partout dans le monde. La réalisation du projet Pangéa pourrait donc impliquer l’achat d’un terrain public à vocation récréative et culturelle pouvant atteindre 130 000 m2, soit l’équivalent de 24 terrains de football américain. Les détails de la transaction financière et des conditions d’occupation de ce territoire par l’entreprise de Guy Laliberté ne sont pas connus. Selon nos informations, le projet aurait fait l’objet d’au moins une rencontre entre des représentants du promoteur et le maire Denis Coderre, mais lundi soir, le cabinet du maire n’a pas voulu commenter le dossier. Musée et restaurant La place publique du projet Pangéa offrirait un accès au fleuve et une vue sur le centre-ville de Montréal. L’aménagement d’un bâtiment emblématique, d’un restaurant, d’un musée, mais également d’un espace pour des célébrations funéraires privées est envisagé dans et aux abords de cette place. Cet espace consacré à la mémoire et à la redéfinition des rites mortuaires comprendrait un large « parc nature » situé à l’est de la place publique et englobant la Poudrière, la Tour de Lévis ainsi que l’étang de la Poudrière. Les éléments préliminaires de ce projet évoquent la création d’une promenade circulaire dans les espaces boisés comportant plusieurs lieux de mémoire, de souvenirs, de détente et de contemplation, ainsi que la mise en place d’un éventuel cimetière pour animaux de compagnie. L’ensemble du projet s’articule autour des quatre éléments de la cosmologie : le feu, l’eau, la terre et l’air. Il devrait comprendre une structure artistique emblématique en forme de tour de plusieurs mètres de haut placée sous le thème du feu. Controverse en vue La possible vente d’une partie d’un parc public par la Ville de Montréal est de nature à susciter une vive controverse. Au cours des dernières années, plusieurs projets empiétant sur les parcs municipaux ont fait les manchettes. En 2009, les critiques avaient eu raison du projet de l’arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles de construire une maison de la culture et des bureaux d’arrondissement dans le parc René-Masson. En 2010, c’était au tour de l’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension de renoncer à l’agrandissement du poste de police 31 dans le parc Jarry en raison des protestations citoyennes. Et en 2012, la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys avait dû abandonner le projet de construction d’une école dans un parc de l’île des Soeurs. En 2012, la mise en vente de l’ancien Planétarium de Montréal, qui incluait un terrain zoné parc, avait attiré les critiques de l’opposition à l’hôtel de ville. La Ville avait finalement fait don de la propriété à l’École de technologie supérieure (ETS). Baptisée Sainte-Hélène par Samuel de Champlain en 1611 en hommage à son épouse Hélène Boullé, l’île avait été concédée à Charles Le Moyne en 1657. Lorsqu’ils en prennent possession en 1818, les Britanniques y construisent des installations militaires pour se protéger des invasions américaines. Après avoir acquis l’île en 1906, la Ville de Montréal a confié à l’architecte-paysagiste Frederick G. Todd l’aménagement de routes, de sentiers et la construction de la Tour de Lévis. Patrimoine Pour créer l’île Sainte-Hélène telle qu’on la connaît aujourd’hui, trois îles ont été réunies, soit l’île Sainte-Hélène, l’île Ronde (qui accueille désormais La Ronde) et l’île aux Fraises. À l’occasion d’Expo 67, plusieurs bâtiments y sont érigés, dont le pavillon des États-Unis (l’actuelle Biosphère) et la Place des Nations. Les travaux d’excavation du métro permettent d’élargir l’île et contribuent à la création de l’île Notre-Dame, que la Ville a cédée au gouvernement du Québec en 2003 en échange d’un chèque de 240 millions de dollars. Le Règlement sur la constitution du site du patrimoine de l’île Sainte-Hélène précise que tous les travaux d’aménagement doivent assurer la conservation des valeurs caractéristiques du site, dont le paysage historique du site militaire et les aménagements conçus par Frederick G. Todd. Toute nouvelle construction doit faire l’objet d’une étude d’impact visuel « démontrant la qualité de son intégration au paysage et aux composantes bâties du site ». Plusieurs bâtiments de l’île sont ainsi protégés en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel, dont la Grande Poudrière, la Tour de Lévis et le Pavillon des baigneurs. L’île comporte en outre plusieurs oeuvres d’art public, dont L’homme de Calder. Le terrain de La Ronde, qui fait l’objet d’un bail emphytéotique, est exclu de la zone protégée.
  15. Bonjour communauté mtlurb, est-ce qu'il y a quelqu'un qui à plus de nouvelles concernant ce projet ? En passant devant ce matin, j'ai remarqué que l'édifice au complet avait été démolit, là où jadis, il y avait un Second Cup 24h. Le site mondev.ca de condos ne parle en rien d'un projet à cet endroit et je n'ai rien trouvé ici même. Merci ce matin, 10 novembre 2014 septembre 2012
  16. Bon bien j'ai pas trouve d'autre place ou mettre cela mais il y a des travaux de réfection dans ce parc et c'est tant mieux il en avait de besoin ! Le mur était tout détruit. De plus des arbustes ont été ajoute a la place du gazon qui arrivait pas a pousser.
  17. Il en avait été questions il y a plusieurs mois et je croyais que la ville avait finalement abandonnée l'idée... mais voilà qu'on en jase à l'Hôtel de ville : Merci à IluvMTL 20.20 Contrat de services professionnels CA Bureau du directeur d'arrondissement - 1131145005 Accorder un contrat de services professionnels de 285 425,44 $ à Affleck de la Riva architectes pour l'aménagement du square Cabot et autoriser une dépense maximale de 342 510,53 $ (appel d'offres public VMP-13-026- 6 soumissionnaires) District(s) : Peter-McGill
  18. http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-canadienne/201506/09/01-4876470-gilles-duceppe-redeviendra-chef-du-bloc-quebecois.php Publié le 09 juin 2015 à 08h30 | Mis à jour à 09h26 Gilles Duceppe redeviendra chef du Bloc québécois Gilles Duceppe... (PHOTO ARCHIVES LA PRESSE) Le Bloc québécois demeure optimiste, mais justifie sa pertinence Duceppe redeviendrait chef du Bloc Québécois Duceppe redeviendra chef du Bloc Québécois, selon plusieurs sources Gilles Duceppe de retour à la direction du Bloc québécois SUR LE MÊME THÈME Bloc québécois | Gilles Duceppe | Mario Beaulieu | Partis politiques | Personnalités politiques DU MÊME AUTEUR Gilles Duceppe redeviendra chef du Bloc québécois Chauveau et Jean-Talon: un doublé pour les libéraux Radicalisation: dépôt de deux projets de loi cette semaine Institut de cardiologie de Montréal: 250 millions pour tester un médicament Mauvais traitement des animaux: Québec se montrera plus sévère Denis LessardDENIS LESSARD La Presse (Québec) Battu dans sa circonscription de Laurier-Sainte-Marie en mai 2011, Gilles Duceppe remonte dans le ring. Il annoncera mercredi qu'il redevient chef du Bloc québécois, un poste que lui cède volontiers Mario Beaulieu, incapable de rallier les troupes à l'approche de la campagne électorale. Avant de faire le saut, M. Duceppe a tenu à faire réaliser un sondage. L'enquête téléphonique a observé qu'il récolterait presque trois fois plus d'appuis que M. Beaulieu lors d'éventuelles élections. Le sondeur avait mis aussi le nom de Bernard Landry, qui n'était pas loin derrière M. Duceppe, a-t-on appris. Joint lundi par La Presse, qui avait eu vent de ces tractations, M. Landry avait indiqué qu'il n'avait pas approuvé à l'avance que l'on teste son nom, et qu'il n'avait jamais été question pour lui de reprendre du service actif. «Bien sûr, j'appuierai le Bloc, mais en politique, j'ai fait ce que j'avais à faire». M. Duceppe avait plusieurs «exigences» avant de revenir, indiquera un proche. La principale était que son retour ne devait pas causer de bisbille à l'interne ni de frictions avec M. Beaulieu et ses partisans. Son choix de circonscription n'est pas arrêté. Il n'est pas exclu qu'il retourne dans Laurier-Sainte-Marie, mais son choix n'est pas fait. L'annonce de mercredi se passera à la permanence du Bloc à Montréal. Plus de détails à venir sent via Tapatalk
  19. FRANÇAIS McGill et Concordia affirment que les exigences de Québec nuisent au recrutement 9 février 2015|Giuseppe Valiante - La Presse canadienne| Actualités en société L'Université McGill Photo: Neil Howard CC L'Université McGill Des universités anglophones québécoises affirment avoir des difficultés à recruter des professeurs étrangers en raison des exigences en français qui deviennent un obstacle lorsqu’elles tentent d’attirer chez elles des individus hautement spécialisés en provenance d’autres pays. Des professeurs et recruteurs des universités McGill et Concordia affirment que le processus complexe d’immigration au Québec, qui s’appuie sur un système de points, les place dans une situation désavantageuse en comparaison avec les institutions des États-Unis et des autres provinces canadiennes. En 2013, le gouvernement péquiste avait haussé les exigences en français pour les immigrants qui faisaient une demande de résidence permanente, une décision qui a causé des maux de tête aux recruteurs, selon des dirigeants de Concordia et McGill. En entrevue, la ministre de l’Immigration Kathleen Weil a indiqué que le gouvernement libéral avait donné plus de flexibilité au processus en décembre, mais les universités le considèrent toujours comme trop compliqué. Ghyslaine McClure, vice-principale exécutive adjointe à McGill, affirme que son université a de la difficulté à embaucher des professeurs renommés pour des chaires de recherche. Selon elle, les candidats dans la quarantaine et cinquantaine n’ont pas nécessairement envie de suivre plusieurs cours de français par semaine, en plus de leurs tâches de recherche. Elle ajoute que les candidats doivent également remplir trop de documents et passer trop d’étapes avant de pouvoir s’établir au Québec. Reconnaissance spéciale « Nous aimerions obtenir une reconnaissance spéciale indiquant que les professeurs d’université sont des travailleurs hautement spécialisés et qu’ils ne devraient pas avoir à faire face à tant d’obstacles, a dit Mme McClure. Les professeurs et autres éminents spécialistes sont dans une catégorie différente. » Le gouvernement libéral a discrètement apporté des changements en décembre, allouant davantage de « points » aux immigrants détenteurs de doctorats et permettant ainsi à certains de ces candidats de laisser tomber les exigences en français et d’obtenir une résidence permanente. Cette résidence permanente est importante pour les professeurs, et dans certaines institutions comme à Concordia, elle est essentielle à l’obtention d’une permanence. Stanton Paddock, professeur de journalisme à l’Université Concordia, espère pouvoir profiter de ces nouvelles règles. M. Paddock dit avoir été « pris de panique » lorsqu’il a quitté les États-Unis, en 2013, pour découvrir la quantité de cours de français qu’il devrait suivre. Son doctorat pourrait maintenant lui permettre de passer outre les exigences en français. Les nouvelles règles lui permettent de rencontrer un agent de l’immigration qui déterminera si M. Paddock est suffisamment adaptable pour vivre au Québec. D’autres professeurs, comme Emer O’Toole, de l’École des études canado-irlandaises de Concordia, ne s’en font pas avec les exigences en français. Mme O’Toole, qui vient d’Irlande, avait déjà étudié la langue avant de s’installer au Québec. « Apprendre le français a été l’une des raisons qui m’ont réjouie de m’installer ici », a-t-elle lancé. « J’aime la langue [mais] je peux comprendre que cela puisse être pénible pour quelqu’un qui ne possède pas de bases [en français] », a-t-elle ajouté. Mme Weil prend note des recommandations visant à réformer le processus d’immigration. La ministre a ajouté que certains groupes d’employeurs estimaient que les exigences en français pour les immigrants nuisaient à leurs affaires. « Les groupes d’employeurs ont soulevé le problème au sujet des exigences de langue, a-t-elle dit. L’opinion générale [du gouvernement] est que nous devons être très prudents et qu’il est important que les gens parlent français. » sent via Tapatalk
  20. Urbania doublera la densité résidentielle Projet de condominiums avoisinant le métro Montmorency par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 25 novembre 2007 à 6:00 Soyez le premier à commenter cet article Vue aérienne de la phase 1 du projet résidentiel Urbania occupant à l'angle Du Souvenir et Le Corbusier une superficie de 265 000 pieds carrés. Aux trois immeubles de 5 étages bordant Le Corbusier s'en ajouteront six autres, soit deux de 8, 10 et de 11 étages (Photo: Martin Alarie) Fichier: Urbania Urbania doublera la densité résidentielle Projet de condominiums avoisinant le métro Montmorency Groupe Le Versant Immobilier nourrit de grandes ambitions pour le développement domiciliaire avoisinant la station terminale Montmorency. Selon une demande de changement de zonage adressée à la Ville, le promoteur immobilier entend presque doubler la densité résidentielle qui avait été initialement projetée pour Urbania, alors que les unités d'habitation passeraient de 312 à 580. Inauguré en grandes pompes à l'automne 2003, le complexe de copropriétés prévoyait à l'origine un ensemble de 9 immeubles de 4 à 5 étages. Actuellement, trois immeubles de 5 étages bordent le boulevard Le Corbusier au sud de du Souvenir, le dernier immeuble de 40 unités ayant été mis en chantier il y a 18 mois. Tours de 11 étages D'après les plans déposés au comité exécutif, on construirait deux nouvelles tours d'habitation de 8 étages, deux tours de 10 étages et deux autres de 11 étages. Au total, ce sont 31 étages additionnels qui s'élèveraient dans le ciel d'un centre-ville en devenir. Ce projet d'implantation révisé n'est pas sans rappeler le changement de vocation auquel se destinait Urbania, il y a deux ans. On parlait à l'époque de la possibilité d'ériger trois tours de 11 et 12 étages destinées aux personnes âgées. Une perspective qui avait alors heurté quelques copropriétaires du bâtiment donnant à l'intersection des boulevards Le Corbusier et du Souvenir. Ceux-ci déploraient le fait que leur immeuble se trouverait plongé dans l'ombre d'une tour et que l'horizon prendrait soudain l'allure d'un mur bétonné à une distance d'à peine cent pieds de leur propriété. «Ce n'est pas l'environnement, ni la qualité de vie que proposait le concept original lorsque j'ai acheté», avait protesté l'un d'eux au Courrier Laval. Pour une toute autre raison, le projet ne s'est jamais concrétisé. Changement de zonage Revenons-en à la demande de modification de zonage qui était à l'ordre du jour, jeudi soir, de l'assemblée de consultation publique tenue à l'hôtel de ville. Si le zonage en vigueur autorise les habitations multifamiliales d'au moins 4 étages, et ce, sans limite de hauteur, «cette augmentation de la densité vient toutefois rendre le projet dérogatoire à certaines normes, dont les rapports des espaces libres, viables et récréatifs», précise le directeur du Service de l'urbanisme dans une récente communication adressée au comité exécutif. D'où la présente démarche pour rendre le projet conforme au zonage en matière de cases de stationnement et de superficie des dépôts à déchets. La Ville a beau se montrer favorable à l'idée de réduire le nombre minimal de cases requis à 1,25 case par logement, elle s'objecte, par contre, à la réduction de la superficie des dépôts à déchets. Densification L'administration Vaillancourt est clairement en faveur de la densification de ce secteur desservi par une station de métro, un important terminus d'autobus de même que par un ensemble d'activités commerciales et publiques. «Une telle augmentation de la densité répond, de façon avantageuse, aux objectifs des nouveaux concepts de planification urbaine du Transit Oriented Development (TOD) apparentés au nouvel urbanisme et au Smart Growth aux États-Unis et en Europe», soutient-on au Service de l'urbanisme. Ces concepts visent à densifier les développements autour des pôles de transport en commun, réduisant d'autant la dépendance des résidants à l'automobile. Lors de l'assemblée consultative, jeudi, le projet de règlement concernant certaines dispositions en matière d'implantation, de stationnement, d'aménagement des espaces extérieurs et de gestion des matières récupérables est passé comme une lettre à la poste.
  21. Tel que promis lors de son entente pour maintenir les courses de Formule 1 dans la métropole, la Ville de Montréal entamera des travaux de 30 millions $ pour moderniser les installations du circuit Gilles-Villeneuve au parc Jean-Drapeau. Les travaux qui devraient être exécutés pour 2017 prévoient l'agrandissement et la rénovation de la tour de contrôle du circuit ainsi que des garages. L'hôpital du circuit sera également modernisé. En juin 2014, la Ville avait conclu une entente de 12,4 millions $ pour la présentation du Grand Prix jusqu'en 2024 et s'était engagée à rénover ses infrastructures. (Credit TVA nouvelle)
  22. http://www.quartierhochelaga.com/vandalisme-chez-des-commerces-dhochelaga-maisonneuve/ Publié par : Jean-Pierre J. Godbout 27 novembre 2013 dans Citoyenneté 17 commentaires Le Chasseur, rue Ontario Si de la neige est tombée sur Montréal ce matin, c’est plutôt une vague de nouveaux actes de vandalisme envers des commerces ciblés et bien connus qui a secoué le quartier. Les vitrines du resto-bar Le Chasseur, des bistros Bagatelle et Le Valois sur la rue Ontario ainsi que du bistro In Vivo sur la rue Sainte-Catherine ont été cassées en même temps que leur était laissé un message clairement anti-embourgeoisement au ton agressif. Réveillée à 4 h 30 ce mercredi 27 novembre par un appel de l’entreprise responsable du système d’alarme, la copropriétaire du bistro In Vivo Annie Martel s’est rendue au restaurant afin de constater l’état de la situation. « On avait une fenêtre brisée, et j’ai trouvé une brique à l’intérieur accompagnée d’un message.» (Voir l’image ci-dessous.) Le message retrouvé chez certains commerçants vandalisés. Les policiers, arrivés sur place une heure et demie après l’appel au service d’urgence 9-1-1, n’ont pu que constater les dégâts en précisant à Mme Martel qu’il y avait « [des] anarchistes dans le quartier », comme quoi ils n’étaient pas surpris d’un tel acte. Tandis que les agents du SPVM étaient encore au bistro In Vivo, ils ont reçu un appel pour la même raison, mais concernant cette fois Le Valois, sur la rue Ontario. Préoccupée par le fait que certains commerçants ne disposent pas de système d’alarme, Mme Martel s’est déplacée vers d’autres commerces susceptibles d’être visés par les vandales. Elle a pu constater les dégâts au Chasseur et au Valois. Du côté de Bagatelle Bistro, en plus de la brique lancée dans le commerce, l’intérieur de ce dernier avait été aspergé de peinture, forçant la fermeture de l’établissement pour la journée. Mathieu Ménard du resto-bar Le Chasseur a constaté à quel point les vandales ont dû forcer pour arriver à casser une vitrine de son commerce. À l’extérieur de la porte d’entrée on y trouvait une brique cassée en deux, outil présumé de la tentative d’effraction et puis à l’intérieur, le marteau utilisé pour réaliser les dégâts laissé derrière. «On essaye juste de travailler nous aussi », mentionne M. Ménard, plutôt dépassé par la vague de vandalisme dans le quartier. « Ça commence à être lourd » Malheureusement, la scène ne fait que rappeler les nombreux incidents du genre survenus au cours de la dernière année; pensons à la peinture jaune sur la devanture du saucissier William J. Walter au mois de mai, à l’unicorne de Zone Homa peint en rouge l’été dernier et, tout récemment, au graffiti de nature politique inscrit sur un mur du bistro In Vivo. « Ça commence à être lourd », souligne Mme Martel au sujet de la situation qui prend sérieusement de l’ampleur. Du côté du SPVM, on confirme la production de quatre rapports pour les incidents, mais on n’a aucun suspect dans ces affaires et on n’a procédé à aucune arrestation pour l’instant. À la suite de l’analyse de ces nouveaux rapports, le service de police sera en mesure de décider s’il y a lieu de mener une enquête plus approfondie.
  23. Et bien, il me semble que j'avais entendu qu'il voulait même rester jusqu'aux prochaines élections via Radio-Canada : Richard Bergeron quitte la direction de Projet Montréal Mise à jour le lundi 27 octobre 2014 à 8 h 26 HAE Le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, quitte la direction du parti. Il en fera l'annonce à 11 h ce matin en compagnie de celui qui deviendra le chef intérimaire. On ignore toutefois qui lui succédera. Après les élections municipales en novembre dernier, Richard Bergeron avait dit qu'il quitterait éventuellement la formation qu'il a lui-même créée. Mais il avait déclaré récemment qu'il pourrait aussi rester, puisqu'il aimait le travail que lui a confié le maire Denis Coderre. En février dernier, le nouveau maire de Montréal lui a en effet confié la direction du dossier du recouvrement de l'autoroute Ville-Marie, dans l'est du centre-ville de Montréal. Richard Bergeron est l'un des principaux idéateurs de ce projet, qui consiste à recouvrir la tranchée formée par l'autoroute Ville-Marie afin d'y aménager des espaces verts et des places publiques.
  24. http://www.lapresse.ca/international/dossiers/virus-ebola/201410/23/01-4812090-un-patient-atteint-debola-a-new-york.php Publié le 23 octobre 2014 à 20h48 | Mis à jour le 23 octobre 2014 à 23h14 Un patient atteint d'Ebola à New York Agence France-Presse Un médecin de New York récemment revenu d'Afrique de l'Ouest a contracté le virus Ebola, a annoncé jeudi soir le maire de la ville, Bill de Blasio. Ce médecin de 33 ans qui avait travaillé en Guinée pour Médecins sans Frontières avec des malades d'Ebola est le premier cas avéré d'Ebola dans la plus grande ville américaine et le quatrième aux États-Unis. «Il n'y a pas de raison pour les New-Yorkais de s'inquiéter», a déclaré M. de Blasio lors d'une conférence de presse, insistant sur le fait que la ville de 8,4 millions d'habitants s'était préparée à cette éventualité. Le médecin, Craig Spencer, avait été hospitalisé plus tôt dans la journée avec plus de 39 de fièvre et des douleurs abdominales. Des examens approfondis avaient été décidés au regard de «ses récents voyages, des symptômes et de son travail passé», avaient expliqué les autorités sanitaires new-yorkaises. Il a été immédiatement placé en quarantaine à l'hôpital Bellevue de Manhattan. L'hôpital Bellevue est l'un des établissements spécialement préparés pour gérer les éventuels cas d'Ebola à New York. Les autorités new-yorkaises, sur le pied de guerre face à la menace depuis plusieurs semaines, ont également lancé une enquête pour savoir quelles personnes le jeune médecin pourrait avoir rencontrées à New York et potentiellement mis en danger depuis son retour d'Afrique il y a dix jours. Sa petite amie a été placée en isolation, et l'appartement du médecin à Harlem scellé. Médecins sans Frontières (MSF) a confirmé qu'un personnel médical ayant travaillé pour l'organisation «dans un des pays d'Afrique de l'Ouest affectés par Ebola, l'avait informé jeudi qu'il avait de la fièvre. Dans le cadre des consignes strictes données à son personnel de retour d'une mission Ebola, cette personne surveillait régulièrement sa santé, et a fait part de ce développement immédiatement», a ajouté MSF USA. MSF a alors prévenu les services de santé de New York, là encore dans le cadre des protocoles en place. Le médecin a alors été transporté par ambulance de son domicile de Harlem à l'hôpital Bellevue, par une équipe spécialement formée et portant des tenues de protection. Les résultats de ses examens médicaux établissant que Craig Spencer a contracté le virus Ebola sont préliminaires, et devront encore être confirmés par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Le Liberia, la Guinée et la Sierra Leone sont les trois pays les plus touchés par la fièvre hémorragique virale qui a fait 4877 morts sur 9936 cas, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
  25. http://www.bbc.com/news/world-us-canada-29724907 Ottawa 3 tireurs impliqués, dont 2 au Parlement. (on avait rehaussé la sécurité à mon bureau - Gvt fédéral) Plus de détails à la radio/télévision.
×
×
  • Créer...