Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'alain'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

7 résultats trouvés

  1. Les bébés ont la cote au Québec Photo Alain Roberge, La Presse Ariane Lacoursière La Presse Depuis le début de l'année, les pouponnières ont été particulièrement achalandées au Québec. Si la tendance se maintient, plus de 84 000 bébés verront le jour en 2007 et la province enregistrera son plus grand nombre de naissances en 10 ans. Selon les plus récentes données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ), 41 250 poupons sont nés entre les mois de janvier et juin. «Une moitié d'année doit encore s'écouler. Mais si le taux de fécondité se maintient, on atteindra les 84 000 naissances», avance Normand Thibault, démographe à l'ISQ. L'an dernier, moins de 82 000 bébés avaient vu le jour au Québec. En 2005, on en avait dénombré un peu plus de 76 000. Cette année, on pourrait donc noter une hausse de 9% des naissances en deux ans. Mais cette tendance haussière ne devrait pas durer, avertit Normand Thibault. Car même si les femmes seront nombreuses à accoucher en 2007, on ne peut pas parler d'un mini baby-boom. «C'est que depuis le mois de janvier, le taux de fécondité s'est stabilisé autour de 1,63 enfant par femme. En fait, ce taux est stable depuis octobre 2006. On est comme sur un plateau», analyse M. Thibault. En 2005 et en 2006, le taux de fécondité avait connu une forte augmentation au Québec, dû à différents facteurs. «L'économie allait bien depuis trois ans. Ne pas avoir à s'inquiéter pour ses finances personnelles incite toujours les couples à avoir des enfants», explique M. Thibault. Selon lui, le fait que le gouvernement provincial ait mis en place une nouvelle politique de congés parentaux et qu'Ottawa ait adopté un programme de soutien aux familles d'environ 1000$ par enfant en 2006 a aussi encouragé plusieurs couples à procréer. Toutefois, les effets de ces mesures commencent déjà à s'atténuer selon M. Thibault, qui prévoit que le nombre de naissances se stabilisera dès l'an prochain. «D'après moi, le nombre de naissances s'élèvera entre 80 000 et 85 000 en 2008. Mais il est encore tôt pour le dire», précise-t-il. Même si la soudaine hausse des naissances ne semble que temporaire, le gouvernement est-il prêt à accueillir tant d'enfants dans son réseau de garderies? «Tout à fait», assure Jean-Pascal Bernier, l'attaché de presse de la ministre de la Famille, Michelle Courchesne. «Nous avions promis d'atteindre 200 000 places en garderies et nous l'avons fait. Pour notre prochain mandat, nous avons déjà annoncé que nous voulons ajouter 20 000 places. Et juste cet été, nous en avons déjà ouverts 2000. On est sur la bonne voie», explique-t-il. Selon M. Bernier, cette nouvelle hausse des naissances est une bonne nouvelle pour le Québec. Et les retombées seront particulièrement positives dans le réseau scolaire. «On parle souvent de fermer des écoles parce qu'il n'y a pas assez d'élèves. Ce problème sera en partie réglé!» se réjouit-il.
  2. La STL modifie des circuits d'autobus par Catherine Berthiaume Voir tous les articles de Catherine Berthiaume Article mis en ligne le 17 août 2007 à 11:12 Soyez le premier à commenter cet article Trois circuits de la STL sont touchés dans les quartiers du Sud-Est de Laval. (Photo: Martin Alarie) La STL modifie des circuits d'autobus La Société des transports de Laval (STL) apporte dès le 25 août prochain des changements à cinq de ses circuits, en plus de réhabiliter un ancien circuit. Les modifications touchent sept quartiers de la ville, dont les utilisateurs du circuit 60, qui touche les quartiers de Chomedey, Laval-des-Rapides et Pont-Viau. Seul changement à son itinéraire, l'autobus effectuera un court détour afin de desservir la rue des Châteaux. Des consultations ont permis aux dirigeants de la STL de croire qu'il fallait réintroduire le circuit 60. «Ces améliorations toucheront quotidiennement quelque 6000 à 6500 utilisateurs du transport en commun à Laval», spécifie Marie-Céline Bourgault, directrice des communications et du marketing à la Société des transports de Laval (STL). 25, 48, go! Quand à la ligne 25, qui demeure complémentaire à la ligne 28, elle n'empruntera plus le boulevard Concorde, à l'ouest du Centre Duvernay, desservant plutôt les résidences des boulevards d'Auteuil et Lévesque. D'autre part, les rues de l'Empereur, des Ambassadeurs, des Généraux, des Gouverneurs et des Aristocrates sont maintenant reliées à la ligne 48. «Sur le tracé de la ligne 48, les gens avaient besoin de transport. Un service de taxi était utilisé jusqu'ici. La ligne est prolongée beaucoup plus loin dans ce quartier en développement», explique Alain Comtois, de la planification et développement à la STL. Les trois circuits repensés ont pour terminus la station de métro Cartier. Motivation «Ces révisions font suite aux analyses faites depuis la refonte entière des circuits suite à l'avènement du métro», affirme Alain Comtois, précisant qu'il s'agit de réajustements normaux. «Nous analysons l'achalandage des lignes et sommes à l'écoute des chauffeurs et de la clientèle. Nous procédons à des révisions trois fois par année. Souvent, il ne s'agit que de changements mineurs à être apportés aux horaires qui ne touchent pas l'itinéraire.» Les modifications apportées à compter du 25 août devraient être applicables jusqu'en décembre 2007. Autres arrêts Les autres lignes touchées sont la 45 (Laval-des-Rapides), la 66 (Chomedey et Sainte-Dorothée) et la 70 (Auteuil et le Parc Industriel Centre). Au total, 21 millions de déplacements sont effectués à la grandeur de l'île annuellement. 92 % des utilisateurs marchent moins de 500 mètres pour se rendre à un arrêt. Information: Service à la clientèle de la STL. 450 688-6520.
  3. Relance du Mont Orford: un hôtel et des lofts verts Publié le 09 mai 2011 à 05h00 | Mis à jour le 09 mai 2011 à 08h59 * Hélène Baril La Presse (Montréal) Des lofts aux murs de verre, complètement autonomes en énergie, équipés de lits et de baignoires sur rails qui peuvent sortir dehors par beau temps. De drôles d'habitations apparaîtront au pied du mont Orford. «Et il y aura des vélos qui produiront de l'électricité pour avoir accès à l'internet», ajoute Alain Chagnon, président du Vertendre, entreprise immobilière qui participe à une autre tentative de relance du mont Orford. Le Vertendre et Gestion Soroma, la société qui gère le centre de ski et le club de golf au nom du gouvernement québécois, sont devenus récemment propriétaires de 20% de ces deux actifs. L'autre actionnaire est la MRC de Memphrémagog, qui a acquis pour 1$ une part de 80% de la nouvelle société d'économie mixte créée pour tenter de donner un nouveau souffle à cette station touristique qui a connu plus que sa part de déboires depuis sa création, il y a 70 ans. C'est une occasion qu'attend depuis très longtemps Alain Chagnon, dont la famille a déjà réalisé plusieurs projets immobiliers dans la région immédiate du mont Orford. Depuis 2004, les Chagnon ont réuni 1000 acres de terrains au pied de la montagne, un secteur qu'ils ont commencé à aménager sous le nom de Vertendre. En s'associant avec la MRC de Memphrémagog, ils ont obtenu ce qui leur manquait pour continuer ce lotissement: un lien qui reliera leur secteur au domaine skiable, sur le versant ouest de la montagne. Ce lien fera débloquer des investissements d'une dizaine de millions de dollars dans de nouvelles activités de plein air, mais surtout dans l'immobilier, a fait savoir M. Chagnon lors d'un entretien avec La Presse Affaires. «On pense à 900 unités d'habitation au total», dit Alain Chagnon. En plus des 200 lofts accrochés à la montagne, il y aura des maisons individuelles et un hôtel de 200 chambres, le tout construit dans le respect de la nature et de l'environnement. Cet hôtel pourrait être géré par le Club Med. «Le Club Med a toujours un intérêt dans le projet», affirme le promoteur. L'autre intéressé par le projet d'hôtel est l'artiste Heinz Julen, qui a conçu l'hôtel Backstage de Zermatt, en Suisse. L'hôtelier qui s'associera au Vertendre ne misera ni sur les bars ni sur les discothèques pour attirer des clients, assure Alain Chagnon. «Plutôt sur les cerfs et les porcs-épics», dit-il. Qui paiera? La MRC de Memphrémagog a retenu une seule des trois propositions qui lui ont été faites pour relancer le mont Orford, celles du Vertendre et de Gestion Soroma. Les deux autres groupes intéressés ont été disqualifiés parce qu'ils n'ont pas réussi à réunir 1,5 million en garantie. Les deux offres rejetées sont celles de la Coopérative de solidarité du Mont-Orford, regroupement local, et de Camp Fortune, entreprise qui exploite une station de plein air dans l'Outaouais. Contre leur 1,5 million, Vertendre et Gestion Soroma ont obtenu 20% d'une entreprise dont les actifs sont estimés à 7,5 millions et dont la MRC est l'actionnaire majoritaire. C'est donc à la MRC que revient la responsabilité de préserver l'intégrité du territoire du parc national du Mont-Orford. Il n'y aura ni constructions, ni nouvelles pistes de ski, ni rien d'autre sur le territoire du parc, qui est protégé, affirme Guy Joron, directeur général de MRC. Rien, à part les «quelques pylônes» nécessaires au lien vers le Vertendre, précise-t-il. Le coût des projets d'aménagement de la station touristique sera assumé par la société d'économie mixte qui, en tant que propriétaire d'actifs estimés à 7,5 millions et sans aucune dette, pourra emprunter les fonds nécessaires. Alain Chagnon ajoute que la société pourra profiter des programmes gouvernementaux d'aide à l'investissement. Il ne prévoit pas de conflit entre les intérêts collectifs de la MRC et les intérêts privés du Vertendre et de Gestion Soroma. «Si on y trouve notre compte, tout le monde y trouvera son compte», espère-t-il. Parce qu'il vit et travaille dans la région et que ses enfants vont à l'école du coin, Alain Chagnon se dit prêt à prendre plus de risques qu'un promoteur de l'extérieur. «Si on perd de l'argent pendant deux ans, je ne vais pas m'en aller ailleurs», assure-t-il. Après la faillite et les disputes, les projets de vente et de privatisation qui n'ont pas abouti, le gouvernement du Québec a finalement réussi à se débarrasser du problème du mont Orford. Une ère nouvelle commencera le 1er juin, date à laquelle la société d'économie mixte commencera officiellement ses activités.
  4. Publié le 19 février 2009 à 06h14 | Mis à jour à 06h18 Montréal, porte d'entrée du financier Stanford au pays Les locaux visités par La Presse Affaires sont dignes d'une institution prospère: plancher de marbre, fauteuils en cuir capitonné, vue magnifique sur le centre-ville. Francis Vailles La Presse (Montréal) «Nous voulons vous informer que la Banque Stanford Internationale n'a aucun investissement dans les fonds Madoff.» Telle est l'assurance que donnait la banque accusée de fraude à ses clients à la mi-décembre, dans la foulée du scandale Madoff. Cette missive, dont La Presse Affaires a une copie, a été transmise aux clients canadiens de la Banque Stanford, en français et en anglais. L'organisation a un bureau en plein centre-ville de Montréal, avenue McGill College, ce qui en fait la porte d'entrée de l'organisation au Canada. Lundi, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis a gelé les actifs de la Stanford International Bank et de ses affiliés, accusant l'organisation et ses dirigeants, Robert Allan Stanford, James M. Davis et Laura Pendergest-Holt, de fraude massive. La banque, située dans le paradis fiscal d'Antigua, et ses affiliés Stanford Group Company et Stanford Capital Management, de Houston, au Texas, ont vendu des «certificats de dépôt» totalisant environ 8 milliards US en promettant des rendements irréalistes de plus de 10% depuis 15 ans, selon la SEC. Les investissements de Stanford n'étaient pas liquides, contrairement à ce que les dirigeants affirmaient aux clients; une bonne partie était investie dans l'immobilier et des placements privés, selon la SEC. En outre, l'entreprise est exposée aux fonds Madoff, contrairement à l'assurance faite aux clients. Stanford est présente à Montréal depuis quatre ans, selon le registre des entreprises du Québec. Les locaux sont situés au 30e et dernier étage de la Place Montréal Trust, avenue McGill College, la rue la plus chère à Montréal pour la location de bureaux. Les locaux visités par La Presse Affaires sont dignes d'une institution prospère: plancher de marbre, fauteuils en cuir capitonné, vue magnifique sur le centre-ville, etc. À la réception, impossible d'avoir un entretien avec le directeur, Alain Lapointe. La réceptionniste nous renvoie au département des communications de l'entreprise, situé en Floride, où il n'a pas été possible d'avoir la communication. Plus tôt, au téléphone, la réceptionniste nous avait indiqué que tout continuait à fonctionner normalement selon les instructions des clients. Le bureau de Montréal, le seul au Canada, nous a-t-elle dit, compterait une demi-douzaine d'employés. Au début de décembre, l'entreprise a commencé à faire circuler un nouveau bulletin d'information parmi ses employés et clients appelé Stanford Did You Know. Dans ce document obtenu par La Presse Affaires, l'organisation prétend qu'elle continue à croître malgré la crise financière sans précédent. «Ne vous y trompez pas, nous resplendissons plus que jamais», écrit l'entreprise. La SEC s'interroge d'ailleurs sur les rendements improbables de Stanford. En 2008, selon la SEC, la banque soutient que son portefeuille diversifié n'a perdu que 1,8%, comparativement à 39% pour la Bourse américaine (S&P 500). Selon la SEC, les dirigeants n'ont pas collaboré avec les enquêteurs, qui tentaient notamment de savoir ce qu'il est advenu de 90% des fonds de 8 milliards, placés dans une espèce de «boîte noire» inaccessible. Hier, selon l'agence Bloomberg, le SEC disait ne pas savoir où se trouve Allan Stanford. Pas d'enquête à l'AMF Au Québec, l'Autorité des marchés financiers (AMF) n'a pas entrepris d'enquête sur la Banque Stanford. «À la lumière des faits connus, l'AMF n'a pas juridiction, car il s'agit d'une succursale d'une banque étrangère, avec des activités de dépôt», a expliqué Nathalie Drouin, directrice générale du contrôle des marchés de l'AMF. Une telle banque relève plutôt du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), qui a commencé une enquête. Par ailleurs, le directeur de la succursale montréalaise de la banque, Alain Lapointe, est membre du conseil d'administration de l'Association des diplômés de HEC Montréal. À ce titre, il a participé aux campagnes de souscription de l'organisme. M. Lapointe a obtenu son MBA de HEC en 1985. Son nom ne figure pas dans l'acte d'accusation de la SEC. Aucun autre membre du conseil de l'Association n'a de liens avec Stanford et l'organisme n'a pas placé d'argent dans cette banque, nous indique Jacynthe Alain, porte-parole de HEC Montréal. Alain Lapointe n'est pas l'ancien professeur d'économie de cette école, aujourd'hui à la retraite.
  5. C'était très prévisible et inévitable -------------- Dès 2010 GM ne sera plus le commanditaire principal du Festival de jazz 17 décembre 2008 - 15h46 La Presse Canadienne Dans la foulée de la tourmente économique mondiale, le Festival international de jazz de Montréal perdra son commanditaire principal, General Motors, à compter de 2010. GM a indiqué aux organisateurs du Festival que son entente de commandite principale ne sera pas renouvelée lorsqu'elle viendra à échéance. C'est donc dire que la 30e édition de l'événement, en juillet prochain, sera sa dernière à titre de commanditaire principal. Le retrait du géant de l'automobile n'a pas surpris les organisateurs de l'événement, compte tenu des sévères difficultés de l'industrie automobile. «On s'y attendait, avec le contexte économique qu'ils vivent», a dit en entrevue, mercredi, le président et fondateur du Festival, Alain Simard. «On avait prévu au contrat, justement, une date butoir pour un renouvellement à long terme, de façon à ce qu'on ait le temps, ce qui nous donne un an et demi pour trouver un remplaçant. GM, dans le contexte actuel, n'était pas en mesure de confirmer qu'il renouvelait pour cinq ans», a-t-il ajouté. M. Simard s'est dit confiant de pouvoir dénicher un autre commanditaire principal, malgré la tourmente économique. «Ce qui m'inquiéterais plus, c'est l'effet domino sur les plus petits événements. Je suis très confiant que le Festival de jazz est une propriété convoitée par les commanditaires. Mais est-ce qu'ils vont se retirer d'autres événements plus petits pour pouvoir se payer le Festival de jazz? C'est sûr que c'est jamais une bonne nouvelle pour l'économie en général.» Alain Simard se dit déçu du départ de GM, faisant valoir que le constructeur automobile s'était montré un partenaire de choix. Il n'écarte pas d'autres associations dans l'avenir avec GM. Le montant de la commandite n'a pas été rendu public. On sait cependant que près de la moitié du budget de 25 millions $ du Festival provient de commandites et qu'à titre de commanditaire principal, l'investissement de GM était à tout le moins de quelques millions de dollars. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/12/20081217-154650.html
  6. Comme les prix de l'essence sont clairement affichés à la vue de tous, il faut être «naïf» pour croire que les détaillants ont besoin de recourir à la collusion, a lancé le PDG Alain Bouchard. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...