Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'ajoute'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

22 résultats trouvés

  1. Le Journal de Montréal 10/07/2007 Montréal n'aurait pas sa place dans le calendrier des courses de NASCAR. C'est du moins ce qu'il faut croire si l'on se fie aux commentaires de Jerry Long, un ancien dirigeant chez J.R. Reynolds, la compagnie propriétaire de Winston, qui a longtemps commandité la principale série de NASCAR avant qu'elle ne soit remplacée par Nextel. En entrevue au Winston-Salem Journal où il est question des décisions de marketing prises par NASCAR, Long écorche Montréal, qui doit accueillir une course de la série Busch, au circuit Gilles- Villeneuve, le 4 août. Le principal intéressé est d'accord que la série prenne de l'expansion au-delà des frontières américaines, mais il croit que ses dirigeants font erreur en venant à Montréal. «Je ne vois pas du tout Montréal comme une ville de NASCAR», a-t-il affirmé au quotidien de la Caroline du Nord. «Reynolds était la compagnie de tabac numéro un là-bas et nous avions un bureau à Montréal, a-t-il poursuivi. J'étais au Québec il y a quelques semaines et j'ai constaté que les gens làbas pensent encore différemment. «En 1983 ou en 1985, nous avions tout fermé là-bas; nous ne pouvions vivre avec ces gens», a ajouté celui qui a joué un gros rôle dans l'expansion phénoménale de la série. Les New-Yorkais ne viendront pas Selon lui, la série aurait mieux fait de tenter sa chance à Toronto. «Nous avions tout déménagé à Toronto à l'époque et c'est l'endroit où aller; il y a tout là-bas», a dit celui qui ne comprend pas pourquoi la série s'acharne à diffuser ses courses sur plusieurs réseaux de télévision. «Personne ne veut aller à Montréal, a-t-il ajouté. Si les dirigeants de NASCAR pensent que les gens vont conduire à partir de New York pour aller à Montréal, c'est ridicule. Mais si la course a lieu à Toronto, tu peux faire la route de Chicago ou de Detroit. «Ils devraient oublier Montréal», a conclu celui qui ne porte vraisemblablement pas la métropole dans son coeur.
  2. Bon bien j'ai pas trouve d'autre place ou mettre cela mais il y a des travaux de réfection dans ce parc et c'est tant mieux il en avait de besoin ! Le mur était tout détruit. De plus des arbustes ont été ajoute a la place du gazon qui arrivait pas a pousser.
  3. http://www.newswire.ca/fr/story/1120355/avec-l-appui-de-montreal-international-le-groupe-alten-s-implante-dans-le-grand-montreal-et-annonce-la-creation-de-200-emplois Avec l'appui de Montréal International - Le Groupe ALTEN s'implante dans le Grand Montréal et annonce la création de 200 emplois MONTRÉAL, le 26 févr. 2013 /CNW Telbec/ - Le Groupe ALTEN, leader européen de l'ingénierie et du conseil en technologies (ICT), implante son siège social canadien dans le Grand Montréal. Actuellement reconnu comme l'un des meilleurs employeurs de France et certifié « Top Employeurs France 2013 », le Groupe ALTEN prévoit de créer plus de 200 emplois spécialisés dans la métropole québécoise, et ce, d'ici les trois prochaines années. Le Groupe ALTEN, qui compte actuellement 16 000 employés présents dans 16 pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie, soutient les entreprises innovantes dans le développement de leurs activités en R&D et la mise en place de nouveaux systèmes d'information. La nouvelle filiale entend principalement offrir ses services aux entreprises québécoises, canadiennes et nord-américaines œuvrant dans les secteurs de l'aérospatiale et des technologies de l'information et de la communication (TIC). « Nous retrouvons à Montréal tout le savoir-faire du Groupe ALTEN. Il y a ici un bassin de talents pour notre industrie, avec des établissements universitaires et des écoles d'ingénierie de qualité. C'est là un élément clé pour développer et renforcer notre présence canadienne », a déclaré M. Maxime Leca, directeur d'ALTEN Canada. « De plus, la région excelle dans plusieurs domaines technologiques de pointe et offre un environnement d'affaires très compétitif », a-t-il ajouté. Montréal International, qui a notamment le mandat d'attirer dans le Grand Montréal des investissements directs étrangers, a accompagné l'entreprise française dans son projet d'implantation dans la région. « L'arrivée d'un géant européen comme le Groupe ALTEN, qui se spécialise dans un domaine très porteur de l'économie du savoir, met de l'avant le dynamisme de toute la région comme centre d'innovation, de R-D et de haute technologie », a déclaré M. Jacques St-Laurent, président-directeur général de Montréal International. « Les filiales de sociétés étrangères représentent un puissant levier pour le développement économique et le rayonnement de la métropole », a-t-il ajouté. "Le Grand Montréal, qui était en compétition avec d'autres grandes villes canadiennes, s'est également démarqué par son environnement d'affaires nord-américain, sa population francophone et multilingue, et sa proximité des grands centres urbains du nord-est des États-Unis, comme New York, Boston et Washington », a ajouté Maxime Leca. « Montréal est assurément une métropole cosmopolite et ouverte sur le monde. Elle réunit tous les ingrédients propices au succès et au développement des entreprises », a-t-il conclu. Mentionnons que la création d'ALTEN Canada permet de solidifier la présence du Groupe ALTEN en Amérique du Nord, après l'acquisition en 2011 de Calsoft Labs aux États-Unis
  4. Pour assouvir ma curiosité sans fin sur le totalitarisme, je viens de commencer à regarder: Third Reich Rise & Fall Vraiment incroyable, pleins d'infos intéressante, un peu plus approfondi que ce auquel on est habitué sur le nazisme... en plus le montage vidéo ajoute beaucoup à la narration. Un extrait:
  5. Ignoré, Martin St-Louis est déçu RDS Publié mercredi 30 décembre 2009 15.47 ET Hockey Canada a fait connaître l'identité des joueurs qui représenteront le pays à Vancouver, mercredi midi. Parmi les oubliés se retrouvent les Québécois Vincent Lecavalier et Martin St-Louis. « C'est désappointant, a simplement mentionné St-Louis. Tu travailles fort pour rendre la tâche des décideurs encore plus difficile, mais les déceptions font parties de la vie. Tu te relèves et tu continues. » « C'est une question de fierté, a renchéri le petit attaquant. Tu veux être là sur le plus haut plateau, oui pour toi, mais aussi pour ta famille et pour tous les gens que tu connais. » Jusqu'ici cette saison, Lecavalier a marqué neuf buts et ajouté 28 passes en 39 rencontres avec le Lightning. Pour sa part, St-Louis cumule 43 points, dont 35 passes ce qui le place au 3e rang des passeurs de la LNH. I have the feeling Russia might beat them up!
  6. Publié le 27 octobre 2009 à 16h06 | Mis à jour à 16h09 Le milliardaire français Vincent Bollore a annoncé mardi la construction prochaine, à un coût de 120 millions, d'une usine qui produira des batteries destinées aux voitures électriques de demain. Cette usine sera construite à Boucherville, sur la rive-sud de Montréal. Elle emploiera 200 personnes. M. Bollore explique que ses batteries utilisent la technologie de polymère de métal lithium et qu'elles seront plus sécuritaires que les batteries au lithium-ion préférées par les grands constructeurs automobiles. Il ajoute que les batteries au lithium-ion, qui sont fréquemment utilisées dans les ordinateurs portables, ont tendance à surchauffer. La compagnie, le groupe Bollore, décrit cette usine comme la première en son genre en Amérique du Nord et seulement la deuxième au monde. L'an dernier, le magazine Forbes épinglait la fortune personnelle de M. Bollore à 1,4 milliard US. p.s. on dirait la première annonce de création d'emplois depuis un petit bout de temps... http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/technologie/200910/27/01-915655-une-usine-de-batteries-de-120-millions-a-boucherville.php
  7. De l'Agence France-Presse http://fr.news.yahoo.com/2/20090110/twl-le-velo-en-hiver-un-moyen-de-transpo-36d2a39_1.html Le vélo en hiver, un moyen de transport téméraire mais populaire au Québec De plus en plus de cyclistes québécois refusent de ranger leurs bicyclettes durant l'hiver et persistent à pédaler sous la neige, un exercice parfois périlleux, mais qui peut être facilité par un équipement adapté. "C'est un peu dangereux, mais ce n'est pas si compliqué", souffle Valérie Lemieux, installée sur son vélo de route le long d'une piste cyclable dans le centre de Montréal. "Je m'organise avant de partir. Il faut des bonnes mitaines, un casque, des bonnes bottes. Et puis plusieurs couches de vêtements", ajoute l'étudiante, dont on distingue à peine le visage entre une épaisse écharpe et un cache-oreilles. Comme elle, près de 200.000 Québécois enfourchent leurs vélos pendant les longs mois d'hiver, dont 50.000 à Montréal, selon un sondage effectué en 2005 par l'association Vélo Québec. Face à la popularité de ce mode de déplacement, les autorités montréalaises ont prévu dans leur dernier plan de transport d'étendre à 70 km le réseau de pistes cyclables déneigées d'ici 2014. Déjà 30 km de ce "réseau blanc" (son nom officiel) sont en service cette année. Que ce soit pour faire de l'exercice, par souci de l'environnement ou par soif d'adrénaline, les motivations des "snowbikers" sont diverses. "Tu as plus le contrôle de quand tu pars, quand tu arrives. Ça te tient en forme et puis, c'est bon pour l'environnement...", dit Valérie Lemieux. "C'est le côté extrême que j'aime bien", explique Isabelle Pénélope, qui se sert de sa bicyclette aussi bien pour amener sa petite fille à l'école que pour dévaler les sentiers sinueux et glacés du Mont-Royal, la montagne boisée du centre de la métropole québécoise. "Je suis déjà tombée dans un parc avec ma fille sur le siège arrière. On a glissé et j'ai eu très mal... Mais on est reparties", rigole-t-elle. Quant à Mathieu Bomblet, un belge originaire de Liège, il se déplace en VTT car farouchement opposé aux transports en commun, trop lents et trop chers selon lui. "Ça réveille bien le matin ! Sur la route, ça va, mais sur les trottoirs, c'est plus glissant", dit-il, agrippant d'une main ses patins et sa crosse de hockey, de l'autre le guidon d'un VTT aux freins complètement hors d'usage. "Je n'ai plus que les pieds pour freiner... c'est un peu casse-figure, mais c'est ça qui est bien", ajoute le jeune homme. Tous les cyclistes hivernaux ne sont pas aussi téméraires et la plupart s'équipent spécifiquement pour le climat. Certains constructeurs, tels le canadien Louis Garneau ou l'américain Surly, proposent des modèles modifiés spécialement pour l'hiver. Ces petites reines possèdent des dérailleurs intégrés dans le moyeux afin de prévenir la rouille, des pneus cloutés pour éviter les dérapages ou carrément des pneus larges de 9,4 cm pour "flotter" sur la neige. "Il y a eu beaucoup de glace au début de l'hiver, tout le monde tombait... Les gens ont dévalisé nos stocks de pneus à clous, même notre fournisseur n'en a plus", raconte Christian Bisnaire, vendeur dans un magasin de sport. Patrick Howe, porte-parole de l'association Vélo Québec, félicite les autorités d'avoir pris conscience de l'engouement des Québécois pour le vélo d'hiver, mais regrette que Montréal demeure sous "la dictature des déneigeurs". "L'automne venu, la ville nettoie ou retire à peu près tout le mobilier urbain. On n'a plus de banc ni de stationnement pour attacher nos vélos!", regrette-t-il.
  8. Michel Kelly-Gagnon quitte le Conseil du patronat 12 novembre 2008 - 13h39 LaPresseAffaires.com Michel Munger Olivier Bourque Après moins de trois ans à la tête du Conseil du patronat du Québec (CPQ), Michel Kelly-Gagnon repart diriger l'Institut économique de Montréal. Il partira le 23 janvier pour entrer en poste le 9 février, selon l'annonce faite mercredi par Hélène Desmarais, présidente du conseil d'administration de l'IEDM. En attendant son arrivée, Marcel Boyer, vice-président et économiste en chef, dirigera par intérim. M. Kelly-Gagnon a déjà été à la tête de ce think tank montréalais qui prône la liberté économique, soit de 1999 à 2006. Son mandat ? Accroître la présence de l'IEDM dans les débats publics sur la scène fédérale afin d'avoir une mission pancanadienne. Click here to find out more! «Au moment où le grand public vit le choc de la crise financière et où nous sommes confrontés à un ralentissement à l'échelle mondiale, l'expérience de M. Kelly-Gagnon à la tête de l'Institut, bonifiée par celle de principal porte-parole des entreprises du Québec, a constitué un élément décisif en faveur de sa candidature», indique Hélène Desmarais. «Son réseau de contacts étendu constituera un atout important pour que l'IEDM franchisse une autre étape dans son développement», ajoute la présidente du conseil. Le principal intéressé dit vouloir renforcer l'orientation de l'Institut, qui place la recherche accessible au grand public et l'approche du libre marché au cœur de ses priorités. M. Kelly-Gagnon cherche aussi à faire valoir son point de vue de façon plus marquée. «J'ai grandement apprécié mon travail de représentation du milieu des affaires, mais la liberté d'action et de parole propre à un think tankme manquait beaucoup». John LeBoutillier, président du conseil du CPQ, a salué le travail récent de M. Kelly-Gagnon. «En moins de trois années, il a entrepris avec succès une refonte de nos instances afin de les redynamiser. Il a également redonné à notre conseil d'administration un rôle de premier plan en y recrutant des gens d'affaires de haut niveau.» «Sous sa direction, ajoute M. LeBoutillier, le CPQ a connu une consolidation de ses ressources humaines et financières et une gestion efficace des enjeux stratégiques du patronat québécois», a-t-il ajouté. M. Kelly-Gagnon a invité les employeurs à continuer de soutenir le Conseil du patronat. «Le Québec a besoin d'un CPQ fort et j'invite de tout coeur les employeurs à maintenir, voire à augmenter, leur appui à cette importante organisation qui défend leurs intérêts.»
  9. Le gouverneur de la Banque du Canada estime que le pays pourrait glisser en récession comme toute autre nation industrialisée, ce qui ajoute du poids aux conjectures des économistes. Pour en lire plus...
  10. Vers un déficit de 5 milliards? Mise à jour le vendredi 24 octobre 2008, 8 h 29 . L'Ontario se dirige vers un déficit plus grand que prévu, selon un nouveau rapport de la Banque TD. L'institution estime que la province atteindra un déficit de 3 à 5 milliards de dollars au cours des deux prochaines années. Mercredi, le ministre des Finances de l'Ontario a annoncé qu'il prévoit désormais un déficit de 500 milliards de dollars. La Banque TD croit que les finances de l'Ontario ne s'amélioreront pas au cours des deux prochaines années, notamment parce que le secteur manufacturier de la province a profité pendant trop longtemps de la faiblesse du dollar canadien et des prix du pétrole: « Ce sont des avantages corporatifs qui se sont érodés et qui ne vont pas revenir », mentionne l'économiste Pascal Gauthier, qui propose à l'Ontario de concentrer ses efforts sur d'autres secteurs pour diversifier sa croissance. La Banque TD ajoute que le gouvernement fédéral n'échappera pas aux budgets déficitaires: Ottawa doit s'attendre à un manque à gagner de 10 milliards de dollars d'ici deux ans. McGuinty: « L'année prochaine sera pire » Le pessimisme de la Banque TD semble en partie être partagé par le premier ministre ontarien Dalton McGuinty. En entrevue dans une station de radio privée de Toronto, jeudi matin, il a déclaré que la situation financière de la province serait encore plus précaire l'année prochaine. « L'année prochaine sera encore pire et l'année suivante aussi », a dit McGuinty. Il précise qu'il n'y aura pas de nouveaux investissements gouvernementaux dans la province et que les programmes existants seront ralentis. Pour le premier ministre, la chose la plus importante est d'avoir un plan pour éliminer le déficit. Questionné à savoir quel est son plan, Dalton McGuinty est resté vague, se bornant à promettre de nouveau de ne pas hausser les impôts. Lors de la campagne électorale de 2007, les libéraux avaient promis de présenter des budgets équilibrés. Version Tory Le chef conservateur John Tory s'est montré sceptique face au discours de son adversaire politique. « M. McGuinty est le roi des promesses rompues, et je pense que les citoyens ne le croient pas lorsqu'il dit qu'il n'augmentera pas les impôts. - John Tory » M. Tory ajoute que s'il était premier ministre, il aurait gelé les embauches dans la fonction publique et réduit les impôts afin de stimuler les investissements et les dépenses des Ontariens.
  11. Les investisseurs étrangers ont vendu des actions canadiennes à un rythme plus soutenu en août. Ils ont toutefois ajouté à leur portefeuille des obligations de sociétés canadiennes et des obligations fédérales. Pour en lire plus...
  12. L'entreprise annonce par voie de communiqué qu'elle réévaluera sa décision mais ajoute qu'elle projette une réouverture pour le jeudi 28 août. Pour en lire plus...
  13. Le rénovateur porte le nombre de magasins de son réseau à travers le pays à 700, avec l'ajout de ventes estimées à près de 50 M$. Pour en lire plus...
  14. Calgary Un projet de studio de cinéma Mise à jour le samedi 26 juillet 2008, 15 h 14 . La ville de Calgary pourrait prochainement avoir son studio de cinéma. Le commissaire Luke Azevedo du Bureau du cinéma de Calgary souligne que le projet est à l'étude depuis de nombreuses années. C'est la première fois, dit-il, que les différents partenaires sont prêts à travailler ensemble. Le gouvernement de l'Alberta fournirait une aide financière au projet. Le studio serait possiblement construit près du centre-ville de Calgary et aurait au moins deux salles d'enregistrement, avance M. Azevedo. Sans vouloir préciser d'échéancier, il ajoute que les détails de la proposition seront prochainement dévoilés. L'Alberta accueille déjà un bon nombre de tournages. L'an dernier, des images de plus de 150 films et publicités ont été captées dans la province. Même avec un grand studio, Calgary devra concurrencer d'autres grandes villes canadiennes comme Vancouver, Toronto et Montréal. Le commissaire du Bureau du cinéma de la métropole québécoise, Daniel Bissonnette, ajoute qu'au moins une quarantaine d'États américains offrent des mesures fiscales incitatives. La concurrence vient aussi d'une trentaine de pays, ajoute-t-il. « Je pense qu'il n'y a plus personne qu'on peut dire qu'il l'a facile dans le sens d'avoir un volume de production », mentionne M. Bissonnette. Les films Brokeback Mountain et The Assassination of Jesse James by the Coward Robert Ford sont parmi les grandes productions hollywoodiennes à avoir été tournées dans la région de Calgary au cours des dernières années. http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2008/07/26/001-studio-Calgary.shtml?ref=rss
  15. La Commission a ajouté trois nouvelles accusations contre Intel, et averti que l'entreprise devait changer ses pratiques sous peine de se voir infliger une amende salée. Pour en lire plus...
  16. L'entreprise a néanmoins indiqué que le supplément de 100$ par tonne métrique était temporaire et qu'il serait ajusté en fonction de l'évolution des prix de l'énergie. Pour en lire plus...
  17. Publié dans le Courrier du Sud du 28 juin 2008. Les tours Est et Ouest du Complexe Saint-Charles Ouest, situé à la Place Charles-Lemoyne s'élèveront un peu plus dans le ciel longueuillois. Les authorités du Vieux-Longueuil ont donné le feu vert au propriétaire pour qu'il ajoute 2 étages aux tours. Ainsi, la tour Est comportera 14 étages et la tour Ouest en comportera 9. Les travaux de construction, qui se chiffrent à 13 M$, débuteront en août.
  18. Beaucoup beaucoup de statistiques frais sur Montréal RMR, le Québec et le Canada. on s'aperçoit que le Québec enregistre une croissance économique de 2.2% sans inclure les derniers mois de l'année... me semble que c'est beaucoup mieux que toutes les prévisions. Montréal à ajouté presque 60,000 emplois! Le reste ici: http://www.stat.gouv.qc.ca/princ_indic/indicnm.htm
  19. Une autorité réglementaire unique envers et contre tous 27 juin 2007 - 18h30 Presse Canadienne Agrandir Le ministre des Finances Jim Flaherty Le ministre fédéral des Finances affirme être déterminé à aller de l'avant avec son projet d'autorité réglementaire nationale des valeurs mobilières, malgré l'opposition de la plupart des provinces. Dans le texte d'un discours prévu pour une conférence sur la réglementation des valeurs mobilières, le ministre Jim Flaherty affirme qu'il s'apprête à nommer un comité d'expert qui aura pour objectif de recommander, d'ici six mois, de nouvelles approches pour améliorer le système actuel. «Je suis grandement inquiet du fait que certains investisseurs canadiens estiment qu'il est nécessaire de se fier sur les États-Unis pour tenir les compagnies responsables de leurs actions», a indiqué M. Flaherty. «Bien franchement, notre gouvernement n'est pas prêt à accepter le statu quo», a-t-il ajouté. Une copie du discours a été obtenue avant qu'il ne soit prononcé. La semaine dernière, la plupart des ministres des Finances des provinces ont rejeté la proposition du ministre Flaherty pour la mise en place rapide d'une seule autorité réglementaire avec des règles uniformes dans l'ensemble du pays, plutôt que d'opter pour un «système de passeport» qui vise à coordonner et harmoniser les lois sur les valeurs mobilières des différentes juridictions. Seule l'Ontario, où se trouvent le plus grand marché boursier canadien et la plus importante commission des valeurs mobilières, appuie la proposition de Jim Flaherty. Selon le ministre fédéral, le système de passeport serait un pas en avant mais il resterait inadéquat puisqu'il laisserait en place 13 différentes autorités réglementaires avec 13 ensembles de lois et 13 échelles de frais. De plus, a-t-il ajouté, le Canada doit se joindre au mouvement mondial vers le libre-échange des valeurs mobilières et il devra avoir une seule autorité réglementaire pour se lancer dans de tels projets. «Pour réussir dans l'économie mondiale, nous devons mettre le bon système en place et offrir aux investisseurs une protection de classe mondiale», a-t-il indiqué
  20. Laval séduit Standard & Poor's La firme d'évaluation de crédit Standard & Poor's a revu à la hausse la cote des titres d'emprunt à long terme de la Ville de Laval. Celle-ci passe de A+, avec perspective positive, à AA-, avec perspective stable. S&P justifie sa décision par «les progrès continus dans la réduction significative de la dette, conjugués à une forte croissance économique et à une performance budgétaire améliorée». L'agence ajoute notamment que depuis 1999, l'endettement de Laval suit une courbe descendante, le ratio de la dette sur les revenus totaux, une mesure propre à Standard & Poor's, ayant décliné de plus de 30% durant cette période. «Nous prévoyons que cette tendance se poursuivra au cours des prochaines années», précise Standard & Poor's.
  21. Lundi 23 Avril 2007 Au lieu de souffler sur les 40 chandelles pour souligner le quarantième anniversaire de l'Expo 67, une quarantaine d'arbres ont été plantés sur l'île Ste-Hélène, hier, dans le cadre du Jour de la Terre. " Par ce geste, nous démontrons que nous souhaitons assurer la pérennité de nos précieux espaces verts et semer un message pour les générations futures ", a commenté Diane Chartrand, vice-présidente et secrétaire du conseil d'administration de la Société du parc Jean- Drapeau. " Ces arbres sont une source d'inspiration pour le Montréal de demain, un Montréal vert ", a ajouté le maire Gérald Tremblay au cours de cette cérémonie à laquelle assistaient, entre autres, Jacques Languirand, porte-parole du Jour de la Terre et Pierre Karl Péladeau, président et directeur général de Quebecor, un des grands partenaires du Jour de la Terre. Le premier citoyen de Montréal a rappelé qu'en adoptant son premier Plan stratégique de développement durable dans la collectivité montréalaise, la Ville s'est engagée à améliorer la protection de la biodiversité, des milieux naturels et des espaces verts.
×
×
  • Créer...