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  1. Le 500 place D'Armes sera rénové et non détruit comme certains le souhaite... Cure de jouvence pour le 500, place d'Armes Publié le 07 décembre 2011 à 07h32 | Mis à jour à 07h32 André Dubuc La Presse (Montréal) À l'image de la place d'Armes dont on vient de refaire le parvis, le gratte-ciel de facture moderne qui la borde du côté ouest subira une cure de jeunesse dans les prochains mois. L'ensemble des systèmes électromécaniques de l'immeuble de 30 étages construit entre 1965 et 1968 sera remis aux normes du jour. Les travaux commenceront en 2012 et s'échelonneront sur 2 ou 3 ans. Le 500 place d'Armes a comme locataire principal la Banque Nationale. On y trouve aussi des bureaux d'avocats et l'Ordre des comptables généraux agréés. L'Agence métropolitaine de transport l'a quitté pour le 700, De La Gauchetière, connu autrefois sous le nom de Tour Bell. «Le 500, place d'Armes va redevenir un immeuble de catégorie A», dit André Plourde, président du Groupe Immobilier de Montréal, dans un entretien. Dans le jargon des professionnels de l'immobilier commercial, les immeubles de catégorie A représentent les plus beaux immeubles de bureaux, dotés de toutes les caractéristiques recherchées par l'utilisateur de bureaux. Le Groupe Immobilier de Montréal vient de décrocher le mandat exclusif de location des propriétés de Cromwell Management à Montréal et Québec. Outre le 500, place d'Armes, le portefeuille comprend l'ancien siège social de Cinar, au 1055, boul. René-Lévesque Est et le 500, boulevard René-Lévesque Ouest, l'ancien immeuble Air Canada. Cromwell appartient à son président Georges Gantcheff. À Québec, Cromwell possède le 500, Grande Allée Est, jadis un immeuble de prestige comptant 109 000 pieds carrés répartis sur 9 étages. Des travaux de près de 26 millions de dollars sont en cours pour redonner une nouvelle vie à cette adresse stratégiquement située sur la colline parlementaire, dans la Vieille Capitale. Au total, le Groupe Immobilier s'occupera de la location d'un portefeuille de sept immeubles totalisant 1,6 million de pieds carrés. «Il s'agit pour nous d'un important gain qui nous confère un statut de leader du secteur de la location commerciale avec un portefeuille qui atteint maintenant plus de 5 millions de pieds carrés», fait savoir M. Plourde dans un communiqué. Lien: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201112/07/01-4475357-cure-de-jouvence-pour-le-500-place-darmes.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS21
  2. Un nouveau marché public à Montréal Jean-Louis Fortin 11/01/2011 17h46 En plus de pouvoir fréquenter les marchés Atwater et Jean-Talon, les Montréalais seront en mesure d’acheter des aliments frais dans un nouveau marché public qui pourrait voir le jour à proximité des autoroutes 15 et 40, dans l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, a appris 24H. Le projet d’entre 3 et 4 millions $, encore à l’étape des approbations, pourrait obtenir le feu vert dans les prochaines semaines, selon nos informations, d’autant plus que les autorités politiques et administratives de l’arrondissement souhaitent qu’il voie le jour. C’est l’Association des jardiniers maraîchers du Québec (AJMQ) qui a présenté une demande en ce sens à la Ville. Une centaine producteurs membres de l’AJMQ, qui occupent un centre de distribution agroalimentaire pour les commerces et restaurants, situé à côté du Marché Central, pourront ainsi vendre leurs produits directement grand public. Achalandage élevé Sur le site, au moins un des immenses quais de chargement pour camions serait converti en un « grand marché public », explique André Plante, directeur général de l’AJMQ. Un endroit un peu à l’image du marché Jean-Talon, mais de moindre ampleur, illustre-t-il. Selon, lui, la proximité du Marché Central, un grand centre commercial, est susceptible d’attirer un nombre important de visiteurs. « On s’attend à ce que ça soit extrêmement achalandé. On pense que les gens voudront venir acheter des produits frais », prévoit André Plante. Ronald Cyr, directeur de l’arrondissement, précise que les fonctionnaires municipaux accompagnent actuellement l’AJMQ, mais que le permis de construction n’a pas encore été émis. « La construction d’un marché est certainement un point d’intérêt pour les marchands et les citoyens », assure-t-il toutefois. Sur place pour longtemps André Plante attend un feu vert de l’arrondissement « d’ici un mois ». L’AJMQ, décrit-il, devra d’abord transformer l’un des autres quais sur le site en un entrepôt fermé, pour y transférer une partie des activités de distribution. Dans une deuxième phase de construction, 10 000 pieds carrés de superficie à l’intérieur d’un bâtiment adjacent pourraient aussi accueillir des commerces à l’abri des caprices de Dame Nature. Ce projet d’expansion survient moins de six mois après que les maraîchers aient refusé de déménager du site de 800 000 pieds carrés qu’ils occupent actuellement pour le centre de distribution. La firme Bentall, le gestionnaire du Marché Central, leur avait proposé de se relocaliser dans l’Est de la Ville pour pouvoir compléter le développement du centre commercial, mais les maraîchers ont rejeté l’idée à 75%, de peut de perdre leur clientèle. jeanlouis.fortin@24-heures.ca http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/01/20110111-174642.html
  3. La Mafia est profondément incrustée dans le paysage économique de Montréal. Pas moins de 600 commerçants de Saint-Léonard et des autres arrondissements de l’Est de Montréal doivent en effet payer leur «pizzo» à la Mafia montréalaise, selon les révélations du livre d’enquête «Mafia Inc.» des journalistes André Cédilot et André Noël. «Nous tenons de très bonne source policière qu’ils sont quelque 600 commerçants à payer le pizzo. L’information a été transmise par plusieurs informateurs et a été validée en bonne partie au cours de l’enquête antimafia Colisée», dit André Cédilot, qui a été chroniqueur judiciaire à La Presse pendant 35 ans. Le pizzo? Il s’agit d’une «taxe» obligatoire réclamée par les mafieux, en échange d’une «protection» du commerce racketté. Celle-ci a évolué au cours du temps. Aujourd’hui, il n’est plus vraiment question de reverser à la Mafia un pourcentage de ses recettes ou 100 dollars toutes les semaines, mais plutôt de faire profiter de ses contacts aux mafieux. «Ça permet aux mafieux d’aller plus loin dans l’infiltration de l’économie légale, d’avoir sous leur coupe, en bout de ligne, des gens influents, y compris en politique. C’est comme ça qu’on se retrouve avec le scandale actuel du milieu de la construction», dit M. Cédilot. Une pratique ancrée dans les mœurs d’affaires Les commerces visés sont aussi nombreux que variés. Cela va des entreprises de construction - «Une bonne quinzaine d’entre elles ont des liens plus ou moins directs avec le clan Rizzuto, et payant une commission de 5% depuis des années», souligne M. Cédilot – aux boutiques de vêtements, en passant par des nettoyeurs, des salons de coiffure, des magasins d’alimentation, des concessionnaires automobiles, des restaurants, des hôtels, etc. Le paiement du pizzo est tellement ancré dans les mœurs d’affaires que, avec le temps, bien des commerçants ont fini par l’accepter comme une fatalité. En retour, certains d’entre eux estiment qu’ils peuvent demander des services à la Mafia, comme l’élimination d’un concurrent, le règlement d’un conflit avec un fournisseur ou la collecte d’une dette. Les exemples abondent dans «Mafia Inc.» : - Menaces à un entrepreneur en céramique de Québec qui exécute des travaux à Montréal; - Voies de fait et saccage dans un restaurant pour obliger le restaurateur à changer de marque de café; - Menaces à une entreprise spécialisée dans l’usinage de précision, pour le règlement d’une dette; - Demande d’aide à la Mafia de la part d’un promoteur immobilier pour récupérer une voiture volée, et la mallette qui s’y trouvait; - Maquillage de voitures accidentées; etc. Vers une commission d'enquête ? La Mafia parvient de la sorte à s’immiscer dans différents secteurs de l’économie montréalaise. Ses entreprises raflent des contrats publics, «comme l’a montré l’aventure des poublelles OMG», obtiennent des permis et des certificats d’autorisation du ministère de l’Environnement pour décontaminer des sols, ou encore tentent d’exercer un quasi-monopole dans la vente de certains produits, comme la crème glacée italienne. «La Mafia contrôle aussi des sociétés financières», souligne M. Cédilot, sans donner davantage de détails à ce sujet. «Ce livre sur l’influence du clan sicilien au Québec a pour but de réveiller les citoyens et les dirigeants politiques. Nous laissons faire la Mafia, ce qui est extrêmement dangereux. Si les autorités ne réagissent pas avec plus de vigueur, le Québec pourrait se retrouver dans quelques années dans la pénible situation que subit l’Italie, qui a perdu le contrôle de son économie», avance M. Cédilot. «Il me semble qu’une commission d’enquête sur certaines activités mafieuses ne serait pas superflue», poursuit M. Noël, coauteur et journaliste d’enquête à La Presse.
  4. Quebec monk declared saint for his 'boundless charity' Sun. Oct. 17 2010 5:19 PM ET The humble Quebec monk who founded Montreal's St. Joseph's Oratory was named a saint by Pope Benedict in a ceremony at the Vatican Sunday. The former Brother Andre, who was credited with miracle healings before his death in 1937, is now known as St. Andre. The Pope told the thousands of faithful gathered for the ceremony, including hundreds of Canadians, that although St. Andre was poorly educated and working at a menial job, he was an inspiration to many faithful. "(As) doorman at the Notre Dame College in Montreal, he showed boundless charity and did everything possible to soothe the despair of those who confided in him," Benedict said. Foreign Affairs Minister Lawrence Cannon led the official Canadian delegation to the ceremony. "Here is a person who throughout his life had a dream, and he was able to pursue that dream, he was able to build the St. Joseph Oratory in Montreal," Cannon told CTV News Channel on Sunday in a telephone interview from Rome. "So I think that when one looks at him, and what he was able to do throughout his life, he will be an inspiration for generations of Canadians to come." Francoise Bessette, whose grandfather was Brother Andre's first cousin, was among the thousands of Canadians in attendance. "I didn't think this would happen while I was alive," said Bessette, whose brother was named after the saint. "So to be here today is very special for me." In Montreal, the faithful crowded around a big-screen television in the Oratory's church to watch the ceremony broadcast live from St. Peter's Square. His elevation to sainthood will carry some worldly benefits for St. Andre's hometown, according to Kevin Wright, the president of the U.S.-based world religious travel association. "When an individual is declared a saint, their shrines attract significant numbers of visitors," Wright told CTV News Channel. "And we're going to see that in Montreal." He said that while the oratory that St. Andre founded is not as big a draw as sites like the French shrine at Lourdes, it already attracts an estimated one million pilgrims a year. And Wright said that St. Andre's sanctification will only boost those numbers. "Over the next couple of years we could see that double and get up to three, four or even five million people. And that's incredible." All the attention and ceremony would likely have embarrassed St. Andre, who was known for his humility and his faith, which has been described by Jean-Claude Cardinal Turcotte as strong enough "to move mountains." St. Andre was born Alfred Bessette in St-Gregoire-d'Iberville on Aug. 9, 1845, and was orphaned at the age of 12. In 1904, the Holy Cross brother founded Montreal's St. Joseph's Oratory, a landmark church on the northern slope of Mount Royal that receives about 2 million visitors every year. He became known for comforting the sick, and is credited with more than 100,000 miraculous healings before his death in 1937 at age 91. Two of those healings met the Vatican standard for a miracle, reported the Globe and Mail's Eric Reguly from Rome. The drive for the canonization goes back to 1940, when it was started by the Archdiocese of Montreal and the Congregation of Holy Cross and St. Joseph's Oratory. He was declared "venerable" by Pope Paul VI in 1978, and beatified -- declared "blessed" -- by Pope John Paul II in 1982. Benedict announced his canonization in February after officially recognizing a second miracle attributed to him. Brother Andre died at age 91 on Jan. 6, 1937. During the six days and nights before his funeral, more than one million people filed past his coffin. His heart still rests in a small shrine in the Oratory, where he was ultimately laid to rest. The heart, which is on public view as an object of contemplation for pilgrims, is protected by security systems after it was stolen in 1973. Police recovered it almost two years later from the basement of a home near Montreal. Brother Andre follows in the footsteps of Marguerite d'Youville, who was born in 1701 and was the first saint born on what is now Canadian territory. Canada's other saints are Marguerite Bourgeoys, who was born in France in 1620 and is considered the co-founder of Montreal, and eight French-born Jesuit martyrs who were killed during the 1640s. Benedict gave Australia its first saint, canonizing 19th-century nun Mary MacKillop. Also canonized Sunday were Stanislaus Soltys of Poland, Italians Giulia Salzano and Battista Camilla da Varano, and Candida Maria de Jesus Cipitria y Barriola of Spain. http://www.ctv.ca/CTVNews/TopStories/20101017/brother-andre-canonized-101017/
  5. Dany Villanueva doit quitter le Canada et retourner dans son pays d'origine, le Honduras. Telle est l'ordonnance rendue mercredi par le commissaire à l'immigration et au statut de réfugié. Rappelons que Dany Villanueva est un témoin-clé dans l'enquête du coroner sur la mort de Fredy Villanueva, son jeune frère qui a perdu la vie lors d'une altercation avec les policiers dans un parc de Montréal-Nord, en août 2008. Par l'entremise de son avocat, Dany Villanueva a sur-le-champ porté cette ordonnance en appel, ce qui a pour conséquence de suspendre la décision du commissaire. Il contestera cet avis d'expulsion auprès de la section d'appel de la Commission de l'Immigration et également en cour fédérale. Le processus pourrait s'échelonner sur plus d'un an. Dany Villanueva a le statut de résident permanent au Canada. Il y vit depuis son adolescence et soutient qu'il n'a plus aucune attache avec le Honduras, où les autorités canadiennes souhaitent le renvoyer. D'autres rendez-vous avec la justice D'ici là, Dany Villanueva devra répondre d'accusations de conduite en état d'ébriété et de possession de cannabis. Ces événements se sont produits la semaine passée à Charlemagne, non loin de Repentigny, où il habite. Dany Villanueva devra aussi subir un procès pour une affaire de vol qualifié, dans laquelle il est accusé aux côtés de quatre autres personnes. Ce procès doit avoir lieu en novembre. En 2006, Dany Villanueva avait purgé une peine de 11 mois de prison pour un autre vol qualifié. Ce sont ces faits que l'Agence des services frontaliers a invoqués pour expliquer sa demande que Dany Villanueva soit expulsé vers le Honduras. Enfin, Dany Villanueva poursuivra le 3 mai sa comparution dans l'enquête du coroner André Perreault sur les circonstances et les causes entourant la mort de son jeune frère Fredy. Appartenance passée à un gang de rue Devant le coroner André Perreault, plus tôt cette année, Dany Villanueva avait reconnu qu'il avait déjà entretenu des liens avec un gang de rue. Il avait tenu à préciser qu'après avoir été emprisonné, il avait signifié à ce gang qu'il ne souhaitait plus y être associé. Dany Villanueva a expliqué en substance au coroner qu'il souhaitait, de cette manière, faire en sorte que son jeune frère Fredy ne suive pas ses traces. Fredy Villanueva, 18 ans, a perdu la vie lors d'une altercation avec les policiers Stéphanie Pilote et Jean-Loup Lapointe. La scène s'est produite dans un stationnement attenant à un parc, dans l'arrondissement Montréal-Nord, en août 2008. Dany Villanueva était présent. Devant le coroner Perreault, le policier Lapointe a argumenté que Dany Villanueva avait fait preuve d'agressivité au point où le policier avait craint pour sa vie. Jean-Loup Lapointe a fait feu, atteignant mortellement Fredy Villanueva. Source: Radio-Canada. Bon débarras?
  6. Limite à 40 km/h: les premiers panneaux installés en octobre Catherine Handfield La Presse Publié le 15 septembre 2009 à 18h27 | Mis à jour le 15 septembre 2009 à 18h34 L'implantation de la limite de vitesse de 40 km/h dans les rues résidentielles locales de Montréal débutera en octobre. Le projet sera d'abord testé dans cinq arrondissements: Pierrefonds-Roxboro, Saint-Laurent, Lachine et Rosemont-La Petite-Patrie, de même que dans deux secteurs de Ville-Marie. Le règlement sera soumis à la fin du mois de septembre aux conseils des arrondissements ciblés. Les panneaux y seront posés graduellement entre la fin d'octobre et le début de janvier, a indiqué André Lavallée, responsable du transport au comité exécutif de la Ville de Montréal. «Nous avons décidé de commencer avec ces cinq arrondissements parce qu'ils possèdent des caractéristiques qui vont nous permettre de rencontrer toutes les situations possibles à Montréal», a expliqué M. Lavallée. L'implantation sera par la suite complétée dans l'ensemble de la Ville de Montréal. D'ici la fin de 2010, la limite de vitesse sera abaissée de 50 à 40 km/h dans toutes les rues résidentielles locales de Montréal, prévoit André Lavallée. Le projet est lancé avec quelques semaines de retard sur l'échéancier annoncé cet été par M. Lavallée. En juillet, il avait indiqué que les premiers panneaux seraient posés «d'ici la fin de l'été». «La seule chose qui est en cause, c'est le temps nécessaire pour préparer le règlement, a expliqué M. Lavallée. Je m'attendais à ce que ça me soit présenté plus tôt. En fait, j'ai toujours eu l'objectif que ce soit déjà fait depuis deux ans...» La demande initiale de la Ville avait été déposée à l'automne 2006 en commission parlementaire. L'administration du maire Gérald Tremblay souhaitait alors que la limite de 40 km/h devienne la vitesse «par défaut» dans l'ensemble des rues résidentielles. Le ministère des Transports n'a pas donné suite à cette demande en raison de diverses considérations techniques. La solution de la signalisation par secteur a finalement été retenue. On trouvera des panneaux à l'entrée des secteurs où la limite de 40 km/h sera en vigueur. «L'affichage va être clair et je m'attends à ce que la réglementation soit respectée», a dit André Lavallée, précisant qu'une campagne de communication sera déployée pour informer les citoyens. Le budget est d'environ 2,75 millions. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200909/15/01-902092-limite-a-40-kmh-les-premiers-panneaux-installes-en-octobre.php
  7. No shit ! C'est pas une surprise pour nous, mais ça va peut-être rassurer ceux qui s'y connaissent moins. ------------------ Louis-Pierre Côté Argent Un important joueur du secteur immobilier, la firme Thibault, Messier, Savard et Associés, se joint au concert d’experts du secteur qui affirment que la grande région de Montréal n’a pas subi de bulle immobilière au cours des dernières années. André Desbiens De passage à Argent pour parler du projet Les Tours du boisé à Longueuil, André Desbiens, vice-président, acquisitions et développement, de la société montréalaise a affirmé qu’à son avis, Montréal n’avait pas connu de bulle immobilière, « par rapport à l’Ontario, l’Ouest du Canada et les Etats-Unis. Il n’y a pas eu de spéculation. » Le groupe à laquelle est associée l’ex-joueur du Canadien Serge Savard est bien assis dans le secteur avec plus de 25 projets immobiliers à son actif, dont Les Tours du boisé qui accueille ses premiers résidents. Ce projet de 30M$ repose sur un terrain de quatre millions de pieds carrés adjacent au Parc régional dans le quartier Longueuil sur le Parc. Il comprend deux tours de 53 et 49 condos sur six étages, dont les prix varient d’environ 200 000$ à 430 000$. La première phase, qui est maintenant complétée, est celles de 53 unités. La deuxième phase n’est pas encore en chantier et M. Desbiens n’a pas voulu s’avancer sur son début.
  8. La récession mondiale, un plus pour Montréal Publié le 27 juillet 2009 à 06h35 Mis à jour à 09h18 Hugo Fontaine La Presse (Montréal) À quelque chose malheur est bon. La récession qui afflige la planète vient renforcer l'attrait qu'exerce Montréal auprès des entreprises et des investisseurs étrangers. Les faibles coûts d'exploitation d'une entreprise à Montréal sont un des principaux arguments de vente de l'organisme de promotion Montréal international (MI). Ils prennent une importance encore plus grande en période de récession. «Le moment est opportun, a confirmé le président-directeur général André Gamache au cours d'un entretien avec La Presse Affaires. On est encore plus attrayant. Le rapport qualité-coût dans le choix d'une ville d'établissement devient encore plus important pour les entreprises.» «Pendant cette récession, le Canada, le Québec et Montréal s'en sortent mieux qu'ailleurs», ajoute M. Gamache. La diversité industrielle de Montréal et la solidité du système bancaire canadien expliquent en partie cette situation. Signe que les entreprises ont des préoccupations nouvelles qui pourraient favoriser la métropole québécoise, un indicateur de la stabilité des banques - qui place le Canada au premier rang mondial - a fait son apparition dans le numéro 2009-2010 des Indicateurs d'attractivité, principal «document de vente» de Montréal international auprès des investisseurs étrangers. Ces «indicateurs d'attractivité» permettent de comparer (avantageusement, il va sans dire) les attributs de Montréal par rapport aux autres villes du Canada et des États-Unis. On y apprend par exemple que le nombre d'étudiants universitaires par habitant est le plus élevé des grandes agglomérations nord-américaines, ou que les avantages fiscaux y sont les plus intéressants. André Gamache insiste sur deux indicateurs qui, à ses yeux, font la plus grande force de Montréal: les faibles coûts d'exploitation d'une entreprise et la compétence de la main-d'oeuvre. Mais la récession a beau représenter une occasion, elle n'a pas que de bons côtés. «Pour l'instant, il y a plus de projets en attente qu'en réalisation, note-t-il. Plusieurs entreprises ont le pied sur le frein, elles révisent leurs plans d'affaires et sont plus prudentes.» Et la récession n'efface pas non plus ce qui joue contre Montréal. Sauf que M. Gamache a des réponses aux objections. Le climat est difficile, «mais la ville est opérationnelle malgré les tempêtes hivernales». Les centres financiers se déplacent vers Toronto, «mais les outils financiers sont quand même à Montréal, nous avons ce qu'il faut». La croissance économique n'est pas énorme au Québec, surtout en raison de la faible croissance démographique, mais «on mise sur l'innovation pour contrer cela et on résiste avec la diversité économique». Un front commun canadien Si M. Gamache est convaincu et convaincant quand il présente les avantages de Montréal, il sait que rien n'est immuable. «On n'est pas les seuls, les autres font des efforts», dit-il. Il note les milliards de dollars que Barack Obama a consacré à la recherche et au développement, qui laissent présager une concurrence féroce dans l'avenir. C'est justement pour faire face à la concurrence mondiale que Montréal international et ses homologues de 10 autres grandes villes canadiennes ont choisi de faire front commun (un front officieusement nommé le C-11). «On a décidé de commencer à travailler ensemble pour un meilleur climat d'affaires, se réjouit André Gamache. Avant, c'était chacun de son côté. Aujourd'hui, on partage nos trucs et nos préoccupations. Et si 1$ s'investit à Toronto, on est content car on en tire quand même des bénéfices.» Reste que la collaboration n'a pas effacé totalement les rivalités interurbaines. André Gamache, qui a évoqué une nouvelle stratégie pour attirer des investissements à Montréal, n'a pas voulu en dire plus, «parce que les gens de Toronto lisent aussi La Presse», a-t-il précisé en souriant. Rapport du vérificateur En mai, le vérificateur général a déploré dans un rapport le chevauchement et le manque de coordination des différents organismes de prospection des investissements étrangers. Le vérificateur Renaud Lachance notait entre autres choses qu'il «n'existe aucun mécanisme officiel de collaboration entre Investissement Québec et Montréal international concernant les activités de prospection à l'étranger, alors que certains territoires sont couverts par les deux entités». André Gamache n'en fait pas de cas. «Aucune note ne nous critique directement, répond-il. Et le volet coordination, c'est notre force. Sur le terrain, il n'y a pas de problème», assure-t-il. «Il n'y a peut-être pas de mécanisme officiel, dit le directeur des communications de Montréal international, Louis Arseneault. Mais dans la réalité, ça marche.» Montréal International en bref Montréal international (MI) est un organisme de promotion et de démarchage pour attirer des investissements, des organisations internationales et de la main-d'oeuvre stratégique dans le Grand Montréal. MI soutient attirer des investissements d'environ 650 millions de dollars par année à Montréal. «Mais il ne faut pas se fier à la notoriété des investissements pour mesurer l'efficacité de l'organisme», note le directeur des communications, Louis Arseneault. Selon lui, plusieurs entreprises ne dévoilent pas l'aide obtenue par des organismes comme MI. Parmi les entreprises attirées à Montréal en 2008, notons les françaises EPSILON (recherche en systèmes thermiques, 6,2 millions) et JPC Aviation (signalisation lumineuse, 2 millions) de même que l'italienne IDS (R&D en électromagnétique, 18,5 millions). Environ 70% des investissements étrangers attirés par MI en 2008 appartiennent aux secteurs des technologies de l'information, des communications et de l'aérospatiale. Montréal international compte une cinquantaine d'employés. Son budget annuel est de 8,2 millions, dont un million provient du secteur privé.
  9. Nouvelle salle à Saint-Lambert Le Devoir Édition du samedi 02 et du dimanche 03 mai 2009 Mots clés : Salle, Saint-Lambert, Culture, Québec (province) Une toute nouvelle salle de spectacle de 250 places ouvrira prochainement ses portes au coeur du village du Vieux-Saint-Lambert. Joliment baptisé le Mouille-pied, ce petit cabaret intimiste, dont la programmation détaillée doit être dévoilée lundi, aménagera ses pénates dans un ancien bureau de poste situé sur la rue Hooper, à deux jets de pierre de la rue Victoria. Les cofondateurs de cette nouvelle salle, Michel Ménard et André Verge, deux entrepreneurs qui oeuvrent dans le milieu du spectacle depuis 20 ans, entendent offrir dès cet été une programmation variée, qui inclura une pièce connue de théâtre d'été. Jazz, musiques du monde, danse, chansons et musique classique devraient aussi se succéder à l'affiche. Lundi, ce nouveau lieu culturel lancera sa programmation en présence des comédiens Paul Ahmarani, Roc Lafortune et André Montmorency, ainsi que des musiciens Terez Montcalm, Anick Jean, Pascal Dufour et du groupe The Box. http://www.ledevoir.com/2009/05/02/248577.html (2/5/2009 9H42)
  10. Le Journal de Montréal 24/07/2007 Le Conseil régional de l'environnement de Montréal (CRE) dénonce le projet de construction d'un mini-hôtel de ville et d'une Maison de la culture dans le parc René-Masson, à Rivière-des-Prairies. Au nom du CRE, André Porlier interpelle l'administration Tremblay-Zampino pour protéger «cet espace vert public». M. Porlier estime que les élus doivent empêcher le projet, même s'il n'ampute que de 25% (25 000 m2) le territoire du parc. Le CRE a soutenu, hier, lors d'une conférence de presse, que le projet heurte la politique de la Ville de mettre en valeur les milieux naturels. «Il va aussi à l'encontre de la Politique de l'arbre adoptée par la Ville», indique André Porlier. Le promoteur du projet, le maire de l'arrondissement RDP-PAT, Cosmo Maciocia, tient beaucoup à réaliser cet engagement électoral de l'équipe Gérald Tremblay. Il n'a pu s'expliquer concernant les déclarations du CRE puisqu'il est présentement en vacances en Italie. Mais son chef de cabinet, Martin Dumont, rappelle la position de son patron qui est de «revaloriser» une ancienne terre en friche qui a été «un site de dépôts sauvages» dans le passé. «Le maire veut rehausser le secteur en y construisant une Maison de la culture et des bureaux administratifs sur le cinquième de la surface du parc», précise Martin Dumont. André Porlier qualifie ces arguments de «faibles» et soutient que les parcs publics ne doivent pas servir au développement local, «surtout quand ils sont situés à proximité de la rivière Des Prairies». Le projet de 18,4 M$ passera ce soir l'étape de la deuxième assemblée de consultation publique qui sera suivie d'une période de 45 jours au cours de laquelle les autorités devront organiser un registre pour obtenir l'autorisation de modifier le plan d'urbanisme, ce qui permettrait d'y construire l'immeuble. Ahuntsic Pendant ce temps, un autre registre s'ouvrait, hier, dans Ahuntsic, pour autoriser un autre projet de 18 M$, mais pour la location cette fois d'espaces à bureaux au 555, Chabanel, pour y aménager le mini- hôtel de ville de l'arrondissement Ahuntsic/Cartierville, pour une période de 15 ans. Ce registre d'opposition se poursuit jusqu'à jeudi.
  11. Montréal sera l'hôte de deux tournages importants au début de 2009 Le 12 décembre 2008 - 11:16 | Par Jean-Nicolas Labrie Après une année 2008 éprouvante au niveau des tournages d'envergure, voilà que Montréal accueillera coup sur coup au début de 2009 deux plateaux cinématographiques importants. La métropole sera tout d'abord le siège d'une co-production Canada-France qui a pour titre «Black Box», un thriller bilingue dans l'air du temps, qui s'articule autour d'un important krach boursier. C'est le Français Fabrice Genestal («La Squale») qui en est le réalisateur, et le film mettra en vedette le comédien américain Michael Madsen («Thelma & Louise», «Reservoir Dogs», «Sin City»), et deux espoirs du cinéma français, Vahina Giocante («99 F») et Jérémie Rénier («Le silence de Lorna»). C'est la boîte québécoise Caramel Films, avec en tête le producteur André Rouleau (qui bossait jadis comme producteur cinéma chez Remstar) qui assure la production de ce long-métrage, dont le tournage devrait monopoliser les artisans pendant au moins six semaines. Le réalisateur québécois Dominic Laurence James entamera quant à lui le tournage de son premier long-métrage, «Dice», en février prochain. On parle d'un film sombre et angoissant, le réalisateur citant les classiques «Blade Runner» et «Seven» comme principales sources d'inspiration. La direction photo du film sera assurée par Nicolas Bolduc, qui a récemment fait les images mémorables des derniers films de Sébastien Rose («Le banquet»), Kim Nguyen («Truffe«), et de Denis Villeneuve (pour son court-métrage «Next Floor», primé à Cannes cette année). La distribution comptera John Pyper, la comédienne italienne Claudia Gerini («L'inconnue»), l'Ontarienne Katie Boland («Adoration») et Patricia McKenzie («Les soeurs Eliott»). Encore cette fois-ci, c'est André Rouleau qui agit comme producteur, et ce dernier semble très enthousiaste: «On s'adresse à un large public, c'est un film en anglais. La facture va vraiment être nord-américaine. On a l'ambition de faire un film top niveau». Le réalisateur James ajoute: «On tourne en hiver, mais je ne veux pas insister sur la neige, mais plus sur la boucane. La ville ne sera pas identifiée», précise celui qui a déjà employé sa célèbre mère, en l'occurrence notre Passe-Carreau nationale Claire Pimparé, dans l'un de ses courts-métrages. Le film, soutenu par Téléfilm Canada, est tourné en anglais avec un budget de 5 millions de dollars. (source: La Presse)
  12. Le président d'Hydro-Québec Distribution, André Boulanger, soutient que la province ne se dirige pas vers une «récession profonde». Pour en lire plus...
  13. Le potentiel gazier du Québec fait rêver André Caillé. «Les retombées économiques annuelles se compteront en milliards de dollars.» Pour en lire plus...
  14. Chaque samedi, un financier différent répond à nos questions. Il donne sa lecture des marchés, offre son point de vue sur la Bourse et lance quelques conseils d'investissement. Cette semaine, André Chabot, fondateur de la firme Triasima. La planète ralentit... et le Canada? Pour en lire plus...
  15. André et Monique, tous deux dans la cinquantaine, se marient cet été. Ils tiennent à planifier le juste partage de leur patrimoine respectif. Pour en lire plus...
  16. Vers une année record dans la construction 12 juillet 2008 - 11h14 La Presse Hugo Fontaine Le sourire était de mise hier lors de la conférence de presse annuelle de la Commission de la construction du Québec (CCQ). Non seulement les traditionnelles vacances de la construction approchent, mais les statistiques de l'année 2008 sont telles que les travailleurs pourront se reposer l'esprit tranquille : l'industrie est en excellente forme. La construction québécoise se dirige vers sa meilleure année depuis 1975. De janvier à avril 2008, le volume de travail a augmenté de 11% sur les chantiers québécois, comparativement à la période équivalente en 2007. Si la tendance se maintient, les 137 000 travailleurs de la province auront enregistré 133 millions d'heures de boulot à la fin de l'année, contre 126 l'an dernier. Même le secteur résidentiel, avec une hausse de 12%, s'en sort assez bien. «C'est pas mal pour un secteur dont on annonce le déclin depuis trois ans», dit le président-directeur général de la CCQ, André Ménard. «La construction semble vouloir garder sa place au soleil et même améliorer son rythme malgré les difficultés économiques nord-américaines», ajoute M. Ménard. La Commission prévoit que l'industrie atteindra les 140 millions d'heures de travail en 2012. Le défi de la main-d'oeuvre Le grand défi réside maintenant dans la main-d'oeuvre. La demande est là, et parmi les 26 métiers de la construction, certains manquent de candidats. C'est le cas, par exemple, pour les métiers de cimentier, ferblantier ou monteur-mécanicien (vitrier). Pour répondre aux besoins, la CCQ veut favoriser la reconnaissance des compétences acquises dans d'autres secteurs. André Ménard donne l'exemple de Lebel-sur-Quévillon, où plusieurs employés affectés par les difficultés de l'industrie du bois pourraient facilement transposer leurs compétences dans le secteur de la construction. «L'an dernier, on a reconnu les compétences de 1596 personnes, souligne M. Ménard. Ce sont des choses qu'on ne faisait pas il y a sept ou huit ans.» La solution passe aussi par la formation. Sur les 14 000 nouveaux travailleurs de la construction en 2007, 5000 étaient des diplômés des différentes écoles de la province. Mais la CCQ voudrait voir ce nombre augmenter à 7000. La tendance est encourageante. «Il y a 10 ans, il y avait environ 1000 diplômés», rappelle André Martin, conseiller en relations publiques de la CCQ. Mais depuis, la construction a bien meilleure réputation. Selon un sondage mené au printemps 2008 par la firme Echo Sondage, 85% des gens jugent que l'industrie de la construction est un bon choix de carrière pour les jeunes. C'est une augmentation de 18 points par rapport à 2001. «L'industrie qu'on dénigrait autrefois a maintenant un attrait auprès des jeunes», dit André Ménard. En 2007, 15% des travailleurs de la construction avaient moins de 25 ans. La moyenne d'âge des travailleurs est passée de 42 ans à 39 ans au cours de la dernière année, a noté le ministre provincial du Travail, David Whissel, lors de la conférence de presse. Rencontré sur le chantier du campus Bell, à L'Île-des-Soeurs, où se tenait la conférence de presse, le travailleur Yannick Labrie a dit percevoir ce nouvel afflux de jeunes. Et ce ne sont pas les débouchés qui manquent. «Si les jeunes veulent travailler et qu'ils ont du coeur, il y a de la place pour eux», dit le poseur de systèmes d'intérieur. Il y a aussi de la place pour les femmes, qui ne composent encore que 1% de la main-d'oeuvre du secteur. «Laissez-nous encore quelques années, dit André Ménard. Nous travaillons à augmenter le nombre de femmes, d'autochtones et de minorités dans le secteur.» Le temps des vacances Près de 82% des travailleurs du domaine seront en congé du 22 juillet au 2 août pour les vacances de la construction, qui sont repoussées d'une semaine. Pour l'occasion, la CCQ leur a remis une somme globale de 246 millions de dollars. La Commission estime que 85% de cette somme sera réinjectée dans l'économie québécoise. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080712/LAINFORMER/807120757/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  17. L’ex-PDG déchu de Norbourg a vu sa peine d’emprisonnement être réduite à huit ans et demi. C’est le juge André Vincent de la Cour supérieure qui a pris cette décision. Pour en lire plus...
  18. Montréal courtise 15 000 spécialistes internationaux 4 juin 2008 - 06h58 La Presse Laurier Cloutier Dans la course mondiale aux talents, Montréal doit faire des gains pour soutenir sa croissance dans les secteurs de pointe. Cliquez pour en savoir plus : Macro-économie | Investissements | ANDRÉ GAMACHE | Montréal International Outre les investissements étrangers, le président-directeur général de Montréal International, André Gamache, ajoute donc le démarchage auprès de travailleurs qualifiés intéressés à s'établir dans un autre pays. Il courtise notamment 15 000 d'entre eux qui occupent déjà des postes importants à Montréal, mais sur une base temporaire. Un plus grand nombre de spécialistes internationaux devraient par ailleurs voir Montréal comme «un lieu de passage de choix», un tremplin dans leur carrière, explique André Gamache à La Presse Affaires, après un discours devant les Manufacturiers et exportateurs du Québec. Montréal n'est-elle pas une des grandes capitales mondiales de l'aéronautique, des technologies et des sciences de la vie grâce aux Bombardier, CGI, Ubisoft et aux pharmaceutiques? André Gamache veut démontrer que «c'est à Montréal que ça passe» autant qu'à Seattle, Toulouse, la Californie ou Boston. «Dans les jeux vidéo, Montréal est devenue la référence mondiale», assure-t-il. Une fois installés à Montréal, plusieurs de ces travailleurs qualifiés pourraient prolonger leur séjour et attirer de la sorte d'autres talents, explique André Gamache. Parmi les spécialistes internationaux que les secteurs de pointe de Montréal attirent, il y a toujours, bon an, mal an, 15 000 immigrants temporaires avec des permis de séjour de trois ans. André Gamache déplore que «seulement de 1000 à 2000 de ces travailleurs de passage restent à Montréal», même s'ils occupent des postes de choix, parlent français et ont leur famille ici. Cette main-d'oeuvre quitte souvent Montréal à cause de la bureaucratie avec laquelle on doit composer pour obtenir la citoyenneté canadienne. André Gamache «travaille déjà avec le gouvernement pour simplifier tout ça». «Dans l'aérospatiale et les technologies de l'information et des communications, il y a pénurie de main-d'oeuvre spécialisée. Cet enjeu du personnel qualifié est généralisé dans les pays développés et commence même à affecter les autres, dont la Chine. C'est la course internationale aux talents», dit-il. «La croissance fulgurante de plusieurs pays d'Asie leur fait découvrir que leur système d'éducation ne parvient pas à former la main-d'oeuvre au rythme des besoins croissants. Montréal par contre, une région de haut savoir de calibre mondial, possède un avantage considérable», souligne André Gamache. «Le monde est à un tournant, des occasions se dessinent, mais Montréal ne court pas encore assez vite, ajoute-t-il. Au final, ce sont les pôles les plus performants qui attirent les meilleurs talents et les investissements. Montréal compte 70 organisations internationales, dont l'OACI (Organisation de l'aviation civile internationale) et 1250 filiales de sociétés étrangères. En sept ans, Montréal International a contribué à attirer 6,3 milliards d'investissements étrangers qui ont créé 31 500 emplois.» À court terme, Montréal International doit pourtant défendre son rôle, car Ottawa veut sabrer 22% de son budget de 8 millions. Jean-Pierre Blackburn, ministre fédéral responsable de Développement économique Canada au Québec, ne veut plus financer que des projets précis, mais André Gamache garde quand même espoir d'arriver à un accord avec lui. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080604/LAINFORMER/806040807/5891/LAINFORMER01
  19. Le conseiller stratégique principal a été élu au conseil dans le cadre de l'assemblée annuelle des actionnaires. Pour en lire plus...
  20. 25 avril 2007 Scène un prise deux. L’arrondissement de Rosement poursuit sa lutte aux vieux canards à spring et structures de jeu moches. On investira 2 M$ dans quatre parcs de Rosemont–La Petite-Patrie. Comme l'année dernière, le maire André Lavallée a convié le Journal de Rosemont–Petite-Patrie à une tournée dans les parcs du coin, ceux qui feront l'objet de travaux. Cette fois, on vise essentiellement les aires de jeu destinées aux enfants de 5 à 12 ans. Tour du proprio On grimpe à bord de la minifourgonnette de l’arrondissement. Jacques Savard, directeur des travaux publics, prend le volant. Premier arrêt, le parc Beaubien – rue Beaubien, entre la 6e Avenue et la 9e Avenue. Les modules de bois peints en brun, d’une autre époque, feront bientôt place à de rutilants modules. Là, c’est surtout la petite pataugeoire, dans le décor rosemontois depuis les années 1950, et le Chalet des baigneurs qui seront retapés. La pataugeoire conservera la même superficie mais accueillera une nouvelle structure avec des jets d’eau variés. Le petit bassin sera muni d’un système de filtration afin d'assurer la salubrité de l'eau. Le contour de béton et d’asphalte fera place à un nouveau revêtement. L’endroit sera aussi clôturé. Fini les baignades improvisées pour toutou, espère le maire de Rosemont–La Petite-Patrie. Le parc Beaubien se taille la part du lion de toute cette seconde phase du plan de revitalisation des aires de jeu de l’arrondissement: 700 000 $ sont prévus au budget. Les travaux débuteront à la fin de la saison estivale. Parc de la Louisianne On remonte. Direction: le parc de la Louisiane – 31e Avenue et Beabien où l'aire de jeu pour les enfants de 5 à 12 ans sera réaménagée. André Lavallée profite du trajet pour parler du parc Jean-et-Éva-Tremblay, situé dans le secteur Angus, près de la rue Rachel. L’endroit s'est développé il y a une quinzaine d’années, faisant grimper du coup le nombre de bouts de chou dans le secteur. D'où la nécessité de remplacer les structures fatiguées, juge-t-on. Soccer au parc Père-Marquette Le maire Lavallée espère pouvoir refaire entièrement le terrain de soccer du parc Père-Marquette, travaux évalués à 500 000 $. L’arrondissement complète actuellement le montage financier et croise les doigts afin de dégotter, d'ici la fin de l’année, les fonds nécessaires. Plus qu'un vœu pieux, cette réfection est inscrite au plan triennal de l'arrondissement, dans sa planification pour 2007-2009. Des parcs et des sous Les investissements dans les parcs s'inscrivent en droite ligne avec le plan familial des élus locaux qui souhaitent faire de l’arrondissement un petit nid douillet pour tous. Pour que le financement soit à la hauteur des attentes, André Lavallée évalue la possibilité d’élargir le spectre des sources de financement. Pourrait-on courtiser le secteur privé ou compter sur des projets d’entreprises visant l'aide à la communauté, par exemple, afin de les mettre à contribution dans nos parcs? La formule n’est pas définie, mais oui, on réfléchit à différentes stratégies, expose le maire. «Montréal et le gouvernement du Québec contribuent financièrement aux efforts de l'arrondissement. Nous envisageons aussi des partenariats [privés] mais avec des règles très claires», dit-il. Par exemple, pas de privilège pour un promoteur qui déciderait d’investir dans du mobilier urbain, signale André Lavallée. Plantation d'arbres Détour par le parc Lafond. Les petits rigolos qui coupent à travers le parc avec leur voiture, sur le sentier piéton aménagé dans le prolongement de la 15e Avenue, frapperont un mur... de bois. Une cinquantaine d'arbres seront plantés. Avant le terminus, la fourgonnette passe devant la piscine du parc du Pélican, à l'angle de Masson et de la 1re Avenue. Un véritable champ de bataille où s'active encore l'artillerie lourde. L'été dernier, on y a entrepris des travaux de l'ordre de 1,7 M$. «On est dans les temps, on respecte le budget. Les travaux intérieurs et extérieurs ont suivi leur cours cet hiver et la piscine ouvrira comme prévu pour la saison», promet Jacques Savard. L'année dernière, l'arrondissement a investi 8 M$ dans huit de ses parcs. On a principalement rajeuni les aires de jeu pour les enfants de 2 à 5 ans, injecté 3 M$ pour le nouveau parc Jean-Duceppe – sur le site du Technopôle Angus – et investi 2,1 M$ dans le parc Étienne-Desmarteau.
  21. 02/03/2007 Alors que de nombreuses pétitions sont en marche contre les parcomètres, les marchands des rues commerciales de Montréal qui protestent contre les nouveaux tarifs ont reçu l'appui de l'opposition officielle à l'hôtel de ville. Noushig Eloyan apporte son aide politique, d'abord dans son arrondissement, aux commerçants de la rue Fleury qui ont organisé plusieurs pétitions parmi leur clientèle. «C'est une taxe cachée, a dénoncé Mme Eloyan, une taxe issue de la restructuration budgétaire de l'administration Tremblay.» Elle a rappelé que les deux arrondissements où les conseillers de Vision Montréal détiennent la majorité ont refusé de percevoir les tarifs les soirs de semaine ainsi que le dimanche. C'est le cas dans le Sud-Ouest et dans Mercier - Hochelaga-Maisonneuve. Cette perception le dimanche agace beaucoup les administrateurs des Sociétés de développement commercial (SDC) dans plusieurs quartiers. André Poulin, au centre-ville, et Claude Rainville, dans le Quartier latin, appréhendent un ralentissement des activités commerciales, surtout le dimanche. Le dimanche «Il en coûte maintenant 9 $ aux parcomètres, le dimanche, pour aller au cinéma, rue Saint-Denis», explique Claude Rainville, ajoutant que «le stationnement est gratuit au Marché central». André Poulin croit que la Ville de Montréal devra imiter New York, qui a éliminé les tarifs des parcomètres dans son centre-ville en 2005, «sans quoi de nouvelles habitudes vont se créer et le centre-ville va se vider».
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