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  1. Google s'installe à Montréal 25 janvier 2007 - 13h48 La compagnie Google a entrepris de faire de la recherche et du développement à partir de locaux situés à Montréal, révèle le journal Les Affaires dans sa plus récente parution. Les bureaux loués par Google se trouvent dans l'immeuble du 1000 de la rue Gauchetière, en plein cœur du centre-ville montréalais. Une petite équipe de sept ingénieurs et développeurs de logiciels aurait déjà été embauchée, selon ce qu'a appris Les Affaires. Les responsables contactés chez Google, parmi lesquels Lars Hansen, porte-parole de Google au Canada, auraient toutefois refusé de donner davantage de précisions. Le géant Internet a également annoncé, sur ses pages d'offres d'emploi, être à la recherche de développeurs et programmeurs spécialistes du système d'exploitation Windows pour sa filiale montréalaise. Selon Les Affaires, les employés d'une entreprise islandaise, récemment achetée par Google, avaient déjà l'habitude de se réunir de temps à autres à Montréal, ce qui pourrait expliquer l'ouverture de bureaux dans la métropole. Il n'est d'ailleurs pas impossible que cette initiative annonce d'autres investissements de Google au Québec, puisque la compagnie serait aussi à la recherche de locaux commerciaux supplémentaires susceptibles d'accueillir entre 200 et 300 employés.
  2. IluvMTL

    C2-mtl 2013

    http://www.cyberpresse.ca/arts/musique/201204/29/01-4520144-moby-jouera-dans-griffintown.php Publié le 30 avril 2012 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Moby jouera dans Griffintown Moby se produira comme DJ à l'événement de clôture de la conférence sur le commerce et la créativité C2-MTL. PHOTO: ANDRÉ TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE André Duchesne La Presse Le célèbre DJ new-yorkais et star de la musique électronique Moby sera la vedette principale de l'événement de clôture de C2-MTL, conférence mondiale sur le commerce et la créativité qui rassemblera 1200 participants à Montréal, a appris La Presse. Du 22 au 25 mai, dans l'ancien édifice New City Gas dans Griffintown, cet événement ambitieux et nouveau genre fera converger des conférenciers très prestigieux vers Montréal. À ce jour, la liste des invités comprend le cinéaste Francis Ford Coppola; la rédactrice en chef et fondatrice du Huffington Post, Arianna Huffington; l'ancien PDG de Disney Michael Eisner; le chef de la direction financière de Google, le Québécois Patrick Pichette; le PDG du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre; le directeur de la création chez DreamWorks, Bill Damaschke, etc. «Nous souhaitons faire de cette conférence un événement annuel, lance Benoit Berthiaume, producteur exécutif de C2-MTL. On veut que Montréal s'inscrive de cette façon dans une conversation mondiale avec les autres grandes métropoles de créativité. Nos participants sont des dirigeants d'affaires de haut niveau provenant de partout dans le monde.» Pour M. Berthiaume, Moby, qui sera à Montréal à titre de DJ, représente parfaitement l'esprit et le contenu de la conférence. «C'est un artiste multidisciplinaire qui est reconnu pour son talent et son esprit créatif», souligne-t-il. Placée sous le thème de l'illumination - une référence directe à l'édifice où elle se tiendra -, la soirée du 24 mai se déclinera en trois segments. D'abord, la firme montréalaise Moment Factory proposera une expérience interactive ludique. Viendra ensuite une programmation musicale dont l'affiche reste à confirmer. Enfin, Moby, artiste aux 20 millions d'albums vendus dans le monde, montera sur scène. Si les activités de la conférence seront réservées aux participants inscrits, 500 billets grand public (à 65$ l'unité) seront mis en vente pour la soirée du 24. New City Gas Diminutif de «Commerce + Créativité Montréal», C2-MTL est un organisme sans but lucratif imaginé par l'agence créative Sid Lee. L'organisme a la volonté de réinventer la conférence, indique Geneviève Hinse, attachée de presse. Signe de ce côté hip, la conférence aura lieu dans l'ancien bâtiment New City Gas, rue Ottawa, dans Griffintown. Cette ancienne usine à gaz a récemment été achetée par un entrepreneur qui est en train de la rénover de fond en comble pour en faire un centre de congrès underground. De très importants travaux sont en cours, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du bâtiment en prévision de C2-MTL qui sera le premier événement à s'y tenir. Une partie du terrain extérieur accueillera un village interactif. Au total, l'exposition occupera un espace de 75 000 pieds carrés sur deux quadrilatères urbains.
  3. Équiterre salue l’implication du gouvernement du Québec dans le projet de Maison du développement durable Montréal, le 15 janvier 2007 – Équiterre se réjouit de la participation du gouvernement du Québec à son projet de Maison du développement durable. Cette première contribution du gouvernement du Québec se réalise par le biais d’Hydro-Québec qui fournit un terrain de 15 000 pieds carrés dont la valeur dépasse le million de dollars au coin des rues Clark et Sainte-Catherine. Le gouvernement du Québec entend également contribuer financièrement à ce projet et fera connaître la hauteur de sa contribution plus tard, au cours des prochains mois. « Le gouvernement du Québec est heureux d’appuyer ce projet innovateur qui incarne parfaitement les principes du développement durable qui guident les actions de notre gouvernement. La Maison du développement durable sera certainement un exemple au Québec et saura, j’en suis persuadé, inspirer d’autres projets de construction », a indiqué le ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs, M. Claude Béchard. « La Maison du développement durable sera un édifice modèle de sept étages, le premier bâtiment au Québec certifié LEED Platine, soit l’un des plus écologiques au monde », a expliqué M. Sidney Ribaux, cofondateur et coordonnateur général d’Équiterre. Le projet vise à créer un pôle du développement durable au cœur de la métropole qui deviendra un lieu de synergie, de sensibilisation et de rencontres. Il abritera les locaux de divers organismes à but non-lucratif, un Centre d’interprétation sur le bâtiment durable, des commerces d’économie sociale et des salles de réunion. « Ce bâtiment utilisera les meilleures technologies liées à l’efficacité énergétique, à la consommation de l’eau, à la réduction des déchets de construction et à la qualité de l’environnement des travailleurs », a précisé le cofondateur d’Équiterre. « La Maison du développement durable sera un projet-phare pour le secteur immobilier montréalais, notamment en ce qui concerne l’efficacité énergétique, une priorité pour Hydro-Québec », se réjouit Marie-José Nadeau, Vice-présidente exécutive Affaires corporatives et secrétaire générale d’Hydro-Québec, qui présidera le cabinet de campagne ayant pour mandat de recueillir le financement du projet auprès de la communauté institutionnelle et des affaires du Québec. Hydro-Québec compte également aménager un espace vert entre le Théâtre du Nouveau monde et la Maison du développement durable.
  4. Bonjour, Voici un projet dont j'ai très peu d'information, seulement une image provenant du livre : Montréal, son histoire, son architecture tome 2 de Guy Pinard page 45. Je n'ai pas trouvé de sujet semblable dans ce forum alors je vous le propose. En 1931, un architecte propose un nouvel Hôtel de ville et un nouveau centre des affaires à Montréal,: Si quelqu'un a des information supplémentaire sur ce projet, n'hésitez pas à le partager!!
  5. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201308/11/01-4679005-centre-ville-de-montreal-plus-de-monde-assez-de-bouffe.php ...
  6. Intéressant, plus gros mois de juin depuis les jeux olympiques! Sur LaPresse Affaires : Saison touristique 2010: départ canon pour Montréal Dans le journal Métro : Les hôtels de Montréal ont fait le plein en juin
  7. ErickMontreal

    TVA Sports

    Une chaîne sportive pour TVA? (Corus Sports)- Selon La Presse Affaires, une demande a été déposée au CRTC par Quebecor afin de lancer une chaîne de télévision sportive. Le réseau a déposé sa demande le 1er mai dernier. La chaîne porte le nom provisoire de TVA Sports. TVA a aboli son bulletin de sports en mars 2002 par nécessité de compression budgétaire, mettant à pied quatre journalistes permanents et huit surnuméraires. Depuis, ce sont des journalistes de l'information générale qui assurent la couverture des événements majeurs, en plus de la présentation de bulletins de sports en direct, le matin, et pré-enregistrés, le midi. TVA avait alors affirmé vouloir concentrer sa production dans ses services des nouvelles et des affaires publiques. Cependant, la demande de licence de TVA Sports survient alors que Quebecor tente d'acquérir le Canadien de Montréal. Les droits de télédiffusion des matchs du Canadien appartiennent à RDS jusqu'à la fin de la saison 2012-2013. Le tarif pour présenter ceux-ci : 20 millions $ par saison. Le CRTC a aboli le monopole des chaînes sportives au pays en octobre dernier. Radio-Canada aurait un projet similaire à l'étude. Radio-Canada avait également aboli son bulletin de sports le 20 juin 2003, avant d'en ramener une version écourtée la saison dernière, qui sera prolongée dès l'automne.
  8. La Presse canadienne apprend que le sommet du G20 de juin prochain sera tenu tout près du quartier des affaires de Toronto. Pour en lire plus...
  9. Le Québec trop étroit pour les PME québécoises Olivier Schmouker . les affaires.com . 16-12-2009 Les petites et moyennes entreprises (PME) québécoises font preuve d’un grand dynamisme à l’échelle internationale, selon une étude de l’Institut de la statistique du Québec. Car le marché québécois ne leur suffit plus pour croître… Ainsi, 1 PME québécoise sur 2 (56%) a actuellement des activités hors du Québec, et cela est encore plus vrai pour celles du secteur de la fabrication (83%) et pour celles qui comptent plus de 100 employés (68%). 1 PME sur 2 exporte L’activité la plus commune est, sans surprise, l’exportation. De fait, 1 PME sur 2 (52%) exporte ses produits et services hors du territoire québécois ; dans le secteur de la fabrication, le pourcentage grimpe à 82%. Une autre activité consiste à posséder un établissement à l’extérieur du Québec. Par exemple, 16% des grandes PME, à savoir celles qui ont plus de 100 employés, sont dans ce cas, alors que cette proportion tombe à 4% chez celles de plus petite taille. À noter que les grandes PME font plus souvent des acquisitions que des implantations pour étendre leurs activités hors du Québec. Enfin, une autre activité correspond à faire appel aux services d’une entreprise établie hors du territoire québécois. C’est ce que fait 1 PME sur 4 (22%), et en particulier les grandes PME (32%). Dans ce cas, l’option de la sous-traitance est la plus prisée. Les pays du Bric deviennent tendance Les PME exportatrices font surtout des affaires avec les autres provinces canadiennes. C’est le cas pour 83% d’entre elles. L’autre destination des exportations est les Etats-Unis (70%). Et arrive, loin derrière, l’autre partenaire de l’Alena, le Mexique (14%). En fait, de nouveaux marchés mondiaux sont en train de prendre de l’importance pour les PME québécoises exportatrices. Par exemple, l’Union européenne est un marché aujourd’hui plus important que celui du Mexique, vu que 26% des PME exportatrices d’ici y destinent leurs produits et services. Idem avec les marchés asiatiques, avec un pourcentage de 16%. La fréquence des exportations vers la Chine est particulièrement élevée dans le secteur de la fabrication (12%). Les marchés les plus en croissance sont ceux des pays émergents, notamment ceux du Bric (Brésil, Russie, Inde et Chine), où respectivement 6%, 6%, 4% et 10% des PME actives hors du Québec font actuellement des affaires. D’ici les cinq prochaines années, une proportion encore plus grande de PME ont l’intention d’y étendre leurs activités, en particulier en Inde. La seule méthode pour continuer de croître Qu’est-ce qui pousse les PME québécoises à s’internationaliser de la sorte? De manière générale, c’est qu’elles misent sur cette stratégie pour poursuivre leur croissance, le marché québécois ne leur suffisant plus. Ainsi, 55% des PME actives hors du Québec ont pour motivation principale de «développer de nouveaux marchés», mais aussi de «se rapprocher de marchés ou de clients» (33%) et de contourner le phénomène de «saturation du marché québécois» (20%). Une autre motivation importante réside dans le fait que 15% ces PME veulent «répondre à la concurrence des pays émergents», signe que leurs dirigeants ont saisi l’importance vitale de la mondialisation des affaires. À noter que, contrairement à une croyance solidement rivée dans la mentalité occidentale, les PME ne font pas forcément des affaires à l'étranger pour profiter de salaires et de coûts de production inférieurs à ceux pratiqués chez elles. En effet, seulement 8% des PME québécoises disent que cette raison a motivé leur choix de s’internationaliser… Les obstacles sont nombreux quand on décide d’être actif hors du Québec. Selon les PME qui sont dans ce cas, la principale difficulté réside dans la vigueur du huard (22%). Suivent, entre autres, les coûts de transport et de logistique (18%), les barrières légales, administratives et tarifaires (16%), les services externes «trop coûteux» (12%) et le manque de personnel qualifié pour ce type d’activité (10%).
  10. La Baie vendrait son édifice montréalais pour mieux rénover 14 août 2009 | 10h30 ARGENT Michel Munger Argent L'éventuelle vente du principal édifice montréalais de La Baie (HBC) pourrait bien servir à mieux investir dans des rénovations et ses activités commerciales. C'est en effet ce qu'affirme, Melissa Cable, relationniste pour la firme Edelman et porte-parole pour HBC, en réponse aux questions posées par Argent. Rappelons que le quotidien Globe and Mail révélait hier que HBC a confié à une filiale de courtage de Brookfield Properties le dossier de son immeuble situé au 585, rue Sainte-Catherine Ouest. «De temps en temps, dit Mme Cable, HBC vend et achète des immeubles. Au cours de la dernière année, la compagnie a travaillé avec Brookfield Properties sur la possibilité de vendre l'édifice montréalais et de louer les locaux pour un éventuel redéveloppement et une rénovation, avec le magasin La Baie qui occuperait une grande partie de l'édifice.» Melissa Cable ajoute toutefois qu'«aucune transaction n'a eu lieu relativement à ce projet». Denis Couture, vice-président Affaires corporatives et Affaires internationales chez Brookfield à Toronto, a dit que la politique de la filiale de courtage était de ne pas commenter les éventuelles transactions. Haut de neuf étages et bâti en 1945, l'édifice de La Baie est bien connu des Montréalais. Selon le role d'évaluation de la Ville de Montréal, sa valeur s'élève à 39,9 M$.
  11. Publié le 15 août 2009 à 00h00 | Mis à jour à 00h05 La SHDM redevient paramunicipale Sara Champagne La Presse Sept mois après avoir demandé au gouvernement du Québec de renverser la vapeur, l'administration du maire Tremblay touche enfin au but. Il ne reste que des formalités légales à remplir avant que la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), au coeur d'une enquête de la Sûreté du Québec pour des transactions douteuses, ne redevienne une créature paramunicipale de Montréal. Au cours d'une séance exécutive particulièrement chargée, mercredi, avec pas moins de 70 pages de résolutions à l'ordre du jour, les élus de la garde rapprochée du maire ont approuvé une requête pour demander au nouveau ministre responsable des Affaires municipales, Laurent Lessard, d'émettre les lettres patentes en vertu de la loi qui régit la Charte de Montréal. Pour l'administration Tremblay, la réorganisation du bras immobilier n'est pas pour autant achevée. En plus d'attendre les résultats de l'enquête de la Sûreté du Québec, dont rien ne filtre pour l'instant, le président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Claude Dauphin, a expliqué hier lors d'un entretien avec La Presse que le «mandat» et la «mission» de la société seraient révisés cet automne. «J'entends rencontrer le conseil d'administration, présidé par Jean-Claude Cyr, à la fin du mois, a-t-il dit. Des acheteurs font la queue pour acheter des propriétés grâce au programme Accès Condos. La demande est là. On veut donc redéfinir ses fonctions.» À la SHDM, un grand ménage dans l'organigramme a été fait depuis qu'une enquête interne a révélé une série d'irrégularités dans la vente au Groupe immobilier Catania du Faubourg Contrecoeur, dans l'est de Montréal, au coût de 4,4 millions alors que le terrain en valait 23,5 millions. L'ancien directeur de la société, Martial Fillion, a été congédié et remplacé par Guy Hébert. Le porte-parole de la SHDM, André Bouthillier, a expliqué hier que Josée Racicot, directrice des affaires juridiques et corporatives, anciennement au contentieux de la ville centre, seconde désormais la direction générale. «Et les employés ont maintenant accès à tous les procès-verbaux», a ajouté M. Bouthillier, de la firme de communication Optimum. Sur le plan des affaires, Claude Dauphin a annoncé à La Presse que la SHDM a réalisé des centaines de milliers de dollars en surplus avec la construction de la Place des festivals, dont les travaux ont été exécutés dans les délais. Les travaux pour reconstruire de nouveaux bâtiments sur les anciens immeubles du boulevard de l'Acadie vont bon train, a-t-on ajouté. Et on explique que des appels de propositions seront lancés, cet automne, pour trouver de nouveaux promoteurs. «En plus du commercial et des projets institutionnels, notre intention est de bonifier les projets résidentiels», a précisé M. Bouthillier, en expliquant que les appels de propositions vont donner de la transparence au processus. Quant à la firme Catania, elle a redémarré les travaux de construction de logements en copropriété au Faubourg Contrecoeur, au printemps dernier. Mais il reste encore le litige concernant la décontamination du terrain à régler. Le promoteur réclame 7 millions à la SHDM, donc à la Ville, pour avoir fait le travail.
  12. Publié le 19 février 2009 à 06h14 | Mis à jour à 06h18 Montréal, porte d'entrée du financier Stanford au pays Les locaux visités par La Presse Affaires sont dignes d'une institution prospère: plancher de marbre, fauteuils en cuir capitonné, vue magnifique sur le centre-ville. Francis Vailles La Presse (Montréal) «Nous voulons vous informer que la Banque Stanford Internationale n'a aucun investissement dans les fonds Madoff.» Telle est l'assurance que donnait la banque accusée de fraude à ses clients à la mi-décembre, dans la foulée du scandale Madoff. Cette missive, dont La Presse Affaires a une copie, a été transmise aux clients canadiens de la Banque Stanford, en français et en anglais. L'organisation a un bureau en plein centre-ville de Montréal, avenue McGill College, ce qui en fait la porte d'entrée de l'organisation au Canada. Lundi, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis a gelé les actifs de la Stanford International Bank et de ses affiliés, accusant l'organisation et ses dirigeants, Robert Allan Stanford, James M. Davis et Laura Pendergest-Holt, de fraude massive. La banque, située dans le paradis fiscal d'Antigua, et ses affiliés Stanford Group Company et Stanford Capital Management, de Houston, au Texas, ont vendu des «certificats de dépôt» totalisant environ 8 milliards US en promettant des rendements irréalistes de plus de 10% depuis 15 ans, selon la SEC. Les investissements de Stanford n'étaient pas liquides, contrairement à ce que les dirigeants affirmaient aux clients; une bonne partie était investie dans l'immobilier et des placements privés, selon la SEC. En outre, l'entreprise est exposée aux fonds Madoff, contrairement à l'assurance faite aux clients. Stanford est présente à Montréal depuis quatre ans, selon le registre des entreprises du Québec. Les locaux sont situés au 30e et dernier étage de la Place Montréal Trust, avenue McGill College, la rue la plus chère à Montréal pour la location de bureaux. Les locaux visités par La Presse Affaires sont dignes d'une institution prospère: plancher de marbre, fauteuils en cuir capitonné, vue magnifique sur le centre-ville, etc. À la réception, impossible d'avoir un entretien avec le directeur, Alain Lapointe. La réceptionniste nous renvoie au département des communications de l'entreprise, situé en Floride, où il n'a pas été possible d'avoir la communication. Plus tôt, au téléphone, la réceptionniste nous avait indiqué que tout continuait à fonctionner normalement selon les instructions des clients. Le bureau de Montréal, le seul au Canada, nous a-t-elle dit, compterait une demi-douzaine d'employés. Au début de décembre, l'entreprise a commencé à faire circuler un nouveau bulletin d'information parmi ses employés et clients appelé Stanford Did You Know. Dans ce document obtenu par La Presse Affaires, l'organisation prétend qu'elle continue à croître malgré la crise financière sans précédent. «Ne vous y trompez pas, nous resplendissons plus que jamais», écrit l'entreprise. La SEC s'interroge d'ailleurs sur les rendements improbables de Stanford. En 2008, selon la SEC, la banque soutient que son portefeuille diversifié n'a perdu que 1,8%, comparativement à 39% pour la Bourse américaine (S&P 500). Selon la SEC, les dirigeants n'ont pas collaboré avec les enquêteurs, qui tentaient notamment de savoir ce qu'il est advenu de 90% des fonds de 8 milliards, placés dans une espèce de «boîte noire» inaccessible. Hier, selon l'agence Bloomberg, le SEC disait ne pas savoir où se trouve Allan Stanford. Pas d'enquête à l'AMF Au Québec, l'Autorité des marchés financiers (AMF) n'a pas entrepris d'enquête sur la Banque Stanford. «À la lumière des faits connus, l'AMF n'a pas juridiction, car il s'agit d'une succursale d'une banque étrangère, avec des activités de dépôt», a expliqué Nathalie Drouin, directrice générale du contrôle des marchés de l'AMF. Une telle banque relève plutôt du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), qui a commencé une enquête. Par ailleurs, le directeur de la succursale montréalaise de la banque, Alain Lapointe, est membre du conseil d'administration de l'Association des diplômés de HEC Montréal. À ce titre, il a participé aux campagnes de souscription de l'organisme. M. Lapointe a obtenu son MBA de HEC en 1985. Son nom ne figure pas dans l'acte d'accusation de la SEC. Aucun autre membre du conseil de l'Association n'a de liens avec Stanford et l'organisme n'a pas placé d'argent dans cette banque, nous indique Jacynthe Alain, porte-parole de HEC Montréal. Alain Lapointe n'est pas l'ancien professeur d'économie de cette école, aujourd'hui à la retraite.
  13. Publié le 30 janvier 2009 à 06h50 | Mis à jour à 06h55 Hugo Fontaine La Presse (Montréal) C'est un exemple on ne peut plus clair des effets de la récession américaine chez nous. Le manufacturier d'électroménagers Mabe doit licencier 150 employés de son usine montréalaise parce que son principal client, le géant américain Home Depot, cesse ses commandes de sécheuses. Pour l'usine montréalaise, anciennement connue sous le nom de Camco, cela implique une baisse significative de la production. Principalement consacrée à l'exportation, elle est d'autant plus vulnérable au dépérissement de l'économie américaine. «L'usine fonctionne à haute efficacité, mais on est à la merci de la consommation aux États-Unis, a expliqué à La Presse Affaires John Caluori, représentant national du Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier. Le client principal a cessé, pour le moment, d'acheter nos produits.» Mabe fabrique à Montréal des sécheuses pour le compte de General Electric. M. Caluori dit ne pas savoir quelle proportion de la production était destinée à Home Depot. «Mais quand de grandes surfaces ferment la switch, ça représente des volumes importants.» Home Depot est durement touchée par la déprime des consommateurs américains. Le détaillant de quincaillerie a d'ailleurs annoncé la suppression de 7000 emplois plus tôt cette semaine. Espoir John Caluori garde espoir que les emplois perdus à l'usine Mabe, qui compte environ 800 employés dans le seul département de la production, puissent être récupérés dans l'avenir. «Il n'y a pas d'autre raison que le contexte économique actuel pour expliquer ces mises à pied, dit-il. Si la consommation est relancée aux États-Unis, on revient sur la carte.» Il souligne que l'entreprise a déjà procédé à des renvois temporaires au cours de saisons creuses, et que les employés avaient été rappelés. Mais rien n'est garanti, et M. Caluori concède que l'inquiétude persiste. «Il n'y a pas un salarié dans les usines du Québec qui n'est pas craintif face aux impacts économiques.» Le printemps dernier, Mabe avait transféré 30% de la production montréalaise au Mexique (surtout des modèles de haut de gamme). Mais elle prévoyait maintenir le rythme de production à l'usine de la rue Dickson en misant sur les électroménagers conventionnels. En 2007, le SCEP avait obtenu de Mabe des garanties qu'elle ne fermerait pas l'usine d'ici 2012. La direction de l'usine Mabe de Montréal n'a pas rappelé La Presse Affaires.
  14. À l'exemple des fonctionnaires fédéraux, les cadres supérieurs des commissions scolaires ont aussi droit à un dédommagement s'ils quittent leur organisation pour occuper un meilleur emploi ailleurs, a appris La Presse Affaires. Pour en lire plus...
  15. Henri-Paul Rousseau a empoché une généreuse indemnité de départ lorsqu'il a quitté la Caisse de dépôt, a appris La Presse Affaires. Et contrairement à la pratique répandue, la somme lui a été versée même s'il a quitté son poste de plein gré. Pour en lire plus...
  16. Non seulement la Caisse de dépôt n’a pas de PDG, mais le mandat des deux tiers des administrateurs est échu, a appris La Presse Affaires. Pour en lire plus...
  17. Selon tous les économistes consultés par La Presse Affaires, la grande région de Montréal traversera la crise mondiale sans vivre de trop fortes turbulences. Pour en lire plus...
  18. L'avertissement des banques à l'Ontario Mise à jour le mercredi 17 décembre 2008, 15 h 25 . Les grandes banques canadiennes affirment que l'Ontario perdra des emplois si le gouvernement n'abaisse pas son impôt aux sociétés. Dans un document présenté dans le cadre des consultations prébudgétaires, l'Association des banquiers canadiens (ABC) réclame que le taux d'imposition passe de 14 % à 10 %. Une baisse de quatre points de pourcentage représenterait 6 milliards de dollars de moins dans les coffres de la province. La présidente de l'ABC, Nancy Hughes Anthony, évoque le manque supposé de compétitivité de la province et laisse entendre que des emplois dans le domaine des affaires pourraient être perdus si Queen's Park ne se conforme pas à sa prescription. Interrogé à ce sujet mercredi matin à Saskatoon, le ministre des Finances de l'Ontario, Dwight Duncan, bouillait de rage. « Je rappellerai aux grandes banques que nous éliminons la taxe sur le capital et que des gens perdent leurs emplois tous les jours. Je ne crois pas que les menaces soient la bonne façon de faire des affaires. - Dwight Duncan, ministre des Finances de l'Ontario » Le premier ministre Dalton McGuinty a réagi plus posément en suggérant aux banques de recommencer à accorder des prêts financiers aux entreprises si elles souhaitent réellement aider l'économie. M. McGuinty ajoute que si l'Ontario envoyait moins d'argent à Ottawa, sa province pourrait accélérer les diminutions d'impôts aux entreprises. À Queen's Park, seuls les conservateurs croient que le gouvernement devrait réduire son impôt aux sociétés. Mais ils ajoutent que les grandes banques pourraient contribuer à stimuler l'économie si elles refilaient en entier à leurs clients les baisses de taux décrétées par la Banque du Canada. Extrait vidéoAppel aux banques pour faciliter le passage de la crise, explique Christian Grégoire.
  19. Le courtier américain Bernard Madoff a battu tous les records des grandes escroqueries financières des 100 dernières années, avec son arnaque à 50 G$ US. Voici quelques exemples des grandes affaires financières qui ont marqué les esprits depuis la fin du XIXe siècle. L'affaire Thérèse Humbert Pour en lire plus...
  20. Mairesse de Drummondville depuis 1987, Francine Ruest Jutras incarne cette relation étroite entre élus locaux et monde des affaires. Pour en lire plus...
  21. Le premier ministre et son ministre des Affaires étrangères, Lawrence Cannon, comptent promouvoir le libre-échange comme antidote au marasme économique lors du sommet de l'APEC, qui s'ouvre samedi, au Pérou. Pour en lire plus...
  22. Pas toujours évident de savoir comment il faut saluer un client, un collègue ou un patron. En affaires, faut-il faire la bise ou pas ? Pour en lire plus...
  23. Avec ses entreprises high tech qui abondent, la grande région de Waterloo peut faire la leçon au reste du Canada. Derrière ce succès méconnu au Québec se trouve une université qui pousse ses étudiants et ses chercheurs à innover et à se lancer en affaires sans rien exiger en retour. Ça marche! Pour en lire plus...
  24. Dans les affaires de cette semaine. Georges Marciano, propriétaire de Guess Jeans, achète le 507 Place d'armes pour 22 millions. J'ai pas trouvé d'article ailleurs sur le net.
  25. «On lance un nouveau concept pour être plus présent dans les petites communautés», annonce François-Jean Coutu, en entrevue à La Presse Affaires. Pour en lire plus...
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