Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'ans'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. le 6 novembre 2007 Frank Zampino, président du comité exécutif et responsable des finances à la Ville de Montréal, et Sammy Forcillo, conseiller du district Sainte-Marie–Saint-Jacques et membre du comité exécutif, annoncent la vente du marché Saint-Jacques pour la somme de 2 300 000 $. L’administration municipale avait lancé un appel de propositions à la suite de la décision de relocaliser les services municipaux qui occupaient cet immeuble hébergeant un marché public depuis plus de 75 ans. «Cette transaction amène le nouveau propriétaire à conserver la vocation de marché public en louant la partie extérieure de l’immeuble à la Ville jusqu’en 2022. Cette condition est assortie de cinq options de renouvellement d’une durée de cinq ans chacune, de manière à respecter l’entente intervenue avec la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal qui exploite déjà cet espace», a commenté Franck Zampino. «De plus, le propriétaire est tenu de réserver le rez-de-chaussée du bâtiment à des commerces d’alimentation, ce qui permettra de relancer le développement commercial et économique du secteur», a-t-il argumenté. Retombées positives? Pour sa part, Sammy Forcillo a souligné que «la conservation et le renforcement de la vocation de marché alimentaire et public bénéficiera aux résidents du quartier qui profiteront de services d’approvisionnement additionnels. Le marché Saint-Jacques a marqué l’histoire de notre quartier et il fera encore la fierté de ses usagers, j’en suis certain ». Il s’est réjoui que la transaction vise également le maintien du caractère architectural du bâtiment construit en 1931. «Cet édifice de style art déco représente une valeur patrimoniale importante tant pour les résidents du quartier que pour l’ensemble de la population montréalaise», a conclu Sammy Forcillo.
  2. Les Québécoises travaillent davantage 6 novembre 2008 - 06h00 La Presse Francis Vailles Les politiques familiales au Québec ont incité un grand nombre de femmes à intégrer le marché du travail ou à y demeurer. C'est ce que constatent Luc Godbout et Suzie St-Cerny, coauteurs de l'étude sur la famille et la fiscalité. Selon l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), les frais de garde d'enfants élevés «ont un impact négatif sur l'incitation à travailler, les comportements en matière de procréation et les perspectives de carrière à long terme, en particulier pour les femmes». Or, le Québec s'est doté de services de garde à contribution réduite «qui a donc levé un important obstacle à l'emploi», font valoir les auteurs de l'étude. Les garderies à 5$ par jour, puis à 7$, semblent avoir eu un effet très net. Ainsi, le taux d'emploi des femmes de 25 à 44 ans est passé de 70,3% en 1998 à 79,3% en 2007, un bond de 9 points en 10 ans. Cette hausse est deux fois supérieure à celle des Ontariennes. Le taux d'emploi des Québécoises dépasse maintenant celui des principaux pays du G7, notamment la France (75,7%), le Royaume-Uni (73,7%), les États-Unis (71,9%) et l'Italie (60,8%). Les pays nordiques comme la Norvège et la Suède dépassent encore le Québec à cet égard, avec des taux respectifs de 82,5% et 82,3%, mais l'écart se rétrécit.
  3. Les bébés ont la cote au Québec Photo Alain Roberge, La Presse Ariane Lacoursière La Presse Depuis le début de l'année, les pouponnières ont été particulièrement achalandées au Québec. Si la tendance se maintient, plus de 84 000 bébés verront le jour en 2007 et la province enregistrera son plus grand nombre de naissances en 10 ans. Selon les plus récentes données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ), 41 250 poupons sont nés entre les mois de janvier et juin. «Une moitié d'année doit encore s'écouler. Mais si le taux de fécondité se maintient, on atteindra les 84 000 naissances», avance Normand Thibault, démographe à l'ISQ. L'an dernier, moins de 82 000 bébés avaient vu le jour au Québec. En 2005, on en avait dénombré un peu plus de 76 000. Cette année, on pourrait donc noter une hausse de 9% des naissances en deux ans. Mais cette tendance haussière ne devrait pas durer, avertit Normand Thibault. Car même si les femmes seront nombreuses à accoucher en 2007, on ne peut pas parler d'un mini baby-boom. «C'est que depuis le mois de janvier, le taux de fécondité s'est stabilisé autour de 1,63 enfant par femme. En fait, ce taux est stable depuis octobre 2006. On est comme sur un plateau», analyse M. Thibault. En 2005 et en 2006, le taux de fécondité avait connu une forte augmentation au Québec, dû à différents facteurs. «L'économie allait bien depuis trois ans. Ne pas avoir à s'inquiéter pour ses finances personnelles incite toujours les couples à avoir des enfants», explique M. Thibault. Selon lui, le fait que le gouvernement provincial ait mis en place une nouvelle politique de congés parentaux et qu'Ottawa ait adopté un programme de soutien aux familles d'environ 1000$ par enfant en 2006 a aussi encouragé plusieurs couples à procréer. Toutefois, les effets de ces mesures commencent déjà à s'atténuer selon M. Thibault, qui prévoit que le nombre de naissances se stabilisera dès l'an prochain. «D'après moi, le nombre de naissances s'élèvera entre 80 000 et 85 000 en 2008. Mais il est encore tôt pour le dire», précise-t-il. Même si la soudaine hausse des naissances ne semble que temporaire, le gouvernement est-il prêt à accueillir tant d'enfants dans son réseau de garderies? «Tout à fait», assure Jean-Pascal Bernier, l'attaché de presse de la ministre de la Famille, Michelle Courchesne. «Nous avions promis d'atteindre 200 000 places en garderies et nous l'avons fait. Pour notre prochain mandat, nous avons déjà annoncé que nous voulons ajouter 20 000 places. Et juste cet été, nous en avons déjà ouverts 2000. On est sur la bonne voie», explique-t-il. Selon M. Bernier, cette nouvelle hausse des naissances est une bonne nouvelle pour le Québec. Et les retombées seront particulièrement positives dans le réseau scolaire. «On parle souvent de fermer des écoles parce qu'il n'y a pas assez d'élèves. Ce problème sera en partie réglé!» se réjouit-il.
  4. 13/08/2007 Un nouveau lien routier entre Montréal et Laval pourrait être construit grâce au prolongement de l'autoroute 440. Le tracé passerait par Sainte-Dorothée, traverserait la rivière des Prairies et se rendrait à l'autoroute 40 via l'Île-Bizard, Pierrefonds et Kirkland. Ce sont les travaux de prolongement des autoroutes 25 et 30 qui ont ravivé cette vieille idée. Le projet avait déjà été présenté une première fois il y a 35 ans, mais il avait été mis sur la glace après le moratoire de 1977. Les maires de l'ouest de l'île préfèreraient un boulevard urbain, mais le maire de Laval Gilles Vaillancourt croit qu'une autoroute est la seule solution pour régler les problèmes de circulation.
  5. Voici un exemple de modèle alternatif que j'aime bien: on voit au-delà du capitalisme primaire "profit-only", sans non plus tomber dans l'ANTI-capitalisme primaire, tout en améliorant la société, et en participant à l'économie active. C'est ce type de choses originales, plus "sociales", qui fait l'originalité de notre système québécois. Malgré ses défaillances, ça me persuade qu'il y a du bon à conserver là-dedans. Yeah. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201012/28/01-4355805-un-modele-unique-en-amerique-du-nord.php
  6. Ca confirme ce que je pensais. Vivre a Québec sans permis de conduire c'est carrément impossible. Peu de transport en commun = peu d'attrait pour avoir des immigrants. En plus on accepte pas d'equivalence pour les permis de conduire pour beaucoup de pays étrangers. Les immigrants sont obligé de se retaper des examens pour avoir leur permis de conduire. Meme si certains conduisent depuis 20 ans. Pas grave on s'en fout de dépenser tellement pour accueillir des immigrants pour les voir partir par la suite. 65 famille sur 200 famille népalaise qui sont partie vers l'ontario. http://www.ledevoir.com/politique/ville-de-quebec/453959/exode-canadien-pour-les-refugies-de-quebec
  7. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/international/2016/06/25/006-brexit-jeunesse-colere-referendum-royaume-uni-union-europeenne.shtml International La grande désillusion des jeunes Britanniques Publié le samedi 25 juin 2016 à 21 h 27 Le reportage de Jean-François Bélanger Disparités entre les classes sociales, opposition entre les régions... et choc des générations : les résultats du référendum sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (UE) mettent en lumière d'importantes divisions au sein de la société britannique. Des jeunes, en colère, sont convaincus d'avoir été trahis par leurs élites. Un texte de Vanessa DestinéTwitter Courriel Pour beaucoup de jeunes Britanniques, le réveil a été brutal le 24 juin. La victoire du camp pro-Brexit leur laisse un goût amer auquel se mêlent également l'incompréhension et la peur. Environ 75 % des 18 à 24 ans ont donné leur appui au camp « rester » contre 39 % des 65 ans et plus, selon un sondage du groupe YouGov, réalisé après la fermeture des bureaux de vote. Le camp « Partir » a finalement remporté la victoire avec 52 % des voix. Incertitude économique De nombreux jeunes redoutent les conséquences du Brexit sur leur génération. Des inquiétudes relatives aux contrecoups économiques ont régulièrement été soulevées au cours des derniers jours. Les souvenirs de la crise financière de 2008 restent particulièrement vifs dans l'esprit de bien des jeunes interviewés par les médias britanniques. Selon une étude de l'Institute for Fiscal Studies, un groupe de recherche anglais, même si tous les groupes d'âge ont vu leurs revenus fondre au cours de la crise de 2008, les personnes âgées de 30 ans et moins sont celles qui ont subi les impacts les plus importants. Les jeunes Britanniques craignent qu'une situation similaire se reproduise avec les résultats de vendredi. C'est notamment le cas de Megan Dunn, de l'Union nationale des étudiants, une organisation qui représente près de 600 associations étudiantes. Elle croit que le résultat « aurait des conséquences importantes sur les étudiants et leur futur ». Dans une lettre ouverte envoyée à David Cameron quelques heures avant sa démission, Mme Dunn soutient que « la voix des jeunes devait dorénavant être plus entendue et représentée dans les étapes à venir » pour officialiser la sortie du Royaume-Uni. Nous savons que cette décision affectera plus les jeunes que tous les autres groupes et il serait mal avisé que les générations plus âgées dominent la conversation et les décisions. Un extrait de la lettre de Megan Dunn Une autre inquiétude soulevée par la victoire des troupes de Nigel Farage, chef du Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni, est celle de la normalisation des discours nationalistes de droite. Pour des sympathisants du camp « rester », la décision de sortir de l'UE repose, entre autres, sur des courants xénophobes. Ils craignent de voir leur pays se refermer sur lui-même et que leur gouvernement soit moins enclin à accueillir des réfugiés. Réactions sur les réseaux sociaux De nombreux jeunes internautes se sont emparés des réseaux sociaux pour partager leurs émotions. Sur Twitter notamment, les mots-clics #NotInMyName (pas en mon nom), #IVotedRemain (j'ai voté pour rester) et #WhatHaveWeDone (qu'avons-nous fait) réunissent des membres des générations Y et Z, mais aussi de jeunes parents issus des X, qui se disent inquiets pour l'avenir de leurs enfants. La jeunesse britannique ne mâche pas ses mots envers ses aînés. Certains de ses représentants vont même jusqu'à accuser les baby-boomers d'avoir carrément hypothéqué leur futur. « Je suis tellement en colère. Une génération qui s'est tout fait donner : l'éducation gratuite, des fonds de pension dorés, une grande mobilité sociale. [Cette génération] a voté pour arracher tout futur à la mienne », écrit Adam Newman, un résident de Bristol, sur Twitter. « Je me suis endormi au 21e siècle. Je me suis réveillé dans une espèce de cauchemar d'extrême droite à l'accent médiéval. Je m'inquiète pour l'avenir de mes enfants », écrit pour sa part Frazer Lee. « Rendu là, je préférerais faire partie seulement de l'Union européenne plutôt que du Royaume-Uni », dit Leigh. « Honnêtement, je n'ai jamais été aussi dégoûtée des Anglais. Le racisme, la peur et l'ignorance ont gagné », a partagé Kate Llewellin. À quelle génération appartenez-vous? Pour la plupart des sociologues, les baby-boomers regroupent les individus nés entre 1947 et 1966. La génération X englobe les individus nés entre 1967 et 1981 et celle des Y, les individus nés en 1982 et 1996. Finalement la Z représente les personnes nées à partir de 1996. L'appellation millenials ou génération du millénaire en français, regroupe quant à elle les individus des générations Y et Z. Avec CBC et CNN
  8. Myriam Chauvot / Journaliste | Le 13/10 à 12:51, mis à jour le 14/10 à 06:48 Colas, la filiale routière de Bouygues, a conçu un revêtement pour routes et parkings avec des cellules photovoltaïques. En couvrir 2,5% des surfaces routières assurerait 10% des besoins énergétiques de la France. On connaissait l’autoroute du soleil, voici maintenant la route solaire. Ou plutôt la route (ou le parking) photovoltaïque, véritable centrale qui produira de l’électricité par la simple exposition de son revêtement au soleil. Colas, la filiale de travaux routiers du groupe Bouygues, a procédé ce mardi au lancement commercial de cette première mondiale, sous le nom de « Wattway ». En phase d’industrialisation, le revêtement composé de cellules photovoltaïques sera vendu à compter de janvier, au terme de cinq ans de recherche avec l’Institut national de l’énergie solaire (Ines). « Il n’y a pas besoin de refaire les infrastructures, explique le PDG de Colas, Hervé Le Bouc. Il s’agit d’un revêtement routier commercialisé sous forme de dalles qui s’appliquent sur les routes ou parkings ». Ces dalles* (comprenant chacune une cellule photovoltaïque classique de 15 centimètres de côté) sont collées à la route existante et recouvertes d’un substrat de résines supportant la circulation des véhicules, y compris les poids lourds. Un véritable millefeuille, étanche et conçu pour ne pas être plus abrasif ou glissant qu’un revêtement routier normal. « A Chambéry et Grenoble, on a testé Wattway avec succès sur un cycle d’un million de véhicules, soit vingt ans de trafic normal d’une route, et la surface ne bouge pas », assure Hervé Le Bouc. C’est un tour de force car, précise t-il, « les panneaux photovoltaïques, en tant que tels, sont fragiles et s’écraseraient comme des biscottes. Tout le savoir-faire de Colas, protégé par deux brevets, réside dans la nature du revêtement transparent qui les protège ». La zone équipée est reliée par une connectique souterraine à un système qui récupère l’énergie produite par l’exposition au soleil de ces panneaux. « Des onduleurs renvoient l’énergie sur le réseau ERDF. Ou alors les logements peuvent y être directement branchés », précise le PDG de Colas. Un kilomètre de route peut éclairer une ville de 5.000 habitants Les applications sont multiples : éclairage public, alimentation des affichages lumineux des abribus ou des feux rouges en zone urbaine, ou encore besoins des habitations en zones peu peuplées. Les dalles Wattway, dont le rendement énergétique est proche des panneaux photovoltaïques des fermes solaires, ont été testées avec succès par trois démonstrateurs, dont des entrées de parking, notamment. D’après les estimations de l’ADEME, 4 mètres linéaires de chaussée équipée (soit 20 m²) suffisent aux besoins d’un foyer en électricité (hors chauffage), 15 m2 alimentent les feux d’un carrefour et un kilomètre de route peut éclairer une ville de 5.000 habitants. Wattway peut aussi recharger les véhicules électriques par induction : 100 m2 fournit l’énergie pour rouler 100.000 kilomètres par an, selon l’INES. « Si on recouvrait un quart des routes, on assurerait l’indépendance énergétique de la France, souligne Hervé Le Bouc. En dotant 2,5% des surfaces d’un tel revêtement solaire, on couvrirait déjà 10% des besoins. Cela montre l’enjeu derrière ce projet ». Wattway va monter en puissance progressivement sur trois ou quatre ans. « Nous proposons dans un premier temps à des clients d’en équiper de petites surfaces : des parkings d’hypermarchés ou des tronçons de voies, par exemple sur une zone d’une centaine de m2, pour tester en conditions réelles le produit, ajoute-il. D’ici à quatre ans, en rythme de croisière, on pourra équiper des tronçons de plusieurs kilomètres». Visite de François Hollande Suite à la visite par François Hollande du troisième démonstrateur, fin août, « nous avons reçu des dizaines d’appels téléphoniques de collectivités locales, de gestionnaires de lignes de bus pour l’alimentation d’abribus, d’acteurs de la grande distribution pour leurs parkings, se félicite le PDG. Nous avons 1.000 agences commerciales dans 50 pays. D’ici fin juin nous aurons achevé la formation d’un commercial par agence. Nous allons commencer la commercialisation par nos 400 agences françaises, qui vendront Wattway à partir de janvier et nous n'aborderons les marchés étrangers, à commencer par l’Amérique du Nord, que dans un second temps. Mais des pays comme le Danemark, par exemple, ont aussi montré un intérêt fort ». Evidemment, reste la question du coût. « Nous serons au même prix qu’une ferme solaire, de manière à constituer une alternative à ce mode de production d’électricité photovoltaïque », explique t-il. Ensuite, tout dépend de la réglementation fixant le tarif réglementé de rachat de cette énergie verte, qui déterminera l’envie des clients de s’en équiper car ils opteront probablement pour la revente sur le réseau d’ERDF, plus rentable que l’auto-consommation. Mais, note Hervé Le Bouc, « dans l’immédiat, la motivation des clients est ailleurs. Elle réside dans l’image du produit, le fait de faire passer un message vert ». En savoir plus sur : Les Echos (avec vidéoreportage et diaporama)
  9. http://www.lapresse.ca/arts/musique/201610/13/01-5029959-le-metropolis-va-se-refaire-une-beaute.php <!-- .excerpt --> Le Métropolis subira une cure de rajeunissement l'an prochain. Son propriétaire, l'Équipe Spectra, cherche actuellement un partenaire-commanditaire pour mener à bien des travaux qui doivent commencer au printemps et se terminer à temps pour la saison des festivals. Il n'est pas question de fermer la salle de spectacle pendant ce réaménagement, qui ne touchera pas à sa structure. «C'est le 20e anniversaire de l'acquisition du Métropolis par Spectra, le 375e de Montréal, et le Quartier des spectacles est vraiment en ébullition. On veut y participer, et c'est un bon moment pour faire ces investissements-là», affirme Jacques-André Dupont, président de l'Équipe Spectra. À 132 ans bien sonnés, le Métropolis n'a pas subi de baisse de fréquentation récemment et sa réputation est bien établie. Le magazine spécialisé Pollstar le classe bon premier au Canada et 13e au monde dans sa catégorie de salle. «Mais comment fait-on pour passer de la 13e à la 4e place au monde et pour que les artistes et le public qui nous adorent nous adorent encore plus?» demande Jacques-André Dupont. «Il faut garder cet actif-là en parfait état et, tant qu'à investir, on va essayer d'aller plus loin et de créer un lieu qui va nous mener vers les 20 prochaines années.» Agrandir Jacques-André Dupont, président de l'Équipe Spectra, qui est propriétaire du Métropolis. Photo Ivanoh Demers, Archives La Presse S'ouvrir sur la rue L'Équipe Spectra veut surtout investir dans l'aspect technologique du Métropolis pour être à la fine pointe de ce qui se fait ailleurs dans le monde. Son président tient également à ce qu'il soit plus accueillant pour les spectateurs et qu'il prenne un peu plus de place au coeur du Quartier des spectacles. «On pourrait ouvrir davantage sur la rue Sainte-Catherine, dit M. Dupont. Notre façade pourrait être plus large que présentement. C'est un petit sas pour entrer dans le Métropolis, et j'aimerais que ce soit plus accueillant. Il y aurait même la possibilité d'ouvrir une terrasse sur la [rue] Sainte-Catherine si on voulait. J'aimerais bien également avoir un accès direct au Savoy. Présentement, pour accéder à cette boîte, il faut entrer par le Métropolis.» Il est également question de changer les systèmes de son de la salle, de rénover les loges des artistes, les toilettes, les guichets, les bars ainsi que, peut-être, les loges au balcon et les corbeilles de chaque côté de la scène. «On a trois objectifs: on veut que le public voie la différence et que son expérience soit améliorée, que les artistes soient mieux accueillis et que les techniciens trouvent ça encore plus facile de travailler chez nous.» Changement de nom? M. Dupont parle d'un investissement «dans les sept chiffres» dont la hauteur dépendra de l'implication du partenaire à dénicher. Ce commanditaire éventuel pourrait provenir du monde médiatique ou encore du milieu technologique, plus présent que jamais dans les arts de la scène. Des pourparlers ont déjà été entrepris, et M. Dupont espère que le partenariat sera scellé d'ici la fin de l'année. Le Métropolis pourrait-il changer de nom et devenir la vitrine d'un commanditaire, comme son grand cousin du Groupe CH, le Centre Bell? «Il est tôt pour parler de cela, mais nous serions ouverts à explorer cette option avec le bon partenaire - un partenaire qui, au-delà d'une contribution financière, partagera nos valeurs et notre attachement au Métropolis et à la métropole», répond Jacques-André Dupont. Le Métropolis au fil des ans 1884: Ouverture du Théâtre français. 1923: Après un incendie qui le détruit complètement à la fin du XIXe siècle, il est reconstruit et sera converti en salle de cinéma. 1930: Au début de la décennie, il est encore la proie des flammes. Il sera rénové et décoré par Emmanuel Briffa, qui a également décoré le Théâtre Outremont. 1960: Le théâtre devient une salle de cinéma érotique. 1987: Le Métropolis rouvre ses portes après une fermeture qui aura duré sept ans. Il a une double vocation de discothèque et de salle de spectacle. 1997: L'Équipe Spectra achète le Métropolis et le réaménage quelques années plus tard pour qu'il soit consacré uniquement au spectacle. w.lapresse.ca/arts/musique/201610/13/01-5029959-le-metropolis-va-se-refaire-une-beaute.php
  10. Bonne nouvelle! Dans la presse. Immobilier: plus forte hausse des prix en cinq ans a Montreal | MAXIME BERGERON | Immobilier Immobilier: plus forte hausse des prix en cinq ans à Montréal
  11. http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/quebec/201608/24/01-5013543-le-point-de-vue-deuropeens-en-visite-a-montreal.php Un nombre croissant d'Européens choisissent de venir passer leurs vacances au Québec. On les croise quotidiennement dans le Vieux-Montréal et à Québec, mais aussi en Mauricie, sur la Côte-Nord, en Gaspésie, au Lac-Saint-Jean, et même dans les pourvoiries éloignées des grands centres, où ils constituent souvent plus de la moitié de la clientèle. Une promenade dans le Vieux-Montréal nous a permis d'en rencontrer quelques-uns. Famille Blancher (Julie, Emmanuel et leurs filles Anna, 10 ans, et Lilly, 6 ans) Originaire de: Limoges (France) Durée du voyage: 2 semaines Itinéraire: Toronto, chutes du Niagara, Ottawa, parc de la Mauricie, Québec, Baie-Saint-Paul, Tadoussac, fjord du Saguenay, Montréal «Notre grand coup de coeur, c'est le fjord du Saguenay, mais nous avons beaucoup aimé la nature sauvage, tous ces grands espaces, c'est magnifique! Nous avons été très étonnés par le côté américain des grandes villes - la largeur des rues, la hauteur des immeubles, etc. - et par le côté cosmopolite de Montréal. Nous avons aussi été frappés par la grande gentillesse des gens, par leur ouverture.» Hahhah Herty Originaire de: Nuremberg (Allemagne) Durée du voyage: 2 mois Itinéraire: Montréal (depuis trois semaines), Québec, Tadoussac, les parcs nationaux, éventuellement le Nouveau-Brunswick «Je suis venue suivre des cours de français, mais pour ça, j'aurais mieux fait d'aller en France parce que tout le monde est bilingue ici. Dès qu'ils voient que je bloque, les gens me parlent en anglais! dit-elle en riant. Plus sérieusement, j'aime beaucoup l'ouverture d'esprit des gens, on peut parler de tout, même de politique. J'ai eu de superbes conversations dans mes cours. L'atmosphère de Montréal me plaît beaucoup. C'est très cool!» Famille Audenino (Claire, Alain et leur fils, Guillaume, 18 ans) Originaire de: Versailles (France) Durée du voyage: 15 jours Itinéraire: Toronto, Montréal, Québec, fjord du Saguenay, Montréal «En ville, ce qui nous étonne le plus, c'est le mélange des cultures européenne et américaine. On se sent comme entre les deux, c'est très agréable», dit Alain. «Montréal est très cool, on se sent en sécurité partout, ajoute sa femme. Et évidemment, la nature, les grands espaces... tout est plus grand ici qu'en Europe!» Stéphane Binke et sa fille Marion, 17 ans Originaire de: Cannes (France) Durée du voyage: 15 jours Itinéraire: Montréal et Laurentides «C'est la troisième fois que nous venons, et chaque fois nous sommes émerveillés. Les deux premières fois, nous avons fait un grand tour (Québec, Saguenay, Tadoussac, Gaspésie, etc.). Cette fois, comme nous avons des amis à L'Estérel, nous avons choisi de rester un peu plus sur Montréal. Vous êtes bien, ici. Il y a une zénitude qu'on ne trouve plus en France. D'ailleurs, j'espère pouvoir venir m'installer. C'est un peu pour ça que nous sommes là.» Famille Bouëxel (Patrice, Béatrice et leurs enfants Théa, 16 ans, et Maxime, 20 ans) Originaire de: Paris, mais Bretons d'origine (France) Durée du voyage: 3 semaines Itinéraire: Toronto, Mille-Îles, Ottawa, Tremblant, Québec, La Malbaie, fjord du Saguenay, Lac-Saint-Jean, Montréal «Ce qui nous épate, ce sont bien sûr tous ces grands espaces, mais aussi la gentillesse des gens, leur accueil, leur ouverture. La propreté, aussi, notamment dans le métro, on ne voit pas ça chez nous!» Famille Sanchez (Michaël, Caroline et leurs enfants Kyan, 3 ans, et Arvin, 1 an) Originaire de: Paris (France) Durée du voyage: 3 semaines Itinéraire: Toronto, Montréal, Mauricie, Lac-Saint-Jean, fjord du Saguenay, Québec «Nous venons de mettre le pied à Montréal. Nous avons beaucoup aimé Toronto, c'est une ville intéressante. À Montréal, ce qui nous frappe pour l'instant, c'est qu'il y a beaucoup de travaux!»
  12. Je savais que l'Ontario rattrapait rapidement le Québec mais il me semble maintenant que c'est chose faite! Le QC est donc en 3e place après TNL et l'Ontario. L'Alberta risque de devancer le Québec dans les prochaines années également. Qui aurait cru ce revirement il y a 5 ans? http://www.debtclock.ca/provincial-debtclocks/ontario/
  13. Bonne année 2017 et vivre mtlurb! Dix ans déjà!
  14. IluvMTL

    Infoman

    «10 cm de neige, ce qui n'arrive qu'une fois aux 25 ans à Paris se produit à peu près aux 2 jours à Montréal.» Un autre épisode savoureux d'Infoman à voir! ? Emission du 15 decembre 2016 | Infoman | ICI Radio-Canada - Tele
  15. Les archives de Montréal Qui sommes-nous? Nos archives Nos expositions virtuelles Connaître l’histoire de Montréal Accueil Nouvel horaire de la salle de consultation des archives Depuis le 9 août dernier, la salle de consultation des archives est dorénavant fermée les lundis pour nous permettre de développer de nouveaux outils de recherche pour nos usagers et d’améliorer notre offre de services sur le site web Archives de Montréal. Notre nouvel horaire est donc du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h à 16 h 30. Les Archives de Montréal et le Web 2.0La Section des archives de la Ville de Montréal utilise les médias sociaux avec l’intention de rendre l’histoire de Montréal accessible à tous et par tous les canaux possibles. Nous sommes présents par notre blogue Archives de Montréal, nos comptes Facebook et Twitter, notre site de photos Flickr et notre canal You Tube. Consultez-les et abonnez-vous! Le Guide des archives Les procès-verbaux du Conseil municipal - 2001-2010 Les règlements municipaux depuis 1840 Les fonds et collections d'archives reliés à Expo 67 Montréal, 500 ans d'histoire en archives La démocratie à Montréal La Roulotte, une demi-siècle de magie! Le centenaire du canadien La parade de la Coupe Stanley de 1966 La parade de la Coupe Stanley de 1971 Consultez d'autres albums photos sur Flickr Communiqués Pour nous joindre Liens rapides > Guide des archives > Ligne du temps > Maires de Montréal > Rues de Montréal > Photographies de Montréal (1930-1960) > Photographies du Québec (1910-1950) > Expo 67 > Expo 67, 40 ans Liens utiles > Répertoire toponymique > Jacques Viger. L'album Viger : Souvenirs canadiens > Jeux olympiques de 1976 > Le patrimoine du Vieux-Montréal > Centre d'histoire de Montréal > Bibliothèque de Montréal > Bibliothèque et Archives nationales du Québec > Bibliothèque et Archives Canada > Société historique de Montréal ® Tous droits réservés, Ville de Montréal http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=165,114997&_dad=portal&_schema=PORTAL
  16. http://journalmetro.com/actualites/montreal/756997/mille-voitures-electriques-en-libre-service-dici-5-ans/ 1000 voitures électriques en libre service d'ici 5 ans à Montréal 14/04/2015 Mise à jour : 14 avril 2015 | 19:42 Ajuster la taille du texte Mille voitures électriques en libre-service d’ici 5 ans Par Mathias Marchal Métro Montréal disposera d’ici 5 ans d’un réseau de 1000 autos électriques en libre-service. C’est ce qu’a annoncé le maire Denis Coderre en conférence de presse mardi. «Avec ce projet, Montréal fait d’une pierre quatre coups: déployer un système de véhicules électriques en libre-service, encourager tous les véhicules électriques car les bornes de recharge seront accessibles à tous, diminuer les gaz à effet de serre et positionner la ville en tant que leader dans l’électrification des transports», a déclaré M. Coderre. Un appel international d’intérêts sera lancé en juin aux entreprises intéressées afin de mieux cerner les besoins et «bâtir un système typiquement montréalais». Il aboutira au lancement d’un appel de propositions en octobre pour trouver une entreprise qui installera et gérera le réseau, les bornes de recharge restant de la responsabilité de la Ville et ses partenaires (Stationnement de Montréal, Hydro-Québec et la Commission des services électriques). Impossible par contre de savoir si, au terme du processus de sélection, il restera un ou plusieurs fournisseurs de service, comme c’est le cas actuellement avec car2go et Auto-mobile. Pressé de questions, le maire est resté flou sur le sujet, indiquant que cela serait tranché plus tard dans le processus. Pour l’opposition officielle, l’idée de lancer un appel d’offres indique d’ores et déjà qu’un seul fournisseur sera retenu. «Ça a toute les apparences d’un appel d’offres dirigé pour favoriser l’entreprise AutoLib’ [NDLR : service de libre-service en vigueur de Paris], le maire ayant déjà rencontré le patron de cette entreprise», a déclaré Alex Norris, un élu de Projet Montréal. «La batterie des Bluecar de Bolloré [le groupe français qui fournit les véhicules d’Autolib’] est plus performante (250km en ville). Il suffirait donc de mettre des critères élevés d’autonomie de la batterie pour favoriser l’entreprise», indique Vincent Dussault, blogueur pour RoulezÉlectrique.com. «Si la Ville veut des véhicules électriques, pourquoi ne joue-t-elle pas avec le système de vignettes universelles déjà en place pour favoriser les véhicules électriques et financer un réseau de recharge public», se questionne t-il. En attendant le début du déploiement du nouveau système, dès 2016, le centre-ville et les arrondissements, jusqu’ici récalcitrants, pourront adopter le système de vignette universelle 403 permettant à Auto-mobile et car2go d’étendre leur offre. Les maires des arrondissements de Ville-Marie, Hochelaga-Maisonneuve et Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension ont déjà indiqué leur intention de déployer cette vignette. Les représentants de car2go et Auto-mobile ont tous deux salué la nouvelle de l’électrification future du système d’autos en libre-service auquel ils affirment vouloir participer. Auto-mobile disposera dès cet été de 60 autos 100% électriques sur le territoire, en plus de véhicules hybrides . Et si les 340 autos Smart de car2go fonctionnent à l’essence, l’entreprise américaine propose des Smart électriques sur trois marché: Austin, Amsterdam et Stuttgart. 30 La Ville veut réduire de 30% ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020 par rapport aux données de 1990. Elle compte aussi sur l’électrification des autobus et des véhicules municipaux.
  17. http://journalmetro.com/plus/vacances/972394/chasse-aux-fantomes-a-griffintown/ 31/05/2016 Mise à jour : 31 mai 2016 | 23:20 Chasse aux fantômes à Griffintown Par Dominique Cambron-Goulet Métro Des vestiges de l’église Sainte-Anne sont encore bien visibles aujourd’hui. Chantal Levesque/Métro Il n’y a pas que les châteaux d’Écosse qui sont remplis de fantômes. Certains lieux de la métropole recèlent des histoires à faire peur, et il est possible de les découvrir grâce aux visites guidées de Montréal hanté. Aperçu de la visite du Griffintown hanté. Histoire du quartier Le premier arrêt de cette tournée du Griffintown hanté est un terrain abandonné de la rue Barré. «C’est ici que j’explique l’histoire de Griffintown, précise Donovan King, fondateur de Montréal Hanté. Durant la famine de 1847, Griffintown est devenu le bidonville le plus célèbre du Canada parce que 75 000 réfugiés irlandais y sont débarqués, alors que le quartier ne comptait auparavant que 50 000 citoyens.» Peu après, une épidémie de typhus a ravagé Griffintown, et de nombreuses fosses communes y ont été creusées. Héritage irlandais Ces Irlandais ont amené bien des traditions avec eux. «Lors des funérailles, il n’était pas rare que les corps soient exposés debout et que les gens festoient ou même dansent avec le cadavre, explique M. King près des vestiges de l’église Sainte-Anne, dans le parc du Faubourg-Sainte-Anne. Il y a trois ans, un homme qui magasinait un condo a vu un prêtre fantôme se matérialiser ici, ainsi qu’un cercueil avec un chœur d’enfants.» Écrasement meurtrier Une tragédie méconnue est survenue à Montréal en 1944, quand un bombardier qui avait décollé à Dorval s’est écrasé dans Griffintown, tuant les 5 membres d’équipage et 10 personnes au sol, et détruisant triplex. «Des gens disent qu’il s’agit d’un sabotage. En effet, un enfant a trouvé une pièce d’or sur le site de l’écrasement, et on sait que les joyaux de la Couronne étaient gardés dans l’édifice de la Sun Life durant la Deuxième Guerre mondiale», raconte Donovan King. Il n’a toutefois jamais été prouvé que les joyaux se trouvaient à bord du bombardier. La prostituée sans tête Un arrêt au coin des rues William et Murray, le lieu que hanterait le fantôme de Mary Gallagher, est le clou de la visite. «Le 27 juin 1879, Mary Gallagher, une prostituée de 38 ans, a été massacrée par sa meilleure amie, Suzy Kennedy, raconte Robusquet, comédien qui sert de guide pour le parcours en français. Tous les sept ans depuis 1879, des gens voient son fantôme décapité errer ici. Apparemment, elle chercherait sa tête.» Sa dernière apparition date de 2012. Oserez-vous aller vous promener à cette intersection en 2019? Infos Les comédiens-guides de Montréal hanté offrent depuis quelques années des visites des lieux hantés de Montréal en anglais. À partir du 3 juin, des excursions en français auront lieu les vendredis à 20 h, et ce, jusqu’au 7 octobre. Les visites du Griffintown hanté et du mont Royal hanté sont offertes en alternance.
  18. Les Québécois deviennent de plus en plus entrepreneurs Publié le 20 mai 2016 à 22h02 GILBERT LEDUC Et si les Québécois avaient finalement attrapé la piqûre de l'entrepreneuriat? Les premiers résultats d'une enquête du Global Entrepreneurship Monitor (GEM) - qui sera publiée en juin - portant sur l'activité entrepreneuriale dans plusieurs économies développées à travers le monde tendent à confirmer le bien-fondé de cette assertion. Cette semaine, à l'occasion du 41e congrès de l'Association des économistes québécois, le professeur Marc Duhamel, de l'Institut de recherche sur les PME de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), a levé le voile sur l'un des volets de cette enquête réalisée dans le cadre d'un projet d'envergure internationale - lancé il y a près d'une vingtaine d'années - visant à évaluer les activités entrepreneuriales dans une centaine de pays. Les experts mesurent, entre autres, le taux d'activité entrepreneuriale émergente, c'est-à-dire l'activité entrepreneuriale des personnes âgées de 15 à 64 ans qui amorcent le démarrage de leur entreprise et qui ont versé moins de 42 mois de salaires. Selon le scoop révélé par Marc Duhamel, le taux d'activité entrepreneuriale émergente au Québec est de 13,3 %, ce qui place la Belle Province au premier rang parmi une trentaine de pays et régions. Le Québec devance notamment le Canada (13,2 %), les États-Unis (11,9 %) et l'Allemagne (4,7 %). L'an dernier, le Québec (10,5 %) se classait au neuvième rang. «Il s'agit d'un portrait très encourageant de la situation entrepreneuriale au Québec», a souligné l'économiste de l'UQTR. Un résultat qui est lié aux constats émis, ces dernières années, par la Fondation de l'entrepreneurship qui publie annuellement l'Indice entrepreneurial québécois, un outil mesurant l'intérêt des Québécois à se lancer en affaires. L'an dernier, l'Indice entrepreneurial québécois notait une légère hausse des taux d'intentions d'entreprendre et de démarches par rapport à 2014, principalement en raison du dynamisme des jeunes de 18 à 34 ans. Génération différente François Gilbert est pdg d'Anges Québec, un regroupement de 180 anges investisseurs. «Je passe ma vie avec des jeunes entrepreneurs qui veulent se lancer en affaires», a-t-il précisé. Il n'a pas besoin de consulter des études et des enquêtes pour se rendre compte de l'engouement des jeunes pour l'entrepreneuriat. «La volonté d'entreprendre est perçue de plus en plus positivement par les jeunes», a-t-il mentionné. «Il y a quatre ou cinq ans, lorsque je me rendais rencontrer les finissants de l'École de technologie supérieure à Montréal pour parler d'entrepreneuriat, il y avait une vingtaine de personnes dans la salle. Cette année, elles étaient au moins 80. «J'entends encore les responsables dans les universités me supplier de les aider pour faire connaître l'entrepreneuriat aux étudiants. Aujourd'hui, ces derniers cognent à leurs portes pour soumettre des projets d'entreprise.» François Gilbert a constaté également que la jeune génération d'entrepreneurs est bien différente des précédentes. Les jeunes vont préférer se lancer en affaires en groupe plutôt qu'en solitaire parce qu'ils désirent avoir une vie plus équilibrée et ne pas se taper des semaines de travail de 80 heures. «Ils veulent faire de l'argent. Ils veulent créer des emplois. Ils veulent surtout être des entrepreneurs responsables et respectueux du milieu dans lequel ils vivent», a ajouté M. Gilbert en signalant le cas d'un jeune brasseur qui tient à donner 5 ¢ pour chaque bouteille de bière vendue à des projets communautaires. «Dépassé, le Québec inc.» Par ailleurs, il a noté que les jeunes gens d'affaires ne se reconnaissent pas dans le fameux Québec inc. «C'est un peu dépassé. Il va falloir probablement le recréer, le Québec inc.» Le pdg d'Anges Québec a également insisté sur l'apport des immigrants. «Il ne faudrait pas sous-estimer l'envahissement des entrepreneurs français présentement au Québec. Les jeunes Français trouvent la situation actuelle décourageante dans leur pays. Ils sont très nombreux à mettre le cap sur le Québec.» Pour François Gilbert, les entrepreneurs québécois, en général, ont encore des croûtes à manger pour rayonner à l'étranger. «Nos entrepreneurs sont excellents pour développer des produits. Il faut maintenant qu'ils apprennent à les vendre.» Pdg de Teralys Capital, le plus grand investisseur spécialisé en innovation au Canada, Jacques Bernier croit, pour sa part, que le Québec a tous les atouts dans son jeu pour se démarquer économiquement. «Les entrepreneurs sont beaucoup plus ouverts sur le monde que nous l'étions, il y a 20 ou 30 ans. Ils bénéficient d'avantages structurels et fiscaux très favorables et de la chaîne de financement la plus complète au Canada.» «Nous devons maintenant passer d'un environnement de start-up à celui d'un scale-up. Nos entreprises qui réalisent actuellement des ventes de 10 millions $ doivent viser les 100 millions $.» L'agence de rencontre des fortunés et des jeunes pousses Costco et Yahoo! n'ont pas toujours été des multinationales. À une époque, elles n'étaient que de minuscules entreprises en démarrage. Pour les aider à faire leurs premiers pas, elles ont pu bénéficier des billets verts d'anges investisseurs. «Au Québec, un ange investisseur doit avoir au moins 1 million $ disponible pour investir», explique François Gilbert, pdg du réseau Anges Québec qui rassemble 180 membres. «En passant, des gens riches au Québec, il y en a beaucoup plus que l'on pense. Et ce ne sont pas toujours les plus visibles.» «Les anges sont des hommes et des femmes qui ont eu une belle carrière, qui ont vendu leur entreprise, qui ne veulent plus être des entrepreneurs à temps plein, mais qui veulent demeurer actifs», poursuit François Gilbert, qui participait, cette semaine, au 41e congrès de l'Association des économistes québécois. «Ce qu'un ange fait de plus important pour un entrepreneur, ce n'est pas d'investir de l'argent dans sa compagnie, mais plutôt d'investir du temps pour lui. Pas pour le contrôler. Pour l'aider à devenir meilleur.» L'entrepreneur qui se lance en affaires fracasse d'abord son petit cochon. Il demande aussi de l'amour en espèces sonnantes et trébuchantes - du love money - à ses parents et amis. Il se tourne également vers le capital de risque. «Les anges, eux, mettent de l'argent sur la table au moment où personne ne veut le faire.» Aux États-Unis, sur une période de 10 ans, le capital de risque a investi, en moyenne, 29,4 milliards $US par année dans les entreprises en démarrage. Les anges investisseurs, pour leur part, ont déplié 22,6 milliards $US. L'apport du love money est encore plus considérable : 60 milliards $US. Quant au nombre d'investissements, le capital de risque en a réalisé 3606 en 2014. Les anges, 73 000. 110 M$ pour le démarrage Depuis 2008, les membres d'Anges Québec ont réalisé 97 investissements dans 64 entreprises. «Dans 50 % des cas, il y a eu deux ou trois investissements dans la même entreprise», fait remarquer François Gilbert. C'est le cas, notamment, du fabricant des produits de thérapie cellulaire de Québec, Feldan Therapeutics, qui a bénéficié de trois rondes de financement de la part d'Anges Québec. En tout, c'est 41 millions $ que les anges ont sortis de leurs poches. Pour lui assurer un bon rendement, un ange détient un portefeuille comptant généralement de 10 à 15 investissements. En s'avançant pour épauler une jeune pousse, Anges Québec entraîne souvent d'autres partenaires. Ceux-ci ont suivi et ont mis à leur tour 52 millions $ sur la table. Avec les 16,6 millions $ provenant du fonds d'investissement Anges Québec Capital commandité par Investissement Québec, la Caisse de dépôt et placement du Québec et le Fonds de solidarité FTQ afin d'accompagner financièrement les membres du réseau d'Anges Québec, «c'est 110 millions $ qui ont été investis dans le démarrage d'entreprise chez nous», a indiqué François Gilbert. De l'argent, les anges en font tomber du ciel dans toutes les régions du Québec et dans tous les secteurs de l'économie. Le pdg déplore, par contre, l'absence de projet du côté du secteur manufacturier. «Malheureusement, le manufacturier au Québec, c'est out! Il faut se préoccuper de la situation. C'est beau de parler de relève d'entreprise et d'amélioration de la production, mais il faut que nous fassions d'autres bébés dans le manufacturier.» http://www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201605/20/01-4983850-les-quebecois-deviennent-de-plus-en-plus-entrepreneurs.php
  19. Je ne sais pas si cette exposition avait déjà été identifiée quelque part. Montréal du Futur 2016 - Complexe Desjardins - du 20 au 25 Avril 2016 (Pour le public) Comme à chaque année et cette fois pour la 6e édition, BOMA Québec propose une exposition et une vitrine pour les développeurs de projets immobilier du Grand Montréal, cette exposition revient tous les 2 ans et est une belle opportunité de visualiser les projets à venir ou en cours de construction, par des maquettes, illustrations et rencontre des organismes et promoteurs. Voir le lien pour plus de détails : http://www.boma-quebec.org/details-autres/2016-04-19/montrEal-6e-edition-le-montrEal-du-futur
  20. Publié le 02 avril 2016 à 08h37 | Mis à jour à 09h09 Un projet d'aquarium refait surface à Montréal RÉJEAN BOURDEAU La Presse Croyez-le ou non ! Pour la deuxième fois en 15 ans, Ripley's a été sollicitée pour aménager un aquarium à Montréal. Son propriétaire, le groupe Jim Pattison étudie le projet, estimé à des dizaines de millions, voire une centaine. Cette firme de Vancouver détient Ripley's Believe It or Not !, un musée de l'étrange où l'on présente des objets étonnants. Pattison possède aussi le Ripley's Aquarium of Canada, à Toronto. DISCUSSIONS EN COURS « Nous sommes en phase de démarchage, confirme Yves Lalumière, président de Tourisme Montréal. Nous parlons à Pattison, mais d'autres promoteurs pourraient participer. » Le site n'est pas confirmé. Mais des facteurs militent pour le Vieux-Port. Il s'agit d'un pôle touristique achalandé avec un accès au bord de l'eau. C'est aussi le lieu de débarquement des croisiéristes. « D'autres endroits peuvent également être envisagés », précise le grand patron. DES IDÉES EN 2000 D'autres idées ont ensuite été avancées. La Société du Vieux-Port de Montréal a même sollicité Pattison en 2000. À l'époque, le groupe se disait « prêt à investir 90 millions, sans avoir recours aux deniers publics ». Il voulait embaucher 225 personnes. L'année suivante, le Zoo de Granby a aussi étudié la possibilité d'aménager un aquarium à Montréal. Il souhaitait investir 50 millions pour marquer son 50e anniversaire en 2003. Les deux initiatives ont été mises en veilleuse. UN GÉANT PRIVÉ Outre celui de Toronto, Pattison possède deux autres aquariums aux États-Unis. Sa division de divertissement a ouvert son premier Ripley's Aquarium à Myrtle Beach, en Caroline-du-Sud, en 1997. Un deuxième a été lancé trois ans plus tard à Gatlinburg, au Tennessee. Le conglomérat privé possède de nombreuses divisions. Il est présent dans l'automobile, l'immobilier, les aliments et boissons, les médias, etc. Ses revenus dépassent 9 milliards. Il emploie 41 000 personnes. ANNÉE RECORD Profitant de l'essor du tourisme urbain, Montréal vient de vivre sa meilleure année en 40 ans. La ville a reçu pas moins de 9,6 millions de visiteurs. Le nombre de touristes internationaux a bondi de 7,2 % en un an. Le trafic de passagers à l'aéroport Montréal-Trudeau a augmenté de 7,2 %. Le taux d'occupation des hôtels s'est élevé à 73 %. Le projet d'aquarium ajouterait à l'offre touristique montréalaise. Plusieurs grandes villes en ont un. C'est le cas de Boston et de Toronto. L'AUTRE AQUARIUM DE MONTRÉAL Montréal a déjà eu un aquarium. Connu sous le nom d'Aquarium Alcan, il était situé dans l'île Sainte-Hélène. L'attraction a été construite pour l'Exposition universelle de 1967. Des spectacles étaient présentés au lac des Dauphins. En 1988, la Ville a souhaité déménager les installations dans le Vieux-Port, mais la récession de 1990 a coupé court à ce projet. L'aquarium a fermé en 1991 et des animaux ont été transférés au Biodôme. CRÉER DES LIENS Ce projet fait suite à la création d'un groupe de démarchage, explique M. Lalumière. Présidé par Tourisme Montréal, il a été lancé l'automne dernier. Il regroupe Investissement Québec, le Fonds de solidarité FTQ, la Banque de développement du Canada et Montréal International. Son but est de « créer des liens entre les entreprises locales, les investisseurs privés et les promoteurs internationaux », peut-on lire dans un document publié en octobre dernier. PLUS DE 100 MILLIONS L'aquarium de Toronto a coûté 130 millions, indique un communiqué publié en 2011. La contribution des trois ordres de gouvernements a atteint quelque 30 millions sous forme de subventions et de crédits d'impôt. Le reste a été assumé par le groupe Jim Pattison. Le projet montréalais serait toutefois plus modeste, estime Tourisme Montréal. Au chapitre du financement, il est trop tôt pour parler de l'apport des gouvernements. D'autres partenaires pourraient aussi se montrer intéressés. L'EXEMPLE TORONTOIS Le Ripley's Aquarium of Canada a ouvert ses portes à Toronto en 2013. Il est situé près de la tour CN. On y trouve 13 500 spécimens exotiques, notamment des requins et des poissons d'eau douce. L'une de ses attractions est le plus long tunnel sous-marin du continent, que peuvent parcourir les visiteurs. L'aquarium compte neuf galeries représentant différents environnements marins. Dès sa première année, il prévoyait accueillir 2 millions de visiteurs. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201604/02/01-4966941-un-projet-daquarium-refait-surface-a-montreal.php
  21. Oubliez l'Italie, la France ou les États Unis. Aujourd'hui, l’une des destinations favorites des étudiants belges désireux de connaître une expérience à l'étranger n'est autre que le Canada, et plus particulièrement sa province de Québec. C'est le premier pays d'accueil des étudiants de l'UCL (devant l'Espagne), le deuxième du côté de l'ULB (dernière l'Espagne), selon des chiffres cités par l’Agent de liaison scientifique au Canada. Si la facilité de langue française peut expliquer cet attrait, lorsque l'on interroge des étudiants belges en plein séjour à Montréal, c'est surtout le dépaysement qu'ils mettent en avant. Ainsi, pour Sarah Louise, étudiante à polytechnique, "c'est surtout la jonction de deux mondes qui m'attirait. Entre l'Europe et les Etats-Unis. Il y a un peu des deux ici, c'est intéressant." Grands espaces teintés de langue française, plusieurs jeunes vantent ce rêve américain francophone. Le Québec a été l’une des premières destinations proposées par le BIJ (Bureau international de la Jeunesse) aux jeunes Belges francophones. Depuis 1984, le BIJ et son équivalent québécois ont permis à plus de 22 000 jeunes de 16 à 35 ans de vivre une expérience au Québec et en Belgique. Cela va de la réalisation d'un stage au montage d'une pièce de théâtre. L'important, c'est que le jeune aille au-delà de la simple expérience touristique. "Même si le carnet de destination du BIJ s’est bien étoffé en trente ans, les demandes pour des bourses au Québec restent élevées", explique la directrice du BIJ, Laurence Herman. La destination est attractive. Mais tout n'est pas simple pour autant. Anastassia est étudiante en philosophie. Elle est d'abord venue à Montréal dans le cadre d'un échange universitaire. L'expérience aurait dû durer quelques mois à peine, mais la jeune fille a décidé de rester. "Cela va bientôt faire trois ans que je suis là. Lorsque tout était encadré par mon université en Belgique, c'était plutôt simple. Mais quand j'ai voulu rester, cela s'est compliqué", confie-t-elle. Des conditions d’entrée durcies par le Canada Le Canada n’est pas l’Europe. Malgré de nombreux accords entre le Québec et la Fédération Wallonie-Bruxelles, la mobilité entre les deux continents n’est pas évidente. Frais d'inscription élevés, démarches administratives lourdes... sont autant de freins à la mobilité estudiantine. Même la ministre québécoise en charge des Relations internationales l'admet : "Nous savons qu'il existe des facteurs irritants pour les étudiants. Nous avons lancé un comité pour tenter de réduire cela. Mais la matière ne dépend pas que de nous, nous devons négocier avec l'État Fédéral". Simplifier les échanges, les promouvoir, c'est aussi la volonté de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Elle organise d’ailleurs ce mardi à Montréal un colloque consacré à la mobilité internationale en présence du ministre-président Rudy Demotte (PS). "Aujourd’hui, le monde a besoin d’échanges multiples, explique-t-il. Surtout dans un monde qui présente de plus en plus les différences comme des éléments de choc." Il faut dire que le Canada a encore durci ses conditions d’entrée sur le territoire en 2015. Pour la directrice du BIJ, Laurence Herman, ce n’est pas facile à gérer, principalement pour les jeunes qui viennent au Québec dans l’espoir d’effectuer un stage. "Le Canada a une politique d’entrée dans le territoire assez restrictive. Et il y a eu un gros recul en 2015. Tous les jeunes qui veulent réaliser un stage en entreprise doivent procéder à des formalités administratives très lourdes." Très lourdes, coûteuses et aux résultats incertains. Le nouveau gouvernement canadien du libéral Justin Trudeau a annoncé qu’il lèverait peu à peu ces nouvelles barrières. Mais en attendant ce possible assouplissement, la Fédération Wallonie-Bruxelles plaide sa cause auprès des autorités provinciales québécoises par une opération de promotion de la mobilité internationale. http://www.rtbf.be/info/societe/detail_le-quebec-a-les-faveurs-des-etudiants-belges?id=9202977 nb:bonne nouvelle pour Air Canada aussi
  22. via La Voix Pop : 9/01/2016 Mise à jour : 19 janvier 2016 | 7:00 Maison des jeunes de Saint-Henri: 900 000$ pour un nouveau toit Par André Desroches TC Media La maison des jeunes serait construite en face de la caserne de pompiers, sur une partie du terrain occupé présentement par le stationnement public de la Ville de Montréal. André Desroches / TC Media La maison des jeunes La Galerie de Saint-Henri devra déménager dans deux ans. Elle souhaite le faire sur la Place Saint-Henri, dans un bâtiment construit au coût de 900 000$ qui deviendrait l’élément d’un pôle jeunesse dans ce secteur. L’organisme fondé en 1980 devra quitter à l’été 2018 le local qu’il loue depuis plus de trente ans sur la rue Notre-Dame (au 3643). Le propriétaire a d’autres projets pour le bâtiment. La maison des jeunes serait construite en face de la caserne de pompiers, sur une partie du terrain occupé présentement par le stationnement public de la Ville de Montréal. Le bâtiment de deux étages aurait une superficie totale de 467 mètres carrés. Les espaces pour les activités des jeunes seraient aménagés au rez-de-chaussée. À l’étage, il y aurait des bureaux pour le personnel ainsi que des salles pour des réunions et les rencontres d’aide aux devoirs. Les plans prévoient une terrasse sur le toit pour des activités d’agriculture. «Nous visons un toit vert», signale Cathy Anglade. Créer un pôle jeunesse Pour développer le projet, l’organisme bénéficie de l’appui de l’arrondissement du Sud-Ouest, qui souhaite repenser ce lieu névralgique. «Nous voulons revoir les aménagements de la Place Saint-Henri. On voudrait en faire un pôle jeunesse», explique le maire Benoit Dorais, rappelant la présence dans cette zone de l’école secondaire Saint-Henri, des Loisirs Saint-Henri et de l’école primaire Ludger-Duvernay. «Nous voulons faire de la place un pôle public comme quand elle a été créée», ajoute le maire, mentionnant qu’un exercice de réflexion sur l’aménagement de la place ayant réuni des universitaires s’est tenu en 2013. Selon lui, la population en général va y trouver son compte. Campagne de financement Benoit Dorais est en discussion avec la ville-centre afin de conclure un bail de longue durée pour le terrain convoité. «Nous voudrions signer une entente avec la Ville pour une emphytéose. Ça avance», indique-t-il. Mais pour que la Ville puisse voter en faveur du projet, il faut qu’il soit viable financièrement». La maison de jeunes doit recueillir près de 1 M$. Pour y arriver, l’organisme doit dénicher des partenaires majeurs. «Nous allons lancer notre campagne en février auprès des entreprises et des commerces», annonce Cathy Anglade. L’organisme ciblera également les fondations. La population pourra appuyer le projet à sa façon lors d’activités grand public de collecte de fonds. Chaque année, environ 150 jeunes âgés de 11 à 18 ans participent aux activités de la maison La Galerie.
  23. L’économie du Québec se porte bien. La démonstration du prof Fortin. Pour bien commencer l’année économique, rien de mieux que de refaire la démonstration que les pessimistes, ceux qui sont toujours prompts à proclamer que l’économie du Québec va mal, se trompent royalement. Tout peut et doit s’améliorer, bien sûr. Les défis ne manquent pas : la démographie, l’environnement, la santé, la persévérance scolaire, les inégalités, la corruption. Mais l’économie québécoise a énormément progressé depuis 50 ans, et elle est loin d’aller mal depuis 20 ans. À l’époque, nous formions un peuple pauvre, illettré, dépendant et en mauvaise santé. La pire performance de l’Amérique du Nord.     Le salaire moyen des francophones au Québec équivalait à 52 % de celui des anglophones. Aujourd’hui, à niveaux d’éducation et d’expérience identiques, le salaire horaire moyen des francophones ne le cède en rien à celui des anglophones. En 1960, le niveau de vie du Québec accusait un retard de 18 % sur celui de l’Ontario. Maintenant, le retard a fondu à 5 %. Et ce qui en reste s’explique entièrement par le fait que les Québécois choisissent librement de travailler moins d’heures par année que les Ontariens. Le mieux-vivre, c’est ici. L’économie du Québec est à présent plus productive que celle de l’Ontario. Les Québécois produisent plus de biens et de services par heure travaillée que les Ontariens. Il nous reste les États-Unis à rattraper. Economie: La pauvreté absolue, c’est quand on peut se payer un peu plus (mais à peine) que le nécessaire. Une situation moins fréquente au Québec qu’ailleurs au Canada. La pauvreté absolue, c’est quand on peut se payer un peu plus (mais à peine) que le nécessaire. Une situation moins fréquente au Québec qu’ailleurs au Canada. En 1960, les deux tiers des Québécois de 30 ans ne possédaient aucun diplôme. Seulement 5 % avaient un diplôme universitaire. Aujourd’hui, 90 % ont un diplôme secondaire ou professionnel, et 32 % un diplôme universitaire. On peut et on doit encore progresser, mais il n’y a pas de quoi se flageller ! Au tournant de la Révolution tranquille, la majorité des ados québécois savaient à peine lire, écrire et compter. Aujourd’hui, nos jeunes de 15 ans se classent au septième rang mondial en mathématiques, à égalité avec les jeunes Japonais, et au premier rang de toutes les provinces canadiennes. Il faut maintenant s’améliorer en lecture. Il y a 55 ans, les entreprises francophones ne contrôlaient que 47 % de l’emploi au Québec. Aux dernières nouvelles, ce chiffre avait grimpé à 67 %. Il y a 60 ans, la population du Québec était la plus pauvre du Canada, avec celle de Terre-Neuve. En 2015, le taux de pauvreté absolue (lorsqu’on peut s’offrir à peine plus que le niveau de subsistance) est plus faible au Québec que partout ailleurs au Canada, sauf dans les provinces riches en pétrole des Prairies. De plus, l’inégalité du revenu au Québec est la moins prononcée en Amérique du Nord. Cumulativement, depuis 15 ans, la production de richesse par habitant d’âge actif (de 15 à 64 ans) a progressé davantage au Québec qu’aux États-Unis et en Ontario. C’est + 19 % au Québec, + 15 % aux États-Unis et + 11 % en Ontario. Depuis la récession de 2008-2009, le poids de la dette publique du Québec dans l’économie a augmenté quatre fois moins qu’en Ontario et huit fois moins qu’aux États-Unis. Les finances de l’État québécois se sont sans cesse améliorées depuis 20 ans. Le poids des intérêts à payer sur sa dette a diminué de 40 %. Toutes les agences internationales de notation de crédit ont maintenu ou haussé sa cote financière. Des rassemblements économiques régionaux riches en vision, en solutions et en projets, comme Je vois Montréal,on en a encore grand besoin. Mais on aurait aussi grand besoin d’imposer un moratoire au larmoiement sur l’état de notre économie. Rien ne justifie le discours pessimiste. tableau et source: Tableau:http://www.msn.com/fr-ca/finances/economie/l%e2%80%99%c3%a9conomie-du-qu%c3%a9bec-se-porte-bien-la-d%c3%a9monstration-du-prof-fortin/ar-CCs4Rn?ocid=spartanntp ----- Analyse très intéressante!
  24. Technologies de l’information : 60 nouveaux emplois dans le service aux entreprises. – LINKBYNET, société française spécialisée dans l’hébergement, la sécurité et la gestion des structures et applications informatiques, annoncera aujourd’hui l’expansion de ses activités dans le Grand Montréal, cinq ans après y avoir implanté avec succès son siège social nord-américain. La société a en effet connu une croissance exceptionnelle au Québec durant cette période, en investissant près de 12 millions de dollars et en recrutant près d’une centaine d’employés, un succès considérable comparativement aux 8,4 millions de dollars et 60 embauches prévus initialement. Forte de cette réussite, LINKBYNET prévoit d’ailleurs créer 60 nouveaux emplois d’ici 2020. Offrant des services personnalisés pour héberger, gérer et sécuriser les applications et infrastructures informatiques de petites et grandes entreprises, LINKBYNET a fait progresser son chiffre d’affaires de quelque 50 000 dollars en 2011 à plus de 2,5 millions de dollars en 2015. Elle ambitionne maintenant de tripler, d’ici cinq ans, son chiffre d’affaires et de doubler ses effectifs au Canada, principalement dans le Grand Montréal. L’annonce sera faite par M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord, en présence de M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore, ainsi que des membres de la direction du groupe LINKBYNET, lors d’un cocktail-conférence au Centre des sciences de Montréal. « LINKBYNET a misé sur le Grand Montréal en 2010 pour étendre ses activités de services infonuagiques et informatiques. Après cinq ans, nous pouvons affirmer que c’était un bon pari, tant au niveau de l’expertise technique que des opportunités commerciales », a déclaré M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord. « Nous sommes heureux de célébrer ce succès avec nos clients, partenaires et amis qui nous ont accompagnés dans notre croissance », a-t-il également ajouté. Soutenue par Montréal International et Investissement Québec dans ses projets d’implantation et d’expansion, LINKBYNET répond aux besoins urgents et grandissants des entreprises montréalaises et québécoises, telles L’Oréal Canada, Bolloré ou encore CAA Québec. « Le succès de LINKBYNET, qui a connu une croissance significative de ses opérations et qui a su se positionner stratégiquement au sein de l’industrie des technologies de l’information en Amérique du Nord, démontre une nouvelle fois l’attractivité du Grand Montréal. La métropole québécoise est en effet reconnue pour son bassin de talents qualifiés, sa situation géographique enviable et ses coûts d’opération hautement compétitifs », a déclaré M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore. « De plus, LINKBYNET offre une expertise très ciblée et à l’avant-garde des nouvelles technologies, qui permet de soutenir la compétitivité de nombreuses entreprises dans la région, et ce, tous secteurs confondus », a-t-il conclu. Mentionnons que LINKBYNET a remporté de nombreuses distinctions au cours des dernières années, incluant le trophée du meilleur « cloud hybride », décerné par VMWare en 2014 et le prix du « Customer obsession partner », attribué par Amazon web service en 2015. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/linkbynet-expansion-grand-montreal/
  25. Le chanteur de mon groupe préféré (Stone Temple Pilots) est mort hier soir. Très triste nouvelle, mais avec la quantité d'héroine qu'il a injecté dans son corps depuis une vingtaine d'années, je ne suis pas vraiment surpris. Dommage quand même, il disait qu'il était "propre" depuis plus de 6 ans.
×
×
  • Créer...