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  1. via LaPresse Plans de garantie: Québec va discipliner les entrepreneurs Publié le 05 décembre 2013 à 11h04 | Mis à jour à 11h04 ISABELLE DUCAS La Presse Après plusieurs années de discussions et de délais, Québec va de l'avant pour retirer aux associations d'entrepreneurs la gestion des plans de garantie pour les maisons neuves, pour mettre fin aux conflits d'intérêts dans l'indemnisation des propriétaires aux prises avec des défauts de construction. À partir d'octobre 2014, les plans de garantie relève d'un organisme à but non lucratif indépendant, ce qui devrait assurer une meilleure qualité de la construction résidentielle, des sommes plus élevées pour indemniser les acheteurs et plus d'informations sur les entrepreneurs à problèmes. Les trois plans de garantie existants sont actuellement administrés par des associations d'entrepreneurs, l'Association de la construction du Québec (ACQ) et l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ). Les regroupements de consommateurs estimaient que le système actuel protégeait mal les acheteurs de maisons neuves en cas de problèmes, puisque les administrateurs des plans de garantie devaient sévir contre leurs propres membres. «De nombreux consommateurs avaient l'impression que les administrateurs des plans de garantie étaient à la fois juges et parties. La structure permettra d'éliminer les conflits d'intérêts», souligne la ministre du Travail, Agnès Maltais, qui dit avoir entendu «des histoires d'horreur» en pilotant les travaux qui ont mené aux changements annoncés hier. Les acheteurs de nouvelles maisons ou de condos dans des édifices de quatre étages et moins devront payer plus cher pour la couverture offerte par le plan de garantie. Pour une maison, la prime passe de 850$ à 1050$, et pour un condo, elle passe de 1250$ à 1550$. Ces sommes pourraient être plus élevées pour les entrepreneurs dont la feuille de route est entachée de nombreuses réclamations ou de manquements à leurs obligations. À cette facture, il faut ajouter une somme de 300$ comme contribution à un fonds de réserve destiné aux indemnisations en cas de sinistre majeur, mis en place l'année dernière à la suite des problèmes de pyrrhotite dans la région de Trois-Rivières, qui touchent environ 4000 propriétés. La ministre Maltais estime que cette augmentation ne devrait pas indisposer les consommateurs, qui seront assurés à l'avenir d'une meilleure protection de leur maison, «le plus important achat de leur vie», souligne-t-elle. «On a surtout augmenté le montant des cautions exigées des entrepreneurs, pour s'assurer que ce sont des entreprises aux reins solides, sérieuses et qui ne vont pas disparaître dans la nature.» Des sanctions sont aussi prévues pour les constructeurs qui ne respectent pas leurs obligations dans le cadre des plans de garanties. Satisfaction chez les consommateurs Les changements sont très bien accueillis par deux groupes qui talonnaient depuis longtemps le gouvernement à ce sujet, l'Association des consommateurs pour la qualité dans la construction (ACQC) et le Regroupement des gestionnaires et copropriétaires du Québec (RGCQ). Il faut dire que le gouvernement libéral avait d'abord déposé un projet de loi pour permettre de tels changements, en 2011. Mais les changements réglementaires n'avaient pas pu être mis en vigueur avant les élections. Le gouvernement du Parti québécois a poussé les modifications un peu plus loin que l'administration précédente. «Nous sommes ravis de voir que les plans de garantie ne seront plus entre les mains des entrepreneurs, a réagi l'avocat Yves Joli-Coeur, porte-parole du RGCQ. L'introduction d'une politique d'inspection, entre autres, montre qu'on veut s'assurer que les maisons seront mieux construites. Les entrepreneurs auront un meilleur incitatif à surveiller la qualité pour éviter les réclamations à leur endroit.» Une somme est prévue pour financer des services d'accompagnement des propriétaires aux prises avec des problèmes, souligne Jean Dion, porte-parole de l'ACQC. «Comme les consommateurs auront des sièges au conseil d'administration, on pourra mieux suivre les procédures de réclamations», note-t-il. La Coalition Proprio-Béton, qui représente les propriétaires aux prises avec des problèmes de pyrrhotite, a qualifié les changements de «grande victoire». «Des associations d'entrepreneurs avaient un monopole qui leur permettait d'engranger des millions de dollars, alors que des propriétaires ne réussissent pas à se faire indemniser quand des problèmes importants surviennent», a dénoncé Yvon Boivin, président de la coalition. À la suite des problèmes de fondations en Mauricie, le plan de Garantie des bâtiments résidentiels neufs de l'APCHQ a été mis en tutelle l'été dernier, parce que son fonds de réserve ne suffisait plus à répondre aux réclamations. L'APCHQ, la plus importante association d'entrepreneurs, qui gère aussi la garantie Abritat, n'a pas souhaité réagir aux changements annoncés hier. ------------------- QUELQUES CHIFFRES Coût des primes pour les plans de garantie : > Maison unifamiliale : Augmente de 850$ à 1050$ > Condo dans un édifice de moins de quatre étages : Augmente de 1250 à 1550$ Indexé annuellement Montant de la couverture en cas de défaut de construction: > Maison unifamiliale : Augmente de 130 000$ à 200 000$ > Édifice à condos de moins de quatre étages : Augmente de 2,6 millions à 3 millions Cautions à verser par les entrepreneurs : Augmentent de 35 000$ à 70 000$ ou 100 000$, selon la catégorie d'entrepreneurs Au conseil d'administration du nouvel organisme à but non lucratif : 13 membres, dont : > 3 représentants des consommateurs > 3 représentants des entrepreneurs > 2 professionnels du secteur du bâtiment > 1 professionnel du secteur du droit > 3 représentants du milieu gouvernemental
  2. Emploi: des signes positifs au Québec Stéphane Rolland . les affaires.com . 08-11-2013 (modifié le 08-11-2013 à 09:28) Le marché de l’emploi québécois donne des signes d’embellie en octobre tandis que la province a créé près de 40 000 emplois à temps plein et que la population active augmente, selon les données de Statistique Canada. En un mois, il s’est créé 34 100 emplois, toujours dans la province. De ce chiffre, on enregistre la création de 39 600 emplois à temps plein et la perte de 5 600 emplois à temps partiel. L’emploi augmente ainsi de 0,8% en un mois et de 0,6% en un an. Le temps plein augmente de 1,2% en un mois et de 1,5% en un an. Le temps partiel recule de 0,7% en un mois et de 3,3% en un an. Le taux de chômage passe ainsi de 7,6% à 7,5%. La diminution est cependant réduite par une augmentation de la population active de 32 400 personnes, un gain de 0,7% en un mois. Le taux d’activité passe ainsi de 64,8% à 65,3%. Généralement, les économistes attribue une augmentation du taux d’activité au fait que les travailleurs en plus de confiance en leur capacité de trouver du travail. À l’inverse, une baisse peut vouloir dire que plus de personnes quittent le marché de l’emploi découragé de pouvoir s’y insérer. Voilà pourquoi, en période de ralentissement économique ou de récession, des baisses du taux de chômage sont accueillies négativement lorsqu’elles s’expliquent par une baisse des effectifs sur le marché du travail. La publication des données survient alors que Québec doit composer avec des revenus moins élevés que prévu en raison d’une croissance économique plus faible qu’anticipée. Les partis d’opposition accusent le gouvernement minoritaire du Parti québécois de mener une piètre politique économique. En septembre, Pauline Marois a d’ailleurs dévoilé un plan pour créer 43 000 emplois supplémentaires d’ici 2017. Dans le reste du pays, le taux de chômage est resté stable à 6,9% tandis qu’on a créé 12 300 emplois. Les économistes espéraient la création de 11 000 emplois. La création d’emplois dans le secteur public aura permis de compenser les pertes dans le secteur privé. Lien: http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/emploi-des-signes-positifs-au-quebec/563509
  3. Seul le Québec, IPE et la Saskatchewan ont eu augmentation du taux de chômage Faut croire que la reprise économique est maintenant bien amorcée au pays. Retour aux chiffres normaux... *** Emploi - Perte de 25 700 emplois au Québec en décembre Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Dans l'ensemble du Canada, le taux de chômage a légèrement augmenté en décembre, pour s'établir à 7,5 %, en hausse de 0,1 % par rapport à novembre. Statistique Canada souligne que 17 500 emplois ont été ajoutés en décembre au pays après deux mois de baisses. Toutefois, le taux de chômage a augmenté parce que davantage de personnes ont cherché activement du travail. L'organisme rapporte une augmentation de 43 000 du nombre de personnes travaillant à temps partiel en décembre mais note aussi une baisse de 26 000 du nombre de travailleurs à temps plein. Le nombre d'emplois dans le secteur de la fabrication a augmenté de 30 000 en décembre. Parallèlement, le nombre d'emplois a baissé de 7200 dans les services publics et est resté à peu près inchangé dans les autres secteurs. Pour l'ensemble de l'année 2011, les gains sont de 199 000 emplois au pays. La grande majorité de ces emplois ont été créés durant les six premiers mois de l'année. Hausse du chômage au Québec Dans les provinces, l'emploi a augmenté en décembre en Colombie-Britannique, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve-et-Labrador, en Saskatchewan, au Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard. L'emploi a toutefois diminué au Québec pour un troisième mois consécutif. La diminution était estimée à 25 700 emplois en décembre, portant le taux de chômage à 8,7 %. Les baisses les plus marquées au Québec se situent dans le secteur de la construction (monctezuma : pourant c'est pas les chantiers qui manquent !?!?) et dans celui des soins de santé et de l'assistance sociale. Le Québec a connu une baisse de 51 000 emplois en un an. Taux de chômage par province, décembre (novembre entre parenthèses) Terre-Neuve-et-Labrador 12,8 (13,2) Île-du-Prince-Édouard 11,4 (11,1) Nouvelle-Écosse 7,8 (8,6) Nouveau-Brunswick 9,4 (9,8) Québec 8,7 (8,0) Ontario 7,7 (7,9) Manitoba 5,4 (5,5) Saskatchewan 5,2 (5,1) Alberta 4,9 (5,0) Colombie-Britannique 7,0 (7,0)
  4. Avez vous remarqué que le compteur de la dette(à droite de la page principale de MTLURB) a augmenté d'environs 8 milliards aujourd'hui? Normalement la dette augmentais d'un milliard par semaine et soudainement il est passé de 226 milliards à 234 milliards!?!?!?
  5. La valeur nette nationale du Canada a augmenté de 20G$ 15 mars 2010 | 10h44 La Presse Canadienne La valeur nette nationale du Canada a augmenté de 20 milliards $ au quatrième trimestre pour atteindre 6 billions $. Statistique Canada indique que cette hausse reflète l'augmentation de 0,7 pour cent de la valeur du patrimoine national, particulièrement les actifs en biens immobiliers résidentiels. La progression de la valeur nette nationale a été tempérée par un accroissement de 19 milliards $ de la dette extérieure nette en raison d'une diminution de l'épargne nationale. La valeur nette nationale correspond au patrimoine national moins la dette extérieure nette. Elle constitue la somme de la valeur nette des particuliers et des entreprises individuelles, des sociétés et des administrations publiques. Du troisième trimestre au quatrième trimestre, la valeur nette nationale par habitant n'a pas changé, s'étant établie à 175 900 $. Cependant, la valeur nette des ménages a augmenté de 93 milliards $ pour atteindre 5,9 billions $. L'accroissement de la valeur des actifs financiers, surtout les actions, les assurances-vie et les rentes, ainsi que celui des biens immobiliers résidentiels, explique en grande partie l'augmentation de la valeur nette. La valeur nette des ménages par habitant a progressé pour atteindre 172 600 $ au quatrième trimestre. Pendant ce temps, la dette nette des administrations publiques a continué d'augmenter. La valeur nette du secteur des administrations publiques a baissé de 20 milliards $, car la valeur de la dette nette continuait de croître. Le ratio d'endettement des sociétés a diminué légèrement. Le financement par actions des sociétés non financières a ralenti du troisième trimestre au quatrième trimestre, tandis que l'émission d'obligations s'est affermie. Toutefois, la valeur globale des émissions d'actions et des bénéfices non répartis a dépassé celle de l'emprunt.
  6. Le PIB du Québec a crû de 0,8 % en octobre 25 janvier 2010 | 12h51 LA PRESSE CANADIENNE Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a augmenté de 0,8 % en octobre, indiquent les données publiées lundi par l'Institut de la statistique du Québec. Pendant le même mois, la croissance dans l'ensemble du Canada avait été de 0,2 %. Cette augmentation du PIB québécois fait suite au recul de 0,3 % survenu en août et à une hausse de 0,1 % en septembre. En octobre, les industries productrices de biens ont augmenté leur production de 2,1 %, alors que la production des industries productrices de services s'est accrue de 0,3 %.
  7. Mises en chantier En hausse partout, sauf au Québec Mise à jour le lundi 9 novembre 2009 à 12 h 10 Commentez »PartagerCourrielFacebookImprimer Le nombre de mises en chantier a augmenté au mois d'octobre, pour se situer à 157 300, comparativement à 149 300 en septembre, selon les données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). La hausse des mises en chantier d'habitations en octobre est attribuable à l'intensification de la construction de logements collectifs. — Bob Dugan, économiste en chef au Centre d'analyse de marché de la SCHL « Le nombre mensuel de mises en chantier de ce type de logement a atteint son deuxième sommet en importance depuis octobre 2008 », a ajouté M. Dugan. Dans les centres urbains, les mises en chantier ont augmenté de 5,2 % en octobre dernier par rapport à septembre, pour se situer à 139 900. Plus spécifiquement, les logements collectifs ont connu une hausse de 13,8 %, à 72 600. Du côté des maisons individuelles, le mois d'octobre connaît une régression de 2,7 %, à 67 300. Évolution des mises en chantier par provinces Colombie-Britannique: 15 % Ontario: 14,8 % Prairies: 6,5 % Atlantique: 1,2 % Seul le Québec connaît une baisse, de 11,63 %.
  8. Un mois de septembre record pour l'immobilier à Montréal Publié le 07 octobre 2009 à 10h08 | Mis à jour à 10h11 Émilie Bilodeau lapresseaffaires.com Le nombre de transactions immobilières conclues dans la région métropolitaine de Montréal a augmenté de 5 % en septembre 2009, comparativement au même mois de l'année 2008. Un mois de septembre record s'est réjoui Michel Beauséjour, chef de la direction de la Chambre immobilière du Grand Montréal, par voie de communiqué. «Septembre 2009 est le meilleur mois de septembre jamais enregistré sur le marché de la revente à Montréal. Les conditions de marché étant maintenant équilibrées, les acheteurs tout comme les vendeurs y trouvent leur compte», a-t-il indiqué. En termes de ventes, l'unifamiliale a mené le bal : les transactions ont connu une croissance de 8 % en septembre 2009 par rapport au même mois l'an dernier. Les ventes de copropriétés et celles de plex ont également augmenté de 1 % et 3 %. Le prix des propriétés a aussi continué de croître. Le prix médian des maisons unifamiliales et des copropriétés a haussé de 7%. Le prix des plex, eux, ont augmenté de 5 %. «La progression constante et graduelle du prix des propriétés dans la région démontre encore une fois que Montréal est non seulement un endroit où il fait bon vivre, mais aussi un excellent investissement pour les propriétaires», ajoute Michel Beauséjour. Le secteur de Vaudreuil-Soulanges s'est illustré avec une hausse des ventes immobilières de 40%, la meilleure performance de la région métropolitaine de Montréal.
  9. Le chômage a augmenté de 0,2 point en juin * Alexandre Paillé, Lesaffaires.com * 07:22 Au Québec, l'emploi est resté inchangé en juin. Le taux de chômage a augmenté de 0,2 point de pourcentage en juin au Canada, pour atteindre 8,6 pour cent. Statistique Canada affirme qu'un plus grand nombre de personnes a cherché du travail. L'économie canadienne a donc perdu 7400 emplois en juin, alors que les analystes s'attendaient à des pertes de quelque 35 000 emplois, contre 41 800 en mai, et à une augmentation du chômage à 8,7%. Pour le deuxième trimestre de 2009, les pertes nettes totales se chiffrent à 13 000 emplois, soit bien moins que la baisse de 273 000 observée au cours des trois premiers mois de l'année. Au premier trimestre, l'emploi avait reculé dans presque toutes les branches d'activité, mais surtout dans la fabrication et la construction. Par contre, au cours des trois derniers mois, l'emploi a progressé dans la plupart des industries du secteur des services, s'est stabilisé dans la construction, mais a continué à fléchir dans le secteur de la fabrication, indique Statistique Canada. Par province L’agence fédérale note que le changement le plus marqué dans la tendance de l'emploi en juin a été observé au Québec, en Colombie-Britannique et en Alberta. L'emploi y a fortement baissé au cours des trois premiers mois de 2009 et cela contraste avec les trois derniers mois au cours desquels l'emploi a augmenté au Québec et en Colombie-Britannique et a peu changé en Alberta. Au Québec, l'emploi est donc resté inchangé. Le taux de chômage s'est fixé à 8,8 pour cent dans la province. Depuis octobre, l'emploi au Québec a seulement diminué de 0,8 pour cent, soit un taux de décroissance nettement inférieur à la moyenne nationale (-2,2%). À noter que le Québec encaisse en bonne partie les pertes reliées à l'emploi dans la fabrication à l’échelle nationale. L’Ontario, la perte de 56 000 emplois en juin a été neutralisée par la hausse du travail à temps partiel (+57 000), de sorte que l'emploi total est resté inchangé en juin. Le taux de chômage a connu une légère hausse pour s'établir à 9,6 %, soit le taux le plus élevé en 15 ans. Ailleurs au pays, l'emploi est resté pratiquement inchangé en juin dans les autres provinces, sauf à Terre-Neuve-et-Labrador, où il a augmenté. Par secteur En juin, des emplois ont été créés dans le secteur de l'information, de la culture et des loisirs (26 000) de même que dans celui de la finance, des assurances, de l'immobilier et de la location (21 000). Cependant, des baisses appréciables ont été observées dans la fabrication (-26 000) et dans le secteur des services aux entreprises, des services relatifs aux bâtiments et des autres services de soutien (-14 000). Les jeunes durement touchés Les jeunes de 15 à 24 ans ont été durement touchés par le recul de l'emploi en juin, les pertes nettes s'étant élevées à 33 000 dans ce groupe. Le taux de chômage chez les jeunes a progressé d’un point de pourcentage pour s'établir à 15,9 %, soit le taux le plus élevé en 11 ans. Depuis le sommet atteint en octobre dernier, ce sont les jeunes, parmi tous les groupes d'âge, qui ont connu la baisse la plus marquée de l'emploi (-6,4 %). Plus de travailleurs indépendants Le travail indépendant a progressé en juin (37 000 emplois), tandis que le nombre d'employés du secteur privé a diminué (-39 000). Statistique Canada rapporte que depuis octobre, le nombre de travailleurs indépendants a augmenté de 1,5 %, alors que l'effectif des salariés s'est contracté, particulièrement dans le secteur privé (-3,3%). Le taux dans les provinces du pays Le chiffre du mois précédent figure entre parenthèses: _ Terre-Neuve-et-Labrador 15,6 (15,1) _ Ile-du-Prince-Edouard 12,2 (13,1) _ Nouvelle-Ecosse 9,4 (8,9) _ Nouveau-Brunswick 9,2 (8,8) _ Québec 8,8 (8,7) _ Ontario 9,6 (9,4) _ Manitoba 5,2 (4,9) _ Saskatchewan 4,6 (4,9) _ Alberta 6,8 (6,6) _ Colombie-Britannique 8,1 (7,6) Le taux dans les grandes villes du pays Le chiffre du mois précédent figure entre parenthèses: _Saint-Jean, T.-N.-L. 7,6 (7,5) _Halifax 5,9 (5,8) _Saint-Jean, N.-B. 5,0 (5,9) _Saguenay 9,2 (9,4) _Québec 4,6 (4,4) _Trois-Rivières 8,2 (8,8) _Sherbrooke 9,1 (8,8) _Montréal 9,5 (9,4) _Gatineau 5,4 (5,4) _Ottawa 6,4 (6,1) _Kingston 6,6 (6,5) _Toronto 9,6 (9,1) _Hamilton 7,1 (7,4) _Kitchener 9,9 (9,9) _London 10,4 (10,2) _Oshawa 8,7 (7,9) _St. Catharines-Niagara 10,9 (10,6) _Sudbury 8,9 (8,4) _Thunder Bay 8,8 (8,8) _Windsor 14,4 (13,8) _Winnipeg 4,9 (4,8) _Regina 3,4 (3,8) _Saskatoon 4,6 (5,0) _Calgary 6,6 (6,6) _Edmonton 6,5 (6,0) _Abbotsford 8,2 (7,5) _Vancouver 6,9 (6,8) _Victoria 6,3 (6,4) _Moncton 5,3 (5,6)
  10. Le taux de chômage a augmenté de 0,2 % en juin au Canada, pour atteindre 8,6 %. L'emploi est resté pratiquement inchangé dans toutes les provinces, sauf à Terre-Neuve-et-Labrador, où il a augmenté. Pour en lire plus...
  11. Assurance emploi : les chiffres explosent * Presse Canadienne, * 09:31 Au Québec, le nombre de bénéficiaires ordinaires a augmenté de 7,8% en mars. Le nombre de Canadiens recevant des prestations ordinaires d'assurance-emploi a crû de 10,6 pour cent en mars pour atteindre 681 400. Cette augmentation est la plus forte depuis que le marché du travail a commencé à se détériorer, en octobre, a indiqué Statistique Canada. Le nombre de prestataires ordinaires d'assurance-emploi a grimpé de 36,2 pour cent depuis l'automne dernier. Le nombre de demandes initiales et renouvelées reçues en mars a toutefois diminué de 1,9 pour cent par rapport à février, pour s'établir à 318 900. Malgré tout, le nombre total de demandes reçues en mars était le deuxième en importance depuis que des données comparables sont disponibles, soit 1997. C'est dans l'ouest du pays que la situation s'est le plus détériorée. En Alberta, le nombre de bénéficiaires ordinaires d'assurance-emploi a bondi de 32,1 pour cent en mars, alors qu'il a augmenté de 26,7 pour cent en Colombie-Britannique. Dans les deux cas, il s'agit des hausses mensuelles les plus importantes depuis que des données comparables existent. Le nombre d'Albertains et de Britanno-Colombiens qui reçoivent des prestations d'assurance-emploi a crû respectivement de 131,1 et 80,5 pour cent depuis octobre. Au Québec, le nombre de bénéficiaires ordinaires a augmenté de 7,8 pour cent en mars par rapport au mois précédent. En Ontario, la hausse a été de 9,9 pour cent, alors qu'elle a été de 4,9 pour cent au Nouveau-Brunswick.
  12. Le produit intérieur brut réel (PIB) a augmenté dans cinq provinces canadiennes dont le Québec en 2008. C'est ce qu'a indiqué Statistique Canada en ajoutant que le PIB du Yukon et du Nunavut s'est également accru. À l'échelle nationale, le PIB réel a augmenté de 0,5% l'an dernier, après avoir progressé de 2,7% en 2007. tous les détails : http://www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/090427/dq090427a-fra.htm on a fait mieux que l'ontario, la C-B et l'alberta, et surtout on a battu la moyenne canadienne... c'est vraiment rare. Est-ce qu'il se pourrait que l'économie québécoise ne soit pas synchronisée avec le reste du Canada?
  13. Est-ce une bonne ou une mauvaise nouvelle ? Bonne nouvelle, car c'est une entreprise québécoise en santé. Mais est-ce que ça veut dire que l'on paie notre épicerie trop cher ? --------------- Alimentation Metro fait bondir ses profits de 41% 23 avril 2009 - 07h42 Louis-Pierre Côté Argent La chaîne d’épiceries Metro (MRU.A) a dévoilé des profits en forte hausse au deuxième trimestre. La société montréalaise a dégagé un bénéfice de 76,3M$ ou 0,68$ par action pour une période de 12 semaines terminée le 14 mars dernier, ce qui représente une hausse de 41,3% par rapport aux profits de 54M$ ou 0,48$ par action réalisés l’année précédente. En excluant des charges non récurrentes de 1,3M$ pour supporter la conversion des supermarchés en Ontario à la bannière Metro, le bénéfice net a été de 77,2M$, en hausse de 43% par rapport à celui de 2008. Le chiffre d'affaires a augmenté de 7,5% pour atteindre 2,54G$. En excluant la baisse des ventes causée par le non-renouvellement d'un contrat d'approvisionnement avec une chaîne de dépanneurs, le chiffre d'affaires a augmenté de 8,3%. Metro a aussi enregistré une forte hausse de 7,3% des ventes des magasins comparables, soit les magasins ouverts depuis au moins un an. « La forte croissance de notre bénéfice net et de notre chiffre d'affaires au deuxième trimestre est le résultat des efforts de toutes nos équipes qui ont su mettre en place des programmes de mise en marché bien ciblés et améliorer l'efficacité de nos opérations », a commenté Eric R. La Flèche, président et chef de la direction de Metro. « Malgré la situation économique difficile, nous sommes confiants d'être bien positionnés pour poursuivre la croissance de la société ». Plus de détails à venir
  14. Montréal se stabilise Mise à jour le vendredi 13 mars 2009 à 10 h 55 Le taux de chômage a légèrement baissé à Montréal alors qu'il a augmenté dans l'ensemble du pays, selon Statistique Canada. Le taux de chômage demeure toutefois plus élevé que la moyenne canadienne dans la région montréalaise. Malgré une baisse de 0,7 % dans la région montréalaise au cours du mois de février, le taux de chômage s'est établi à 8,2 %. La moyenne canadienne se situe à 7,7 %. Le taux de chômage dans la région métropolitaine a ainsi baissé par rapport au mois de janvier dernier, mais il a augmenté 0,5 % par rapport au mois de février 2008. Pas moins de 82 600 emplois ont été perdus au Canada en février, ce qui a fait bondir le taux de chômage de 7,2 % à 7,7 %, toujours selon la plus récente enquête sur la population active de Statistique Canada. Il s'agit de la quatrième baisse consécutive de l'emploi recensée par l'agence fédérale. En janvier, Statistique Canada avait annoncé la suppression de 129 000 emplois, ce qui porte le nombre d'emplois perdus à 295 000 depuis octobre dernier.
  15. Bell Canada acquiert le détaillant de produits électroniques La Source, augmentant ainsi son réseau de vente de 750 magasins. Pour en lire plus...
  16. N'eût été de la hausse des coûts de l'alimentation, le taux annuel de l'inflation aurait été pratiquement à 0% en janvier au Canada. Pour en lire plus...
  17. Les ventes de détail ont augmenté de 1 % en janvier, une première hausse depuis plusieurs mois. Cet indicateur s'inscrit malgré tout en baisse de près de 10 % par rapport au même mois, un an plus tôt. Pour en lire plus...
  18. Le Québec augmente de 40% sa contribution à TV5Monde Il y a 14 heures PARIS (AFP) — Le Québec va augmenter de 40% sa contribution à la chaîne francophone internationale TV5Monde, qui va passer à 2,9 millions d'euros, afin d'y accroître la programmation québécoise, a annoncé lundi à Paris la ministre de la Culture du Québec, Christine St-Pierre. Le gouvernement du Québec va verser 1,5 million de dollars (900.000 euros) supplémentaires à TV5Monde, afin de "renforcer la contribution québécoise aux opérations de la chaîne", notamment concernant le sous-titrage, précise dans un communiqué Mme St-Pierre, qui a visité les locaux de la chaîne à Paris. Cette "augmentation de 40%" porte la contribution québécoise à environ 2,9 millions d'euros, a expliqué à l'AFP la directrice générale de TV5Monde, Marie-Christine Saragosse. Un montant supplémentaire de 400.000 dollars (250.000 euros) sera également alloué à TV5Québec Canada, la branche canadienne de TV5Monde qui émet en langue française dans tout le Canada. Quelque 240.000 dollars (150.000 euros) seront par ailleurs alloués pour la "libération des droits d'auteurs". "Grâce à ces enveloppes, TV5Monde va pouvoir programmer du cinéma québécois", s'est félicité Mme Saragosse. Au total, la participation québécoise à TV5Monde et TV5Québec Canada atteindra 7 millions de dollars (4,4 millions d'euros) en 2009. Mme St-Pierre a souligné "l'importance de continuer à soutenir TV5Monde et TV5Québec Canada, qui doivent demeurer compétitifs dans un environnement hautement concurrentiel". Partenaire de la holding publique Audiovisuel extérieur de la France (AEF), qui coiffe la chaîne France 24 et Radio France Internationale (RFI), TV5Monde dispose d'un budget de 97,5 millions d'euros, auquel l'Etat français contribue pour 71 millions d'euros, les partenaires étrangers (Belgique, Canada, Québec, Suisse) pour 18 millions d'euros, le reste étant assuré par des recettes propres.
  19. Le télédifuseur québécois Astral Media entame l'exercice 2009 avec une hausse des ventes et du bénéfice net au premier trimestre. Pour en lire plus...
  20. Même si certains spécialistes croient que le budget de communications devrait être augmenté en période de récession, ce peut être plus facile à dire qu'à faire. Pour en lire plus...
  21. Salaires: augmentations zéro 9 décembre 2008 - 06h00 La Presse Claude Picher Un travailleur québécois qui gagnait 30 000 $ en 1985 en empoche aujourd'hui 52 903 $ si ses augmentations salariales, au fil des années, ont été identiques à la moyenne. En 23 ans, son salaire a donc augmenté de 76%, ce qui paraît fort impressionnant. Ces chiffres, et ceux qui vont suivre, sont calculés à partir de données publiées hier par le ministère du Travail et l'Institut de la statistique du Québec. Or, ces montants ne tiennent pas compte de l'inflation. C'est ce que les experts appellent des chiffres nominaux. Ils ne reflètent donc pas la réalité, puisque l'inflation, année après année, vient gruger les augmentations salariales. Si vous obtenez 2% d'augmentation, mais que les prix à la consommation grimpent également de 2%, votre pouvoir d'achat demeure inchangé. En soustrayant la croissance de l'inflation de la croissance salariale nominale, on obtient un portrait fidèle de la situation. Par exemple, en 1986, les augmentations salariales moyennes au Québec ont atteint 3,7%. Cette année-la, par contre, l'indice des prix à la consommation a grimpé de 4,7%. En termes réels, le pouvoir d'achat des travailleurs, en dépit de leurs hausses salariales, a donc diminué en moyenne de 1%. Et voici maintenant ce qui s'est passé, en termes réels, entre 1985 et 2008. Le salaire moyen, au Québec, a augmenté d'à peine un dixième de un pour cent ! Cela signifie qu'en tenant compte de la hausse des prix à la consommation, le salarié qui gagnait 30 000$ en 1985 en gagne aujourd'hui 30 033$. Autrement dit, les travailleurs québécois ont réussi à préserver leur pouvoir d'achat, ce qui est bien, mais ils ne se sont pas enrichis, ou si peu. La nouvelle n'est pourtant pas aussi sombre qu'il n'y paraît. Les montants que nous venons de voir sont exprimés avant impôts. Depuis 1985, Québec et Ottawa ont annoncé d'importantes baisses d'impôts, en grande partie ciblées sur les ménages à revenus faibles ou moyens. Pour les contribuables dont les revenus sont inférieurs à 50 000$, le revenu personnel disponible (l'ensemble des revenus de toutes provenances, moins les ponctions fiscales et contributions sociales de toutes sortes) a donc augmenté, ce que confirment d'autres études. Au Québec, les baisses d'impôts étaient particulièrement axées sur les familles. Un jeune couple à revenus moyens, avec deux ou trois enfants, a donc toutes les chances d'avoir augmenté son pouvoir d'achat même si l'inflation est venue gruger ses augmentations salariales. En revanche, un cadre célibataire qui gagne 75 000$ a très probablement un pouvoir d'achat inférieur à celui de 1985. Comme le montre clairement le tableau dans la page, la croissance salariale en termes réels est demeurée négligeable, et parfois même négative, pendant toute la période étudiée. Au début des années 80, alors que l'inflation dépassait les 4%, les hausses salariales ne parvenaient pas à rattraper les hausses de prix. Ainsi, un salaire de 30 000$ en 1985 se situait en moyenne à 35 230$ quatre ans plus tard; mais sous l'effet de l'inflation, ce montant ne valait en réalité que 29 788$. Ainsi, malgré des hausses salariales de 17% en quatre ans, les travailleurs se sont légèrement appauvris à cette époque. Pendant toute la période, 1994 ressort comme la meilleure année, alors que les 30 000$ de 1985 valaient en termes réels 30 650$. Mais ce chiffre est un leurre qui camoufle une mauvaise nouvelle. Cette année-là, l'économie québécoise a connu une période de déflation, c'est-à-dire que les prix, au lieu de monter, descendaient. Ainsi, les augmentations sala riales moyennes de 1994 se situaient en moyenne à 0,4%, mais comme les prix à la consommation ont reculé de 1,4% à la même époque, le pouvoir d'achat des salariés a augmenté de 1,8%. Au premier coup d'oeil, on peut se dire que c'est bien agréable de voir les prix descendre, mais en réalité, la déflation est un véritable fléau, pire que l'inflation. En période de déflation, tout le monde (consommateurs, entreprises) reporte ses achats à plus tard en espérant que les prix vont continuer à chuter. Les stocks invendus s'accumulent . Les entreprises ferment, l'économie est paralysée. À travers toutes ces variations, ce qu'il importe de retenir, c'est qu'en 2008, les salaires, à quelques poussières près, sont en termes réels au même niveau que 23 ans auparavant.
  22. L'excédent commercial est passé de 4,3 G$ en septembre, à 3,8 en octobre, les importations ayant augmenté de 4,1% et les exportations de 2,5%. Pour en lire plus...
  23. Il s'agit d'une quatrième augmentation d'une année à l'autre d'affilée. Encore une fois, les grands emprunteurs ont été à l'origine d'une grande part de la hausse. Pour en lire plus...
  24. Les ventes des magasins comparables du géant aux États-Unis ont augmenté de 3,4% le mois dernier, pour atteindre 32,21 G$ US. Pour en lire plus...
  25. Ce nombre au mois d'octobre a augmenté de 21,1% par rapport à octobre 2007, une hausse alimentée principalement par l'augmentation du nombre de faillites personnelles. Pour en lire plus...
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