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  1. L'industrie nord-américaine du transport ferroviaire est positionnée en vue d'une croissance à long terme, en dépit des difficultés financières qu'elle traverse, affirme RBC. Pour en lire plus...
  2. http://journalmetro.com/actualites/montreal/949833/projet-montreal-veut-bloquer-lachat-de-lampadaires-del/ 17/04/2016 Mise à jour : 17 avril 2016 | 21:36 Projet Montréal veut bloquer l’achat de lampadaires DEL Par Rédaction Métro Getty Images/iStockphoto Le parti Projet Montréal déposera lundi une motion au conseil municipal pour tenter de faire suspendre le projet d’achat de 110 000 lampadaires munis d’ampoules DEL blanches. Ce contrat est d’une valeur de 110 M$ Selon le parti d’opposition à l’hôtel de ville, ces lampadaires contribuent à la pollution lumineuse et pourraient comporter certains risque pour la santé, dont le dérèglement de cycles de sommeil à cause de la lumière bleue qu’ils produisent. La Ville avait affirmé à Métro en septembre que ces risques n’ont été mesuré que chez des travailleurs ayant subi des expositions à ces lumières sur une longue période et à forte intensité. L’administration affirme aussi que les ampoules DEL réduiraient les coûts d’entretien de 55% et la facture d’électricité de moitié par rapport aux ampoules au sodium. Une économie de plusieurs dizaines de millions de dollars.
  3. Vers un service d’autobus communautaire à Toronto? Philippe Leblanc http://ici.radio-canada.ca/regions/ontario/2014/10/07/006-service-autobus-communautaire-toronto.shtml C'est connu, le transport en commun fait grincer des dents à Toronto. Deux résidents qui en avaient assez d'attendre l'autobus ou le tramway ont décidé de prendre les choses en main. Depuis lundi matin, un autobus nolisé grâce à du financement communautaire et surnommé le Liberty Village Express dessert aux heures de pointe ce quartier situé à l'ouest du centre-ville de Toronto. Le projet pilote va se poursuivre jusqu'à vendredi. « Le transport collectif existant n'est tout simplement pas suffisant dans certains quartiers », affirme Taylor Scallion, le cofondateur du service de transports nolisé Line Six. La ligne de tramway la plus achalandée La ligne de tramway qui dessert le quartier Liberty Village est la plus achalandée de la métropole canadienne. Quelque 60 000 passagers empruntent cette ligne quotidiennement. « C'est mon défi chaque jour, réussir à dénicher une place dans les tramways bondés. Je dois des fois en laisser passer trois ou quatre remplis à capacité avant de pouvoir monter », soutient Suzette Ramchiran, en attente du tramway. Environ 65 personnes ont payé 25 $ pour cinq voyages à bord du Liberty Village Express. Les organisateurs affirment avoir amassé jusqu'à maintenant 2775 $. Si les organisateurs estiment que le projet pilote est un franc succès, ils songeront à implanter le service d'autobus nolisé grâce à du financement communautaire dans d'autres quartiers où le transport collectif fait défaut. « Nous invitons d'ailleurs les gens à voter sur le site web de Line Six pour les quartiers qu'ils souhaiteraient voir desservis », affirme Taylor Scollion. Problème grandissant de transport collectif Comme plusieurs endroits du cœur de Toronto, le quartier Liberty Village a vu les tours à condominiums pousser comme des champignons ces dernières années. Ce nouveau développement continue d'amener davantage de passagers, et la Commission de transport de Toronto peine à répondre à la demande. « Vous pouvez voir qu'il y a des tours à condo qui se construisent un peu partout à Toronto », affirme le chroniqueur municipal du National Post, Peter Kruitenbrouwer. « Mais il semble que les politiciens n'ont pas pensé à comment les gens qui habitent ces tours-là vont se rendre à leur boulot », ajoute-t-il. Selon plusieurs sondages, le transport collectif est d'ailleurs la priorité des Torontois dans la campagne électorale municipale en cours. « Il n'y a aucun doute que c'est l'enjeu déterminant pour moi », soutient Jennifer Nichols. « Je vais analyser les propositions des candidats à la mairie. Je veux des améliorations rapides, mais aussi une vision à long terme pour le transport collectif à Toronto », conclut-elle
  4. <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">http://journalmetro.com/actualites/montreal/416662/montreal-a-travers-les-tombes/ Mise à jour: 11 décembre 2013 | 10:36 L’histoire de Montréal à travers les tombeso </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Yves Provencher/Métro«On n'apprend pas l'histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments,» explique Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse.</figcaption></figure>Au milieu des dénivelées de la montagne et dans le silence des sépultures du cimetière Mont-Royal, le Montréal d’antan est toujours bien présent. Bien loin des bouquins et des façades du centre-ville se cache une tout autre manière de découvrir la vie des familles qui ont fait le passé de la métropole québécoise. Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse, fait connaître ce secret de la ville lors de ses visites guidées du cimetière. «On n’apprend pas l’histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments», explique-t-elle. Dominant, même dans la mort À quelques mètres de l’entrée du cimetière, perché sur une petite colline, se dresse l’îlot de la famille Allen. Entouré d’un luxueux grillage en fer forgé, impossible de le manquer. «Cet aménagement correspond tout à fait à l’importance de la famille dans l’univers montréalais. Les frères Allen étaient les princes de Montréal», affirme d’emblée Armelle Wolff. Situé sur l’un des sommets de la partie la plus ancienne du cimetière, cet îlot familial a une vue impressionnante sur les sépultures autour. La tombe de Hugh Allen, détenteur de la plus grande fortune du Canada au 19e siècle, grâce à un monopole dans le commerce maritime, est donc placée aussi avantageusement dans le cimetière que la villa qu’il possédait près du mont Royal. «Il a le même rôle stratégique dans le cimetière que celui qu’il avait dans la ville, car, depuis sa résidence, il voyait arriver leurs bateaux dans le port. Même mort, il reste en terrain dominant», note la conférencière. Rencontre entre amis John Samuel McCord, premier président du cimetière Mont-Royal jusqu’en 1865, repose à l’endroit culminant du cimetière primitif. «Une place de choix», affirme Mme Wolff. Mais ses voisins de tombe révèlent un phénomène encore plus intéressant. À ses côtés se trouvent les sépultures de Peter McGill, ancien maire de Montréal, du révérend Francis Fulford et de la famille Ross. «C’était tous des amis, raconte Mme Wolff. Leurs villas à Montréal étaient voisines, tout comme leur tombe. Plusieurs de ces familles étaient même liées par des mariages.» Cette disposition des tombes regroupées entre famille et amis proches expose un phénomène courant de l’époque, selon la conférencière. «Les Montréalais avaient l’habitude de venir au cimetière le dimanche pour rendre visite à leurs proches décédés. Mais ils venaient entre amis et entre voisins. Avec cette disposition des tombes, ils se retrouvaient également entre amis et voisins au cimetière. Ils ne sortaient jamais de leur monde», explique la conférencière. La vie collective dans la ville ne faisait donc pas exception au cimetière. Des catholiques chez les protestants Le cimetière Mont-Royal ouvre en 1852 sous une administration anglophone protestante. Les protestants n’étant pas admis dans les cimetières catholiques, ils devaient reposer dans un espace distinct. Le cimetière Notre-Dame-des-Neiges, qui ouvre en 1855, est quant à lui réservé aux catholiques pratiquants en règle. Tous ceux qui ne peuvent pas prouver qu’ils sont de confession catholique, ou qui sont rejetés par le clergé, ne pouvaient pas, jusque dans les années 1960, être enterrés en terrain consacré. Ils étaient alors automatiquement dirigés vers le cimetière protestant Mont-Royal. «Vous voyez, ici, c’est la loge des francs-maçons francophones…catholiques», lance Mme Wolff. Étonnant pour un cimetière protestant… «Chez les francophones catholiques, la franc-maçonnerie était une hérésie. C’était des anticléricaux, qui se battaient pour l’éducation laïque», rappelle la conférencière. Les francs-maçons étant donc bannis de l’Église, ceux de confession catholique devaient eux-aussi être enterrés dans le cimetière protestant Mont-Royal. «Souvent, les gens ont tendance à fonctionner par polarisation: c’est blanc ou noir. Il y a les catholiques et les protestants. Ici on peut voir que, dès le départ, c’était beaucoup plus compliqué que ça», affirme Armelle Wolff. Les Molson s’imposent «L’imposante structure du mausolée de la famille Molson et la place qu’il occupe au cimetière témoignent, comme aucun autre pareil, de l’importance de cette famille à Montréal», affirme Armelle Wolff. Une revue touristique de 1868 parlait même de ce mausolée comme étant le plus prestigieux et le plus monumental du continent Nord-Américain, selon la conférencière. «Ici, ils dominent la ville comme ils dominaient dans le paysage socioculturel montréalais», résume-t-elle.</article>
  5. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201308/11/01-4679005-centre-ville-de-montreal-plus-de-monde-assez-de-bouffe.php ...
  6. Pour tous les mélodramatiques qui aimerait avoir 26 fois plus de tours en bureau en contruction... Montréal: la ville aux 162 chantiersPublié le 29 mars 2011 à 09h00 | Mis à jour à 10h35 Martine Letarte, collaboration spéciale La Presse (Montréal) CHUM, CUSM, CHU Sainte-Justine, Quartier des spectacles, Faubourg Pointe-aux-Prairies, Pointe-Nord de L'Île-des-Soeurs: voilà quelques-uns des 162 chantiers de plus de 5 millions en cours à Montréal. De ce nombre, on compte 70 projets institutionnels et commerciaux, 65 projets résidentiels, 29 projets de génie civil et de voirie ainsi que 2 projets industriels. Somme des investissements: 13,4 milliards. Après des années de stagnation, et au moment où la ville de Québec regorge de projets, Montréal est-elle en train de se réveiller? «On a longtemps dit qu'à Montréal, il n'y avait pas de projets et que ça reflétait le manque de confiance des investisseurs dans l'économie montréalaise. Là, avec tous les chantiers importants, il faut admettre l'inverse: les investisseurs croient au potentiel de Montréal», affirme Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. Pourtant, Montréal a été plus touché par la crise économique que l'ensemble du Québec. «Il y a eu 32 000 pertes d'emplois au Québec en 2009, dont 30 200 à Montréal. C'est plus de 90%. L'an dernier, l'ensemble du Québec a récupéré et dépassé les emplois perdus, alors que Montréal les a récupérés, mais pas dépassés», indique Hugues Leroux, économiste pour la direction régionale d'Emploi-Québec de l'île de Montréal. Il affirme toutefois que la métropole s'est bien sortie de la crise économique. «Montréal met toujours plus de temps à recouvrer la santé sur le marché du travail, entre autres, parce qu'il accueille la grande majorité des immigrants et beaucoup de jeunes des autres régions, explique le spécialiste. Ces personnes qui doivent intégrer le monde du travail y arrivent plus difficilement lorsque le marché de l'emploi est déprimé.» Les retombées En matière de développement économique, il semble qu'un projet en attire un autre. «Le meilleur exemple de ça, c'est le Quartier international, affirme le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Les gouvernements y ont investi 90 millions et il a géré des projets d'investissements de plus d'un milliard.» Le Quartier des spectacles viendra renforcer aussi, selon Michel Leblanc, l'offensive internationale faite à l'image de marque de Montréal. «On reverra des photos dans les grands magazines, comme on en avait vu pour le Quartier international, et c'est important, puisque ça montre que Montréal est une ville de créateurs, une ville où il se passe quelque chose.» Le Quartier de la santé construit autour du CHUM pourrait aussi entraîner des investissements importants. «Le défi sera d'attirer des entreprises du secteur des sciences de la vie. De plus, les firmes qui travaillent sur ces projets à la fine pointe de la technologie pourront par la suite exporter leur expertise», affirme le président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Et c'est sans oublier les projets de condos, plus nombreux que jamais, et l'effervescence du quartier Griffintown. «Ça signifie que nous avons réussi à créer un environnement favorable pour les investisseurs», croit le maire Tremblay. Dollar et productivité Emploi-Québec est également optimiste pour Montréal, particulièrement pour le secteur des services et pour les gens qui ont un niveau de compétence élevé. «D'ici à 2014, 55% des emplois créés exigeront un niveau de compétence universitaire ou collégial», indique Hugues Leroux. «Plusieurs emplois de qualité sont créés dans les grappes technologiques comme celle en aérospatiale, mais aussi, celles en finance, en logistique et celle sur les technologies propres», indique Gérald Tremblay. Certains secteurs demeureront toutefois en difficulté cette année, croit-on à Emploi-Québec. «Entre autres parce que le dollar canadien est toujours à parité et, selon les prévisions, il le demeurera», affirme M. Leroux. Selon Michel Leblanc, le grand défi des entreprises est donc d'améliorer leur productivité pour demeurer concurrentielles dans ce contexte. «Elles doivent investir dans de l'équipement et dans la formation, revoir leurs processus, penser à la délocalisation, indique-t-il. C'est important puisque notre productivité est plus faible que celle des États-Unis et nous avons de moins en moins de travailleurs disponibles. Heureusement, les entrepreneurs montréalais se concentrent déjà là-dessus alors qu'ailleurs dans le monde, ils sont encore à se demander comment ils sortiront de la récession.» Évolution des projets Le maire garde le cap Conflits avec le vérificateur général et enquête de l'Agence du revenu du Canada sur les contrats municipaux en lien avec des allégations de collusion et de corruption mises au jour depuis plus d'un an. Est-ce que tout cela rend la réalisation des projets à Montréal plus difficile? «Je fais abstraction de tout ça, dit le maire Gérald Tremblay. S'il faut revoir certaines décisions, comme dans le cas des compteurs d'eau, je remets toute l'information aux autorités compétentes pour qu'elles vérifient s'il y a eu collusion.» L'avancement des projets est-il ralenti par ce contexte? «Moi, j'ai décidé de me concentrer sur deux grandes responsabilités: répondre aux besoins essentiels des citoyens et créer de la richesse en mettant en place un environnement favorable aux investisseurs. C'est ce que nous faisons depuis trois mandats», ajoute-t-il. Montréal en bref Superficie: 498 km2 Population: 1934082 (2010), soit 24% des habitants de la province Solde migratoire interrégional: -23 640 (2009-2010) Taux de chômage: 9,6% (février 2011) Taux d'activité: 64,2% (février 2011) PIB par habitant: 50 012$ (moyenne provinciale: 36 161$) Revenu disponible par habitant : 27 262$ Secteur d'emploi le plus important: Tertiaire (plus de 85% de l'emploi) Source: Institut de la statistique du Québec et MDEIE http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/portrait-2011/201103/29/01-4384286-montreal-la-ville-aux-162-chantiers.php
  7. Les commerçes du centre-ville de Montréal vont pouvoir faire des affaires plus longtemps, la fin de semaine. Le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal ont en effet annoncé jeudi que ces commerces pourront demeurer ouverts jusqu'à 20h00 la fin de semaine et ce, pour les cinq prochaines années. «Le centre-ville de Montréal joue un rôle particulièrement important en matière de commerce, de tourisme, de culture et de divertissement pour la région, de même que pour l'ensemble du Québec», a affirmé le ministre du Développement économique, Clément Gignac. «Nous devons donner aux commerçants les moyens de se développer à leur pleine capacité» a dit le ministre, qui s'est dit convaincu que la mesure entraînera des retombées positives pour l'économie. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2010/07/20100722-121747.html
  8. Roy d.g. et entraîneur de l'Avalanche? Dimanche 24 mai 2009 RDS.ca La saga Patrick Roy continue d'alimenter les rumeurs. Cette fois, il semble que Pierre Lacroix aurait fait tout une offre à l'ancien gardien de but. Selon ce que rapporte le journaliste Martin Leclerc sur le site Ruefrontenac.com, Roy aurait reçu une offre pour agir à titre de directeur général et entraîneur-chef de l'Avalanche. Toujours selon Ruefrontenac.com, Roy aimerait compter sur les services de son ancien coéquipier Sylvain Lefebvre et de l'actuel entraîneur-chef des Voltigeurs, Guy Boucher, pour l'appuyer derrière le banc. Rappelons que Boucher a affirmé à notre collègue Stéphane Leroux samedi, qu'il avait six offres sur la table mais qu'aucune décision n'était prise. Ni Roy ni Boucher n’ont pu être rejoints pour commenter.
  9. Prix des maisons: Montréal résiste Publié le 26 mars 2009 à 06h36 | Mis à jour à 06h37 La Presse (Montréal) Montréal résiste encore et toujours. Alors que les prix des maisons baissent au Canada, ils se maintiennent dans la région métropolitaine. Selon un indice colligé par la Banque Nationale et la société Teranet, les prix des maisons ont reculé de 2,4% au Canada entre janvier 2008 et janvier 2009.Par contre, ils ont enregistré une croissance de 4,1% à Montréal. La Chambre immobilière du Grand Montréal a constaté la même tendance au niveau des statistiques de ventes du système MLS (Multiple Listing Services). «Les prix augmentent moins vite qu'avant, mais le Québec fait bien meilleure figure que le reste du Canada, a commenté le chef de la direction de la chambre immobilière, Michel Beauséjour, en entrevue avec La Presse Affaires. C'est généralement lié à l'économie: l'économie québécoise est un peu moins affectée qu'ailleurs.» Selon l'indice Teranet-Banque Nationale, les prix des maisons ont diminué de 2,4% à Toronto entre janvier 2008 et janvier 2009, d'un respectable 4,2% à Vancouver et d'un considérable 8,2% à Calgary. Marc Pinsonneault, économiste principal à la Banque Nationale, a expliqué que le nombre de maisons disponibles par rapport à la demande était beaucoup plus élevé dans ces villes qu'à Montréal. «Il y a eu surconstruction», a-t-il déclaré. À Calgary, les prix des maisons ont bondi de 45% en 2006, ce qui a incité les promoteurs et les constructeurs d'habitations à s'en donner à coeur joie. «Avec la baisse inattendue du prix du pétrole, on s'est aperçu qu'il y avait eu surconstruction», a affirmé M. Pinsonneault. À Vancouver, les prix des maisons, déjà extrêmement élevés, ont augmenté 24% en 2007. La spéculation s'est mise de la partie. «Il n'y a pas un Canadien qui peut acheter une maison ou un condo au centre-ville de Vancouver, a affirmé M. Beauséjour. Les prix sont tellement élevés qu'il fallait que ça dégonfle. Maintenant, Vancouver est dans le marasme depuis un an.» De son côté, la région torontoise a été frappée par la crise manufacturière, notamment dans le secteur de l'automobile, a ajouté M. Beauséjour. Le secteur de l'immobilier s'en est ressenti. «Au Québec, nous sommes plus diversifiés en termes d'économie, a affirmé le patron de la Chambre immobilière du Grand Montréal. La PME se comporte assez bien. La récession est là, mais on n'a pas encore d'impact majeur au niveau des pertes d'emplois.» Il a rappelé qu'un des facteurs qui influencent l'achat d'une maison, le niveau des taux hypothécaires, était encore très favorable. M. Pinsonneault, de la Banque Nationale, a indiqué que les prix des maisons avaient connu de bonnes hausses au cours des dernières années à Montréal, notamment en 2002 (15%), mais il a soutenu qu'il ne s'agissait pas d'une vague de spéculation et que cela n'avait pas donné lieu à de la surconstruction. «C'était du rattrapage à la suite d'années de vaches maigres», a-t-il affirmé. Il a noté que Montréal avait connu une baisse des prix des maisons, sur une base mensuelle, pendant les trois derniers mois de 2008. Par contre, les prix ont très légèrement augmenté (0,1%) en janvier 2009 par rapport à décembre 2008. M. Beauséjour a affirmé que les Québécois qui avaient l'intention d'acheter une maison au cours des deux prochaines années avaient toujours cette idée en tête, mais qu'ils envisageaient de retarder cette acquisition compte tenu de la situation économique.
  10. Le premier ministre Jean Charest affirme que les services aux citoyens seront protégés et que des mesures pour les travailleurs seront incluses dans le budget 2009-2010. Pour en lire plus...
  11. Publié le 22 février 2009 à 07h39 | Mis à jour à 07h43 L'inquiétude ronge les commerçants Un magasin de vêtements fermé, rue Mont-Royal à Montréal. Photo: Robert Skinner, La Presse Mathieu Perreault La Presse Dany Roseman est inquiet. Le président de l'Association des commerçants de la rue Monkland a vu quelques magasins fermer leurs portes dans les derniers mois et sait que d'autres propriétaires songent à les imiter. Pour lui, c'est une évidence: la crise fait déjà mal au commerce de détail à Montréal. «Il faut agir, affirme M. Roseman. Les gens dépensent moins. Il faut les encourager. Les tarifs des parcomètres, par exemple, sont beaucoup trop élevés.» La demi-douzaine de pâtés de maison que compte la portion commerçante de la rue Monkland ne ressemble toutefois pas à la rue Sainte-Catherine au pire de la crise des années 90. Un restaurant français a fermé ses portes récemment - ses vitres sont encore propres devant le papier beige qui les bouche, et les lumières de la plate-bande sont encore allumées. Un local de sous-sol, occupé jusqu'à récemment par un boucher qui a déménagé en face dans un local plus grand, est inoccupé depuis l'automne. Le propriétaire de l'immeuble, Larry, confirme qu'il a plus de difficulté que prévu à le louer. Mais les dizaines d'autres commerces sont encore pimpants. «Il est encore trop tôt pour sauter aux conclusions», estime de son côté le président de la Société de développement de l'avenue du Mont-Royal, Michel Despatie. «Janvier et février sont toujours des mois plus tranquilles, où il y a des changements de locataires commerciaux. Et c'est difficile de faire des comparaisons avec l'année dernière, qui avait été difficile à cause des tempêtes. Ce que je vois pour le moment, c'est que les commerces qui ont une stratégie moins à jour sont plus vulnérables. Un Van Houtte a par exemple fermé: c'est un peu compréhensible face à des concurrents comme Starbucks ou Café Dépôt.» Une inspection de l'avenue du Mont-Royal, du boulevard de Lorimier jusqu'à la rue Saint-Denis, puis de cette rue vers le sud jusqu'à la rue Roy, a permis de relever une quinzaine de magasins fermés. Dans deux cas, il s'agit de magasins de vêtements bas de gamme dont l'enseigne date d'avant la loi 101. Un restaurant à l'est de Papineau est fermé temporairement, le propriétaire ayant dû vendre son commerce pour cause de maladie. L'Entrepôt du cuir, coin Papineau, annonce son remplacement imminent par une boutique Geox. Le propriétaire d'un local récemment déserté par une boutique de vêtements en liquidation, avenue du Mont-Royal, affirme avoir déjà un autre locataire. Le propriétaire de la boutique Verriers Saint-Denis, qui n'est désormais ouverte que sur rendez-vous, affirme que sa décision n'est pas basée sur des ventes en baisse. Seul le propriétaire d'un petit local en sous-sol, rue Saint-Denis, rapporte que les locations commerciales sont plus difficiles qu'au cours des dernières années. Le local est fermé depuis septembre, car le commerçant qui s'y était installé a fait une crise cardiaque. Rien d'inhabituel à signaler La Presse a consulté une demi-douzaine d'autres sociétés de développement de l'île, qui ont confirmé que leurs membres sont inquiets mais qui n'ont pas signalé un nombre inhabituel de fermetures. «Chez nous, il y a toujours une douzaine de magasins qui ferment après les Fêtes parce que c'était des centres de liquidation qui profitaient du magasinage d'avant Noël», dit Mike Parente, de la Société de développement de la plaza Saint-Hubert. M. Despatie mentionne que les baux commerciaux ont énormément grimpé ces dernières années; comme ils ne sont renouvelés qu'aux cinq ou 10 ans, certaines stratégies d'affaires deviennent du jour au lendemain déficitaires. À la chambre de commerce du Montréal métropolitain, le président Michel Leblanc rapporte des «anecdotes» de commerces qui vivent des temps plus durs: l'alimentation et les restaurants haut de gamme, les biens durables comme l'électronique ou les meubles. Mais lui aussi estime qu'il est trop tôt pour sauter aux conclusions. Néanmoins, il s'attend à ce que la croissance des ventes au détail pour le dernier trimestre, qui devait être de 0,4% selon le Conference Board, soit nulle ou carrément négative. M. Leblanc remet toutefois les choses en perspective: au troisième trimestre de 2007, les ventes au détail ont chuté de 2,7%, mais elles ont par la suite rebondi. La chambre de commerce de Laval confirme que les magasins de biens durables sont plus touchés que les autres et signale des fermetures de magasins de meubles. Les centres commerciaux affirment être bien portants. Ni Cadillac Fairview ni Ivanhoé ne rapportent d'augmentation des demandes de réduction de bail. Une brève visite aux Galeries d'Anjou permet de voir que seulement cinq locaux sur 175 sont inoccupés. Jean-François Breton, coprésident du groupe Devimco, note que la croissance des revenus des magasins du Dix30 a été plus lente en janvier par rapport à janvier 2008, mais que Devimco a toujours une liste d'attente de commerces désireux de s'y implanter. «Notre prochaine phase est déjà louée à 55%.»
  12. La patronne de Home Depot Canada affirme que l'entreprise ne sera pas affectée par la décision prise par sa société mère d'éliminer 7000 emplois. Pour en lire plus...
  13. L'assureur ING Canada a affirmé lundi qu'il ne supprimerait pas d'emplois malgré l'annonce de l'élimination de 7000 postes par sa société mère. Pour en lire plus...
  14. Le numéro un mondial de l'automobile abolirait des postes permanents pour la première fois depuis 1950, affirme le quotidien économique Nikkei. Pour en lire plus...
  15. Quarante emplois s'envolent chez Air Transat 22 janvier 2009 - 06h39 La Presse Marie Tison Une quarantaine de postes administratifs disparaissent chez Air Transat (TRZ.B) à Montréal, mais le groupe soutient que cette initiative n'a rien à voir avec le ralentissement économique. «Les activités vont à plein régime, a affirmé le porte-parole de Transat, Jean-Michel Laberge, en entretien téléphonique avec La Presse Affaires. Les ventes étaient en avance en décembre dernier, c'est encore le cas actuellement.» Il a expliqué que l'élimination de ces postes faisait suite à une révision de la structure organisationnelle de l'entreprise. Il s'agit, essentiellement, de rendre Transat plus concurrentielle. «Ça ne touche pas des postes d'agents de bord, de pilotes ou du personnel d'entretien, a indiqué M. Laberge. On parle d'emplois de soutien, d'emplois de bureau.» Il a également souligné que 10 des 40 postes abolis étaient déjà vacants. «Il faut mettre les choses en perspective, a-t-il ajouté. Air Transat compte plus de 2000 employés au Canada, alors que l'ensemble de Transat en compte environ 5000. En tout, Transat emploie 6500 personnes dans le monde.» Optimisme Lors de la divulgation de ses résultats annuels en décembre dernier, la direction de Transat s'était montrée optimiste vis-à-vis la récession. Le président et chef de la direction, Jean-Marc Eustache, avait affirmé que les clients pourraient réduire les dépenses liées au voyage et choisir des forfaits moins coûteux, mais qu'ils continueraient à voyager quand même. C'est ainsi que les réservations pour la saison d'hiver étaient supérieures à ce qu'elles étaient l'année précédente à pareille date. L'action de catégorie B de Transat a perdu 49 cents pour clôturer à 9,45 dollars hier à la Bourse de Toronto. Il s'agit d'une baisse de près de 5%.
  16. La banque américaine devrait licencier cette semaine plusieurs milliers de ses employés travaillant sur les marchés de capitaux, affirme le Financial Times. Pour en lire plus...
  17. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, affirme que son budget du 27 janvier sera axé sur les dépenses, mais admet que cela aura un impact sur les finances publiques. Pour en lire plus...
  18. «2010 devrait être l'année de la reprise», mais la crise économique mondiale devrait encore durer cette année, a affirmé lundi le porte-parole du G-10. Pour en lire plus...
  19. La Réserve fédérale américaine cherche une plus grande flexibilité financière pour faire face à la crise, affirme le Wall Street Journal mercredi. Pour en lire plus...
  20. Le ministre des Finances a affirmé qu'il croyait être «capable» de répondre aux demandes d'aide financière des trois grands constructeurs automobiles qui totaliseraient 6,8 G$. Pour en lire plus...
  21. Le ministre fédéral d'État à l'Agriculture affirme que le gouvernement conservateur fera tout pour défendre le système de gestion de l'offre à l'OMC. Pour en lire plus...
  22. Publié le 03 décembre 2008 à 17h35 | Mis à jour à 17h40 «Quebec bashing» : Charest lance un appel au calme Tommy Chouinard La Presse (Québec) Jean Charest déplore la montée du «Quebec bashing» dans la foulée de la crise politique qui secoue Ottawa. Il lance un appel au calme et demande aux politiciens fédéraux de cesser les «procès d'intention» contre le Bloc québécois. «Le sentiment de Quebec bashing qu'on retrouve ailleurs au Canada, c'est complètement inutile dans un contexte où on a un enjeu économique majeur», a-t-il affirmé au cours d'un bref point de presse. «Des gens sont tombés dans ces discours-là, ce piège-là. On aurait tout le monde intérêt à mettre la priorité sur l'économie, parce que c'est ça l'enjeu», a-t-il ajouté. Le chef libéral a souligné que les députés bloquistes jouissent de la même légitimité que les autres élus fédéraux et que tous doivent respecter les électeurs qui ont voté pour eux. «Je vis dans une société où les gens peuvent être fédéralistes ou souverainistes mais ils se respectent. La même chose devrait être vraie dans le parlement fédéral. On n'a pas à faire de procès d'intention à quiconque parce qu'il défend une position ou une autre», a-t-il affirmé.
  23. Des attentats secouent Bombay http://www.radio-canada.ca Au moins 78 personnes ont été tuées et 200 autres blessées, mercredi soir, dans une série de tirs et d'explosions, en différents endroits de la ville de Bombay, en Inde. Le commissaire de police pour les chemins de fer à Bombay, A.K. Sharma, affirme que plusieurs hommes armés de fusils d'assaut AK-47 ont fait irruption dans le hall de la gare centrale Chhatrapati Shivaji et ont ouvert le feu et lancé des grenades. Des attaques semblables ont été perpétrées dans un hôpital, un commissariat, les hôtels de luxe Taj-Mahal et Oberoi, dans un autre hôtel, et dans un restaurant, le Leopold's, très fréquenté par les touristes. Des assaillants seraient encore retranchés dans les deux hôtels et détiendraient des otages, affirme un haut responsable de la police. Des chaînes de télévision indiennes rapportent que des militaires, appelés en renfort, ont pénétré à l'intérieur de l'hôtel Oberoi. Selon l'agence Reuters, un parlementaire européen a raconté que plusieurs députés européens se trouvaient toujours à l'intérieur de l'hôtel Taj Mahal, qui est en flamme. Un client britannique de cet hôtel a par ailleurs déclaré à la chaîne indienne NDTV que les agresseurs cherchaient des détenteurs de passeports britanniques ou américains. D'autres chaînes de télévision ont rapporté que des Occidentaux sont retenus en otage. Des ressortissants coréens se trouvent aussi à l'intérieur de l'hôtel, ont déclaré leurs chauffeurs, qui les attendaient à l'extérieur. Le directeur du Bureau du Québec à Bombay, Benoît-Jean Bernard, a témoigné des événements à RDI, en après-midi: « Le premier ministre et le ministre de la Sécurité sont apparus dans les médias pour indiquer qu'il s'agissait d'un assaut mené contre la ville, la capitale financière, dans une nouvelle manière de terroriser. Ce ne sont plus des attentats-suicides, ce sont des groupes armés. On les estime à plusieurs dizaines, peut-être même à 200 qui se sont répandus dans la ville. Et ce n'est pas 9, c'est 12 endroits où il y a eu des tirs, des échanges de feu. Il vient d'y avoir deux morts dans un hôpital tué par des terroristes, et il y a 20 otages étrangers qui sont au 18e étage de l'hôtel Oberoi où il y a également des incendies, et un troisième hôtel a été la cible, il y a une heure, d'attentats 20 km au nord du centre-ville ». C'est le chaos actuellement dans la ville, et les pompiers, policiers et militaires sont sous un pied d'alerte. Les autorités de Mumbai affirment qu'au moins quatre assaillants ont été tués et neuf autres capturés. La capitale financière de l'Inde a été maintes fois la cible d'attaques. En juillet 2006, des attentats simultanés contre des trains de banlieue et des gares avaient fait plus de 200 morts. Le Press Trust of India affirme qu'un groupe islamiste se faisant appeler les Moudjahidines du Deccan a revendiqué les attentats. Le groupe est peu connu, et le journal rapporte qu'il avait envoyé des courriels à plusieurs médias pour revendiquer l'attentat. Ottawa condamne l'attentat À Ottawa, le ministre des Affaires étrangères, Lawrence Cannon,a fortement condamné, lors d'une courte conférence téléphonique, ces « lâches attentats », en présentant ses condoléances aux familles et amis des victimes. « Nous collaborons avec les autorités indiennes pour porter assistance à tous les Canadiens qui auraient pu être directement touchés lors de ces événements », a-t-il ajouté. Selon les dernières informations dont disposait Ottawa en fin d'après-midi, mercredi, « aucun Canadien n'a été blessé ou tué lors de ces attaques », a précisé M. Cannon.
  24. Le secrétaire américain au Trésor devrait annoncer mardi des facilités pour certains crédits à la consommation, afin de chercher à redynamiser l'économie des États-Unis, affirme le Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  25. La Réserve fédérale américaine (Fed) envisage de continuer à baisser son taux d'intérêt directeur et de mettre en place de nouvelles facilités de crédit, alors que les conditions des marchés financiers ont continué à se détériorer, affirme lundi le Wall Street Journal. Pour en lire plus...
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