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  1. Et si vous aviez à élire la plus belle piste cyclable du monde ? Et si Montréal faisait partie des options ? Pour fêter son 200 millionième trajet, Vélib, l’équivalent du Bixi à Paris, invite les Parisiens à sélectionner la piste de leur rêve. Et elle qui longe le canal de Lachine à Montréal compte parmi les choix proposés, aux côtés de Copenhague, Amsterdam, Tokyo, Rio, Londres, Los Angeles, Rome, New York, Dublin, Berlin. On y vante le fait que le parcours de 14,5 km reliant le Vieux-Port et les gratte-ciel de la ville au parc René-Lévesque est isolé de la circulation automobile et ponctué d’espaces verts. Et qu’on peut y admirer ses écluses et anciennes usines du XIXe siècle. Bien sûr, notre Bixi est mis en vedette, malgré ses déboires financiers et la sombre perspective qu’il n’y survive pas au-delà de la saison 2014… http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/405511/le-canal-de-lachine-parmi-les-plus-belles-pistes-cyclables-du-monde
  2. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/transport/hydro-quebec-veut-sa-voiture-electrique/584722 Excellente nouvelle! (y)
  3. Complexe Funéraire Goyer. Photos prises pour le début des travaux 24 juillet,suivante 12 août, et 15 septembre.. Le Complex Funéraire est situé sur le boul Desjardins ou était le dépositaire GM Desjardins Automobile. Yvon L'Aîné
  4. http://spacingmontreal.ca/2011/05/01/saint-pierre-river-site-to-become-montreals-first-woonerf/ Definition of a woonerf: A woonerf (Dutch plural: woonerven) in the Netherlands and Flanders is a street where pedestrians and cyclists have legal priority over motorists. The techniques of shared spaces, traffic calming, and low speed limits are intended to improve pedestrian, bicycle, and automobile safety.
  5. Réaménagement des rues Laurier, Rachel et Roy Radio-Canada.ca Mise à jour le lundi 21 juin 2010 à 15 h 48 Le parti Projet Montréal, au pouvoir à la mairie d'arrondissement du Plateau Mont-Royal, annonce des mesures qui modifieront les secteurs des rues Laurier, Rachel et Roy, à l'est du boulevard St-Laurent. Ces mesures visent à améliorer la sécurité des citadins qui empruntent ces rues à pied ou à vélo. De plus, ces mesures auront un impact sur la circulation automobile. Le maire d'arrondissement Luc Ferrandez a annoncé que : * La rue Laurier Est deviendra sens unique vers l'Est entre le boulevard St-Laurent et la rue de Mentana (elle est à double sens sur ce tronçon actuellement). De plus, la chaussée sera rétrécie à la hauteur du métro et d'autres rues changeront de sens pour apaiser la circulation automobile dans ce secteur. * La rue Rachel sera entièrement réaménagée au carrefour des avenues du Parc-La Fontaine et Christophe-Colomb de même qu'à l'intersection avec la rue De La Roche. * Enfin, le sens de plusieurs rues sera changé dans le secteur de la rue Roy Est, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert Un quartier risqué à pied... Chaque année sur le Plateau Mont-Royal, une trentaine de piétons et de cyclistes sont victimes d'accidents de la circulation. Au kilomètre carré, il s'agit du taux le plus élevé sur l'île de Montréal. Par tranche de 100 000 habitants, le Plateau Mont-Royal occupe le second rang de ce triste palmarès sur l'île de Montréal, avec 232 blessés, chaque année. Richard Bergeron, chef de Projet Montréal, conseiller de Jeanne-Mance et responsable de l'urbanisme au comité exécutif de la Ville de Montréal, affirme que les résidents du Plateau réclamaient semblables mesures depuis plus de 20 ans. Nous redonnons à des rues qui n'avaient pas été faites pour le transit leur caractère résidentiel ou leur calme. — Le maire de l'arrondissement Plateau Mont-Royal, Luc Ferrandez L'arrondissement compte rediriger la circulation automobile vers les artères et l'éloigner des rues où se trouvent des Centres à la petite enfance et des écoles. Les travaux seront exécutés d'ici le printemps 2011. En ce qui a trait à la rue Laurier, elle sera modifiée à compter du mois d'août. La mairie d'arrondissement n'a pas indiqué combien coûteraient ces interventions.
  6. pedepy

    rues mixtes

    depuis quelques temps j'ai une idee en tete de rue 'mixte', mais je me demande si ca se fait ailleurs alors je vous demande votre avis. les derniers rendu du 2-22 donnent une idee de ce que ca pourrait etre: la rue n'est pas delimitee de l'espace pieton par une difference de 'hauteur' entre trottoir et l'asphalte, mais par une difference au niveau du pave et des obstacles (comme les poteau). je me demandais juste si une configuration semblable ne pourrait pas existe ou ces barrieres seraient amovibles: de chaque cote, l'espace pieton reserve, au centre l'espace automobile et entre les deux un espace tampon, l'ete reserve aux pietons et l'hiver reserve au stationement. comme ca on pourrait transformer des rues comme mont-royal, st-laurent ou ste-catherine en rue pietonnes (ou semi pietonnes) en saison estivale et redonner l'espace au stationement en hiver ou la rue pietonne n'est plus si importante mais le stationement l'est doublement. edit: voici un dessin qui aide a illustrer mon idee: l'espace en vert est celui qui pourrait etre utilise selon les besoin. les fleches blanches montre les 'bornes' qui pourraint etre deplacer. on pourrait utiliser d'autre elements comme des bacs a fleurs, etc .. un peu comme ici: en ete, il pourrait aider a aleger la circulation des pietons et/ou (surtout sur des rues comme mont-royal) permettre aux commercant d'installer des terraces qui ont plus d'allure, avoir de l'animation de rue, ou des commerces ambulants. puis l'hiver, on redonne la portion de rue a la circulation automobile, pour du stationement par example.
  7. 30 ans plus tard Dodge Chrysler ferme ses portes à Longueuil Mise à jour : 22/07/2009 20h02 Une page d'histoire se tourne cette semaine à Longueuil. Le concessionnaire Dodge Chrysler, qui faisait partie du paysage depuis plus de 30 ans, est forcé de fermer ses portes. Tous les véhicules ont déjà été liquidés. La fermeture serait inévitable en raison des difficultés à obtenir du financement des banques. Les propriétaires affirment également qu'ils sont incapables de répondre aux exigences des constructeurs en raison des nombreux bouleversements dans l'industrie automobile. Nouvelles LCN - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - L'immeuble (terrain?) est à vendre. C'est un grand terrain à la porte du Vieux-Longueuil et à coté du centre d'achat Place Longueuil. Un redeveloppement de ce site serait très intéressant. Du residentiel ou un mixte commercial et résidentiel de densité moyenne serait bien.
  8. Les vendeurs et les constructeurs automobiles canadiens suggèrent à Ottawa de mettre en place un incitatif de 3500$ pour les consommateurs qui changent leur veille voiture pour une neuve, comme cela se fait en Europe. Pour en lire plus...
  9. Le géant américain de l'automobile en processus de restructuration conclut une entente de principe visant la vente de sa division Saturn au groupe Penske. Pour en lire plus...
  10. Tata lance la voiture la moins chère du monde AFP Édition du mardi 24 mars 2009 Alors que l'industrie automobile en Europe et aux États-Unis fait les frais de la crise, Tata lance la voiture la moins chère du monde, la Nano, dont les premiers modèles seront livrés en juillet en Inde. Les consommateurs visés? Les millions d'Indiens qui ne peuvent s'offrir une voiture classique. Des problèmes ont toutefois retardé la production de la Nano, qui soulève aussi l'ire de certains écologistes. Mumbai -- Le groupe indien Tata a lancé hier la voiture la moins chère du monde, la Nano, un véhicule «révolutionnaire» à 2000 $US pour les classes moyennes émergentes de l'Inde, mais aussi pour l'Occident en pleine crise économique. «Nous sommes ravis de présenter la Nano à l'Inde et au monde», a déclaré Ratan Tata, président du conglomérat éponyme, lors d'une cérémonie en grande pompe à Mumbai pour cette mini-automobile à ultra bas coût «offerte au peuple indien et plus tard à d'autres marchés ailleurs dans le monde». Promise aux Indiens au tarif record de 100 000 roupies (2000 $US) dans sa version la plus rudimentaire, la Nano pourrait être vendue en Europe en 2010-11 --mais à 5000 euros -- avec des équipements répondant aux normes de sécurité et de pollution, avait annoncé M. Tata au salon automobile de Genève en mars. Alors que l'industrie automobile en Europe et aux États-Unis fait les frais de la récession, «la situation économique actuelle rend [la Nano] plus attrayante», a-t-il relevé. En Inde, les commandes débuteront le 9 avril pour des livraisons en juillet, a précisé le patron de la filiale Tata Motors, Ravi Kant. Tata vise les dizaines de millions de foyers indiens positionnés entre les classes urbaines bourgeoises et les milieux défavorisés et qui ne peuvent pas s'offrir une voiture classique. «J'ai observé ces familles sur des deux-roues: le père au guidon d'un scooter, son fils assis devant lui, sa femme juchée derrière et tenant leur bébé», racontait M. Tata l'an passé. «La Nano leur fournira un moyen de transport à quatre roues, sûr et abordable», a-t-il plaidé hier. Déjà dévoilée au monde entier en janvier 2008, cette «voiture du peuple» est animée par un minuscule moteur de 624 cm3 -- celui d'une bonne moto -- qui la fera plafonner à 105 km/h, sans freins ABS, ni direction assistée, ni climatisation. Mais à peine 50 000 exemplaires devraient être produits cette année, contre une prévision initiale de 250 000 unités par an, en raison d'obstacles rencontrés par Tata Motors qui ont retardé de plusieurs mois la mise en production. En octobre, le premier groupe automobile indien avait dû abandonner l'usine de la Nano quasiment achevée dans l'État du Bengale occidental et en construire une autre au Gujarat. Après y avoir investi 350 millions $US, Tata avait été poussé hors du Bengale par des paysans ulcérés par la réquisition de leurs terres pour en faire une zone industrielle. Et comme l'usine du Gujarat ne sera pas terminée avant la fin de l'année, Tata a rapidement assemblé ses premiers modèles dans un autre site. «C'est un lancement à la va-vite», a critiqué Mahantesh Sabarad, du courtier Centrum Broking, qui se dit par ailleurs «inquiet de la demande des consommateurs» au vu de «la contraction des salaires et [des] craintes pour l'emploi» en Inde. De fait, la dixième puissance économique de la planète est violemment frappée par la crise mondiale, notamment avec une baisse de la consommation, le moteur de la croissance. Déjà, les ventes de voitures ont chuté de 20 % fin 2008, après des années de progression à deux chiffres. Avec la Nano, «j'en aurai pour mon argent», s'est toutefois félicité Hasmukh Kakadia, un cadre financier qui veut se débarrasser de sa Ford Fiesta achetée à 13 000 $US. «Dans une économie en berne, je réfléchirais à deux fois avant de mettre de l'argent dans une nouvelle voiture. Mais pas pour celle-là», a-t-il dit. Reste que la Nano alarme les écologistes: «Un mode de transport pas viable pour l'Inde» avait dit en 2008 l'Indien Rajendra Pachauri -- président du Groupe international d'experts sur le changement climatique (GIEC) et prix Nobel de la paix 2007 -- dont le pays est déjà le troisième pollueur de la planète.
  11. Le groupe industriel indien Tata lance officiellement la Nano, une automobile réduite à sa plus simple expression et destinée à la nouvelle classe moyenne indienne. Pour en lire plus...
  12. Engagé dans d'âpres négociations avec Chrysler sur une réduction des coûts de main-d'oeuvre, le syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile reste de glace devant des menaces de fermeture. Pour en lire plus...
  13. Les ventes des manufacturiers canadiens ont baissé de 5,4% en janvier dernier par rapport à décembre, soit le niveau le plus bas atteint en 10 ans. Sans surprise, l'industrie automobile a été la plus touchée. Pour en lire plus...
  14. En raison de l'effondrement du secteur automobile, le Canada est passé, en l'espace de six mois, d'un surplus commercial mensuel de 5,7milliards à un déficit s'approchant du milliard de dollars. Pour en lire plus...
  15. Le constructeur automobile américain General Motors et les vérificateurs de la firme Deloitte et Touche expriment de sérieux doutes quant à la capacité de l'entreprise à survivre à la crise. Pour en lire plus...
  16. Heurté de front par la crise qui met à mal tout le secteur automobile, l'équipementier canadien Magna International a vu ses profits annuels fondre de 89 % l'an dernier. Pour en lire plus...
  17. Les ventes au détail ont reculé de 5,4% en décembre au Canada, une baisse record essentiellement attribuable à l'effondrement des ventes liées au secteur automobile. Pour en lire plus...
  18. Sur le point d'être largué par General Motors, le constructeur automobile suédois a déposé vendredi, devant un tribunal suédois, une demande de mise en redressement judiciaire pour éviter la faillite. Pour en lire plus...
  19. Les ventes de véhicules neufs au Canada, en baisse depuis septembre 2008, ont fléchi de près de 15% en décembre dernier. Pour en lire plus...
  20. Le géant français qui accuse de lourdes pertes s'attend à 11000 départs en 2009 dans le cadre de son dispositif de départs volontaires. Pour en lire plus...
  21. Avantage au Québec Publié le 07 février 2009 à 09h20 | Mis à jour à 09h20 Claude Picher La Presse Sur le front de l'emploi, les villes québécoises ont maintenant l'avantage sur leurs concurrentes ontariennes. Les résultats de l'enquête mensuelle de Statistique Canada sur la population active, publiés hier, montrent, entre autres choses, que le taux de chômage à Toronto, à 7,8%, est exactement le même qu'à Montréal. Ce n'est pas tout: de façon générale, les grandes villes ontariennes sont beaucoup plus gravement touchées par le chômage que les grandes villes québécoises. Même dans les capitales, traditionnellement épargnées, le taux de chômage à Québec est inférieur est celui d'Ottawa. Dans le cas de Québec, cela ne s'explique pas seulement par la forte présence de la fonction publique, mais aussi par la vigueur du secteur des services financiers. En fait, le taux de chômage à Québec est maintenant inférieur à celui de Calgary! Ces chiffres sont importants parce que les grandes villes sont des moteurs de développement économique. Encore plus fort: pour la première fois, le taux de chômage au Québec est inférieur à celui de l'Ontario! Il y a près de 40 ans que je couvre l'actualité économique et financière. Pour moi, ces chiffres sont stupéfiants. C'est simple: jamais je n'aurais cru voir cela de mon vivant. La performance québécoise arrive à un moment où la planète entière est secouée par la crise que l'on sait. Dans les autres provinces, les emplois disparaissent par dizaines de milliers, et la situation est encore pire aux États-Unis. Le Québec serait-il donc mystérieusement protégé des perturbations qui agitent le reste du monde? Hélas! non. Il serait hautement hasardeux, à partir des chiffres que nous venons de voir, de conclure que le Québec est à l'abri des troubles. Pour l'instant, c'est vrai: la crise tarde à frapper de plein fouet l'économie québécoise, qui profite ainsi d'un heureux répit. Mais la situation risque de se détériorer au cours des prochains mois. Les exportations aux États-Unis ont déjà commencé à reculer, et continueront de chuter parce que les Américains ne sont pas encore sortis du bois. Les ventes au détail et les mises en chantier baisseront. D'ailleurs, sombre présage, le taux d'activité au Québec, à 65,3%, demeure inférieur au taux ontarien de 67,6%. Le taux d'activité mesure la proportion de la population adulte qui détient un emploi ou est à la recherche active d'un emploi. Plus il est élevé, mieux c'est. Les économistes considèrent que le taux d'activité est un baromètre plus fiable que le taux de chômage. En fait, si le marché québécois du travail est en meilleure santé qu'en Ontario, ce n'est pas à cause du dynamisme propre de l'économie québécoise, c'est à cause de l'effondrement de l'industrie automobile. L'ex-premier ministre Bernard Landry, qui est également un des économistes qui se sont le plus intéressés à la question, a démontré en plusieurs occasions que l'essentiel de la différence entre les taux de chômage québécois et ontarien était dû à la présence massive de l'industrie automobile en Ontario. Plus on tombe de haut, plus ça fait mal En 1965, les États-Unis et le Canada ont signé le Pacte de l'auto. L'entente instituait un libre-échange total entre les deux pays dans le secteur automobile, y compris les pneus et les pièces. Les résultats ont été spectaculaires. En 1964, avant la signature du pacte, les usines automobiles établies au Canada n'exportaient que 7% de leur production au sud de la frontière; quatre ans plus tard, cette proportion atteignait 60%. Cette hausse a évidemment contribué à la création de milliers d'emploi au Canada, c'est-à-dire en Ontario. À part l'usine de GM à Boisbriand, toute la production canadienne était concentrée dans le sud de l'Ontario, notamment dans des villes comme Windsor et Oshawa, si durement éprouvées par le chômage aujourd'hui. À l'époque, le marché du travail ontarien a largement profité du Pacte de l'auto. En 1967, le taux de chômage ontarien était de 3,2%, contre 5,1% au Québec. Au pire de la récession de 1981-1982, 10,3% de chômage en Ontario, contre 13,8% au Québec. Même lors de la récession de 1990, 6,3% en Ontario, contre 8,3% au Québec. Il n'y a aucun doute que la présence de l'industrie automobile (et des nombreuses retombées qui viennent avec) explique une bonne partie de ces écarts. Dans ces conditions, il fallait bien s'attendre à ce que l'Ontario soit une des grandes victimes de la crise automobile. Pour rester dans le même secteur, disons que quand on fait un flat, ça roule mal sur les quatre roues. Ou, comme dirait Bernard Landry: Habet flatum, quadro rotae male rotat.
  22. Malgré des pertes nettes de 5,9 milliards de dollars à son quatrième trimestre, en forte hausse par rapport à la même période il y a un an, le fabricant automobile n'a pas l'intention de demander l'aide de Washington. Pour en lire plus...
  23. Le constructeur automobile allemand Audi a annoncé jeudi qu'il va arrêter sa production pendant cinq jours fin février dans sa principale usine d'Ingolstadt en Bavière. Pour en lire plus...
  24. Le premier constructeur automobile européen a annoncé mardi qu'il allait avoir recours à du chômage partiel pour deux tiers de ses 92 000 employés en Allemagne sur une semaine en février. Pour en lire plus...
  25. Le constructeur automobile américain Chrysler a multiplié les alliances internationales au cours de son histoire agitée, qui l'a déjà mené plusieurs fois au bord de la faillite. Pour en lire plus...
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