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  1. http://journalmetro.com/actualites/montreal/983950/hippodrome-les-citoyens-veulent-y-construire-un-village/ 22/06/2016 Mise à jour : 22 juin 2016 | 18:21 Hippodrome: les citoyens veulent y construire un village Par Laurence Houde-Roy Métro Les citoyens ont parlé: ils souhaitent que l’ancien site de l’hippodrome de Montréal devienne un véritable petit village au coeur de Montréal. La Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges (CDC), qui regroupe plusieurs citoyens et organismes communautaires de Côte-des-Neiges, a dévoilé mercredi ce qu’ils aimeraient avoir comme aménagement de l’ancien site de l’hippodrome de Montréal, à l’angle de l’autoroute 15 et 40, non loin du site du futur centre commercial Royalmount. Les citoyens veulent littéralement un petit village, le plus vert possible, sans tour à condos, mais plutôt des logements de 3 à 6 étages avec une diversité d’habitants et d’habitations. Cette idée émane d’un forum citoyen tenu en 2014, en collaboration avec la firme d’architecture et design urbain Rayside Labossière. Il faut surtout que tout le projet soit bien pensé en amont, disent-ils, et que chaque aspect de la construction respecte tous les citoyens, peu importe leur âge, sexe, origine ou condition physique. «Il ne faut pas morceler le projet, commencer à construire sans avoir pensé au plan général avant», fait valoir Jennifer Auchinleck, organisatrice communautaire à la CDC. Bien sûr, ils gardent le même message qu’ils ont depuis plus de 10 ans: le site doit accueillir au moins 2500 logements sociaux pour répondre aux besoins des gens du quartier. Ils font valoir que 5060 ménages de Côte-des-Neiges dépensent plus de 80% de leur revenu pour se loger. Alors que la Ville promet que 15% des logements qui seront construits sur l’ancien site de l’hippodrome seront des logements sociaux, la CDC maintient que ce n’est pas assez pour répondre aux besoins de la population. Mais au-delà de cette demande, les citoyens souhaitent que ce terrain réponde à l’ensemble des besoins des citoyens, et que tout soit accessible facilement et rapidement. Selon la première ébauche élaborée par Rayside Labossière (voir photo), une artère principale traverserait le quartier en partant de la station de métro Namur sur laquelle on retrouverait tous les services comme les écoles, les épiceries, les restaurants (abordables et sains, demandent-ils), la bibliothèque, etc…«Une artère qui donne une âme au quartier», résume Ron Rayside, de Rayside Labossière. Deux «pôles communautaires» (points mauves sur la photo), où les habitants pourront se rassembler et fraterniser, pourraient être aménagés à deux endroits sur cette artère. Les différents parcs seraient reliés entre eux par des corridors verts. Tant qu’à rêver, pourquoi ne pas également y imposer des exigences de développement durable, comme utiliser la géothermie dans les logements, encourager les initiatives d’économie sociale, réguler les prix des baux commerciaux, limiter la place de l’auto, aménager de rues de moins de deux voies et adopter une politique d’embauche locale, se disent-ils. «C’est un terrain public, et il est vide, on peut en profiter pour faire les choses autrement, on peut faire tout ce qu’on veut», ajoute Mme Auchinleck. Pour répondre aux besoins d’un maximum d’habitants de Côte-des-Neiges, la CDC souhaite accueillir le plus de personnes possible dans ce petit village. Ainsi, les maisons avec une cour seraient à proscrire, croient-ils, pour maximiser l’espace. La CDC souhaite au moins 7500 unités de logement, dont 2500 logements sociaux. Ceci correspond à la densité de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. M. Rayside croit que le site peut facilement accueillir 4000 ou 5000 logements. Puisque la voie ferrée se trouve non loin du site, la question de la densité pourrait poser problème, reconnaissent-ils, considérant les nouvelles normes de sécurité imposées à la suite des événements de Lac-Mégantic. Le site, qui appartient au gouvernement du Québec, doit être cédé à la Ville de Montréal avant que les constructions débutent. La condition, avant la signature, est que le bâtiment de l’ancien hippodrome soit démoli. Le gouvernement vient d’obtenir le certificat de démolition.
  2. Transformation en une artère à une échelle plus humaine. Le projet en détail : http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_RDP_FR/MEDIA/DOCUMENTS/12.02_CORBEIL_SJB_RAPPORT.PDF L'état des travaux : Envoyé de mon iPad en utilisant Tapatalk
  3. La Presse Le mercredi 20 juin 2007 http://www.cyberpresse.ca/article/20070620/CPACTUALITES/706200605/6737/CPACTUALITES Le boulevard Taschereau est l'exemple parfait d'une artère commerciale à ne pas reproduire. Horrible pour certains, non fonctionnel pour d'autres, cet important axe routier de la Rive-Sud doit-il être carrément rasé ? Ou si, plutôt, on le laissait mourir à petit feu, asphyxié par le nouveau Quartier DIX30? Des dizaines de lecteurs ont écrit à La Presse, hier, pour réagir à notre dossier sur le nouveau «Lifestyle Center » de Brossard et sur son impact commercial. Ils ont aussi formulé des suggestions. Que faire du mal-aimé boulevard Taschereau? Les plus radicaux suggèrent de le bombarder, d'autres de le raser pour recommencer à zéro. «Malheureusement pour le boulevard Taschereau, le trafic et l'incalculable nombre de lumières rendent l'expérience de magasinage très désagréable, écrit Valérie Royer. Plus le quartier DIX30 va se développer, plus nous pourrons l'éviter.» «Ça fait des années que le boulevard pâtit du trafic constant, des feux de circulation qui bloquent tout, de l'échangeur 10-Taschereau qui ne finit plus d'être rénové, renchérit Jean-Francois Lemire. Ce n'était qu'une question de temps avant qu'un concurrent s'attaque à Taschereau.» Bien mieux que mort le boulevard, dans ce cas? Les experts croient que non, qu'il y a même une vie après le DIX30. Mais pour ce faire, le boulevard a besoin de bien plus que le lifting promis par la Ville de Brossard: il a besoin d'une réfection en profondeur. «Il serait facile de croire que le boulevard Taschereau est tombé en désuétude, mais il n'en est rien, note Florence Junca-Adenot, professeur au département d'études urbaines de l'UQAM. Il est moins prisé simplement parce qu'il est difficile d'accès en auto, qu'il n'est pas organisé de manière conviviale et qu'il est, en un mot, mal foutu.» Pour redonner à cette artère «une impression d'unité de vie», une convivialité actuellement absente, Mme Junca-Adenot propose donc de rapprocher les façades commerciales de la rue, de placer les stationnements à l'arrière des immeubles et d'accroître la mixité des usages, c'est-à-dire de construire des résidences et des bureaux. Cela rejoint d'ailleurs les propos de plusieurs lecteurs, dont Élaine Fournelle, qui estime que le boulevard Taschereau doit être revu à l'échelle humaine, plutôt qu'à celle de l'auto. Les commerçants devraient ainsi saisir l'occasion que représente l'ouverture du DIX30 et inciter la Ville à réduire la circulation automobile sur «cet horrible boulevard», soutient cette étudiante en architecture de paysage. Attention! rétorque toutefois Marie Lessard, professeur à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal. Le boulevard Taschereau est un important axe routier qui pourrait difficilement devenir un havre piétonnier un jour, voire accueillir un tramway en raison de sa faible densité. Réorganiser la circulation «Il faut davantage jouer à l'échelle de l'auto, croit-elle. Pourquoi ne pas faire comme à Paris et San Francisco et séparer la circulation de transit de la circulation locale?» En d'autres mots, rétrécir les voies du centre afin d'y concentrer la circulation rapide, puis créer des voies latérales, équivalentes à des voies de service, pour desservir directement les commerces. Bref, tenter de concilier le meilleur des deux mondes. Spécialiste du développement économique à l'INRS, Mario Polèse croit lui aussi qu'il faut mettre de côté toute tentation de transformer Taschereau en un boulevard urbain où il fait bon marcher et pédaler. «Il serait déraisonnable de penser que la Rive-Sud peut se passer de cette artère de circulation majeure, précise-t-il. Peut-être devrait-on plutôt retirer du boulevard Taschereau sa fonction commerciale?» lance-t-il, volontairement provocateur. Cela recoupe en quelque sorte les propos pessimistes de certains lecteurs qui estiment que si rien n'est fait, la simple fatalité mènera à l'abandon de grands pans commerciaux. Une employée du Mail Champlain prédit par exemple la «mort à petit feu» de son lieu de travail: «Le magasin Bovet à déjà fermé ses portes pour ouvrir au DIX30. Le magasin Pot Pourri ferme ses portes bientôt. Les Ailes de la mode agonise et Bowring ouvrira une nouvelle succursale au DIX30», écrit-elle. Cela s'ajoute, comme le précisait La Presse hier, au Rona l'entrepôt et au Pier Imports qui quittent également Taschereau pour le DIX30, ainsi qu'au Wal-Mart qui songe à emboîter le pas. Et au-delà de la réflexion urbanistique, que prévoient concrètement les villes concernées? Pas grand-chose. La Ville de Longueuil compte actualiser l'automne prochain l'étude de réaménagement du boulevard réalisé à l'époque de la MRC Champlain, laquelle est restée lettre morte à ce jour. Quant à Brossard, elle compte planter des arbres pour revitaliser le boulevard. Le maire, Jean-Marc Pelletier, affirme avoir présenté d'autres idées dans le passé, comme une navette entre différents pôles, mais son statut minoritaire lui aurait fait mordre la poussière. «Il serait déraisonnable de penser que la Rive-Sud peut se passer de cette artère de circulation majeure», estime un chercheur de l'INRS.
  4. Le premier pas vers la matérialisation du rêve d'un Petit Maghreb sur la rue Jean-Talon vient d'être franchi. Nacer Boudi, propriétaire d'Atlas Net, Youcef Handi, co propriétaire du restaurant Walima, et le conseiller publicitaire du Journal de St-Michel, Claude Boulet, ont enfin réglé les questions de paperasse afin de créer l'association de commerçants de cette artère. «Présentement, cette direction n'est que temporaire, en attendant la première assemblée générale. Nous trois, nous sommes impliqués pour piloter le projet jusqu'à l'élection officielle du premier conseil d'administration», explique Nacer Boudi, visiblement fier de voir qu'enfin le Petit Maghreb devient de plus en plus réalité. Lors de cette assemblée, dont la date est encore à déterminer, les marchands pourront se prononcer sur leur accord avec le projet d'association, de développement de l'artère, sur le nom «Petit Maghreb» et enfin élire le premier conseil d'administration de l'association. Claude Boulet et lui tiennent à insister sur le côté rassembleur du projet. Un projet qui aura d'heureuses répercussions sur ce tronçon de la rue Jean-Talon, compris entre les boulevards St-Michel et Pie-IX. «L'association jouera plusieurs rôles dont ceux de défendre les droits des marchands, de promouvoir le Petit Maghreb en lui donnant un aspect maghrébin avec la coopération de la ville, comme ils l'ont fait avec la Petit Italie ou Chinatown, poursuit Monsieur Boudi. L'association permettra de travailler ensemble afin de revitaliser et d'embellir la rue Jean-Talon et de faire du Petit Maghreb un pôle attractif ce qui fera augmenter l'achalandage chez tous les commerçants.» La création d'un quartier Petit Maghreb est, semble-t-il, une première en Amérique du Nord, ce qui fera de lui un endroit unique à visiter pour tous les Maghrébins nostalgiques de leur pays. Un endroit de référence pour chaque Maghrébin ou simple voyageur de passage à Montréal. «On doit pouvoir arriver à faire de l'endroit quelque chose de reconnu. Que quelqu'un qui prend un taxi de l'aéroport pourra dire au chauffeur "Petit Maghreb!" et qu'il sache exactement où aller», ajoute Nacer Boudi. Un Petit Maghreb qui contribuera à l'enrichissement de la culture de la Métropole et même du Québec dans sa diversité. Le développement de cette artère aura certes un effet bénéfique sur l'achalandage des commerces situés sur celle-ci. Au-delà de l'aspect commercial La création d'un Petit Maghreb n'est pas tout pour Nacer Boudi. Il espère que la Ville s'impliquera activement dans ce processus afin de développer cette artère, de la transformer physiquement mais aussi pour mettre au point, avec d'autres associations de cette communauté, un genre de semaine de festivités maghrébines qui pourraient se dérouler dans le parc François-Perrault tout juste à l'arrière de la rue Jean-Talon. «Pour présenter la culture, les coutumes, les traditions, la cuisine du Maghreb, parce que c'est ça les vrais accommodements… apprendre à connaître et à respecter les valeurs de l'autre», souligne-t-il. Marchands de ce tronçon de la rue Jean-Talon, compris entre St-Michel et Pie-IX, et maintenant mieux connu sous le nom de Petit Maghreb, vous êtes invités à vous joindre en grand nombre à l'association à naître pour faire ce rêve une réalité, un endroit unique à travers toute l'Amérique du Nord
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