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  1. Un paddock rénové à Montréal Charles Rooke Journal de Montréal 13/02/2008 10h29 Le paddock du circuit Gilles- Villeneuve ne devrait plus être la risée du circuit de la formule 1 car, selon ce qu'a appris le Journal de Montréal, une subvention de 1,25 million de dollars du gouver nement fédéral serait accordée afin qu'on procède à sa réfection. L'an der nier, Ber nie Ecclestone, le grand manitou du cirque de la formule 1, avait critiqué les installations du Grand Prix de Montréal. Durant la semaine du Grand Prix, des employés de l'écurie Honda avaient été jusqu'à affirmer que les installations montréalaises étaient «une honte». Les écuries avaient même dû faire la vaisselle avec l'eau provenant du bassin olympique. Les organisateurs du Grand Prix ont donc fait une demande de subvention de deux millions de dollars au gouver nement fédéral en novembre afin de remédier à la situation. La somme de 1,25 million serait débloquée prochainement, et l'annonce de l'octroi de la subvention pourrait être faite au cours des prochaines semaines. Quelques détails à régler L'entente ne serait pas encore finalisée, mais il resterait quelques détails à fignoler afin d'officialiser le tout. Le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, aurait fait une priorité de ce dossier. On n'a toutefois pas voulu confirmer la nouvelle du côté de son bureau. Il a été impossible de joindre un membre de l'organisation du Grand Prix hier. Cette nouvelle tombe sans doute à point pour le Grand Prix de Montréal car, la semaine dernière, Bernie Ecclestone, un Britannique, a menacé de retirer le Grand Prix d'Angleterre en raison de la désuétude des installations. Le Grand Prix des États-Unis a, quant à lui, déjà été rayé du calendrier de la formule 1 en 2008. Le gouvernement provincial pourrait également annoncer sa participation à ce projet. Cette année, le Grand Prix du Canada aura lieu du 6 au 8 juin. http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2008/02/20080213-102902.html
  2. Projet définitivement à suivre.... ******************************* Carrefour Angrignon Photo: Robert Skinner, La Presse 5. Carrefour Angrignon Le long du boulevard Newman >Propriétaire du Carrefour Angrignon et du Mégacentre voisin: Groupe de Sociétés Westcliff Westcliff envisage la possibilité de construire en densité en périphérie du Carrefour Angrignon, le long du boulevard Newman, où se trouvent actuellement de grands espaces de stationnement. Mais rien n'est prévu à court terme. Le promoteur immobilier doit d'abord déterminer si ce serait compatible avec les opérations commerciales en cours et l'ensemble des conditions contractuelles qui la lient aux commerçants, afin de respecter les normes de stationnement. «Nous partageons la vision de LaSalle et le changement proposé pour l'artère, précise Marc Montpetit, directeur régional chez Westcliff. Le concept d'éco-densité est de plus en plus important. Un environnement de qualité se créera et il se construira de plus en plus de logements. Ce qui attirera des ménages avec des revenus plus élevés. C'est un plus pour le pôle commercial.» http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
  3. Le gouvernement fédéral vient à la rescousse du chantier maritime situé à Lévis avec des prêts et des garanties de prêt totalisant 380 M$ afin de permettre à l'entreprise de poursuivre la construction de cinq navires. Pour en lire plus...
  4. LAVAL, QC, le 7 août 2014 /CNW Telbec/ - Habitations Trigone s'apprête à démarrer son premier projet de développement résidentiel sur le territoire lavallois. Le projet nommé « District Concorde » sera situé au coin de l'avenue Léo-Lacombe et François-Souillard. Celui-ci sera à moins de 700 mètres de la station de métro et de la gare de train De La Concorde. Habitations Trigone est fière d'inaugurer un autre projet de type T.O.D (développement orienté vers le transport en commun) qui s'accorde parfaitement avec la philosophie de la compagnie. District Concorde offre une grande variété de produits qui saura combler les besoins des futurs propriétaires. Le projet compte 480 unités de condos réparties dans 9 bâtiments incluant un stationnement hors sol avec toit vert ainsi qu'un stationnement souterrain. Ce projet innovateur favorisera un mode de vie actif puisque les résidents pourront marcher afin de se rendre au métro ou au train. Le premier bâtiment devrait être complété d'ici le printemps 2015. Le projet District Concorde s'insère dans le cadre d'une volonté de la ville de Laval à vouloir revitaliser le secteur de la station de métro concorde. La ville prévoit revoir complètement le concept d'aménagement afin de créer un milieu de vie de qualité pour les futurs résidents. De plus, un crédit de taxe sera accordé par la ville aux nouveaux propriétaires de ce secteur. Nous sommes heureux d'annoncer que l'ouverture du bureau des ventes du projet aura lieu ce samedi 9 août dès midi sur la rue François-Souillard à Laval. Habitations Trigone est une entreprise active dans le secteur de la construction domiciliaire depuis près de 25 ans, ayant à son actif plus de 10 000 unités construites sur la Rive-Sud et Rive-Nord de Montréal. C'est la réputation de qualité et d'intégrité d'Habitations Trigone qui a permis à cette entreprise de se hisser aux premiers rangs de la construction domiciliaire au Québec. Notre passion de construire est toujours aussi vivante et nous continuerons à développer des projets innovateurs, localisés sur des sites de choix, pour des espaces de vie accessibles à tous. Condo neuf a vendre a Laval-des-Rapides, District Concorde | Habitations Trigone
  5. http://plus.lapresse.ca/screens/859bc2a2-f0ed-470c-862f-943a02746c63%7C_0.html FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE La place Émilie-Gamelin est bien accueillante pour les manifestants, qui s’y donnent rendez-vous ces jours-ci. Mais pour le flâneur urbain, on repassera… C’est un espace hypercentral, dans une ville hypersécuritaire. Un espace auquel on a ajouté de gros jeux d’échecs et des camions de bouffe. Mais personnellement, je ne ferais pas de détour pour y passer un samedi après-midi avec mon fils, disons. Bon, ça prouve peut-être que je suis un papa poule. Mais surtout, que tout ce qui a été tenté au cours des dernières années pour faire de la place Émilie-Gamelin un lieu public accueillant et invitant – pour tous – a cruellement échoué. Cette fois sera-t-elle la bonne ? Je l’espère. J’ai appris qu’on va tenter complètement autre chose, cette année. On va fermer la place pour un mois, à partir de lundi prochain, afin de la transformer en « village » animé jour et soir, tout l’été, avec resto, bar, café, jardins et spectacles. On va aménager un marché public, un jardin communautaire, une terrasse avec tables et parasols, un immense lieu de projections. Bref, on va tenter d’en faire un lieu convivial pour tout le monde. Pas juste les revendeurs de drogue. *** Ça fait maintenant quatre ans que le Partenariat du Quartier des spectacles tente de « renipper » la place Émilie-Gamelin avec des événements ponctuels. Mais rien à faire : dès qu’ils prennent fin, le lieu redevient insécurisant. Changement complet de stratégie, donc. Fini les coups de pinceau et les interventions à la pièce. On a embauché l’organisme derrière le Village éphémère, Pépinière & Co, afin de créer un village semi-permanent, de mai à octobre. « On veut vraiment changer l’allure de la place, et sa réputation par le fait même », précise Pascale Daigle, du Partenariat. Sous l’enseigne lumineuse « Jardins Gamelin », on va donc retrouver de nombreux bancs, des bacs à fleurs, des chaises de type Adirondack, ainsi qu’une scène circulaire où se tiendront des événements programmés et spontanés : spectacles, conférences, animation, yoga matinal. On ajoutera une canopée lumineuse ainsi qu’une « œuvre magistrale illuminée » en suspension. À l’ouest, on ouvrira un restaurant dans une construction de conteneurs où l’on vendra du café tôt le matin, et de la bière tard le soir. On installera une dizaine de tables avec chaises et parasols afin que les gens puissent profiter de leur consommation ou de leur propre lunch. Au sud de la place, on retrouvera de l’agriculture urbaine : jardin de tournesols, production de légumes, plantations diverses, serre, etc. Et à l’est, on installera un marché de fruits et légumes et on se servira de la façade de la Place Dupuis comme toile de projection. « Montréal est une ville d’événements, fait remarquer Jérôme Glad, de Pépinière & Co. Mais l’événementiel est souvent en rupture avec la ville au quotidien : on installe des clôtures et des tentes génériques, puis une fois terminé, on remballe tout. » « Là, on veut inverser la logique : investir le lieu, en faire un canevas cohérent, puis y attirer des événements qui donneront à la place un caractère propre. » *** Est-ce qu’on est dans l’embourgeoisement localisé ? Une façon de repousser ceux qu’on préférerait ne pas voir ? De remplacer ceux qui ont élu domicile dans le parc par des hipsters et leur macchiato ? Le Partenariat du Quartier des spectacles s’en défend. Il assure que son village s’implantera avec l’aide de l’arrondissement et du Service de police de la Ville de Montréal, qui veilleront à maintenir la cohabitation. Comme à l’époque des interventions de l’ATSA. À l’arrondissement de Ville-Marie, on ne cache pas que « les comportements de personnes marginalisées » sont source de préoccupation. Mais le but n’est pas de les faire disparaître, assure la porte-parole Anick de Repentigny. « Il n’est pas question d’exclure qui que ce soit. L’arrondissement souhaite une cohabitation sociale optimale. » De toute façon, renchérit Jérôme Glad, l’idée n’est pas de lisser l’endroit pour en faire une autre place des Festivals. « On a vraiment une approche de quartier, à échelle humaine, ouverte et inclusive. On veut que ça devienne un lieu propice aux rassemblements et aux pique-niques. On veut que ce soit une grande terrasse pour tout le monde. » Pas une autre place des Festivals, donc, mais pas un autre « Village éphémère » non plus, ces événements populaires et branchés qui ont eu lieu ces deux dernières années (bonne nouvelle : une démarche est en cours pour que cet événement revienne au Pied-du-Courant à compter du 19 juin). « On mise plutôt sur une réappropriation d’un lieu public par toutes sortes de monde », affirme Jérôme Glad. Pensons au Marché des ruelles dans la rue Sainte-Catherine, ou au Marché des possibles dans le Mile End. Ne nous contons pas d’histoire. Ce sera tout un défi d’assurer une cohabitation des usagers actuels et futurs. Mais un défi qu’il vaut certainement la peine de tenter de relever. Car s’il ne faut pas chasser les marginalisés, on ne peut chasser non plus les riverains et les commerçants. sent via Tapatalk
  6. GDS

    Le Namur (2017)

    Le projet « Le Namur » est situé cœur du quartier « Le Triangle » dans l’arrondissement Côtes-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce. Situé à proximité de trois stations de métro (Namur, de la Savane et Plamondon), les Habitations Trigone, en partenariat avec Le Fonds immobilier de solidarité FTQ, sont fiers de vous présenter ce tout nouveau projet TOD (Transit-Oriented Developement). D’une architecture urbaine et épurée, nous vous offrons un magnifique bâtiment de 10 étages comportant 176 unités. Le bâtiment sera composé de studios ainsi que d’unités avec une ou deux chambres de façon à desservir les diverses clientèles composées entre autres d’étudiants, de jeunes professionnels et de jeunes familles. De plus, il comportera deux niveaux de stationnement souterrain ainsi que plusieurs caractéristiques afin de répondre au style de vie actif des locataires et leur donner plus de confort. Le plan de développement du quartier « Le Triangle », par l’arrondissement Côtes-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce, vise non seulement à augmenter l’offre résidentielle dans ce secteur mais également l’ajout d’espaces verts, de pistes cyclables et de nouveaux commerces à proximité. http://www.habitationstrigone.com/fiche_projet/namur/
  7. Dans LaPresse+ RENOUVEAU DANS LA PETITE-PATRIE DANIELLE BONNEAU LA PRESSE NOM DU PROJET Iberville 99 OÙ Rue des Carrières, au sud du boulevard Rosemont et à l’ouest de la rue d’Iberville, dans Rosemont – La Petite-Patrie. EN TOUT Le complexe, construit en une seule phase, compte 97 appartements en copropriété et un espace commercial au rez-de-chaussée de l’immeuble principal. De six étages à son plus haut, il a trois étages à son plus bas afin de s’harmoniser avec les bâtiments aux alentours et ne pas porter préjudice aux voisins. CONSTRUCTION Elle est très avancée. Les copropriétaires commenceront à emménager au début du mois de février. Environ 75 % des appartements sont vendus. APERÇU Actif dans le secteur depuis quelques années, le promoteur Dino Mazzone a reconnu le potentiel du terrain, occupé par une ancienne usine et un édifice commercial. À la suggestion de l’arrondissement de Rosemont – La Petite-Patrie, le projet a pris plus d’ampleur que prévu afin de se mettre au diapason de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, de l’autre côté de la rue des Carrières. Pour relever le défi, le Groupe Mazzone s’est associé avec le Groupe Canam, un important fabricant de composantes métalliques, ainsi qu’avec Avicor Construction. Il a aussi fait appel à l’architecte Louis-Paul Lemieux et à son équipe de l’Atelier VAP. Autant l’édifice principal, en forme de U, que l’immeuble de trois niveaux hors sol comportant des maisonnettes, le long de l’avenue Louis-Hébert, sont en acier et en béton. Outre une cour intérieure, deux ruelles vertes seront aménagées. La circulation automobile pour accéder au garage intérieur sera circonscrite à un seul endroit. Les copropriétaires auront par ailleurs accès à une terrasse sur le toit. POUR QUI? Surtout de jeunes professionnels de 25 à 45 ans qui habitent déjà dans les environs et deviennent propriétaires pour la première fois. Le projet plaît aussi à des acheteurs d’un certain âge qui veulent demeurer dans le quartier après avoir vendu leur propriété. COMBIEN* (prix des appartements encore à vendre) À partir de 203 400 $, une chambre (668 pi2) À partir de 240 000 $, une chambre et un bureau (796 pi2) À partir de 263 000 $, deux chambres (847 pi2) 350 700 $, maisonnette sur deux niveaux, trois chambres (1370 pi2) Stationnement intérieur : 27 000 $ Rangement privé pour les vélos : 500 $ * Taxes en sus Les charges mensuelles de copropriété sont d’environ 13 cents le pied carré. DANS LE VOISINAGE Les commerces et restaurants de la rue Beaubien Est, du boulevard Rosemont et de la Promenade Masson. La piste multifonctionnelle des Carrières, qui rejoindra sous peu le Plateau, se trouve non loin. Les parcs Rosemont, du Pélican et Molson sont les plus proches. ON AIME Iberville 99 donne une nouvelle prestance à cette section de la rue des Carrières, qui borde un quartier résidentiel et se trouve à la limite d’un secteur en mutation abritant à la fois des commerces et des industries légères. ON AIME MOINS Mieux vaut prendre un autobus pour se rendre à la station de métro Rosemont. Elle se trouve à un peu plus de 20 minutes à pied. SITE WEB Iberville99.com
  8. Le Mackay "revisité"..... http://www.journalmetro.com/linfo/article/610291--feu-vert-a-la-construction-d-une-residence-etudiante-sur-mackay Permettez un commentaire: PUTAIN D'OCPM! Ils auront réussi à transformer un projet qui avait de la gueule en tourette sans envergure.... C'est vrai que je n'ai pas vu les nouveaux rendus, mais de 34 à 23 étages, parions que ça va passer pas mal plus inaperçu! Surtout à cet endroit! Un vrai crime...
  9. http://www.paullaurendeau.com/ Habitation Mentana Étude urbaine sur la densité - 2010 Montréal, Québec, Canada Surface du lot : 7 013 m² Implantation du bâtiment : 4 465 m² Taux d’implantation : 64 % Nombre d’étages : 6 Hauteur de bâtiment : 20.5 m Surface totale du bâtiment : 21 511 m² Densité : 3.07 Nombre de logements : 152 Stratégie de densité La stratégie de densité consiste à utiliser la typologie le plus efficacement possible afin de maximiser l’emprise au sol et de proposer un bâtiment de 6 étages. Sur ce site, séparé en deux lot par la rue Boyer, le bâtiment épouse l’espace public, laissant peu d’espace résiduel non construit sur le périmètre externe. Les façades sur 4 côtés bénéficient de l’espace dégagé des voies publiques maximiser les ouvertures et les vues, spécialement sur le parc Laurier au sud. Afin de laisser pénétrer un maximum de lumière dans la cour, le niveau 6 est construit partiellement, offrant des terrasses extérieures privatives et des ouvertures. Le bâtiment entre Boyer et Christophe-Colomb, à cause de l’étroitesse du lot, bénéficie de cours ouvertes orientées vers le sud qui apportent une ensoleillement abondant à tous les logements, ainsi que des espaces verts qui bénéficient autant aux résidents qu’à l’espace public. Le projet atteint une densité de 3.07, valeur un peu inférieure aux petits projets de la rue Rivard et de la rue Drolet à cause de la nécessité de laisser la cour centrale non construite sur tout sa longueur.
  10. 17,4 M$ pour rénover le centre récréatif de Montréal-Est Par Samantha Velandia TC Media Les membres du conseil municipal ont opté pour la rénovation du centre récréatif Édouard-Rivet qui devrait coûter près de 17 M$. Les élus qui avaient flirté avec la possibilité de la relocalisation et reconstruction d’une nouvelle bâtisse, ont écarté cette idée après avoir été informés que le centre récréatif actuel, était encore en bon état. «Nous sommes agréablement surpris d’apprendre que le bâtiment est structurellement sain, et que des rénovations sont non seulement envisageables, mais souhaitables puisque nombre des matériaux utilisés durant la construction sont plus durables que ceux utilisés de nos jours», dit Francine McKenna, directrice des communications à la municipalité. Elle ajoute qu’une telle solution est aussi plus favorable aux principes de développement durable. «La rénovation est moins génératrice de débris que la démolition», affirme Mme McKenna. Rappelons qu’au mois de janvier, la municipalité avait annoncé la relocalisation et reconstruction de deux bâtiments municipaux, soit le centre récréatif et le garage municipal. Le coût des travaux était alors estimé à 45,5 M$. Depuis, une étude de faisabilité relative à la rénovation du centre récréatif, confiée à la firme MACOGEP, a été divulguée. Selon les sommaires décisionnels du dernier conseil municipal, les résultats de l’étude en question ont recommandé de retenir le scénario de la rénovation car cela favoriserait la préservation d’un bâtiment significatif en plus de privilégier le développement durable. On recommande également de rénover plutôt que de reconstruire afin d’alléger la dette à long terme et de diminuer le coût global des travaux. La piscine priorisée Mme McKenna, de la municipalité, explique que des appels d’offre seront lancés au cours des mois de novembre et de décembre. Les travaux qui devraient commencer au mois d’août 2016, s’échelonneront sur une période de 12 mois. La piscine, le gymnase et l’aréna seront rénovés. Certains espaces du centre récréatif seront également «repensés afin d’en accroître leur fonctionnalité», explique Mme McKenna. La directrice avance que l’échéancier des travaux sera conçu afin de minimiser l’impact sur les citoyens et ajoute que «la piscine sera toutefois priorisée et rouvrira dès que la rénovation sera terminée.»
  11. http://ici.radio-canada.ca/audio-video/media-7510462/chicago-veut-eriger-un-systeme-de-gondoles-touristiques Chicago veut ériger un système de gondoles touristiques Afin d’augmenter sa visibilité, la ville de Chicago lance un vaste projet de gondoles suspendues qui permettraient aux touristes de sillonner ses quartiers.
  12. Affaires Aéroport de Québec : déjà 65 millions $ engagés 6 janvier 2012 | 06h48 Agence QMI Le projet de 225M$ visant l'agrandissement et la modernisation de l'aéroport de Québec deviendra significatif au cours des prochains mois. Annie Saint-Pierre Agence QMI Le projet de 225 millions de dollars visant l'agrandissement et la modernisation de l'aéroport de Québec deviendra significatif au cours des prochains mois avec le tiers des investissements qui sont déjà engagés dans le projet. « Nous avons débuté avec la réalisation de nombreux travaux civils au cours des derniers mois et nous allons franchir des étapes importantes en 2012 », expose M. Jonathan Trudeau, porte-parole de l'Aéroport. Jusqu'ici, les surfaces portantes du secteur des passerelles 23, 24 et 30 ont été refaites et le tablier 3 a été prolongé considérablement sur le tarmac afin de faire plus de place à la réception du cargo, notamment en raison du Plan Nord. Tout récemment, les deux voies de circulation pour les avions donnant accès à l'extrémité de la piste 24 ont été resurfacées. Des passerelles d'embarquement ont été ajoutées aux portes 26 et 27 afin de permettre aux passagers de certains vols intérieurs d'être reliés au terminal plutôt qu'à l'extérieur, à partir du sol. En 2012 Au cours des prochains mois, le chantier de construction se déplacera du côté d'une nouvelle caserne pour les pompiers de l'aéroport et d'un centre d'entretien qui seront relocalisés à l'entrée du site. Selon la direction, l'élargissement du tablier 1 sera entamé en 2012 afin de permettre aux gros porteurs de se croiser sur le site, aux heures de pointe, ce qui n'est pas possible présentement. « Il s'agit d'un important morceau du projet qui va grandement améliorer le fonctionnement du trafic aérien », signale M. Trudeau. À venir Les gouvernements du Québec et du Canada ont versé 50 millions de dollars chacun dans ce projet tandis que l'Aéroport assumera le reste de la facture, soit 125 millions. Le terminal actuel est d'une superficie de 293 000 pieds carrés, et elle sera doublée avec ce projet. Toutefois, cet agrandissement se verra seulement à la fin du plan quinquennal en 2015, étant la dernière étape qui figure au programme de modernisation. Trois passerelles d'embarquement supplémentaires s'ajouteront pour faire face à la croissance de l'achalandage prévue pour les prochaines années à Québec. Les zones douanières et l'aire d'attente du côté sécurisé seront agrandies et d'autres commerces se joindront aux existants. Quant au stationnement étagé tant attendu, il devrait être entrepris en 2013 pour plusieurs centaines de places. M. Trudeau parle d'une structure qui ne pourra pas dépasser la hauteur du bâtiment administratif actuel, qui est de quatre étages. L'arrivée d'un hôtel sur le site de l'aéroport Jean-Lesage figure parmi les éléments les plus importants du plan de développement et il devrait se concrétiser en 2013.
  13. L'AMT a lancé aujourd'hui un appel d'offres pour l'élargissement des accotements du Boulevard Taschereau, entre le chemin du Golf à La Prairie et l'avenue Mario à Brossard (juste avant l'A-10), afin d'y aménager une voie réservée pour autobus. https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/Categorie?ItemId=29400a8f-cfd6-4bb3-b9e6-b1dd856f61ab&SubCategoryCode=C02&callingPage=4&ColumnAction=1&searchId=4334bb39-7893-4125-a8db-1b056b53d297&VPos=228
  14. RDP-PAT veut une rue Sherbrooke Est «digne d’une métropole» Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles (RDP-PAT) s’est doté d’un plan d’urbanisme afin de donner une vision d’avenir pour la rue Sherbrooke, artère que l’arrondissement veut plus verte, moderne et urbaine. Le plan de développement urbain, économique et social (PDUES) adopté lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement établit les lignes directrices de l’aménagement du territoire aux abords de la rue Sherbrooke. Selon Yann Lessnick, conseiller en planification à la direction du développement du territoire, l’arrondissement misera sur le développement résidentiel et commercial lors de l’élaboration d’éventuels projets dans cette artère du quartier. «Nous voulons que la rue Sherbrooke devienne un corridor urbain contemporain digne d’une ville comme Montréal, dit-il. Nous voulons que les citoyens sentent déjà, lorsqu’ils arrivent de Repentigny par la rue Sherbrooke, qu’on arrive dans une métropole.» Des efforts seront donc consacrés afin de mettre en valeur la portion de rue entre le carrefour giratoire à l’extrémité est de la rue Sherbrooke et la gare de Pointe-aux-Trembles à la hauteur de la 57e Avenue, tronçon où circulent quotidiennement 24 000 véhicules. Une meilleure image Les promoteurs qui souhaitent développer des projets dans le secteur devront se plier à certaines normes établies par l’arrondissement. «Nous souhaitons avoir un cadre bâti particulier à l’entrée de la ville. Travailler avec des matériaux nobles, avoir une architecture relevée qui sera durable, mais qui offrira une conception visuelle intéressante afin de bonifier l’image de cette partie de la rue», indique M. Lessnick. Les espaces verts qui longent la rue Sherbrooke, dont le Parc de la Coulée Grou et le Parc-nature de la Pointe-aux-Prairies seront également mis en valeur. «L’arrondissement est vu comme un lieu urbain dans un milieu naturel, c’est une image que nous aimons et que nous voulons conserver», souligne le conseiller en planification. Commerces et résidences Rappelons que ce plan a été adopté à la suite de plusieurs consultations auprès des citoyens et organismes du secteur. «Les gens veulent avoir des commerces de proximité. Des restaurants, des lieux pour se réunir, des petites boutiques spécialisées, et c’est sur ça que nous allons mettre l’accent dans ce plan.» Plusieurs intersections pourraient devenir de nouveaux pôles commerciaux, notamment le coin des rues de la Rousselière et de la Famille Dubreuil. «Cette partie de la rue Sherbrooke est considérée comme un désert alimentaire. Il est difficile de se procurer des aliments frais, alors nous allons essayer de trouver une façon de changer cette situation, signale M. Lessnick. Nous voulons offrir des services complémentaires afin que les gens ne soient pas obligés de se déplacer à Anjou ou Repentigny afin de se procurer certains produits.» Finalement, on indique qu’en ce qui concerne le développement résidentiel, l’arrondissement favorisera une densification du secteur. «On parle de projets de six étages et plus. Les gens sont tout à fait d’accord avec cette approche et nous pensons que c’est également une façon de moderniser cette artère», conclut le conseiller. Selon l’arrondissement, près de 35 hectares de terrains vacants sont disponibles pour le développement résidentiel et commercial dans ce secteur du quartier. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/915674/rdp-pat-veut-une-rue-sherbrooke-est-digne-dune-metropole/
  15. Projet en hauteur qui se trame sur le stationnement en face de Concordia entre Guy et Mackay. Ça semble être assez ancien comme projet, et le promoteur est le même que pour le défunt projet du Waldorf, mais je n'ai pas pu trouver de fil pour, alors j'en crée un nouveau: http://www.lobby.gouv.qc.ca/servicespublic/consultation/AfficherInscription.aspx?NumeroInscription=AuLgd7373tZ2xfT9K5fg1Q%3d%3d#D53613 Le site et la ruelle en question:
  16. Ajout d'un étage résidentiel et transformation de la façade Présentation http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_SOU_FR/MEDIA/DOCUMENTS/2360_NOTRE_DAMEO_22-06-15_PRESENTATION.PDF Avant: Après:
  17. Afin de maximiser l'offre commerciale du centre-ville et la vitalité des quartiers - La Ville de Montréal lance le Plan commerce avec l'appui financier du gouvernement du Québec MONTRÉAL, le 8 mai 2015 /CNW Telbec/ - Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le ministre des Transports et ministre responsable de la région de Montréal, M. Robert Poëti, annoncent la mise sur pied du Plan commerce. Ce plan directeur définit le cadre dans lequel les stratégies du Service de développement économique de la Ville seront élaborées au cours des prochaines années en matière de mise en valeur et de développement de l'activité commerciale montréalaise. Ce plan dispose d'un budget de 40,5 M$ de la Ville de Montréal, qui comprend une somme de 9,5 M$ provenant d'une aide financière du gouvernement du Québec accordée dans le cadre de l'Entente Montréal 2025, administrée par le Secrétariat à la région métropolitaine. « Le Plan commerce que nous dévoilons aujourd'hui, et qui est appuyé par un budget de 40,5 M$, se veut un engagement ferme de la Ville envers sa diversité commerciale, son centre-ville, les sociétés de développement commercial et le commerce de proximité. Il résulte de notre collaboration avec les arrondissements, les villes liées et l'Association des sociétés de développement commercial (ASDC) de Montréal que je tiens à remercier. Je remercie aussi le gouvernement du Québec pour son soutien financier à ce projet essentiel au développement économique de Montréal. Ensemble, nous avons l'ambition de miser sur une offre commerciale dynamique, afin d'asseoir le rayonnement de notre centre-ville et la vitalité de nos quartiers », a affirmé M. Denis Coderre. « Le gouvernement du Québec est fier de soutenir la mise en œuvre du Plan commerce. Miser sur le dynamisme et la valorisation de l'offre commerciale montréalaise, en faisant appel à la concertation et à la collaboration de tous les acteurs en cause, est une approche stratégique et nécessairement gagnante. Nous adhérons à cette démarche qui permettra de consolider des actions déjà entreprises et d'améliorer le visage et la notoriété de notre métropole. Voilà une vision qui rejoint tout à fait la volonté gouvernementale quant au développement et à la prospérité de Montréal », a ajouté le ministre Robert Poëti. Une forte compétition, qui se joue à l'échelle internationale et qui se répercute chez les commerçants, combinée à la popularité croissante du magasinage en ligne, figurent parmi les enjeux qui exigent de revoir l'approche du commerce de détail, en tenant compte des nouvelles habitudes de vie et de consommation de la population. Malgré de nombreux changements opérés au cours des dernières années, les rues commerciales montréalaises, avec leur ambiance conviviale, leur créativité et une programmation festive, conservent généralement leur attrait pour les consommateurs. Ces commerces innovateurs, créatifs et uniques se retrouvent aujourd'hui bien au-delà du centre-ville. Toutefois, la compétition est bien réelle et il y a lieu de continuer à déployer des efforts soutenus afin de maintenir Montréal et son territoire parmi les destinations commerciales de premier plan. Le Plan commerce, qui couvre dans son ensemble la période de 2015 à 2026, propose quatre axes d'intervention, appuyés par des programmes de financement pour assurer pleinement l'atteinte de ses objectifs : gérer de manière dynamique la fonction commerciale ; dynamiser le centre-ville pour accroître sa contribution au rayonnement de Montréal ; accompagner les commerces lors de travaux d'infrastructures d'envergure sur les grandes artères commerciales ; maintenir l'engagement municipal en soutien à la rénovation commerciale de qualité. Quatre mesures importantes prendront effet dès 2015 et 2016 : La relance du programme PR@M Commerce pour la période 2016-2020, qui passe de 12,7 M$ dans la version précédente (2007-2014) à 15,4 M$, et ce, pour stimuler et aider la rénovation des bâtiments commerciaux sur 20 rues et artères de l'agglomération. À chaque année, quatre rues commerçantes ou grandes artères commerciales seront admissibles au programme ; L'investissement de 1,5 M$ dans la promotion de la diversité commerciale et du commerce de proximité pour l'ensemble de l'agglomération montréalaise ; L'injection, pendant 4 ans, de 4,7 M$ dans les Sociétés de développement commercial (SDC) du territoire de la Ville de Montréal pour les aider à mieux contribuer à l'amélioration des affaires de leur secteur et encourager la création de nouvelles SDC ; La création du programme PR@M Artères en chantier pour un montant 13,9 millions $ afin de tourner une situation négative en une situation d'opportunité lors de la tenue de chantiers d'infrastructures majeurs sur sept artères commerciales montréalaises entre 2015 et 2024. Le secteur commercial montréalais en quelques chiffres Le commerce à Montréal, c'est : 14 000 entreprises de biens et services de consommation, dont 8 331 sont des commerces de vente au détail ; une structure commerciale composée majoritairement de propriétaires indépendants, représentant 30 % des commerçants de l'ensemble du Québec ; une offre commerciale répartie en trois formats, soit le magasin sur rue, le centre commercial et le regroupement de magasins ne partageant pas d'aires intérieures communes ; une abondance de magasins ayant pignon sur rue, composée autant de grandes chaînes, de bannières de franchises que de commerces indépendants ; près de 120 000 emplois contribuant à près de 4,5 % du PIB de l'agglomération ; un chiffre d'affaires global estimé à près de 40 milliards de dollars. SOURCE Communiqués Montréal sent via Tapatalk
  18. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=22557&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques Montréal crée le Bureau de la Ville intelligente et numérique 26 mars 2014 Montréal, le 26 mars 2014 - Afin que la métropole devienne un chef de file mondialement reconnu parmi les villes intelligentes et numériques, le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le vice-président du comité exécutif et responsable des technologies de l'information, de la Ville intelligente, de la réforme administrative et de la jeunesse, M. Harout Chitilian, annoncent la mise en place du Bureau de la Ville intelligente et numérique qui relèvera directement de la Direction générale. Un budget de 400 000 $ a été accordé par les élus du comité exécutif pour assurer le fonctionnement de ce bureau en 2014. « La création de ce nouveau Bureau au service d'une Ville intelligente et numérique était nécessaire afin de réaliser notre objectif de positionner stratégiquement Montréal au même niveau, voire même plus haut, que les villes de New York, Lyon, Barcelone ou Amsterdam en matière de technologies de l'information. Selon le prestigieux Intelligent Community Forum (ICF), la grande région métropolitaine se taille une place parmi les 21 métropoles intelligentes (Smart 21) sur 400 candidatures retenues pour l'édition 2014. C'est un bon début, mais l'équipe du Bureau va travailler avec nous afin que nous puissions faire concurrence le plus rapidement possible aux positions de tête », a déclaré M. Coderre. « La mise sur pied du Bureau de la Ville intelligente et numérique est un pas important pour que Montréal devienne une ville plus innovante, plus efficiente et plus transparente. Cette démarche unique prendra en considération les attentes des citoyens, s'inscrira dans une collaboration pleine et entière avec les partenaires institutionnels et privés, et s'articulera autour des tendances technologiques contemporaines », a ajouté M. Chitilian. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique disposera d'une équipe composée de trois personnes sous la responsabilité d'un chef de bureau - Chief Digital Officer (CDO). Ce dernier agira comme référence dans son domaine et exercera une vision et un leadership mobilisateur au sein de l'administration municipale. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique définira d'ici la fin de l'année courante la stratégie de « Montréal, ville intelligente et numérique 2014 », qui s'articulera autour des quatre axes suivants : COLLECTER : TRANSPARENCE DE GESTION; GOUVERNEMENT OUVERT: • Libérer massivement les données et développer des outils de visualisation pour mettre en valeur celles-ci ; • Collecter et analyser les données télémétriques pour accroître le contrôle et l'optimisation de l'usage des ressources publiques. COMMUNIQUER: SYSTÈMES D'ACCÈS; DIFFUSION D'INFORMATION: • Développer une plate-forme web et des applications mobiles pour diffuser l'information en temps réel aux citoyens ; • Déployer les infrastructures de réseaux filaires et sans fil (WIFI) à large bande ; • Mettre en place des centres d'apprentissages et de création locaux des nouvelles technologies. COORDONNER: SERVICES PUBLICS NUMÉRIQUES: • Développer des systèmes intelligents de gestion du transport, des infrastructures, de la sécurité, de l'énergie, de l'eau, et de l'environnement ; • Numériser les services publics tout en préservant les moyens traditionnels (311, émission de permis, etc.). COLLABORER : ACCOMPAGNER L'INDUSTRIE; STIMULER L'INNOVATION ET LA CRÉATIVITÉ: • Accompagner les acteurs privés et institutionnels pour mettre en place un réseau d'incubateurs et d'accélérateurs d'entreprises en technologie ; • Soutenir les besoins des « start-ups » technologiques ; • Favoriser l'usage du domaine public comme laboratoire pour tester des solutions novatrices à des enjeux municipaux. Participez au dialogue via Twitter #innMtl (intelligente, numérique, Montréal)
  19. Conseil d’arrondissement de Saint-Laurent 18 décembre 2012 8 étages x 2 Cavendish / Henri-Bourassa Le premier projet de règlement numéro RCA08-08-0001-62 a pour objet : - de créer la zone H07-052 à même la zone H07-026 afin de permettre des habitations multifamiliales de 8 étages le long des boulevards Henri-Bourassa et Cavendish; - de créer la zone S07-053 à même la zone I08-009 afin de permettre des habitations multifamiliales de 8 étages et certains commerces et services. http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav14396.pdf
  20. Dubaï souhaite un accord de jumelage avec la Ville de Montréal Dubaï a embauché un lobbyiste la semaine dernière afin qu'il fasse la promotion, à l'Hôtel de Ville de Montréal, d'un accord de jumelage entre les deux villes. Une telle entente de coopération a généralement pour but de permettre le transfert d'informations, de savoir-faire et d'expertises sur des sujets d'intérêts et de compétences communs. Selon la Chambre de commerce et d'industrie de Dubaï, qui a embauché le lobbyiste, la conclusion d'une entente de jumelage vise notamment la signature d'un accord de collaboration en vue de l'exposition universelle de 2020 de Dubaï, « afin de partager l'expertise de Montréal dans le domaine de l'horticulture ». L'expertise de Montréal en matière d'horticulture s'est développée au fil des années, avec le Jardin botanique, mais aussi, notamment, grâce à l'exposition internationale les Floralies, en 1980, suivies de trois éditions des Mosaïcultures internationales dans les années 2000. http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/01/21/dubai-desire-montreal-comme-jumelle_n_6516102.html
  21. C'est pas Merck qui a coupé des milliers d'emplois au printemps dernier ? Et là, un nouveau siège social ? Je ne comprends rien de l'industrie pharmaceutique !? **** Nouveau siège social pour Merck Canada 10 décembre 2012 Par François G. Cellier Broccolini vient de jeter les bases d’un nouveau bâtiment commercial dans Kirkland. L’immeuble s’intégrera à un édifice existant qui fera l’objet d’une rénovation. L’édifice projeté, qui est actuellement en construction, abritera les bureaux de l’entreprise pharmaceutique Merck Canada, qui en sera le principal locataire. Ce complexe multilocatif longera l’autoroute 40 du côté sud. Cinq étages seront construits pendant une première phase, auxquels s’ajouteront trois autres niveaux lors d’une phase ultérieure. Les travaux visent une certification LEED-NC de niveau Argent. Ils ont commencé récemment et ont été officialisés le 30 novembre dernier, à l’occasion d’une pelletée de terre symbolique. Un projet en mode fast track Quelque 80 % des plans et devis sont terminés. Comme ce projet est en mode fast track , en raison d’une première phase qui doit être livrée à la fin de l’année 2013, l’entrepreneur Broccolini s’affaire déjà à couler les fondations depuis quelques semaines. « Il faut terminer cette étape avant le début des grands froids, pour pouvoir respecter l'échéancier très serré », précise Andrew Tarassoff, l’architecte du projet chez Rubin et Rotman Architects. L’assemblage de la structure d’acier commencera vers la fin du mois de janvier. Au final, l'ensemble du projet nécessitera un investissement de 75 millions $ et totalisera 200 000 pieds carrés de superficie. Défis LEED L’un des défis à la certification LEED pour cet immeuble tient à sa localisation. Situé dans une banlieue, où les transports collectifs ne sont pas accessibles à proximité, il n’obtiendra aucun point LEED en cette matière. Pour compenser cette lacune, il faudra consentir plus d’efforts dans les systèmes mécaniques, qui récupéreront leur propre chaleur afin de la redistribuer ailleurs dans l’immeuble. Le bâtiment comprendra également des refroidisseurs de haute performance, et les simulations d’efficacité énergétique iront plus loin que les standards imposés. En fait, chacun des systèmes est actuellement analysé et observé dans les moindres détails. L’enveloppe du segment agrandi sera essentiellement constituée de murs-rideaux en aluminium-verre. Ceux-ci laisseront entrer une luminosité abondante, ce qui a des répercussions positives sur la santé du personnel, dit-on. Broccolini voulait un verre dont la finition extérieure aura un aspect lisse (sans meneaux apparents), afin de l’harmoniser aux panneaux tympans. Les murs-rideaux représentent un défi d’ingénierie, question de procéder aux bons calculs de chauffage et de climatisation, ce dont la firme en génie mécanique et électrique Dupras Ledoux Ingénieurs devra tenir compte. Le génie en structure est assumé par Shector-Barbacki-Shemie, et le génie civil par exp. Précisons que l’immeuble misera par ailleurs sur un atrium, qui se trouvera entre le nouveau et l’ancien immeuble. Réaménager pour rendre plus durable Le bâtiment existant, qui a été construit il y a cinq ans par Broccolini, n’est pas conçu selon les critères LEED. Il sera difficile de l’adapter aux nouvelles installations, car les coûts pour ce faire seraient très élevés. Ses intérieurs seront toutefois réaménagés, pour les rendre compatibles aux principes LEED. « Nous éliminerons pratiquement toutes les cloisons entre les bureaux, afin de créer des aires de travail ouvertes », explique Andrew Tarassoff. Cela répondra aux normes de Merck Canada, qui a adopté une politique appelée Merck Space (sans cubicules avec panneaux hauts), pour favoriser les interactions entre employés et équipes sur place, ce qui a un impact favorable sur la productivité d’une entreprise.
  22. 49e Finale des Jeux du Québec - Été 2014 : la Ville de Longueuil aménagera une nouvelle plage au parc de l’île Charron Longueuil, Mardi 15 avril, 2014. La Ville de Longueuil procèdera à des travaux de 800 000 $ au parc de l’île Charron pour accueillir les compétitions de natation en eau libre et de sauvetage sportif (volet plage) de la 49e Finale des Jeux du Québec, du 1er au 9 août prochain. Cet investissement permettra à la Ville de favoriser l’accès aux berges pour les citoyens, de bonifier ses installations et de mettre en valeur les rives du fleuve Saint-Laurent. Les travaux, qui s’étaleront de mai à juillet, permettront l’aménagement d’une plage sablonnée, la construction d’une terrasse en bois, l’installation de voiles d’ombrages et d’infrastructures sanitaires. Des équipements provenant des deux premières phases du Marché public, tels que des voiles pare-soleil et des conteneurs colorés, seront récupérés et intégrés dans l’aménagement. Des végétaux seront plantés, un terrain de volleyball sera aménagé, et du mobilier de parc sera installé afin de rendre les lieux plus conviviaux. « Le parc de l’île Charron occupe une place à part parmi tous les espaces verts de Longueuil. Situé au milieu du fleuve Saint-Laurent, il permet aux citoyens de s’évader de la ville et de profiter du calme de la nature. C’est l’endroit idéal pour un aménagement qui sera un legs permanent de la tenue des Jeux du Québec chez nous. Ce projet témoigne à nouveau de notre volonté d’améliorer les infrastructures récréatives pour les citoyens et pour leur offrir un meilleur accès aux rives du fleuve », a expliqué la mairesse de Longueuil, Caroline St-Hilaire. Les analyses ont démontré que la qualité de l’eau dans ce secteur autorise la baignade. La Ville de Longueuil a d’ailleurs obtenu l’autorisation du Ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs du Québec pour la réalisation de ce projet, qui respectera les normes et règlements environnementaux en vigueur. Une seconde phase de travaux sera menée l’année prochaine afin de faciliter l’accès au site et de rendre la circulation plus fluide dans le secteur. http://longueuil.ca/fr/node/38399 Plan: http://longueuil.ca/sites/www.longueuil.ca/files/communiques/2014/ile_charron_plan_conceptuel.pdf
  23. via Radio-Canada Près de 200 arbres touchés par l'agrile du frêne à Montréal Mise à jour le samedi 1 mars 2014 à 3 h 10 HNE L'agrile du frêne poursuit sa progression à Montréal. Le dernier bilan de la Ville fait état de 197 arbres infestés par l'insecte ravageur dans la métropole, dont 58 dans l'arrondissement de Merchier-Hochelaga-Maisonneuve. Rosemont-La-Petite-Patrie, Ahuntsic-Cartierville, Notre-Dame-de-Grâce-Côte-des-Neiges et Saint-Laurent sont aussi touchées par l'agrile du frêne. Les maires d'arrondissements et des villes situées sur l'île de Montréal doivent se rencontrer le 10 mars prochain afin de coordonner les efforts de lutte contre l'insecte et discuter de plans d'intervention sur les terrains privés. Comme ailleurs en Amérique du Nord, Montréal doit s'attaquer à l'agrile du frêne, qui menace une partie importante de la canopée montréalaise depuis son apparition en 2011. À Rosemont-La-Petite-Patrie, l'arrondissement procède à l'abattage de 300 frênes infestés ou menacés de l'être qui se retrouvent sur des terrains publics. L'opération devrait être terminée d'ici la mi-mars, selon le maire d'arrondissement, François Croteau. Le parti dont fait partie M. Croteau, Projet Montréal, réclame un fonds d'urgence de 10 millions de dollars de la part de l'administration municipale afin de lutter plus efficacement contre l'agrile du frêne. L'été dernier, Montréal avait investi un million de dollars pour combattre l'insecte. Avec les informations de Benoît Chapdelaine
  24. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/458218/charte-des-valeurs-economie-et-architecture/ Désirant profiter de la campagne électorale, l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) amorce une tournée provinciale pour réclamer de nos élus l’adoption d’une politique nationale de l’architecture. Mine de rien, le dossier traîne depuis plus de 30 ans à l’Assemblée nationale. L’OAQ avait en effet déposé en 1982, alors que René Lévesque était au pouvoir, un livre blanc pour guider le développement urbain du Québec. Le dossier a refait surface à quelques reprises depuis, mais n’a malheureusement jamais mené à l’adoption d’une réelle stratégie provinciale. C’est pourquoi l’OAQ partira, dès la semaine prochaine, à la rencontre de députés, de maires, d’architectes et d’organismes sensibles à notre patrimoine bâti afin de faire valoir les bénéfices d’une telle politique. Seize pays, dont les Pays-Bas et la Norvège, possèdent déjà la leur, alors que 14 autres y travaillent d’arrache-pied. Pourquoi pas le Québec? Une politique provinciale forcerait notre gouvernement à devenir un client exemplaire pour la construction de bâtiments publics, en établissant une série de critères précis à examiner avant de sortir le chéquier pour un musée, un hôpital et même un échangeur autoroutier. En ce moment, l’État québécois persiste trop souvent à sélectionner un projet en ne regardant que la facture. Pas le fournisseur le plus fiable. Pas le plus talentueux. Le moins cher, et ce, peu importe la proposition. Est-ce ce que vous feriez avec votre propre maison si vous souhaitiez, par exemple, l’agrandir? Prendriez-vous le plus bas soumissionnaire (peu importe son CV et ses références) ou opteriez-vous pour le meilleur rapport qualité/prix afin d’assurer une plus-value à votre propriété? Poser la question, c’est y répondre. Pourquoi procéder différemment avec notre patrimoine collectif? Depuis déjà trop longtemps, on dépense des millions et des millions de dollars en édifices publics sans prendre le temps de regarder plus loin que le bout de notre nez. Mais ces bâtiments maximisent-ils vraiment notre productivité au travail? Reflètent-ils notre créativité? Possèdent-ils une valeur touristique? Une stratégie nationale démontrerait [enfin] que nos politiciens se soucient réellement de l’aménagement de notre territoire en affirmant vouloir prioriser un patrimoine bâti de qualité. En donnant l’exemple, on s’efforcerait de transformer nos paysages urbains en une fierté nationale comme dans bien des pays. Mais attention ici. Je ne parle pas de favoriser la construction d’icônes tape-à-l’œil, dispendieuses, qui vieillissent mal et qui n’ont strictement aucun impact sur notre qualité de vie. Je parle plutôt d’une fierté collective qui se rapproche davantage des pays scandinaves avec une architecture à échelle humaine, respectueuse de l’environnement et qui reflète notre identité culturelle. Assurons-nous d’obtenir le meilleur pour notre société. Pas le minimum requis.
  25. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=19789&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques En route vers le Rendez-vous 2012 - Un nouveau plan pour la mise en valeur du Vieux-Montréal 25 octobre 2012 Montréal, le 25 octobre 2012 - Mme Helen Fotopulos, responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, a présenté aujourd'hui le nouveau plan de protection et de mise en valeur du Vieux-Montréal. Nouvelle feuille de route, Perspective 2017 trace les grandes lignes de mesures concrètes à prendre afin de conserver et de développer encore davantage les qualités culturelles et patrimoniales exceptionnelles de ce lieu unique qu'est le Vieux-Montréal. La Ville mandate l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) pour la tenue d'une consultation à cet effet. « Cette 3e annonce, d'une série de 10, nous mène un peu plus près du grand Rendez-vous 2012 Montréal, métropole culturelle. En élaborant Perspective 2017, la Ville de Montréal désire protéger et mettre en valeur ce lieu emblématique qu'est le Vieux-Montréal. Ce berceau de la fondation de notre métropole ne cesse d'attirer des gens des quatre coins de la planète par son charme et son caractère distinctif. L'arrondissement historique se porte bien et notre ville ne serait pas la même sans ce territoire qui est le fondement même de l'identité montréalaise. En se dotant d'un plan qui prend le relais du Plan d'action pour le Vieux-Montréal, adopté en 1998, nous entendons bien continuer à prendre tous les moyens nécessaires pour protéger ce joyau patrimonial », de déclarer Mme Fotopulos. C'est donc par le biais d'une consultation publique qui débutera au cours des prochaines semaines que la Ville de Montréal invite les citoyens à une réflexion sur les divers moyens à prendre afin de permettre à l'arrondissement historique de réaliser son plein potentiel. C'est un appel à tous ceux et celles qui ont le Vieux-Montréal à cœur à se joindre à cette réflexion collective que lancera l'OCPM. Le Vieux-Montréal, au cœur des fêtes du 375e anniversaire de Montréal Depuis plus de trois décennies, une série d'actions concertées ont été mises en place par la Ville de Montréal, le ministère de la Culture et des Communications et leurs partenaires publics et privés afin d'assurer la protection et la mise en valeur du cœur historique et patrimonial de la métropole. L'adoption et la mise en œuvre du Plan d'action pour le Vieux-Montréal, en 1998, et de la Politique du patrimoine, en 2005, en sont de bons exemples. Afin de poursuivre ses efforts de mise en valeur, la Ville de Montréal met tout en œuvre pour créer une discussion ouverte et inclusive. Perspective 2017 propose une stratégie de développement de la qualité de chacune des trois dimensions essentielles de ce territoire, soit un milieu de vie de qualité, un haut lieu du patrimoine montréalais et une destination touristique authentique. Cette stratégie vise à développer les outils nécessaires afin que le Vieux-Montréal puisse continuer à contribuer pleinement à la vie sociale, économique et culturelle de la communauté montréalaise et être au cœur des célébrations du 375e anniversaire de la fondation de Montréal en 2017. Le document de consultation est disponible dans ses versions intégrale et résumée, en ligne, à l'adresse suivante : ville.montreal.qc.ca/patrimoineurbain
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